Wikipédia:Oracle/semaine 45 2009

Dernier commentaire : il y a 3 ans par Francool50 dans le sujet TA et TAC

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compresseur centrefuge

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je suis ingenieru process branche hydrocarbures j ai besoin d un doc sur proces huile etancheite compesseur centrefuge.
-- merci — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 196.20.72.197 (discuter), le 2 novembre 2009 à 04:50 (CET)Répondre

Il y a un article 'Compresseur centrifuge' avec des interwikis, liens externes et bibliographie. -- Xofc [me contacter] 2 novembre 2009 à 06:08 (CET)Répondre

Rimbaud

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Bonjour, j'aimerais savoir si Arthur Rimbaud a eu des enfants .Lors de son séjour en Afrique il a rencontré une femme d'abyssie, dites-vous. merci de me repondre.

Bonsoir, voyez dans l'article Arthur Rimbaud, il a eu 5 enfants Foutaises, c'était son père!! (Mitch)2.; ses rencontres y sont aussi indiquées. (Mitch)2 2 novembre 2009 à 10:23 (CET)Répondre
Il y a eu une rumeur qui a dit que Isabelle Eberhardt est la fille d'Arthur Rimbaud. C'est probablement incorrect mais c'est peut-être l'origine de vos doutes sur la question. Vous pouvez lire cet article de Jeune Afrique : La Rose des sables. — Jérôme 2 novembre 2009 à 13:38 (CET)Répondre
En tout cas ce qui est sur est qu'il songeait à se marier. En outre a fait l'éducation d'une femme noire de très grande beauté[réf. nécessaire]--MIKEREAD (d) 3 novembre 2009 à 09:40 (CET)Répondre
La reference est dans les lettres de Rimbaud à sa mere et dans la preface aux oeuvres completes d'Arthur Rimbaud dans la collection le livre de poche--MIKEREAD (d) 11 novembre 2009 à 14:34 (CET)Répondre

Origine du mot "vidéoludique"

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Bonjour, Je m'interroge sur l'origine exacte de l'expression "vidéoludique", désormais généralisée lorsqu'il s'agit de désigner tout ce qui a trait au jeu vidéo. Il me semble qu'elle n'a été forgée que très récemment. Connaît-on celui ou ceux qui l'ont employé en premier ? Hell Pé (d) 2 novembre 2009 à 20:01 (CET)Répondre

Dans un futur béni, Internet Archive implémentera la recherche en texte brut dans son index. Ainsi il deviendra possible de rechercher la plus ancienne occurrence sur internet d'un mot donné. En attendant, on peut trouver avec google groups (archive des discussions Usenet à partir de 1981) que le mot apparait dans les discussions en juillet 2000 (voir cette recherche). On trouve aussi une occurrence dans Jeune Afrique en 2000 n° 2040-2046 - 2000 et dans l'Express en 1999 n° 2491-2503 - 1999. On trouve aussi une occurrence isolée en 1993 dans un livre (voir en bas de la recherche suivante Alain Gauthier L'impact de l'image page 169. Bon courage dans cette recherche. — Jérôme 2 novembre 2009 à 22:45 (CET)Répondre
Ok, merci beaucoup Jérôme ! Mes recherches m'avaient amené à des numéros de Joypad datés de 2001 (où Arnaud Saint-Martin, alias Aruno, semblait revendiquer la paternité de l'expression inverse "ludo-numérique"). J'ai pensé également à chercher dans les archives de Gamekult, ce que je n'ai pas encore fait, et qui risque d'ailleurs d'être assez fastidieux.
Enfin, il semblerait que dans son contexte, l'expression "vidéo-ludique" employée (inventée ?) par Alain Gauthier ne désigne pas directement le jeu vidéo. Mais tout ceci est fort intéressant. Encore une fois, merci ! Hell Pé (d) 3 novembre 2009 à 21:22 (CET)Répondre
Il y probablement eu plusieurs étapes entre la première occurrence, sa stabilisation dans un contexte précis et sa généralisation dans les sources. Voir il y a deux semaines la même question pour « somnologie » (Wikipédia:Oracle/semaine 43 2009#somnologue) dont il croyait l'invention récente. En quelques réponses, des sources de 1982, 1949, 1846 et 1816 ont successivement été proposées. Le contexte peut avoir changé en 200 ans, évidemment. — Jérôme 3 novembre 2009 à 23:56 (CET)Répondre

Anthony Hopkins

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Bonjour, je cherchais des informations sur le film "QBVII" de Tom Gries dans lequel joue Anthony Hopkins dans le rôle du Dr. Kelno, un médecin impliqué dans les crimes de guerre de l'armée nazie. Je n'ai pas trouvé d'informations en français mais uniquement sur des sites anglophones. Or, il semble que c'était une série américaine qui est sortie en Avril 1974, et inspirée d'un roman de Leon Uris. J'ai visualisé les 390 min de film, et bon, j'ai beaucoup aimé, tant pour le sujet que pour les performances incroyables des acteurs. Donc, je me disais qu'il serait peut-être intéressant d'ajouter une ligne d'information sur cette série sur la page d'Anthony Hopkins. Comme je ne suis pas douée pour faire ce genre de choses moi-même, je m'adresse à vous, experts bénévoles, pour tout d'abord vous remercier (wikipédia me sert chaque jour) et bien sur également pour composer la ligne sur ce sujet. Pour information, voici le lien de la page que j'ai trouvé en anglais : http://www.imdb.com/title/tt0071039/ J'ai également trouvé une citation de cette série sur votre page dédiée à Tom Gries. Bien, je vous remercie par avance. charlotte

Bonjour, puisque vous nous lisez tous les jours vous pouvez aussi lire Aide:Tout l'indispensable... et effectuer la modification. Ensuite il vous restera à créer l'article en français concernant la série en traduisant l'article existant en anglais [1] le mieux serait de vous inscrire pour obtenir de l'aide pour chaque étape et c'est là que notre bénévolat sera le plus utile car demain il vous viendra à l'esprit de vouloir faire d'autres modifications et votre participation active sera toujours appréciée (même si au début on commet des maladresses dans ce cas on vous le signalera, en général le ton reste poli)  .Bon courage --Doalex (d) 3 novembre 2009 à 09:38 (CET)Répondre

La pression Atmosphérique

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Bonjour, je voudrais savoir que représente la préssion atmosphérique? et Pourquoi la quantité de molécule est importante et faible? Merci d'avance!!!

La pression atmosphérique est avant tout une pression (!). Et elle est dûe aux chocs des molécules, donc à leur nombre et à leur agitation... Suivez les liens bleus (Mitch)2 3 novembre 2009 à 17:20 (CET)Répondre

Merci pour ton aide!!!

Et j'ajoute encore Théorie cinétique des gaz qui un bon complément d'information. (Mitch)2 3 novembre 2009 à 17:44 (CET)Répondre

Quelles differences entre tadalafil et sildenafil

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bonjour, je voudrais savoir quelle est la difference entre les medicaments à base de tadalafil comme le cialis et ceux à base de sildenafil come le viagra. D'apres les informations que j'ai pu avoir le premier met plus de temps dans le sang et donc offre un plus longue durée de ces effets sur l'organisme. Vous confirmez?

demandez au fameux dictionnaire Vidal et aux liens que cet article contient gem (d) 3 novembre 2009 à 17:59 (CET)Répondre

Je suis toute mêlée

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Bonjour   Que signifie cette expression : "Je suis toute mêlée" ? Merci   c'est bien pratique ces émôticones

pour moi, rien du tout, j'utiliserais plutôt "tout embrouillé(e)", mais
googlefight connait plus le premier que le second (ce qui me surprend)
gem (d) 3 novembre 2009 à 18:07 (CET)Répondre
Tire-toi une bûche et écoute, c'est du québécois, va voir ici [2], un site parmi d'autres. --Doalex (d) 3 novembre 2009 à 18:33 (CET)Répondre

Haaaa c'est encore une invention poétique de nos amis du Québec ! Et bien merci.

Petits pieds

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Bonjour,

je viens de trouver encore une signification du terme "lis" : c'est le nom donné aux petits pieds atrophiés par les bandages successifs que les femmes chinoises devaient avoir lorsqu'elles venaient d'une famille noble et aisée. Voir le livre de Bette Bao Lord " Lune de Printemps". Est-ce une source fiable ? Le terme est-il connu et peu utilisé : je n'ai rien trouvé sous ce terme en recherchant dans google .

Merci de me donner votre avis.

A. Delaunay

Voir lis et [3]--LeBelot (d) 3 novembre 2009 à 18:35 (CET)Répondre
Et puis après Pieds bandés et Fleur de neige on s'éloigne ? Peut-être...--Doalex (d) 3 novembre 2009 à 19:00 (CET)Répondre
@Lebelot : pour faire un lien vers le Wiktionnaire, [[wikt:lis|lis]] -> lis. --Szyx (d) 4 novembre 2009 à 11:45 (CET)Répondre
Un empereur, dont j'ai oublié le nom, préférait et trouvait plus jolies les femmes à petits pieds. La Chine était un pays assez pauvre et souvent au bord de la famine, du moins la Chine du Nord, la Chine du Sud avec des terres plus riches et un climat plus favorable avait, généralement, assez à manger. Dans ce contexte, les filles étaient considérées comme des bouches inutiles à nourrir. Sachant que l'empereur aimait les femmes avec des pieds petits, on se mit à bander les pieds des filles dès leur plus jeune âge, afin que leurs pieds deviennent comme des fleurs de lotus. --Domingue (d) 4 novembre 2009 à 17:56 (CET)Répondre

Chansons inconnues

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Bonjour,

L'identification de deux morceaux que j'avais enregistrés dans les années 80 a résisté à toutes mes tentatives... Qui pourrait les identifier ? La qualité n'est pas fameuse (enregistrement sur bande fer à partir d'un téléviseur) mais un anglophone devrait comprendre les paroles... Pour accéder aux fichiers (mp3), ne remplissez pas le champ utilisateur et utilisez le mot de passe toto :

Je n'ai pas beaucoup d'espoir mais merci d'avance à ceux qui essaieront ! AH


trouvé pour le second : million dollar babe (Mitch)2 3 novembre 2009 à 22:03 (CET)Répondre
Pour la seconde chanson, il s'agit de Stacy Lattisaw : en image. Pour la première chanson, les paroles sont à la fois trop banales et trop incompréhensibles, en raison de la qualité de l'enregistrement, pour que je parvienne à trouver. Ce sont, en effet, les paroles qui m'ont permis de trouver la seconde chanson, ce genre de musique m'étant étranger. gede (d) 3 novembre 2009 à 22:13 (CET) (tiens un conflit d'edit, mais moi j'ai la bonne version !)Répondre
Oh je te trouve dur avec moi! J'étais pas trop mal tombé quand même!! (Mitch)2 4 novembre 2009 à 09:13 (CET)Répondre
Merci à vous deux. Si une autre personne peut m'aider pour la première... AH
Rien trouvé, mais ça m'a fait penser à une ressucée de requiem pour un fu (fool for love). Colo (d) 4 novembre 2009 à 18:22 (CET)Répondre

Légion d'honneur

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Messieurs, Par la présente je vous demande de bien vouloir me faire savoir si vous pouvez remonter dans les archives dans lesquelles mon ancêtre MIROFLE a été décoré de la Légion d'Honneur (Consulat/Empire) en 1806 ? J'aurais aimé savoir comment et pourquoi, c'est-à-dire à quel titre. Je vous remercie de votre aimable réponse et dans l'attente, Je vous prie d'agréer, Messieurs, l'assurance de ma parfaite considération.

Gisèle MIROFLE

  Comme indiqué dans son en-tête, l'Oracle ne répond pas par courriel. Votre adresse a donc été effacée, d'autant qu'elle risquait d'être exploitée à des fins commerciales par le biais d'aspirateurs d'adresses (en savoir plus).

source genealogie.com

La base Leonore du ministère de la culture recense 2 légionnaire à ce nom :
MIROFLE Louis Claude, né 1774/05/07 Seine-et-Marne ; Rozay-en-Brie | cote : LH/1888/67
MIROFLE Pierre Thomas, né 1766/11/15 Seine-et-Marne ; Rozay-en-Brie | cote : LH/1889/1
Pour plus de détail, il faut aller consulter les archives nationales à Paris, ou les contacter pour savoir si le dossier est plus complet (ce qui n'est pas toujours le cas). Bonne continuation dans vos rechrches. HaguardDuNord (d) 3 novembre 2009 à 20:38 (CET)Répondre

Marie-France

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J'ai recherché les renseignements que l'on avait sur la chanteuse Marie-France Je n'ai pas trouvé de renseignements sur la petite Marie-France qui a chanté à l'âge de 5 ans sur toutes les radios la chanson : Je voudrais un mari.

Auriez-vous des précisions à ce sujet ?

C'était dans les années 50 ou 60.

Fernand HERVIO X, rue Tabaga 99999 TROU-SUR-MER
Téléphone 9999999999. E-mail: x.qlloq@qqpart.eu

Merci de votre réponse. J'ai la partition de la chanson, je peux vous en adresser une photo copie.

  Comme indiqué dans son en-tête, l'Oracle ne répond pas par courriel. Votre adresse a donc été effacée, d'autant qu'elle risquait d'être exploitée à des fins commerciales par le biais d'aspirateurs d'adresses (en savoir plus).

J'ai aussi supprimé votre adresse et votre numéro de téléphone. Agrafian (me parler) 4 novembre 2009 à 09:03 (CET)Répondre

Sur cette page l'information suivante : « Charles Humel 1948 - Créée par la petite Marie-France en juin 1948 à l'émission radiophonique "Les beaux jeudis" ». Vu aussi que la chanson proviendrait de l'opérette Les Quatre petits rats, indiquée contradictoirement comme étant de Marcel Deramond et Paud David alors qu'on précise plus loin, « Musique de Charles Humel. Paroles de Paul Dave » (les quatre étant inconnus ici). Pour les années j'ai relevé trois dates, 1943, 1948 et 1959 ; l'esthétique de la partition accessible sur cette page semble conforter l'indication de 1948. -O.--M.--H.- 4 novembre 2009 à 09:26 (CET)Répondre

Moteur

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Bonjour Monsieur Oracle, vous qui êtes un puits de sciences sans fond. Dites-moi tout, je vous prie : Qui a eu le premier l'idée d'utiliser le pétrole comme carburant et qui fut l'inventeur du premier moteur utilisant ce même carburant ? Merci pour votre réponse ô racle, ô désespoir, ô vieillesse ennemie, ô.... oh !--Fabrice Hologne (d) 4 novembre 2009 à 10:56 (CET)Répondre

Bonjour, la recherche « moteur à pétrole » sur votre encyclopédie préférée renvoie vers Édouard Delamare-Deboutteville, mais également Fernand Forest ou encore Étienne Lenoir. Il y a également des choses intéressantes dans l'article Histoire de l'automobile#Le moteur .C3.A0 explosion. Cordialement, Blue [ -02- ] 4 novembre 2009 à 11:19 (CET)Répondre
Merci beaucoup pour ces informations--Fabrice Hologne (d) 4 novembre 2009 à 11:39 (CET)Répondre

merci a annejea

provinces de Champagne-Ardenne

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Bonjour, j'ai deux questions concernant la région Champagne-Ardenne: _Quelles sont les deux principales provinces historiques avant 1789 de cette région ? _De quand date la région actuelle ? Merci par avance.--Sam le Wikipédien (d) 4 novembre 2009 à 12:49 (CET)Répondre

La réponse est presque dans la question : tu regardes les contours de la région, puis tu lis l'article sur les anciennes provinces de France, spécialement la liste des anciennes provinces de France, et tu te fais ton idée. Je dis presque, parce que je ne vois vraiment pas quelle serait la deuxième province... -O.--M.--H.- 4 novembre 2009 à 14:51 (CET)Répondre
  Le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Bonne chance dans ta recherche…

je pourais avoir l adresse msn d annejea pour m aider dans mes devoir merci — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 90.1.46.209 (discuter), le 4 novembre 2009 à 11:57

waouuuuh... AnnJea, t'en as de la chance   --Pytra (d) 4 novembre 2009 à 13:34 (CET)Répondre
 ...au risque de décevoir quelques fervents admirateurs, de toute manière 1° je n'utilise pas msn et 2° je ne communiquerais pas mon adresse au(x) premier(s) venu(s)... Là  ! .Anja. (d) 4 novembre 2009 à 19:14 (CET) ça y est, je lui ai brisé le cœur **Gnihihihii**Répondre

Vitesse de circulation

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Bonjour, En conduisant guidé par un GPS qui m'interpellait régulièrement sur mes excès de vitesse, je me suis posé la question suivante : A terme et grâce à l'utilisation d'un système GPS, peut on envisager qu'il soit décidé en notre lieu et place de la vitesse à laquelle nous circulerions en fonction de la signalisation prévue, via une liaison avec l'alimentation du carburateur par exemple. Le but final étant naturellement le respect des règles de sécurité avec comme corolaire moins d'accidents. Merci --Kkbs (d) 4 novembre 2009 à 13:44 (CET)Répondre

D'après mon expérience avec GPS, ce n'est pas du tout au point. Il m'est arrivé que mon appareil bipe en me disant 110 max alors que j'étais bien sur une autoroute limitée à 130, ou encore qu'il m'annonce 90 au lieu de 110 ; ce n'est pas encore trop gênant, par contre il y a un moment où je suis sur une rocade limitée à 90, et je croise une autre route (sur un pont je crois), il m'indique brièvement une limitation à 50km/h. Imagine s'il me fait brutalement freiner à 50, alors que les usagers derrière moi eux n'ont pas le même appareil et continuent à 90... ils ont intérêt à avoir de sacrés réflexes ! Je rêve du jour où nos voitures se conduiront toutes seules, mais ce n'est pas demain la veille (d'abord parce que les routes gérées par ordinateurs, vous imaginez la cible facile pour des terroristes :-/ ). Ensuite, le GPS doit être mis à jour très fréquemment (idéalement, avant tout trajet). Les derniers rond-points de mon agglomération ne sont pas encore répertoriés par exemple. Bref, le GPS est un outil formidable (moi qui ai peur au volant, ça m'a beaucoup aidée à me lancer dans de grands trajets), mais il y a encore beaucoup de points à améliorer avant que l'appareil ne puisse prendre le pas sur le conducteur pour gérer le véhicule. Asheka [la vie est belle] 4 novembre 2009 à 14:43 (CET)Répondre
Stoooop, il ne faut pas confondre le système GPS qui est globalement "au point", et les inexactitudes des cartes, qui ne répertorient pas toujours en temps réel les changements de limite de vitesse. Si on avait vraiment un système légal permettant de réguler la vitesse des véhicules, il ne fait aucun doute que les cartes seraient parfaites. Bon, pour le système en question, j'ai du mal à voir les avantages. Il est évident que la vitesse indiquée est le maximum autorisé, donc les usagers sont libres d'adapter leur vitesse, et le système devra laisser tout le monde rouler à une vitesse inférieure à la vitesse limite. Pour la limite supérieure, on peut imaginer un "bip" désagréable (comme le font la plupart des GPS actuels), ou bien une réelle action sur le moteur, ce qui ne me semble pas souhaitable pour plein de raisons. La tendance dans la sécurité active, c'est de prévenir le conducteur quand quelque chose va mal (franchissement de la ligne du bas côté, dépassement de la limite de vitesse etc), pas de prendre le controle de la voiture. À l'heure actuelle, même dans les avions qui sont pourtant super-équipés au niveau de l'aide au pilotage, le pilote peut toujours décider d'ignorer les dispositifs automatiques, je pense que c'est un point indiscutable de la sécurité en général. Arnaudus (d) 4 novembre 2009 à 17:44 (CET)Répondre
C'est pas que je confonde le système GPS et les cartes qui vont avec, mais sans les cartes, le GPS, il te sert à quoi ?  + Asheka [la vie est belle] 5 novembre 2009 à 08:20 (CET)Répondre
À te donner très précisément les coordonnées du point où tu te situes. Arnaudus (d) 5 novembre 2009 à 09:42 (CET)Répondre
Oui, et donc sans carte pour situer le point en question... je suis bien avancée. Asheka [la vie est belle] 5 novembre 2009 à 10:51 (CET)Répondre
Dans le futur on pourra éventuellement avoir ça : Contrôle d'interdistance de convoi des véhicules. — Jérôme 4 novembre 2009 à 21:59 (CET)Répondre
Sinon sur le principe, oui c'est parfaitement possible. Si ce n'est par GPS on peut très bien imaginer des petites bornes à intervalles réguliers informant le véhicule sur la réglementation en vigueur par exemple Vincent (d) 5 novembre 2009 à 07:09 (CET)Répondre
Dans pas longtemps vous allez inventer le train...--Cobra Bubbles Dire et médire 5 novembre 2009 à 14:36 (CET)Répondre

Succession lors de décès simultanés

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Bonjour, grand Oracle,

Je voudrais savoir comment on règle la succession quand il n'est pas possible de déterminer l'ordre des décès. Par exemple, si un père (célibataire) et un fils (célibataire et sans enfants) sont tués lors d'un accident de voiture sans qu'on puisse savoir qui est mort en premier, comment fait-on ? Si le fils est mort en premier, l'héritage revient à la famille restante du père, en revanche s'il est mort en second, il a pu hériter de son père et c'est sa mère qui est son héritière. Comment peut-on débrouiller cela juridiquement ?

Merci de vos réponses,

Phil

NB : ceci est de la pure curiosité, je n'ai pas l'intention d'assassiner qui que ce soit

Ta question portant sur le fait qu'on ne peut pas dire qu'un des deux est mort en premier, ça fait partie de ce genre de cas qui finissent inévitablement devant les tribunaux si l'héritage est significatif. -O.--M.--H.- 4 novembre 2009 à 14:39 (CET)Répondre
Si vraiment un problème de ce genre se pose, les juges sont là pour ça aussi (même si c'est peu médiatique).
[4]
bref, si j'ai bien compris : on ne tient aucun compte de ce que chaque mort aurait pu lèguer à l'autre pour établir leur succession respective. Simple et de bon gout. Dans ton exemple, le patrimoine du père est dévolu à la famille du père (ce qui exclut la mère), le patrimoine du fils à la famille du fils (y inclus, bien sur, la partie du coté de son père, mais aussi celle du coté de sa mère)
gem (d) 4 novembre 2009 à 14:59 (CET)Répondre

Une série télévisée de mon enfance

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Salutations, ô sages et doctes pythies,

Depuis quelques temps les images d'une série qui passait pendant mon enfance me trottent dans la tête. Ça nous ramène au milieu des années quatre-vingt.

Cette série de SF à destination d'un jeune public (pré-ado) était diffusée le mercredi après-midi sur une des trois chaines de l'époque (TF1, A2 ou FR3). Il s'agissait d'un monde post-apocalyptique où l'humanité était retournée au Moyen Âge mais d'étranges créatures dominaient le monde. Elles avaient à leur disposition d'immenses tripodes qui se déplaçaient à travers les vertes collines. Dans un épisode qui m'a marqué, les trois (?) jeunes héros remarquent que l'un d'entre eux est, à son insu, un espion à la solde des oppresseurs ; en effet, il a un implant électronique à l'aisselle. Ses compagnons l'arrachent assez violemment.

Je n'ai guère d'autres éléments vous permettant de m'aider mais je compte sur votre omniscience pour éclairer ma lanterne.

Recevez, ô sages pythies, ma reconnaissance éternelle si vous me trouvez quelque indice,

Pymouss |Parlons-en| 4 novembre 2009 à 22:29 (CET)Répondre

La réponse était dans la question. Ce sont "les Tripodes" [5] tout simplement, d'après la trilogie de John Christopher. --1R2N (d) 5 novembre 2009 à 10:43 (CET)Répondre
C’est bien ça ! Merci beaucoup. Pymouss |Parlons-en| 5 novembre 2009 à 14:45 (CET)Répondre

Yeux rouges

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Bonsoir tout le monde.

J'ai des photos avec simultanément deux enfants, l'un de six semaines, l'autre de cinq ans. Le premier y subit l'effet yeux rouges, pas le deuxième.

La question que je me pose (en dehors des réglages de l'appareil photo) est la suivante : est-il possible que les nourrissons n'aient pas les réflexes occulaires nécessaires (contraction de l'iris) pour que le dispositif anti yeux-rouges soit efficace ?

--Szyx (d) 4 novembre 2009 à 23:51 (CET)Répondre

Dans le cas que tu décris, l'explication la plus simple qui me vient à l'esprit est que les visages des deux enfants n'étaient pas orientés pareil par rapport au flash ; il me semble bien avoir déjà vu l'effet "yeux rouges" sur des bébés (mais peut-être pas si petits). Asheka [la vie est belle] 5 novembre 2009 à 08:19 (CET)Répondre
Justement, le bébé a les yeux rouges, pas le grand. Et sur une des photos ils regardent tous les deux l'appareil.
Mais photo mise à part, qu'en est-il des réflexes oculaires des bébés ? --Szyx (d) 5 novembre 2009 à 09:19 (CET)Répondre

salut

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bonjour est il possible que vous m'aider dans mon sujet de master qui est "la Tunisie et l'engagement international pour la protection de l'environnement" comment je peut le travaillé et quel sont les articles et les livres qui peuvent m'être utile . je vous remercie d'avance pour votre aide avec tout mes salutations les plus distingués .

  Le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Bonne chance dans ta recherche…
, mais l'article Tunisie est un bon début. (Mitch)2 5 novembre 2009 à 11:10 (CET)Répondre
En toute logique, on fait un Master de préférence sur un sujet que l'on maîtrise un minimum, ou alors avec des perspectives vers lesquelles s'aiguiller, non ? Le plus souvent, on a un prof ("référent", je ne sais pas comment on dit) pour discuter de ça...
Vous avez déjà fait des études, eu votre licence, vous (êtes censé savoir ou bien) savez travailler, allez, creusez vous les méninges !... Bon courage   . .Anja. (d) 6 novembre 2009 à 13:32 (CET)Répondre

Quel mot pour "race" 'humaine ?

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Bonne nuit chères Pythies. J'ai lu l'article "Races humaines". Il semblerait que le mot race appliqué aux Hommes soit politiquement incorrect. Pourtant les différences sont visibles, mesurables... Alors quel mot employer pour ne pas dire race ? Merci pour votre aide. --Joël DESHAIES (d) 5 novembre 2009 à 01:23 (CET)Répondre

Le terme correct scientifiquement parlant serait phénotype, mais il ne désignerait qu'un ou quelques caractères particuliers (par exemple la couleur de peau). Il faut bien avoir conscience que ce découpage serait purement subjectif, et qu'il n'existe pas vraiment de découpage objectif de l'humanité. Par exemple, si on prend comme critère la forme du crâne, les groupes sanguins ou la couleur des yeux, le découpage serait totalement différent. Vincent (d) 5 novembre 2009 à 07:06 (CET)Répondre
On peut parler de type, ou de type ethnique, moins marqué. Le découpage entre types et races peut être plus ou moins fin - le type breton se distingue assez facilement du normand, et au XIX° siècle on n'hésitait pas à parler de « race normande » ou « race bretonne » pour désigner cette réalité. Mais c'était au XIX° siècle, évidemment.
S'il s'agit d'être scientifique ... Le terme scientifique normalisé et qui recouvre une réalité objective est l'espèce, qui désigne normalement une collection d'êtres inter-féconds. Si c'est inter-fécond on a une espèce unique (comme pour les différentes races de chiens, très différents mais inter-féconds) ; il y a espèce différente si la fécondité est nulle ou limitée (comme entre tigre et lion), par des barrières génétiques ou comportementales. Ca m'a toujours fait rire, cette histoire de barrière comportementale, parce qu'avec cette définition les noirs et les blancs sont bien deux "espèces" différente en Alabama... :[ Et aller croire que l'on puisse croiser un chihuahua et un mastiff, je serais curieuse de voir le résultat ^_^ (non, pauvres bêtes...). Bref, si l'on en croit l'article race, le terme biologique normalisé quand on constate des différences phénotypiques stables au sein d'une espèce unique, c'est Sous-espèce. Ceci étant, je doute fort que l'on apprécie comme « politiquement correct » de dire que les « caucasiens » ou les « négroïdes » forment une sous-espèce humaine ^_^ même si c'est le terme scientifique qu'il faudrait employer. Mais, bon, on n'est pas des chiens non plus.
Mais le fond de la question est surtout qu'il n'y a pas de solution de continuité entre ces types humains, qui donnerait un caractère objectif à un quelconque découpage. Quel que soit le critère retenu, il y a une continuité entre le plus blond des scandinave et le plus noir des africain, il suffit de regarder les populations locales sur le trajet continu entre Scandinavie et Éthiopie. Les différences de race ne sont perceptibles que lorsqu'il y a un mouvement de population qui superpose deux types éloignés à l'origine, mais une fois le mouvement effectué, quand les populations se mélangent ça s'atténue en quelques générations - il suffit de voir comment ça se passe au Brésil.
De toute manière, si c'est une question de « politiquement correct », ça ne se discute pas à un niveau rationnel : c'est comme ça, parce que si on parle autrement on se fait exclure du cercle des politiquement corrects. Alors, discuter du « pourquoi »... Biem (d) 5 novembre 2009 à 08:25 (CET)Répondre
Pas grand chose à rajouter. Ce n'est pas le mot «race» qui est inapplicable aux populations humaines, c'est le concept. Il ne sert donc à rien de chercher un autre mot, il faut chercher un autre concept. «Phénotype» ne va pas, à mon avis, car il ne s'applique pas à un groupe de caractères. «Type» pourrait être mieux, car il a une connotation d'approximation : X a le type caucasien comme mon vélo est de type VTC, c'est à dire «à peu près faute de meilleure catégorisation». «Population» est le terme à employer quand on parle d'un groupe génétiquement homogène, par exemple quand on retrace les grandes migrations historiques. Enfin, quand on prend en compte les critères culturels, on peut parler d'«ethnie», et quand on met en plus des critères politiques, de «nation». Arnaudus (d) 5 novembre 2009 à 09:41 (CET)Répondre
Je conteste catégoriquement (à l'exception du point sur le caractère irrationnel du tabou, ça c'est correct).
techniquement féconder une femelle mastiff avec une paillette de sperme de chihuahua (ou inversement) ne pose aucun problème, et je ne vois pas pourquoi ça ne donnerait pas un animal viable ;
D'ailleurs la continuité génétique ne s'arrête pas à l'espèce humaine, de ce point de vue il y une continuité entre la totalité des êtres vivants à base ADN/ARN, dont profitent les virus, la science (caractérisation d'un gène chez la mouche et le ver pour aider à comprendre le rôle du gène de la même famille chez l'homme) et le génie génétique (OGM) ; c'est d'ailleurs l'existence d'espèces qui est intéressante, c'est un genre de quantification qui en théorie pourrait ne pas exister du tout, et qui pourtant existe, justement. La race est un intermédiaire intéressant, au niveau de l'espèce.
Une catégorisation objective est plus facile quand il y a une solution de continuité, mais ce n'est absolument pas une condition nécessaire. Exemples triviaux : la dénomination des océans ; la caractérisation des types de climats. Ce dernier exemple est particulièrement parlant, car si on sait faire ce genre de typologie, on sait aussi qu'on peut en faire plusieurs en fonction du type de question qu'on se pose. Même chose pour les classifications "raciales" : les polices en utilisent fondées sur l'apparence, parce que leur but c'est de reconnaitre les gens à vue d'œil, et de ce point de vue les noirs, les asiatiques, les maghrébins et les caucasiens, c'est peut-être pas politiquement correct, mais ça existe autant que les "grands" et les "petits", et les policiers sont forcément racistes primaires (au sens où ils sont, par fonction, obligés de distinguer les gens comme ça) ; les médecins en utilise une autre, un peu différente, en fonction des fréquences des pathologies, ce qui peut les amener à faire des diagnostics et prescriptions différents en fonction de la race. Les statisticiens adorent faire des typologies entre les hommes, en fonction de tout et n'importe quoi (catégorie sociale et professionnelle, revenu, résidence, consommation,...), et ça marche plutôt bien , statistiquement, en dépit des continuités. Ce n'est pas plus difficile à faire sur des éléments génétiques.
Le concept de race est parfaitement applicable aux hommes, ni plus ni moins qu'aux vaches ou aux chiens ; tout au plus peut-on arguer que ça ne sert pas à grand chose, en l'absence d'un programme d'élevage et d'adaptation à une fonction (comme on fait pour les vaches et les chiens), programme choquant et tabou mais dont on ne peut pas exclure l'existence. En fait, on peut d'autant moins en exclure l'existence qu'on en connait, le plus (in)fameux, celui qui a motivé le négationnisme racial, étant le programme nazi.
Cela étant, autant le mot race est parfait pour ce à quoi il peut servir, autant en pratique et concrétement il n'a pas d'application utile pour vous (en tout cas pas de politiquement légitime).
Le malaise c'est que c'est un mot politique, et de ce point de vue la vraie question, pour moi, est ailleurs : elle est dans l'égalité en droit, que nient explicitement les racistes (au sens politique, ceux qui veulent que selon la race on applique des législations différentes) et implicitement mais tout autant les anti-racistes (puisque le fait qu'ils éprouvent le besoin de nier la différence raciale pour justifier l'égalité revient à justifier l'inégalité politique, à la seule condition qu'on trouve une différence "objective"). J'aimerais que Néandertal existe encore, ou qu'on arrive à fabriquer une nouvelle espèce intelligente, rien que pour voir le comportement réel et la tête des anti-racistes modèle "lesraçaéxistepas" (dans les bureaux de vote, par exemple).
gem (d) 5 novembre 2009 à 12:21 (CET)Répondre
Pas tout à fait d'accord, la race existe avant tout comme production culturelle. Je reprendrai la phrase de Sartre dans ses Réflexions sur la question juive : "C’est l’antisémite qui fait le juif". Difficile de faire coexister la race avec la science pour les Hommes alors qu'ils se mélangent depuis la nuit des temps (sauf cas extrême de populations très très isolées, Bruce Chatwin évoquait ses habitants d'oasis qui demandaient aux voyageurs d'essayer de faire un petit à une de leurs femmes). Les chevaux ou les chiens de race sont ceux dont ont surveille les accouplements pour entretenir la consanguinité. Pour reprendre l'argument culturel, on désigne par "noir" un originaire d'Afrique ou des Amériques. Qu'ont-ils en commun ? Un regard qui les assigne à leur couleur de peau pour le reste ils n'ont pas les mêmes origines, la même histoire, la même culture. Pour autant, ils vivent ce lien réellement par les yeux des autres. En gros, c'est le regard du blanc qui fait le noir mais le noir étant inventé il ne peut qu'exister et invente à son tour la négritude. --1R2N (d) 5 novembre 2009 à 14:12 (CET)Répondre
Les races existent, bien sûr, mais en tant que réalité sociale. On dit (ou pense sans dire) un noir, un arabe, etc. Ces réalités sociales n'ont pas le même contenu, ni la même force sociale entre les pays et les époques. Les sociétés sont plus ou moins sensibles à cette dimension de l'identité des individus : les Etats-Unis sont une société racialiste, où les groupes sociaux s'organisent largement à partir des critères raciaux. Ceux-ci sont d'ailleurs officiellement reconnus par l'Etat, qui recense les individus en fonction de leur race. Par ailleurs, le découpage entre race change : le terme de "caucasien", surtout utilisé par les Américains, englobe souvent là-bas les arabes ; au contraire, en France, il y a une très nette distinction entre "européen du nord" et "type méditérannéen". Les brésiliens, comme la plupart des sociétés créoles, découpent les individus de peau noire en plusieurs catégories, en fonction de leur coloration : les américains ont, au contraire, une vision dichotomique : on est soit noir, soit blanc, et il n'y a rien entre les deux. De la même façon, un nombre non négligeable de personnes pensaient qu'il existait une race française opposée à une race germanique, etc. Ces différences dans la façon dont on définit les "races" et dans l'importance qu'on leur prête pour définir un individu sont d'abord liées au fait qu'il n'y a pas de solution de continuité entre les hommes, mais une fine gradation, où toute frontière est arbitraire. Mais ces différences sont également le produit de l'histoire sociale qui est à l'origine des rapports qu'entretiennent ces individus d'origines géographiques différentes : l'esclavage, et sa codification des rapports entre maître et esclave, détermine la définition des races aux Etats-Unis. En France, la colonisation joue un rôle identique, etc. à quoi s'ajoute un modèle républicain universaliste. Comme il est rappelé au dessus les identités sont toujours relationnelles : on n'existe qu'en comparaison et confrontation avec les autres groupes sociaux et c'est l'histoire de ces relations qui fait une identité. Et ce que l'histoire a fait, l'histoire peut le défaire : il n'y a pas de raison que l'on continue, à l'avenir, à définir les identités sociales à partir de ce genre de traits physiques.
Mais le terme de race n'a aucune réalité biologique : il existe une espèce humaine, et aucune de ses composantes fondamentales ne différent entre les individus. Nous disposons des mêmes facultés intellectuelles, des mêmes possibilités physiques, etc. Il n'existe donc pas de race, car les mots ont un sens, ou plutôt un champ sémantique, et celui de race porte des connotations de séparation, de différences fondamentales. Or, il n'y a pas de différence fondamentales entre les individus. Ce sur quoi porte la construction sociale des races est certains caractères extérieurs par lesquels les individus différent en fonction de leur origine géographique : la couleur de la peau, des cheveux, la forme de certains traits du visage. Aucun de ces caractères n'est lié à une propriété fondamentale qui constitue l'homme : l'espèce humaine est une. Elle ne connaît pas de différence comme il peut y en avoir entre les chihahua et les mastiffs ou les pittbulls, qui différent en apparence mais également en aptitudes et traits de caractère. Rien de tel chez l'homme. Les noirs n'ont pas le rythme dans la peau, ne sont pas de bon sportifs, etc. par nature, mais par culture. Le terme de race est donc à refuser en raison de ses connotations, qui ne correspondent pas à ce que la biologie nous dit. Celui de "type physique" convient mieux, puisqu'il ne laisse pas croire que derrière l'apparence physique, il se cache des différences autres, plus fondamentales. Le terme de "groupe ethnique" ne convient que dans le cas où ces "types physique" coïncident avec des groupes sociaux unis entre eux par des relations sociales et une histoire commune : les antillais sont un groupe ethnique dans les sociétés françaises. Ce n'est pas le cas des "noirs" en général.
Merci beaucoup pour toutes ces riches et intéressantes explications.--Joël DESHAIES (d) 5 novembre 2009 à 13:03 (CET)Répondre
Petite précision : le mot race, au XIXe siècle, était souvent employé dans un autre sens Vincent (d) 5 novembre 2009 à 17:22 (CET)Répondre
OK pour le premier paragraphe (sauf pour la dernière phrase : il me semble plus raisonnable de penser qu'on va continuer à raisonner comme avant, à définir des identités sociales à partir de traits physiques, plutôt que de croire qu'on va cesser... par l'opération de la providence ? C'est dommage certes, mais si c'était suffisant pour que ça cesse on le saurait...)
Le second pragraphe ... WOUARF ! MDR ! Quand je lis Nous disposons des mêmes facultés intellectuelles, des mêmes possibilités physiques, etc. , je me dis que certaines idées sont encore plus psychotropes que bien des substances chimiques, et que la bien-pensance est du nombre. Il est sympa ton trip, mec, mais tu planes grave. Tu crois vraiment que c'est entrainement qui fait tout, qu'il n'y a rien d'inné, ou tu te reprend une dose de politiquement correct à chaque fois que tu regardes du sport ? Mais peut-être bien que tu ne regarde pas le sport, ça heurterait trop tes conceptions ?
Il y des caractères héréditaires qu'on trouve plus dans certaines races, et moins dans d'autres. Certains sont adaptatifs (adaptation à l'altitude par exemple), d'autres sans doute aléatoire (taille des pygmées), et d'autres contre-adaptatifs, mais ils existent. A coté, il y en a certainement d'autres qui n'existent pas, effectivement (le rythme dans la peau des noirs... mouais...), mais c'est pas une raison pour pratiquer un déni de réalité. Comme si c'était utile, en plus...
gem (d) 5 novembre 2009 à 19:00 (CET)Répondre
Allons bon, lorsque l'on parle de ce genre de chose, il n'est pas question de savoir qui court plus vite le 100 mètres d'un centième de seconde : le russe ou le jamaïcain ? On parle de différence fondamentale, et en particulier de différences dans les aptitudes intellectuelles. Or, je le redis : nous avons tous le même cerveau, nous pensons tous fondamentalement de la même façon, lorsque l'on se place à l'échelle des groupes humains (il est bien sûr des individus plus brillants que d'autres au sein de chaque groupe, sans que l'on sache la part du biologique et du social dans cet état de fait : mais il n'y a aucune preuve qu'il existe des différences d'aptitudes intellectuelles entre les individus issus des différentes populations humaines.) Qui plus est l'échelle pertinente pour décrire les différences secondaires, comme le fait d'être meilleur à la course de vitesse ou de fond d'un centième de seconde, pour les individus les plus doués de chaque groupe, n'est pas la "race" mais la population. Les éthiopiens sont très bons en athlétisme, tout comme les maghrébins et les espagnols. Les uns sont plutôt noirs, les autres plutôt blancs. Par contre, les éthiopiens sont nuls en vitesses, quand les peuples issus des métissages en Amérique (Jamaïque, Etats-Unis) y excellent. Qui plus est, même pour ces différences secondaire, on a du mal à savoir ce qu'il en est du social et du biologique : les arabes du Moyen-Orient, bizarrement, ne brillent pas en athlétisme, par exemple. De la même façon, les Belges de 25-35 ans sont significativement plus petits que les Hollandais (de près de 5 cm), qui sont eux même beaucoup plus grand qu'il y a un siècle et demi (de près de 20 cm) : or Belges et Hollandais sont a priori la même population (surtout pour les flamands). Par contre, les jeunes noirs américains ont presque la même taille que les jeunes blancs américains : ils sont plus petit d'un peu moins d'un centimètre : on peut penser que ce faible écart est dû aux différences sociales (les noirs sont moins riches en moyenne) qui existent entre des individus, tandis que leur relative proximité, au regard des populations très différentes dont ils sont issues, découlent du fait qu'ils partagent fondamentalement le même mode de vie. Même sur ces traits parfaitement secondaires, il est donc difficile de savoir ce qui résulte purement du biologique et du culturel. Le terme de race est donc doublement inadapté : parce qu'il laisse croire que se cache derrière ces différences secondaires des différences fondamentales (en particulier, intellectuelles), parce qu'il les hypostasie en en magnifiant l'ampleur, en définissant toute l'identité d'un personne à partir de ces caractéristiques secondaires, et parce qu'il ne constitue pas la bonne échelle pour parler des différences biologiques entre populations humaines (qui existent bel et bien, sans être fondamentales). gede (d) 5 novembre 2009 à 20:02 (CET)Répondre
Comme le plus souvent avec ce genre d'interrogations, la discussion part sur la validité ou l'invalidité de la notion de race et ne répond donc pas à la question posée. Avant de le faire, je tiens à préciser à Joël DESHAIES que sa question comporte certaines erreurs, inexactitudes ou imprécisions. Sans tenir compte du fait que quand on parle de l'espèce il est préférable de dire « les humains », du moins « les hommes » ne prend pas de majuscule – précisément parce qu'il s'agit d'une espèce et non d'une nationalité ou ethnie. L'emploi du terme race appliquée à un groupe humain particulier n'est pas proscrit parce que « politiquement incorrect » mais parce qu'inexact, il n'y a dans l'espèce qu'une race, la race humaine justement ; c'est le racisme qu'on considère incorrect et cela à tous points de vue : politique certes mais aussi social, philosophique, moral, scientifique, etc. Enfin, une race ne se définit pas nécessairement par des « différences visibles » : les caniches sont nains, moyens ou royaux, blancs, noirs, gris ou polychromes, mais ils appartiennent tous à la même race malgré les différences.
L'exemple des caniches donne une amorce pour une des deux réponses à ta question : il n'y a pas de nécessité à parler de races humaines pour les représentants de l'espèce homo sapiens parce que les variations sous-spécifiques ne sont pas assez significatives pour faire de telles distinctions. Conclusion : les différences visibles sont insuffisantes pour que l'emploi du terme se justifie.
La deuxième réponse découle de la première : même selon les critères des éleveurs, les variations phénotypiques des groupes humains ne sont pas assez notables pour qu'on puisse y déterminer des races, ce qui est assez logique : une race se crée pas à partir de caractéristiques propres à un seul individu, et qu'on fixera en faisant se reproduire entre eux ceux de ses descendants qui en auront hérité et ainsi pour les générations suivantes ; sauf quelques tentatives rares et peu durables, on n'a jamais appliqué ce genre de sélection aux humains, qui au contraire, par leurs pratiques ordinaires d'appariement, ont des stratégies d'évitement de ce genre de consanguinité, ce qui explique pourquoi les sapiens actuels ne sont pas répartis en races : le brassage des populations est tel que le type humain moyen constatable est très peu varié.
De cela on peut en comprendre que la raison fondamentale qui interdit d'appliquer le terme aux humains est tout simplement qu'il ne vaut pas pour cette espèce, puisque donc on n'y a pas développé de races (dit autrement, qu'on ne pratique pas l'élevage humain par sélection et fixation de types particuliers très divergents). Ce constat fait, reste une question : y a-t-il une raison autre que phénotypique de diviser les humains en races ? Je veux dire : ces faibles variations phénotypiques se relient-elles à des variations moins directement visibles qui leurs seraient associées et permettraient très vite de déterminer que les humains ayant tel genre de phénotype sont différenciables par d'autres traits ? Jusqu'ici, ça n'a pas été démontré. Conclusion dernière : doit-on inventer un nouveau terme ou une nouvelle métaphore pour remplacer un terme qu'on abandonne non par correction politique mais parce que ne correspondant à aucune réalité constatable ? Si on est raciste, on dira oui. -O.--M.--H.- 6 novembre 2009 à 02:53 (CET)Répondre
M'enfin, comment peut-on nier aussi benoitement la réalité ??? Il y a des différences entre groupes humains, non seulement constatables, mais même constatées. Prétendre, contre toute évidence, qu'elles n'existaient pas, ça semble commode, mais en réalité ça complique le problème. Faire comme si on vivait au pays des bizounours tous pareils alors que ce n'est manifestement pas le cas, c'est laisser le monde réel à des gens pas fréquentables (autrement dit : le négationnisme racial ne combat pas le racisme, il lui laisse le champs libre). gem (d) 6 novembre 2009 à 15:48 (CET)Répondre
Pour te répondre : oui, en effet, on peut constater que les noirs on la peau noire. Il serait sot de le nier. Mais c’est la seule chose qu’ils ont en commun (et encore : si on regarde exactement comment la peau est faite, la peau noir ébène est quelque chose de très particulier — peau plus épaisse, répartition des particulière des mélanocytes ; on ne la trouve que dans une partie de l'Afrique, par exemple en Éthiopie on ne la trouve pas ; je doute qu’on la trouve encore chez les noirs américains, vu le brassage génétique ; il y a donc peau noire et peau noire ; mais glissons. Je disais donc, avant d’être grossièrement interrompu par moi-même, que c’est la seule chose qu’ils ont en commun tout en ne la partageant pas avec le reste de l’humanité.
La couleur de la peau n’est corrélée ni à la stature, ni à la musculature, ni aux performances physiques. Le fait que tu vois beaucoup d’athlètes noirs de haut niveau, par exemple des coureurs kényans, est sans doute dû à des particularités génétiques ; mais ces particularités ne se retrouvent que dans de très petites populations noires, et certainement pas chez tous les gens qui ont la peau noire.
Bref, comme le dit Arnaudus ailleurs, je pense que tu as besoin d’acquérir certaines connaissances en génétique pour te rendre compte de la densité d’âneries que tu débites, au nom d’un très conformiste anti-politiquement-correct. rv1729 7 novembre 2009 à 09:12 (CET)Répondre
Tout est dit. J'ajouterai ceci : les Éthiopiens ont cette particularité non génétique de vivre et de s'entraîner sur des hauts-plateaux – la capitale de l'Éthiopie, qui n'est de loin pas le plus haut point du pays, culmine à 2400m, et une large part de la contrée est à ou au-dessus de 2000m. On en dira autant du Kenya d'ailleurs. Il y a probablement une composante génétique mais surtout une composante environnementale qui explique largement plus les capacités de ces coureurs. -O.--M.--H.- 8 novembre 2009 à 17:34 (CET)Répondre

Les chiens ont des races. Les hommes sont tous des corniauds. rv1729 6 novembre 2009 à 22:13 (CET)Répondre

L'humanité, demandez l'Humanité ! Tiens je vais me coucher --Doalex (d) 6 novembre 2009 à 22:54 (CET)Répondre
Le terme de "race" a été utilisé pendant des dizaines d'années dans tous les manuels scolaires français (j'en ai sous la main ; je suppose qu'il en était de même dans les autres pays) sans soulever le moindre problème : il s'imposait comme une évidence. Aujourd'hui, et en particulier depuis la 2ème guerre mondiale, il est devenu tabou. Question : qu'est-ce qui sera tabou dans 50 ou 100 ans ? Au fond, je m'en fous, je ne serai plus là. Félix Potuit (d) 7 novembre 2009 à 18:07 (CET)Répondre
(Supplément gratuit, extrait de La France et ses colonies, Fallex et Mairey, classe de première, Delagrave 1926, p.126) : Les 4 millions et demi d'hommes qui occupent (le Massif Central) appartiennent à des races diverses : l'ensemble du Massif est le domaine des brachycéphales bruns ou châtain foncé, de type occidental ou cévenol ; mais il y a des blonds dans le Velay et dans le Forez. En outre le Sud-Ouest du Limousin est peuplé par les grands dolichocéphales bruns, qui à l'époque paléolithique s'abritaient déjà sous les grottes de la Vézère, et ce sont les dolichocéphales blonds qui occupent la région de Limoges. Pour la civilisation, même diversité [...] Bon, je ne dis pas qu'aujourd'hui, ce ne soit pas un peu plus mélangé... mais je regrette les grands dolichocéphales bruns... Félix Potuit (d) 7 novembre 2009 à 18:17 (CET)Répondre
Gem (ou Félix, du reste) pourrais-tu nous dire quelles races tu distingues, et, d'autre part, quelles propriétés tu leur prêtes ? Je crois que cela éclairerait le débat. gede (d) 8 novembre 2009 à 15:16 (CET)Répondre
Moi, je ne distingue rien, je me contente de citer des sources, et non des moindres, puisqu'il s'agit ici d'un manuel scolaire qui a été officiellement utilisé en France (mais j'en ai d'autres si besoin est). Mais je flaire bien le sous-entendu, aussi je me dois de préciser, comme je l'ai déjà fait, que toutes ces histoires de couleur de peau et tutti quanti c'est à mon avis de la crotte de hérisson, de la poudre aux yeux pour éviter d'aborder le véritable problème, qui est d'ordre culturel et non physiologique (ce que n'importe quel imbécile comprend fort bien d'ailleurs). Ai-je bien répondu ? Félix Potuit (d) 8 novembre 2009 à 15:59 (CET)Répondre

origine de la dénomination des fleuves et rivières etc

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Bonjour, Pratiquement tous les départements portent le nom d’un fleuve ou d’une rivière qui le traverse en tout ou en partie.

  1. Quel est l’origine du nom des fleuves et rivières?
  2. Qui les a baptisés?
  3. Comment est t-on arrivé au consensus qu’ils portent le même nom sur toute leur longueur?
  4. Comment se fait il qu'un fleuve traversant plusieurs départements n'ait pas donné son nom à tous les départements qu'il traverse?

Merci d'avance --Kkbs (d) 5 novembre 2009 à 07:07 (CET)Répondre

Bonjour. Pour les trois premières je ne sais pas, peut-être faudrait-il chercher dans les articles dédiés à ces fleuves et rivières. Pour la quatrième par contre, il y a une exception : la Loire. Agrafian (me parler) 5 novembre 2009 à 08:33 (CET)Répondre
PS : deux en fait, il y a aussi la Seine. Agrafian (me parler) 5 novembre 2009 à 08:45 (CET)Répondre

D'après WP, La Loire prend sa source en Ardèche, la Seine en Côte d'or. Ces deux départements ne portent pas le nom du fleuve concerné. D'où en partie ma question. --Kkbs (d) 5 novembre 2009 à 09:20 (CET)Répondre

La Seine doit son nom aux Romains, qui l'ont sans doute emprunté aux population locales, donc l'origine se perd dans la nuit des temps. Selon certains, l'Yonne aurait la même étymologie, qui se serait déformée différemment. Il y aurait donc eu il y a bien longtemps une « Seine du Nord », une « Seine du Sud », et une « Seine unifiée ». Mais c'est très spéculatif. --Szyx (d) 5 novembre 2009 à 09:32 (CET)Répondre
Faut pas confondre le nom des fleuves et rivières, qui sont probablement les plus anciens dans les dénominations de lieux, et celui des départements, qui sont une création de toutes pièces et toute récente (un peu plus de deux siècles, bagatelle) par un petit groupe. D'autre part, les cours d'eau appellent la présence humaine, sont des voies de circulation faciles par les vallées, donc c'est normal que leur appellation soit la même d'un bout à l'autre. Au contraire, beaucoup de montagnes (qu'on voyait de loin et sur lesquelles on n'avait pas à grimper) portent des noms différents selon les endroits d'où on les voit (Cervin/Matterhorn etc). Morburre (d) 5 novembre 2009 à 09:58 (CET)Répondre
À part le Rhône, les trois autres grands fleuves de France ont leur nom dans des noms composés de départements. La Seine devant (Seine-et-Marne, feue Seine-et-Oise) et les autres derrière leurs affluents (Maine-et-Loire, Lot-et-Garonne, etc). Effet sournois du parisianisme ? Morburre (d) 5 novembre 2009 à 10:07 (CET)Répondre
L’origine et la baptême des hydronymes est surtout anciennes. Sur la Table de Peutinger (carte d’époque romaine), on trouve déjà les noms actuels des principaux fleuves d’Europe. Du fait de cette ancienneté, il est difficile de trouver des sources. Les noms actuels sont des déformations des anciens noms : Liger > Loire, Sequana > Seine, etc. On peut supposer que les noms latins sont eux-mêmes des déformations de noms précédents.
J’aurais plutôt posé la question inverse : pourquoi certains départements prennent-ils le nom du fleuve qui le traverse ? Heureusement la création des départements français est plus récente : décret de la division de la France en départements de 1789. Ce décret indique que les nouveaux noms sont issus des principaux éléments naturels pour être plus neutre tout en étant différent des noms précédents. Si l’Ardèche ne se nomme pas « source de la Loire » c’est probablement parce que la Loire n’y est pas un élément marquant, moins que l’Ardèche en tout cas. Cdlt, Vigneron * discut. 5 novembre 2009 à 10:17 (CET)Répondre
@Morburre : à l’origine était le département de Rhône-et-Loire qui fut scindée en deux.
Et le cas du Var ? (qui ne traverse pas le département du Var). --Serged/ 5 novembre 2009 à 10:58 (CET)Répondre
Lors de la création des Alpes-Maritimes en 1860, après l'annexion à la France du comté de Nice, le Var est amputé de sa partie la plus orientale, qui constitua l'arrondissement de Grasse dans le nouveau département. Suite à cette modification, le Var ne coule plus aujourd'hui dans le département auquel il a donné son nom. Il y a tout sur Wikipédia  . --Szyx (d) 5 novembre 2009 à 11:34 (CET)Répondre
À côté mais intéressant quand même, me semble-t-il : le tracé actuel des cours d'eau n'est pas forcément celui de l'origine. On a toujours l'impression que la Meuse (exemple) a éternellement pris sa "source à" et "passe par" pour "se jeter dans"… La Meuse, en fait, à la fin du miocène (il y a quelques 5 332 000 d'années), se jetait dans la petite Helpe qui se jetait dans l'Escaut... Il y a eu quelques convulsions géologiques qui ont modifié la donne. Amitiés, --Égoïté (d) 5 novembre 2009 à 11:44 (CET)Répondre
(conflit) Pour les Espagnols, la Garonne prend sa source au Pla de Beret, en haut val d'Aran. Pour les Français, dans le massif de la Maladeta. Parce que le Français Norbert Casteret l'a mis en évidence et qu'on a décidé que la source d'un fleuve, c'est la source de l'affluent qui a la plus haute altitude. Voilà pourquoi le petit torrent ridicule qui s'appelle le Jouèu est la vraie Garonne officielle. Morburre (d) 5 novembre 2009 à 12:01 (CET)Répondre

Merci, merci et merci, encore, encore et encore plus d'informations, c'est passionnant. --Kkbs (d) 5 novembre 2009 à 11:55 (CET)Répondre

Un petit tour sur Hydronymie donnera quelques réponses à ta première question. Dhatier jasons-z-en 5 novembre 2009 à 13:23 (CET)Répondre

La lecture d'Hydromynie m'interpelle dans le sens que la plupart des noms seraient d'origine ligures, qui d'après l'article les concernant sont arrivés en Gaule après les Celtes. Comment se fait il alors que ce ne sont pas les Celtes qui sont à l'origine des noms de lieux. --Kkbs (d) 5 novembre 2009 à 18:18 (CET)Répondre

L'antériorité ne signifie pas la priorité. Le peuple dominant impose sa terminologie. Les Romains aussi sont arrivés après les Celtes. Pourtant, la langue française dérive bien plus du latin que du gaulois. De même, tous les cours d'eau du Canada avaient surement un nom dans une langue amérindienne, et pourtant on utilise les termes St-Laurent, Lac Supérieur, Rivière-du-Loup, etc., mais sont demeurés les noms amérindiens lac Ontario, rivière Yamaska, etc. Dhatier jasons-z-en 5 novembre 2009 à 19:37 (CET)Répondre

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Bonjour,

Dans le cadre de mon travail, je suis amené à devoir suivre un ensemble d'établissements pour lesquels ont été isolés certains indicateurs de fonctionnement. Afin de les accompagner nous avons mis en place un document excel sympathique d'un point de vue technique mais un peu crade question présentation...

L'idée était de faire une présentation Word avec des graphiques pour chaque établissement (document de base + base excel = publipostage) mais je me heurte à un problème depuis quelques heures : comment modifier des graphiques word à partir de données chiffrées excel ?

exemple bateau : établissement X Fonctionnement : 1000 € Investissement : 100 € donne un graphique circulaire (1000 €/ 100 €) avec des étiquettes qui vont bien + publipostage pour les autres établissements ayant chacun un fonctionnement et un investissement différents bien entendu.

Donc si une âme charitable pouvait m'aider, ça serait sympatique...

Ce serait peut-être plus simple de faire les graphiques directement dans Excel. L’application Graph livrée avec la suite MS Office permet de créer un graphique en histogramme, en courbe, en camembert... à partir d’une plage de données. Après, tu crées le formulaire de publipostage dans un autre feuillet du même classeur. -- Mister BV (d) 6 novembre 2009 à 15:45 (CET)Répondre

TIMANFAYA

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Bonjour,

Je suis à la recherche des titres de musique qui accompagne le CD de "la route des volcans de TIMANFAYA" créé par le Parc National de TIMANFAYA (ile de LANZAROTTE). Je vous serais reconnaissante de bien vouloir m'aider à trouver ces titres ainsi que les auteurs et les compositeurs afin que je puisse les acheter les CD. Merci pour votre aide

L'album TIMANFAYA de The healing Road ? c'était du rock progressif ?
Si tu parles espagnol, tu peux demander par mail sur le site officiel du Parc national de Timanfaya. -- Mister BV (d) 6 novembre 2009 à 15:30 (CET)Répondre

Race humaine (suite)- Reconnaître à partir du squelette.

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Bonjour chères Pythies. J'ai déposé hier une question sur les races humaines. Dans l'épisode de Bones d'hier soir quelque chose m'a fortement intrigué. Que les médecins légistes puissent reconnaître à quelle sous-espèce humaine ils ont à faire à partir des os , je le conçois. Mais hier, c'était plus fort que le Roquefort. Un médecin légiste norvégien, à la simple vue d'un squelette trouvé en Norvège, déclare "C'est celui d'un américain.". Puis la Dr Brennan fait de même aux USA. Je suppose que en l'occurrence, américain veut dire américain blanc. Qui pourrait m'expliquer ce tour de forces sachant que les américains blancs ont des ancêtres venus de tous les pays d'Europe donc aussi de Norvège. Je précise que le squelette trouvé ne date pas des 2 guerres mondiales, il est récent (mais il n'y a que les os), c'est celui d'un jeune adulte (22 ans). De plus les scénarios de cette série sont, paraît-il, bien documentés avec participation de médecins légistes. Je vous remercie pour vos explications.--Joël DESHAIES (d) 5 novembre 2009 à 14:15 (CET)Répondre

A partir d'un squelette, on ne peut pas déterminer une nationalité. Il n'y a aucune différence entre un américain et n'importe quel autre nord-américain ou européen. Agrafian (me parler) 5 novembre 2009 à 14:24 (CET)Répondre
Si le jeune homme présente une combinaison de traits absente chez les norvégiens et autres étrangers qui y résident (principalement européens), mais présent en Amérique (ou aussi dans d'autres partie du monde, mais qui envoient peu d'émigrés en Norvège, alors qu'il doit y avoir des américains), un légiste compétent peut certainement faire ce genre de conjecture à vue d'oeil. Une combinaison de caractères négroïdes et Mongoloïdes par exemple pourrait n'être présente en Norvège que chez des américains (même si ça existait ailleurs dans le monde) ; c'est juste pour l'idée bien sûr, un légiste est certainement capable de combiner des détails plus subtils que ça ! C'est peut-être pure invention scénaristique (ou un méchant raccourci parce que la scène de l'analyse ADN semblait moins bonne), mais ça ne me parait pas totalement débile. gem (d) 5 novembre 2009 à 15:07 (CET)Répondre
Très spéculatif tout ça. Agrafian (me parler) 5 novembre 2009 à 15:10 (CET)Répondre
Absolument, d'où le rappel à la conjecture. gem (d) 5 novembre 2009 à 15:52 (CET)Répondre
Surtout que l'Amérique, du détroit de Bering au Cap Horn, ca fait beaucoup.
Oui mais non. Je ne veux pas rentrer dans cet éternel débat, mais quand on dit « Américain », on entend « habitant des États-Unis ». Agrafian (me parler) 5 novembre 2009 à 16:29 (CET)Répondre
Parle pour toi. -- Asclepias (d) 7 novembre 2009 à 16:51 (CET)Répondre
De manière générale, l'utilisation du concept de «race» en médecine (que ce soit pour les diagnostics ou les traitements courants ou en médecine légale) est essentiellement une conception nord-américaine. Cette pratique est profondément ancrée dans une société où le racisme est institutionalisé (la «race» étant un critère d'état civil), et est principalement culturelle. Pour être clair, on n'est pas loin de la pseudo-science ici. Les résultats de génétique des populations humaines a depuis une bonne trentaine d'années invalidé une conception raciste de l'humanité, conception définissant un nombre restreint de grandes «races», en général basées sur la couleur de peau. Dire que les races n'existent pas, ce n'est pas l'expression d'une idéologie politique, mais c'est une réalité scientifique.
La médecine humaine en amérique du Nord s'est malheureusement enlisée dans ces catégorisations non-fondées scientifiquement, en particulier en assimilant la race à la population d'origine. Si un médecin américain peut estimer la probabilité d'une certaine maladie chez un patient, ce n'est pas parce qu'il est «noir», c'est parce qu'un noir d'amérique du Nord a de grandes chance d'être proche génétiquement d'une toute petite partie de la population africaine (typiquement, les populations de la côte ouest de l'afrique sub-saharienne). Le fait est qu'aux États-Unis, et dans une moindre mesure au Canada, l'histoire du peuplement a fait que d'une manière fortuite, un échantillonnage imparfait dans la diversité de l'humanité a recréé des catégories, et que cette catégorisation s'est montrée plus ou moins opérationnelle, notamment en médecine. Bref, c'est possible, aux États-Unis, de prétendre que les noirs sont génétiquement homogènes, simplement parce que presque tous les noirs des États-Unis viennent du même endroit. Ce n'est évidemment plus du tout le cas si on va en Afrique, où on retrouve la plus grande partie de la diversité génétique de l'humanité. Voir par exemple [6] pour un bon exemple de la distribution des populations africaines dans l'abre de la diversité humaine. On voit bien sur cet arbre l'impossibilité de définir des groupes homogènes, et l'éclatement de l'unité géographique des populations du fait des migrations qui ont jalonné l'histoire de l'humanité.
La seule chose qu'on peut définir, ce n'est pas des «races», c'est des populations. À partir des ossements par exemple, ou de plusieurs caractéristiques physiques, physiologiques ou génétiques, on peut attribuer certaines probabilités d'appartenance à diverses populations (par exemple, 75% de chances d'être un Berbère, 15% de chances d'être un Touareg, 10% «autre»); et à partir de la population, on peut retrouver des traits particuliers, comme la couleur des yeux ou de la peau. Dire à partir d'ossements «cet individu appartient à la race noire» est un raccourcis pas très glorieux. Bref, on se retrouve dans un système caractères -> population -> «race», et pas caractères -> race -> population; la «race» n'est donc qu'un système anachronique de regroupement de populations hétéroclites. Des défintions outrancières, comme celles utilisées officiellement en amérique du Nord, et qui percolent dans la culture européenne par les diverses productions culturelles des États-Unis et du Canada, ne sont opérationnelles que dans un contexte démographique extrêmement particulier (typiquement, une seule population par «race»), et sont probablement extrêmement dangereuses scientifiquement et socialement, en particulier à cause des migrations récentes. Si un médecin traite un Kenyan de la même manière qu'un afro-américain parce que les deux sont «noirs», c'est dangereux, et absolument pas scientifique. Arnaudus (d) 5 novembre 2009 à 17:16 (CET)Répondre
Hum, tu te laisses emporter par un sectarime politique, là. Qui est l'imbécile (sic) non scientifique, s'il y en a un, entre celui qui dirait que tel squelette était (probablement) celui d'un homme noir, compte tenu d'une corrélation scientifiquement établie permettant également de déterminer une marge d'erreur, et celui qui hurlerait à la cartomancie et au racisme ? On a pas besoin de délirer sur la place d'une fléche "-> race", la détermination "caractères -> population" est tout ce dont on parle ici. Il est probable que l'afro-américain, comme ils disent, d'Alabama est racialement plus proche de son voisin petit blanc raciste que du kenyan moyen, et que le médecin qui ne se baserait que sur un taux de mélanine serait un crétin ; mais celui qui refuserait par principe (par opposition à parce que les études scientifique n'ont pas montré de corrélation) de tenir compte de ça serait un crétin tout pareil, juste mieux-pensant.
Et si encore c'était politiquement productif, je pourrais comprendre, mais en réalité tout ce zèle anti-racialiste revient à admettre que si les races existaient alors on pourrait légitimement pratiquer les ségrégations, tout en passant pour un zozo déconnecté du réel aux yeux du peuple qui voit bien, lui, que les races ça existe (même si sa notion de race ne vaut pas un clou, étant principalement fondé sur des critères foireux comme la couleur de peau) ... désolé, mais non. Même des différences allant jusqu'à l'espèce (Néandertal) ne peuvent justifier des ségrégations, alors à la limite si les races n'existaient pas, il faudrait les inventer.
gem (d) 5 novembre 2009 à 18:22 (CET)Répondre
J'avais retiré la référence à l'imbécillité des racistes avant ta réponse, non pas parce que je pense que c'est faux, mais parce que ça ne sert pas la discussion ici.. Pour faire court : il y a beaucoup de choses que l'on croit vraies et simples quand on n'a pas de culture scientifique. Par exemple, probablement la majorité de l'humanité pense encore que le soleil tourne autour de la terre fixe. Ces gens ne sont pas nécessairement des imbéciles, c'est vrai qu'en première approximation, le soleil semble tourner autour de la terre. Heureusement, une partie de l'humanité a la chance d'avoir accès à l'éducation et aux connaissances scientifiques. Ces chanceux se verront expliquer, arguments scientifiques à l'appui, que c'est la Terre qui tourne, malgré les apparences. Parmi ceux-là, peut-être quelques-uns refuseront les arguments rationnels, et penseront que «les yeux du peuple» sont bien plus perçant que les «zozos déconnectés» que sont les scientifiques. J'ai honte de devoir partager ma planète avec de tels individus. Arnaudus (d) 5 novembre 2009 à 18:31 (CET)Répondre
Personne ne nie qu'il existe, en tant que catégorie sociale, des "races". C'est être idiot que de refuser de constater que l'on parle de noirs, et que l'on emploie le terme de race pour les décrire. Dans ma réponse au dessus, je fais quelques observations sur la façon dont ces catégorisations culturelles sont socialement et historiquement construites. La question n'est pas là, mais : de quelle nature sont les différences biologiques à partir desquelles les sociétés construisent ces "races" ? Est-ce que le terme de "race" est adapté pour les décrire. La réponse est : il n'y a pas de différences biologiques fondamentales entre les individus. Nous avons tous les mêmes aptitudes intellectuelles, par exemple. Le terme de "race" n'est donc pas adapté pour décrire ces différences physiques, puisqu'il possède précisément des connotations qui laissent supposer qu'il existe au-delà des différences physiques extérieures, d'autres différences, notamment d'aptitudes, fondamentales. Ce n'est pas le cas. Le terme ne convient donc pas. Parle de "type physique", si tu veux, pas de race : le terme est suffisamment flou et ad hoc pour s'adapter à des descriptions floues et ad hoc et ne laisse pas supposer qu'il y a quelque chose d'autre que l'apparence physique dans la différence. Par ailleurs, il ne convient pas, pour une seconde raison qu'Arnaudus explique fort bien : les "races" sont des découpages arbitraires. D'un point de vue biologiques, les variations dans les ADN entre groupes humains s'organisent autour de populations et sont de nature probabiliste et non déterministe. gede (d) 5 novembre 2009 à 18:38 (CET)Répondre
Tous les découpages sont arbitraires. Le découpage climatique est arbitraire. le découpage national est arbitraire. La question est juste de savoir si un découpage est opérationnel, et pour quoi. Le découpage racial sur l'apparence est opérationnel pour les forces de police, parce qu'elles veulent identifier les gens ; que ça plaise ou pas. Là où ça coince, c'est si on étend l'usage du concept dans des domaines où il n'apporte que des bêtises, par exemple (non exhaustif) dans les domaines juridique, politique, économique, matrimonial, ... Po
PS : tu es vraiment créationiste ? sinon, explique-nous donc par quel étrange mécanisme les différences intellectuelles qui ont servit de support à la sélection depuis nos lointains ancêtres jusqu'à sapiens sapiens ont disparu pour nous doter tous des mêmes aptitudes intellectuelles ? Si tu as une explication tu mérites le Nobel, mais, blague à part, je t'ai déjà vu écrire des choses plus sensées. gem (d) 5 novembre 2009 à 19:31 (CET)Répondre
Tous les découpages sont arbitraires: non non. Le découpage en espèces n'est pas arbitraire. La classification périodique des éléments n'est pas arbitraire. Toutes les situations où on est "soit l'un, soit l'autre, pas les deux" ne sont pas arbitraires. Même dans les cas où on doit couper dans un continuum, on peut mettre au point des critères qui ne sont pas arbitraires, par exemple «au dessus de la moyenne» et «en dessous de la moyenne». On a de multiples manières de définir une classification, mais une bonne manière est de considérer qu'une classication est opérationnelle quand les éléments d'une classe sont tous plus proches les uns des autres que d'autres éléments d'autres classes. D'ailleurs, les différents climats ne sont pas classifiés, puisqu'on a des climats méditerranéens à tendance océanique par exemple : on peut appartenir à plusieurs climats. Les climats sont plus une dénomination, comme «rouge» ou «bleu».
Par contre, je suis d'accord avec toi pour le coup de l'intelligence. On ne sait pas bien définir l'intelligence et on sait encore moins la mesurer, mais on dispose d'indices tous un peu foireux, dont le QI est l'exemple le plus connu, qui mesurent quelque chose qui est quelque part corrélé au concept d'intelligence. Ces indices sont non seulement variables entre les individus, mais ils sont héritables; il n'y a aucune raison qu'ils ne diffèrent pas entre familles et populations humaines. Arnaudus (d) 5 novembre 2009 à 20:04 (CET)Répondre
Gem: il est question de terminologie, ici. Si tu as besoin, dans le cadre de tes fonctions de police, de distinguer les individus en fonction de leur apparence physique, tu peux le faire en fonction de la couleur de leur peau. La question est : le terme de "race" convient-il pour exprimer ces différences ? La réponse est non, parce que c'est un terme connoté, qui laisse supposer que derrière les différences physiques se cachent des différences d'aptitudes fondamentales, ce qui n'est pas le cas. Parle de "type physique" : voilà un terme qui convient mieux, si tu es policier : il dit où se situe la différence, sans laisser supposer qu'il y en a d'autres qui vont avec. gede (d) 5 novembre 2009 à 20:11 (CET)Répondre
@ Arnaudus. La terre tourne autour du soleil, le soleil tourne autour de la terre, c'est exactement la même réalité; La façon d'exprimer ne dépend que de l'endroit où l'on se place. Chez moi, le soleil se lève derrière la Colline, il se couche dans la plaine. Mon imagination me permet d'envisager le phénomène sous un autre angle et de « voir » les planètes tourner autour de leur étoile, c'est plus pratique pour comprendre et prévoir où va tomber l'étoile du berger, par exemple, mais pour placer les cultures sur tel ou tel coté du coteau, cela ne sert à rien. Or le savant affamé perd vite sa voix (et même quelquefois sa voie !). En conséquence de quoi, il me parait préférable de rappeler que le soleil tourne autour de la terre, que ce n'est pas une illusion, mais que l'on peut aussi considérer que la terre et les autres planètes tournent autour du soleil, comme l'on peut souhaiter que les races qui sont dispersées sur la terre, vivent en harmonie sous le même soleil. Cordialement. le sourcier de la Colline [on cause ?] 5 novembre 2009 à 19:36 (CET)Répondre
La terre tourne autour du soleil, le soleil tourne autour de la terre, c'est exactement la même réalité; Absolument pas. Le mouvement de la Terre est accéléré par le soleil, alors que le mouvement du soleil n'est pas accéléré (ou beaucoup moins) par la Terre; les deux référentiels ne sont pas équivalents, et les deux propositions sont deux assertions scientifiquement réfutables, dont l'une est réfutée par les faits. Le racialisme n'est qu'une excuse au racisme, d'ailleurs, de manière opérationnelle, je ne vois pas la différence entre le «racialisme» et le «racisme»; se prétendre «racialiste» ça revient à clamer qu'on se refuse à discriminer des groupes qui n'existent pas, c'est une démarche intellectuelle que je trouve extrêmement douteuse -- en fait, je ne la comprends pas, donc je considère que c'est dû soit à une méconnaissance de la génétique humaine, soit à une démarche idéologique raciste sous-jacente).
Une analogie pourrait être celle-ci : on vous place devant une table sur laquelle sont éparpillées une centaine de pièces de monnaie, toutes un peu différentes (usure, saleté, date de création, etc). Vous examinez les pièces sans les toucher, et vous proposez une classification : il y a deux races de pièces, les pièces «pile» et les pièces «face». Si vous n'avez jamais vu de pièces de monnaie, c'est uen classification tout à fait crédible, sur un critère apparemment indéniable. Mais là, quelqu'un vous fait remarquer que, regardez, vous voyez, les pièces ont en fait deux côtés; donc votre critère de classification s'avère complètement foireux, et il n'y a que des différences quantitatives (couleur, etc), multi-catérorielles (année de frappe), ou individuelle (petit défaut, etc) entre les pièces. En gros, un argument scientifique, rationnel et vérifiable contredit complètement votre classement. Moi je ne vois que deux solutions : soit vous préférez les «face» donc il est idéologiquement impossible d'admettre que les pièces «face» n'existent pas et vous quittez le monde rationnel, soit vous avouez que la classification précédente n'avait aucun sens. Mais si on est neutre, pour quelle raison nier l'évidence scientifique? Je crois que ça me dépasse complètement. Arnaudus (d) 5 novembre 2009 à 20:26 (CET)Répondre
Le sourcier a pourtant raison : il est aussi vrai de dire sans plus de précision que la Terre tourne autour du Soleil que l'inverse, c'est une question de référentiel. Ta réponse porte sur les causes du mouvement, quand l'affirmation x tourne autour de Y ne porte que sur le mouvement lui-même et est purement descriptive. Apollon (d) 7 novembre 2009 à 19:06 (CET)Répondre
Arnaudus a raison pour ce qui est de la biologie : la diversité génétique et morphologique en Afrique est très importante, trop importante pour que parler de race noire ait le moindre sens.
Par contre, en relativité générale, il n’y a pas de référentiel privilégié. On abandonne la notion de référentiel inertiel ou galiléen, qui n’a plus de sens. Dans ce cadre, considérer que la Terre est immobile au centre d’un Univers en rotation autour d’elle est un point de vue tout aussi valide que le point de vue du Soleil immobile... euh, non, du Soleil qui suit la Voie Lactée dans son mouvement de rotation autour de son centre immobile... euh, non, centre qui tourne autour du centre de l’Amas de la Vierge... qui... euh... c’est à cause de cette descente infinie qu’on est obligé d’abandonner la notion de référentiel inertiel. rv1729 6 novembre 2009 à 09:19 (CET) On en parlerait mieux autour d’une binouze.Répondre
Euh, j'ai jamais compris la relativité générale, donc tu as certainement raison, mais la Terre étant en mouvement uniformément accéléré, je ne vois pas comment tu peux changer de référentiel comme ça, puisqu'en l'occurrence la pseudo-force centrifuge est ressentie uniquement sur Terre... Même si tu retires toutes les autres planètes, sans aucun repère galactique, il est indéniable que le système Terre-Soleil tourne autour de son barycentre, qui pour le coup est tellement proche du centre du soleil qu'il est possible de dire clairement que la Terre tourne autour du Soleil. Je ne comprends pas en quoi le fait que ce barycentre lui-mëme tourne autour de quelque chose d'autre invalide le fait que la Terre tourne autour du Soleil... J'imagine que la relativité générale reformule tout ça en terme de mouvement non-accéléré dans un espace courbe, mais pour le coup je me sens plus à l'aide dans un système intertiel bien Newtonien. Arnaudus (d) 6 novembre 2009 à 10:01 (CET)Répondre
Sauf qu’un référentiel inertiel, ça n’existe pas. C’est juste une approximation efficace et commode. Le fait que le barycentre Terre-Soleil tourne autour du centre de la Voie Lactée invalide le fait qu’il puisse être pris comme origine d’un référentiel galiléen ; et donc, qu’un référentiel lié à ce point soit préférable à un référentiel lié à mon oreille droite.
Dans le cas de la Terre immobile, les forces curieuses qu’on observe sont dues à l’action de l’Univers en rotation. Est-ce que seau de Mach est bleu et bien écrit ?! rv1729 6 novembre 2009 à 20:16 (CET)Répondre
Faut pas te casser la tête, une reconnaissance immédiate de ce genre n'a rien à voir avec la race (dont j'évoquais par ailleurs la très faible validité de la notion), d'autant ici que la particularité des sociétés américaines, donc des États-Unis, est justement l'hétérogénéité « raciale » dans ces pays. Par ailleurs, partir de l'hypothèse que « américain veut dire américain blanc » est peu pertinent : dans cette série les américains blancs sont déterminés comme « caucasiens », c.-à-d. « européens » donc « non-américains » (non-autochtones). Une autre hypothèse évoquée par Agrafian, « Une combinaison de caractères négroïdes et Mongoloïdes par exemple pourrait n'être présente en Norvège que chez des américains », est aussi peu pertinente : dans ce pays comme dans tous les autres pays européens on trouve tous morphotypes venant de tout pays d'Europe ou de ses anciennes colonies de peuplement (donc de tous les pays américains et de plusieurs pays d'Océanie). Plus largement, cette identification immédiate ne peut en aucun cas reposer sur des caractéristiques physiologiques. Conclusion évidente, le squelette comporte des éléments d'identification autres et faciles à situer, probablement une prothèse dentaire ou osseuse utilisée dans ce seul pays ou une réduction d'accident osseux faite d'une manière propre aux seuls chirurgiens des États-Unis, une étude plus fine du squelette permettant par après de le catégoriser non plus selon son pays d'origine mais selon son morphotype (caucasien, négroïde, mongoloïde, etc.). -O.--M.--H.- 6 novembre 2009 à 11:26 (CET)Répondre
Si tu commence à prendre pour argent comptant ce qui se dit dans les séries américaines t'as pas fini :-) .: Guil :. causer 6 novembre 2009 à 16:38 (CET)Répondre

Bonjour, je recherche une définition a "grandeur nivelée"?

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Bonjour pythies, Quelle est la définition au terme grandeur nivelée? Je suis tombé sur ce terme dans plusieurs définition physique d'électromagnétique. Par exemple "le vecteur densité volumique de courant dont la valeur s'exprime en A/m² est par construction une grandeur nivelée" Là j'avoue je reste perplexe!

Merci d'avance
Pierre et Antoine (qui après un mois d'attente d'une réponse de leur prof de physique désespère un peu...)

Jamais entendu parlé de ce concept, mais
Grâce à lui, bien qu'il ne trouve que 6 occurrences,
  1. je crois que vous pouvez oublier ça : seulement 6 occurrences !
  2. et je comprend que ça veut dire quelque chose comme "grandeur moyenne sur une étendue (un plan ,un volume) qui donne le même résultat que le paquet de valeur discrètes qu'il faudrait prendre en toute rigueur". En effet, le courant ce sont des charges élémentaires qui passent, ce n'est pas pratique du tout à manipuler (à moins de maitriser les distributions). Alors il utilise une fonction fictive continue (dérivable, etc.) , au lieu de compter les charges une par une. gem (d) 5 novembre 2009 à 19:59 (CET)Répondre
Dans ce pdf [7] sous le 1.2.1 il y a une petite définition qui pourrait convenir.
en attendant Pierre et Antoine désespèrent leur prof d'orthographe. --Doalex (d) 5 novembre 2009 à 21:09 (CET)Répondre

Flan (suite)

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Le flan au lait froid, ça marche! Alors c'est peut-être réellement un reste du temps où il fallait plutôt tout cuire 2 fois…--LeBelot (d) 5 novembre 2009 à 18:18 (CET)Répondre

bon, maintenant, tente une crème catalane, et tu nous tiens au courant  .Cobra Bubbles Dire et médire 5 novembre 2009 à 18:54 (CET)Répondre
Un flan au lait froid qui marche, c'est peut-être pas si bon signe que ça ! --Patschw (d) 6 novembre 2009 à 10:36 (CET)Répondre
Oh bah si, s'il vient tout seul dans l'assiette c'est sympa, pis ça impressionne les enfants  + Asheka [la vie est belle] 6 novembre 2009 à 10:41 (CET)Répondre
Le camenbert au lait cru aussi, des fois, il marche. Colo (d) 7 novembre 2009 à 10:15 (CET)Répondre

Citation d'un dirigeant nazi

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Bonjour,

J'ai un souvenir vague, je ne sais où je l'ai lu (recueil de nouvelles de Philip K. Dick ?), qu'un dirigeant allemand, durant la Seconde Guerre Mondiale a dit "Notre victoire sera complète quand nos ennemis seront semblables à nous." ou "Pour nous vaincre, il faut que nos ennemis nous ressemblent." Une des Pythies peut me confirmer/infirmer mon souvenir ? Merci beaucoup.

Dans mon souvenir, cette déclaration pourrait figuer dans le roman « Le Maître du Haut-Château » : les États-Unis ayant perdu la Seconde guerre mondiale sont occupées par les nazis. Cordialement, -- Arcane17 d 6 novembre 2009 à 13:05 (CET)Répondre

Sourcage

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Bonjour, je suis à la recherche d'une source pour une contribution à wikipedia.

Au hasard de mes recherches sur le net, j'ai lu quelque part que le terme "Nephilim" en sumérien ancien signifiait "le-fils-du-frère-du-lieu" et désignait les habitants d' Ur, pour la proximité de la ville avec la ville-temple d' Eridu. Le sens aurait par la suite dérivé et serait devenu dans le langage courant celui qu'on lui connait aujourd'hui au travers de l' hébreu à savoir "tombé-du-ciel".

Je pense que cette information serait intéressante dans l' article mais j'aimerais pouvoir la sourcer également, sauriez-vous m'aider ?

Frédéric Priest-monk (d) 6 novembre 2009 à 11:32 (CET)Répondre

Cette information, non sourcée peut être placée dans la page de discussion de la page Ur. Philippe Nusbaumer (d) 6 novembre 2009 à 12:08 (CET)Répondre
À ce propos, la page Nephilim donne comme étymologie « ceux qui font tomber les autres ». Ça me paraît un contresens, pour moi Nephil signifierait plutôt « celui qui est tombé [du ciel] » à interpréter comme « déchu ». -- Mister BV (d) 6 novembre 2009 à 15:16 (CET)Répondre
Je ne vois pas comment on pourait faire dériver l'hébreu du sumérien. C'est une chose que le nom emprunté (téléphone, laser) d'un objet se retrouve en plusieurs langues, c'en est une autre qu'une suite de sons ayant une construction propre se retrouve identique suite à une construction différente à partir de mots différents. Colo (d) 7 novembre 2009 à 09:37 (CET)Répondre
Exact, en fait ma source disait plus précisément qu'une expression sumérienne en cunéiforme désignant les habitants d'Ur, signifiait mot-à-mot à l'origine "fils-du-frère-du-lieu" et le sens de l'idéogramme a varié pour devenir "tombé-du-ciel" dont le mot "Néphilim" est la lecture dans la langue sémitique dont provient l'hébreu. Pour info, c'est cette méthode qui donne naissance à l'alphabet. Pour plus d'info sur la compréhension du sémurien ancien je te propose de lire Samuel Noah Kramer   Frédéric Priest-monk (d) 7 novembre 2009 à 14:47 (CET)Répondre
Mais toujours personne pour m'apprendre à retrouver une source ? mes recherches par mot clé me renvoient toutes à Nibiru ... Frédéric Priest-monk (d) 7 novembre 2009 à 14:56 (CET)Répondre

Tambour (mémoire)

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Question transférée de Discussion:Tambour (mémoire). — Calimo [á quete] 6 novembre 2009 à 12:50 (CET)Répondre

Bonjour, je cherche des infos sur les tamours d'informatique : Je cherche le nom de l'inventeur avec, si possible, sa photo, la date de céation du premier tambour, et la date d' "inutilisation" des tambours.

Rokil 5 novembre 2009 à 19:34 (CET)

Bonjour,
D'après wikipedia anglophone, les tambours ont été inventés en 1932 par Gustav Tauschek en Autriche. Ils sont utilisés jusque dans les années 80. Pour la photo, vous pouvez en trouver en faisant une recherche sur Google Images. --Morestel (d) 6 novembre 2009 à 13:18 (CET)Répondre

La date line...

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Bonjour.

Tout le monde se souvient de la mésaventure de Philéas Fogg qui pensait avoir perdu son pari de faire le tour du monde en 80 jours. Son valet lui faisant remarquer qu'il avait oublié de déduire un jour en franchissant la ligne de changement de date, il se précipita à son club pour faire constater sa victoire. De même, le vol Tokyo - San Francisco décolle le vendredi matin pour arriver ... le jeudi soir ! Par contre, si je décolle de Paris en volant vers l'est, et que je fais le tour du monde en 24 heures pour revenir me poser à Paris, je ne peux pas déduire ce jour, sinon j'arrive en même temps que je suis parti. Pourquoi cette ligne de changement de date est elle valable pour les autres et pas pour moi ? C'est vraiment trop injuste

Mais si mais si, il faut déduire la date. Le changement de date se fait à l'opposé du changement d'heure: quand vous volez vers l'est, vous devez retarder votre montre d'une heure à chaque fuseau horaire, mais avancer d'un jour quand vous franchissez la ligne. Imaginez que vous voyagez instantanément; vous partez à 8h du matin de Paris, volez instantanément vers l'est; il est 19h heure locale aujourd'hui juste avant la ligne de changement de date. Vous franchissez cette ligne, il est 20h HIER heure locale. Vous continuez à voler instantanément, 12 fuseaux horaires plus loin il est 20h hier + 12 h = 8h aujourd'hui. Si vous ne volez pas instantanément c'est le même principe, sauf que ça complique un peu les choses. Arnaudus (d) 6 novembre 2009 à 17:39 (CET)Répondre

Pendant votre voyage de 24 heures, vous avez fait deux fois le tour de la Terre, bien que vous n'ayez fait qu'une fois le tour du monde. Par rapport à Paris, vous avez pris « un tour d'avance ». Pendant le temps qu'a duré votre voyage, vous avez assisté à deux levers et à deux couchers de soleil. Vous avez connu deux minuits pendant que Paris en connaissait un. Vous avez fait deux tours de Terre pendant que Paris connaissait une rotation terrestre. Si vous identifiiez un tour de Terre avec un jour, vous auriez donc eu l'impression d'avancer de deux jours pendant que Paris avançait d'un jour, s'il n'y avait pas la ligne de changement de date. Toutefois, en traversant la ligne de changement de date vous avez « reculé » d'un jour. 2 - 1 = 1. Cela vous replace au même jour et à la même heure que les autres habitants de Paris. C'est le même effet que pour Fogg. -- Asclepias (d) 7 novembre 2009 à 05:52 (CET)Répondre

génération de nombre aléatoire

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Bonjour les Pythies!!

Je travaille aujourd'hui sous VBA, et une question me taraude. Comment mon ordinateur arrive à me générer des nombres aléatoires. J'ai été voir là-dessus , mais même en ayant quelques bases de math, je ne comprends pas trop la logique.

Voir générateur de nombres aléatoires. À ma connaissance, deux familles de techiques : 1) utiliser une source de bruit en provenance du monde «physique» (parasites de la carte son, intervalles entre la frappe des touches sur le clavier, etc), et 2) utiliser un générateur pseudo-aléatoire, c'est à dire une fonction mathématique qui fournit un résultat très peu prévisible, qui fournit des suites ayant les propriétés d'une suite de nombres aléatoires. La première technique est réellement stochastique (autant qu'un phénomène physique peut l'être), la deuxième est entièrement déterministe (à partir d'une même «graine», on obtient toujours la même liste de nombres). Le choix dépend de l'application, dans la plupart des cas les générateurs pseudo-aléatoires fonctionnent très bien. La référence que vous donnez manque de clarté, car elle utilise le terme «aléatoire» plutôt que «pseudo-aléatoire». Arnaudus (d) 6 novembre 2009 à 17:31 (CET)Répondre
Pourquoi ne pas utiliser tout simplement l'heure système ? Si elle est gérée en millisecondes, comme c'est le cas je crois, les derniers chiffres correspondant à un instant t (celui du traitement) sont à peu près totalement aléatoires. On devrait donc pouvoir générer un nombre au format souhaité en y appliquant une fonction quelconque assez triviale. Ou bien je dis des couenneries ? Félix Potuit (d) 6 novembre 2009 à 18:06 (CET)Répondre
L'heure de la machine est utilisée depuis longtemps (et l'est encore ?) par les logiciels de gestion du système.Mistig (d) 6 novembre 2009 à 23:54 (CET)Répondre
Voir ici aussi : Wikipédia:Oracle/semaine_24_2009#Random Loïse [patati] 6 novembre 2009 à 18:10 (CET)Répondre
On peut combiner plusieurs techniques : Par exemple l'heure système pour le premier nombre aléatoire à générer, ensuite une génération pseudo-aléatoire (si on utilise l'heure système systématiquement, les temps d'exécution n'étant pas aléatoires, il y a risque de corrélation). --Serged/ 7 novembre 2009 à 09:25 (CET)Répondre
Oui, l’heure système comme source systématique c’est très mauvais : si on a besoin de 1000 nombres aléatoires et qu'on en fait à chaque fois exactement le même chose, il y a aura un biais énorme ; par contre comme générateur de graine, pourquoi pas. Peut-être parce qu’il y a beaucoup mieux sous linux, /dev/random et /dev/urandom, mais enfin bref. rv1729 7 novembre 2009 à 10:19 (CET)Répondre
Je me rappelle qu'au CEGEP il y a plusieurs années j'avais fait un programme qui appelait 10000 fois la fonction random de C (ou de C++ je sais plus) et j'avais remarqué l'énorme similarité des chiffres obtenus... C'est bel et bien l'horloge qui est utilisé dans la plupart des programmes informatiques, pour générer la graine. Le problème vient surtout pour les programmes d'encryptage... -- Bestter Discussion 8 novembre 2009 à 06:14 (CET)Répondre

Et bien merci beaucoup pour ces réponses.


bonjour

pour faire des nombres aléatoires dans visual basic, il faut faire comme cela :


'Private Sub CommandButton1_Click() Dim a As Integer a = Int((9 + 1) * Rnd + 1)

MsgBox a End Sub'


a est la variable

Int((9 + 1) * Rnd + 1) est la syntaxe de la procédure

9 est le chiffre que vous déterminez. dans ce cas c'est 9, mais cela peut être 500

Int((500 + 1) * Rnd + 1) est la syntaxe de la procédure

J'espère vous avoir aidé dans votre question

Changement d'heure

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  • Régions observant l'heure d'été
  • Régions ayant un temps observé l'heure d'été
  • Régions n'ayant jamais observé l'heure d'été
  • Bonjour, nos chères têtes pensantes prêtendent que nous faisons des économies avec le changement d'heure !!! Les médias en ont ras le bol du décalage !! Pourquoi ne pas couper la poire en deux, c'est à dire qu'au prochain changement cet été,on n'avance que d'une demi-heure et on ne change plus (au lieu de revenir à l'ancienne heure comme il ya 35 ans)  ????? J'ai entendu dire que pour une question de fuseau horaire, il est impossible de décaler que d'une demi-heure. Si quelqu'un peut me renseigner, merci !

    Katmandou au Népal est à l'UTC +5 h 45 et Mysore en Inde à l' UTC +5 h 30, donc c'est possible de décaler d'une demi-heure ou de 3/4 d'heure. Cobra Bubbles Dire et médire 6 novembre 2009 à 19:15 (CET)Répondre
    voir aussi la carte des fuseaux horaires sur laquelle plusieurs autres endroits sont à la demi-heure. Dhatier jasons-z-en 6 novembre 2009 à 19:32 (CET)Répondre
    Supposons que vous habitez en Europe. Sachant que tous les pays du continent européen (toute l'UE et tous ses voisins proches, sauf l'Islande et la Géorgie) observent le changement d'heure, et que ce changement est effectué au même moment, il est difficile d'imaginer qu'un seul pays au milieu des autres cesse d'observer le changement d'heure, en raison des tracas frontaliers que cela occasionnerait d'un seul coup. Votre pays est libre, mais subirait probablement des pressions de tous ses voisins pour suivre la même heure que tout le monde.
    Le débat sur l'énergie vient de l'adéquation plus ou moins bonne entre les heures d'activité humaine et les heures éclairées de lumière naturelle. Dans la société traditionnelle, cela ne posait pas de problème ; les gens s'éveillaient avec le soleil et rentraient aux chaumières avec lui (dans les campagnes il n'y avait plus grand chose à faire une fois les poules couchées et quand on ne voit plus où bêcher, et en ville il était dangereux de circuler la nuit tombée).
    Mais les habitudes du monde moderne font que les gens veulent commencer leur activité quand la petite aiguille de la montre pointe sur le nombre 8 (ou 9, selon le pays ou la ville). En conséquence, les activités humaines sont asymétriques par rapport au midi (civil ou solaire) ; elles vont de 6 heures avant midi à 11 heures après midi. Le changement d'heure permet de rattraper une partie de cette asymétrie quand elle devient trop prononcée en été. Pour avoir une heure de début de travail fixe sans changement d'heure tout en optimisant la dépense énergétique, il faudrait que le jour solaire s'accroisse symétriquement au matin et au soir des activités humaines. Cela voudrait dire, outre de choisir le fuseau qui corresponde le mieux (la France est nettement dans le fuseau de Londres par exemple), il faudrait se résigner à commencer à travailler quand la montre indique « 5 heures 30 » et se coucher à « 20 heures 30 ». Bien que les nombres indiqués par la montre soient totalement arbitraires, en pratique l'inertie de la société fait qu'un tel changement est difficile à envisager. Il ne reste donc que le changement d'heure pour compenser les dommages. — Jérôme 6 novembre 2009 à 22:59 (CET)Répondre
    N.B. Le changement d'heure remonte à 1916 ; en France il a été interrompu de 1945 à 1973. — Jérôme 6 novembre 2009 à 23:11 (CET)Répondre
    Il y a quelques années l'aéroport de Bâle-Mulhouse se singularisait en admettant deux heures officielles simultanées (l'heure suisse et l'heure française). Depuis, ça s'est calmé. Concernant les économies d'énergie, j'ai toujours été sidéré que personne ne semble jamais se poser la question : qui fait des économies ? Qui est « nous » ? Ma théorie perso, que je suis trop feignant pour aller vérifier, est que les entreprises, les administrations etc. font peut-être des économies, aux dépens des particuliers (au lieu de bénéficier gratuitement de l'éclairage et du chauffage dans leur boîte, ils payent leur propre éclairage et chauffage). On ne se méfiera jamais assez du pronom "nous". Félix Potuit (d) 7 novembre 2009 à 08:55 (CET)Répondre
    Bah, à ma connaissance les économies en question sont avérées, et elles sont principalement pour les particuliers. Le débat ce n'est pas que ces économies n'existent pas, mais qu'elles sont relativement marginales comparé à ce qu'on pourrait obtenir par une politique énergétique bien pensée. Le changement d'heure a aussi des inconvénients économiques, principalement pour les entreprises (celles qui fournissent un service 24/24). C'est néanmoins dérisoire comparé au bordel que ça serait si on décidait de se décaler par rapport aux autres pays. Arnaudus (d) 7 novembre 2009 à 11:43 (CET)Répondre

    Musique de Orange Mécanique

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    Bonjour les Pythies !

    Je recherche le titre du morceau qui est joué dans la scène ou Alex fait l'amour avec deux filles dans sa chambre.

    Le connaitriez-vous ?

    Merci d'avance !

    Loïse [patati] 6 novembre 2009 à 23:14 (CET)Répondre

    Bonsoir, les musiques utilisées sont listées dans l'article en anglais à en:A Clockwork Orange (film)#Track listing. Je n'ai pas vu le film ni lu le livre, mais un parcours de l'article suggère une relation forte entre le personnage d'Alex et la 9e symphonie de Beethoven. Tu peux tester cette hypothèse en écoutant la symphonie (durée un peu supérieure à 1 heure), notamment les deuxième et quatrième mouvements qui sont utilisés dans le film. Tu peux écouter gratuitement chez le label Magnatune : http://magnatune.com/artists/albums/pb-beethoven9/ . Bonne écoute. — Jérôme 7 novembre 2009 à 00:52 (CET)Répondre
    tu peux aussi aller écouter ici les différents thèmes utilisés; leur titre est indiqué. Dhatier jasons-z-en 7 novembre 2009 à 00:57 (CET)Répondre
    L'ouverture de Guillaume Tell de Rossini. -- Asclepias (d) 7 novembre 2009 à 06:09 (CET)Répondre
    C'est bien ça mais dans une version un peu spéciale quand même :-) (très rapide pour marquer le rythme de la scène, interprétée au synthétiseur) .: Guil :. causer 9 novembre 2009 à 10:43 (CET)Répondre
    Merci beaucoup à tous ! Loïse [patati] 7 novembre 2009 à 11:29 (CET)Répondre

    Compréhension d'une nouvelle

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    Bonjour, je viens de lire la nouvelle L'adresse, de Marga Minco et je ne la comprend pas du tout. Si quelqun la lue et pourrais l'expliquer, ce serait super. Merci.

      Bonjour, je viens de lire le strip n°124 de Pifou, et j'ai tout compris, je peux même vous l'expliquer. Cobra Bubbles Dire et médire 7 novembre 2009 à 10:28 (CET)Répondre

    TA et TAC

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    bonjour j'aimerai connaitre la difference entre le TA et le TAC Merci

    Aucune idée, ça pourrait être des dizaines de choses. Allez voir les articles TA et Tac. Agrafian (me parler) 7 novembre 2009 à 07:31 (CET)Répondre
    Faites vous allusion aux troubles alimentaires (TCA) et à leur variante troubles alimentaires compulsifs (qui n'a pas d'entrée sur WP) ? Colo (d) 7 novembre 2009 à 09:18 (CET)Répondre
    Ne s'agirait-il pas des Titre alcalimétrique et Titre alcalimétrique complet ? Dans ce cas, ça concernerait le traitement d'eau. Voir Dureté de l'eau. Francool50 (discuter) 3 juin 2021 à 17:35 (CEST)Répondre

    Tambour mémoire(suite)

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    Bonjour, Suite au sujet « Tambour mémoire », que je me suis empressé de lire, je me suis retrouvé dirigé vers la lecture des « Mémoires flash ». Comme j’ai déjà posé (et je ne suis pas le seul) la question de la durée de vie des données conservées sur CD ou DVD ou disques durs, je me demande si l’utilisation de ces mémoires flash n’est pas plus adéquate pour conserver mes données à long terme.

    Dans le cas d’une réponse plutôt positive, vaut il mieux utiliser une clé USB ou une carte Sandisk. --Kkbs (d) 7 novembre 2009 à 06:11 (CET)Répondre

    Bonjour,
    Le durée de vie annoncée des cartes varie de 1000 a 300000 voir 1M de cycles. A titre d'exemple pour 10000 cela fait 27 ans a raison d'une écriture complète tous les jours.
    En 15 ans d'expérience de professionnel voir plus le disque dur s'est révélé le support le plus fiable en tout cas beaucoup plus fiable que les cd ou dvd qui sont eux memes beaucoup plus fiables que les bandes DC6150 Dat etc. a condition de transférer les données d'un disque a un plus récent pour des raisons de changement de normes et de matériel! Le support le plus fiable est le papier de bonne qualité 100 ans
    Quasiment jamais, les garanties ( a vie ou pas ) ne garantissent les données!
    Une seule façon de garder ces données c'est de faire des copies et les entreposées dans des lieux différents.
    Mon choix minis ou pas: disques durs USB ou pas. Les sites internet sont aussi des solutions mais posent d'autres problèmes.
    Ex http://www.kingston.com/products/DMTechGuide.pdf voir aussi sur le site de http://www.sandisk.com/
    .melusin (d) 7 novembre 2009 à 09:44 (CET)Répondre
    Les mémoires flash autres SSD ne conservent rien à long terme. Le stockage est fait (en gros) avec une dizaine d'électrons, c'est-à-dire rien du tout. Pour le long terme, seul le stockage magnétique a fait ses preuves. Stocke sur disque dur en suivant les conseils de melusin. — Jérôme 7 novembre 2009 à 15:02 (CET)Répondre
    Pour les paranoïaque il y a les RAID. Il faut juste une carte contrôleur et pas mal de disque (RAID 6 avec 8 disques, par exemple). Si tu prends 8 disques de 1 To tu auras une capacité de 6 To avec la possibilité de détruire 2 disques (n'importe les quels) parmi 6 sans perdre de données (c'est beau les maths). Évidemment, dès qu'un disque claque tu le remplaces et donc tu ne perds jamais tes données (a moins d'avoir plus de 2 disques qui claquent à la fois, ce qui est très improbable). Koko90 (d) 9 novembre 2009 à 12:29 (CET)Répondre

    Sensée

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    Bonjour, Je ne comprends pas la différence en "sensée" et "censée". J'ai déjà été repris ici même plusieurs fois pour la première orthographe. Quand faut il l'écrire "s" et quand faut il écrire "c" ? Merci à vous, le dico ne pas pas appris grand chose. --Kkbs (d) 7 novembre 2009 à 07:05 (CET)Répondre

    • « censé » = « supposé ». Exemple : « Je suis censé finir mon assiette, c'est-à-dire » = « on attend de moi que je finisse mon assiette. »
    • « sensé » = « plein de bon sens ». Exemple : « Cette personne est tout à fait sensée » = « Elle n'est pas folle ».
    Agrafian (me parler) 7 novembre 2009 à 07:29 (CET)Répondre

    Merci, j'ignorai qu'il y avait 2 écritures pour un son identique, en fonction du sens de la phrase. --Kkbs (d) 7 novembre 2009 à 08:03 (CET)Répondre

    Oui, on appelle ça des homophones. Tout comme « vice » et « vis », « être » et « hêtre », « son » et « sont », « à » et « a », etc. Agrafian (me parler) 7 novembre 2009 à 08:14 (CET)Répondre
    auspice # hospice, autel # hôtel, balade # ballade, cahot # chaos, canne # cane, cep # cèpe, coin # coing, champ # chant, cœur # chœur, cou # coup # coût, cygne # signe, date # datte, décrépi # décrépit, dégoûter # dégoutter, délacer # délasser, détoner # détonner, empreint # emprunt, exaucer # exhausser, fard # phare # far, foi # fois, fond # fonds, geai # jais # jet, golf # golfe... repaire # repère, etc, etc. (merci Robert). Source de plaisirs sans limites pour le fin lettré qui lit Métro ou 20 minutes (qui font bien pire que ça d'ailleurs). Félix Potuit (d) 7 novembre 2009 à 09:11 (CET)Répondre
    Il y a deux sortes d'arbres : le hêtre, et le non-hêtre. pcc Raymond Queneau 7 novembre 2009 à 09:15 (CET)Répondre
    Pour censé # sensé, il y a quand même un truc évident, c'est la construction syntaxique : quand le mot est suivi d'un verbe à l'infinitif (dans l'exemple ci-dessus : censé finir, ou censé avoir fini) alors c'est censé. Il me paraît vraiment difficile de les confondre. Félix Potuit (d) 7 novembre 2009 à 09:41 (CET)Répondre
    Pour ma part, je reviens à censé = recensé, compté au nombre de. rv1729 7 novembre 2009 à 10:15 (CET)Répondre

    Merci à vous, pour la plupart des mots renseignés par Félix, je savais adapter en fonction du contexte, juste pour le mot demandé où le hasard de la lecture de l'article WP heure d'été qui m'a fait découvrir le censé avec c. que je ne connaissais pas. Petites études, peu de lecture et beaucoup de bricolages tout azimuts, d'où mon ignorance dans ce domaine. Bien à vous tous --Kkbs (d) 7 novembre 2009 à 10:27 (CET)Répondre

    Ah non ! surtout pas « empreint # emprunt », les sons « un » et « ain » sont différents. Comme dans « un bon vin blanc » (cf. Bernard Pivot) qui donne 4 sons différents. Bluelagoon (d) 7 novembre 2009 à 12:21 (CET)Répondre

    Je plussoie des 2 mains cette remarque de Bluelagoon ! Dans « un matin brun », il y a 2 « œ̃ », mais un seul « ɛ̃ ». Dans une moindre mesure, auspice (/os.pis/) n'est pas non plus homophone de hospice (/ɔs.pis/). --MGuf 7 novembre 2009 à 12:47 (CET)Répondre
    « Une moindre mesure » : parle pour toi, je fais comme toi la différence entre brin et brun, mais celle entre hospice et auspice est pour moi franchement plus marquée. rv1729 7 novembre 2009 à 12:54 (CET)Répondre
    No problemo ! Mon raisonnement, qui n'engage que mon petit cerveau, est que /o/ et /ɔ/ ne sont que 2 manières de prononcer le « o » ; alors que œ̃ et ɛ̃ sont 2 sons différents. --MGuf 7 novembre 2009 à 13:25 (CET)Répondre
    Vous voyez peut-être une différence entre les sons de « brin » et « brun », mais de par chez moi (le Dauphiné), on n'en voit pas. C'est juste un truc de parigot.   Agrafian (me parler) 7 novembre 2009 à 13:28 (CET)Répondre
    Non, les parisiens ne différencient pas grand chose ; parfois j’ai l’impression qu’ils ne différencient ni é ni è, ni o ni ô, ni a ni â, ni in ni un. Brin et brun, c’est surtout marqué dans le sud-ouest, mais un franc-comtois pur jus fait quand-même la différence, j’en atteste. rv1729 7 novembre 2009 à 13:57 (CET)Répondre

    Excuse-moi Agrafian je suis lyonnais (yonnais) et côtoie le Dauphiné (du nord) depuis bientôt 56 ans, et la différence « un » / « ein » est bien marquée. Et surtout pas parigot, y a qu'à écouter les infos à la télé (je n'en ai plus depuis 16 mois) ou à la radio pour savoir que « un » et « ein » ne font qu'un. Mais pas de ça chez nous. Bluelagoon (d) 7 novembre 2009 à 16:08 (CET)Répondre

    Ça c'est sûr ! Le parler standard parisien, celui qu'on entend dans le poste (télé ou radio), ne fait pas la différence entre « un » et « in ». Moi, si, savoyard. J'ai l'impression que c'est plutôt nordiste de ne pas faire de différence entre ces sons. Je suis curieux de savoir ce qu'entendent et disent d'autres francophones, d'outre Atlantique, d'outre Quiévrain, d'outre Méditerranée... d'outre Jura--MGuf 7 novembre 2009 à 16:27 (CET)Répondre
    Petit rappel : il y a eu un mini sondage sur le bistro (pas assez pour faire des stats mais ça donne une petite idée) clic   Hésitez pas à suivre le lien de la veille. Erdrokan - ** 7 novembre 2009 à 18:26 (CET)Répondre
    Je n'étais pas sur WP à l'époque de ce sondage... excellent ! Je dis "oui" à tout. --MGuf 7 novembre 2009 à 19:20 (CET)Répondre
    Outre Quiévrain, on connait la différence (du moins moi !) Amitiés, --Égoïté (d) 7 novembre 2009 à 20:33 (CET)Répondre
    Je confirme qu'à Paris on ne fait pas la différence entre brun et brin... En me fiant à la prononciation de mon pôpa qui est d'origine pyrénéenne et fait bien la différence entre brun et brin, à Paris on prononce les deux mots "brin". Par contre je ne vois même pas de différence entre hospice et auspice   Loïse [patati] 8 novembre 2009 à 11:19 (CET)Répondre
    Ben c'est la même qu'entre pomme et paume, ou entre sol et saule par exemple   Blue [ -02- ] 8 novembre 2009 à 18:08 (CET)Répondre
    On dit souvent que le français de l'Anjou est le plus "français" (j'entends par là conforme aux standards de la langue). Je vis dans l'Anjou depuis toujours, et j'affirme que je n'ai jamais perçu de différence entre brin et brun. Idem pour auspice et hospice. Maintenant que vous le dites, c'est vrai que si je les prononce en faisant gaffe, ya une légère différence. Mais les différences de prononciations entre régions, voire une réelle homophonie dans certaines, suffisent amplement à justifier le terme d'homophones, non   ? Kiljaeden (d) 8 novembre 2009 à 20:11 (CET) en revanche, pour sol et saule ou pomme et paume la distinction me semble franche  Répondre
    Aucun doute ! C'est en Belgique qu'on parle le mieux le français. Pour nous, un brin brun n'est pas un brun brin. Le "o", c'est "o", comme dans botte, sauf s'il porte un accent circonflexe. Une nouvelle fosse n'est pas une nouvelle fausse. Le "au" est clair comme de l'eau (de roche, pas de rauche). Le "é" est un "é" comme mon nez et comme "et". Le "è" est un "è" comme dans "vert" et le hêtre a un "è" (pas un nez) très long. Nous ne confondons jamais le futur et le conditionnel. Allez voir Français de Belgique, vous verrez ! Convaincus ?Roymail (d) 12 novembre 2009 à 00:52 (CET)Répondre

    Ouagadougou

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    Bonjour grand Oracle

    Dans l article sur Ouagadougou en premiere page il est indiqué que le Maire de la ville s appelle Simon Debruyne mais sur la liste des maires de la commune il est indiqué Simon Compraoré. Quelle est la bonne reponse Simon Debryne me semblant etre un nom du nord de la France ou de Belgique

    Merci de ta réponse --112.142.116.191 (d) 7 novembre 2009 à 10:14 (CET)Répondre

    Bonjour. Apparemment, un petit plaisantin a remplacé Simon Compaoré par un nom belge. Le site de la mairie de Ouagadougou précise que le 20 octobre 2009, le budget primitif 2010 a été voté sous la présidence de Simon Compaoré. Je supprime l'information erronée. Merci pour le signalement. Cordialement. Père Igor (d) 7 novembre 2009 à 11:25 (CET)Répondre

    Métaphore ?

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    Ave, divin oracle.

    Je m'adresse à toi en toute timidité, car je crois que ma question n'a rien à faire là, mais enfin : "Loup blanc aussi, la métaphore est très efficace" est-ce une métaphore ? Ou seulement une comparaison déguisée ?

    En espérant que ta sagesse sera suffisante

    Malheureusement, je ne comprend pas cette phrase. Il manque une partie ? Si oui, quelle est-elle ? Si non, elle ne veut rien dire. Agrafian (me parler) 7 novembre 2009 à 11:47 (CET)Répondre

    Oui, effectivement, il manque une partie (qui se rapporte à "aussi"). "Connue comme le loup blanc, la comparaison est un classique stylistique. Loup blanc aussi, la métaphore est très efficace.

    Comparaison avec ellipse alors. Agrafian (me parler) 7 novembre 2009 à 12:06 (CET)Répondre
    Apparemment, le loup blanc est légèrement présomptueux et a le jugement trop rapide. Il est également paresseux bien qu'occupé et il n'est pas très bon en orthographe. On peut souhaiter qu'il ne lui soit pas arrivé malheur, depuis trois ans et demi. Félix Potuit (d) 7 novembre 2009 à 16:35 (CET)Répondre

    Les oiseaux.

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    Une nuée de pinsons du Nord

    Salut les Pythies.

    Un troupeau de moutons, une meute de loups, un banc de poissons, un(e).....d'oiseaux. Je sèche. Merci de votre réponse. P.S. : ce n'est pas pour un devoir.

    Une volée. Agrafian (me parler) 7 novembre 2009 à 12:03 (CET)Répondre

    Merci beaucoup.

    Tu peux aussi parler de colonie lorsqu'ils se réunissent pour nicher. CGM (d) 7 novembre 2009 à 12:07 (CET)Répondre
    Cela sort un peu du sujet, mais les amateurs pourront constater que le vocabulaire anglais dans ce domaine est particulièrement riche. Entre autres merveilles exotiques, on y trouve un parlement de hiboux, une exaltation d'alouettes, un murmure de passereaux... Voir : en:List of collective nouns for birds. - Mu (d) 7 novembre 2009 à 12:58 (CET) Oui !! rv1729 Répondre
    On peut avoir aussi "colonie" quand il s'agit d'un groupe "installé". HaguardDuNord (d) 7 novembre 2009 à 13:22 (CET)Répondre
    Une voilée de moineaux, un vol de gerfauts, un vol d’oie sauvages ; une nuée de martinets si il y a assez de martinets pour faire une nuée. rv1729 7 novembre 2009 à 13:53 (CET)Répondre
    Une volée d'autruches, ça ne marche pas... Plutôt un troupeau... --Serged/ 7 novembre 2009 à 15:10 (CET)Répondre
    Et un élevage de poules?   HaguardDuNord (d) 7 novembre 2009 à 15:37 (CET)Répondre
    Une sacrée flopée (voir la photo).   Père Igor (d) 7 novembre 2009 à 16:09 (CET)Répondre
    Et pour les morpions ?
    … une colonie   !

    5

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    Bonjour à tous, je dois faire un travail en arts plastics sur le nombre 5, sur la musique. J'ai pensé à mettre tout les groupes de musique qui sont aux nombres de 5, j'en ai trouvé quelques-uns mais je n'ai pas beaucoup d'inspiration ... Pouvez vous m'aider ? Merci !

    Voir les réponses ici Wikipédia:Oracle/semaine 44 2009#Arts Plastique concernant la même question ou à peu près, avis: à la 5ème tentative la question sera effacée.--Doalex (d) 7 novembre 2009 à 17:21 (CET)Répondre
    Pensez à Pentangle, groupe toutefois « à géométrie variable », l'article dixit. Félix Potuit (d) 7 novembre 2009 à 18:48 (CET)Répondre
    t'es trop jeune, t'as pas du penser au MC5...Cobra Bubbles Dire et médire 7 novembre 2009 à 19:01 (CET)Répondre
    Il y a eu le Jackson Five, les Rolling Stones ont été cinq à un certain moment, les Animals furent 5, les Chaussettes Noires aussi, ainsi que les Chats Sauvages. Les Problèmes étaient cinq, ce qui les distinguait du Dave Brubeck Quartet, qui se mettait en quatre pour explorer des rythmes à cinq temps. Les Surfaris ont été cinq à un moment (avec Jim Pash au sax). Le Hot Five d'Armstrong aussi. De même que le quintette du Hot Club de France. Los Cincos Latinos étaient cinq aussi, comme los Trovadores, et Alice Cooper s'est mis en cinq aussi, les Spice Girls, Matrioska, Bon Jovi et La Oreja de Van Gogh tout pareil. Colo (d) 7 novembre 2009 à 23:29 (CET)Répondre
    Sans oublier le système pentatonique. Nguyenld (d) 9 novembre 2009 à 08:34 (CET)Répondre

    Peinture

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    Bonjour ter, Je recherchai des informations sur le "vernis marin", curieusement je n'ai rien trouvé à ce sujet sur WP. L'article peinture n'en parle même pas. Gogole ne me donne que des infos émanant de fabricant ou des commerçants. Une des Pythies connait elle un site où je pourrais en savoir plus. Merci --Kkbs (d) 7 novembre 2009 à 20:05 (CET)Répondre

    Plutôt le vernis Martin ? Philippe Nusbaumer (d) 7 novembre 2009 à 23:07 (CET)Répondre

    Non, Le vernis Martin convient plus pour des applications d'intérieur. Je cherche des infos sur les qualités et défauts du vernis marin (pour les bateaux, plus grande résistance aux intempéries), tel que l'on peut le trouver dans le commerce. Je souhaite connaitre la résistance à l'écaillage et à la lumière solaire pour une application autre que celle sur bateau. En fait, je voudrais recouvrir une lazure par du vernis marin, car la lazure use assez rapidement et nécessite tous les 2 ou 3 ans une nouvelle application. L'âge aidant, ce genre de travail devenant plus pénible, je recherche une formule plus pérenne. Donc je recherche les contre indications pour ce type d'application. --Kkbs (d) 8 novembre 2009 à 06:53 (CET)Répondre

    Bonjour Kkbs. Qu'est-ce qu'une lazure ? (je ne connais pas  . Merci. --Égoïté (d) 8 novembre 2009 à 07:13 (CET)Répondre
    Lasure.   Agrafian (me parler) 8 novembre 2009 à 08:27 (CET)Répondre

    La lazure est une variété de peinture que l'on l'applique sur le bois (exotique souvent, merbeau, méranti etc (peu répandu dans la région de France où je réside actuellement) qui nourrit et laisse respirer le bois. L'inconvénient majeur c'est que cette variété de peinture s'use avec le temps, cela simplifie d'une certaine manière les préparatifs à la couche suivante. Le vent, la pluie, l'entretien normale des châssis usent cette lazure, ce qui nécessite une nouvelle application de lazure. Je cherche à contourner le problème en appliquant une couche de vernis. Le vernis ordinaire à tendance à se craqueler avec le temps, la surface devient dure (pas élastique et le vernis s'écaille). Le vernis marin étant beaucoup plus résistant, je cherche à savoir s'il se craquelle également sous l'effet des conditions atmosphériques ou du temps. Une fois qu'un vernis est appliqué, il est très difficile de l'éliminer, c'est pourquoi avant de procéder je cherche un maximum d'info à ce sujet. Le vernis forme un fils à la surface, comme la peinture. La lazure ne forme pas de film. --Kkbs (d) 8 novembre 2009 à 13:39 (CET)Répondre

    Vernir, c'est une connerie. Au bout de 5 ans ton vernis va s'écailler, et alors qu'avec une lasure il suffit de rajouter une couche, il va falloir poncer grave. Il existe des vernis marins, appelé vernis durs, ils sont très épais, reste un poil mou, résiste mieux aux intémpéries, et craquelle aussi au bout de 5 ans. Pourquoi? Juste parce que l'ennemi de tout ces produits, ce sont les UV. La meilleure solution économe et écolo: un savant mélange d'huile de térébenthine, d'huile de lin et de siccatif.--LeBelot (d) 8 novembre 2009 à 14:46 (CET)Répondre

    @LeBelot, dans ma réponse, je précise que le vernis s'écaille, c'est la raison pour laquelle je m'intéresse plus particulièrement au verni marin qui semble posséder d'autres propriétés. Tu es le premier à me renseigner qu'il écaille aussi après 5 ans. As tu réellement l'expérience de l'utilisation de ce vernis où est un "on dit". Gogole, ne renseigne que des vendeurs pas de fiche technique à trouver (tout au moins pour le moment). Comme dit dans ma question, je cherche une solution plus durable car l'âge aidant cela devient plus difficile de s'y remettre tous les 2 ou 3 ans. Y a t-il un marin parmis les Pythies? --Kkbs (d) 8 novembre 2009 à 16:46 (CET)Répondre

    Marin, peut-être pas encore, mais 6 mois à vivre sur un voilier à Madagascar avec un mat en bois. Mon père avait utilisé un très bon verni dur, et celui-ci a fendu normalement après 5 ans. On a tout poncé, c'est super épais, et on a remis la même chose. Pour une fenêtre, je pense que c'est folie de mettre ce genre de produit. Ça coute une fortune, c'est épais et moche, ça résout aucun problème. Je suis charpentier constructeur bois, et c'est sur, tous les 5 ans, il faut s'occuper des menuiseries, alors qu'on peut laisser le bardage griser tranquillement pendant des lustres. --LeBelot (d) 8 novembre 2009 à 17:21 (CET)Répondre

    Ok, merci pour le conseil, je m'abstiens. Bricolement --Kkbs (d) 8 novembre 2009 à 18:44 (CET)Répondre

    firefox n'aime pas les apostrophes...

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    Bonjour,


    Je voudrais savoir si quelqu'un peut m'expliquer pourquoi lorsque je souhaite ajouter une apostrophe, j'obtiens 50 % du temps une ligne en bas de l'écran qui me signale que je peux rechercher un lien, mais qui ne me donne mon apostrophe !!! ( pour vous donner une idée, j'ai mis presque 10 minutes à écrire la question !!!)

    Merci de votre réponse ! --Tadeo (d) 7 novembre 2009 à 20:49 (CET)Répondre

    Bonsoir ! Qu'est-ce que vous avez comme clavier ? Sur le mien il y a une touche "fn", quand on tape "fn" puis la touche 4 où se trouve l'apostrophe, on obtient en effet un cadre de recherche rapide de lien. Peut-être que cette touche de votre clavier ou une équivalente est coincée ? Loïse [patati] 7 novembre 2009 à 20:59 (CET)Répondre
    Oui, effectivement.... j'ai une touche "fonction" qui me permet de le faire. Sauf que les autres fonctions que je peux controler ( j'ai un portable sans pavé numérique) ne font rien du tout, tant que je ne touche pas la touche en question... Y a-t-il une autre explication ?--Tadeo (d) 7 novembre 2009 à 21:29 (CET)Répondre
    Je mettrais bien un {{SAV|Firefox}}. Mais comme c'est mon instant de bonté, il suffit d'aller dans le forum de Geckozone et de trouver [8] :
    « Dans Outils > Options > Avancé > Général > cadre "Accessibilité". Vérifie que la case "Lancer le recherche lors de la saisie de texte" n'est pas cochée. »
    --Serged/ 8 novembre 2009 à 10:18 (CET)Répondre
    J'ai vérifié. Cette case n'est pas coché. Et la touche fonction n'est pas bloquée. Une note cependant: ça ne le fait que sur deux sites: facebook et wikipedia... franchement bizarre.--Tadeo (d) 8 novembre 2009 à 13:13 (CET)Répondre
    Je veux bien croire que la case n'est pas cochée, mais peux-tu vérifier l'ensemble des options dans la page de configuration du logiciel ? Tu tapes l'URL about:config, tu tapes « typeahead » dans le filtre. Tu peux jouer sur plusieurs réglages liés à la rechercha dans le texte. — Jérôme 8 novembre 2009 à 13:56 (CET)Répondre
    Peut-être la ligne accessibility.typeaheadfind.autostart ? Si l'on en croit la page http://www.geckozone.org/wiki/wakka.php?wiki=AboutConfig&show_comments=1, ce choix permettrait de « ne pas utiliser la touche ' pour la recherche d'un hyperlien », auquel cas il faudrait peut-être inverser la valeur (dans K-Meleon, elle est réglée sur true, donc peut-être faudrait-il tenter false ?) Enfin je dis ça, mais j'ai moi-même quelques problèmes avec K-Meleon et Facebook (impossible d'écrire sur mon mur), inconvénient auquel j'arrive quand même à survivre, compte tenu du peu de place que prend FB dans ma vie  ... Hégésippe | ±Θ± 8 novembre 2009 à 15:01 (CET)Répondre

    cheminement de la création d'une musique jusqu'à la diffusion de son clip à la TV

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    Bonjour, Je voudrais connaître toutes les informations clés de la création d'un clip musical depuis la création de la musique par l'artiste, jusqu'à sa diffusion à la télévision. Si vous avez des pistes qui m'aiderais dans ma recherche, merci beaucoup.

    Des mauvaises langues disent que la bonne clé, c'est celle de la chambre. Mais c'est pure calomnie !
    Et puis Mocky , c'est au cinéma ! En plus !
    --Patschw (d) 8 novembre 2009 à 14:40 (CET)Répondre
    A défaut, lire l'article en question (lien placé dans la question) .Anja. (d) 8 novembre 2009 à 15:42 (CET)Répondre

    Date de création de l'hymne Homérique à Artémis

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    Bonjour à tous et merci aux puits de sciences qui veulent bien donner un peu d'eau à une assoiffée ! Qui pourrait me dire la date , ou une fourchette, pour l'Hymne Homérique à Artémis ? ( d'habitude et dans le TLG, référencé sous le Numéro 27, mais sur Wikipédia , je crois avoir vu 26 ... ??? ) . J'ajoute une précision peut-être nécessaire à cause d'ajouts plus ou moins tardifs  : je m'intéréresse au vers qui mentionne Delphes dans cet hymne. J'aurais deux ou trois questions du même tonneau à propos d'Homère ... Si quelqu'un pouvait m'aider, cela me serait très précieux car je peux difficilement aller dans une bibliothèque et n'ai rien trouvé sur Internet. A bientôt ! -- Marguerite

    Bonjour Marguerite, fiez-vous plus à la version allemande [9] qui indique clairement qu'il existe 2 ou 3 hymnes pour une divinité, alors que la version française se répète d'abord avec un lien bleu et puis, sans relation, une seconde fois voire une troisième fois, dans le cas d'Artémis voir 8 et 26, pour Dionysos voir 1, 6 et 25, il serait bien d'ailleurs qu'une Pythie connaissant la langue allemande intervienne sur l'article français.
    Pour ce qui concerne plus généralement Homère vous pouvez intervenir dans la page de discussion existante Discussion:Homère et demander la date approximative de cet hymne. --Doalex (d) 8 novembre 2009 à 10:48 (CET)Répondre
    Avez-vous consulté les documents disponibles sur le site Persée, par exemple ? Ici Claude Calame, dans Mètis, 1994. Piero (d) 11 novembre 2009 à 07:44 (CET)Répondre
    Je suis incapable de répondre à votre question, mais elle est de toute façon extrêmement épineuse. Il y a de multiples théories ("la question homérique") sur l'oeuvre d'Homère en général. La majorité des spécialistes estime aujourd'hui que cette oeuvre (l'Iliade et l'Odyssée, mais aussi la "petite Iliade" et les hymnes) sont la fixation d'une tradition orale préexistante et de batteries de vers antérieurs. A partir de là, les avis divergent. La personne (ou les personnes) qui a (ont) fixé les oeuvres se sont-elles contentées de transcrire une/des oeuvre(s) toute(s) achevée(s) (une photo d'une maison fabriquée collectivement)? Une personne (Homère) a-t-elle construit la maison avec des briques qu'il n'a pas fabriquées ? A-t-il aussi fabriqué une partie des briques ? Y a-t-il plusieurs maçons ? Alors, pour débusquer l'auteur d'un vers particulier, je vous souhaite bonne chance. Il y a certainement eu des créations postérieures, mais un vers antérieur peut aussi apparaître postérieurement sous forme écrite. La caractéristique de la versification est qu'elle assure une transmission orale exempte de (trop de) déformations.Roymail (d) 12 novembre 2009 à 01:23 (CET)Répondre

    Je veux simplement vous remercier car je n 'étais pas sûre d'avoir bien fait le tour de la question de la datation de ce passage, et vous me permettez de dire avec plus d'assurance ... qu'on ne la connaît pas avec certitude. ( on m'a aussi répondu sur la page de la Question d'Homère : c'est bien le Numéro 27. Rien de neuf depuis le Budé : peu après 580.).

    Règle de grammaire

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    Bonjour à tous les wikipediens(es).Je traine certaines lacunes que j'aimerais en faire de mauvais souvenir et pour cela ,vous etes mon seul espoir.Bon voilà j'aimerais savoir quelle est la bonne formulation des phrases suivantes : "c'est à qui?" et "c'est pour qui?" ; "si je savais j'allais te le dire" et "si j'aurais su j'allais te le dire".SI ell Merci à tous les grammairiens

    • « À qui est-ce ? » ;
    • « Pour qui est-ce ? » ;
    Pour les deux dernières, je ne suis même pas sûr d'en comprendre le sens. Agrafian (me parler) 8 novembre 2009 à 15:23 (CET)Répondre
    • Je traine certaines lacunes que j'aimerais en faire de mauvais souvenir → « Je traîne certaines lacunes dont j'aimerais faire de mauvais souvenirs »
    • "si je savais j'allais te le dire" → « si je savais, je te le dirais »
    • "si j'aurais su j'allais te le dire" → « si j'avais su, je te l'aurais dit »
    S.M. | D.S.M. 8 novembre 2009 à 15:28 (CET)Répondre
    On nous avait appris ça à l'école "les si n'aiment pas les raies/scies n'aiment...". Après "si", JAMAIS de "rais". Celette (d) 8 novembre 2009 à 16:06 (CET)Répondre
    (j'arrive trop tard, ça m'apprendra à faire des explications) Bonjour, lorsqu'on construit une question, le pronom passe derrière le verbe. « as-tu ? » plutôt que « tu as ? ». Pour les deux première phrase on obtiens donc : « à qui est-ce ? » et « pour qui est-ce ? » (C'est ici : Phrase#Phrase interrogative). Pour la deuxième moitié, on dit souvent que les si ont peur des -rais. C'est un moyen mémotechnique en référence aux poissons. La raison est la suivant : le verbe qui suis le « si » est généralement conjugué à l'imparfait ou plus-que-parfait. Ces temps ne font pas de terminaison en "-rais". Par contre la deuxième moitié de la proposition, elle, est donc conditionnel et se conjugue donc au conditionnel. C'est là que le "-rais" apparait normalement. Un dernier point : Les phrases habituelles ne commencent pas par une conjonction comme « si ». Si ça arrive, c'est qu'il y aura eu inversion. Ce qui est tout à fait permis, mais qui demande forcément l'apparition d'une virgule là où les propositions se rejoignent.
    • « Je n'en serais pas rendu là si j'avais suivi mes cours convenablement. »
    • « Si j'avais suivi mes cours convenablement, je n'en serais pas rendu là.  »
    • « Si j'avais su, je te l'aurais dit » ici j'emploie le plus-que-parfait (avoir su) parce que autrement :
    • « Si je savais, je te le dirais » On tombe au présent.
    Je ne suis pas un expert, mais j'espère que ces explications t'aideront. --Iluvalar (d) 8 novembre 2009 à 16:08 (CET)Répondre
    Si j'écrirais bien la France, je fais des réponses comme Iluvalar
    Vous m'en voyez flatté ou m'envoyez valser; Je ne saurais dire. --Iluvalar (d) 10 novembre 2009 à 05:49 (CET)Répondre

    Fumer

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    Bonjour pythie, comment appelle t-on la baguette sur laquelle les grandes dames du début du siècle posaient leur cigarette, donnant alors l'impression d'un long tube à cancer ? C'était très en vogue dans les milieux mondains, et l'ait encore aujourd'hui dans certaines soirées très hupées. Merci! Celette (d) 8 novembre 2009 à 16:05 (CET)Répondre

    Un fume cigarette. Agrafian (me parler) 8 novembre 2009 à 16:10 (CET)Répondre
    ^^ C'était vraiment bête mais je ne retrouvais plus le mot. Merci beaucoup.Celette (d) 8 novembre 2009 à 16:15 (CET)Répondre
    Il n'y a plus qu'à créer fume-cigarette. -- Xofc [me contacter] 8 novembre 2009 à 16:49 (CET)Répondre
    Chapeau, l'article a été créé. Et en moins d'une heure, il n'était déjà plus une ébauche. Agrafian (me parler) 8 novembre 2009 à 22:55 (CET)Répondre
    Merci ^^ Je trouvais le sujet intéressant et puis pam ! sur un coup de folie j'ai dit : now or never ! Par contre, j'aimerais bien qu'on arrive à le lier sur le wiktionnaire, ou il existe un article fume cigarette et également en recherche google. Merci ! Celette (d) 9 novembre 2009 à 19:21 (CET)Répondre
    Pour info : en Belgique, on dit un "porte-cigarette".Roymail (d) 12 novembre 2009 à 00:59 (CET)Répondre

    Chimie des grecs anciens

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    Chers oracles chimistes, veuille Apollon vous aider à me répondre de façon claire .. à moi qui ne suis pas chimiste mais m'intéresse à l'archéologie, et en particulier aux périodes où les sociétés s'installent quelque part. Très tôt donc... Que peut-on trouver comme avantages d'avoir une eau non-calcaire entre - 3000 et + 200 pour vous donner une idée, et en particulier en Grèce ( santé, cultures, élevage, "industrie" ou artisanat bronze et fer, cuisine, céramique, tissages, tannage, etc. ). Même question sur les avantages et inconvénients des eaux calcaires ou acides à ces époques. Le bon sens et quelques informations m'ont déjà fourni un certain nombre de réponses mais je ne connais certes pas tous les domaines... Merci pour votre aide précieuse... car j'ai peur de passer à côté de facteurs dont je n'ai pas encore idée. Même des pistes me seront utiles et je poursuivrai. Marguerite

      Bonsoir Marguerite. En cette fin de journée, je ne vais certes pas aller réveiller les pythies déjà endormies (elles ont droit au repos après leur rude labeur) et je ne suis pas compétente pour vous répondre (bien que votre question m'intéresse beaucoup). Le bon sens me suggère bien des choses auxquelles vous avez certainement pensé, et d'abord la constatation empirique que les hommes ont dû faire de l'action des qualités d'eau sur eux-mêmes, sur leurs bêtes, sur les matières. Pourquoi n'interrogeriez-vous pas des experts ? Le Portail:Chimie est à votre disposition. Amicalement, --Égoïté (d) 8 novembre 2009 à 23:55 (CET)Répondre
    Sur le plan alimentaire, zéro.
    Sur le plan artisanal et industriel, j'ai du mal à concevoir que vous ayez pu trouvé quelque chose avec du "bon sens", car même avec une base raisonnable en chimie je ne vois pas quel impact le calcaire dans l'eau pouvait avoir pour être significatif . gem (d) 10 novembre 2009 à 17:16 (CET)Répondre

    @Gem, la présence de calcaire dans l'eau à de tout temps été la bête noire des teinturiers. Je suppose que dans d'autres métiers également et ce quelque soit l'époque. Le tannage est certainement concerné (beaucoup de points communs avec la teinture). Le tissage aussi, pour la bonne raison qu'en fonction de la terre ou il a été produit, le coton peut contenir de telles quantités de calcium qu'il est quasi impossible à teindre avec de bonnes solidités au frottement et un bon rendement tinctorial. La page ne suffirait pas rien que pour la teinture. Concernant l'alimentation, pas une bonne eau, pas de bonnes bières. Sans parler des entartrages dans tous les domaines que ce soit dans l'industrie ou dans le privé. --Kkbs (d) 11 novembre 2009 à 06:20 (CET)Répondre

    D'accord, mais au point de devenir une raison pour s'installer quelque part ? Pour la période (-3000 / + 200) et la région (Grèce) évoqués, je suis dubitatif. Si nous n'avons pas grand chose dans dureté de l'eau (ou dans en:Hard_water à ce sujet ce n'est pas seulement par méconnaissance, le fait que ça n'a pas tellement d'importance joue aussi. Même pour la teinture, par exemple : le plus important pour le teinturier c'est d'avoir la teinture et la matière à teindre, ainsi que tout les autres produits nécessaires ; toutes les eaux ne se valent pas mais au point de jeter l'éponge quand on a une eau calcaire, ou inversement de faire venir ce qui manque quand on a une eau sans, j'en doute. gem (d) 12 novembre 2009 à 11:50 (CET).Répondre

    Merci pour vos réponses ! Même si cette caractéristique n'est, ou ne semble pas, pas fondamentale ni déterminante, on connaît aussi, à l'inverse, des "villes" qui sont nées de telle ou telle activité qui avait été permise par une eau qui avait telle ou telle propriété. ( exemples plus tard : bière, acier...) Elles étaient d'autant plus importantes que l'eau devait être sur place ( à moins de l'y faire venir par aqueduc) et qu'alors on n'avait guère de moyens pour remédier à des "défauts" basiques. Elle pouvaient aussi probablement être une gêne. On y pense peu car on raisonne peu nous-mêmes ainsi désormais, mais j'ai l'impression, à lire Sénèque ou d'autres, qu'on voit qu'il y avait de bonnes et de "mauvaises" sources, particulièrement dangereuses quand on arrive en pays inconnu... Je n'évoque même pas ici les " eaux thermales" ou les '"oasis" dans une région pauvre en eau, mais plus simplement les problèmes ou les difficultés qui peuvent se poser aux hommes la buvant ou s'en servant tous les jours, si elles sont trop calcaires, de santé, d'artisanat ou de culture ( certaines plantes ne supportent pas le calcaire). Je vous remercie en tout cas pour votre aide. Les réflexions en tous sens qu'elle suscite me sont utiles pour savoir "relativiser" et prendre la mesure exacte de cette caractéristique géographique à incidence humaine (socio-économique...) . Sur le portail de la chimie , je ne crois pas avoir trouvé de réponse à cela, mais je vais aller poser ma question si je vois où le faire ! Merci les oracles ! une Marguerite pas bio-chimiste !

    Comment résilier un compte ?

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    Bonjour l'Oracle, je m'adresse à vous pour obtenir quelques renseignements, si-possible, sur la résiliation d'un compte chez Wikipédia. Je vous serai gré de bien vouloir m'accorder ces quelques renseignements, car je ne peut tenir un compte honorable.

    Merci.

    En fait, c'est impossible. Agrafian (me parler) 8 novembre 2009 à 19:06 (CET)Répondre
    Question non oraculaire, demande à faire auprès des administrateurs. -O.--M.--H.- 8 novembre 2009 à 19:25 (CET)Répondre
    On peut néanmoins renommer un compte, auprès des bureaucrates (pas des admin) voir Wikipédia:Demande de renommage de compte utilisateur. Lisez aussi Wikipédia:Droit de disparaître. Et sinon ce genre de question dépend plutôt de la guilde, Olivier ;-). --Epsilon0 ε0 8 novembre 2009 à 19:28 (CET)Répondre
    À toutes fins utiles n'oubliez pas que vous possédez actuellement 2 comptes dont un sous IP Utilisateur:Jonseb et Utilisateur:79.93.232.127. --Doalex (d) 8 novembre 2009 à 20:23 (CET)Répondre
    Il suffit de changer de mot de passe, et d'oublier le nouveau mot de passe : le compte ne sera plus jamais utilisé. Biem (d) 8 novembre 2009 à 21:14 (CET)Répondre

    Les singes et les hommes...

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    ) Bonsoir,

    Je viens de lire vos réponses sur la "race" (espèce) humaine. Une réponse amenant parfois une question, je me demandais quel est le terme le plus approprié pour différencier les singes des hommes ? Tous deux étant considérés comme des primates (l'homme parfois plus que le singe), cette distinction me semble utile et à rapprocher de l'article sur la "race" humaine.

    Merci de vos réponses. Hiverounet.

    Le terme Homininé regroupe les hommes des genre Homo et Australopithecus. Les Hominidés sont les mêmes, accompagnés des ChimpanzésCGM (d) 8 novembre 2009 à 21:10 (CET)Répondre

    Vous classez donc les chimpanzés dans la catégorie des hominidés ? Quid du terme "primate" ?

    Les deux sont aussi des primates, classe qui est beaucoup plus vaste, comportant les singes, mais aussi les lémuriens. Dhatier jasons-z-en 8 novembre 2009 à 21:46 (CET)Répondre

    Merci de cette réponse, qui soulève une dernière question (je sais, j'abuse, vous m'en voyez désolé) : quelle différence entre hominidé et primate ?

    L'hominidé est un primate. Les primates sont un large groupe d'animaux qui, entre autre, englobe les hominidés. Agrafian (me parler) 8 novembre 2009 à 22:52 (CET)Répondre
    Primates = singes, séparés en 16 familles (d'après primate, la classification change beaucoup). Une de cette famille est appelée hominidés, et contrairement à ce qui a été dit plus haut, elle regroupe 6 espèces actuelles (orang-outang, les deux espèces de gorille, les deux espèces de chimpazés et l'Homme). Ces cinq dernières espèces forment la sous-famille des homininés. Enfin d'après Wikipédia, parce que les classifications sont des sujets sensibles... Arnaudus (d) 8 novembre 2009 à 23:12 (CET)Répondre
    Primates 
    Strepsirrhini

     (lémuriens et lorisidés)


     Haplorrhini 
     Tarsiiformes 

     (tarsiers)


     Simiiformes  ou Anthropoidea 
    Platyrrhini

     (singes du nouveau monde)


     Catarrhini 
    Cercopithecoidea

     Hominoidea 
    Hylobatidae

      (gibbons)


     Hominidae

     (grands primates)







    Shoshani J, Groves CP, Simons EL & Gunnell GF., 1996. Primate phylogeny: morphological vs. molecular results. Mol Phyl. Evol., 5(1):102-54.

    Hominoidea  
    Hylobatidae

      (gibbons)


     Hominidae 
    Ponginae

     Pongo (orang-outans)


     Homininae 
    Gorillini

     Gorilla (gorilles)


     Hominini 
    Panina

     Pan (chimpanzés)


     Hominina 

    Australopithecus† et Homo (humains)






    Shoshani J, Groves CP, Simons EL & Gunnell GF., 1996. Primate phylogeny: morphological vs. molecular results. Mol Phyl. Evol., 5(1):102-54. Merci de vos réponses, que je trouve passionnantes. A bientôt pour d'autres questions.

    Tadeusz Reichstein Polonais ? Non

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    Né en 1897 Reichstein a 99% de chances d'avoir été un Juif DE Pologne et non pas un Polonais. Les Juifs avaient sur leurs Papieers la mention Wyznania mojżeszowego et ne se sentaient pas non plus fanatiquement polonais. J'apprécierais que la qualité de juif soit attribuée avec soin aux scientifiques plutôt que systématiquement aux Escrocs! Merci

    Que voulez-vous que l'on y réponde ? Et à quelle question ?