Wikipédia:Oracle/semaine 4 2014
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Article Nwoah mey introuvable sur votre site
modifierBonjour à toute l'équipe, Je souhaiterais trouver dans votre site Wikipédia un article sur le singe Nwoah mey (espèce de singe faisant partie de la famille des rhinopithèques). Cela est juste une proposition de ce sujet pour compléter votre site qui est fabuleux. Merci et très bon courage pour les collaborateurs bénévoles !
- A en croire la version en allemand de Wikipédia, mey nwoah est le nom local du Rhinopithèque de Stryker. --CQui (discuter) 20 janvier 2014 à 09:48 (CET) Note: la version en anglais dit la même chose, il faudrait peut-être le rajouter de notre coté.
- Bonjour, à tout hasard l'article en anglais initialement intitulé Mey nwoah est redirigé ici Myanmar snub-nosed monkey.--Doalex (discuter) 20 janvier 2014 à 09:55 (CET)
- Redirection de Mey nwoah vers Rhinopithèque de Stryker faite. --Catarella (discuter) 22 janvier 2014 à 11:28 (CET)
- Bonjour, à tout hasard l'article en anglais initialement intitulé Mey nwoah est redirigé ici Myanmar snub-nosed monkey.--Doalex (discuter) 20 janvier 2014 à 09:55 (CET)
Isabelle II de Bourbon - photo
modifierBonjour,
Ma question va vous paraitre saugrenue. Pourquoi la photo d'Isabelle II de Bourbon est elle en noire et blanche ?
Est elle la photographie en noir et blanc d'un tableau couleur ?
J'ai en effet vu récemment un tableau la représentant, mais ce tableau était en couleur.
Merci d'avance
cordialement
- Probablement que c'est une photo et que les photos, à l'époque, n'étaient pas en couleurs (photographie couleur). Vous pouvez trouver d'autres illustrations d'Isabelle sur Commons:Category:Isabella_II_of_Spain. -- Xofc [me contacter] 20 janvier 2014 à 17:47 (CET)
- On peut peut-être se contenter seulement de 2 sous-catégories photographies et portraits en liens externes, c'est à toi de voir...--Doalex (discuter) 20 janvier 2014 à 18:37 (CET)
Datation par le carbone 14 d'un squelette des environs de l'an Mil
modifierBonjour le Pythies
Dans une revue d'archéologie, je lis qu'avec la datation au carbone 14, il existe une imprécision de l'ordre de quelques décennies autour de l'an Mil du fait d'un effet de plateau de la désintégration pour cette période. Les articles carbone 14 et datation par le carbone 14 ne signalent pas ce fait (ou j'ai mal lu...) Une Pythie aurait-elle quelques lumières à partager concernant cette assertion ? Avec mes remerciements anticipés.
Cordialement -- Doc103 (discuter) 21 janvier 2014 à 14:38 (CET)
- Il y a effectivement un problème de plateau pour la datation au 14C, mais il se situe dans la période -800 -400, tel qu'expliqué dans l'article en:Hallstatt plateau de la wikipédia anglophone.Dhatier discuter 21 janvier 2014 à 16:37 (CET)
- Merci pour cette réponse, mais « je reste sur ma faim » en ce qui concerne l'an mil ; y aurait-il un rapport avec l'optimum climatique médiéval que certains nomment « le réchauffement climatique de l'an mil » ? -- Doc103 (discuter) 21 janvier 2014 à 18:22 (CET)
- Une recherche Google appropriée nous renvoie plusieurs documents qui discutent du problème des plateaux de datation; peut-être y trouverez-vous des infos spécifiques à l'an mil. Dhatier discuter 21 janvier 2014 à 19:32 (CET)
- Si tu pouvais citer l'extrait en question on pourrait mieux appréhender le contexte.--Doalex (discuter) 21 janvier 2014 à 19:41 (CET)
- Je ne suis pas spécialiste mais dans toutes les émissions d'archéologie que j'ai pu entendre sur le sujet, il est toujours question du fait que la datation au carbone 14 connaît une indétermination qui augmente avec le temps, donc sans élément autre permettant de restreindre cette indétermination on donne une datation sur une plage de X ans à partir de telle date. De mémoire, pour les sites alentour de l'an mil c'est de l'ordre de 40 ans. >O~ ♦M♦ ~H< 21 janvier 2014 à 19:55 (CET)
- À Olivier : Dans les documents que j'ai donnés ci-haut via Google, il est indiqué qu'en plus de l'indétermination «normale» et progressive inhérente à toute mesure temporelle, il y a aussi des périodes où la mesure du carbone 14 ne varie plus du tout, comme entre -800 et -400 (plateau de Hallstatt), ou celle que mentionne notre demandeur, qui se situerait aux environs de l'an 1000. Dhatier discuter 21 janvier 2014 à 20:17 (CET)
- Ah Ok, bon à savoir. >O~ ♦M♦ ~H< 21 janvier 2014 à 20:31 (CET)
- Pour répondre à Doalex (d · c · b), je précise qu'il s'agit d'un compte rendu de « Fouille archéologique des abords de l'église Saint-Privat à Montigny-lès-Metz » (Diane Carron, in Les Cahiers lorrains, 2012, n° 3-4. (ISSN 0758-6760). pp. 8-19. Je cite :
- « La datation par radiocarbone d'un échantillon du squelette fournit une période comprise entre 903 et 1031 après J.C. ( 95,4% avec une précision de deux sigmas) avec un écart resserré entre 969 et 1031 (92,5%). Cet écart d'une soixantaine d'années peut paraître assez important, il correspond à un effet de plateau de la désintégration du carbone 14 observable durant quelques décennies autour de l'an Mil. » – Doc103 (discuter) 21 janvier 2014 à 20:51 (CET)
- Et pour comprendre quelques termes retrouvés dans l'article en:Hallstatt plateau sur ce sujet non abordé sur fr.wp voir depuis page 73 et suivantes .--Doalex (discuter) 21 janvier 2014 à 21:08 (CET) Merci Doc103.
- Ah Ok, bon à savoir. >O~ ♦M♦ ~H< 21 janvier 2014 à 20:31 (CET)
- À Olivier : Dans les documents que j'ai donnés ci-haut via Google, il est indiqué qu'en plus de l'indétermination «normale» et progressive inhérente à toute mesure temporelle, il y a aussi des périodes où la mesure du carbone 14 ne varie plus du tout, comme entre -800 et -400 (plateau de Hallstatt), ou celle que mentionne notre demandeur, qui se situerait aux environs de l'an 1000. Dhatier discuter 21 janvier 2014 à 20:17 (CET)
- Je ne suis pas spécialiste mais dans toutes les émissions d'archéologie que j'ai pu entendre sur le sujet, il est toujours question du fait que la datation au carbone 14 connaît une indétermination qui augmente avec le temps, donc sans élément autre permettant de restreindre cette indétermination on donne une datation sur une plage de X ans à partir de telle date. De mémoire, pour les sites alentour de l'an mil c'est de l'ordre de 40 ans. >O~ ♦M♦ ~H< 21 janvier 2014 à 19:55 (CET)
- Si tu pouvais citer l'extrait en question on pourrait mieux appréhender le contexte.--Doalex (discuter) 21 janvier 2014 à 19:41 (CET)
- Une recherche Google appropriée nous renvoie plusieurs documents qui discutent du problème des plateaux de datation; peut-être y trouverez-vous des infos spécifiques à l'an mil. Dhatier discuter 21 janvier 2014 à 19:32 (CET)
- Merci pour cette réponse, mais « je reste sur ma faim » en ce qui concerne l'an mil ; y aurait-il un rapport avec l'optimum climatique médiéval que certains nomment « le réchauffement climatique de l'an mil » ? -- Doc103 (discuter) 21 janvier 2014 à 18:22 (CET)
- Le rythme de désintégration ne change certainement pas au cours du temps. J’imagine que le plateau observé dans les mesures s’explique par une augmentation de la teneur de l’atmosphère en 14C durant la période considérée. Reste à savoir pourquoi... Hausse de l’activité solaire ? Grasyop ✉ 21 janvier 2014 à 21:27 (CET)
- Voir Datation_par_le_carbone_14#Courbes_d'étalonnage. Grasyop ✉ 21 janvier 2014 à 22:01 (CET)
Effectivement, la datation au C14 dépend de la production mondiale du C14, qui dépend elle-même de l'activité des Rayons cosmiques. S'il y a des « trous » dans la production des rayons cosmique pour une raison ou une autre, ça se répercute sur la quantité de C14 produite, et ça vient conchier (un peu) les datations (d'autant plus fortement que la date est proche). D'où le décalage.
En même temps, ça veut dire qu'il y a eu moins d'irradiation « naturelle » sur la Terre pendant cette période. Pour une fois que quelqu'un se plaint de ce que l'irradiation naturelle n'est pas au niveau habituel... ^_^
d'après une rumeur que j'ai ouïe.dire
modifierBonjour, J'ai ouïe dire il y a déjà quelques temps de cela qu'au.temps du clergé les " bordels" étaient toléré même légalisé et tenu à l'époque par les maires des diverses communes, et par conséquent que dans les petits villages ou bordel il y a avait mais où il n'y avait pas de maire alors il était demandé au curé de réguler le tout est ce vrai ?
La question paraît sûrement étrange il s'agit néanmoins d'histoire et je trouve le sujet suffisamment intéressant pour aujourd'hui en faire par a mes camarades ivoiriens
- Bonsoir. Je ne sais pas ce que peut vouloir dire « au temps du clergé » (?). Le statut des bordels en Cote d'Ivoire je ne sais pas ; définitivement l'idée que « il était demandé au curé de réguler le tout » est en tout cas une joyeuse fantaisie - ça n'a jamais été dans les attributions officielles d'un curé. Cordialement, Biem (discuter) 21 janvier 2014 à 20:40 (CET)
- Histoire de la prostitution en France et notamment dès le début, dans le paragraphe Moyen Âge, avec une source : Serge Pacaud, La prostitution à Bordeaux : au temps de la tolérance, Atlantica, 2007, p. 15. Il semble bien que ce soit vrai... ! Bertrouf 22 janvier 2014 à 03:21 (CET)
citation éponyme
modifierQue pense l'Oracle de cette citation :
- La vie du tsar Boris Godounov a inspiré la pièce éponyme de Pouchkine (1825), l'opéra éponyme de Moussorgski (1869)... — (Jean-Paul Labourdette, Dominique Auzias, Petit Futé : Russie, 2011)
- merci --Dit33 (discuter) 22 janvier 2014 à 12:58 (CET)
- … manque une musique de scène et (au moins) un film. Voir Boris Godounov (homonymie). — Hautbois [canqueter] 22 janvier 2014 à 13:37 (CET)
- Ma foi, comme « l'éponymie désigne le fait de “donner son nom à” quelque chose » ça me paraît correct, quoique lourd. >O~ ♦M♦ ~H< 22 janvier 2014 à 13:39 (CET)
- Bonjour aussi, en fait rien, si c'est pour la source voir le Bistro. Merci --Doalex (discuter) 22 janvier 2014 à 13:41 (CET)
- Merci. --Dit33 (discuter) 22 janvier 2014 à 13:51 (CET)
- Ben justement, c’est pas la pièce qui donne son nom au tsar. « Éponyme » est à tort employé comme « du même nom ». La pièce Boris Godounov de Pouchkine est inspirée de la vie du tsar éponyme serait correct quoique tout aussi lourd – et même pédant. rv 22 janvier 2014 à 15:11 (CET)
- Que dit le TLFi ? « P. ext. (Celui, celle, ce) qui donne son nom à quelque chose ou à quelqu'un, à qui l'on se réfère, que l'on vénère », avec comme exemple « moulin éponyme » ==> qui porte le nom de. Je persiste, Godounov donne son nom à la pièce, à l'opéra, au film, donc l'emploi semble correct mais l'expression est maladroite. >O~ ♦M♦ ~H< 22 janvier 2014 à 17:29 (CET)
- Olivier, c’est bien ce que dit Hervé : Godounov donne son nom à la pièce, et non l’inverse. (Et la pièce donne son nom à l’opéra.) L’exemple des moulins peut prêter à confusion : il faut comprendre que certains villages ont pris le nom de leur moulin. Grasyop ✉ 22 janvier 2014 à 18:07 (CET)
- Il faut éradiquer éponyme, qui n’a été inventé que pour (non, allez, je m’auto-censure). --Morburre (discuter) 22 janvier 2014 à 18:09 (CET)
- Bref c'est pas clair mais il y a une chose de sûre, la phrase citée est lourdingue et d'après une majorité de pythies, fautive. >O~ ♦M♦ ~H< 22 janvier 2014 à 18:40 (CET)
- (je reprends) Mot malheureux à la mode et la plupart du temps mal employé. En effet, il est soit synonyme de « homonyme» , soit, plus couramment, l'équivalent de « qui reçoit son nom ». Étymologiquement, on appelait éponymes les années de mandature d'un personnage politique. On dirait aujourd'hui : les années Mitterrand, les années Chirac... L'adjectif est toléré pour les personnages littéraires. Mais il est pédant en dehors des ouvrages spécialisés. Une routine de fond pour remplacer ce mot ? --Mistig (discuter) 22 janvier 2014 à 18:59 (CET)
- Bref c'est pas clair mais il y a une chose de sûre, la phrase citée est lourdingue et d'après une majorité de pythies, fautive. >O~ ♦M♦ ~H< 22 janvier 2014 à 18:40 (CET)
- Il faut éradiquer éponyme, qui n’a été inventé que pour (non, allez, je m’auto-censure). --Morburre (discuter) 22 janvier 2014 à 18:09 (CET)
- Olivier, c’est bien ce que dit Hervé : Godounov donne son nom à la pièce, et non l’inverse. (Et la pièce donne son nom à l’opéra.) L’exemple des moulins peut prêter à confusion : il faut comprendre que certains villages ont pris le nom de leur moulin. Grasyop ✉ 22 janvier 2014 à 18:07 (CET)
- Que dit le TLFi ? « P. ext. (Celui, celle, ce) qui donne son nom à quelque chose ou à quelqu'un, à qui l'on se réfère, que l'on vénère », avec comme exemple « moulin éponyme » ==> qui porte le nom de. Je persiste, Godounov donne son nom à la pièce, à l'opéra, au film, donc l'emploi semble correct mais l'expression est maladroite. >O~ ♦M♦ ~H< 22 janvier 2014 à 17:29 (CET)
- Ben justement, c’est pas la pièce qui donne son nom au tsar. « Éponyme » est à tort employé comme « du même nom ». La pièce Boris Godounov de Pouchkine est inspirée de la vie du tsar éponyme serait correct quoique tout aussi lourd – et même pédant. rv 22 janvier 2014 à 15:11 (CET)
- Merci. --Dit33 (discuter) 22 janvier 2014 à 13:51 (CET)
- Bonjour aussi, en fait rien, si c'est pour la source voir le Bistro. Merci --Doalex (discuter) 22 janvier 2014 à 13:41 (CET)
- Ma foi, comme « l'éponymie désigne le fait de “donner son nom à” quelque chose » ça me paraît correct, quoique lourd. >O~ ♦M♦ ~H< 22 janvier 2014 à 13:39 (CET)
- C'est bien pourquoi j'ai écrit au début « si c'est pour la source voir le Bistro », en effet il me semblait que la question portait aussi sur le sérieux de la source (Petit Futé) quant à l'emploi de cette formule ampoulée parce que cet exemple on le retrouve ici ajouté selon ce diff.--Doalex (discuter) 22 janvier 2014 à 20:00 (CET)
- En tous les cas, aller chercher une référence si mal-t-à-propos pour énoncer ce lieu commun, ce truisme que les œuvres s'intitulant Boris Godounov se rapportent au tsar Boris Godounov, certains ont des idées étranges... >O~ ♦M♦ ~H< 22 janvier 2014 à 22:00 (CET)
- Mal-t-à-propos ? Grasyop ✉ 23 janvier 2014 à 14:08 (CET)
- J'aime bien les cuirs >O~ ♦M♦ ~H< 23 janvier 2014 à 16:15 (CET)
- Mal-t-à-propos ? Grasyop ✉ 23 janvier 2014 à 14:08 (CET)
- En tous les cas, aller chercher une référence si mal-t-à-propos pour énoncer ce lieu commun, ce truisme que les œuvres s'intitulant Boris Godounov se rapportent au tsar Boris Godounov, certains ont des idées étranges... >O~ ♦M♦ ~H< 22 janvier 2014 à 22:00 (CET)
- … manque une musique de scène et (au moins) un film. Voir Boris Godounov (homonymie). — Hautbois [canqueter] 22 janvier 2014 à 13:37 (CET)
Retour sur la citation : La vie du tsar Boris Godounov (personnage fictif de l’Histoire de l’État russe de Karamzine) a inspiré la pièce éponyme (qui à donné le nom, Boris Godounov) de Pouchkine (1825), l'opéra éponyme (qui à donné le nom, Boris Godounov) de Moussorgski (1869).
- hors c'est le personnage fictif qui a donné le nom, donc qui est éponyme.
- Il aurait fallu dire, il me semble : La vie du tsar Boris Godounov, personnage éponyme, a inspiré la pièce de Pouchkine (1825), ainsi que l'opéra de Moussorgski (1869).
- Hors, encore, cet exemple incorrect illustre une définition (fausse à mon avis) de wiktionnaire, elle-même incorrecte en Français :
- 4.(Art et littérature) (Anglicisme) (eponymous) Se dit d’une œuvre dont le titre provient du nom de l’auteur ou d’un des personnages.
- Que faut-il en penser ?--Dit33 (discuter) 22 janvier 2014 à 23:03 (CET)
- En premier, que dans ce contexte c'est « Or c'est le personnage (etc.) ». Ensuite, que précisément ce n'est pas un personnage de fiction mais un être réel, le tsar Boris Godounov qui régna de 1598 à 1605. Le cas dont tu parles s'applique à Anna Karénine, en ce cas on peut dire « l'héroïne du roman éponyme », c'est lourd, c'est probablement un anglicisme mais c'est rentré dans la langue, tandis que pour un être réel on ne peut pas le dire, en ce sens que le roman ne donne pas son nom au héros mais le prend dans la réalité. >O~ ♦M♦ ~H< 23 janvier 2014 à 03:34 (CET)
- Je ne suis pas d’accord non plus (en français) pour Anna Karénine : difficile de croire que l’héroïne est nommée d’après le titre du roman, et non le roman d’après le nom de son personnage principal. Qui donne son nom à quoi ? Le personnage au roman, pas le contraire. Anna Karénine est le personnage éponyme du roman de Tolstoï. Dans un cas comme ça, je trouve même que ça passe assez bien, ça reste (un poil) pédant mais c’est pas trop lourd, et au moins c’est correct. rv1729 23 janvier 2014 à 07:56 (CET)
- Attention à ne pas confondre avec La Vierge Éponine [1] rv
- … ma réponse n'est pas 42, mais 479 ! Six stations[1] et Pau / Nîmes, ça fait 479 km. — Hautbois [canqueter] 23 janvier 2014 à 09:49 (CET)
- En premier, que dans ce contexte c'est « Or c'est le personnage (etc.) ». Ensuite, que précisément ce n'est pas un personnage de fiction mais un être réel, le tsar Boris Godounov qui régna de 1598 à 1605. Le cas dont tu parles s'applique à Anna Karénine, en ce cas on peut dire « l'héroïne du roman éponyme », c'est lourd, c'est probablement un anglicisme mais c'est rentré dans la langue, tandis que pour un être réel on ne peut pas le dire, en ce sens que le roman ne donne pas son nom au héros mais le prend dans la réalité. >O~ ♦M♦ ~H< 23 janvier 2014 à 03:34 (CET)
- Ouh ! la faute ! .--Doalex (discuter) 23 janvier 2014 à 10:26 (CET)
- Monsieur Hautbois est prié de sortir immédiatement. --Morburre (discuter) 23 janvier 2014 à 12:49 (CET) Et puisqu’il est amateur de vannes, de se rendre à la gare de chez lui pour prendre le premier train vers la Bretagne : il y a six gares de là à Vannes.
- Ouh ! la faute ! .--Doalex (discuter) 23 janvier 2014 à 10:26 (CET)
Merci.
- -1 Je note que le tsar Boris Godounov a bien régné de 1598 à 1605.
- "Dans le cas d'éponymie Anna Karénine, on peut dire « l'héroïne du roman éponyme », c'est lourd, c'est probablement un anglicisme mais c'est rentré dans la langue."
- Ici des références seraient utiles.
- "Dans le cas d'éponymie Anna Karénine, on peut dire « l'héroïne du roman éponyme », c'est lourd, c'est probablement un anglicisme mais c'est rentré dans la langue."
- -2" Il est difficile de croire que l’héroïne est nommée d’après le titre du roman, et non le roman d’après le nom de son personnage principal. "
- Je note que l'on devrait donc dire : Anna Karénine est le personnage éponyme du roman de Tolstoï.
- -3 En conséquence, cette définition :
- 4.(Art et littérature) (Anglicisme) (eponymous) Se dit d’une œuvre dont le titre provient du nom de l’auteur ou d’un des personnages.
- peut-elle rester sur le wikitionnaire sous cette forme ?--Dit33 (discuter) 23 janvier 2014 à 18:51 (CET)
- Il me semble assez clair Olivier a pris le wiktionnaire comme référence ; et le wiktionnaire, lui, signale – à juste titre – un anglicisme répandu. Je ne crois pas qu’il y ait grand chose à ajouter ici. L’Oracle n’est pas le lieu pour les discussions portant sur d’éventuelles modification du contenu du wiktionnaire : ce projet a ses espaces de discussion propres. rv1729 23 janvier 2014 à 20:55 (CET)
Merci. J'avais pensé que l'Oracle pouvait donner un avis sur une citation et cela a bien été les cas.
- Je note que, pour l'Oracle, la citation ci-dessous n'est pas une référence en langue française :
- La vie du tsar Boris Godounov a inspiré la pièce éponyme de Pouchkine (1825), l'opéra éponyme de Moussorgski (1869)... — (Jean-Paul Labourdette, Dominique Auzias, Petit Futé : Russie, 2011)
- Je crois que le terme anglicisme qui est un "mot ou locution emprunté à la langue anglaise" est moins adapté pour qualifier l'erreur commise, que simple faute de français. --Dit33 (discuter) 24 janvier 2014 à 12:51 (CET)
- T'es compliqué comme personne, la question n'est pas de croire mais de savoir : c'est un anglicisme, point c'est tout. >O~ ♦M♦ ~H< 24 janvier 2014 à 20:48 (CET)
--je ne sais que ce que je crois savoir, ce qui n'en garantie pas l'exactitude, d'où la précision "je crois" au lieu de "je sais". C'est simple. Une définition n'est pas un anglicisme puisque un anglicisme est un mot ou une locution. --Dit33 (discuter) 30 janvier 2014 à 14:30 (CET)
Réseau Wi-fi
modifierBonjour à tous
Je viens poser la question ici car après plus de 14h de recherche ici et là, je suis arrivé à pas grand chose. Voilà:
Je voudrais savoir quels sont les types d'architecture que l'on peut avoir sur un réseau wi-fi.
Merci pour vos réponses et bonne fin de journée!!
- Salut. Euh ? Une architecture Wi-Fi ? >O~ ♦M♦ ~H< 22 janvier 2014 à 17:30 (CET)
- Salut. Oui, les types d'architecture wifi.
Avec ce que j'ai pu déjà voir, je peux dire sans conviction qu'il y avait: l'architecture centralisée, autonome et cellulaire.
Bref, j'ai rien d'assez précis; je patauge.
Merci de m'éclairer!!
- Ma réponse en forme de question était de pure réthorique, je voulais affirmer : une architecture Wi-Fi. Le Wi-Fi est en soi une architecture, une architecture matérielle, après tu as les protocoles de mise en réseau qui se calquent sur les protocoles déjà existants en ethernet filaire. >O~ ♦M♦ ~H< 22 janvier 2014 à 18:54 (CET)
- Je serais plus catégorique : le Wifi est une liaison (par radio) et non une architecture. La réponse sera donnée par les caractéristiques matérielles et logicielles des boîtes de connexions sur le réseau (stations, routeurs, hubs, ponts, passerelles...), lesquelles forment l'architecture. Donc, ce n'est pas simple. --Mistig (discuter) 22 janvier 2014 à 19:11 (CET)
- Il y a tout de même un architecture matérielle et logicielle sous-jacente définie par des normes IEEE. Mais ça ne concerne pas la mise en réseau, gérée à un autre niveau. >O~ ♦M♦ ~H< 22 janvier 2014 à 20:43 (CET)
- Merci pour vos réponses. J'essaierai de faire une petite synthèse de tout cela et on verra ce que ça donne.
- Il y a tout de même un architecture matérielle et logicielle sous-jacente définie par des normes IEEE. Mais ça ne concerne pas la mise en réseau, gérée à un autre niveau. >O~ ♦M♦ ~H< 22 janvier 2014 à 20:43 (CET)
- Je serais plus catégorique : le Wifi est une liaison (par radio) et non une architecture. La réponse sera donnée par les caractéristiques matérielles et logicielles des boîtes de connexions sur le réseau (stations, routeurs, hubs, ponts, passerelles...), lesquelles forment l'architecture. Donc, ce n'est pas simple. --Mistig (discuter) 22 janvier 2014 à 19:11 (CET)
Bonne soirée!!
- Si la liaison wifi n'est pas encore établie, d'abord la faire reconnaître dans le réseau comme un canal possible de transmission. Pas d'interconnexion solide ni fixe, donc un protocole à suivre pour assurer l'acheminement des données à travers les ondes. La liaison invisible prendra alors un nom permanent qui permettra de la reconnaître et de l'emprunter en dynamique (toutefois avec mot de passe). Ce qu'on sait faire habituellement. Mais le Wifi s'arrête là. Après, on accède aux dispositifs de réseau avec leurs modes et capacités propres (ordinateurs, routeurs ou hubs, par exemple) s'ils ont le wifi, évidemment --Mistig (discuter) 22 janvier 2014 à 21:53 (CET)
- J'espère, chère questionneuse ou cher questionneur, que nos explications t'auront fait comprendre que le Wi-Fi est au réseau ce que le câble Ethernet lui est, un moyen de transporter l'information d'un point à un autre sans préjuger de ce que sera l'architecture de ce réseau (point-à-point, en étoile ou autre) qui sera dépendante des appareils connectés. >O~ ♦M♦ ~H< 22 janvier 2014 à 22:09 (CET)
- Si la liaison wifi n'est pas encore établie, d'abord la faire reconnaître dans le réseau comme un canal possible de transmission. Pas d'interconnexion solide ni fixe, donc un protocole à suivre pour assurer l'acheminement des données à travers les ondes. La liaison invisible prendra alors un nom permanent qui permettra de la reconnaître et de l'emprunter en dynamique (toutefois avec mot de passe). Ce qu'on sait faire habituellement. Mais le Wifi s'arrête là. Après, on accède aux dispositifs de réseau avec leurs modes et capacités propres (ordinateurs, routeurs ou hubs, par exemple) s'ils ont le wifi, évidemment --Mistig (discuter) 22 janvier 2014 à 21:53 (CET)
Café viennois-liégeois
modifierBonjour les Pythies. Cherchant à sourcer si oui ou non le café viennois, devenu café liégois, comporte de la crème glacée, je cherche le livre de Louis Marchand, L'offensive morale des Allemands, en France, pendant la guerre. L'assaut de l'âme française, La Renaissance du livre, 1920. Ou plus exactement sa page 72. L'auriez-vous ? Auriez-vous par ailleurs des références utiles pour ce fameux café qu'on sert manifestement à toutes les sauces ? Merci déjà, Égoïté (discuter) 23 janvier 2014 à 19:04 (CET)
- J'ai vu la page en question sur Gallica un peu court ? .--Doalex (discuter) 23 janvier 2014 à 19:21 (CET)
- Ah oui, zut ! beaucoup trop court... Égoïté (discuter) 23 janvier 2014 à 19:29 (CET)
- Mieux ? [2]--Doalex (discuter) 23 janvier 2014 à 19:42 (CET) et aussi Le café des valeureux Liégeois.
- Oui da mais... aucune preuve qu'il y a de la crème glacée dedans... Égoïté (discuter) 23 janvier 2014 à 20:37 (CET)
- Le Wiener Eiskaffee décrit p.77 de l'avant dernier lien en fait mention comme un ajout facultatif en spécifiant glace à la vanille, on parle aussi de crème à base de lait parfumée avec de la vanille, àmha c'est une amélioration progressive.--Doalex (discuter) 23 janvier 2014 à 22:06 (CET)
- Oui da mais... aucune preuve qu'il y a de la crème glacée dedans... Égoïté (discuter) 23 janvier 2014 à 20:37 (CET)
- Mieux ? [2]--Doalex (discuter) 23 janvier 2014 à 19:42 (CET) et aussi Le café des valeureux Liégeois.
- Ah oui, zut ! beaucoup trop court... Égoïté (discuter) 23 janvier 2014 à 19:29 (CET)
- … dans son Guide Culinaire (1903), Auguste Escoffier donne la recette du « Café Glacé » (ni viennois, ni liégeois, et sans crème glacée) :
- « Verser petit à petit trois quarts de litre d'eau bouillante sur 300 grammes de café fraîchement moulu et laisser passer doucement. Mettre ce café dans une terrine avec 600 grammes de sucre en morceaux ; laisser se dissoudre le sucre et refroidir le café. Ajouter alors un litre de lait bouilli, parfumé à la vanille, bien froid et un demi-litre de crème très fraîche.
- Glacer à la Sorbetière, en observant que la préparation doit rester à peut (sic) près liquide. — Servir en tasses bien froides. »
- Dans le Grand Larousse gastronomique, les recettes du café viennois et du café liégeois sont très différentes :
- café viennois (p.145, classé dans les boissons) : « Préparer une tasse de café fort et le couvrir d'une couche de chantilly épaisse. »
- café liégeois (p. 146, classé dans les coupes glacées et précisé d'origine viennoise) : « Dans une coupe à glace, verser 2 tasses de café très fort, ajouter 3 boules de glace à la vanille (ou au café). Couronner de crème Chantilly… »
- … hélas, il n'y a pas d'historique sur ces deux recettes.
- (édit)… une rapide recherche sur le net semble confirmer que les recettes des « viennois » sont des boissons chaudes, alors que les recettes de « liégeois » sont des coupes glacées.
- — Hautbois [canqueter] 23 janvier 2014 à 22:45 (CET)
- Y a des questions, on voit le titre et on se dit « tiens, Égoïté veut savoir quelque chose » >O~ ♦M♦ ~H< 23 janvier 2014 à 22:57 (CET)
- Merci à tous et à Olivier. Hier, je ne pouvais vraiment pas aller dans notre bibliothèque pour cause de méchante trachéite, mais ça va mieux (maintenant)... et je vais essayer de trouver encore d'autres réf. mais je crains de ne pas avoir mieux. L'idéal serait de retrouver aussi des cartes (menu) de brasserie datant de 1914 à 1920 ! Car on raconte indifféremment que le café viennois a changé de nom pour café liégeois soit pendant la guerre soit après... L'attribution de la Légion d'honneur y fut-elle oui ou non pour quelque chose ? Le nom Eiskaffee me semble indiquer évidemment un breuvage glacé et non chaud mais glacé n'inclut pas forcément la "glace"... Égoïté (discuter) 24 janvier 2014 à 06:44 (CET)_Nan, il est écrit « café froid, très fort accompagné de chantilly, parfois aussi de glace à la vanille. » ensuite pour un début historique et vérifiable ici Rue de Liège et du bon vieux googlebooks pour le reste, anecdotique --Doalex (discuter) 24 janvier 2014 à 10:14 (CET)
- Y a des questions, on voit le titre et on se dit « tiens, Égoïté veut savoir quelque chose » >O~ ♦M♦ ~H< 23 janvier 2014 à 22:57 (CET)
ça fume !
modifierOu : de la sublimation des glaçons
Voilà jai fait l'expérience, des glaçons posés sur un couvercle au-dessus de l'eau bien bouillante, fument pendant une à deux secondes. Je pense qu'avec des mini-glaçons on n'y verra que de… la fumée. à montrer aux enfants, (pas trop petits, faut pas jouer avec les allumettes) pour qu'ils comprennent le truc ! cordialement Léah Le dernier salon où l'on cause 24 janvier 2014 à 10:53 (CET)
- Merci pour l'expérience >O~ ♦M♦ ~H< 24 janvier 2014 à 11:38 (CET)
- Sauf que si je me souviens bien, on ne peut pas sublimer de l'eau comme ça à la pression atmosphérique. Quand on met un glaçon au chaud, il fond, puis l'eau s'évapore. Ça n'est probablement pas de la sublimation. Arnaudus (discuter) 24 janvier 2014 à 13:13 (CET)
- Eh bien le glaçon a d'abord fumé, puis bien sûr il a fondu. Je n'ai pas attendu que cette eau fondue se transforme en vapeur d'eau, c'était prévisible. Essaie avec de petits morceaux de glaçons ! Léah Le dernier salon où l'on cause 24 janvier 2014 à 13:34 (CET)
- Si on voit "de la fumée", ce n'est pas de la vapeur, mais de l'eau liquide, sous forme de brouillard. -- MGuf (d) 24 janvier 2014 à 13:50 (CET)
- Il me semble bien qu'on peut "observer" la sublimation des glaçons dans son congélateur : ils ont tendance à diminuer de volume avec le temps, sans qu'on les sorte du congélateur. Pourtant la pression n'a pas vraiment varié et la température non plus. Bien sûr, cette expérience marche sur une durée assez longue (quelques mois?). voir ici par exemple Mitch-Mitch 24 janvier 2014 à 14:35 (CET)
- C’est ce que je disais la dernière fois... On peut aussi mettre un glaçon dans une boîte hermétique : au bout de quelques mois le glaçon aura un peu « fondu » et il y aura du givre sur les parois de la boîte (ça marche aussi avec une boîte de glace oubliée depuis un an !). rv (discuter) 24 janvier 2014 à 14:42 (CET)
- Il me semblait que si on voit quelque chose, ce ne peut pas être de l’eau a l’état gazeux, qui est invisible mais c’est de l’eau a l’état liquide. CQui (discuter), le 24 janvier 2014 à 14:55 (CET).
- C’est ce que je disais la dernière fois... On peut aussi mettre un glaçon dans une boîte hermétique : au bout de quelques mois le glaçon aura un peu « fondu » et il y aura du givre sur les parois de la boîte (ça marche aussi avec une boîte de glace oubliée depuis un an !). rv (discuter) 24 janvier 2014 à 14:42 (CET)
- Il me semble bien qu'on peut "observer" la sublimation des glaçons dans son congélateur : ils ont tendance à diminuer de volume avec le temps, sans qu'on les sorte du congélateur. Pourtant la pression n'a pas vraiment varié et la température non plus. Bien sûr, cette expérience marche sur une durée assez longue (quelques mois?). voir ici par exemple Mitch-Mitch 24 janvier 2014 à 14:35 (CET)
- Si on voit "de la fumée", ce n'est pas de la vapeur, mais de l'eau liquide, sous forme de brouillard. -- MGuf (d) 24 janvier 2014 à 13:50 (CET)
- Eh bien le glaçon a d'abord fumé, puis bien sûr il a fondu. Je n'ai pas attendu que cette eau fondue se transforme en vapeur d'eau, c'était prévisible. Essaie avec de petits morceaux de glaçons ! Léah Le dernier salon où l'on cause 24 janvier 2014 à 13:34 (CET)
- Sauf que si je me souviens bien, on ne peut pas sublimer de l'eau comme ça à la pression atmosphérique. Quand on met un glaçon au chaud, il fond, puis l'eau s'évapore. Ça n'est probablement pas de la sublimation. Arnaudus (discuter) 24 janvier 2014 à 13:13 (CET)
Selon mon cours de chimie passeer du gaz au solide c'est de la "condensation solide" ; passer du solide au gazeux c'est bien la sublimation et je ne vois pas pourquoi l'eau à l'état gazeux serait toujours invisible, la vapeur d'eau c'est bien le gaz qui se dégage quand l'eau bout et c'est une des premières expériences qu'on montre (avec les glaçons pour l'eau à l'état solide) parce qque c'est facile à faire chez soi ou en salle de TP… Léah Le dernier salon où l'on cause 24 janvier 2014 à 15:47 (CET)
- Elle s’est recondensée (refroidie par l’air ambiant), et tu vois des gouttelettes d’eau (liquide, donc) en suspension, comme dans les nuages. Grasyop ✉ 24 janvier 2014 à 16:23 (CET)
- La vapeur d'eau est invisible. Quand tu vois du brouillard, ou ce qu'on appelle couramment de la "vapeur", il s'agit de goutelettes d'eau liquide (avec pas mal d'eau gazeuse autour, mais ce n'est pas elle qu'on voit). La "fumée" autour des glaçons est due à la condensation de l'humidité de l'air : le glaçon est froid, il fait baisser la température de l'air qui l'entoure, ce qui fait passer l'eau gazeuse de l'air sous le point de saturation : l'eau se condense en goutelettes.
- Et à pression atmosphérique, il n'y a pas de sublimation (voir le diagramme de phase ci-contre). Donc non, tes glaçons que tu mets au chaud, ils fondent, puis l'eau se vaporise, ce n'est pas de la sublimation. Les glaçons qui diminuent très lentement dans l'air sec, ça doit être de la sublimation par contre, un peu équivalente à l'évaporation (qui n'est pas de l'ébullition), un phénomène de surface lent lié à une histoire d'absence de saturation de l'air (si on met les glaçons dans un récipient sans air, ils ne se subliment pas, alors qu'il est évident qu'ils fondent quand on augmente la température). Bref, on peut jeter autant de glaçons de la taille qu'on veut dans une poële chauffée à blanc, on n'aura pas de sublimation. Pour sublimer de la glace, il suffit de la chauffer à très faible pression, sous la pression du point triple (0.006 atm). Si vous ne me croyez pas, il faut rameuter un physicien qui vous confirmera ça. Arnaudus (discuter) 24 janvier 2014 à 16:31 (CET)
- Zut alors ! merci de vos précisions. Un endroit pour "voir" la sublimation, Cérès Léah Le dernier salon où l'on cause 24 janvier 2014 à 23:31 (CET)
Soudure a l'hydrognène...
modifierBonjour,
Je me demandais, serait-il possible, dans des conditions raisonnable, de faire de la soudure en utilisant de l’hydrogène ?
Est-ce que cela existe déjà sous une forme ou une autre ?
Scénario possible, je suis perdu sur une ile déserte, j’ai besoin de faire une soudure pour réparer la coquille de noix qui va me sauver, j’ai plein d’électricité, assez pour faire de l’hydrogène mais pas assez pour faire un arc…
Sera-t-il possible pour moi d’obtenir une flamme assez chaude et durant assez longtemps pour chauffer suffisamment deux tôles et les souder ?
En espérant que vous trouviez la question intéressante,
Salutations,
CQui (discuter), le 24 janvier 2014 à 14:50 (CET).
- Oui. La température de flamme de la réaction hydrogène-oxygène atteint 2700°C, dans l'oxygène pur, suffisante pour la soudure (la soudure habituelle à l'acétylène se faisant vers 3200°C); dans l'air, elle est surement plus basse. La durée dépend de la conception des outils que tu utilises et de la réserve de gaz que tu possèdes. Mais sur une île déserte, il n'est pas évident de trouver : un compresseur et des bonbonnes pour stocker sous pression les kilos de gaz dont tu auras besoin, la tuyauterie et la buse de soudure, le masque et les vêtements de soudeur. Et la réaction, mal contrôlée, est très explosive... Dhatier discuter 24 janvier 2014 à 16:56 (CET)
- Je me faisais justement cette réflexion que le niveau technologique nécessaire pour ce travail était tel qu'en toute probabilité on disposerait des moyens suffisants pour faire de la soudure moins risquée. >O~ ♦M♦ ~H< 24 janvier 2014 à 19:41 (CET)
- Voir aussi 'Brasage'; utilisé depuis l'Âge du fer, cela devrait être possible sur une île déserte (mais cela n'utilise pas d'hydrogène...). -- Xofc [me contacter] 25 janvier 2014 à 08:14 (CET)
- Merci pour ces réponses, j’imaginais pouvoir enfermer le gaz dans une bouteille, y mettre un bouchon qui laisse passer un filet de gaz et enflammer ce gaz pour produire une flamme… Je me dit que si le gaz sort, l’air entre et on atteint relativement vite les conditions de l’explosion… Si on peut comprimer l’hydrogène, mesurer la pression dans la bouteille pour qu’elle ne descende pas trop pendant l’opération, cela devrait réduire les risques, non ? Ce serait alors un plongeur qui se retrouve coincé sur une ile déserte. Avec deux bouteilles comme cela il récupère l’oxygène et l’hydrogène… CQui (discuter), le 28 janvier 2014 à 16:00 (CET)
- Voir aussi 'Brasage'; utilisé depuis l'Âge du fer, cela devrait être possible sur une île déserte (mais cela n'utilise pas d'hydrogène...). -- Xofc [me contacter] 25 janvier 2014 à 08:14 (CET)
- Je me faisais justement cette réflexion que le niveau technologique nécessaire pour ce travail était tel qu'en toute probabilité on disposerait des moyens suffisants pour faire de la soudure moins risquée. >O~ ♦M♦ ~H< 24 janvier 2014 à 19:41 (CET)
┌─────────────────────────────────────────────────┘
Alors reprenons les hypothèses : on souhaite faire une soudure en utilisant les ressources locales, plus deux bonbonnes de plongeur contenant de l'oxygène sous pression pour la première, de l'hydrogène sous pression pour la deuxième. Les principales contraintes techniques à surmonter sont :
- maîtrise des débits de gaz libérés, pour éviter l'explosion. Admettons qu'on dispose de détendeurs avec clapet sécurisé anti-retour qui résistent à la chaleur. Le mélange stœchiométrique est de 1 pour 2.
- Canalisation de la flamme vers l'objet à chauffer. Admettons que l'on possède un tube métallique de quelques dizaines de centimètre de long. Fabriquer une buse à un bout en réduisant le diamètre d'ouverture du tuyau. Un bon coup de marteau pour aplatir le tube fera l'affaire. Brancher les deux arrivées de gaz à une extrémité, allumer la flamme à l'autre extrémité, côté buse.
- et vraisemblablement, une enclume pour marteler les deux tôles à souder (Cas du brassage si la température est insuffisante), ou un métal d'apport (soudure) parce que votre flamme ne sera pas suffisante pour souder par rapprochement.
Félicitation MacGyver, vous venez de refabriquer un chalumeau ! Bertrouf 29 janvier 2014 à 03:54 (CET)
- Merci, c’est proche de ce que j’avais en tête, en effet. J’avais l’impression que si la pression dans la bouteille de descend pas en dessous de la pression atmosphérique plus une marge, le risque d'explosion n’est pas trop élevé, j’avais donc quelqu’un pour vérifier la pression et fermer le robinet des que c'est en dessous de 3 ou 4 bar… Pour le démarrage mon instinct serait de commencer par ouvrir l’hydrogène, approcher une flamme pour qu’il brule dans l’air, puis d’ouvrir l’oxygène jusqu’à obtenir une flamme plus jolie et souder. Plus qu’a trouver comment remplir les bouteilles, et une ile déserte avec un accès direct a un centre de soin des grand brulés. CQui (discuter) le 29 janvier 2014 à 09:11 (CET)
réponse à une question
modifierBonjour les Pythies,
Voilà je peux apporter une réponse à une question qui est posée à la fin de la semaine 2 de janvier intitulée "Une chanson oubliée" mais je ne sais comment répondre directement. Peut-être pourrez-vous mettre ma réponse à la suite de la question? Il s'agit de "les chevaux de l'Oural". Vous pourrez trouver les paroles à l'adresse suivante: http://www.ac-nancy-metz.fr/ia54/amezule/Point-Musique/Cadres/cadcvour.htm
Bien à vous
Quincourti
- Bonjour, message transféré dans la bonne section ; merci
- Je ne sais pas ce que l’on peut faire de cette section ; si vous souhaitez blanchir parce que ce n’est pas une question, pas de pb pour moi... --Floflo (discuter) 25 janvier 2014 à 19:03 (CET)
Bonjour, Comment se fait il que la liste des personnages importants de la "Royal Navy" ne cite pas James Cook qui fut un très grand Marin et un grand contributeur à l'essor de l'Empire Britanique ?
Merci pour votre réponse
Salutations Distinguées
- Et bien, il suffit de l'ajouter à la liste, si elle existe. >O~ ♦M♦ ~H< 25 janvier 2014 à 19:51 (CET)
Arcadia D'albator 2013 : d'où sort-il ?
modifierHey ! Déjà, merci de bien vouloir me lire et me répondre. Ma question est toute simple : Dans la série Albator ( 78 et 84 ) l'on voit deux vaisseaux : le "bleu" et le "vert". Sauf que, dans le wiki de l'arcadia, on ne parle absolument pas de l'Arcadia présent dans l'oeuvre de 2013. OU se place-t-il dans l'histoire ? Est-ce que Toshiro en est le créateur ? Est-ce qu'il à été construit avant ou après l'Arcadia bleu et vert ? Merci de bien vouloir m'aider ! =D J'utiliserai ces informations pour mon propre compte, mais aussi et surtout afin de remplir le wiki de l'Arcadia ensuite ^^
- http://www.otakia.com/6184/dicotakia/personnage/atlantis-arcadia-albator-harlock/ -- Cobra Bubbles Dire et médire 26 janvier 2014 à 16:38 (CET)
Peut-on affirmer que l'Arcadia d'Albator 2013 est l'Arcadia n°7,8, ou 9 alors ? A Moins que, vu que l'histoire est totalement différente dans ce film, que l'Arcadia qui y est présent soit différent lui-aussi ?
- On ne peut rien affirmer du tout, les univers présentant trop d'incohérence entre-eux. Même dans les épisodes qui sont sensés unifier le tout. Bertrouf 28 janvier 2014 à 05:13 (CET)