Wikipédia:Oracle/semaine 5 2010
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Bravo à toutes les Pythies, il y avait longtemps que je n'avais pas vu autant d'harmonie dans une semaine.--Doalex (d) 8 février 2010 à 12:50 (CET) Oui je sais je ne suis pas intervenu une seule fois
Fromage
modifierBonjour, je souhaiterais savoir ou on peut se procurer le fromage appelé Chandamour?
Merci
- Bonjour,
- Ce fromage semble (d'après l'article) venir de bretagne. Une bonne fromagerie saura vous en dire plus. (Mitch)2 1 février 2010 à 09:28 (CET)
trésorerie, centre des finances publiques ?
modifierBonjour,
j'ai l'impression que ces termes sont équivalents, et désignent un établissement public, dont le rôle serait de gérer ce qui se rapporte aux impôts, et des relations avec les gens à ce sujet. Il dépendrait notamment du trésor public. Mais impossible de trouver des informations à ce sujet sur le web (je m'y prends probablement très mal), et je n'y connais strictement rien en la matière. Les sites institutionnels pourtant parfois bien détaillés ne m'ont pas non plus aidé ici. Je m'en remets donc à vous . Cordialement, Freewol (d) 1 février 2010 à 10:53 (CET)
- Ce ne sont pas des établissement public, ce sont des services déconcentrés du ministère des finances. Jusqu'à très récemment ce ministère avait plusieurs type de services : trésorerie, perception, centre des impôts, cadastre, etc. Les gens qui calculaient l'impôt et ceux qui encaissaient l'argent ne se parlaient même pas, sinon pour comparer leurs paies et leurs primes et trouver que les autres étaient mieux payés qu'eux ; le TPG et le directeur des services fiscaux se faisaient la gueule (courtoisement, hein !). En 2007, on a décidé de changer tout ça. En centrale, c'est la création de la DGFIP, et et pour les services et les contribuables, c'est la fusion locale et remise sous l'autorité d'une seule tête, d'où le renommage sous l'intitulé centre des finances publiques
- Tout n'est même pas terminé et ça fait partie des sujets que personne n'a envie de mettre sur la place publique, les intéressés préférant tous qu'on parle de foots et de faits divers sans importance plutôt que de nos impôts et de la paie de ceux qui les encaissent...
- voir http://www.budget.gouv.fr/ministere_budget/index.php et ... bonne battue du labyrinthe ! :
- gem (d) 1 février 2010 à 12:46 (CET)
- Merci pour la réponse, mais je ne suis pas sûr d'avoir compris. Le sujet principal est donc le ministère des finances. Il était décomposé en plusieurs services (j'imagine que dans un ministère, un service correspond à une branche hiérarchique ?), dont l'un était la trésorerie. D'après ce que je lis sur wiktionnaire, cette branche était chargée d'administrer les finances de l'État (c'est un peu flou pour moi, en pratique ça correspondait à quoi ? je ne pense pas qu'elle décidait du budget, donc peut-être simplement de vérifier que les dépenses correspondaient bien à ce qui avait été décidé ?).
- La réforme crée un nouveau service, le centre des finances publiques. De quoi est-ce la réunion exactement ?
- Désolé, je suis complètement novice dans ce domaine, et le site du budget ne m'aide pas beaucoup. Cordialement, Freewol (d) 1 février 2010 à 13:25 (CET)
- Ouh là, j'ai peur d'être en train de mettre le doigt dans l'engrenage d'un cours général... L'admnistration distingue trois types de services : l'admnistration centrale (AC) (celle qui fait les décrets, lois, circulaires, etc.), à Paris sauf rares exceptions, les services déconcentrés (SD) (ceux qui vous font l'arrêté qui vous autorise ceci ou vous interdit cela, en application des lois et décret conçus l'AC et selon les circulaires qu'elle a diffusé ; signé du préfet), en préfecture et sous-préfecture sauf exceptions ; les service à compétence nationale (SCN), un intermédiaire qui ne relève pas de l'AC parce qu'il ne font qu'appliquer, ni des SD parce qu'ils ne sont pas sous l'autorité préfectorale (par exemple une brigade d'enquête spécialisée dont le champs d'action est la France entière, ou un machin sui généris comme l'Agence pour l'Informatique Financière de l'État).
- Pour faire simple, au niveau déconcentré (SD), au ministère des finances on calcule et on encaisse les impôts (+ quelques bricoles : cadastre, hypothèques, douane, une partie de la répression des fraudes...) et on décaisse les dépenses de tous les ministères (une administration qui reçoit une facture y joint les justificatifs nécessaires et adresse le tout à sa trésorerie, qui paie si tout lui semble régulier et que l'administration en question a encore des crédits). Ce dernier rôle est maintenant totalement inutile, couteux et nuisible, mais faut pas le dire...
- gem (d) 1 février 2010 à 15:26 (CET)
- Merci pour la réponse, qui me donne des éléments pour avancer sur cette question. Cordialement, Freewol (d) 2 février 2010 à 09:34 (CET)
?
modifiersalut je m'appelle meriem maalel et je suis nouvelle dans cette encyclopedie
je voudrais bien savoir la quantite de sang necessaire pour le cerveau;avec des photos svp
merci de prevence
- Déjà, il faudrait formuler votre question de manière plus précise (là elle est quasi-imcompréhensible). Et vous voulez des photos de quoi ? Agrafian (me parler) 1 février 2010 à 12:18 (CET)
- Des photos de quantité. Un verre de grenadine devrait faire l'affaire :-)
- On pourrait utilement joindre des photos d'accents ou de clavier avec accents... gem (d) 1 février 2010 à 12:48 (CET)
- Ce lien devrait vous donner pleinement satisfaction. Sauf si... (Mitch)2 1 février 2010 à 13:13 (CET)
présomption d'innocence dans le Code civil
modifierSi le Code Civil définit le droit civil, pourquoi est-ce que la présomption d'innocence dans le Code civil (art. 9-1 : voir ici ou ici), laquelle s'applique au droit pénal - je pensais ... Merci! --71.111.229.19 (d) 1 février 2010 à 12:33 (CET)
- La réponse est dans l'article : il s'agit du droit civil au respect de la présomption d'innocence, et sa concrétisation sous forme de réparation au civil aux frais de ceux qui viole ce droit. gem (d) 1 février 2010 à 12:59 (CET)
- Merci beaucoup!--71.111.229.19 (d) 1 février 2010 à 18:39 (CET)
allo
modifierj'aimerais savoir s'il peut avoir eu un arc en ciel le 30 janvier 2010 vers 8hrs du matin il faisait soleil mais tres frior et avec un peu de vent merci de la reponse SUZETTE L.
Faudrait savoir où! (Mitch)2 1 février 2010 à 15:30 (CET)
- voyez dans arc-en-ciel les conditions d'apparition du phénomène : il faut des gouttes d'eau quelque part dans l'atmosphère, devant vous (pas directement devant, mais un peu sur les côtés, à 40-42°) si vous avez le soleil dans le dos. Le vent n'a aucune importance. S'il pleuvait pas trop loin de chez vous, ça le fait, mais ce n'est pas nécessaire (il arrive que la pluie n'arrive jamais au sol, quand l'air y est très sec, ce qui arrive par temps froid : elle s'évapore avant). gem (d) 1 février 2010 à 15:39 (CET)
- S'il y a un leprechaun du côté de chez vous, demandez-lui, il doit savoir. Morburre (d) 1 février 2010 à 15:48 (CET)
- C'est peut être pour en rencontrer un qu'elle veut savoir cela... Djynn, Le petit corbeau (d) 1 février 2010 à 17:26 (CET)
- Non-non, je crois qu'elle a simplement besoin d'un peu d'argent !... .Anja. (d) 1 février 2010 à 17:45 (CET)
- C'est peut être pour en rencontrer un qu'elle veut savoir cela... Djynn, Le petit corbeau (d) 1 février 2010 à 17:26 (CET)
- S'il y a un leprechaun du côté de chez vous, demandez-lui, il doit savoir. Morburre (d) 1 février 2010 à 15:48 (CET)
Santé
modifierbonjour,
je suis un homme de 33 ans preparateur de commandes je travaille depuis + ou - 10ans et je porte beaucoup de charges.
mon probleme est le suivant il y a 15jours en faisant un faux mouvement j'ai ressentit une douleur assez violentes dans le dos qui m'a couper le souffle quelques secondes. Ensuite en respirant la douleur ete toujours la. le medecin m'a donner des anti-inflammatoires qui m'ont soulager mais depuis j'ai toujours des douleurs du coté ou je me suis fait le choc ainsi qu'un point sur la colonne vertebrale je vais dire au milieu du dos. malgrés les traitements rien ni fait.Le soir a l'heure du coucher j'ai l'impression d'avoir travailler durant des heures. J'ai passer une radio qui ne revele rien de speciale j'ai donc pris rendez-vous avec un Rhumatologue. pouvez vous éclairer ma lenterne a ce sujet car je m'inquiete beaucoup .
En vous remerciant d'avance de prendre le temps de lire ma requete je vous prie Madame,Monsieur mes sinceres salutations.
L. Christian.
- Malheureusement, nous ne sommes pas des professionnels du secteur de la santé, absolument pas des médecins, et seuls les vrais spécialistes pourront vous conseiller - j'ose espérer - le plus efficacement possible . .Anja. (d) 1 février 2010 à 18:26 (CET)
- En effet, consultez de vrais spécialistes, jusqu'à ce qu'on vous dise clairement ce que vous avez. La colonne vertébrale est mise à rude épreuve dans ce métier que j'ai exercé quelques années. Si vos problèmes persistent vraiment, n'importe quel ami vous conseillerait de chercher un poste de préparateur de commandes légères (petits colis), par exemple dans de grandes enseignes d'informatique ou autre, et, en attendant, de ménager votre dos (vous devez connaître les techniques pour soulever les poids), voire de prendre quelques jours de vacances ou d'arrêt (seul remède efficace ?). Bourrichon 2 février 2010 à 20:53 (CET)
Rechercher un décret
modifierBonjour, je cherche à mettre la main sur un décret du Général de Gaulle, publié le 15 septembre 1945, relatif à la création de la commune du Rouget, ceci afin de sourcer convenablement cet article.
Google n'est pas mon ami, me rapportant un nombre considérable de faux-positifs (l'année 1945 est riche en événements et en décrets, tandis que Rouget peut renvoyer au poisson, mais surtout à Rouget de Lisle, qui n'a rien à voir avec tout ça). Aussi me demandais-je si les pythies ne connaîtraient pas un site d'archives où ce décret (ou au pire la preuve de son existence) serait disponible à la consultation.
Je précise que l'existence de ce décret ne fait aucun doute, la rue principale de la commune étant nommée d'après ce décret.
Merci d'avance de vos lumières.
⇨ Dr Brains ∞ Doléances ∞ 1 février 2010 à 19:19 (CET)
- Je ne trouve que ça, qui a l’avantage d’apporter quelques précisions... rv1729 1 février 2010 à 20:00 (CET)
- Merci, c'est déjà pas mal. On y apprend d'ailleurs qu'il s'agit d'une ordonnance et non d'un décret (même si la différence m'apparait obscure). ⇨ Dr Brains ∞ Doléances ∞ 1 février 2010 à 20:46 (CET)
- Selon Legifrance (fax-similé indisponible avant 1947) : Ordonnance n°45-2116 du 15 septembre 1945 RELATIVE A L'ERECTION EN COMMUNE DE LA SECTION DU ROUGET APPARTENANT A LA COMMUNE DE SAINT-MAMET (CANTAL) paru au JORF du 16 septembre 1945 page 5814. HaguardDuNord (d) 1 février 2010 à 22:00 (CET)
- Merci, c'est déjà pas mal. On y apprend d'ailleurs qu'il s'agit d'une ordonnance et non d'un décret (même si la différence m'apparait obscure). ⇨ Dr Brains ∞ Doléances ∞ 1 février 2010 à 20:46 (CET)
Pédophilie et pédocriminalité
modifierBonsoir,
Je suis à la recherche de chiffres pouvant indiquer le pourcentage approximatif de pédophiles (adultes attirés par les enfants) étant passés à l'acte (pédocriminalité). L'article sur la pédophilie ne semble en effet pas en indiquer. Notez que ceci est uniquement pour ma culture générale, suite à la lecture d'un récent article sur le site de Numerama ; et non un travail scolaire, ou assimilé.
Merci d'avance pour vos lumières :) Golmote (d) 1 février 2010 à 20:10 (CET)
- J'espère bien que ce n'est pas un travail scolaire. On parle quand même de pédocriminalité là.
- Je n'ai pas ces chiffres, mais il faudrait que vous précisiez : vous cherchez des chiffres pour quelle région ? France, Europe, Monde ? Agrafian (me parler) 1 février 2010 à 20:16 (CET)
- La donnée que vous demandez est impossible à obtenir. Elle consiste à diviser le nombre de pédophiles passés à l'acte par le nombre total de pédophiles. Premièrement, et c'est le plus important, le dénominateur est impossible à déterminer : on ne peut pas connaître le nombre de pédophiles. Parce que c'est une perversion socialement réprouvée et juridiquement condamnée, les pédophiles ne s'identifient ni se reconnaissent comme tels. A côté de ce problème pratique de mesure, il y a un problème "théorique". Une telle mesure implique de savoir ce qu'est un pédophile. Or, aucune définition n'est absolument consensuelle. Pour ces deux raisons, on ne dispose pas de mesure de la prévalence de la pédophilie dans la population. D'autre part, parce que le numérateur n'est pas non plus facile à cerner. En effet, parmi les personnes qui commettent des actes de pédophilie, toutes ne sont pas des pédophiles "authentiques". Il y a également des pédophiles "de situation" (personnes en état de stress, de faiblesse psychologiques, etc.), qui n'ont pas d'attirance véritable pour les enfants, mais commettent des actes de pédophilies. La proportion de chacune des deux catégories parmi les personnes qui commettent des actes de pédophilies, si elle est plus facilement mesurable, fait néanmoins l'objet de débats. Les études américaines montrent, dans l'ensemble, que les "vrais" pédophiles constituent la large majorité des personnes qui commettent des actes de pédophilies, et qu'ils en commettent beaucoup plus que les "pédophiles de situation", mais aucune donnée n'est pour l'instant consensuelle. Ma réponse se fonde sur l'article anglais de Wikipédia, qui est très bien fait : [1]. gede (d) 1 février 2010 à 20:48 (CET)
- Même pas d'estimation ? C'est logique qu'aucune statistique n'existe, mais on peut toujours faire des estimations, avec des fourchettes plus ou moins larges, non ? Agrafian (me parler) 1 février 2010 à 21:03 (CET)
- On peut, mais cela ne signifierait rien. Il faut d'ailleurs ajouter comme dernier problème celui de la définition d'un acte de pédophilie : la consultation d'un site sur internet n'est pas la même chose que le viol d'un enfant, et on peut penser que le développement d'internet a multiplié la possibilité de "passer à l'acte". Doit-on y voir un "accroissement de la pédophilie" : c'est douteux. Cet article américain fait une revue de la littérature scientifique : [2], et souligne que la prévalence de la pédophilie est inconnue, tout en donnant une série de chiffres contradictoires, tirés d'études assez fragiles. gede (d) 1 février 2010 à 21:27 (CET)
- Même pas d'estimation ? C'est logique qu'aucune statistique n'existe, mais on peut toujours faire des estimations, avec des fourchettes plus ou moins larges, non ? Agrafian (me parler) 1 février 2010 à 21:03 (CET)
- La donnée que vous demandez est impossible à obtenir. Elle consiste à diviser le nombre de pédophiles passés à l'acte par le nombre total de pédophiles. Premièrement, et c'est le plus important, le dénominateur est impossible à déterminer : on ne peut pas connaître le nombre de pédophiles. Parce que c'est une perversion socialement réprouvée et juridiquement condamnée, les pédophiles ne s'identifient ni se reconnaissent comme tels. A côté de ce problème pratique de mesure, il y a un problème "théorique". Une telle mesure implique de savoir ce qu'est un pédophile. Or, aucune définition n'est absolument consensuelle. Pour ces deux raisons, on ne dispose pas de mesure de la prévalence de la pédophilie dans la population. D'autre part, parce que le numérateur n'est pas non plus facile à cerner. En effet, parmi les personnes qui commettent des actes de pédophilie, toutes ne sont pas des pédophiles "authentiques". Il y a également des pédophiles "de situation" (personnes en état de stress, de faiblesse psychologiques, etc.), qui n'ont pas d'attirance véritable pour les enfants, mais commettent des actes de pédophilies. La proportion de chacune des deux catégories parmi les personnes qui commettent des actes de pédophilies, si elle est plus facilement mesurable, fait néanmoins l'objet de débats. Les études américaines montrent, dans l'ensemble, que les "vrais" pédophiles constituent la large majorité des personnes qui commettent des actes de pédophilies, et qu'ils en commettent beaucoup plus que les "pédophiles de situation", mais aucune donnée n'est pour l'instant consensuelle. Ma réponse se fonde sur l'article anglais de Wikipédia, qui est très bien fait : [1]. gede (d) 1 février 2010 à 20:48 (CET)
Merci à vous deux pour ces premières réponses. Je vais commencer par préciser ma question donc. Dans mes propos, les pédophiles sont des adultes sexuellement attirés par les enfants et jeunes adolescents. Je ne parle pas d'un fantasme passager (qui est apparemment plus répandu), mais bien de leur sexualité. Parmi ces personnes, certaines sont pleinement conscientes de cette attirance mais sont moralement contre le passage à l'acte et l'abus sexuel de l'enfant. On m'a affirmé récemment (sans la moindre source), que la très très grosse majorité des pédophiles devenaient des pédocriminels. Et c'est cette affirmation que j'aimerais vérifier. J'en profite pour lier l'article de Numerama [3]. Golmote (d) 1 février 2010 à 22:27 (CET)
- Ma réponse t'indique que l'on ne peut pas savoir, et que les chiffres que l'on donne n'ont donc aucun sens. Pour répondre, il faudrait au minimum savoir combien il y a de pédophiles dans la population, et on n'en sait rien. Tout le reste n'est donc que pure spéculation. Par ailleurs, ce genre de situation où on ne dispose que de données portant sur ceux qui ont commis tel ou tel acte sans connaître la prévalence des personnes susceptibles de le commettre encourage une vision négative du phénomène. Pour le cas des pédophiles on va, par exemple, avoir tendance à reporter sur les pédophiles que l'on ne connaît pas comme tels (parce qu'ils n'ont pas été arrêtés) les propriétés de ceux que l'on connait (parce qu'ils ont été arrêtés, ou ont volontairement consulté). Or, les pédophiles que l'on connait sont souvent des cas "extrêmes", puisqu'ils se sont fait prendre. Par exemple, une étude citée dans l'article de Wikipédia en anglais indique que, en moyenne, les pédophiles attirés par les garçons, entrant en traitement, avaient commis 282 actes pédophiles sur 150 victimes. Ce genre de données donne l'impression que la pulsion est compulsive, et que la très large majorité des pédophiles doivent donc passer à l'acte. gede (d) 1 février 2010 à 22:54 (CET)
- Ca vaut ce que ça vaut, mais j'étais tombé sur une étude canadienne décrivant une mesure faite à l'aide d'un questionnaire anonyme, destinée je crois bien à des hommes uniquement, qui posait la question de savoir si la personne interrogée avait eu au moins une fois dans sa vie un fantasme d'ordre pédophile (fantasme sexuel impliquant un enfant). Bien sûr ~"au moins une fois dans sa vie" ne veut pas dire être pédophile; de plus on peut s'imaginer que beaucoup de personnes mentiront à ce genre de question, même dans l'anonymat, ce qui entraine un vrai biais. Mais c'est bien la seule étude chiffrée sur le sujet que j'ai jamais trouvée, alors on fait avec ce qu'on a! Bref le chiffre mentionné par l'étude était assez impressionant malgré tout, il tournait autour de 20% de la population masculine interrogée. Encore une fois ça vaut ce que ça vaut - et je n'arrive pas à trouver le lien vers l'étude désolé, je reviendrais le mettre ici si je met la main dessus. .: Guil :. causer 3 février 2010 à 09:37 (CET)
- Plus haut je donne une référence précise à un article qui fait une revue de la littérature de ce genre d'études [4]. Même si cette revue débute par le fait que l'on ne connait pas la prévalence, elle est plutôt favorable à une estimation d'environ 3% de la population masculine. gede (d) 3 février 2010 à 17:01 (CET)
- Ca vaut ce que ça vaut, mais j'étais tombé sur une étude canadienne décrivant une mesure faite à l'aide d'un questionnaire anonyme, destinée je crois bien à des hommes uniquement, qui posait la question de savoir si la personne interrogée avait eu au moins une fois dans sa vie un fantasme d'ordre pédophile (fantasme sexuel impliquant un enfant). Bien sûr ~"au moins une fois dans sa vie" ne veut pas dire être pédophile; de plus on peut s'imaginer que beaucoup de personnes mentiront à ce genre de question, même dans l'anonymat, ce qui entraine un vrai biais. Mais c'est bien la seule étude chiffrée sur le sujet que j'ai jamais trouvée, alors on fait avec ce qu'on a! Bref le chiffre mentionné par l'étude était assez impressionant malgré tout, il tournait autour de 20% de la population masculine interrogée. Encore une fois ça vaut ce que ça vaut - et je n'arrive pas à trouver le lien vers l'étude désolé, je reviendrais le mettre ici si je met la main dessus. .: Guil :. causer 3 février 2010 à 09:37 (CET)
Pas vraiment des chiffres, mais des infos en voici !. --Égoïté (d) 2 février 2010 à 06:59 (CET)
code nace du batiment
modifierBonjour je voudrais savoir quel est le code nace pour les industries du bâtiment et des travaux publics. merci
- Voici la liste complète des codes NACE. À vous d'y trouver les codes qui vous importent. Dhatier jasons-z-en 1 février 2010 à 21:13 (CET)
Du vocabulaire financier du président de la République lors du Forum de Davos.
modifier"une entreprise en difficulté enregistrer bénéfice comptable du seul fait que la dégradation de sa signature diminue la valeur de marché de sa dette" - Nicolas Sarkozy, Forum de Davos.
Cher Oracle,
sans vouloir pour autant ouvrir la cage à troll, je dois confesser que cette phrase relevée par Yann Barthès ( petit journal du 1/2/10 ) me titille. Tu te doutes bien que ceux qui viennent te consulter ont soif de connaissances et sont curieux de par leur nature. Ainsi je viens à toi, rongé d'impatience que tu m'éclaires de ton érudition et m'apportes une explication sur le sens de cette phrase, si tant est qu'il y en ait une.
Je joins mille remerciements pour l'aide que tu pourras m'apporter,
Bien à toi.
-- un mékéskidi
- Voir google pour la version non tronquée de la citation, nettement plus claire quand on la retranscrit correctement.
- Si une entreprise a une dette d'une certaine valeur, ça pèse (en négatif) sur son bilan. Si maintenant elle est au bord de la faillite, au point que ses créanciers doute de sa capacité à rembourser la dette, la valeur réelle de cette dette peut ne plus valoir un clou (puisque l'entreprise ne sera jamais capable de rembourser). Si ça ne vaut pas un clou, ses créanciers commencent à abandonner leur créance, volontairement ou implicitement (ce que traduit la dégradation de la signature - mais à ce niveau là c'est plus de la dégradation, c'est que toutes les portes sont fermées). Maintenant, si cet abandon est à son tour traduit dans le bilan, le poids (négatif) de cette dette est supprimé. L'entreprise vient de faire un bénéfice financier par diminution (implicite) de sa dette. Et du coup, il se peut qu'elle repasse en positif, et fasse globalement du bénéfice comptable.
- C'est pourtant parfaitement correct et lumineux - mais évidemment, quand le Président s'adresse à des économiste, il ne parle pas en verlan et la casquette à l'envers - l'art de se mettre à la portée de son auditoire, quoi... Inversement, il faut croire que ceux qui prennent Sarko pour un con ont été victime de la facilité avec laquelle il s'adapte à son auditoire, et ont peut-être été pris pour des cons (à tort, n'en doutons pas) par ce brave Sarko cherchant à se mettre à leur portée ^_^ Mais peut-être était-ce juste une tentative de troll.
- Cordialement, Biem (d) 2 février 2010 à 08:42 (CET)
- Je dois être très con, mais je ne trouve pas ça lumineux. Comment une diminution implicite de la dette peut être explicitement traduite dans le bilan comptable ?
- Je précise que je ne prends pas Sarko pour un con en posant cette question, comme d’ailleurs (il me semble) le mékéskidi ci-dessus, inutile de continuer à troller là-dessus. Un autre mékéskidi rv1729 2 février 2010 à 09:26 (CET) Précisons : je trouve la fin de ton message, avec ton ironique « à tort n’en doutons pas », inutilement agressive.
- Ta question est tout à fait légitime, puisque l'explication au dessus ne dit rien de la problématique qui donne sens au discours de notre Auguste. NS dans cette partie du discours mène, en effet, une critique de ce que l'on appelle la "juste valeur". Il s'agit d'une norme comptable d'évaluation du bilan d'une entreprise, qui s'oppose à la méthode plus ancienne dite "au coût historique". Schématiquement, elle consiste à évaluer un actif au prix du marché (c'est à dire à son prix sur le marché où il est échangé, au moment où on opère le bilan), et non au prix où il a été acheté. Elle a été créée par les comptables américains, et s'est imposée dans le monde entier, à la faveur de la mondialisation financière. Depuis 2002, la commission européenne l'impose en Europe. Cette norme a été accusée d'être une des causes de la crise financière, dans la mesure où elle accroit la volatilité, à la hausse comme à la baisse, des actifs des entreprises. Par exemple, dans la crise, les banques ont été contraintes d'opérer de fortes provisions, et d'enregistrer des pertes, parce que les titres qu'elles détenaient à leur actif venaient de voir leur cours chuter en bourse. Or, rien ne dit que lorsque les banques les vendront vraiment, les bourses n'auront pas remonté, annulant la perte virtuelle. Autrement dit, en évaluant les actifs à partir de leur valeur du moment, cette norme comptable conduit les banques à enregistrer dans leur bilan des pertes qui ne sont que virtuelles, aggravant la crise. Après avoir, de manière fort schématique, rappelé cette critique, maintenant banale, notre président en arrive à la phrase qui nous occupe, par laquelle il entend démontrer le caractère supérieurement stupide de cette norme comptable. Dans le cas d'une entreprise en difficulté, la dette de celle-ci connaîtra probablement une décote sur les marchés financier où elle s'échange, puisque la probabilité grandit qu'elle ne la rembourse pas. Si l'entreprise applique l'évaluation "à la juste valeur" fondée sur une valorisation "mark to market", alors la valeur de sa dette au passif diminue, et elle enregistre un gain dans son bilan financier, au moment même et parce que la faillite la menace. Pour en revenir à la compréhension des problèmes que peut avoir N. Sarkozy, il faut rappeler qu'il est, de formation, un avocat d'affaire. La vidéo montre qu'il est relativement à l'aise quand il aborde d'un point de vue général la critique de la "fair value", mais qu'il n'a pas écrit la phrase qui nous occupe, qu'il lit scrupuleusement sur ses notes, sans paraître la comprendre parfaitement. Par ailleurs, ses analyses sont assez caricaturales et par trop schématiques, alors même qu'elles s'adressent à des individus qui, dans l'ensemble, sont favorables aux dérives que NS critique, parce qu'ils en bénéficient, tout en ayant une compréhension précise des aspects techniques du discours présidentiel. Là où NS aurait ainsi dû redoubler de précisions et de nuances pour convaincre, il se laisse aller à quelques unes des ses habitudes oratoires. Par suite, ce discours a été un bide. Il n'a pas convaincu son auditoire, de même que les experts [5]. gede (d) 2 février 2010 à 12:50 (CET)
- En résumé, c'est ce genre de raisonnement fumeux qui a conduit la planète à la crise actuelle. --Hul Trasson (d) 2 février 2010 à 13:23 (CET)
- Ta question est tout à fait légitime, puisque l'explication au dessus ne dit rien de la problématique qui donne sens au discours de notre Auguste. NS dans cette partie du discours mène, en effet, une critique de ce que l'on appelle la "juste valeur". Il s'agit d'une norme comptable d'évaluation du bilan d'une entreprise, qui s'oppose à la méthode plus ancienne dite "au coût historique". Schématiquement, elle consiste à évaluer un actif au prix du marché (c'est à dire à son prix sur le marché où il est échangé, au moment où on opère le bilan), et non au prix où il a été acheté. Elle a été créée par les comptables américains, et s'est imposée dans le monde entier, à la faveur de la mondialisation financière. Depuis 2002, la commission européenne l'impose en Europe. Cette norme a été accusée d'être une des causes de la crise financière, dans la mesure où elle accroit la volatilité, à la hausse comme à la baisse, des actifs des entreprises. Par exemple, dans la crise, les banques ont été contraintes d'opérer de fortes provisions, et d'enregistrer des pertes, parce que les titres qu'elles détenaient à leur actif venaient de voir leur cours chuter en bourse. Or, rien ne dit que lorsque les banques les vendront vraiment, les bourses n'auront pas remonté, annulant la perte virtuelle. Autrement dit, en évaluant les actifs à partir de leur valeur du moment, cette norme comptable conduit les banques à enregistrer dans leur bilan des pertes qui ne sont que virtuelles, aggravant la crise. Après avoir, de manière fort schématique, rappelé cette critique, maintenant banale, notre président en arrive à la phrase qui nous occupe, par laquelle il entend démontrer le caractère supérieurement stupide de cette norme comptable. Dans le cas d'une entreprise en difficulté, la dette de celle-ci connaîtra probablement une décote sur les marchés financier où elle s'échange, puisque la probabilité grandit qu'elle ne la rembourse pas. Si l'entreprise applique l'évaluation "à la juste valeur" fondée sur une valorisation "mark to market", alors la valeur de sa dette au passif diminue, et elle enregistre un gain dans son bilan financier, au moment même et parce que la faillite la menace. Pour en revenir à la compréhension des problèmes que peut avoir N. Sarkozy, il faut rappeler qu'il est, de formation, un avocat d'affaire. La vidéo montre qu'il est relativement à l'aise quand il aborde d'un point de vue général la critique de la "fair value", mais qu'il n'a pas écrit la phrase qui nous occupe, qu'il lit scrupuleusement sur ses notes, sans paraître la comprendre parfaitement. Par ailleurs, ses analyses sont assez caricaturales et par trop schématiques, alors même qu'elles s'adressent à des individus qui, dans l'ensemble, sont favorables aux dérives que NS critique, parce qu'ils en bénéficient, tout en ayant une compréhension précise des aspects techniques du discours présidentiel. Là où NS aurait ainsi dû redoubler de précisions et de nuances pour convaincre, il se laisse aller à quelques unes des ses habitudes oratoires. Par suite, ce discours a été un bide. Il n'a pas convaincu son auditoire, de même que les experts [5]. gede (d) 2 février 2010 à 12:50 (CET)
- Merci gede, c’est clair maintenant. rv1729 2 février 2010 à 18:18 (CET)
- Je passais par là par hasard, et j'ai lu l'explication de gede, je dois avoué que je suis bluffé, car bien que n'étant pas du tout dans le monde financier, j'ai maintenant compris cette phrase, purement absconse quelques minutes auparavant. Bravo pour la vulgarisation . Freewol (d) 3 février 2010 à 09:21 (CET)
- Merci bien pour tes encouragements ! Nous autres pythies nous en avons peu (surtout de la part des questionneurs), je t'en remercie d'autant plus. gede (d) 5 février 2010 à 20:49 (CET)
- Je passais par là par hasard, et j'ai lu l'explication de gede, je dois avoué que je suis bluffé, car bien que n'étant pas du tout dans le monde financier, j'ai maintenant compris cette phrase, purement absconse quelques minutes auparavant. Bravo pour la vulgarisation . Freewol (d) 3 février 2010 à 09:21 (CET)
Bonjour, Pourriez vous me renseigner sur un point? Sauriez vous me dire quel est la marque et le modèle de l'avion utilisé par le grand père de Walter dans "Natacha : Le Grand Pari" (numéro 11) et "Natacha : Les Culottes de Fer" (numéro 12)? Merci beaucoup TCM [Crazy du Rock] 2 février 2010 à 08:09 (CET)
- A partir de la couverture du grand pari, cela m'a l'air d'être un Fokker F.VIIA. Tu peux tenter une vérif sur commons avec ces liens [6] [7] [8]. Je pense ne pas m'être gouré. --Cobra Bubbles Dire et médire 2 février 2010 à 18:55 (CET)
sa m'à bien l'air d'être celui là, je suis un grand fan de FSX, et j'aurais bien voulu le tester, il me reste plus qu'à le trouver, merci beaucoup!!! TCM [Crazy du Rock] 2 février 2010 à 20:12 (CET)
en fait, celui de "Natacha : Le Grand Pari" (numéro 11) et "Natacha : Les Culottes de Fer", les trois moteurs sont tri palmes, tandis que le Fokker F.VII à son moteur principale en tri palme et le moteur 2 et 3 en bi palme, mais peut-être est-ce une erreur de Walthéry? TCM [Crazy du Rock] 2 février 2010 à 20:29 (CET)
- Tripale et bipale, pour les hélices, non ? Tri palme et bi palme c'est pour les hydravions ? Morburre (d) 2 février 2010 à 22:25 (CET)
- j'ai remarquer mon erreur par après, oui, c'est bien cela, bien que je ne sache pas pour les hydravions... TCM [Crazy du Rock] 3 février 2010 à 10:13 (CET)
meilleur des mondes possibles
modifierBonjour Oracle, J'ai besoin de votre avis. On entend très souvent la phrase "tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes". Or, cela semble faire référence à Candide de Voltaire qui, lui, dit "tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possible", ce "possible", à mon avis, changeant tout le sens de la phrase. Suis-je dans l'erreur ? Merci de vos lumières. Papaye83
- Je dirais : puisque le meilleurs des mondes n'existe pas, il ne peut-être que possible, mais ça n'engage que moi.Donc sens inchangé--Le ciel est par dessus le toit (d) 2 février 2010 à 10:38 (CET)
- Le « possible » est, ici, à mon avis, opposé à la chimère. C'est le monde qu'on parvient à se créer en étant redevenu « réaliste »._Mistig (d) 2 février 2010 à 13:07 (CET)
Je ne vois pas en quoi ça change le sens... rv1729 2 février 2010 à 10:42 (CET)
- Voltaire est plus strict et donc plus clair, car le sens de la phrase la plus courte dépendra du contexte. Elle peut signifier qu'on a trouvé le meilleur des mondes et qu'on s'y trouve bien. Je l'ai entendu, par exemple, lors d'une circonstance qui présentait toutes les commodités. Évidemment, il y avait sans doute une allusion plaisante à l'écrivain conteur._ Mistig (d) 2 février 2010 à 12:50 (CET)
- Cette phrase est une critique de la philosophie de Leibniz, telle que la comprend Voltaire. Leibniz essaye de justifier le fait qu'il y ait du mal dans le monde, alors que Dieu, qui l'a créé, est un être bon, qui ne peut que vouloir que le bien pour les hommes, et non le mal. Pourquoi Dieu a-t-il donc créé un monde qui connait le mal ? La réponse de Leibniz est que Dieu a créé non pas le meilleur monde dans l'absolu, mais le meilleur monde qu'il soit possible de créer. Voltaire, qui écrit peu de temps après l'immense tragédie humanitaire du tremblement de Lisbonne, ironise face à une telle analyse, qui lui semble absurde. Pangloss, qui représente Leibniz, ne cesse, face aux événements les plus tragiques, de se persuader qu'ils étaient nécessaires, puisque "tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles". L'adjectif "possible" ne change donc pas le sens de la phrase, mais en précise le sens, évoquant allusivement la philosophie de Leibniz. gede (d) 2 février 2010 à 13:04 (CET)
- Cependant, la conclusion du conte (qui est avant tout un "apprentissage") en vient à une interprétation personnelle de Voltaire: "le meilleur monde qu'on peut se créer" (Cultivons notre jardin)_Mistig (d) 2 février 2010 à 13:33 (CET)
- Vous imaginez, si on n'était pas dans le meilleur des mondes possibles... il n'y aurait vraiment plus qu'à aller se flinguer direct. C'est quand même difficile d'imaginer pire. Félix Potuit (d) 2 février 2010 à 17:55 (CET)
- Cependant, la conclusion du conte (qui est avant tout un "apprentissage") en vient à une interprétation personnelle de Voltaire: "le meilleur monde qu'on peut se créer" (Cultivons notre jardin)_Mistig (d) 2 février 2010 à 13:33 (CET)
Je me demande si Le Meilleur des mondes de Huxley est une allusion explicite à Voltaire/Leibnitz, en sachant qu'il est clair que l'usage de l'expression, comme dans le cas du Candide, est ironique. --Epsilon0 ε0 2 février 2010 à 18:35 (CET)
- C'est ce que suppose l'article anglophone... mais avec un ref nec à la clé. DocteurCosmos (d) 2 février 2010 à 20:52 (CET)
- voir l'article Thomas Moreici--MIKEREAD (d) 2 février 2010 à 21:11 (CET)
- Oui, je crois que le titre de Le Meilleur des mondes est une référence à Voltaire : le titre original, Brave New World, étant une référence à Shakespeare (La tempête si je me souviens bien), les traducteurs ont cherché à créer une référence dans le titre français. Je verrais si je retrouve ma source. Kiljaeden (d) 7 février 2010 à 13:50 (CET) Après avoir jeté un œil, l'article de Wikipédia propose, Grosse O'Modo, la même explication que moi.
- voir l'article Thomas Moreici--MIKEREAD (d) 2 février 2010 à 21:11 (CET)
le marketing
modifierBONJOUR. ma question est de savoir si:le marketing peut-il conduire a des pratiques immorales? Si oui lesquelles? merci a vous.
J'hésite...
ou
. Et sinon, je dirais : oui bien sûr. Asheka [la vie est belle] 2 février 2010 à 15:54 (CET)
- Aller casser les c... aux braves gens qui sont tranquillement chez eux à regarder les Simpson sans rien demander à personne, pour essayer de leur vendre des fenêtres à double vitrage ou des contrats d'assurance, oui, c'est immoral. Quand c'est recommencé chaque jour alors qu'on les a déjà envoyés virulemment balader, ça confine à la perversion ou à l'idiotie congénitale. Il faut les pendre. Félix Potuit (d) 2 février 2010 à 15:57 (CET)
- Il y a Message subliminal aussi... Killy
- Oui, sauf que la théorie des messages subliminaux est une vaste escroquerie. Je ne sais plus si l'initiateur était stupide ou malhonnête, mais au final sa théorie délirante a eu un franc succès malgré l'absence totale de réalité. Agrafian (me parler) 3 février 2010 à 08:30 (CET)
- Stupide et/ou malhonnête : tout est bon dans le cochon ! euh dans le marketing... ça répond un peu à la question puisque le but est d'avoir un franc succes (non ?). Killy
- Oui, sauf que la théorie des messages subliminaux est une vaste escroquerie. Je ne sais plus si l'initiateur était stupide ou malhonnête, mais au final sa théorie délirante a eu un franc succès malgré l'absence totale de réalité. Agrafian (me parler) 3 février 2010 à 08:30 (CET)
- Il y a Message subliminal aussi... Killy
Energie du mouvement des astres
modifierBonjour, D'où vient-elle, est-ce la chaleur des étoiles, les réactions nucléaires? Du big-bang? de L'expansion de l'univers? De rien ? Merci.
- Comme par principe l'énergie se conserve, et que toutes les tentatives expérimentales pour violer ce principe ont échoué, on peut raisonnablement penser que l'énergie était là dès le "départ", quoi que ça puisse signifier (big bang ou autre chose, où le principe ne serait plus applicable, ce qui change totalement la physique). gem (d) 2 février 2010 à 17:45 (CET)
- Est-ce qu'on a une idée justement de la "chaîne de conversion" qui a permis de passer d'une énergie "pure" à une énergie potentielle de gravitation ? Blue [ -02- ] 2 février 2010 à 17:52 (CET)
- Oui, et même plusieurs. Mais impossible de dire laquelle est la bonne, ni même si l'une d'entre elles est la bonne. Toutes ne sont qu'hypothèses. Agrafian (me parler) 2 février 2010 à 22:54 (CET)
- La question portant sur l'énergie du mouvement des astres, je dirais que tous les mouvements des planètes (rotation sur elles-mêmes et autour du soleil) n'ont pas besoin d'apport énergétique. En effet, l'énergie cinétique est conservée, vu que pratiquement rien ne freine les astres dans leur mouvement orbital. L'impulsion initiale trouve son explication dans la formation du système solaire. Des principes à peu près semblables régissent la rotation du soleil et des autres étoiles autour du centre galactique (période de révolution d'environ 200 millions d'années dans le cas du soleil). Idem pour la rotation des galaxies autour du barycentre de l'amas galactique local (périodicité de plusieurs milliards d'années, difficile à estimer). --Hul Trasson (d) 3 février 2010 à 11:06 (CET)
- Oui, et même plusieurs. Mais impossible de dire laquelle est la bonne, ni même si l'une d'entre elles est la bonne. Toutes ne sont qu'hypothèses. Agrafian (me parler) 2 février 2010 à 22:54 (CET)
- Est-ce qu'on a une idée justement de la "chaîne de conversion" qui a permis de passer d'une énergie "pure" à une énergie potentielle de gravitation ? Blue [ -02- ] 2 février 2010 à 17:52 (CET)
- voir aussi Équipartition de l'énergie. gem (d) 4 février 2010 à 10:52 (CET)
cycle
modifierBonjour, j'étudie le cycle; j'ai vu un documentaire sur shaolin. Shaolin est une école d'arts martiaux chinoise traditionnelle. Un enseignant de cette école a dit que la nature s'éveille à 3h du matin. Est-ce vrai? Merci. --Francis Martin (d) 2 février 2010 à 17:07 (CET)
- Ah ton avis ? Que peut bien vouloir dire la nature se réveille à 3h ;-) ? --Epsilon0 ε0 2 février 2010 à 18:31 (CET)
- Absolument. Si ce n'est pas là, c'est ailleurs. Il est toujours 3 h du mat' quelque part. Morburre (d) 2 février 2010 à 18:54 (CET)
- Un petit tour sur
niquetamèreNycthémère est éclairant. Dhatier jasons-z-en 2 février 2010 à 19:21 (CET)- Je fais partie de la nature, et je ne m'éveille jamais à cette heure.--Hul Trasson (d) 3 février 2010 à 13:03 (CET)
- Moi, je ne savais même pas que cette heure existait ! Félix Potuit (d) 3 février 2010 à 13:29 (CET)
- C'est l'heure où je m'endors. Je ne suis pas naturel. Morburre (d) 3 février 2010 à 14:39 (CET)
- La nature s'éveille-t-elle deux fois la nuit du passage à l'heure d'hiver ? Blue [ -02- ] 3 février 2010 à 21:11 (CET)
- C'est l'heure où je m'endors. Je ne suis pas naturel. Morburre (d) 3 février 2010 à 14:39 (CET)
- Moi, je ne savais même pas que cette heure existait ! Félix Potuit (d) 3 février 2010 à 13:29 (CET)
- Je fais partie de la nature, et je ne m'éveille jamais à cette heure.--Hul Trasson (d) 3 février 2010 à 13:03 (CET)
- Un petit tour sur
- Absolument. Si ce n'est pas là, c'est ailleurs. Il est toujours 3 h du mat' quelque part. Morburre (d) 2 février 2010 à 18:54 (CET)
Merci. --Francis Martin (d) 3 février 2010 à 22:55 (CET)
Question de grammaire
modifierBonjour, ma question concerne la différence grammaticale entre je suis parti et je suis guéri. Sachant que parti est participe passé, quelle est la nature de guéri ? Bourrichon 2 février 2010 à 20:30 (CET)
- Post Scriptum : J'ai une question subsidiaire. Peut-on parler « du verbe être guéri » ou doit-on dire « le verbe être » ? Merci d'avance. Bourrichon 2 février 2010 à 20:37 (CET)
- Bin dans votre exemple le verbe est guérir, aucune différence avec parti, c'est un participe passé dans les 2 cas. (Mitch)2 2 février 2010 à 20:49 (CET)
- Pas tout à fait. Guéri est ici un participe passé, mais utilisé comme un adjectif épithète. Si l'on veut une construction avec un pur participe passé, il faut employer l'auxiliaire avoir : "J'ai guéri". Mais nous avons d'éminents grammairiens parmi les pythies. gede (d) 2 février 2010 à 20:52 (CET)
- (conflit d'édition bienvenu pour une fois). Épithète pas ! Bonjour Bourrichon. Selon le Petit Robert 2008, guéri est employé comme adjectif depuis le XVIIe siècle. C'est donc son sens ici, alors que dans « j'ai guéri quelqu'un avec ma pommade miracle », il est participe passé. Analyse de je suis guéri : je (pronom personnel, sujet de suis), suis (verbe être, première personne du singulier du présent de l'indicatif), guéri (adjectif qualificatif, attribut du sujet je), si je me rappelle correctement ce que j'ai appris il y a quelques décennies (cinq déjà ? ). Cordialement. Père Igor (d) 2 février 2010 à 21:06 (CET)
- Voilà, une construction parallèle à je suis guéri serait je suis beau. Ça n’est pas une conjugaison du verbe guérir. C’est intéressant d’ailleurs de constater qu’on ne peut pas (en français) dire ça en conjuguant un verbe.
- Je suis impatient de lire Félix. rv1729 2 février 2010 à 21:27 (CET)
- (conflit d'Edith : si tu ne m'avais pas interrompu, tu aurais déjà la réponse). Donc :Bien qu'ayant l'esprit particulièrement brumeux ce soir, je dirais pareil. A remarquer que le verbe partir se conjugue avec l'auxiliaire être, alors que le verbe guérir se conjugue avec l'auxiliaire avoir. On peut dire "je suis parti hier à 18h30", mais pas "je suis guéri hier à 18h30" (il faudrait dire "j'ai guéri", à supposer que cette guérison miracle soit confirmée, ou encore : "je suis guéri depuis hier à 18h30). Donc "je suis parti" est un passé composé, mais "je suis guéri" est un présent (d'un point de vue sémantique, indiquant un aspect résultatif). Il y a d'autres cas où la différence est plus subtile, mais je n'en ai pas en tête pour le moment. Peut-être "je suis mort", qui peut s'interpréter, soit comme un passé composé (je suis mort ce matin), soit comme un présent (je suis « à l'état de » mort). Enfin, non, je ne suis pas encore mort, alors disons "il est mort". Bonne nuit. Félix Potuit (d) 2 février 2010 à 21:33 (CET)
- Je vous rappelle qu'une juge est toujours présente, parce qu'on ne peut pas être juge et partie. Morburre (d) 2 février 2010 à 22:18 (CET) Moi, je suis déjà parti.
- Je suis malade mais espère être guérie dans quelques jours. Je devrais avoir guéri de mon rhume sans qu'un médecin n'aie dû me guérir. --Égoïté (d) 2 février 2010 à 23:14 (CET)
- J'aurais plutôt dit « n'aie à me guérir ». Agrafian (me parler) 2 février 2010 à 23:17 (CET)
- Ou : « n'aie eu à me guérir » Bon rétablissement (mieux vaut aller au moulin qu'au médecin). Félix Potuit (d) 3 février 2010 à 08:05 (CET)
- Je suis toujours malade mais ne suis plus la seule : « sans qu'un médecin n'aiT eu... » --Égoïté (d) 3 février 2010 à 08:46 (CET)
- Bien vu ! mais j'ai encore mieux : Je suis toujours malade mais ne suis plus la seule : « sans qu'un médecin ait eu... » Mistig (d) 3 février 2010 à 12:45 (CET)
- Non, le "ne" de "n'ait" est explétif, c'est correct. Désolé pour le "-e" de "ait", à force de lire des fautes d'orthographe sur Wikipédia, on n'arrive plus à écrire trois mots sans devoir vérifier dans un bouquin. C'est le nivèlement par le bas. Et nivèlement est correct. Félix Potuit (d) 3 février 2010 à 12:58 (CET)
- Non, un explétif par définition est inutile. Dans ce cas, il est d'ailleurs proscrit par Girodet. Vous confondez avec la semi-négation "ne" qui indique une appréhension de l'événement qui est évoqué et susceptible de survenir (latinisme devenu gallicisme)._ Mistig (d) 3 février 2010 à 17:31 (CET)
- J'en profite pour signaler que Rectifications orthographiques du français en 1990 a drôlement bien évolué ! --Égoïté (d) 3 février 2010 à 16:14 (CET)
- Si un explétif est "inutile", cela ne veut pas dire qu'il ne doit pas être utilisé, mais que son utilisation est affaire de nuance et de choix du locuteur. L'article Explétif indique bien que certains cas sont tangents. Félix Potuit (d) 4 février 2010 à 13:26 (CET)
- J'en profite pour signaler que Rectifications orthographiques du français en 1990 a drôlement bien évolué ! --Égoïté (d) 3 février 2010 à 16:14 (CET)
- Bien vu ! mais j'ai encore mieux : Je suis toujours malade mais ne suis plus la seule : « sans qu'un médecin ait eu... » Mistig (d) 3 février 2010 à 12:45 (CET)
- Je suis toujours malade mais ne suis plus la seule : « sans qu'un médecin n'aiT eu... » --Égoïté (d) 3 février 2010 à 08:46 (CET)
- Ou : « n'aie eu à me guérir » Bon rétablissement (mieux vaut aller au moulin qu'au médecin). Félix Potuit (d) 3 février 2010 à 08:05 (CET)
- J'aurais plutôt dit « n'aie à me guérir ». Agrafian (me parler) 2 février 2010 à 23:17 (CET)
- Je suis malade mais espère être guérie dans quelques jours. Je devrais avoir guéri de mon rhume sans qu'un médecin n'aie dû me guérir. --Égoïté (d) 2 février 2010 à 23:14 (CET)
- Je ne m'étais jamais aperçu que le participe passé du verbe "mourir" était "mort" !! Quand je pense à un participe passé, je vois plutôt des terminaisons en -é, -i, -is, -it, -u, -eint. Existe-t-il d'autres verbes qui ont un participe passé « exotique » ? Blue [ -02- ] 3 février 2010 à 00:15 (CET)
- clos, né, absous, mû, ouï, haï, ouvert Dhatier jasons-z-en 3 février 2010 à 02:37 (CET)
- Le plus rigolo étant probablement tissu (ppé du verbe tistre) qui permet des phrases comme « ces réponses sont tissues d'érudition » (noter l'accord du participe passé, dans ce cas). Biem (d) 3 février 2010 à 07:30 (CET)
- Alors que certains articles de Wikipédia ne sont que tissu de c...ies. Félix Potuit (d) 3 février 2010 à 08:01 (CET)
- C'est mal de taper les gens au tapis.Eystein (d) 3 février 2010 à 16:57 (CET)Eystein (d) 3 février 2010 à 16:57 (CET)
- Alors que certains articles de Wikipédia ne sont que tissu de c...ies. Félix Potuit (d) 3 février 2010 à 08:01 (CET)
- Le plus rigolo étant probablement tissu (ppé du verbe tistre) qui permet des phrases comme « ces réponses sont tissues d'érudition » (noter l'accord du participe passé, dans ce cas). Biem (d) 3 février 2010 à 07:30 (CET)
- clos, né, absous, mû, ouï, haï, ouvert Dhatier jasons-z-en 3 février 2010 à 02:37 (CET)
- Je vous rappelle qu'une juge est toujours présente, parce qu'on ne peut pas être juge et partie. Morburre (d) 2 février 2010 à 22:18 (CET) Moi, je suis déjà parti.
- (conflit d'Edith : si tu ne m'avais pas interrompu, tu aurais déjà la réponse). Donc :Bien qu'ayant l'esprit particulièrement brumeux ce soir, je dirais pareil. A remarquer que le verbe partir se conjugue avec l'auxiliaire être, alors que le verbe guérir se conjugue avec l'auxiliaire avoir. On peut dire "je suis parti hier à 18h30", mais pas "je suis guéri hier à 18h30" (il faudrait dire "j'ai guéri", à supposer que cette guérison miracle soit confirmée, ou encore : "je suis guéri depuis hier à 18h30). Donc "je suis parti" est un passé composé, mais "je suis guéri" est un présent (d'un point de vue sémantique, indiquant un aspect résultatif). Il y a d'autres cas où la différence est plus subtile, mais je n'en ai pas en tête pour le moment. Peut-être "je suis mort", qui peut s'interpréter, soit comme un passé composé (je suis mort ce matin), soit comme un présent (je suis « à l'état de » mort). Enfin, non, je ne suis pas encore mort, alors disons "il est mort". Bonne nuit. Félix Potuit (d) 2 février 2010 à 21:33 (CET)
- Pas tout à fait. Guéri est ici un participe passé, mais utilisé comme un adjectif épithète. Si l'on veut une construction avec un pur participe passé, il faut employer l'auxiliaire avoir : "J'ai guéri". Mais nous avons d'éminents grammairiens parmi les pythies. gede (d) 2 février 2010 à 20:52 (CET)
- Bin dans votre exemple le verbe est guérir, aucune différence avec parti, c'est un participe passé dans les 2 cas. (Mitch)2 2 février 2010 à 20:49 (CET)
Merci à tous et toutes pour vos réponses et pour votre humour Bourrichon 3 février 2010 à 22:51 (CET)
Décor monumental de l'autoroute de l'Ouest
modifierBonsoir, au triangle de Rocquencourt, il y a une sorte de terrasse. Sur Géoportail (accessible depuis la page triangle de Rocquencourt) on la distingue bien, elle est entre la voie allant à Bois-d'Arcy en venant de Paris et celle venant de Bois-d'Arcy et allant vers Rouen C'est sans doute l'amorce d'un décor évoqué par Laurence Bertrand Dorléac dans sa réédition en 2009 de son ouvrage: « L'Art de la Défaite », Seuil, page 142 : Le seul projet monumental sérieusement programmé fut un ensemble gréco-romain destiné à l'autostrade de l'Ouest.... Qui aurait des informations sur ce projet ? Merci. Philippe Nusbaumer (d) 2 février 2010 à 22:41 (CET)
- bonjour http://forum.sara-infra.com/viewtopic.php?t=1328 donne quelques indicationsBb98 (d) 4 février 2010 à 01:54 (CET)
Tic ? Toc ?
modifierGracieux Oracle, voici ma requête. Y a t-il un nom particulier pour ce tic horripilant (chez les autres) qui consiste, lorsqu'on est en position assise, à agiter frénétiquement une ou les deux jambes, en permanence ou par intermittences, et ce sans aucune raison valable ? J'ai cru remarquer (mais je peux me tromper) que ce tic concerne plus fréquemment les jeunes mâles. Ce tic est-il un TOC ? Y a-t-il (no bandeau, please) un conseil quelconque à donner à ceux qui en sont affligés, à part d'aller s'asseoir plus loin ? Merci, suave Oracle. Félix Potuit (d) 3 février 2010 à 08:15 (CET)
- Voir aussi 'Syndrome des jambes sans repos' et Akathisie (mais, je ne suis pas spécialiste). -- Xofc [me contacter] 3 février 2010 à 08:29 (CET)
- Ce n'est pas ça. gem (d) 3 février 2010 à 09:59 (CET)
- De mon point de vue ça n'a rien d'un tic, et ce n'est pas non plus un TOC (on fait ça sans y penser, contrairement à un TOC qui est une réponse à une pensée).
- A moins de considérer la danse comme un tic : l'un comme l'autre sont des mouvements compulsifs rythmés, procurant une satisfaction (un défoulement) à celui qui s'y livre...
- gem (d) 3 février 2010 à 09:59 (CET)
- La danse, un mouvement compulsif ?!
- Sur un air de flûte à six schtroumpfs, alors. rv1729 3 février 2010 à 10:06 (CET)
- Ben si ce n'est ni un tic, ni un toc, c'est quoi, alors ? La danse de Saint-Guy ? Félix Potuit (d) 3 février 2010 à 13:00 (CET) J'ai essayé d'agiter volontairement la jambe comme un de ces frénétiques, eh bien je n'y arrive pas ! Félix Potuit (d) 3 février 2010 à 13:02 (CET)
- Rien à voir, mais ça me rappelle que dans les studios de télé d'avant, ils mettaient des sièges tournants et les invités tournaient — compulsivement — de gauche à droite et de droite à gauche. Maintenant ils mettent plutôt le genre tabouret de bar haut perché, si tu bouges tu te casses la gueule, ça calme (enfin, il me semble, je ne regarde pas trop la télé). Morburre (d) 3 février 2010 à 14:37 (CET)
- Ben si ce n'est ni un tic, ni un toc, c'est quoi, alors ? La danse de Saint-Guy ? Félix Potuit (d) 3 février 2010 à 13:00 (CET) J'ai essayé d'agiter volontairement la jambe comme un de ces frénétiques, eh bien je n'y arrive pas ! Félix Potuit (d) 3 février 2010 à 13:02 (CET)
- Ce n'est ni un tic ni un TOC, mais un syndrome (goûte la différence héhé ), cad un ensemble de symptôme dont la cause est mal déterminée (mais pas idiopathique, corrigez-moi s'il le faut). Cela ne se soigne pas, mais on peut tenter de palier les désagréments que cela implique avec des tranquillisants, ou des neuroleptiques il me semble.
Félix, si tu souhaites de plus amples renseignements, je te conseille de consulter ceci : http://www.sjsr.fr/ . .Anja. (d) 3 février 2010 à 15:23 (CET)- J'ai regardé le site, mais ils n'ont pas l'air de savoir grand chose sur le sujet. Moi, ce qui me frappe, c'est la façon de bouger les jambes, de façon rythmique, répétitive, obsessionnelle. Ce ne sont pas juste des mouvements involontaires désordonnés. Et je n'ai pas remarqué ce "syndrome" jusqu'à présent chez les femmes, mais bien plutôt chez des jeunes hommes. Dans le métro, par exemple, ou au restaurant. On a vraiment envie de leur dire "t'arrêtes, maintenant, ou je te mets une claque !" Je me demande jusqu'à quel point ils sont conscients de leur problème. Félix Potuit (d) 3 février 2010 à 18:14 (CET)
- Sans vouloir faire mon malin, je trouve que votre agaçement semble bien plus inquiétant que le comportement que vous décrivez... Chacun est quand même libre de bouger ses jambes comme il l'entend non? Arnaudus (d) 3 février 2010 à 18:31 (CET)
- Certe. Mais si tu dis ça, c'est que tu n'as jamais réellement connu quelqu'un qui a ce genre de tics. C'est horripilant. Agrafian (me parler) 3 février 2010 à 18:35 (CET)
- Horripilant, je ne sais pas, mais Sharon Stone dans Basic instinct...Tudieu, que ça
exciteénerve ! Mériterait bien une petite claque, tiens ! ----Patschw (d) 3 février 2010 à 19:52 (CET)
- Sans vouloir faire mon malin, je trouve que votre agaçement semble bien plus inquiétant que le comportement que vous décrivez... Chacun est quand même libre de bouger ses jambes comme il l'entend non? Arnaudus (d) 3 février 2010 à 18:31 (CET)
- J'ai regardé le site, mais ils n'ont pas l'air de savoir grand chose sur le sujet. Moi, ce qui me frappe, c'est la façon de bouger les jambes, de façon rythmique, répétitive, obsessionnelle. Ce ne sont pas juste des mouvements involontaires désordonnés. Et je n'ai pas remarqué ce "syndrome" jusqu'à présent chez les femmes, mais bien plutôt chez des jeunes hommes. Dans le métro, par exemple, ou au restaurant. On a vraiment envie de leur dire "t'arrêtes, maintenant, ou je te mets une claque !" Je me demande jusqu'à quel point ils sont conscients de leur problème. Félix Potuit (d) 3 février 2010 à 18:14 (CET)
Merci .Anja.n, j'ai lu l'article en question. Mon épouse souffre de ce mal depuis 2 ans, j'avais espéré qu'une intervention chirurgicale (méningiome dans la colonne vertébrale) subie il y a 15 mois aurait simultanément résolu ce problème très gênant pour elle et pour les autres. J'avais perdu de vue quelques conseils d'hygiène alimentaire que je vais l'obliger à reprendre (le café par exemple). La dose de médicament qu'elle prend semble ne plus suffire certains jours, faudrait que je me souvienne du nombre de tasses bues ces jours là. Tous les autres points sont négatifs, pas de carences en fer, personne dans sa famille ne souffre de cela. De toute façon, cela ne m'a pas fait de tort de relire cet article. Le fait se lever à tout bout de champs ou de recevoir des coups de pieds incontrôlés la nuit est assez difficile à vivre au quotidien. --Kkbs (d) 4 février 2010 à 06:28 (CET)
- Les coups de pied incontrôlés la nuit, ça m'arrive aussi parfois (en état de semi-conscience, généralement). Je conçois que ça puisse être déplaisant pour le conjoint, ou la personne quelle qu'elle soit qui partage la couche et reçoit un grand coup de pied dans le derrière ou dans les tibias au moment où elle s'y attend le moins. Mais je ne parlais pas de ce genre de mouvement involontaire, comme indiqué plus haut. Félix Potuit (d) 4 février 2010 à 08:30 (CET)
Je vois très bien de quoi tu parle Félix : je "pratique" ce mouvement qui a l'air de t'énerver particulièrement, et je m'en excuse. Pour moi ce n'est ni un tic, ni un toc, simplement une habitude gestuelle comme le fait de croiser les bras ou de mettre les mains dans ses poches.
Cependant, chose amusante avec ce mouvement c'est qu'il est presque automatique, quand tu appuie l'avant du pied au sol et que tu leve le talon en position assise : je suppose que ça doit appuyer sur un nerf qui provoque la contraction du muscle.
Et malgré tes irritations à ce sujet , pardonne nous notre comportement, ce mouvement ayant son utilité : quand tu reste assis au moins deux heures dans une salle de cours, ca évite les fourmis et ca déstress un peu.
Salutation
- Ces mouvements machinaux sont en effet réputés faire baisser la fréquence cardiaque et faciliter la concentration. Je n’ai pas de référence, j’ai dû lire ça y a 20 ans... rv1729 7 février 2010 à 21:10 (CET)
estimation sur la valeur 1 bouteille de champagne moet et chandon vintage cuvé1971
modifierbonjour pourriez vous svp me donner un ordre de prix car je voudrai vendre 1 bouteille de champagne moet et chandon cuvée don pérignon vintage 1971 merci par avance.
isabelle
- bouteille "deluxe Dom perignon 1971" côtée 350 livres sterling par les compagnies d'assurances britannique en juin 2009 [9]. Après , si c'est pour la revendre, cela répond à la loi de l'offre et de la demande. Seul un collectionneur de telles bouteilles fera une offre à son prix : un amateur de champagne (dans le sens "qui va vouloir boire ce qu'il achète") n'achètera jamais une telle bouteille pour la simple raison qu'un champagne de 40 ans en bouteille est tout simplement dégueu. --Cobra Bubbles Dire et médire 3 février 2010 à 15:16 (CET)
- Euh, c'est quoi l'intérêt pour les compagnies d'assurance de coter la bouteille de champagne ? <ironie>On souscrit une assurance-vie, on leur donne ses bouteilles, et une fois enrichis, le pdg vient à ton enterrement et on sabre le champagne sur ta tombe ? </ironie> .Anja. (d) 3 février 2010 à 15:26 (CET)
- En fait le monsieur explique que le deluxe dom Perignon 71 est toujours vendu par le producteur, à ce prix là. La question est posée par quelqu’un qui a perdu une bouteille de champ’ dans un sinistre. rv1729 3 février 2010 à 23:29 (CET)
- Euh, c'est quoi l'intérêt pour les compagnies d'assurance de coter la bouteille de champagne ? <ironie>On souscrit une assurance-vie, on leur donne ses bouteilles, et une fois enrichis, le pdg vient à ton enterrement et on sabre le champagne sur ta tombe ? </ironie> .Anja. (d) 3 février 2010 à 15:26 (CET)
- … pour évaluer une ancienne bouteille de vin (plus de 10 ans et quel qu'il soit), il faut avoir un certain nombre de garanties, particulièrement quant à sa conservation. Outre le rapport de confiance entre le vendeur et l'acquéreur (il y a beaucoup de fraudes dans ce domaine), il faut que la bouteille ait été conservée dans une hydrométrie précise, une température donnée constante, un angle de couche bien calculé. Déjà, si vous avez acheté votre "précieux" même s'il y a 50 ans au supermarché du coin, ces critères annulent toute possibilité de surenchère. Idem si votre cave est un bout du fond du garage, même avec un sol en terre. Seuls quelques endroits spécifiques bien particuliers permettent la conservation optimum plus de 5/10 ans de bouteilles de qualité. Alors, buvez-les. — Hautbois [canqueter] 4 février 2010 à 06:39 (CET)
Un bien curieux casse-tête !
modifierBonjour et longue vie à Wikipedia !
Je ne suis pas physicien, aussi, je me permets de soumettre à la sagacité des internautes compétants un bien curieux casse-tête. Tout d’abord, il est nécessaire d’endosser quelques postulats. Que celui qui refuse l’un de ces postulats évidemment bien critiquables ne perde pas son temps à donner une réponse…
- La Bible est lue à la lettre et ne supporte aucune interprétation.
- Les miracles existent tels qu’ils sont exposés dans la Bible.
- Les miracles répondent strictement aux lois de la physique.
- Les miracles sont dits “miracles” en ce sens où leur probabilité de réalisation est infinitésimale.
- Nos connaissances actuelles en physique sont suffisantes pour expliquer les trois miracles suivants :
- Transformation de l’eau en vin aux noces de Canna
- Ouverture de la mer Rouge lors de l’Exode
- Possibilité pour un homme de marcher sur l’eau
Deux dernières petites choses : d’une part, j’ai été frappé d’apprendre que ma main peut passer au travers d’un mur, dans la mesure où la matière est essentiellement vide, le noyau atomique étant extrêmement petit face à l’atome dans son entier. Dans l’article scientifique que j’ai lu, il n’y aurait là qu’une question de probabilité… Enfin, je serais heureux que mon intuition “philosophique” sur cette question de probabilités infinitésimales puisse se valider selon une analyse scientifique sur la question des trois miracles que j’ai choisi de soumettre à votre sagacité.
Avec mes remerciements anticipés, nf.
- J'aimerais bien comprendre où est votre question là dedans… Agrafian (me parler) 3 février 2010 à 15:58 (CET)
En effet, je n'ai peut-être pas été très clair, et je m'en excuse. Voilà tout simplement, comment expliquer par les seules lois de la physique les trois miracles ci-dessus compte tenu des postulats énoncés ? Avec mes remerciements, nf
- Vos postulat sont logiquement contradictoires : il n'y a donc rien à expliquer. Un miracle est, en effet, par définition, un "fait positif extraordinaire, en dehors du cours naturel des choses, que le croyant attribue à une intervention divine providentielle" (TLFI), et c'est ainsi qu'ils sont présentés par la bible (postulat n°2). Cette définition est contradictoire avec la définition implicite à vos postulat n°3 et 4, qui en fait des événements que les lois de la physique autorisent, quoiqu'elles en rendent l'éventualité fortement improbable. Soit un miracle est ce qu'en dit la Bible, une intervention divine qui défie les lois de physique ; soit il n'est pas ce qu'en dit la Bible, mais un simple événement physiquement possible, que l'on peut expliquer rationnellement. Si l'on suit cette dernière manière de voir, en relâchant par conséquent vos postulats 1 et 2, on rentre alors dans un monde d'hypothèses que je juge les plus inintéressantes les unes que les autres, tout simplement parce que la matérialité des événements qu'elles cherchent à expliquer est douteuse. Nous n'avons aucune preuve historique par exemple de la présence du peuple hébreux en Égypte, et tout porte à croire que l'exode n'a pas existé. Essayer d'expliquer quelque chose qui n'a pas eu lieu me semble un mode de raisonnement étrange. gede (d) 3 février 2010 à 16:44 (CET)
- Mer rouge : Marée exeptionnelle ? Marcher sur l'eau : hyper salinité rendant le corps plus hors de l'eau que dans de l'eau de mer ? L'eau en vin : tour de passe passe, moi je sais mettre un poisson rouge dans l'eau y ajouter de l'encre, et resortir le poisson vivant sans tache.. alors de l'eau en vin c'est un peu pareil ? Eystein (d) 3 février 2010 à 16:45 (CET)
- Il est difficile, en effet, d'accepter les postulats proposés. Il semble que vous confondiez Coran et Nouveau Testament. Ce dernier a été choisi parmi les textes les plus contemporains et les plus neutres. Ce qui n'exclut pas une certaine naïveté des témoins de l'époque, même les plus dignes de foi et les plus inspirés. Ils n'étaient que de simples humains. Des faits peuvent s'expliquer mais d'autres ont certainement été enjolivés. Quant à l'Ancien Testament, on s'éloigne souvent de l'aspect historique... Mistig (d) 3 février 2010 à 17:21 (CET)
- Gamow explique, si je me souviens bien, qu'il est possible que toutes les molécules d'air de cette pièce se précipitent soudain toutes ensemble dans l'un de ses coins, en vous laissant suffoquer sur votre chaise ; seulement, la probabilité pour que cela arrive est si ridicule que ça ne vaut même pas la peine d'en parler. Pour ce qui est de la Bible, je ne pense pas qu'il faille se casser la tête la-dessus, ce sont de jolies histoires, c'est tout. Personne ne prend la peine de se demander s'il est physiquement vraisemblable que le Chat Botté fasse des bonds de sept lieues, mais tout le monde aime bien écouter l'histoire du Chat Botté. On peut toujours trouver à l'origine un phénomène physique qui a engendré l'histoire, laquelle a ensuite crû et embelli. Félix Potuit (d) 3 février 2010 à 18:22 (CET)
- Je radote, mais bon : toute tentative de justifier ou d'expliquer une légende par un fait réel est vouée à l'échec dans 90 % des cas (statistiques non sourcées). Morburre (d) 3 février 2010 à 18:55 (CET)
Il me semble que changer l'eau en vin était une pratique courante à l'époque; En effet, les vins romains étaient particulièrement fort, et il était habituel de diluer le vin dans une amphore.
Mais, malgrés la faisabilité de ce "miracle", je doute encore plus de la réalisation de ce dernier que des autres. En effet, vous croyez vraiment qu'un gars qui arrive à changer de l'eau en vin ne serait suivi que par 13 autres gugusse apôtres?!? bonjourc
- Treize gugusses ? Qui est le treizième ? Agrafian (me parler) 3 février 2010 à 20:26 (CET)
- Le compte n’y est pas, j’en vois 14. rv1729 3 février 2010 à 20:48 (CET)
- Pour le passage de la mer rouge, il y en a aussi pour évoquer un retrait des eaux consécutif à un séisme sous-marin, voir en:Thera#Speculation on an Exodus connection. Marcher sur l'eau et changer l'eau en vin, ça ne répond pas à la question mais j'aime beaucoup ce dessin humoristique. — Jérôme 3 février 2010 à 20:50 (CET)
- On dispose aujourd'hui d'un faisceau de preuves qui permettent d'affirmer qu'il n'y a pas eu d'Exode, et donc pas davantage de passage de la Mer rouge. Je trouve donc plaisante cette pseudo scientificisation du mythe -puisque cela en est un- qui consiste à lui trouver des causes physiques le rendant plausible. C'est un peu comme si nous dissertions sur les moyens par lesquels Zeus put se transformer en pièces d'or pour engrosser Danaé. Le ridicule est tel que nul n'y songe. Mais quand il s'agit de la Bible, la licence semble entière de se livrer à cet exercice. gede (d) 3 février 2010 à 21:46 (CET)
- Peut-être regarde-t-on avec plus d'intérêt les mythes fondateurs de sa propre société que ceux des autres, même lorsque l'on a cessé de croire à ces mythes. — Jérôme 3 février 2010 à 23:06 (CET)
- Mais il est vrai que continuer d'interroger la Bible a ceci d'énervant que cela donne l'impression que ce sont les seuls mythes de création du monde qui vaillent la peine d'être commentés et discutés, et continue de mettre sur un piédestal les religions abrahamiques ; un peu comme la question de « l'existence de Dieu » est fondamentalement chrétienne dans sa formulation et réduit l'interrogation à la vision chrétienne du débat, ceci même lorsque l'un des participants argumente sur la négative. — Jérôme 3 février 2010 à 23:06 (CET)
- D'autant que dans la famille Dieu, on discute paraît-il passionnément[réf. nécessaire] de l'existence de l'homme. Félix Potuit (d) 4 février 2010 à 08:34 (CET)
- Mais il est vrai que continuer d'interroger la Bible a ceci d'énervant que cela donne l'impression que ce sont les seuls mythes de création du monde qui vaillent la peine d'être commentés et discutés, et continue de mettre sur un piédestal les religions abrahamiques ; un peu comme la question de « l'existence de Dieu » est fondamentalement chrétienne dans sa formulation et réduit l'interrogation à la vision chrétienne du débat, ceci même lorsque l'un des participants argumente sur la négative. — Jérôme 3 février 2010 à 23:06 (CET)
- Peut-être regarde-t-on avec plus d'intérêt les mythes fondateurs de sa propre société que ceux des autres, même lorsque l'on a cessé de croire à ces mythes. — Jérôme 3 février 2010 à 23:06 (CET)
- On dispose aujourd'hui d'un faisceau de preuves qui permettent d'affirmer qu'il n'y a pas eu d'Exode, et donc pas davantage de passage de la Mer rouge. Je trouve donc plaisante cette pseudo scientificisation du mythe -puisque cela en est un- qui consiste à lui trouver des causes physiques le rendant plausible. C'est un peu comme si nous dissertions sur les moyens par lesquels Zeus put se transformer en pièces d'or pour engrosser Danaé. Le ridicule est tel que nul n'y songe. Mais quand il s'agit de la Bible, la licence semble entière de se livrer à cet exercice. gede (d) 3 février 2010 à 21:46 (CET)
Bonjour et longue vie à Wikipedia !
J’ai le regret de constater que l’étiquette dite du « 42 » m’a été accordée à bien juste titre ! En effet, aucun des épanchements ci-dessus ne répond à ma question. J'en conclus qu'elle est très mal formulée !
- Il n’est pas question de remettre en cause les postulats, sinon, la question n’a plus d’intérêt
- Je n’ai jamais affirmé que je fais miens les postulats énoncés
Dès lors, pourquoi poser un tel casse tête ? Tout simplement par curiosité encyclopédique. Je regrette de n’avoir eu aucune réponse en terme de physique quantique ou autre. Ainsi donc, je crois que je vais me contenter de la réponse ultime, le « 42 ».
Bien à vous, nf.
- En termes physiques tout est possible avec une probabilité tellement ridicule qu’il faudrait qu’il s’écoule un temps des milliards de milliards de milliards (etc) de fois plus long que l’âge de l’Univers pour que ça arrive un jour.
- Les molécules d’eau se déplacent, elles « peuvent » par chance se déplacer pour ouvrir un chenal (voir également Théorème de récurrence de Poincaré) ; elles « peuvent » aussi créer un tension superficielle anormalement élevée, et permettre de marcher sur les eaux ; pour la transmutation de l'eau en vin, c’est un peu plus dur, il faut réarranger les noyaux atomiques, ça devrait être salement exothermique... mais je manque peut-être d’imagination. Je t’avoue que la question ne me paraît avoir aucun intérêt. rv1729 4 février 2010 à 10:40 (CET)
- Si on part du principe qu'on fait une interprétation parfaitement littéral du texte, il faut admettre que tout ce que le texte n'interdit pas explicitement est autorisé, dès lors ça ouvre des quantité de possibilités ; par exemple que "dieu" est une famille d'extraterrestre dont la terre est la propriété exclusive (Cf. Les Foudres d'Hypsis), qui dispose de la Kolossale énergie nécessaire pour réaliser quelques miracles comme la lévitation ou la création d'un méchant jet d'eau susceptible de soutenir un homme (ça c'est banal !) ou ouvrir un chemin dans une masse d'eau (là c'est déjà plus exigeant...). La chimie conduisant de l'eau à l'alcool (+ divers mlécules aromatique typique du vin) est un peu longue, mais là encore avec de l'énergie tout devient possible. gem (d) 4 février 2010 à 13:01 (CET)
- Justement, et c'est mon problème avec cette question, si on fait une lecture littérale du texte, elle n'a pas de sens. Dans le texte, Dieu fait des choses surnaturelles, hors de ce qui est physiquement possible : c'est la définition même d'un miracle. La question n'a donc strictement aucun sens. Si maintenant on veut savoir comment on pourrait réaliser, dans le cadre des lois physiques existantes, les événements décrits dans la Bible, on sort d'une lecture littéraliste, pour rentrer dans cette scientificisation ridicule du discours biblique, par laquelle certains croyants, dans une époque fondamentalement positiviste, tentent de se persuader et de persuader les autres de la vraisemblance du discours biblique. Le comble pour moi est atteint par ceux qui s'efforcent de trouver une légitimation scientifique aux interdits religieux, comme l'interdiction de la consommation de cochon ou de vin. Par ailleurs, si j'étais croyant, je trouverais cela parfaitement sacrilège : c'est ne pas croire à ce qu'est Dieu, et à ce qu'il peut faire, et c'est ne pas s'interroger sur le message proprement religieux de ses interdits comme de ses actions. Pour moi, ce type de questionnement témoigne d'une époque de béotiens, qui se refusent à ce que le message religieux porte vraiment. Pour le reste, mes camarades ont répondu. gede (d) 4 février 2010 à 13:27 (CET)
- m'enfin, il est bien connu que la magie et le surnaturel ne se distingue pas d'une technique assez évoluée, quoiqu'entièrement fondée sur la physique. Appuyer sur un bouton et faire la lumière à plusieurs mètres de là, c'est assez magique, comme peut l'être l'imposition des mains (munies d'électrodes adéquates...) pour faire remarcher un coeur qui vient de s'arrêter. La question de savoir comment, techniquement, on pourrait vraiment réaliser ce qui est décrit comme miraculeux est parfaitement sensé et même très intéressante. Idem la recherche de justification scientifique à des interdits religieux : les croyances sont soumise à la sélection naturelle, et celles qui tombent (par hasard) sur une conclusion qu'on peut scientifiquement fonder ont certainement plus de chances d'être transmises et sédimentée en prescriptions religieuses, que des élucubrations contraire à la réalité physique du monde, non ?
- gem (d) 4 février 2010 à 15:57 (CET)
- La question ne porte pas sur les moyens techniques de réaliser ces prodiges, mais sur la possibilité physique de leur réalisation « spontanée » quoiqu’improbable. rv1729 4 février 2010 à 16:07 (CET)
- Justement, et c'est mon problème avec cette question, si on fait une lecture littérale du texte, elle n'a pas de sens. Dans le texte, Dieu fait des choses surnaturelles, hors de ce qui est physiquement possible : c'est la définition même d'un miracle. La question n'a donc strictement aucun sens. Si maintenant on veut savoir comment on pourrait réaliser, dans le cadre des lois physiques existantes, les événements décrits dans la Bible, on sort d'une lecture littéraliste, pour rentrer dans cette scientificisation ridicule du discours biblique, par laquelle certains croyants, dans une époque fondamentalement positiviste, tentent de se persuader et de persuader les autres de la vraisemblance du discours biblique. Le comble pour moi est atteint par ceux qui s'efforcent de trouver une légitimation scientifique aux interdits religieux, comme l'interdiction de la consommation de cochon ou de vin. Par ailleurs, si j'étais croyant, je trouverais cela parfaitement sacrilège : c'est ne pas croire à ce qu'est Dieu, et à ce qu'il peut faire, et c'est ne pas s'interroger sur le message proprement religieux de ses interdits comme de ses actions. Pour moi, ce type de questionnement témoigne d'une époque de béotiens, qui se refusent à ce que le message religieux porte vraiment. Pour le reste, mes camarades ont répondu. gede (d) 4 février 2010 à 13:27 (CET)
- Si on part du principe qu'on fait une interprétation parfaitement littéral du texte, il faut admettre que tout ce que le texte n'interdit pas explicitement est autorisé, dès lors ça ouvre des quantité de possibilités ; par exemple que "dieu" est une famille d'extraterrestre dont la terre est la propriété exclusive (Cf. Les Foudres d'Hypsis), qui dispose de la Kolossale énergie nécessaire pour réaliser quelques miracles comme la lévitation ou la création d'un méchant jet d'eau susceptible de soutenir un homme (ça c'est banal !) ou ouvrir un chemin dans une masse d'eau (là c'est déjà plus exigeant...). La chimie conduisant de l'eau à l'alcool (+ divers mlécules aromatique typique du vin) est un peu longue, mais là encore avec de l'énergie tout devient possible. gem (d) 4 février 2010 à 13:01 (CET)
Bonjour et longue vie à Wikipedia !
Je vous remercie de vos remarques constructives, RV et les autres. Votre réponse, RV, entre entièrement dans le champ de ma curiosité. Il apparaît pourtant que je dois préciser comme postulat supplémentaire, que la transmutation de l’eau en vin (ou autre) n’est ici pas conçue comme une opération surnaturelle, mais comme réaction chimique ou nucléaire. Vous me dites qu’il y aurait là quelque chose de fortement exogène. Pensez-vous à une explosion ? Si oui, pourquoi ?
Avec mes remerciements renouvelés, nf.
- Je vous l’ai dit, il faut réorganiser les noyaux atomiques : à partir d’hydrogène et d’oxygène, faire entre autres du carbone... bref, classiquement, c’est considéré comme impossible. J’imagine qu’il doit y avoir une probabilité nulle (mais pas tout à fait) pour que des noyaux atomiques se réarrangent, mais dans ce cas ça doit dégager de l’énergie. Il faudrait demander à quelqu’un qui s’y connait vraiment en méca Q. rv1729 5 février 2010 à 12:08 (CET)
Merci RV et bonne route sur les chemins de la connaissance ! Bien à vous, nf.
Dimensionnement en pompage
modifierBonjour grands oracles, pourriez vous m'aider à finaliser un projet de dimensionnement des équipements électromécaniques pour les systèmes d'adduction eau potable simplifié.En effet il ne s'agit pas de monter ce projet à ma place, ni de dimensionner tous ces équipements électromécaniques,mais plutôt vous demander quels sont les critères dont il faut tenir compte pour dimensionner1- les sources d'alimentation en énergie électrique telles que: groupe électrogène et transformateur pour alimenter le monobloc moteur-pompe immergée. 2- les câbles souterrains et immergés qui alimentent le monobloc moteur-pompe immergée. Merci d'avance!
- Je viens justement de parcourir rapidement un bouquin sur le sujet... Et, chance, il est en ligne : "Le pompage photovoltaïque" de l'IEPF. C'est très complet et compréhensible (et cela ne parle pas que de photovoltaïque). Côté pompage, les critères sont la hauteur de rejet et le débit journalier. En fonction de l'intermittence de l'alimentation électrique, il faut adapter le débit instantané et la capacité de stockage (dans le cas photovoltaïque, c'est une question jour/nuit et de jours nuageux; mais on peut concevoir de ne pas laisser tourner un groupe électrogène 24h/24. Ce bouquin est très intéressant, il discute entre autres des types de pompes et des types de moteurs. -- Xofc [me contacter] 4 février 2010 à 06:56 (CET)
Merci très infiniment grands oracles pour ce travail acompli en ma faveur!Que c'est très génial de votre part.
Crayon à papier
modifierBonjour ! Pourquoi, dans beaucoup de régions de France et d'ailleurs, dit-on crayon à papier ?
- Bonjour, je ne vois pas bien ce que vous espérez comme réponse. L’arbitraire du signe, Saussure, tout ça tout ça ?
- Pourquoi ne dirait-on pas « crayon à papier » ?
- J’ai le sentiment que cette question est celle de quelqu’un qui dit (comme mézigue) « crayon de papier » ; pourquoi dites-vous « crayon de papier » ? En quoi cette tournure nécessite-t-elle moins d’explications que l’autre ? Ce crayon n’est pourtant pas fait de papier ! rv1729 3 février 2010 à 23:05 (CET)
- Désignation redondante à la rigueur, ou inexacte (pn peut s'en servir sur autre chose que du papier), raison pour laquelle j'ai renommé l'article en crayon tout court. Le besoin de précision, dans la mesure où le terme crayon peut désigner n'importe quel instrument d'écriture : stylo bille, plume, feutre. Il y a un tas d'autres désignations selon les régions. Morburre (d) 3 février 2010 à 23:06 (CET)
- C’est un syntagme, il ne faut pas chercher à le décomposer. rv1729 3 février 2010 à 23:24 (CET)
- … moi, j'ai toujours dit (et dis toujours) "crayon de bois", plus exactement "crayon d'bois". Mais on trouve également ""crayon en bois", "crayon bois", "crayon noir", "crayon papier"… Syntagme : priez pour nous ! — Hautbois [canqueter] 4 février 2010 à 06:16 (CET)
- Je dirais que c'est pour la ressemblance avec « crayon de couleur ». Histoire que les deux expressions ne soient pas trop dépareillées. Et puis il ne faut pas non plus se limiter à considérer que la particule « de » indique nécessairement la matière. Devrait-on dire une « lampe à poche » et un « joint à culasse » ? Blue [ -02- ] 4 février 2010 à 08:16 (CET)
- Je n'ai pas l'impression que cette distinction existe dans d'autres langues. Morburre (d) 4 février 2010 à 09:01 (CET)
- Je dirais que c'est pour la ressemblance avec « crayon de couleur ». Histoire que les deux expressions ne soient pas trop dépareillées. Et puis il ne faut pas non plus se limiter à considérer que la particule « de » indique nécessairement la matière. Devrait-on dire une « lampe à poche » et un « joint à culasse » ? Blue [ -02- ] 4 février 2010 à 08:16 (CET)
- Eh si ! Le crayon de papier existe bel et bien : [10]. Agrafian (me parler) 4 février 2010 à 09:17 (CET) Celui-là, je l'aime beaucoup : les voies vertigineuses de l'écologisme ambiant. Tu prends du bois, tu le transformes d'abord en papier, et avec ce papier tu fais du papier recyclé et avec le papier recyclé et de la colle pour que ça tienne et plein de peinture ou d'encre parce que le crayon écolo en papier est toujours un objet publicitaire, l'écolo c'est porteur coco, tu fais un un crayon évidemment plus écolo et plus biodégradable qu'un bête crayon en bois. Youpi ! Morburre (d) 4 février 2010 à 09:35 (CET)
- ou bien Graf von Faber-Castel!/ Crayon à papier!!--MIKEREAD (d) 4 février 2010 à 09:22 (CET)
- Dites simplement crayon noir comme en Belgique ! --Égoïté (d) 4 février 2010 à 09:34 (CET)
- Ou écrivez à l'encre. Agrafian (me parler) 4 février 2010 à 09:42 (CET)
- Ou crayon gris comme ailleurs. Ou crayon comme presque partout. Et la pomme (la pomme est un fruit), vous l'appelez comment (à part : avec un couteau) ? Chez moi c'était pomme de pommier, comme en d'autres lieux pomme en l'air, pour ne pas confondre avec la pomme de terre, qui n'est pas composée de terre. Morburre (d) 4 février 2010 à 09:47 (CET)
- Au passage pour Spedona et ses articles --Égoïté (d) 4 février 2010 à 09:58 (CET)
- La pomme est la pomme. Et la fourbe pomme de terre est la patate. Voilà, plus de problème ! En ce qui concerne le crayon, je me suis demandé également quelle était la meilleur appélation. J'ai choisi de régler la question en n'utilisant plus que des critériums.Lpn- (d) 4 février 2010 à 10:29 (CET)
- Ou crayon gris comme ailleurs. Ou crayon comme presque partout. Et la pomme (la pomme est un fruit), vous l'appelez comment (à part : avec un couteau) ? Chez moi c'était pomme de pommier, comme en d'autres lieux pomme en l'air, pour ne pas confondre avec la pomme de terre, qui n'est pas composée de terre. Morburre (d) 4 février 2010 à 09:47 (CET)
- Ou écrivez à l'encre. Agrafian (me parler) 4 février 2010 à 09:42 (CET)
- Dites simplement crayon noir comme en Belgique ! --Égoïté (d) 4 février 2010 à 09:34 (CET)
- ou bien Graf von Faber-Castel!/ Crayon à papier!!--MIKEREAD (d) 4 février 2010 à 09:22 (CET)
- … moi, j'ai toujours dit (et dis toujours) "crayon de bois", plus exactement "crayon d'bois". Mais on trouve également ""crayon en bois", "crayon bois", "crayon noir", "crayon papier"… Syntagme : priez pour nous ! — Hautbois [canqueter] 4 février 2010 à 06:16 (CET)
- C’est un syntagme, il ne faut pas chercher à le décomposer. rv1729 3 février 2010 à 23:24 (CET)
- Sachez qu'il existe d'autres crayons que le "crayon à papier" : Le crayon à maquillage par exemple, ou le crayon à encre que nos grands-parents devaient mouiller pour écrire "comme avec un stylo". Enfin, ne nous mélangeons pas les crayons ! --Serged/♥ 4 février 2010 à 10:26 (CET)
- Désignation redondante à la rigueur, ou inexacte (pn peut s'en servir sur autre chose que du papier), raison pour laquelle j'ai renommé l'article en crayon tout court. Le besoin de précision, dans la mesure où le terme crayon peut désigner n'importe quel instrument d'écriture : stylo bille, plume, feutre. Il y a un tas d'autres désignations selon les régions. Morburre (d) 3 février 2010 à 23:06 (CET)
- Criterium est une marque. En France c'est un portemine, encore faut-il distinguer, comme nos amis anglophones, le mechanical pencil (portemine à cliquet/rochet, à vis, à bouchon tournant, etc) et le leadholder ou clutch pencil (portemine à embrayage). À ce propos, je cherche toujours un leadholder pour mine légèrement supérieure à 2 mm mais inférieure à 3,15 mm. Morburre (d) 4 février 2010 à 12:23 (CET)
- … pfff ! t'as bonn'min' avec ton leadholder ! — Hautbois [canqueter] 4 février 2010 à 13:09 (CET)
- @ Serged : tu as des précisions sur ce crayon à encre de tes grands-parents ? Je viens de constater que « crayon à encre » sert beaucoup pour désigner divers types de stylos, mais rien de plus. Morburre (d) 4 février 2010 à 12:33 (CET)
- Je ne vois que le crayon à l'aniline pour ça Morburre. Revois le fichier que je t'ai passé (mais je ne pense pas avoir cité "crayon à encre") --Égoïté (d) 4 février 2010 à 13:02 (CET)
- Exact, crayon à l'aniline. On le mouillait avec la salive, si on s'y prenait mal, ça tachait les lèvres... et c'est toxique. Dans les années 1950, c'était déjà presque disparu. Dhatier jasons-z-en 4 février 2010 à 13:08 (CET)
- Je ne vois que le crayon à l'aniline pour ça Morburre. Revois le fichier que je t'ai passé (mais je ne pense pas avoir cité "crayon à encre") --Égoïté (d) 4 février 2010 à 13:02 (CET)
Oui, je suis conscient qu'il y a différentes expressions et différents types de crayons. Je reformule ma question : pourquoi, étymologiquement, parle-t-on de papier dans crayon à papier ? Bourrichon 4 février 2010 à 13:50 (CET)
- Parce que ça s'utilise majoritairement sur du papier. Mais personne n'a décidé officiellement que ça devait s'appeler comme ça, et c'est pour ça qu'il y a cinquante autres appellations toutes aussi peu exactes. Je ne crois pas qu'il faille chercher d'autres explications. Morburre (d) 4 février 2010 à 14:59 (CET)
- Crayon à papier (crayon pour écrire sur du papier (sous-entendu : on peut effacer)) n'est pas une expression utilisée systématiquement et par toutes les générations. Elle tend probablement à préciser actuellement la caractéristique du produit en cas d'éventuelle confusion sur l'objet en discussion. Compte tenu sans doute de la profusion des supports et moyens d'écritures proposés. Moi, j'avais la plume ou le crayon pour écrire sur du papier (la craie et le crayon d'ardoise sur l'ardoise). Ce qui limitait singulièrement le risque de méprise et par conséquent, l'utilisation de mots en trop. Evolution du langage... --Patschw (d) 4 février 2010 à 15:11 (CET).
- Même opinion. Au sens propre, un crayon (non qualifié) est un bâton de minéral
calcaire(voir le TLFi). Efficace sur une ardoise, assez peu sur du papier. Un crayon à papier est un bâton de mêmes dimensions, à mine de graphite, adapté à l'usage sur le papier. — Jérôme 4 février 2010 à 20:29 (CET)
- Même opinion. Au sens propre, un crayon (non qualifié) est un bâton de minéral
Merci pour vos réponses ! Bourrichon 4 février 2010 à 22:25 (CET)
- À Jérôme : Si je peux me permettre : « Morceau de minerai tendre, de nature et de coloration variables, servant à tracer des traits, pour écrire ou dessiner. Par métonymie, bâtonnet de bois renfermant une mine de graphite ou d'argile colorée et destiné au même usage. » (j'ai souligné par l'italique) Le matériau n'est pas précisé dans l'ATILF. La craie et le fusain sont-ils « crayons » ? --Égoïté (d) 5 février 2010 à 00:22 (CET)
- Pour le « matériau calcaire », j'ai lu rapidement et mal copié, mais originellement, un crayon est un morceau de craye. (Voir plus bas dans la même source : « Dér. de craie*, [...] le dimin. croion est déjà attesté en a. fr. [...] pour désigner la craie ou des matériaux semblables et crayon est sans doute une spécialisation de sens de ce terme. »). D'ailleurs une craie dans le sens « bâtonnet à écrire » est aussi une métonymie pour le minerai. — Jérôme 5 février 2010 à 01:01 (CET)
- Dac mais (suis ch... je sais, et c'est connu sur l'Oracle ), peut-on aller jusqu'à dire qu'un fusain est un crayon, àtha ? --Égoïté (d) 5 février 2010 à 01:12 (CET)
- A priori, le fusain (bois calciné) est facile à distinguer de la mine graphite dans ses résultats : c'est pourquoi on distingue un fusain (« dessin au fusain ») d'un crayon (« dessin avec une forme de mine graphite »). Du matériau, on est passé à l'outil support : le crayon était l'outil porte-mine, puis le crayon en bois. Dans le détail il y a un certain flou lexical. Morburre (d) 5 février 2010 à 02:10 (CET)
- Pour le « matériau calcaire », j'ai lu rapidement et mal copié, mais originellement, un crayon est un morceau de craye. (Voir plus bas dans la même source : « Dér. de craie*, [...] le dimin. croion est déjà attesté en a. fr. [...] pour désigner la craie ou des matériaux semblables et crayon est sans doute une spécialisation de sens de ce terme. »). D'ailleurs une craie dans le sens « bâtonnet à écrire » est aussi une métonymie pour le minerai. — Jérôme 5 février 2010 à 01:01 (CET)
Tiens personne n'a parlé de ce crayon en papier dont il suffisait de dérouler une bandelette près de la mine pour voir réapparaître celle-ci lorsqu'elle était usée. On n'avais pas besoin de taille crayon. --Kkbs (d) 5 février 2010 à 07:52 (CET)
Il y a aussi les "crayons aquarellables", c'est du pigment (de la peinture) sous forme semi-solide (tendre, disons), c'est comme des crayons de papier-je dis aussi "crayons de papier"- ou des crayons de couleurs mais lamine c'est de la peinture, on peut mouiller le bout pour obtenir différents effets. J'ai aussi des crayons de graphite pur pour le dessin, je veux dire sans bois autour. Il y a aussi les "crayons d'art", pastels (c'est toujours du pigment) et ça me fait penser au stylo laser, tiens, ces faisceaux de lumière qui apparaissent maintenant sous différentes formes, comme par exemple ces crayons qu'on utilise sur des écrans d'ordinateurs pour écrire.
première date précise formellement identifiée
modifierBonjour,
Je connais la première date précise concernant un évènement historique, le fameux 28 mai -585 (calendrier julien proleptique), la bataille de l'éclipse, mais j'aimerai connaître la première date, toutes catégories confondues (évènement astronomique, historique, géologique, climatique, ethnologique, sociologique, etc.) formellement identifiée (précisément datée, et inscriptible sur un almanach)...
En vous remerciant,
Bien cordialement,
cblab° (d) 4 février 2010 à 07:26 (CET)
edit : je précise pour ceux qui ne le savaient pas, que le 28 mai 585 BC du calendrier julien proleptique a eu lieu la dite bataille, et que cet évènement a pu être identifié grâce à l'éclipse solaire qui eut lieu durant celle-ci, l'éclipse étant précisément datable d'un point de vue astronomique) - cblab° (d) 4 février 2010 à 07:38 (CET)
- Marrant, l'article dit que cette bataille est aussi appelée Bataille du Halys, or dans cet article il est dit que cette bataille eut lieu en -547 (et ce n'était pas tout à fait les mêmes protagonistes). Pas très clair tout ça (peut-être à cause de l'éclipse ?) - Félix Potuit (d) 4 février 2010 à 08:42 (CET)
- Bah, au moment de brocher son bouquin, Hérodote a un peu mélangé les pages... après, va t’y retrouver ! - rv1729 4 février 2010 à 08:45 (CET)
- en fait il y erreur sur la page sur laquelle vous redirigez... j'ai placé un bandeau et soulevé le problème ici Discussion:Bataille_du_Halys! Il y a effectivement 2 batailles, mais celle de l'Halys à bien eu lieu en 585 BC PJC, le 28 mai. Celle de 547 BC PJC est connue sous le nom de en:Battle of Pteria... Merci de soulever cette confusion! - cblab° (d) 4 février 2010 à 20:26 (CET)
- les Babyloniens enregistraient les observations d'éclipses de lune, les tablettes qui en rendent compte sont donc datées du jour en question. Le site de l'Observatoire de Paris indique « L'autre source d'observations d'éclipses de Lune par les Babyloniens est constituée de textes cunéiformes. On y dénombre une soixantaine d'éclipses réparties entre 695 av. J.-C. et 67 av. J.-C. » [11]. Il est mentionné que les observations arabes et chinoises sont plus tardives.
- Merci de cette réponse ! je vais aller voir cela de plus près... Intéressant de voir qu'ils ont répertorié des dates astronomiques (on peut les en remercier) car sans cela il serait douteux de tenter une correspondance de calendriers (les leurs comme les notres sont loin d'être des exemples de régularité)... Merci encore! - cblab° (d) 4 février 2010 à 20:26 (CET)
- D'après Lever héliaque de Sirius, « un texte de la XIIe dynastie signale un lever héliaque, le 16 du 8e mois de l'an 7 du règne de Sésostris III. » (ce qui permet de dater exactement le début de son règne, sachant qu'il commence en -1878). L'incertitude sur la datation vient du fait qu'il faut connaitre la latitude de l'observateur. Pour des dates allant jusqu'au 17 juillet -2773, voir l'article anglais en:Sothic cycle#Chronological interpretation. Les fêtes suivant la fin de chaque période sothiaque (un solstice d'été tous les 1460 ans) sont également documentées. - Jérôme 4 février 2010 à 13:08 (CET)
- Merci ! je note tout cela avec grand intérêt ! - cblab° (d) 4 février 2010 à 20:26 (CET)
- Bonjour. Désolé de ne pouvoir répondre et aussi de soulever une question incidente : Halys étant un hydronyme transmis par les Grecs qui sont censés n’avoir légué aucun h aspiré à la langue française, ne conviendrait-il pas plutôt de parler de l’Halys et de la bataille de l’Halys ? Cordialement. - Alphabeta (d) 4 février 2010 à 14:53 (CET)
- Très juste remarque, que je soumet immédiatement sur la page Discussion:Bataille_du_Halys! - cblab° (d) 4 février 2010 à 20:26 (CET)
Huitres corses ???
modifierOh Oracle de l'île de Beauté, voici la question d'un "pinzutu" ! Question : Y a t-il des huitres en Corse ? Les consomme -t-on ?? Merci .jbdepradines (d) 4 février 2010 à 12:45 (CET)
- … visiblement oui ! et ça se vend.— Hautbois [canqueter] 4 février 2010 à 12:55 (CET)
- Elles font la sieste de 14 à 16h, et après, elles bâillent. Félix Potuit (d) 4 février 2010 à 18:02 (CET)
- (Un Corse bâille. Sa femme lui dit: - Profite que tu as la gueule ouverte pour appeler le petit !)
- … et ça se cuisine aussi (jamais été convaincu par les huîtres chaudes) — Hautbois [canqueter] 4 février 2010 à 20:14 (CET)
- (Un Corse bâille. Sa femme lui dit: - Profite que tu as la gueule ouverte pour appeler le petit !)
- Elles font la sieste de 14 à 16h, et après, elles bâillent. Félix Potuit (d) 4 février 2010 à 18:02 (CET)
Attestations de l'adjectif « soulagésien » ?
modifierBonjour. Quelqu'un ayant accès à des bases documentaires non-Google (genre BNF, CNRS, archives du Monde, Figaro, Libé, etc.) pourrait-il m'aider à trouver (pour Wikipedia et Wiktionary) 2 ou 3 références attestant l'emploi de l'adjectif « soulagésien » au sujet du peintre Pierre Soulages ?
Si besoin, en détail :
- J'ai créé l'article wikt:soulagésien pour ce terme qui existe depuis un bout de temps dans le milieu de l'art. Avec le peu que j'ai sous la main, j'ai fourni une seule attestation du mot (dans le catalogue de l'expo Soulages qui a lieu en ce moment à Paris, mais attesté par rien moins que le spécialiste mondial Pierre Encrevé). Et là, je vois qu'ils veulent déjà supprimer l'article en le traitant de vilain néologisme publié en 2009. Ouin.
- J'ai déjà fait toutes les recherches sur tous les Google (Web, Book, News Archive, Scholar, Blogs, Groups...) pour toutes les variantes (soulagésien, soulagésienne, soulagésiens, soulagésiennes, et idem sans accent aigu) sans résultat (il y a juste un prospectus PDF de Beaubourg qui cite le même catalogue). Ouin.
- Peut-être que j'aurai le temps d'aller à la bibliothèque ou à la FNAC fouiller à la main des livres sur Soulages et retrouver quelques attestations... ou pas... Je me suis dit que peut-être aussi que l'un d'entre vous aurait un accès à des bases de données autres que Google, pourrait facilement lancer quelques requêtes sur ces mots-clés et poster ici des références de livres ou d'articles attestant le terme ? Oui ?
- Et Wikipedia dans tout ça ? Voilà : dans l'article Pierre Soulages, je n'ai pas trouvé mention des deux adjectifs (wikt:soulagien et wikt:soulagésien) que le travail de cet artiste a déjà engendré de son vivant, ce qui est un détail mais pas inutile. Je me propose donc à terme de compléter l'article Wikipedia en les mentionnant dedans, liés à leur page Wikt ; mais pour ça, il faudrait d'abord que je puisse compléter les attestations de wikt:soulagésien pour que la page ne soit pas supprimée et puisse servir de source. C'est léger ? Oui.
En vous remerciant d'avoir au moins lu cette tartine : à vot' bon cœur, m'sieurs-dames... 62.147.25.118 (d) 4 février 2010 à 15:09 (CET)
- Bref, un néologisme qui ne semble pas avoir de vie en dehors de la prose de Pierre Encrevé... Êtes-vous certain de l’existence de ce que vous recherchez ? En tout cas pas de panique, le wiktionnaire est plutôt tolérant. rv1729 4 février 2010 à 16:03 (CET) PS: Si Google books ne trouve rien, même dans les livres non consultables, je doute fort que tu trouves quoi que ce soit où que ce soit.
- Le prospectus PDF de Beaubourg cité plus haut, est en fait le dossier de presse élaboré par le musée national d'art moderne qui évoque entre guillemet l'outrenoir soulagésien. La fortune de ce néologisme dépend de l'intérêt que les locuteurs et les écrivains lui donneront pour l'employer. Philippe Nusbaumer (d) 4 février 2010 à 16:18 (CET)
- Quand il sera mort, ça va fleurir. Un volontaire pour le contrat ? Morburre (d) 4 février 2010 à 17:22 (CET)
- Toute personne un peu connue a droit à son (ou ses) adjectifs. Par exemple: une politique sarkozienne (ou jospinienne, ou chiraquienne...). Par contre pour les artistes, je n'ai jamais entendu un style picassien (ou piquassiette ?), des accents hallydaysiens. On peut néanmoins parler d'humour morburrien... Plus sérieusement, il suffit de parler de l'outrenoir de Soulages, ça nous soulagera d'un néologisme... --Serged/♥ 4 février 2010 à 17:44 (CET)
- Le prospectus PDF de Beaubourg cité plus haut, est en fait le dossier de presse élaboré par le musée national d'art moderne qui évoque entre guillemet l'outrenoir soulagésien. La fortune de ce néologisme dépend de l'intérêt que les locuteurs et les écrivains lui donneront pour l'employer. Philippe Nusbaumer (d) 4 février 2010 à 16:18 (CET)
- Picassien, si, ça existe. Morburrien, zéro occurrence Gougueul, je suis dégoûté. Morburre (d) 4 février 2010 à 20:08 (CET)
- … dans l'article Chopin était utilisé : « chopinesque », voir là, la discussion. — Hautbois [canqueter] 4 février 2010 à 20:40 (CET) (essaye à « morburrinesque » )
Je vous réponds et puis j'en remets une couche ;)
- @ rv1729 : je souhaite préciser que Google Books ne signifie rien pour la majorité des publications francophones contemporaines : il ne donne ni réponse ni rien pour les ouvrages non consultables (mode « Aucun aperçu disponible ») qui ne sont même pas fouillés par le moteur. Or, la majorité des publications francophones contemporaines (et beaucoup d'anciennes) est soit absente de Google, soit sous copyright et interdite à la recherche ou ne serait-ce qu'à l'affichage d'un numéro de page. (Et Google est davantage restrictif quand la recherche émane d'une adresse IP européenne au lieu de nord-américaine).
- @ Philippe Nusbaumer : oui, ce prospectus/dossier de presse que j'ai mentionné n'a pas d'intérêt, mais il cite le livre (ISBN 978-2-84426-387-2), p. 31, qui est lui une attestation en bonne et due forme du mot. Et ce n'est pas un néologisme récent, sinon je ne chercherais pas tant.
- Un dossier de presse du musée national d'art moderne a un intérêt, c'est un texte élaboré pour la communication externe du musée à propos d'une exposition, s'ils ont repris le terme soulagésien, même entre guillemets, c'est que le service de communication du musée estime important de vulgariser son emploi. Philippe Nusbaumer (d) 4 février 2010 à 21:56 (CET)
- @ Serged : l'adjectif « picassien » est banalisé depuis les années 1920 et Jean Cocteau au point que même Google Books en donne 600+ résultats. Je pense que le fait que picassien sorte peu d'une certaine littérature ne le rend pas moins valide que d'autres ermites du même acabit comme le gluon quantique ou le suiseki nippon. Pareil pour « soulagésien » (similaire à Arles/Arlésien, Keynes/Keynésien, etc.).
Plus concrètement, je l'ai encore vérifié le mois dernier avec de petits bouts de phrases choisis dans des livres d'art connus (Taschen 1993, Hazan 2003, Réunion des musées nationaux 2008, Brooklyn Museum of Art 1986) et dont un ou plusieurs exemplaires sont bien référencés par Google Books mais en mode « aucun aperçu » : Google Book m'a trouvé zéro résultat pour les phrases ou mots recherchés (sauf dans Brooklyn Museum of Art 1986, mais dont moins de la moitié est indexé et cherchable : j'y retrouve certains termes mais pas d'autres). C'est déjà comme ça avec la littérature, et encore pire pour des sources importantes comme les livres d'art et catalogues d'expositions, pour de nombreuses annales de congrès scientifiques, etc. : Google peut vous donner 0 résultat sur des termes d'après-guerre qui existent pourtant à des centaines ou milliers d'exemplaires dans la bibliographie. Faites l'expérience avec des bouts de phrases d'un livre d'art, d'un roman du Fleuve Noir, d'une traduction de Thomas Pynchon : la francophonie contemporaine existe peu sur Google.
Bref, la carte n'est pas le territoire, et bien des termes vivent à l'écrit en dehors de Google. D'où mon problème et ma question initiale : si quelqu'un avait accès à des bases de données bien plus francophones que Google, comme la BNF ou le CNRS, ou des archives payantes comme Le Monde, Le Figaro, etc. ? 62.147.26.217 (d) 4 février 2010 à 21:36 (CET)
- Google Books ne donne ni réponse ni rien pour les ouvrages non consultables (mode « Aucun aperçu disponible ») :C’est faux. Il m’arrive fréquemment d’avoir des réponses sur des ouvrages en mode « aucun aperçu disponible », seuls quelques mots de part et d’autre du mot recherché sont alors cités. rv1729 4 février 2010 à 21:50 (CET)
- Une petite recherche sur un méta-moteur, aussi avec le terme "Soulagean" ? ViZiT (d) 4 février 2010 à 22:48 (CET)
- L'adjectif n'est pas évident, mais le verbe, oui. Morburre (d) 5 février 2010 à 02:13 (CET)
- Attesté plusieurs fois par le Wikt. le terme soulagien me parait amplement suffisant, moins lourd, aussi expressif. Il a l'avantage d'être utilisé. A l'occasion, je demanderai à Pierre Soulages ce qu'il en pense... jbdepradines (d)
- L'adjectif n'est pas évident, mais le verbe, oui. Morburre (d) 5 février 2010 à 02:13 (CET)
- Une petite recherche sur un méta-moteur, aussi avec le terme "Soulagean" ? ViZiT (d) 4 février 2010 à 22:48 (CET)
Mes commentaires (puis le retour de la question) :
- @ ViZiT : merci, mais j'ai oublié de préciser qu'après les divers Googles j'ai fait le tour des moteurs (Altavista/Yahoo, Bing, Hotbot, Cuil, etc.) et métamoteurs (Metacrawler, Dogpile, Ixquick, etc.) sans plus de résultats. (Quant à Soulagean, étant donné que c'est moi qui l'ait écrit comme les trois en français, il ne me fournit pas d'attestation ou de piste supplémentaire...)
- @ Philippe Nusbaumer : je voulais dire que leur dossier de presse est sans intérêt pour ma question : ils ne font que citer le catalogue que j'ai déjà en attestation, ce qui ne me fournit pas de deuxième attestation indépendante (et encore moins d'attestation antérieure à 2009).
- @ jbdepradines : désolé mais je crois que la neutralité d'un dictionnaire est de recenser et définir des termes attestés, pas de juger si certains suffisent ou sont plus expressifs que d'autres. Je n'imagine pas d'aller effacer wikt:éburnéen au motif que wikt:ivoirin suffirait. Pareil pour wikt:soulagésien et wikt:soulagien. Quant à Pierre Soulages, il a souvent raconté qu'il détestait son nom que l'on moquait constamment à l'école (« Eh, Soulage... moi ! Ha ha ha ») jusqu'au jour où on lui a appris que wikt:Soulages venait de « sol agens » (soleil agissant). Et il me semble que c'était déjà Encrevé qui avait forgé « soulagésien » (sur le modèle régulier d'arlésien, keynésien, borgésien, etc.) pour éviter de retomber dans les travers de « soulagien ». Mais si vous voyez Pierre Soulages ou son épouse, l'idéal serait d'en profiter pour demander au passage dans quels livres le terme a déjà été utilisé (ce qui serait déjà une piste pour les attestations supplémentaires que j'essaye de retrouver...)
- @ rv1729 : Dans mon expérience, cela n'arrive que pour des ouvrages anciens ou anglo-saxons. Je le répète : la littérature francophone d'après-guerre est quasi invisible sous Google Books. De plus, faites donc l'expérience que j'ai décrite plus haut et vous constaterez que des ouvrages présents dans Google Books donnent 0 résultats pour des phrases qui y figurent, ce qui prouve bien que des pans entiers de recherche d'attestation sont hors de portée. Trois exemples parmi des myriades :
- Dans son Journal japonais, Richard Brautigan parlait de « boue Meiji » (p. 75, peut-être la première fois qu'on voit cette expression). Eh bien Google Books a au moins 3 exemplaires du livre dans sa base (aucun aperçu disponible), mais donne zéro résultat pour "boue Meiji" ; idem par acquit de conscience en cherchant les mots séparés dans le livre avec intitle:"Journal japonais" boue Meiji, ou même sur l'auteur entier avec author:Brautigan boue Meiji. (Et c'est pareil avec d'autres bouts de phrases tirés du livre.) Donc, celui qui tape cette expression dans Google Books pourrait croire qu'elle n'existe pas, ou que la référence qu'on lui a donné est fausse.
- Le seul ouvrage de référence solide en français sur le grand peintre expressioniste Emil Nolde est la collection d'essais dans le catalogue de la première (et bien tardive) rétrospective à son sujet en France, celle du Grand Palais en 2008. Eh bien, ce livre est dans la base Google (aucun aperçu disponible) mais n'est pas indexé : on n'obtient aucun résultat en cherchant sur tout Google Books des bouts de phrases qui en sont extraits comme "Nolde est persuadé que sa nature d'artiste" (p. 19) ou même juste "Nolde est persuadé". Donc, cet élément central de la bibliographie et des textes sur Nolde est invisible sous Google Books.
- Et enfin, pour chaque livre qui n'est pas du domaine public, il y a toujours pour chaque page des sections interdites qui ne seront jamais affichées en extraits et souvent jamais indexées (afin de garantir que des robots ne puissent jamais reconstituer un livre entier). Cela touche aussi les livres anglais en aperçu partiel. Pour des livres indexés dans Google Book en "Affichage d'extraits", quand on possède le livre et qu'on teste plusieurs expressions qui y figurent, Google donne parfois une réponse et parfois 0 (quand l'expression demandée est dans les zones interdites). J'ai des exemples à la pelle puisque c'est très facile à générer, mais testez donc vous-mêmes avec vos propres livres d'après-guerre si vous voulez vous en convaincre.
Mais bref je n'était pas là pour décortiquer les limites de Google Books. Ce que je veux dire, c'est que Google Books peut fort bien contenir N attestations du mot « soulagésien » et malgré tout retourner 0 résultats, si elles sont dans des livres français d'après-guerre. On ne peut pas trop s'y fier en cas de résultats négatifs, surtout sur des termes rares, d'après-guerre, et dans des domaines spécialisés comme l'art ou les sciences : la carte n'est pas le territoire. On ne peut pas affirmer que ce qui n'est pas dans Google n'existe pas, même si ce nouvel avatar du Esse est percipi semble faire des ravages. ...Et c'est donc pourquoi je voulais savoir si quelqu'un avait accès à des bases documentaires francophones ou archives payantes de journaux, plus utiles que Google Books dans ces cas. 62.147.27.25 (d) 9 février 2010 à 13:16 (CET)
Overbar, overline, overscore, oui mais z'en français ?
modifierBonjour les pythies,
En mathématiques, on met parfois une barre au dessus d'un symbole ou d'une formule, comme ça : , pour désigner la moyenne, un conjugué ou un non logique. En anglias, ce symbole s'appelle overline, overbar ou overscore (comme underline ou underscore). Mais en français, pas moyen de trouver une désignation officielle !
Surligne, surlignage sembleraient appropriés s'il ne risquaient pas de se confondre avec le coup de stabilo. Est-ce que quelqu'un d'averti en matière de typographie et de francophonie saurait me répondre (un imprimeur québequois par exemple) ? Duckysmokton blabla 4 février 2010 à 16:35 (CET)
- En tout cas, quand on lit une formule, on lit « X barre ». rv1729 4 février 2010 à 16:36 (CET)
- L’article barre mentionne une « barre suscrite » et renvoie à macron. Voir également [12]. rv1729 4 février 2010 à 16:39 (CET)
- Oui, mais il s'agit là d'un diacritique, pas d'un symbole mathématique. De plus, évoquer son existence peut engendrer de graves conflits. Duckysmokton blabla 4 février 2010 à 16:49 (CET)
- barre, ou barre suscrite est approprié... Et ce n'est pas l'existence du macron qui pose problème à ces gens, mais son utilisation en français (qui est pourtant admise dans la transcription)... De plus il s'agit bien d'un diacritique, utilisé dans le langage formel de transcription des mathématiques (même si pour des raisons techniques évidentes, les caractères unicode sont distincts, l'un se limitant à une lettre, l'autre recouvrant potentiellement une chaine), donc on pourrait également, même si ce n'est pas l'usage, l'appeler macron. On peut le lire de différentes manières (n-barre, n-complémenté, non-n, n-suscrit) et c'est employé dans divers domaines des mathématiques, de la logique et de la philosophie analytique ( et même en littérature... Le_Monde_des_Ā :-) ) - cblab° (d) 4 février 2010 à 20:52 (CET)
- Oui, mais il s'agit là d'un diacritique, pas d'un symbole mathématique. De plus, évoquer son existence peut engendrer de graves conflits. Duckysmokton blabla 4 février 2010 à 16:49 (CET)
- Le macron est un diacritique, oui, mais « barre suscrite » me paraît un terme purement typographique. La page citée ci-dessus est une page de réf de mathml. rv1729 4 février 2010 à 17:00 (CET)
- Autant que je sache ça s'appelle une barre suscrite depuis au moins le XIXe (et le signe était utilisé depuis longtemps en latin pour abréger). Elle peut prendre des noms plus précis dans certains domaines (« macron » si diacritique, opérateur « non- » en logique) mais la désignation officielle du signe de base, sans sémantique, est « barre suscrite ». C'est comme la barre inscrite et la barre oblique, le iota souscrit et le point souscrit : il n'y a pas de mot spécial plus simple en français. 62.147.26.217 (d) 4 février 2010 à 21:49 (CET)
Maths difficiles à résoudre
modifierBONJOUR ,
JE ME DEMANDE , SI POSSIBLE , SI VOUS POURRIEZ CREER UN ARTCILE SUR DES OPERATIONS DE MATHS DIFFICILES A RESOUDRE OU NON RESOLUES JUSQUE A MAINTENANT?
MERCI DE AVANCE ,
- Il y a cet article-ci : Problèmes de Hilbert dont certains ne sont toujours pas résolus. Dhatier jasons-z-en 4 février 2010 à 19:41 (CET)
- Exemple de problèmes à énoncés très simples mais non résolus : Conjecture de Goldbach, Conjecture de Syracuse et pour des énoncés moins aisément accessibles : Problèmes du prix du millénaire qui réactualisent un siècle plus tard les Problèmes de Hilbert(dont certains ont été résolus)que mentionne Dhatier. Bon courage ! --Epsilon0 ε0 4 février 2010 à 21:20 (CET) L'oracle ramasse les copies demain matin à 8h pétante ;-)
- Ou le Théorème de Fermat, à résoudre avec une solution simple et merveilleuse qui tiendrait presque dans la marge d'un livre - contrairement à la solution existante qui ne tient pas du tout dans la marge d'un livre -Lo-78.113.228.151 (d) 5 février 2010 à 19:25 (CET)
- Faut pas pousser. Mais il peut exister des preuves conceptuellement plus simples... pareil pour d’autres théorèmes déjà démontrés, la simplification des preuves existantes est une activité honorable. rv1729 6 février 2010 à 09:49 (CET)
- Exemple de problèmes à énoncés très simples mais non résolus : Conjecture de Goldbach, Conjecture de Syracuse et pour des énoncés moins aisément accessibles : Problèmes du prix du millénaire qui réactualisent un siècle plus tard les Problèmes de Hilbert(dont certains ont été résolus)que mentionne Dhatier. Bon courage ! --Epsilon0 ε0 4 février 2010 à 21:20 (CET) L'oracle ramasse les copies demain matin à 8h pétante ;-)
- On a un article Problèmes non résolus en mathématiques. Grasyop ✉ 8 février 2010 à 19:51 (CET)
ressources
modifierBonsoir, existe-t-il une estimation des ressources ou revenus par habitant sur la terre et par mois ou par an, par exemple? Merci. --Francis Martin (d) 4 février 2010 à 19:52 (CET)
- Un certain nombre. Celle de la CIA, par exemple. 10 500 dollars en parité de pouvoir d'achat par habitant et par an sur notre planète. gede (d) 4 février 2010 à 20:19 (CET)
Merci, gede. --Francis Martin (d) 5 février 2010 à 00:08 (CET)
Mot du Jour - services
modifierBonjour à tous :
Je voudrais savoir s'il y a des services qui donnent un mot du jour aux abonnés qui vous recommanderiez. On a fait une recherche sur internet, mais on n'a trouvé que des services pour les débutants. Également, on appréciera des suggestions des sites qui portent un coup au français familier et l'argot.
Merci de votre aide, --87.84.103.101 (d) 4 février 2010 à 22:49 (CET)
- Bonsoir (pour moi) ou bonjour. Il me semble nécessaire de signaler au préalable que nous ne recommandons aucun site ou service (même pas le nôtre puisque que nous affirmons que toutes les informations sur WP doivent être sourcées et vérifiées) . Ceci dit, il serait utile pour vous aider de mieux connaitre votre besoin. Pourriez-vous préciser ? Amicalement, --Égoïté (d) 4 février 2010 à 23:07 (CET)
- Conflit édith: Je suis tout ouïe des réponses car je n'ai pas compris la question. ( Contexte? ) ViZiT (d) 4 février 2010 à 23:09 (CET)
- Je présume que la personne qui pose la question apprend le français et souhaite disposer de ressources didactiques du type de celles que l'on trouve, pour la langue anglaise, sur cette page, et notamment un équivalent du "Word of the Day". gede (d) 4 février 2010 à 23:41 (CET)
- Oui peut-être Gede. J'ai le souvenir de connaitre ce type de page en français mais ne la retrouve plus... (et j'ose être critique : ce n'est ni le "menu" du CNRTL ou de l'ATILF qui peuvent aider). Dans lexilogos peut-être ? La nuit me portera sans doute conseil… --Égoïté (d) 5 février 2010 à 00:05 (CET)
- Je présume que la personne qui pose la question apprend le français et souhaite disposer de ressources didactiques du type de celles que l'on trouve, pour la langue anglaise, sur cette page, et notamment un équivalent du "Word of the Day". gede (d) 4 février 2010 à 23:41 (CET)
- Conflit édith: Je suis tout ouïe des réponses car je n'ai pas compris la question. ( Contexte? ) ViZiT (d) 4 février 2010 à 23:09 (CET)
- Salut ! Nous sommes des étudiants du français dans une université. On apprend le français depuis plusieurs ans, mais avant d'aller au Québec pour faire des recherches, nous espérons enrichir notre vocabulaire, peut être avec une site qui présente un mot par jour. Il existe des équivalents anglais et allemands, donc on pensa qu'il y avait peut être des services français similaires.
- Quant à notre intérêt pour le langage familier et l'argot, on a appris le français dans un cadre formel où on ne nous a enseigné que le registre soutenu, ce qui constitue un trou dans notre connaissance de votre langue, car il faudra bien être au courant avec le langage familier autant que sa variante soutenue. Par conséquent quelques suggestions pour mieux connaître l'argot et le français familier seraient utiles aussi.
- Amicalement, --87.84.103.101 (d) 5 février 2010 à 00:40 (CET)
- Bienvenue à vous, amis ! Je demande l'aide d'une pythie du Québec (Dhatier, au secours !) car le langage familier est très différent dans les divers pays francophones ! Avec le petit décalage horaire traditionnel, Dhatier va vous répondre – et c'est une « mine d'or » que vous consulterez avec profit. Bon séjour au Québec, --Égoïté (d) 5 février 2010 à 01:02 (CET)
- Une première avenue pour apprendre certaines différences entre le français du Québec et le français standard pourrait être la lecture attentive de l'article Lexique du français québécois, ainsi que celle, beaucoup plus technique, de Français québécois. Pour un 'mot du jour', vous trouverez sur le site de Radio-Canada des 'capsules linguistiques' journalières. Les capsules de la semaine passée y sont écrites, celles des semaines antérieures sont accessibles,et vous pouvez aussi écouter la 'capsule du jour' en cliquant sur "écoutez la capsule" en haut de la page, au milieu. Bienvenue au Québec; n'oubliez pas votre tuque et vos mitaines, il fait frette en ce temps-ci. Dhatier jasons-z-en 5 février 2010 à 01:37 (CET)
- ça douille à combien la température? hein, faut des grogs ! prendre un bol, ajouter un jaune d'oeuf, rhum, et lait chaud. Avec modération.... Sinon la lecture de Simonin...MIKEREAD (d) 5 février 2010 à 08:58 (CET)
- Une première avenue pour apprendre certaines différences entre le français du Québec et le français standard pourrait être la lecture attentive de l'article Lexique du français québécois, ainsi que celle, beaucoup plus technique, de Français québécois. Pour un 'mot du jour', vous trouverez sur le site de Radio-Canada des 'capsules linguistiques' journalières. Les capsules de la semaine passée y sont écrites, celles des semaines antérieures sont accessibles,et vous pouvez aussi écouter la 'capsule du jour' en cliquant sur "écoutez la capsule" en haut de la page, au milieu. Bienvenue au Québec; n'oubliez pas votre tuque et vos mitaines, il fait frette en ce temps-ci. Dhatier jasons-z-en 5 février 2010 à 01:37 (CET)
http://fr.wiktionary.org/wiki/Wiktionnaire:Page_d%27accueil
Pour info : Les mots du professeur, Nouvelle langue française, xyloglotte, correcteurs du Monde, expressions françaises, etc. Pour ceux qui ont du temps évidemment ! --Égoïté (d) 5 février 2010 à 11:54 (CET)
- Étant allé voir par curiosité le blog des correcteurs du Monde cité ci-dessus, j'y ai vu une photo de roses qui me rappelait quelque chose. Elle se trouve en effet dans un article de ma création (mais la photo n'est pas de moi). Ce n'est pas grave, mais quand même une citation de Wikipédia ne ferait pas de mal. Spedona (d) 5 février 2010 à 13:40 (CET)
Rétroviseurs
modifierBonjour à vous. L'un d'entre vous peut il m'expliquer comment cela se fait que les distances vues au travers du rétroviseur intérieur et du rétroviseur extérieur semblent différentes. Pour quelle raison, on n'y a pas encore apporté remède? Merci --Kkbs (d) 5 février 2010 à 07:29 (CET)
- Un rétroviseur ne donne aucune indication de distance, la seule que tu peux avoir provient de ton habitude à déduire les distances à partir de la taille des objets que tu y vois. — Jérôme 5 février 2010 à 10:59 (CET) L'absence d'indication de distance vient de sa petite taille qui fait que l'observateur n'est jamais placé dans de bonnes conditions d'observation (vision binoculaire).
- (Edith) En réalité c'est fait exprès! Les rétroviseurs extérieurs sont des miroirs convexes qui ont la particularité d'élargir l'angle de vue (et réduire les angles morts) par contre ils ont le défaut d'éloigner l'objet. Et en plus le rétro conducteur est moins convexe que le passager donc les images de l'objet sont, par ordre de taille : intérieur>conducteur>passager. C'est du au fait que ces 3 rétros sont de plus en plus éloignés de l'œil du pilote (dans le même ordre) (Mitch)2 5 février 2010 à 11:02 (CET
Partant de la réponse de Jérome, je suis d'accord sur le principe que l'on y voit la distance que nous lui donnons. Il serait donc bien utile que l'on puisse avoir la même impression de distance en regardant dans n'importe lequel des rétroviseurs de la voiture. Pourquoi n'est ce par conséquent pas le cas? --Kkbs (d) 5 février 2010 à 12:24 (CET)
- la tête ne bouge pas de la meme manière. Bien régler le rétro du pare-brise MIKEREAD (d) 5 février 2010 à 12:29 (CET)
- Mais non enfin, lisez un peu Mitch² !
- La différence d’estimation de distances tient à la différence de taille (angulaire) des images. Il n’y a pas de solution, pour obtenir la même taille partout tout en conservant un angle de vue important dans le rétro extérieur, il faudrait un rétro extérieur énorme ou bien au contraire un rétro intérieur plus convexe dans lequel on verrait surtout l’intérieur de la voiture, et en tout petit la lunette arrière avec tout au fond les voitures qui sont derrière. Voilà qui serait fort commode, tiens. rv1729 5 février 2010 à 12:36 (CET)
- J'ai lu ce que Mitch a écrit. Il a entièrement raison.--MIKEREAD (d) 5 février 2010 à 12:56 (CET)
- De toute façon, les rétros ne servent à rien si la voiture possède un klaxon et des pare-chocs...Cobra Bubbles Dire et médire 5 février 2010 à 13:26 (CET)
- le stock-car de campagne--MIKEREAD (d) 5 février 2010 à 13:29 (CET)
- En France, ce qu'on appelle "stock-car", c'est ça et en anglais, c'est demolition derby. --MGuf 5 février 2010 à 13:37 (CET)
- Merci. Pourquoi on a pas l'article? --MIKEREAD (d) 5 février 2010 à 13:47 (CET)
- Au hasard (mais vraiment au hasard hein!): Parce que personne ne l'a créé?? Nous te remercions pour ta suggestion. Lorsque tu penses qu'un article devrait être amélioré, n'hésite pas à faire toi-même les changements nécessaires. Wikipédia est une encyclopédie basée sur un système wiki, que n'importe qui peut éditer en suivant le lien Modifier situé en haut de chaque page. La communauté des utilisateurs de Wikipédia t'encourage à être audacieux. Ne t'inquiète pas pour les erreurs que tu pourrais commettre de bonne foi, elles seront probablement détectées et corrigées très rapidement par d'autres contributeurs. Si tu n'es pas sûr de la manière de modifier une page, tu peux lire Comment modifier une page ou t'entrainer dans le bac à sable. Les nouveaux arrivants sont toujours les bienvenus. Bien que cela ne soit pas obligatoire, tu pourrais trouver des avantages à te créer un compte utilisateur. Bienvenue parmi les éditeurs de Wikipédia !
- Au hasard (mais vraiment au hasard hein!): Parce que personne ne l'a créé??
- Merci. Pourquoi on a pas l'article? --MIKEREAD (d) 5 février 2010 à 13:47 (CET)
- En France, ce qu'on appelle "stock-car", c'est ça et en anglais, c'est demolition derby. --MGuf 5 février 2010 à 13:37 (CET)
- le stock-car de campagne--MIKEREAD (d) 5 février 2010 à 13:29 (CET)
- De toute façon, les rétros ne servent à rien si la voiture possède un klaxon et des pare-chocs...Cobra Bubbles Dire et médire 5 février 2010 à 13:26 (CET)
- J'ai lu ce que Mitch a écrit. Il a entièrement raison.--MIKEREAD (d) 5 février 2010 à 12:56 (CET)
(Mitch)2 5 février 2010 à 13:56 (CET)
- Je détaille mon propos. J'ai roulé les 10 dernières années avec un fourgon tôlé, en n'ayant que deux rétroviseurs extérieurs. Ce fourgon a été transformé en camping car, avec pose de 2 fenêtres dans les portes arrières. Du fait de la présence des fenêtres, j'ai été obligé de poser un rétroviseur intérieur (obligatoire par le service d'homologation).
C'est ainsi suite à la présence de ce nouveau rétroviseur que j'ai constaté plus que par le passé de cet inconvénient dont je vous parle. J'en suis à près de 2 millions de kms parcourus, cela ne m'avais jamais vraiment dérangé. Mais maintenant, je trouve que ce changement est gênant. L'idéal serait de faire comme si le rétroviseur intérieur n'existait pas, mais sa seule présence incite le regard à l'observer quand même.
- Donc, si je comprends bien le but du rétroviseur est de renseigner la présence d'un autre véhicule, rien de plus au niveau concepteur du rétroviseur (je ne parle pas des anti reflets ou autres, qui ne sont pas le but de ma question)
L'évaluation des distances étant propre à chaque conducteur en fonction de son appréciation est donc secondaire. Malgré tout, c'est sur cette évaluation que nous nous basons pour exécuter nos manoeuvres. Cet aspect est donc moins secondaire qu'il n'y parait, on ne devrait pas avoir la désagréable impression d'un changement de distance lorsque l'on passe d'un rétro à l'autre.
- Si un constructeur de voiture donne les distances entre la position du conducteur et celle des rétroviseurs j'imaginais que les fabricants de rétroviseurs devaient avoir la possibilité en jouant sur les convexités des produire des rétroviseurs qui permettaient d'avoir la même impression de distance pour le conducteur quelque soit la position du rétro (intérieur, extérieur gauche ou droit).
- D'après ce que je lis, cela ne semble pas (encore) possible, peut être que ce n'est pas le problème des concepteurs de rétroviseurs. Désolé de vous embêter avec une question qui peut paraitre stupide. --Kkbs (d) 6 février 2010 à 07:31 (CET)
- De toutes façons, si vous voyez une Toyota dans votre rétroviseur, accélérez. Ses pédales de frein et d'accélérateur ne fonctionnant probablement pas, vous risquez de vous la prendre dans le c...offre arrière. Félix Potuit (d) 6 février 2010 à 09:33 (CET)
- idem avec une Citroen C1, Peugeot 107, et pas mal de Ford... Cobra Bubbles Dire et médire 6 février 2010 à 10:30 (CET)
- De toutes façons, si vous voyez une Toyota dans votre rétroviseur, accélérez. Ses pédales de frein et d'accélérateur ne fonctionnant probablement pas, vous risquez de vous la prendre dans le c...offre arrière. Félix Potuit (d) 6 février 2010 à 09:33 (CET)
- D'après ce que je lis, cela ne semble pas (encore) possible, peut être que ce n'est pas le problème des concepteurs de rétroviseurs. Désolé de vous embêter avec une question qui peut paraitre stupide. --Kkbs (d) 6 février 2010 à 07:31 (CET)
dimensionnement câbles souterrains et immergés des pompes immergées
modifierBonjour oracles, Puis-je m'aider à obtenir les abâques pour le dimensionnement des câbles souterrains et immergés des pompes immergées.Ce que j'ai comme abâques n'est valable que pour les câbles aériens.Si possible avec les formules mathématiques de dimensonnement. Merci infiniment!
- Pour faire simple : les câbles sont dimensionnés en fonction du courant qui les traverse (la puissance en réalité), pour éviter qu'ils chauffent au passage du courant. En aérien ou en souterrain ou sous-marin ca sera pareil. Peut etre même qu'en sous-marin on aura une meilleure dissipation thermique que dans l'air donc des câbles correctement dimensionnés en aérien seront OK pour le sous-marin et le souterrain. Essayez quand-même de trouver un électricien physique plutôt qu'une pythie virtuelle, des fois ya des astuces/pièges en fonction de la géographie des lieux! (Mitch)2 5 février 2010 à 11:57 (CET)
Europe 1 en streaming
modifierBonjour, Je vis en Afrique dans un pays non-francophone et j'aime bien écouter les radios françaises sur le net. Mais ma connexion est limitée (3 gb par mois) et avec des radios qui diffusent a 128 et même 64 kb/s, je suis très limité si je ne veux pas exploser mon abonnement... Je cherche donc une astuce qui me permette a la fois d'écouter la radio en direct, mais qui "consomme" peu en ressources (style 32kb/s) Que me conseillez-vous ? Merci
- Bonjour, si les radios de Radio France vous conviennent, vous pouvez les trouver en 32 kb/s. rendez vous à la page http://www.radiofrance.fr/boite-a-outils/faq/ Cliquez sur le septième item de la page « je veux écouter le direct en insérant l'adresse mp3 », voyez la section « bas débit ». Bonne écoute ! — Jérôme 5 février 2010 à 17:30 (CET)
Merci beaucoup ! Je connaissais ce lien pour France Inter, je cherche un équivalent bas débit pour Europe1...
- Notez sur cette page, le message du 16 aout 2007 qui indique que le flux bas débit d'Europe 1 a été arrêté. Pas de chance... Vous ne pouvez pas obliger les radios à émettre dans un format de votre choix, sachant qu'elles payent les serveurs qui font l'encodage 24h/24 et la transmission vers chaque personne connectée. Ces couts rendent improbable qu'un tiers décide de ré-encoder des radios pour les diffuser à un flux différent (outre les problèmes juridiques). N'hésitez pas à faire la remarque au service des auditeurs d'Europe 1, mais n'oubliez pas que vous n'êtes pas un « client » important pour eux : c'est eux qui payent pur votre connection et en plus vous ne leur rapportez rien (si vous habitez en Afrique, les publicités qu'ils diffusent ne vous concernent pas vraiment). Consolez-vos en vous disant que les auditeurs de la RTBF ont eu le même problème en 2008 quand leur flux bas débit a été arrêté (voir les dates sur ce site). — Jérôme 5 février 2010 à 20:57 (CET)
travail
modifierVais je changer de travail? merci par avance
- Je ne sais pas. rv1729 5 février 2010 à 16:54 (CET)
- moi je sais. Cobra Bubbles Dire et médire 5 février 2010 à 17:43 (CET)
- Certainement. Personne ne garde le même travail toute sa vie, et il n'y a aucune raison que vous fassiez exception.
- De rien
- gem (d) 5 février 2010 à 18:59 (CET)
- Il y a bien quelques exceptions qui font des œuvres d'une vie, mais elles ne se posent pas la question ! le sourcier [on cause ?] 5 février 2010 à 19:22 (CET)
- De toutes façons, vous êtes déjà viré. Signé : votre chef de service. Félix Potuit (d) 6 février 2010 à 09:35 (CET)
- Il y a bien quelques exceptions qui font des œuvres d'une vie, mais elles ne se posent pas la question ! le sourcier [on cause ?] 5 février 2010 à 19:22 (CET)
- Oui ! Sauf si le travail est le même. De rien, c'est 300 euros ! A très bientôt ! Signé: Elisabeth --Patschw (d) 6 février 2010 à 12:10 (CET)
enseignement
modifierBonjour cher équipe de l'Oracle, Je voudrai savoir dans quel pays commence-t-on autre le 1èr septembre .
Merci, --Anas1712 (d) 5 février 2010 à 18:50 (CET)
- Il n'y a que vous qui comprenez votre question, ça va être difficile de répondre, mais la réponse est sans doute dans Vacances scolaires et en:School holiday gem (d) 5 février 2010 à 19:03 (CET)
- … le Tannou-Touva ! — Hautbois [canqueter] 5 février 2010 à 19:54 (CET) (pour une fois qu'on en parle, il y a bien quelque chose qui doit commencer le 1er septembre, non ? )
- Comme vous probablement savez, la réponse va être différent dans tous les états des Etats Unis (et peut-être les provinces du Canada).--71.111.229.19 (d)
- Et aussi à l’est de. Encore que ça dépend du vent. rv1729 6 février 2010 à 09:45 (CET)
- Au Bénin, en Azerbaïdjan, et aussi dans la communauté livonne de Lettonie, ce qui n'est pas sans poser de prolèmes de compatibilité des calendriers scolaires par ailleurs.--Gaelpeiffer (d) 7 février 2010 à 15:44 (CET)
- Manifestement il y a des gens qui ont compris la question. Si ils pouvaient l’expliquer aux autres, ça serait pas du luxe. rv1729 7 février 2010 à 15:52 (CET)
- Au Liechtenstein ils ont repris le 17 août[1]!!! La question "Où a-t-on repris le mardi prmier septembre 2009?" reste à creuser...
- Et aussi à l’est de. Encore que ça dépend du vent. rv1729 6 février 2010 à 09:45 (CET)
- Comme vous probablement savez, la réponse va être différent dans tous les états des Etats Unis (et peut-être les provinces du Canada).--71.111.229.19 (d)
- … le Tannou-Touva ! — Hautbois [canqueter] 5 février 2010 à 19:54 (CET) (pour une fois qu'on en parle, il y a bien quelque chose qui doit commencer le 1er septembre, non ? )
- Sur internet, septembre est éternel... Bertrouf 8 février 2010 à 04:14 (CET)
art sacré et art profane
modifierBonjour,j'aimerai connaitre la différence entre art sacré et art profane? Savoir aussi si la haute couture est considérée comme art sacré et si il y a des livres traitant de ce sujet (en français).Merci d'avance.michel
- voir art sacré (ce qui se rapporte au Sacré), puis par déduction, le reste est de l'ordre du profane, hop. Cobra Bubbles Dire et médire 6 février 2010 à 11:59 (CET)
- Un art sacré est un art qui se rapporte au culte, comme certaines traditions de peinture ou de sculpture. La « haute couture » ne n'entretient de nos jours aucun lien particulier avec la religion, notamment, pour une question de fond : l'office religieux est tout porté à célébrer la gloire du Dieu et non celle des hommes qui le servent. Les vêtements liturgiques courants (soutane, robe de moine) se caractérisent par une certaine sobriété qui n'est guère compatible avec l'imagination débridée et l'ostentation de la haute couture. Dans le passé, les « arts somptuaires » (art des vêtements) ont eu un grand développement dans la tradition byzantine, avec force de fils d'or et pourpre (qui survit toujours dans la pourpre cardinalice). Je pense que les vêtements actuels des dignitaires orthodoxes, pour flamboyants qu'ils soient, traduisent cette longue tradition plutôt que des inspirations modernes. Je ne sais pas s'il y a des contrats de fabrication à grande échelle de vêtements liturgiques chrétiens, mais je dirais que ce sont plutôt de petites maisons locales, par exemple ce tailleur-costumier. Demandez éventuellement à un prêtre ou un évêque si vous en avez dans vos relations. — Jérôme 6 février 2010 à 13:32 (CET)
- Pourtant une scène de défilé de mode ecclésiastique dans Fellini Roma pourrait passer pour de l'art sacré... --Serged/♥ 6 février 2010 à 14:32 (CET)
- Jean-Charles de Castelbajac a aussi créé une ligne de vêtements liturgiques pour Popol et 5 500 des ses potes à l'occasion des XIIe Journées Mondiales de la Jeunesse.Cobra Bubbles Dire et médire 6 février 2010 à 17:54 (CET)
- Wikipédia...un sacré boulot fait par des profanes !--Hul Trasson (d) 7 février 2010 à 10:05 (CET)
- Jean-Charles de Castelbajac a aussi créé une ligne de vêtements liturgiques pour Popol et 5 500 des ses potes à l'occasion des XIIe Journées Mondiales de la Jeunesse.Cobra Bubbles Dire et médire 6 février 2010 à 17:54 (CET)
- Pourtant une scène de défilé de mode ecclésiastique dans Fellini Roma pourrait passer pour de l'art sacré... --Serged/♥ 6 février 2010 à 14:32 (CET)
- Un art sacré est un art qui se rapporte au culte, comme certaines traditions de peinture ou de sculpture. La « haute couture » ne n'entretient de nos jours aucun lien particulier avec la religion, notamment, pour une question de fond : l'office religieux est tout porté à célébrer la gloire du Dieu et non celle des hommes qui le servent. Les vêtements liturgiques courants (soutane, robe de moine) se caractérisent par une certaine sobriété qui n'est guère compatible avec l'imagination débridée et l'ostentation de la haute couture. Dans le passé, les « arts somptuaires » (art des vêtements) ont eu un grand développement dans la tradition byzantine, avec force de fils d'or et pourpre (qui survit toujours dans la pourpre cardinalice). Je pense que les vêtements actuels des dignitaires orthodoxes, pour flamboyants qu'ils soient, traduisent cette longue tradition plutôt que des inspirations modernes. Je ne sais pas s'il y a des contrats de fabrication à grande échelle de vêtements liturgiques chrétiens, mais je dirais que ce sont plutôt de petites maisons locales, par exemple ce tailleur-costumier. Demandez éventuellement à un prêtre ou un évêque si vous en avez dans vos relations. — Jérôme 6 février 2010 à 13:32 (CET)
adalimumab
modifierje pense avoir trouver une erreur. l'infliximab et l'adalimumab ont exactement la même formule. cependant je n'y connais rien, je préfère donc vous le signaler et vous laisser gèrer le problème.
- non, ce n'est pas une erreur, ce sont des isomères, ils ont la même formule brute mais paqs forcément les mêmes propriétés physiques ou chimiques. Cobra Bubbles Dire et médire 6 février 2010 à 12:03 (CET)
Problème de la mesure quantique dans l'experience des fentes de Young
modifierBonjour,
lors de l'expérience, si j'ai bien compris quand les photons sont envoyé un par un, on obtient en résultat des interférences qui indique que le photon agit comme une onde. Le photon peut potentiellement emprunter l'une ou l'autre fentes, ou aucune ou les deux. Mais lorsque l'on observe avec un appareil de mesure (qui m'est inconnu) le photon redevient subitement une simple particule et ne forme plus d'interférence mais seulement deux fentes.
Cela est très étrange, comment l'observation peut changer le comportement du photon ? N'est-ce pas l'appareil de mesure qui perturbe son déroulement ? Autant je pourrais comprendre que l'appareil de mesure ne comprenne pas la potentialité, n'arrive pas à mesurer... mais comment peut-on transformer la réaction d'un photon par la simple observation ? Le photon se sentirait regardé et déciderait d'agir autrement ? Des photon avec une conscience semble absurde, je crains n'avoir pas bien compris.
Merci d'avance pour votre aide.
- Un photon se comporte comme une onde, mais aussi comme une particule (ou n'est pas vraiment une onde, ni vraiment une particule), il a simultanément les propriétés des deux, ça dépend du point de vue où on se place. Enfin, c'est à peu près ça. On ne peut pas transposer à l'échelle du photon les concepts qui nous sont familiers à notre échelle. Le tout est expliqué dans l'article Dualité onde-particule. Dhatier jasons-z-en 7 février 2010 à 02:35 (CET)
- J'avais bien lu l'article. Finalement ma question ne porte pas sur l'onde ou la particule, mais plutôt sur le résultat sur l'écran. Si mon résumé est juste cela veut dire qu'en allumant des instruments de mesure l'écran enregistre deux fentes. Si on les éteints, l'écran enregistre des interférences. Sans aller dans la compréhension à l'échelle du photon, sans savoir si c'est un comportement d'une onde ou d'une particule, l'expérience est tout de même incompréhensible.
- Prenez ça autrement: si dès le départ les différents chercheurs avaient eu l'intuition géniale de deviner, sans bases théoriques et sans expérimentations grâce à des instruments précis, de la dualité de la matière, vous n'auriez pas à poser la question pour essayer de comprendre que toute la matière est dans un état qui est corpusculaire et ondulatoire.
- Le photon ne change pas de comportement parce qu'on l'observe, on observe deux comportements du photon parce qu'on observe de deux manières différentes. Le résultat fini est la somme des possibilités réalisées: Chaque photon percute une seule place ( donc c'est une particule ) mais qui n'est pas prévisible au départ et l'ensemble des photons se repartissent au fur et à mesure selon un motif caractéristique ( donc c'est une onde ). C'est juste une probabilité que tel photon passe par telle fente et pas l'autre.
- Cette expérience est aussi une introduction au calculateur quantique, un peu comme les calculateurs analogiques surpassent les calculateurs numériques dans certains domaines ( élastique+clous pour le périmètre, ficelle+nœuds pour le trajet, spaghettis pour le classement croissant, bulles de savon...). Physique amusante.
- Merci de m'aiguiller. Je préfère de nouveau préciser, l'état corpusculaire/ondulatoire n'est pas sujet à mystère pour ma part. Vous dites "Le photon ne change pas de comportement parce qu'on l'observe, on observe deux comportements du photon parce qu'on observe de deux manières différentes."
- J'ai bien peur que cela ne m'avance que vers la même interrogation mais sous une forme différente. Car quels sont les manières différentes d'observer ? D'un côté deux fentes et un écran. (On lance l'expérience, et puis on regarde l'écran.) De l'autre deux fentes, un appareil de mesure et un écran. (On lance l'expérience, on regarde l'écran et accessoirement on relève les données de mesure.) Tout ce qui change c'est l'ajout d'un appareil sensé être neutre dans le déroulement de l'expérience. Comme l'est notre œil par exemple qui lui bien qu'observateur ne modifie rien... mais bref, comment peut-on ici parler de manières différentes d'observer ? Sans s'intéresser au résultat de l'instrument de mesure ; puisque dans ce cas il semble interagir, je le prend comme matériel de l'expérience.
- Comment réussit-il à changer le schéma de marques de frappe des photons sur l'écran ?! Ou plutôt, pour respecter votre remarque, comment l'appareil de mesure modifie notre manière d'observer les frappes sur l'écran ?
- Merci
- Bonjour, en effet le paragraphe dont vous parlez n’est pas très clair.
- Je résume : si on passe un appareil de mesure qui détecte le passage dans les fentes, on observe le passage par une fente et une seule, et dans ce cas on n’a plus d’interférence.
- Bon. C’est l’idée que la mesure modifie l’objet mesuré. Attention, l’appareil n’est pas « censé être neutre », ça n’a pas de sens. Par exemple votre œil ne mesure rien si il n'y a pas de lumière. Il faut éclairer l’objet observé, il va réfléchir en partie la lumière... vous lui apportez de l’énergie. Pour un objet macroscopique ça n’a pas beaucoup d’importance...
- Mais quand vous précisez la position d’un photon, vous modifiez sa fonction d’onde. Bref, en plaçant un appareil de mesure, vous perturbez l’expérience. La mesure nécessite une interaction avec le photon, on lui prend ou lui apporte de l’énergie... ça modifie son comportement.
- J’espère que c’est un peu plus clair. Voyez aussi décohérence quantique et problème de la mesure quantique... rv1729 7 février 2010 à 09:14 (CET)
- Ah ! Je crois comprendre, et c'est sommes toute assez simple si on oublie que ce n'est qu'une théorie. L'observation n'a rien à voir. C'est la technique de mesure qui est inapproprié et qui perturbe l'expérience en cassant une des propriété du photon. Relation de cause à effet qui me paraissait la plus plausible et en tout cas c'est la moins fantaisiste. Il n'y a plus qu'à trouver une technique neutre. (Et quand je dis neutre je veux dire tendre vers l'acceptable, au moins ne pas changer du tout au tout une expérience en allumant les machines de mesure...)
- Je cite la phrase magique "Naturellement, le fait de mesurer volontairement un système quantique provoque des interactions nombreuses et complexes avec un environnement constitué par l'appareil de mesure. Dans ce cas, la décohérence est pratiquement instantanée et inévitable."
- Autant imaginé les états superposés ça allait, mais j'ai bien cru ne jamais y arrivé avec ces histoires de conscience (physique ésotérique ou je ne sais quoi...)
- Merci bien.
- C’est presque ça. L’idée est qu’il n’y a pas d’observation possible sans modification de l’état du système. Une technique « neutre » est par définition impossible. rv1729 7 février 2010 à 09:54 (CET)
- Oui... c'est ce qu'on dit aujourd'hui, mais c'est bien possible qu'une technique naisse plus tard, enfin du moins est possible. Cela dit faut autant d'imagination qu'il en faut pour comprendre tout ça.
- Ça n’est pas une question de limites techniques, mais théoriques. Vous ne pouvez pas obtenir d’informations sur l’état d’un système sans interagir avec lui. En interagissant, vous le modifiez forcément. rv1729 7 février 2010 à 10:39 (CET)
- Yep. D'où l'amusante observation qu'un homme totalement invisible serait également aveugle : pour voir quelque chose, il faut capter un truc quelconque (des photons en l'occurence), truc qui par définition ne se retrouve plus là où il était avant, et ça, ça perturbe tout. Notez par exemple que les yeux des escargots forment quatre points opaques : ce n'est pas contingent, c'est nécessaire pour que se soient des yeux. Même chose pour tout appareil de mesure : voir par exemple Démon de Maxwell. gem (d) 8 février 2010 à 10:09 (CET)
- Même cette expérience montre bien un problème technique. Il y a perturbation donc il y a changement de réaction. Si on s'arrête au progrès technique d'aujourd'hui on peut dire que c'est impossible de ne pas retirer cet effet. Mais comment logiquement interdire toute possibilité (même, et surtout, théorique) ? L'observation en elle même n'a d'effet que sur des cas précis qui n'ont rien à voir. Nous avons cependant un point d'accord : observer sans absolument rien modifier semble impossible puisqu'on rajoute un élément, non dans l'observation mais dans la technique matériel qu'elle sous-entend, donc l'objet observateur. Si, par exemple, je rajoute un matériel de mesure dans la pièce de l'expérience : il y a une place de prise en plus dans l'atmosphère de la pièce. Donc il y a perturbation. Mais, nous ne cherchons pas ici l'absolu neutralité, nous cherchons à ce que toutes les perturbations que provoque la mesure n'ai pas d'effet sur l'examen du sujet précis de l'expérience. (Par exemple je veux savoir quelle heure il est, je relève ma manche, je regarde ma montre : je perturbe. Mais puisque je ne veux que savoir l'heure, ce n'est pas grave.)
- Sans appareil de mesure il est possible de perturber également le résultat, donc même sans observation on peut arriver à la même modification dans l'expérience des deux fentes par exemple.
- On peut imaginer trouver une technique microscopique qui ne serait pas grave dans certain cas (et restant grave dans d'autre.) Sans dire que c'est pour demain mais plutôt en parlant de façon théorique, je me refuse par logique à ordonner une quelconque impossibilité.
- Un exemple pour faire comprendre mes doutes : sur un plan en deux dimensions imaginons un œil (en 2D lui aussi) qui ne verrait pas au travers d'un 'mur' (donc d'un trait par exemple.) Passons en trois dimensions... et voilà, vous avez votre vue. C'est bien une impossibilité technique qui empêche de voir au delà d'un mur, même en 3D. On ne peut pas conclure qu'il est impossible de voir au travers. Il est bel et bien possible de voir au travers de ce qui semble une impossibilité technique.
- Maintenant ne maîtrisant pas le sujet, peut être existe t-il des preuves théorique m'étant inconnues (comme vous semblez le dire rv), quelque chose peu m'échapper et ce que j'aimerais comprendre dans ce cas c'est comment est-il prouvé que c'est irrémédiablement impossible ?
- Voyez donc Expérience de la gomme quantique à choix retardé, ça devrait vous donner une idée de la difficulté à laquelle vous vous attaquez : on n'est pas du tout dans des problèmes simplement techniques qu'un peu de progrès dépassera tôt ou tard, on est dans la métaphysique la plus profonde. gem (d) 8 février 2010 à 17:05 (CET)
- Moi aussi, je suis pour dire "la fente de Young", et non pas "la fente d'Young" comme dans l'article. Je n'ai aucune idée de ce que ça peut être, j'espère que ça ne concerne pas la prostitution des mineures. Félix Potuit (d) 8 février 2010 à 18:34 (CET)
- A peu près, c'est ma devise.
- Gem, L'expérience bien qu'impressionnante ne prouve pas plus loin que la première expérience pour ce qui est du sujet traité dans ma question. Bien sûr il y a de nouveaux résultats (sorte de modification du passé etc.) mais ça ne change rien au fait que le résultat est changé par une mesure qui interfère (on peut remplacer les mesures par de simple appareils qui ne mesurerait pas mais qui produirait la même interférence.) Donc sans parler de progrès technologique, là à peut être été mon erreur, théoriquement je ne vois pas plus de preuve que l'observation elle même quelque soit les moyens utilisé modifie le comportement quantique. Ou plutôt 'ce' comportement quantique là (pour éviter de reprendre la discussion d'impossibilité de neutralité.)
- Si l'on peut me fixer là dessus, merci, ça me ferait un grand bien aux méninges. Mais peut être n'existe-t-il tout simplement aucune preuve et que ce ne sont que des hypothèses d'impossibilités non-expliquées.
- C'est un sujet clos depuis longtemps, comme la quadrature du cercle. Il n'y a pas de mesure sans interaction avec l'objet mesuré, et c'est cette interaction qui perturbe l'objet mesuré. Quand vous lisez un livre, il a fallu que des photons aillent percuter la page et rebondir au fond de votre œil pour que vous "mesuriez" les zones blanches et noire de la page. Pareil pour toute forme de mesure d'une particule dans l'expérience de Young : on ne peut savoir par où elle passe que si on la mesure avec des photons, ce qui agit sur elle et perturbe son comportement ondulatoire. (Et dans le cas d'une particule, même un tout petit photon incident est un bolide qui la percute.) Il n'y a pas de forme de mesure "magique" à distance sans interagir avec un objet, il y a toujours forcément une forme d'interaction avec l'objet sur lequel on veut prélever une information, et c'est cette interaction qui détruit la nature ondulatoire de l'objet isolé, non mesuré. Pas d'action sans réaction, pas de mesure sans interaction, pas d'interaction sans perturbation. 62.147.27.25 (d) 9 février 2010 à 13:26 (CET)
- +1. Vous pouvez voir ça comme une application du principe d'action-réaction (la perception suppose une action de l'objet observée sur l'appareil, donc une réaction de l'appareil sur l'objet observé), principe qui lui-même n'est rien d'autre que la conservation de l'énergie. gem (d) 9 février 2010 à 16:18 (CET)
- C'est un sujet clos depuis longtemps, comme la quadrature du cercle. Il n'y a pas de mesure sans interaction avec l'objet mesuré, et c'est cette interaction qui perturbe l'objet mesuré. Quand vous lisez un livre, il a fallu que des photons aillent percuter la page et rebondir au fond de votre œil pour que vous "mesuriez" les zones blanches et noire de la page. Pareil pour toute forme de mesure d'une particule dans l'expérience de Young : on ne peut savoir par où elle passe que si on la mesure avec des photons, ce qui agit sur elle et perturbe son comportement ondulatoire. (Et dans le cas d'une particule, même un tout petit photon incident est un bolide qui la percute.) Il n'y a pas de forme de mesure "magique" à distance sans interagir avec un objet, il y a toujours forcément une forme d'interaction avec l'objet sur lequel on veut prélever une information, et c'est cette interaction qui détruit la nature ondulatoire de l'objet isolé, non mesuré. Pas d'action sans réaction, pas de mesure sans interaction, pas d'interaction sans perturbation. 62.147.27.25 (d) 9 février 2010 à 13:26 (CET)
- A peu près, c'est ma devise.
Juda versus Israel ?
modifierBonjour à tous !
Je suis en actuellement en train de lire la Bible (pour l'instant l'ancien testament), et je m'étonne de la séparation qui est continuellement faite en Israël et Juda. Je n'ai pas sous la amin de citation précise, mais en gros, ça revient à ça "il y avait deux milles fantassins d'Israël, et deux milles de juda" ou, encore, il est fait référence aux annales des rois d'israel, et aux annales des rois de Juda.
Merci de m'éclairer
- Nos articles sur la question sont assez mal faits, voir toutefois : Royaume d'Israël et Royaume de Juda. Les versions anglaises sont bien meilleures. En résumé, si l'on suit le récit biblique, Saul et David créent un royaume en réunissant les tribus d'Israël, le Royaume d'Israël. Toutefois, à la mort du successeur de David, Salomon, le royaume se scinde en deux : le Royaume du Nord qui réunit 10 tribus sur 12, et qui porte le nom de Royaume d'Israël, et le royaume du Sud, qui regroupe la tribu de Juda et celle de Benjamin, qui a comme capitale Jérusalem, et qui s'appelle le Royaume de Juda. Les deux royaumes sont rivaux, mais restent relativement proches du point de vue des croyances religieuses. gede (d) 7 février 2010 à 13:43 (CET)
Abram et Abraham
modifierBonjour à tous,
dans l'article consacré à Abraham il est indiqué que ""on ne t’appellera plus Abram (אברם ābrm), mais ton nom sera Abraham (אברהם ābrhm), car je te fais père d’une foule (hamon : ham est la fin du mot Abraham et le début du mot hamon), de nations (goyim)"" Je ne suis pas sûre de comprendre, c'est bien "hamon" qui signifie "foule"? Merci de votre attention,
--82.122.55.29 (d) 7 février 2010 à 14:48 (CET)
- hamown ou hamon : multitude, troupes, foule, rumeur, tumulte, bruit, fracas, quantité, richesse, abondance, nombre, retentir, frémissement, etc, cf [13]. rv1729 7 février 2010 à 15:47 (CET)
- Bonjour, il me semble que hamon, המון, veut dire beaucoup, ce qui répond au moins en partie à votre question, non? --Gaelpeiffer (d) 7 février 2010 à 15:52 (CET)
- Il s'agit d'une citation de Genèse 17-5. Dieu s'adresse à Abraham et lui propose une alliance. Aux termes de cette alliance, Dieu donne une descendance légitime à Abraham, dont la femme était pourtant près de centenaire et n'avait pas eu jusque là d'enfant. Dieu garantit à Abraham qu'elle va néanmoins enfanter un fils, qu'il appellera Isaac, qui fera de lui le "père d'une multitude de peuples". Par conséquent, son nom ne sera plus Abram, qui signifie en hébreu biblique "Père éminent", mais Abraham, qui signifie "Père d'une multitude", ab voulant dire "père" en hébreu (comme en arabe, d'ailleurs). --gede (d) 7 février 2010 à 18:17 (CET)
Lichen plan
modifierBonjour, je suis attend du lichen plan, et ma question est est t'il contagieux ? je sais qu'il est, par vois sexuelle, mais je voudrai savoir si il le peus être par autre chose... je dois rentré en France, chez mon frere, et celui-ci a peur car il crois que je vais infectés sa famille. Alor que je vis avec ma femme au Quebec, et personne à ce jour ne presente de symtomes lié au lichen plan. merci de me repondre, mon adresse E-mail est xxxx Monsieur Paul
- Non ce n'est pas contagieux. .Anja. (d) 7 février 2010 à 20:35 (CET)
- Mais le mieux ne serait-il pas d'avoir demandé l'avis d'un professionnel de santé ? D'ailleurs, il ne me semble pas qu'une maladie auto-immune soit contagieuse ? .Anja. (d) 7 février 2010 à 20:38 (CET)
- Comment tu peux affirmer ça ? C'est un machin dont on ne sait pas trop quelles en sont les causes, et il n'est pas du tout impossible que certaines de ses causes soient contagieuses ; et le frangin a plus de chances qu'un autre d'avoir une prédisposition à la sensibilité à l'éventuel truc contagieux qui participe à la maladie.
- Pour éclaircir tout ça il faudrait savoir si on rapporte des cas où plusieurs personnes d'une même famille sont atteintes (alors il n'est pas exclu que ça soit contagieux, moyennant terrain favorable à la maladie) , ou si ça n'est jamais le cas (auquel cas rien à craindre). Et c'est à que le bandeau médical se justifie pleinement. gem (d) 8 février 2010 à 09:52 (CET)
- Il est inscrit dans l'article même de Wikipédia Lichen plan que c'est une maladie auto-immune. Après vérif, ce serait certain (voir [www.autoimmune-skin-disorders.suite101.com/article.cfm/lichen_planus]) ou très probable ("Bien que non définitive, les chercheurs affirment lichen plan présente plusieurs caractéristiques d'une maladie auto-immune" traduction de [14]).
De manière générale, une maladie auto-immune n'est pas contagieuse (sauf,un peu comme le SIDA, par voie sexuelle et génétique (ça peut se transmettre à ses enfants), par exemple, ou par échange salivaire etc.), puisque c'est une déficience immunitaire. Et je ne pense pas que notre aimable questionneur ait l'intention d'avoir des rapports sexuels avec son frère n'est-ce pas ...
Néanmoins, devant les hésitations même de la "communauté scientifique" (la véritable), le mieux est bien de demander à un toubib, et de suivre les conseils exprimés ci-dessus de gem. .Anja. (d) 8 février 2010 à 12:24 (CET)
- Il est inscrit dans l'article même de Wikipédia Lichen plan que c'est une maladie auto-immune. Après vérif, ce serait certain (voir [www.autoimmune-skin-disorders.suite101.com/article.cfm/lichen_planus]) ou très probable ("Bien que non définitive, les chercheurs affirment lichen plan présente plusieurs caractéristiques d'une maladie auto-immune" traduction de [14]).
- La réponse d’.Anja. paraît raisonnable. Je ne connais pas le cas précis du lichen plan, mais je bosse sur des maladies auto-immunes et dans les cas que je connais la contagion est exclue. Je n’ai guère d’hésitation à extrapoler à d’autres cas... D’un point de vue purement logique gem n’a pas tort : il y a des facteurs environnementaux soupçonnés de jouer un rôle dans le déclenchement de certaines de ces maladies, mais ils sont très répandus et le malade ne les transporte pas avec lui. Par contre, pour toutes ces maladies, il y a un bien une agrégation familiale, mais ça n’est jamais interprété comme une preuve de contagion !
- Personne n’irait soupçonner un diabétique d’être contagieux. Ce qu’il y a, c’est qu’une affection dermatologique comme celle-ci est impressionnante, et évoque par son aspect des maladies infectieuses, ce qui peut provoquer une certaine inquiétude.
- La morale de l’histoire est que pour rassurer votre frère, rien ne vaudra l’avis d’un professionnel. rv1729 8 février 2010 à 19:58 (CET) .Anja., le SIDA n’est pas une maladie auto-immune !!
- Curieux, cette confiance aveugle dans les médecins qui perdure jusqu'à nos jours (survivance des sorciers et chamans). Un médecin est un type comme vous et moi, il a fait quelques études, il peut se tromper, il est parfois malhonnête, travaillé au corps par les représentants des labos pharmaceutiques, et généralement il s'intéresse surtout à sa maison de campagne et aux jantes alu de sa bagnole. Allez consulter trois médecins pour les mêmes symptômes et comparez les résultats, pour voir. Arrêtons de croire que le médecin est infaillible et a réponse à tout. Félix Potuit (d) 9 février 2010 à 08:29 (CET)
- Je ne peux qu'approuver Félix. Pour avoir essuyé un refus de la part de mon toubib, refus injustifié, j'ai été obligé de l'acculer, preuves à l'appui, que ce que je demandais se faisait déjà aux États-Unis et que d'autres le faisaient aussi couramment, que c'était également répandu dans d'autres méthodes, et ce sans danger pour la santé ! La solution "courante" qu'elle me proposait était juste plus "politiquement correct" . Affreuse langue de bois des toubibs... Bref, consulter (ou prendre l'avis) de professionnels, c'est toujours plus sûr effectivement. .Anja. (d) 9 février 2010 à 08:38 (CET)
- Félix et .Anja., je suis d'accord que l'incompétence règne chez certains praticiens mais pour autant Félix tu soulignes le problème sans le comprendre. Pour qu'une médecine fonctionne qu'elle soit conventionnelle, traditionnelle ou une bonne vieille charlatanerie (cf. Pseudo-médecine), il faut croire à son pouvoir et à son thérapeuthe. Le médicament prescrit par nos généralistes est souvent donné pour un effet placebo et dans les cancers en phase terminal pour faire du palliatif. Bref, la guérison est affaire de croyance et plutôt que de faire de multiples consultations, je conseillerai juste de choisir un praticien en adéquation avec sa vision personnelle de la médécine car la confiance sera une partie de la guérison. Pour faire un parallèle, sans que je sois complètement en phase avec les méthodes mais je pense qu'il y a une réalité et des intervenants m'ont rapporté des réussites, voir l'Ethnopsychiatrie.--1R2N (d) 10 février 2010 à 13:01 (CET)
- Non. Croire en son médecin est accessoire. Bien sûr l'effet placebo permet d'améliorer un traitement ou même de satisfaire un patient qui n'est pas réellement malade, mais c'est assez superficiel. Il vaut mieux consulter un vrai médecin que n'importe qui d'autre, car même si il peut se tromper (comme le disait Felix), ses traitements seront plus efficaces que de simple placebo délivrés par des gourous de la médecine douce. Agrafian (me parler) 10 février 2010 à 13:19 (CET)
- Félix et .Anja., je suis d'accord que l'incompétence règne chez certains praticiens mais pour autant Félix tu soulignes le problème sans le comprendre. Pour qu'une médecine fonctionne qu'elle soit conventionnelle, traditionnelle ou une bonne vieille charlatanerie (cf. Pseudo-médecine), il faut croire à son pouvoir et à son thérapeuthe. Le médicament prescrit par nos généralistes est souvent donné pour un effet placebo et dans les cancers en phase terminal pour faire du palliatif. Bref, la guérison est affaire de croyance et plutôt que de faire de multiples consultations, je conseillerai juste de choisir un praticien en adéquation avec sa vision personnelle de la médécine car la confiance sera une partie de la guérison. Pour faire un parallèle, sans que je sois complètement en phase avec les méthodes mais je pense qu'il y a une réalité et des intervenants m'ont rapporté des réussites, voir l'Ethnopsychiatrie.--1R2N (d) 10 février 2010 à 13:01 (CET)
- Je ne peux qu'approuver Félix. Pour avoir essuyé un refus de la part de mon toubib, refus injustifié, j'ai été obligé de l'acculer, preuves à l'appui, que ce que je demandais se faisait déjà aux États-Unis et que d'autres le faisaient aussi couramment, que c'était également répandu dans d'autres méthodes, et ce sans danger pour la santé ! La solution "courante" qu'elle me proposait était juste plus "politiquement correct" . Affreuse langue de bois des toubibs... Bref, consulter (ou prendre l'avis) de professionnels, c'est toujours plus sûr effectivement. .Anja. (d) 9 février 2010 à 08:38 (CET)
- Curieux, cette confiance aveugle dans les médecins qui perdure jusqu'à nos jours (survivance des sorciers et chamans). Un médecin est un type comme vous et moi, il a fait quelques études, il peut se tromper, il est parfois malhonnête, travaillé au corps par les représentants des labos pharmaceutiques, et généralement il s'intéresse surtout à sa maison de campagne et aux jantes alu de sa bagnole. Allez consulter trois médecins pour les mêmes symptômes et comparez les résultats, pour voir. Arrêtons de croire que le médecin est infaillible et a réponse à tout. Félix Potuit (d) 9 février 2010 à 08:29 (CET)
- Mais le mieux ne serait-il pas d'avoir demandé l'avis d'un professionnel de santé ? D'ailleurs, il ne me semble pas qu'une maladie auto-immune soit contagieuse ? .Anja. (d) 7 février 2010 à 20:38 (CET)