Wikipédia:Oracle/semaine 27 2014
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Mort à un feu rouge
modifierBonjour à tou(te)s
J'ai le souvenir d'une célébrité (politique, spectacle, art,?..) qui, s'étant arrêtée à un feu rouge, n'a jamais redémarré. Cette personne était morte à son volant. Je situerais ça dans les années 80 (sans certitude) Est-ce que ça vous dit qqchose ?
Merci --86.208.69.193 (discuter) 30 juin 2014 à 16:15 (CEST)
- Maurice Biraud? Google("mort à un feu rouge" décédé). -- Xofc [me contacter] 30 juin 2014 à 17:43 (CEST)
- Ça me fait penser à une anecdote que j'ai ouïe de mes oreilles : un jour, pour je ne sais quelle raison, Biraud a dit à José Artur, lors d'un Pop Club, qu'il espérait ne pas mourir un jour férié ni le même jour qu'une très grande célébrité, manque de pot il est mort un 24 décembre et le même jour que Louis Aragon... >O~ ♦M♦ ~H< 30 juin 2014 à 17:58 (CEST)
- … dans le genre "éclipsé" par la mort d'un autre, Sergueï Prokofiev décède le 5 mars 1953 à Moscou… le même jour que son tortionnaire. Sa mort ne fera qu'un entrefilet dans les journaux du monde entier. — Hautbois [canqueter] 30 juin 2014 à 19:03 (CEST)
- Ça me fait penser à une anecdote que j'ai ouïe de mes oreilles : un jour, pour je ne sais quelle raison, Biraud a dit à José Artur, lors d'un Pop Club, qu'il espérait ne pas mourir un jour férié ni le même jour qu'une très grande célébrité, manque de pot il est mort un 24 décembre et le même jour que Louis Aragon... >O~ ♦M♦ ~H< 30 juin 2014 à 17:58 (CEST)
Merci à Xofc : Maurice Biraud, en effet. Bizarre : mes recherches sur Gogol n'avaient rien donné et la recherche "mort à un feu rouge" décédé me donne 2 résultats : un qui n'a rien à voir... et votre réponse. Bonne continuation à tous --86.208.69.193 (discuter) 30 juin 2014 à 20:33 (CEST)
"Sur la route" générique
modifierBonjour,
Est ce que quelqu'un saurait quelle était la musique du générique de l'ancienne émission de France Inter "Sur la route" (présentée par Laurent Lavige)?
merci :)
Blaujacket (discuter) 1 juillet 2014 à 11:41 (CEST)
- … quelqu'un a-t-il vu une trace de ce générique ? Le compositeur ? L'œuvre ? Une reprise ? Une œuvre originale comme quelquefois avec Laurent Lavige ? Ou était-ce une nouvelle musique à chaque fois ? Curieux, je n'ai rien trouvé, c'est énervant… normalement, c'est une info assez facilement accessible — Hautbois [canqueter] 2 juillet 2014 à 17:58 (CEST)
- Pareil, rien trouvé et pareil, ça m'étonne. >O~ ♦M♦ ~H< 2 juillet 2014 à 18:11 (CEST)
- je sais que c'est une chanson originale (je veux dire pas créée spécialement pour l'émission), ils l'ont d'ailleurs passée une fois, mais je ne me souviens pas de ce que c'était...
- Blaujacket (discuter) 2 juillet 2014 à 19:36 (CEST)
- Vous pouvez peut-être lui demander ? http://laurentlavige.com Bertrouf 8 juillet 2014 à 13:42 (CEST)
- Trouvé un vieux lien en rapport, mais infoutu de savoir s'il s'agit du générique musical de l'émission car le début est une superposition d'extraits de morceaux connus (on y reconnait sans aucun doute L.A. Woman The Doors entre autres. --Doalex (discuter) 8 juillet 2014 à 20:20 (CEST)
- oui c'est ça!! c'est le morceau qui commence à 0:17 et qu'on entend surtout jusqu'à 0:27 (après il y a d'autres trucs par dessus), quelqu'un sait ce que c'est? Blaujacket (discuter) 8 juillet 2014 à 20:38 (CEST)
- Oui il y a d'autres « trucs » comme Message in a Bottle de The Police et en fond un morceau de boogie dans le style John Lee Hooker ou Canned Heat en live. --Doalex (discuter) 9 juillet 2014 à 10:44 (CEST)
- Je pense pas que ce soit John Lee Hooker, il me semble que c'était un groupe... peut être Canned Heat en effet? j'ai un peu cherché mais j'ai pas trouvé quelque chose qui corresponde vraiment... Blaujacket (discuter) 9 juillet 2014 à 17:04 (CEST)
- Oui il y a d'autres « trucs » comme Message in a Bottle de The Police et en fond un morceau de boogie dans le style John Lee Hooker ou Canned Heat en live. --Doalex (discuter) 9 juillet 2014 à 10:44 (CEST)
- oui c'est ça!! c'est le morceau qui commence à 0:17 et qu'on entend surtout jusqu'à 0:27 (après il y a d'autres trucs par dessus), quelqu'un sait ce que c'est? Blaujacket (discuter) 8 juillet 2014 à 20:38 (CEST)
- Trouvé un vieux lien en rapport, mais infoutu de savoir s'il s'agit du générique musical de l'émission car le début est une superposition d'extraits de morceaux connus (on y reconnait sans aucun doute L.A. Woman The Doors entre autres. --Doalex (discuter) 8 juillet 2014 à 20:20 (CEST)
- Vous pouvez peut-être lui demander ? http://laurentlavige.com Bertrouf 8 juillet 2014 à 13:42 (CEST)
- J'en connais sur l'Oracle qui ont l'ouïe fine et qui trouveront à partir du moment qu'il s'agit du morceau syncopé dans le fond parce que c'est pas évident (j'ai même entendu la voix du grand Jimi Hendrix), mais avec un bon lecteur audio on peut certainement isoler une partie.--Doalex (discuter) 9 juillet 2014 à 20:31 (CEST)
- il me semble qu'on entend assez bien, je pense que si quelqu'un connait le morceau il reconnaitra tout de suite Blaujacket (discuter) 9 juillet 2014 à 21:02 (CEST)
- Pareil, rien trouvé et pareil, ça m'étonne. >O~ ♦M♦ ~H< 2 juillet 2014 à 18:11 (CEST)
De quelle émission TV cette musique accompagnait-elle le générique ?
modifierBonjour les anciens de la TV hexagonale (essentiellement). Voici la musique en question : http://www.youtube.com/watch?v=AegUFLTBNxM qui est la musique récurrente dans l'Armée des 12 singes. Elle est d'Astor Piazzola - Suite Punta del Este. Elle me rappelle une émission TV des années 60 ou 70 ; mais laquelle ? Ça taraude ma femme et moi. Nous vous remercions de nous en soulager.--Jojodesbatignoles (discuter) 1 juillet 2014 à 15:03 (CEST)
- … pas TV, mais le thème a servi pour l'émission radiophonique Rendez-vous avec X sur France Inter. — Hautbois [canqueter] 1 juillet 2014 à 15:14 (CEST)
- Merci, c'est du rapide et c'est ça.--Jojodesbatignoles (discuter) 1 juillet 2014 à 15:56 (CEST)
pouvoir masquer le sommaire
modifierje ne suis surement pas au bon endroit pour ma question mais je ne suis pas douée du tout en informatique mais vous pouvez peut etre la transferer au bon service je suis toujours embetée pour imprimer la page avec un sommaire qui prend beaucoup de place. Avant on avait la possibilité d'afficher ou de masquer le sommaire. Pouvez vous le faire par vos soins. En vous remerciant a l'avance. ***@***.fr
- Le bon endroit pour cette question est les Questions techniques. >O~ ♦M♦ ~H< 2 juillet 2014 à 12:16 (CEST)
- Moi j’ai toujours la mention Masquer/Afficher à côté du sommaire. Pas vous ? --Morburre (discuter) 2 juillet 2014 à 12:31 (CEST)
- Pareil ; je n'y fais jamais attention, mais un coup d'œil en tête de cette page et j'ai en effet toujours le lien pour le masquer. --Floflo (discuter) 2 juillet 2014 à 12:34 (CEST)
- Bonjour. Pour imprimer seulement l'article, il faut cliquer sur le lien "Version imprimable" dans la section "Imprimer / exporter" du menu de gauche. Cette action ouvre une nouvelle fenêtre avec uniquement le contenu de l'article. --Morestel (discuter) 2 juillet 2014 à 14:15 (CEST)
- Pareil ; je n'y fais jamais attention, mais un coup d'œil en tête de cette page et j'ai en effet toujours le lien pour le masquer. --Floflo (discuter) 2 juillet 2014 à 12:34 (CEST)
- Moi j’ai toujours la mention Masquer/Afficher à côté du sommaire. Pas vous ? --Morburre (discuter) 2 juillet 2014 à 12:31 (CEST)
Protection d'une bibliographie
modifierMes hommages à Biem et bonjour à tous
En matière de propriété intellectuelle :
1. Une bibliographie est-elle protégeable sur le principe, en totalité ou en partie ?
2. Si déposée, est-elle (mieux) protégée ?
Concrètement, il s'agit de celle que je tiens depuis 28 ans, sous le même nom que mon pseudo et que je vends sur papier depuis 18 ans (225 exemplaires). J'en suis à 5.520 notices et je n'ai toujours pas le (la) moindre concurrent(e) en Francophonie.
S'il le faut, je n'hésiterai pas à consulter un avocat conseil en propriété intellectuelle : existe-il à Paris une consultation gratuite comme celle de la chambre des notaires ?
Merci --Bibliorock (discuter) 2 juillet 2014 à 13:49 (CEST)
- Bonjour Bibliorock; En droit français :
- D'une manière générale et en théorie, il n'y a pas de droit d'auteur sur une bibliographie, dans la mesure où la rédaction d'une notice n'est pas susceptible de refléter la personnalité (littéraire et artistique) de son auteur. Il peut éventuellement y avoir une protection par droit d'auteur sur une sélection bibliographique, dans la mesure où la sélection est arbitraire et dépend de son auteur ; mais dans le cas "bibliorock" ça ne semble pas applicable.
- La principale protection est celle spécifique donnée au titre de producteurs de bases de données. Il n'y a pas besoin de dépôt, la protection est acquise du seul fait de la production de la base. La durée de protection est de quinze ans à partir de son achèvement, « Toutefois, dans le cas où une base de données protégée fait l'objet d'un nouvel investissement substantiel, sa protection expire quinze ans après le 1er janvier de l'année civile suivant celle de ce nouvel investissement » : donc tant qu'elle est substantiellement mise à jour, la protection continue à courir. Reste à savoir si une bibliographie sera reconnue comme "base de données", a priori oui (la loi n'impose pas que la base soit informatique) mais c'est un petit risque. La contrefaçon étant un délit, la procédure est alors pénale.
- Sinon, si quelqu'un recopie tout ou grosse partie de la biblio, il reste possible d'obtenir réparation du préjudice en le poursuivant pour concurrence déloyale et/ou agissement parasitaire. Dans ce cas, la procédure se fonde sur l'article 1382 du code civil, qui ratisse large : « Tout fait quelconque de l'homme, qui cause à autrui un dommage, oblige celui par la faute duquel il est arrivé à le réparer. »
- Dans un cas comme dans l'autre, un travail de cette taille est protégé sans démarche particulière, inutile de déposer quoi que ce soit. Le seul intérêt d'un éventuel dépôt est d'apporter le cas échéant une preuve d'antériorité. Comme tout moyen de preuve est acceptable de ce point de vue, tu auras aussi vite fait de faire un généreux don d'un exemplaire à ta bibliothèque municipale... ^_^
- Ce que je ferais personnellement est à titre de prévention de mettre sur les exemplaires papier une notice genre "Reproduction interdite. Ce document est protégé au titre des articles L341-1 et suivants du code de la propriété intellectuelle. Toute reproduction constitue une contrefaçon. La contrefaçon est punie de trois ans d'emprisonnement et de 300 000 euros d'amende (L343-4 CPI)". Sur le plan juridique ça ne change évidemment rien, mais ça permet de montrer que l'auteur n'est pas un doux rêveur qui se laissera plumer sans réagir, et ça peut donc avoir un effet dissuasif.
- Cordialement, Biem (discuter) 2 juillet 2014 à 14:35 (CEST)
Un grand merci, Biem, pour toutes ces infos, et je vais me permettre de te tutoyer comme tu l'as fait, car je voudrais aller un peu + loin, si tu veux bien ;-)
J'ai déposé la 1ère édition à la BnF (en 87), essentiellement avec l'idée de protéger la mise en page de ma bibliographie (en colonnes) qui est, a priori, assez personnelle/originale, car je n'en ai jamais vu de semblable en 30 ans de lecture... et de quête. Partant, si j'apprenais qu'un canard ou un site web en reproduisait une ou plusieurs pages sans mon autorisation, je vois 2 cas :
- Si c une repro strictement à l'identique, cad en colonnes, il me semble que mon dépôt peut prouver l'antériorité de ma création et surtout mon droit de propriété, à condition que cette mise en page soit reconnue comme une création ;
- Par contre, si ce n'est que le contenu de ma biblio qui est reproduit, cad les (mentions des) notices une par une, dans une mise en page bibliographique classique/traditionnelle, ce sera extrêmement difficile d'attaquer pour contrefaçon, puisque le détail de n'importe quelle notice est libre d'accès dans tout catalogue en ligne, qu'il s'agisse de celui d'une bibliothèque ou d'un site marchand.
Là ou ça se complique, c qu'une partie de ma bibliographie est vraiment très pointue, cad qu'il m'a fallu bcp de temps, de déplacements et d'astuces pour trouver (et sélectionner) certaines notices. Je pense surtout aux mémoires universitaires puisque, contrairement aux thèses, il n'en existe pas de répertoire national. Ce qui veut dire que ma liste de références pour quelque 625 mémoires de recherche a représenté un énorme travail de recherche (sur + de 10 ans, université par université, dans chacun des 4 ppx pays francophones...), et que personne n'est capable de fournir une telle liste d'un seul tenant d'un seul coup. Le premier acheteur de cette liste pourra très bien la photocopier et la revendre dans mon dos. De même, une grosse bibliothèque (ou un centre de doc) à l'étranger pourrait aussi, après l'avoir achetée sur papier ou sur pdf, la recopier en saisissant chaque notice une à une, pour l'incorporer dans son catalogue.
Dans une moindre mesure, sont également concernés les N° hors série de périodiques, qui sont dans mon répertoire à condition que le hors série/numéro spécial soit intégralement et uniquement consacré à un seul sujet. Ce genre d'infos - en une liste de qq 445 notices actuellement - est très difficile à (re)constituer, surtout quand les périodiques concernés ne les vendent plus (épuisés) ou... ont cessé de paraitre ! Mais c surtout ma liste de mémoires qui est rare, pour ne pas dire unique, et j'ai la faiblesse de croire qu'elle pourrait intéresser qq BU ou UFR, françaises ou non.
Même si le nombre potentiel d'intéressés sera évidemment très limité, comment à la fois protéger ce type de listes très pointues et (d'abord)... les valoriser si je cède les droits numériques ?
Thanks a lot ;-)
PS Jusqu'à présent, je n'ai vendu que des éditions papier globales (sur 250 pages), en 225 exemplaires en 18 ans, à 90 % à des bibliothèques. --Bibliorock (discuter) 2 juillet 2014 à 15:51 (CEST)
- Bonjour, Bibliorock ;
- S'agissant d'une photocopie, les « oeuvres graphiques et typographiques » sont protégées au titre du droit d'auteur (Article L112-2 CPI), mais pour ça il faut que ce soit vraiment original. S'il y a un procès la-dessus c'est le juge de fond qui appréciera la chose, il n'y a pas de règle. Perso ça me paraît un peu douteux, mais je n'ai pas vu la mise en page, et ce n'est que mon a priori.
- Une reproduction intégrale ou substantielle (saisie des notices pour les incorporer dans un catalogue) serait une contrefaçon illégale, à partir du moment où on admet que la publication constitue bien une "base de données" (c'est mon avis, c'est logique, mais il n'y a pas à ma connaissance de jurisprudence sur cette question) : « Le producteur de bases de données a le droit d'interdire : 1° L'extraction, par transfert permanent ou temporaire de la totalité ou d'une partie qualitativement ou quantitativement substantielle du contenu d'une base de données sur un autre support, par tout moyen et sous toute forme que ce soit » (L342-1 CPI).
- S'agissant d'une reproduction partielle des notices ("une ou deux pages", ou une sélection équivalente), ce serait "légal", dans le sens où il peut ne pas y avoir de contrefaçon dans ce cas. « Lorsqu'une base de données est mise à la disposition du public par le titulaire des droits, celui-ci ne peut interdire : 1° L'extraction ou la réutilisation d'une partie non substantielle, appréciée de façon qualitative ou quantitative, du contenu de la base, par la personne qui y a licitement accès » (Article L342-3 CPI). Donc, à partir du moment où la biblio est publiée, il n'est pas possible d'interdire (au titre du code de la propriété intellectuelle) de republier un extrait non substantiel. La limite entre ce qui est substantiel ou pas est laissée à l'appréciation du juge, il n'y a pas de règle.
- S'agissant d'une sélection "aléatoire", il faut que l'extrait soit "quantitativement non substantiel". Ce que je dis généralement à ce sujet c'est que dans la mesure où la protection est de quinze ans, en recopier plus d'un quinzième chaque année (soit 7%) est nécessairement substantiel, puisque ça revient à contourner la protection légale avant la durée légale (15x7%=105%) ; mais quelqu'un qui en recopie moins de 2 à 3% peut plaider le "non substantiel" et avoir des chances de gagner - mais une fois encore, ce n'est que mon avis, il n'y a pas (encore) de jurisprudence sur cette question). Il ne serait même pas légalement tenu de citer sa source dans ce cas, ce serait nettement du plagiat, mais le plagiat n'est pas de la contrefaçon et n'est pas interdit par la loi (même si moralement c'est pas bien).
- Si la reproduction portait spécifiquement sur ces numéros hors-série et les liste tous, ce serait une reproduction "qualitativement substantielle" puisque tout un chapitre est extrait. En fait, les arguments que tu donnes pour expliquer que "ça te ferais mal" sont précisément ceux qui seraient utilisés pour expliquer que telle copie constitue une reproduction "qualitativement substantielle".
- En cas de reproduction partielle, le même article prévoit que « Les exceptions énumérées par le présent article ne peuvent porter atteinte à l'exploitation normale de la base de données ni causer un préjudice injustifié aux intérêts légitimes du producteur de la base » : Autrement dit, même si une petite reproduction ne constitue pas une contrefaçon, ça n'interdit pas qu'elle soit préjudiciable, et dans ce cas on retombe sur les questions de concurrence déloyale et/ou agissement parasitaireévoquées ci-dessus.
- Mais note bien que la protection n'est que de quinze ans après publication - dans le cas d'une BdD informatique la base est unique et la mise à jour est continue, mais dans le cas d'un catalogue papier tu ne vas pas mettre à jour chaque exemplaire des éditions précédentes. Tant que les éditions successives sont publiées, la base (l'archétype) reste protégée au moins dans sa dernière version, mais pour la 1ère édition à la BnF (en 87), je ne sais pas trop ce qui se passe. Si on considère cette édition comme une instance de la BdD constamment mise à jour, elle reste théoriquement protégée tant que la BdD est mise à jour ; mais si on la considère comme une BdD autonome, la protection de la première édition est alors indépendante de la publication d'une cinquième édition, et dans ce cas n'importe qui peut recopier la première - quitte à ce que son piratage ne tienne pas compte des quinze dernières années de mise à jour.
- Si tu veux céder des droits numériques, tu dois le faire par contrat (ou licence d'exploitation), et là tu mets ce que tu veux comme clause contractuelle : ce n'est plus de la propriété intellectuelle mais du droit contractuel de personne à personne. Donc, en un sens, une base de données électronique est beaucoup plus facile à protéger qu'une édition papier. Mais dans ce cas, vois un bon juriste (ceux qui se font payer cher pour faire ça "plus sérieusement") pour en rédiger les clauses.
- Cordialement, Biem (discuter) 2 juillet 2014 à 16:59 (CEST)
Merci beaucoup pour ton éclairage très circonstancié et toutes tes précisions factuelles, notamment dans la dernière partie sur les droits numériques. Je vais bien relire et creuser tout ça et éventuellement consulter un bon juriste. Je voudrais éviter que le fruit de 28 ans de travail sur cette BdeD sombre dans l'oubli ou soit dilapidé à n'importe qui ou à n'importe quel prix. --Bibliorock (discuter) 2 juillet 2014 à 21:15 (CEST)
proportion amende / emprisonnement...
modifierBonjour, c'est CQui (discuter),
En lisant des précisions sur une actualité récente, je me suis posé une question sur le montant des amendes et la durée des peines de prison,extrait du code pénal :
- Article 433-1 - Est puni de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende…
- Article 433-2 - Est puni de cinq ans d'emprisonnement et d'une amende de 500 000 €, dont le montant peut être porté au double du produit tiré de l'infraction,
D’un cote 10 ans, 5 de l’autre, on pourrait penser que le premier est plus grave que le second, mais l’amende du second est plus du triple de l’amende du premier…
Comment cela se fait-il ? CQui (discuter) 2 juillet 2014 à 14:11 (CEST)
- Parce que la version que tu consultes est celle du 5 août 2008 dans le premier cas, et celle d'aujourd'hui dans le second. Cordialement, Biem (discuter) 2 juillet 2014 à 14:43 (CEST)
- Merci, c'est bien cela, l’amende est donc passé de 150 000 a 1 000 000 € en 6 ans… Je n’ai pas la possibilité de commenter l’article du Monde de la ou je suis, si un abonné ayant accès peut signaler l’erreur des décodeurs… CQui (discuter) 2 juillet 2014 à 15:10 (CEST)
- Ce n'est pas nécessairement une erreur, la peine encourue est celle qui était légale au moment des faits. Pour peu que les deux chefs d'accusation se réfèrent à deux faits distincts l'un de 2008 et l'autre récent, l'article serait correct. Mais comme ils ne disent pas ce que sont ces chefs d'accusation c'est difficile de le savoir. Cordialement, Biem (discuter) 2 juillet 2014 à 15:50 (CEST)
- Merci, c'est bien cela, l’amende est donc passé de 150 000 a 1 000 000 € en 6 ans… Je n’ai pas la possibilité de commenter l’article du Monde de la ou je suis, si un abonné ayant accès peut signaler l’erreur des décodeurs… CQui (discuter) 2 juillet 2014 à 15:10 (CEST)
… est-ce que l'utilisateur:Biem ne serait pas en train de développer sur l'oracle une clientèle privée uniquement attachée à ses services (… qui, avouons-le tout de même sont d'une qualité irréprochable et de haute volée) ? Ah ! je pose la question… enfin je dis ça, je dis rien… mais tout de même. — un utilisateur anonyme [canqueter] 3 juillet 2014 à 08:16 (CEST)
- Pas de jalousie, utilisateur anonyme, il y aura d'autres questions sur la musique que les deux auxquelles tu as su apporter une réponse prompte et précise cette semaine ^_^ Biem (discuter) 3 juillet 2014 à 08:31 (CEST) (… )
cire
modifierBonjour je voudrais savoir si la cire au fenouil est bien une des meilleures pour les sols récalcitrants, car le mien a une mauvaise cirabilité et le produit a tendance à coller un peu partout, merci d'avance. 137.12.368.224 (discuter) 3 juillet 2014 à 09:00 (CEST)
- C'est vous l'IP avec son TOC des néologismes en -ité. Après la rasabilité dont vous êtes un pro, voici la cirabilité, dont, quelqu'elle soit, est nulle en ce qui concerne mon intérêt pour vos plaisanteries v_atekor (discuter) 3 juillet 2014 à 09:45 (CEST) (… il ne faudrait pas cire… ité ! ce serait trop triste… cire. — Hautbois [canqueter] )
- Il faudrait d'abord savoir de quoi est fait votre sol à la mauvaise "cirabilité", ce n'est sans doute pas le meilleur endroit pour poser ce genre de question. Il doit bien y avoir des forums spécialisés sur les produits ménagers. 193.54.167.180 (discuter) 3 juillet 2014 à 11:10 (CEST)
- Par contre curabilité existe, mais ce n'est pas la propriété d'un sol de pouvoir être (ré)curé. --159.245.16.100 (discuter) 3 juillet 2014 à 15:35 (CEST)
- Curabilité, de curabilis, c'est quand on remplit les conditions pour devenir curé, comme papabilis pour devenir pape - Cymbella (discuter chez moi) - 3 juillet 2014 à 23:43 (CEST)
- Par contre curabilité existe, mais ce n'est pas la propriété d'un sol de pouvoir être (ré)curé. --159.245.16.100 (discuter) 3 juillet 2014 à 15:35 (CEST)
- Il faudrait d'abord savoir de quoi est fait votre sol à la mauvaise "cirabilité", ce n'est sans doute pas le meilleur endroit pour poser ce genre de question. Il doit bien y avoir des forums spécialisés sur les produits ménagers. 193.54.167.180 (discuter) 3 juillet 2014 à 11:10 (CEST)
A propos de l'une de vos photos
modifierBonjour, Vous avez publié en 2012 une photo d'une maison à Amiens au 8 rue Alexandre Fatton. Savez vous quelle est l'année de construction de cette belle maison et le nom de son architecte ? Je vous remercie par avance. cordialement
- Bonjour,
- Il serait souhaitable, me semble-t-il, que l’on puisse avoir un peu plus de détails ; notamment qu'est-ce que vous entendez par publication (la photo est-elle sur un article ?) Merci, cdlt, --Floflo (discuter) 3 juillet 2014 à 13:07 (CEST)
- … cette maison là à côté du restaurant Le Bouchon ? — Hautbois [canqueter] 3 juillet 2014 à 13:22 (CEST)
- Bonjour,
- Sur l'une des photos de Haguard du Nord on voit une belle maison situé à Amiens au 8 rue Alexandre Fatton, savez vous quelle est l'année de construction de ce bâtiment et le nom de son architecte ?
- ci joint le lien vers la photo : http://commons.wikimedia.org/wiki/File:Amiens,_8_rue_Alexandre-Fatton.JPG
- Merci par avance pour vos contributions.
- Cordialement,
- Ah, là c'est beaucoup mieux, merci --Floflo (discuter) 3 juillet 2014 à 13:27 (CEST)
- Pas de date à donner mais c'est l'esthétique fin XIX°, à mon avis fin Second Empire ou dé but III° République, donc alentour de 1870. >O~ ♦M♦ ~H< 3 juillet 2014 à 13:37 (CEST) (… « dé but » c'est pour tout à l'heure, à 18h00 ? « III° » : 3/0 pour la France ? — Hautbois [canqueter] )
- Je mise sur la tranche 1890-1900. Qui suit ? ^_^ Biem (discuter) 3 juillet 2014 à 14:17 (CEST)
- Nop. 10 ans avant ou 20 ans après, mais là tu tombes au maximum de l'influence de l'art nouveau ce qui n'est clairement pas reflété par les nombreux rectangles bien alignés de la façade, et moins encore par les stries horizontales du rez-de-chaussée. v_atekor (discuter) 3 juillet 2014 à 14:21 (CEST)
- … de plus la rénovation basique et récente des chambranles et fenêtres a dévalué la valeur de l'ensemble et dénature son harmonie déjà assez quelconque au départ. — Hautbois [canqueter] 3 juillet 2014 à 14:46 (CEST)
- L'influence de l'art nouveau dans la capitale n'interdit pas que des immeubles aient été édifiés en province dans un style qui aurait passé pour "vieillot" aux yeux des avant-gardistes, simplement parce que le propriétaire était un vieux crouton provincial et qu'il a imposé ses goûts. Mon impression générale est que c'est le cas ici : le style semble plus ancien que le bâti. Cordialement, Biem (discuter) 3 juillet 2014 à 16:50 (CEST)
- C'est vrai, mais quand même. L'art nouveau avait envahi l'Europe, avait même atteint Perpignan et des bleds plus pommés qu'Amiens, entre Paris, Lille et Bruxelles qui avaient pris goût aux nouilles. Construire à un bâtiment fonctionnel à ce point, c'était faire preuve d'avant-gardisme ! (ou alors le bâtiment a été fait et refait au XXe siècle, notamment après la seconde guerre mondiale... ) v_atekor (discuter) 3 juillet 2014 à 17:01 (CEST)
- L'influence de l'art nouveau dans la capitale n'interdit pas que des immeubles aient été édifiés en province dans un style qui aurait passé pour "vieillot" aux yeux des avant-gardistes, simplement parce que le propriétaire était un vieux crouton provincial et qu'il a imposé ses goûts. Mon impression générale est que c'est le cas ici : le style semble plus ancien que le bâti. Cordialement, Biem (discuter) 3 juillet 2014 à 16:50 (CEST)
- … de plus la rénovation basique et récente des chambranles et fenêtres a dévalué la valeur de l'ensemble et dénature son harmonie déjà assez quelconque au départ. — Hautbois [canqueter] 3 juillet 2014 à 14:46 (CEST)
- Nop. 10 ans avant ou 20 ans après, mais là tu tombes au maximum de l'influence de l'art nouveau ce qui n'est clairement pas reflété par les nombreux rectangles bien alignés de la façade, et moins encore par les stries horizontales du rez-de-chaussée. v_atekor (discuter) 3 juillet 2014 à 14:21 (CEST)
- Alexandre Fatton est né en 1827 et mort en 1901. Négociant, commissaire, légataire universelle, il institua les Hospices d'Amiens. --192.95.225.50 (discuter) 3 juillet 2014 à 16:31 (CEST)
- Je mise sur la tranche 1890-1900. Qui suit ? ^_^ Biem (discuter) 3 juillet 2014 à 14:17 (CEST)
- Pas de date à donner mais c'est l'esthétique fin XIX°, à mon avis fin Second Empire ou dé but III° République, donc alentour de 1870. >O~ ♦M♦ ~H< 3 juillet 2014 à 13:37 (CEST) (… « dé but » c'est pour tout à l'heure, à 18h00 ? « III° » : 3/0 pour la France ? — Hautbois [canqueter] )
- Ah, là c'est beaucoup mieux, merci --Floflo (discuter) 3 juillet 2014 à 13:27 (CEST)
- … cette maison là à côté du restaurant Le Bouchon ? — Hautbois [canqueter] 3 juillet 2014 à 13:22 (CEST)
Merci beaucoup pour toutes ces pistes -) C'est vrai qu'elle n'est pas commune cette maison dans l'environnement dans lequel elle se trouve. Je me demande vraiment comment trouver son histoire : construction, architecte, propriétaire d'origine
- Déjà, faire un tour au cadastre. S'il est en ligne ?... Biem (discuter) 3 juillet 2014 à 17:24 (CEST)
- Je suis allé voir la rue Alexandre Faton sur Street View. Le bâtiment a une particularité qui n'apparait pas sur la photo. Sa façade est en rupture d'alignement, ce qui indique qu'elle est plus ancienne que le tracé de voirie. Le n°8 est avancé sur le n°10 d'un mètre environ. À part le n°6 qui est un cas douteux, les autres maisons de la rue ont visiblement été construites après la seconde guerre mondiale. Amiens a subit de grandes destructions lors des deux guerres mondiales et le quartier de la cathédrale n'a pas été épargné. Le style employé est celui d'une petite maison bourgeoise comme on les faisait dans les années vingt pendant la reconstruction faisant suite à la Grande Guerre. À Reims, dans le faubourg du Clair Marais, qui a été reconstruit de 1920 à 1924, cette façade paraitrait tout à fait banale. Il me parait peu probable qu'elle soit plus ancienne parce que son style est totalement dénué de caractère régional. Pour identifier l'architecte, ce sera peut-être difficile, les boches ont cramé les archives. Cordialement. --le sourcier 3 juillet 2014 à 22:56 (CEST)
- Sans le jurer, la façade semble en béton, ce qui ferait plus pencher pour les années 1920 que pour les années 1870. >O~ ♦M♦ ~H< 4 juillet 2014 à 03:36 (CEST)
- D'accord avec toi. Les années 1920 me semblent les meilleures candidates v_atekor (discuter) 4 juillet 2014 à 09:51 (CEST)
- Pour rajouter une couche, les traces de coulures indiquent suffisamment que les constructeurs ont oublié les bons vieux principes de leurs prédécesseurs : corniches et larmiers, « goutte d’eau » sous le rebord des fenêtres, qui font tomber les gouttes de pluie à l’extérieur. Pas de pierre apparente, même les décors sculptés sont probablement en béton moulé. --Morburre (discuter) 4 juillet 2014 à 12:33 (CEST)
- Les cassures des rebords de fenêtre au rez-de-chaussée et au premier étage à gauche montrent que ces parties sont très probablement en béton/ciment. Mais elles ont pu être refaites. Cette maison pourrait aussi être en pierres et/ou briques recouvertes de plâtre moulé, comme de nombreux immeubles à Paris. Le pignon et la cheminée sont en briques du côté du n°6. Si on prend l’exemple de l'immeuble en ruine en face, on dirait une horreur moderne, mais c'est un bâtiment ancien totalement dénaturé à part au niveau du toit. Nemesis III (me contacter), le 5 juillet 2014 à 00:57 (CEST).
- Pour rajouter une couche, les traces de coulures indiquent suffisamment que les constructeurs ont oublié les bons vieux principes de leurs prédécesseurs : corniches et larmiers, « goutte d’eau » sous le rebord des fenêtres, qui font tomber les gouttes de pluie à l’extérieur. Pas de pierre apparente, même les décors sculptés sont probablement en béton moulé. --Morburre (discuter) 4 juillet 2014 à 12:33 (CEST)
- D'accord avec toi. Les années 1920 me semblent les meilleures candidates v_atekor (discuter) 4 juillet 2014 à 09:51 (CEST)
- Sans le jurer, la façade semble en béton, ce qui ferait plus pencher pour les années 1920 que pour les années 1870. >O~ ♦M♦ ~H< 4 juillet 2014 à 03:36 (CEST)
- … bon, plus existentiel, on mange bien au "Bouchon" d'à côté ? — Hautbois [canqueter] 6 juillet 2014 à 21:02 (CEST)
le brevet des collèges et le bac
modifierce que je n'ai pas compris c'est qu'on ma dit que le brevet et le bac n'influance pas le passage dans une classe supérieur.Est-ce vrai ?Si oui vous pouvez m'expliquer un peu mieux ?
Le bac, en tous simple je n'ai pas compris ce qu'étais le bac est-ce un vrai bacaloréa ?
- Bonjour,
- Le brevet des collèges permet d'avoir une idée de la connaissance des élèves à un moment donnée. Il est plus utile dans les comparaisons nationales et internationales que pour les élèves.
- Le baccalauréat a une influence majeure sur la poursuite des études supérieures, dans la mesure où, sauf quelques rares exceptions, il est requis pour entrer à l'université et dans la majeure partie des écoles supérieures. A noter que, même s'il n'existe aucune limite légale, certains cursus universitaires sont conditionnés par des baccalauréats adaptés. Il est hautement improbable qu'un élève ayant un baccalauréat en lettres puisse réussir une faculté en physiques, en mathématiques ou une école d'ingénieur, même si rien ne l'interdit et qu'il existe quelques rares exceptions v_atekor (discuter) 3 juillet 2014 à 15:23 (CEST)
- En son temps, avant de devenir facultatif le brevet des collèges, qui s'appelait alors le brevet d'études du premier cycle, était nécessaire pour passer du collège au lycée ; dans la nomenclature des diplômes, le baccalauréat est le premier grade universitaire, il ne sanctionne pas tant les études secondaires qu'il permet l'entrée dans le supérieur. >O~ ♦M♦ ~H< 3 juillet 2014 à 17:55 (CEST)
- Dans les années 77-78 le BEPC était accordé d'office aux élèves ayant un dossier suffisant. Les autres passaient les épreuves. Le passage en seconde n'était de toute façon pas subordonné à la réussite du BEPC. (source : mes souvenirs perso) --90.7.90.122 (discuter) 3 juillet 2014 à 20:43 (CEST)
- Pour moi, j'ai fait partie du dernier wagon où l'obtention du BEPC était requise pour passer en classe de seconde, en 1976. >O~ ♦M♦ ~H< 4 juillet 2014 à 03:18 (CEST)
- J'ai passé mon BEPC (qui s'appelait alors comme ça) en 1968 (version allégée, vus les évènements...). Il n'était pas obligatoire pour passer en
3eseconde. --Serged/♥ 4 juillet 2014 à 08:07 (CEST)- Vu qu’on en est aux souvenirs persos, J’ai fait partie du wagon de ceux qui n’avaient pas a passer le BEPC parce-que j’avais de bon résultats scolaires mais une épreuve en blanc avait été organisée dans le collège pour qu’on ai l’expérience d’un examen pour le bac… CQui (discuter) 4 juillet 2014 à 08:36 (CEST)
- L'obtention du bac est le plus souvent requise pour être admis en études supérieures, mais pas pour y candidater. Par exemple, pour faire une école supérieure (classes préparatoires, écoles post-bac, etc.), on doit déposer sa candidature avant le mois de mai via le site Admission Post-Bac (APB) où les différents vœux des candidats sont classés. Les dossiers, donc les bulletins du lycée, sont examinés. Les résultats d'admission en études supérieures sont donc donnés avant les résultats du bac. C'est pour ça que certains disent que le bac n'a aucune influence. Mais c'est totalement faux. Si le bac n'est pas obtenu, l’immense majorité des établissements supérieurs va alors refuser l’élève. Par la suite, tout changement d'orientation, d'établissement d'études supérieures, en tiendra compte. Idem pour le CV. Le bac est très important, une bonne mention aussi aujourd’hui puisque la plupart des élèves ont aujourd'hui le bac. Le brevet est très peu utile pour les élèves faisant un lycée général. Nemesis III (me contacter), le 5 juillet 2014 à 01:07 (CEST).
- Vu qu’on en est aux souvenirs persos, J’ai fait partie du wagon de ceux qui n’avaient pas a passer le BEPC parce-que j’avais de bon résultats scolaires mais une épreuve en blanc avait été organisée dans le collège pour qu’on ai l’expérience d’un examen pour le bac… CQui (discuter) 4 juillet 2014 à 08:36 (CEST)
- J'ai passé mon BEPC (qui s'appelait alors comme ça) en 1968 (version allégée, vus les évènements...). Il n'était pas obligatoire pour passer en
- Pour moi, j'ai fait partie du dernier wagon où l'obtention du BEPC était requise pour passer en classe de seconde, en 1976. >O~ ♦M♦ ~H< 4 juillet 2014 à 03:18 (CEST)
- Dans les années 77-78 le BEPC était accordé d'office aux élèves ayant un dossier suffisant. Les autres passaient les épreuves. Le passage en seconde n'était de toute façon pas subordonné à la réussite du BEPC. (source : mes souvenirs perso) --90.7.90.122 (discuter) 3 juillet 2014 à 20:43 (CEST)
- J’ai l’impression que personne n’a parlé du Diplôme d'accès aux études universitaires, autre sésame pour l’entrée à l’université.
- Et sur un cv, ce qui compte vraiment, c’est le dernier diplôme obtenu (et les notes obtenues). Si vous avez validé un M2, tout le monde se fout de votre mention au bac (et de la série). rv1729 5 juillet 2014 à 07:57 (CEST)
- Je ne suis pas sûr de ce que je dois écrire sous l'image pour pouvoir l'insérer dans le texte sans briser une licence SA-machin, mais je pense qu'elle répond à la question : image Voir aussi le reste de l'article Brevet des collèges et le lien du premier commentaire : rue89. Bertrouf 8 juillet 2014 à 13:59 (CEST)
- En son temps, avant de devenir facultatif le brevet des collèges, qui s'appelait alors le brevet d'études du premier cycle, était nécessaire pour passer du collège au lycée ; dans la nomenclature des diplômes, le baccalauréat est le premier grade universitaire, il ne sanctionne pas tant les études secondaires qu'il permet l'entrée dans le supérieur. >O~ ♦M♦ ~H< 3 juillet 2014 à 17:55 (CEST)
Numéro de page pour références
modifierBonjour,
Je suis en train de refondre l'article sur Saint Louis mais certaines de mes sources proviennent de Google Books et ces « livres en ligne » n'affichent pas le numéro de page. Mes références dans l'article sont donc incomplètes... Y a-t-il un moyen de connaître le numéro de chaque page ?
Merci beaucoup, cordialement, Vanoot59 (discuter) 4 juillet 2014 à 16:10 (CEST)
- Salut. Normalement le numéro de la page en cours apparaît en haut à droite au-dessus du livre, tu peux préciser de quel texte il s'agit ? >O~ ♦M♦ ~H< 4 juillet 2014 à 18:23 (CEST)
- Bonjour, Si la page est consultable, son numéro est indiqué. Si le livre n'est pas consultable, la mention de Google n'est guère utile. Dans votre brouillon, je vois deux mentions de Google. Pour l'une, le livre est consultable et vous mentionnez la page. Pour l'autre, le livre n'est pas consultable. Mais, déjà, ça aiderait de bien écrire le nom de l'auteur, par exemple Jean-Joseph Julaud et non Jean-Jacques Jullaud. -- Asclepias (discuter) 4 juillet 2014 à 18:54 (CEST)
- Olivier Hammam : Je parle de ce livre, merci, cdlt, Vanoot59 (discuter) 4 juillet 2014 à 21:16 (CEST)
- Asclepias : Je ne suis qu'en train de m'occuper de l'article, je ne me suis donc pas encore occupé de ce passage, de toute façon, cette source sera supprimée car non encyclopédique mais merci tout de même pour son nom réel. Je ne veux pas mentionner google, je voudrais simplement avoir le numéro de la page... cdlt, Vanoot59 (discuter) 4 juillet 2014 à 21:16 (CEST)
- Je crois que je ne comprends pas la question. Je comprendrais s'il s'agissait de références placées dans l'article par d'autres contributeurs et que vous complétiez en cherchant les numéros des pages. Mais vous parlez de vos sources qui proviennent de Google books et de vos références dans l'article, ce qui laisse supposer que ce sont des sources que vous avez consultées et que vous ajoutez comme références. -- Asclepias (discuter) 4 juillet 2014 à 21:52 (CEST)
- Asclepias : C'est bel et bien moi qui ai ajouté ces référence mais je n'ai pas le livre Blanche de Castille de Sivéry en ma possession : je n'ai pu sourcer ces passages que grâce aux passages accessibles sur la version numérique du livre (google book) mais la version numérique n'affichant pas les numéros de page, je ne peux pas les indiquer en référence. Et pour que les références soient considérées comme fiables et complètes, il faut indiquer le numéro de page.
- C'est plus clair ? Vanoot59 (discuter) 5 juillet 2014 à 00:05 (CEST)
- Oui, un peu. J'en conclus que les affichages de Google livres [1] ne sont pas les mêmes selon le lieu où se trouve l'internaute. Chez moi, pour le livre Blanche de Castille, aucun passage n'est accessible. Mais pour les livres dont des passages sont accessibles, les pages sont indiquées. Par ailleurs, une recherche rapide de Catégorie:Bibliothèque contributeur ne m'a permis de trouver qu'une seule utilisatrice mentionnant sa possession d'un livre de Sivéry, mais c'est celui sur Philippe III le Hardi. Vous pouvez peut-être quand même à tout hasard lui demander si elle n'aurait pas aussi celui sur Blanche de Castille. -- Asclepias (discuter) 5 juillet 2014 à 02:14 (CEST)
- En effet, c'est bizarre... Merci ! Je vais essayer de faire la demande sur le bistro ou un forum... Vanoot59 (discuter) 5 juillet 2014 à 15:26 (CEST)
- Je confirme que 1/ certains ouvrages offerts par Google books n'ont pas leurs pages numérotées alors qu'elles le sont dans l'édition papier (ex : des livres de Jean-Yves Le Naour) - seule solution, en trouver une pour consultation... ;
- 2/ que la possibilité de consulter un ouvrage par GB diffère selon les régions - j'ai eu le cas d'un wikipédien qui pouvait lire un ouvrage que GB ne m'offrait pas ;
- 3/ si l'on consulte trop GB (vraiment trop sur une certaine période), l'offre se réduit et des pages qui étaient accessibles ne le sont plus - ça m'est arrivé plusieurs fois...
- Amclt, Égoïté (discuter) 6 juillet 2014 à 07:04 (CEST)
- En effet, c'est bizarre... Merci ! Je vais essayer de faire la demande sur le bistro ou un forum... Vanoot59 (discuter) 5 juillet 2014 à 15:26 (CEST)
- Oui, un peu. J'en conclus que les affichages de Google livres [1] ne sont pas les mêmes selon le lieu où se trouve l'internaute. Chez moi, pour le livre Blanche de Castille, aucun passage n'est accessible. Mais pour les livres dont des passages sont accessibles, les pages sont indiquées. Par ailleurs, une recherche rapide de Catégorie:Bibliothèque contributeur ne m'a permis de trouver qu'une seule utilisatrice mentionnant sa possession d'un livre de Sivéry, mais c'est celui sur Philippe III le Hardi. Vous pouvez peut-être quand même à tout hasard lui demander si elle n'aurait pas aussi celui sur Blanche de Castille. -- Asclepias (discuter) 5 juillet 2014 à 02:14 (CEST)
- Je crois que je ne comprends pas la question. Je comprendrais s'il s'agissait de références placées dans l'article par d'autres contributeurs et que vous complétiez en cherchant les numéros des pages. Mais vous parlez de vos sources qui proviennent de Google books et de vos références dans l'article, ce qui laisse supposer que ce sont des sources que vous avez consultées et que vous ajoutez comme références. -- Asclepias (discuter) 4 juillet 2014 à 21:52 (CEST)
Une petite question sur le droit et la jurisprudence du travail en France...
modifierBonjour,
Lorsque que l'on a un contrat à durée indéterminée rémunéré au SMIC, est-ce qu'il est possible de poser plusieurs semaines de congés d'affilés afin de réaliser un stage non rémunéré sans perdre son travail? (ce serai pour quelqu'un d'autre) 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (discuter) 4 juillet 2014 à 23:11 (CEST)
- Bonjour, tout dépend des clauses du contrat, certains interdisent d'avoir une autre activité professionnelle (même non rémunérée) pendant sa durée, c'est d'ailleurs le cas du mien. Cela dit, ce « stage non rémunéré » alors que vous travaillez, je devine que c'est pour une formation ; peut-être qu'il vaudrait mieux en discuter avec votre employeur, qui pourrait éventuellement organiser ou financer cette formation s'il y trouve son compte. --Milena (Parle avec moi) 5 juillet 2014 à 07:36 (CEST)
- Milena : Normalement la clause de non-concurrence, s'applique au même secteur d'activité que l'emploi. il doit être aussi limité dans l'espace, et être justifié pour l'activité (J'ai déjà vu une clause de non concurrence pour une agent de propreté interdisant toute activité similaire jusqu'à 5 ans après l'arrêt du contrat sur l'ensemble de l'Europe et de l'Amérique du Nord). Ce que je me demandais, c'est si l'employeur peux avoir un droit de regard (en dehors de toute spécification du contrat) sur certaines activités pratiqués pendant les congés payés, du au fait qu'elles sont initialement prévu pour être consacrés au repos et au loisir. 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (discuter) 5 juillet 2014 à 13:50 (CEST)
- Je ne parlais pas de clause de non-concurrence, mais d'exclusivité. Ce sont deux choses différentes (et cumulables, en tout cas elles le sont sur mon contrat). --Milena (Parle avec moi) 5 juillet 2014 à 15:49 (CEST)
- Milena : C'est vrai que je n'ai pas vu la clause d'exclusivité et ses limites (comme le secteur d'activité). Mais dans le cas courant il s'agit de deux activités complétement différentes dont la première (le CDI) ne nécessite aucune qualification. 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (discuter) 5 juillet 2014 à 16:29 (CEST)
- Je ne parlais pas de clause de non-concurrence, mais d'exclusivité. Ce sont deux choses différentes (et cumulables, en tout cas elles le sont sur mon contrat). --Milena (Parle avec moi) 5 juillet 2014 à 15:49 (CEST)
- Milena : Normalement la clause de non-concurrence, s'applique au même secteur d'activité que l'emploi. il doit être aussi limité dans l'espace, et être justifié pour l'activité (J'ai déjà vu une clause de non concurrence pour une agent de propreté interdisant toute activité similaire jusqu'à 5 ans après l'arrêt du contrat sur l'ensemble de l'Europe et de l'Amérique du Nord). Ce que je me demandais, c'est si l'employeur peux avoir un droit de regard (en dehors de toute spécification du contrat) sur certaines activités pratiqués pendant les congés payés, du au fait qu'elles sont initialement prévu pour être consacrés au repos et au loisir. 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (discuter) 5 juillet 2014 à 13:50 (CEST)
- Bonjour, en France, il y a déjà le Le droit individuel à la formation qui au bout de 6 ans peut atteindre 120 heures. Il y a aussi, au moins pour les fonctionnaires, la mise en disponibilité. --Epsilon0 ε0 5 juillet 2014 à 18:27 (CEST)
- Epsilon0 : Non, le stage en question n'as aucune vocation justifiable à la formation. il s'agirait éventuellement pour la personne de rencontrer d'autres stagiaires au cour du stage dans le même cas que lui, mais qui ont trouvé des solutions à leur problème. Et c'est plutôt une durée de quatre semaines minimum qui serait nécessaire dans le cas courant. 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (discuter) 5 juillet 2014 à 22:22 (CEST)
- La question est : s'agit-il d'une formation professionnelle sanctionnée par un diplôme ou d'un stage sans aucun but professionnalisant organisé par une association type 1901 pour ses adhérents ? Dans le second cas il n'y a pas matière à informer son employeur de ce qu'on fait pendant ses vacances, c'est aussi simple. >O~ ♦M♦ ~H< 6 juillet 2014 à 09:30 (CEST)
- Olivier Hammam : Le second cas est tout à fait celui qui correspond... ou presque (stage de journaliste) (il s'agit bien d'une activité à caractère professionnel) 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (discuter) 6 juillet 2014 à 11:58 (CEST)
- Pour info, 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (d · c · b), les notifications de la part des IP n'allument pas un petit 1 rouge chez les utilisateurs inscrits – je me demande si l'inverse est vrai. >O~ ♦M♦ ~H< 6 juillet 2014 à 17:05 (CEST)
- Olivier Hammam : Tu n'as qu'a faire un test sous IP sur ta PDD. 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (discuter) 7 juillet 2014 à 21:54 (CEST)
- Pour info, 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (d · c · b), les notifications de la part des IP n'allument pas un petit 1 rouge chez les utilisateurs inscrits – je me demande si l'inverse est vrai. >O~ ♦M♦ ~H< 6 juillet 2014 à 17:05 (CEST)
- Olivier Hammam : Le second cas est tout à fait celui qui correspond... ou presque (stage de journaliste) (il s'agit bien d'une activité à caractère professionnel) 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (discuter) 6 juillet 2014 à 11:58 (CEST)
- La question est : s'agit-il d'une formation professionnelle sanctionnée par un diplôme ou d'un stage sans aucun but professionnalisant organisé par une association type 1901 pour ses adhérents ? Dans le second cas il n'y a pas matière à informer son employeur de ce qu'on fait pendant ses vacances, c'est aussi simple. >O~ ♦M♦ ~H< 6 juillet 2014 à 09:30 (CEST)
- Epsilon0 : Non, le stage en question n'as aucune vocation justifiable à la formation. il s'agirait éventuellement pour la personne de rencontrer d'autres stagiaires au cour du stage dans le même cas que lui, mais qui ont trouvé des solutions à leur problème. Et c'est plutôt une durée de quatre semaines minimum qui serait nécessaire dans le cas courant. 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (discuter) 5 juillet 2014 à 22:22 (CEST)
- La durée de 4 semaines peut être un point bloquant, si cela gène a l’organisation du service, et si une limite de durée est prévue dans le règlement intérieur. CQui (discuter) 7 juillet 2014 à 08:44 (CEST)
- Cqui : Oui, c'est effectivement un point de blocage partiel. Mais il y a normalement 5 semaines de congés payés par ans : il s'agit d'obtenir une seul grande plage. Ce que je me demande, c'est si l'employeur peux avoir un droit de regard (en dehors de toute spécification dans le contrat) sur certaines activités pratiqués pendant les congés payés, du au fait qu'elles sont initialement prévu pour être consacrés au repos et au loisir. 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (discuter) 7 juillet 2014 à 21:49 (CEST)
- On fait ce qu'on veut pendant ses vacances. Du sport, un stage de journalisme, la sieste sur la plage ou refaire sa maison... On fait même ce qu'on veut pendant son temps libre de façon générale : j'ai pris des cours du soir sans informer mon patron. Il convient uniquement de s'assurer ce n'est pas concurrent avec l'activité professionnelle, que ce n'est pas rémunéré (pas même au black), et éventuellement de déclarer ses diplômes auprès des ressources humaines (à confirmer). Bertrouf 8 juillet 2014 à 14:13 (CEST)
- Bertrouf : Ok c'était juste pour savoir si on pouvait exercer une activité professionnel pendant ses vacances. Où si je pouvais lui dire de continuer à prendre ses médoc. 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (discuter) 8 juillet 2014 à 15:05 (CEST)
- On fait ce qu'on veut pendant ses vacances. Du sport, un stage de journalisme, la sieste sur la plage ou refaire sa maison... On fait même ce qu'on veut pendant son temps libre de façon générale : j'ai pris des cours du soir sans informer mon patron. Il convient uniquement de s'assurer ce n'est pas concurrent avec l'activité professionnelle, que ce n'est pas rémunéré (pas même au black), et éventuellement de déclarer ses diplômes auprès des ressources humaines (à confirmer). Bertrouf 8 juillet 2014 à 14:13 (CEST)
- Cqui : Oui, c'est effectivement un point de blocage partiel. Mais il y a normalement 5 semaines de congés payés par ans : il s'agit d'obtenir une seul grande plage. Ce que je me demande, c'est si l'employeur peux avoir un droit de regard (en dehors de toute spécification dans le contrat) sur certaines activités pratiqués pendant les congés payés, du au fait qu'elles sont initialement prévu pour être consacrés au repos et au loisir. 2A02:8422:1191:6E00:56E6:FCFF:FEDB:2BBA (discuter) 7 juillet 2014 à 21:49 (CEST)
Nom d'une formule de style
modifierBonjour Wikiistes. Comment nomme-t-on la formule de style consistant à dire : "Je ne vous parlerai pas de son courage que vous saviez tous être extrême etc... " puis à en parler longuement. Je vous remercie pour votre attention.--Jojodesbatignoles (discuter) 4 juillet 2014 à 23:43 (CEST)
- une prétérition. Dhatier discuter 4 juillet 2014 à 23:59 (CEST)
- Incidemment, on ne dit pas formule de style mais figure de style. >O~ ♦M♦ ~H< 5 juillet 2014 à 14:35 (CEST)
Je vous remercie tous les 2 pour votre érudition et votre précision.--Jojodesbatignoles (discuter) 5 juillet 2014 à 15:48 (CEST)
l'aviation civile
modifierbonjour, je l'honneur de vous posez cette question :pour étudier l'aviation civile en Afrique du sud,quel est le prix qu'il foutra payer?En autre nous vous donnons de remerciement.
- Désolé, cette question non-encyclopédique dépasse les capacités de réponse de l'Oracle, pour tout savoir là-dessus le mieux est de s'adresser à une légation ou un consulat d'Afrique du Sud, ou directement au ministère
de la défensedes transports ou équivalent dans ce pays. >O~ ♦M♦ ~H< 5 juillet 2014 à 10:00 (CEST)- Pour compléter la réponse : Ambassade d'Afrique du Sud à Paris v_atekor (discuter) 5 juillet 2014 à 10:43 (CEST)
- La South African Civil Aviation Authority a surement des réponses pour vous (http://www.caa.co.za/Documents/A-Z%20Booklet%202010.pdf).--192.95.225.50 (discuter) 5 juillet 2014 à 18:27 (CEST)
pourquoi n'y a-t-il (presque) que des vieux aux concerts de musique classique?
modifierBonjour à tous cher Oracle,
Bon voilà depuis quelque temps j'ai pour ainsi dire "découvert" la musique classique et par conséquent je me suis dit que le meilleur endroit pour l'écouter c'est encore le concert, or (toute naïve que je suis) je me suis rendue compte que 90% du public environ (ça peut varier mais bon) est composé de vieux, ou pour être politiquement correct, de "personnes âgées", ou si vous préférez pour être plus "objectif" de gens avec des cheveux blancs. Bref. Donc je me suis demandée à quoi était dû ce phénomène: ont-ils une meilleure oreille? plus de temps libre? plus d'argent (mais en fait non même pas parce que avec les réductions genre "étudiant" ou autre c'est vraiment pas cher)? parce que tout de même s'ils écoutent de la musique classique maintenant c'est bien qu'ils en ont écouté avant non? bon voilà j'ai pas trouvé. Quelqu'un aurait-il une explication?
merci :)
Blaujacket (discuter) 5 juillet 2014 à 15:40 (CEST)
- Ca dépend où tu vas l'écouter. En province sans doute. Dans les grandes villes c'est moins vrai. A Paris c'est assez faux selon les endroits et en Allemagne la tendance est exactement opposée. v_atekor (discuter) 5 juillet 2014 à 15:58 (CEST)
- Salle climatisée ? Chaude l'hiver et fraîche l'été.--PatSchW (discuter) 5 juillet 2014 à 16:07 (CEST)
- Il y a sans doute une raison économique, le prix des places. Je ne sais pas ce qu'il en est désormais, au tournant des années 1960-1970 le festival d'Aix-en-Provence avait un public très divers en âge car les places étaient très abordables. >O~ ♦M♦ ~H< 5 juillet 2014 à 16:12 (CEST)
- @v_atekor: je SUIS en Allemagne (dans une ville étudiante qui plus est). pour ce qui est du prix des places, avec la carte étudiant et en prenant une place vers le fond ça revient à une dizaine d'euros, il me semble pas que ce soit trop cher? bon peut être c'est juste que j'y suis allée au mauvais moment mais tout de même ça m'a frappée. Blaujacket (discuter) 5 juillet 2014 à 16:21 (CEST)
- ah.... ma sœur est à Berlin, où elle est flûtiste et elle me dit que les salles sont très jeunes avec un public entre 15 et 30 ans v_atekor (discuter) 5 juillet 2014 à 16:25 (CEST)
- Pour être plutôt dans la catégorie jeune, je dois dire que dans ma liste de musiques, j'ai (seulement) 4 ou 5 morceaux de classique, et je n'ai pas souvenir d'avoir eu de connaissances de ma génération me dire avoir plein de morceaux de classique dans leurs listes. Je suppose que c'est moins écouté car moins connu (je ne connais en France que Radio Classique passant du classique contre des dizaines de radios de variétés) ; en outre, de ce que j’ai pu voir et entendre durant mes années "collège", l'apprentissage des morceaux de classique en classe de musique ne passionnait pas vraiment les foules. Après, je reconnais que ça ne m’est encore jamais venu à l'idée d'assister à des concerts de mes quelques morceaux de classique préférés ; en même temps, je ne le fais pas non plus pour les morceaux de variété (et c'est là que la comparaison n’est pas bonne puisque je ne suis de toute façon pas passionné de concerts). Alors question d'époque, pas évident non plus puisque les (très) "vieux" actuels n'ont pas spécialement grandi avec le classique mais avec le jazz, le swing ou le boogie. Peut-être craignent-ils les vibrations des batteries et le son parfois strident des guitares électriques. En tout cas oui, difficile à dire au final... --Floflo (discuter) 5 juillet 2014 à 16:33 (CEST)
- peut être c'est dû à l'image qu'on nous renvoie? mais ça non plus à vrai dire je ne comprends pas: l'idée de la musique classique réservée à une "élite" bourgeoise et "vieille"? peut être à cause de la "mise en scène" de ces concerts? ça fait peut être fuir les gens qui se disent qu'ils n'appartiennent pas à ce milieu? mais bon sang c'est de la musique tout de même, et c'est même bien plus que ça, c'est extraordinaire ce qui peut se passer dans un concert. mais ça bizarrement, personne n'en parle jamais. ni les critiques, ni... enfin bref. (pour ce qui est de l'argument "la musique classique c'est plus 'calme' que le rock ou autre" je ne suis pas du tout d'accord, ça peut être très violent! ex. le Requiem de Verdi qui alterne des moments calmes et puis soudain quelque chose d'énorme et de très bruyant, question vibrations on est servi... d'ailleurs je trouve qu'il y a pas mal de ressemblances entre le classique et certaines formes de métal, qui s'en inspirent clairement d'ailleurs) Blaujacket (discuter) 5 juillet 2014 à 16:55 (CEST)
- bon, en fait je crois que c'est une question d'ordre sociologique. l'idée d'une musique réservée à une élite, ça je comprends, mais pourquoi seulement des vieux? (oui bon désolée d'insister) Blaujacket (discuter) 5 juillet 2014 à 18:57 (CEST)
- peut être c'est dû à l'image qu'on nous renvoie? mais ça non plus à vrai dire je ne comprends pas: l'idée de la musique classique réservée à une "élite" bourgeoise et "vieille"? peut être à cause de la "mise en scène" de ces concerts? ça fait peut être fuir les gens qui se disent qu'ils n'appartiennent pas à ce milieu? mais bon sang c'est de la musique tout de même, et c'est même bien plus que ça, c'est extraordinaire ce qui peut se passer dans un concert. mais ça bizarrement, personne n'en parle jamais. ni les critiques, ni... enfin bref. (pour ce qui est de l'argument "la musique classique c'est plus 'calme' que le rock ou autre" je ne suis pas du tout d'accord, ça peut être très violent! ex. le Requiem de Verdi qui alterne des moments calmes et puis soudain quelque chose d'énorme et de très bruyant, question vibrations on est servi... d'ailleurs je trouve qu'il y a pas mal de ressemblances entre le classique et certaines formes de métal, qui s'en inspirent clairement d'ailleurs) Blaujacket (discuter) 5 juillet 2014 à 16:55 (CEST)
- Pour être plutôt dans la catégorie jeune, je dois dire que dans ma liste de musiques, j'ai (seulement) 4 ou 5 morceaux de classique, et je n'ai pas souvenir d'avoir eu de connaissances de ma génération me dire avoir plein de morceaux de classique dans leurs listes. Je suppose que c'est moins écouté car moins connu (je ne connais en France que Radio Classique passant du classique contre des dizaines de radios de variétés) ; en outre, de ce que j’ai pu voir et entendre durant mes années "collège", l'apprentissage des morceaux de classique en classe de musique ne passionnait pas vraiment les foules. Après, je reconnais que ça ne m’est encore jamais venu à l'idée d'assister à des concerts de mes quelques morceaux de classique préférés ; en même temps, je ne le fais pas non plus pour les morceaux de variété (et c'est là que la comparaison n’est pas bonne puisque je ne suis de toute façon pas passionné de concerts). Alors question d'époque, pas évident non plus puisque les (très) "vieux" actuels n'ont pas spécialement grandi avec le classique mais avec le jazz, le swing ou le boogie. Peut-être craignent-ils les vibrations des batteries et le son parfois strident des guitares électriques. En tout cas oui, difficile à dire au final... --Floflo (discuter) 5 juillet 2014 à 16:33 (CEST)
- ah.... ma sœur est à Berlin, où elle est flûtiste et elle me dit que les salles sont très jeunes avec un public entre 15 et 30 ans v_atekor (discuter) 5 juillet 2014 à 16:25 (CEST)
- @v_atekor: je SUIS en Allemagne (dans une ville étudiante qui plus est). pour ce qui est du prix des places, avec la carte étudiant et en prenant une place vers le fond ça revient à une dizaine d'euros, il me semble pas que ce soit trop cher? bon peut être c'est juste que j'y suis allée au mauvais moment mais tout de même ça m'a frappée. Blaujacket (discuter) 5 juillet 2014 à 16:21 (CEST)
- Il y a sans doute une raison économique, le prix des places. Je ne sais pas ce qu'il en est désormais, au tournant des années 1960-1970 le festival d'Aix-en-Provence avait un public très divers en âge car les places étaient très abordables. >O~ ♦M♦ ~H< 5 juillet 2014 à 16:12 (CEST)
- Salle climatisée ? Chaude l'hiver et fraîche l'été.--PatSchW (discuter) 5 juillet 2014 à 16:07 (CEST)
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Bien que ce ne soit pas le Bistro, un peu de sociologie de comptoir. Les élites se recrutent, soit dans une classe sociale, soit dans les tranches d'âge les plus élevées. Les élites sociales sont plus restreintes que les élites âgées. La musique classique n'est pas strictement réservée à une élite mais par le fait, est considérée par une majorité comme la musique de l'élite, donc on ne trouvera que peu de public jeune ou populaire dans un concert. De ce fait, le public sera tendanciellement plutôt riche, plutôt cultivé et plutôt vieux. En même temps ça dépend du pays : en Russie ou en Italie ça sera moins vrai. >O~ ♦M♦ ~H< 5 juillet 2014 à 21:43 (CEST)
- certes, mais ces gens-là on bien des enfants non? ils font partie de la même classe sociale? donc pourquoi ne viennent-ils pas eux aussi? c'est seulement à partir d'un certain âge, que d'un coup on se met à aller au concert, sans jamais en avoir rien connu avant? Blaujacket (discuter) 5 juillet 2014 à 21:54 (CEST)
- Peut-être parce que les parents ne sont pas encore assez vieux pour aller aux concerts avec leurs enfants ; et quand ils le deviennent (vieux) les enfants sont partis ou se détournent exprès des hobbys de leurs parents (qui sont trop ringards, tout ça ) --Floflo (discuter) 5 juillet 2014 à 22:07 (CEST)
- C'est aimable à vous Blaujacket, d'avoir soulevé cette réponse, mais je n'ai pas la question correspondante. Dois-je me demander à partir de quel âge considérez-vous qu'on est vieux, ou à partir de quelle combinaison ancienneté-succès une musique est classique ? (Et accessoirement à partir de quel revenu fait-on partie de l'Élite ?) Je me demande parfois dans la série Bû qui s'avance, digue digue don, Summertime, Mexico, Maria, Manchester England, comment départir ce qui est classique de ce qui ne l'est pas. Mais je ne vais pas plus loin, parce qu'au fond, je m'en fiche, je n'aime pas la musique, je n'aime que la provocation (Ah le bonheur de faire ch... les vieux croûtons qui n'aiment pas la musique de jeunes, le rap, le twist, le rock, la java, la valse, le rigodon, le branle...). 88.165.212.52 (discuter) 6 juillet 2014 à 10:08 (CEST)
- Peut-être quand on est "vieux", on revient au fondamentaux, on ne va pas voir le dernier chanteur à la mode... Par contre j'ai remarqué dans les concerts de rock "de mon époque" (Led Zeppelin, Rolling Stones etc.) filmés, ces dernières années le public est mitigé, des "vieux" comme des jeunes. Toujours d'actu ? --Serged/♥ 6 juillet 2014 à 10:22 (CEST)
- Parce que les vieux s'encroutent et que les jeunes s’enflamment ? --le sourcier 6 juillet 2014 à 10:29 (CEST)
- à partir de quel âge on est vieux? je ne sais pas, mais disons que la grande majorité des spectateurs que j'ai vus devait avoir entre 60-70-80 ans, je ne sais pas exactement. il y en a aussi des plus jeunes (vers 40-50 ans) mais beaucoup moins nombreux, et des gens dans les 20-30 ans vraiment pas beaucoup... pour ce qui est de "qu'est ce que c'est la musique classique?", ben à vrai dire je ne sais pas non plus, les catégories c'est pas trop mon truc... disons un concert mené par un orchestre philharmonique? ou un orchestre de chambre? et pour ce qui est de l'"élite", je ne crois pas que ce soit défini tant par le revenu que par l'appartenance sociale, l'idée d'appartenir à ce groupe, d'avoir des relations à l'intérieur du groupe, les mêmes codes sociaux etc. Blaujacket (discuter) 6 juillet 2014 à 10:34 (CEST)
- [Réponse à Serged] Quand tu vas voir des choses un tout petit poil plus confidentielles (Higelin, Gotainer, Zappa plays Zappa, Nick Cave, Einstürzende Neubauten...) que peu de « jeunes » connaissent, les plus de 40 ans sont souvent majoritaires. Pour d’autres trucs qui ont commencé dans les années 90 (Björk), le spectre est plus large.
- Par ailleurs, à Bastille, le public est très mélangé et plutôt jeune (les vieux bourges vont à Garnier), et il y a souvent des classes de lycéens accompagnées d’un prof. À Pleyel (musique classique), il y a beaucoup de vieux croûtons, mais aussi beaucoup de jeunes croûtons. Pleyel est le seul endroit où j’ai entendu huer les intermittents en grève, ça donne une certaine idée du public. Mais les concerts à Pleyel ne sont pas très chers (et il y a les spectacles familles le samedi matin qui sont franchement bon marché) et pour finir le public est assez mélangé. rv1729 6 juillet 2014 à 10:39 (CEST)
- Hum oui, le public à Pleyel n'est pas si vieux. Les "vieux bourges" vont au théâtre des Champs-Élysées. Zandr4[Kupopo ?] 7 juillet 2014 à 17:43 (CEST)
- La dernière fois où j’y suis allé, y avait quand-même une belle proportion de gens de plus de 70 ans... rv 8 juillet 2014 à 17:53 (CEST)
- Hum oui, le public à Pleyel n'est pas si vieux. Les "vieux bourges" vont au théâtre des Champs-Élysées. Zandr4[Kupopo ?] 7 juillet 2014 à 17:43 (CEST)
- à partir de quel âge on est vieux? je ne sais pas, mais disons que la grande majorité des spectateurs que j'ai vus devait avoir entre 60-70-80 ans, je ne sais pas exactement. il y en a aussi des plus jeunes (vers 40-50 ans) mais beaucoup moins nombreux, et des gens dans les 20-30 ans vraiment pas beaucoup... pour ce qui est de "qu'est ce que c'est la musique classique?", ben à vrai dire je ne sais pas non plus, les catégories c'est pas trop mon truc... disons un concert mené par un orchestre philharmonique? ou un orchestre de chambre? et pour ce qui est de l'"élite", je ne crois pas que ce soit défini tant par le revenu que par l'appartenance sociale, l'idée d'appartenir à ce groupe, d'avoir des relations à l'intérieur du groupe, les mêmes codes sociaux etc. Blaujacket (discuter) 6 juillet 2014 à 10:34 (CEST)
- Parce que les vieux s'encroutent et que les jeunes s’enflamment ? --le sourcier 6 juillet 2014 à 10:29 (CEST)
- Peut-être parce que les parents ne sont pas encore assez vieux pour aller aux concerts avec leurs enfants ; et quand ils le deviennent (vieux) les enfants sont partis ou se détournent exprès des hobbys de leurs parents (qui sont trop ringards, tout ça ) --Floflo (discuter) 5 juillet 2014 à 22:07 (CEST)
- Ben, avec l’age, l'ouïe baisse, alors le confort des fauteuils prend davantage d'importance. --le sourcier 7 juillet 2014 à 23:22 (CEST)
Abréviation anglaise
modifierBonjour sauriez-vous me dire quelle est l'origine de cette abréviation dans la phrase suivante ? Je pense que cela peut se traduire de la sorte : le 18 courant, mais j'aimerais l'origine de inst., merci beaucoup. « M. Henri Edward Truchot, a distinguished painter, died on the 18th inst. in the 25th of his age ». Anonyme, Galignani’s Messenger, n° 2334, 26 août 1822, p. 2. Philippe Nusbaumer (discuter) 6 juillet 2014 à 11:10 (CEST)
- Probablement du latin instantia, la présence. Cordialement, Biem (discuter) 6 juillet 2014 à 11:27 (CEST)
- Conflit d’édition — dans un forum un participant signale qu'il s'agit de conventions « bureaucratiques » : inst. (instant) = mois courant, ult. (ultimo) = le mois précédent et prox. (proximo) = le mois d'après. Pour instant, c'est du latin déformé de instans je pense. Turb (discuter) 6 juillet 2014 à 11:29 (CEST)
isotopes
modifierBonjour est-il vrai que tous les éléments ont toujours plusieurs isotopes, alors qu'à l'article "or" il apparaît que cet élément n'en qu'un seul de "naturel". 167.332.14.656 (d · c · b) — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 77.192.55.167 (discuter), le 6 juillet 2014 à 21:00 (CSET)
- Bonjour. Pour moi l'or est à la fois un exemple et un contre-exemple à ta question. L'article or cite les 4 isotopes les plus stables ; la plus grande période est de 186 jours donc évidemment si de l'or avec cet isotope s'est formée dans la nucléosynthèse de l'étoile qui a permis plus tard la formation de la terre (et il y en a certainement eu) il n'en resterait plus de traces mesurables. Résumé : l'or a des isotopes artificiels mais n'en a plus de naturels. Mais je crains de ne pas avoir répondu exactement à ta question.--Jojodesbatignoles (discuter) 6 juillet 2014 à 22:50 (CEST)
- Je complète ma réponse précédente par une question : peut-on faire des isotopes artificiels avec tous les atomes ? Ma réponse serait oui.--Jojodesbatignoles (discuter) 6 juillet 2014 à 22:50 (CEST)
- On peut répartir les isotopes en trois catégories :
- Les isotopes stables, qui n'ont aucune activité nucléaire, et que l'on trouve naturellement sur Terre. L'étain, qui en possède 10, est celui qui en a le plus. L'or n'en a qu'un seul.
- Les isotopes à longue demi-vie, (mettons plus d'un million d'années) que l'on trouve également sur Terre. Exemple : l'uranium 238, mais aussi 234 et 235
- Les isotopes à courte demi-vie, qui se sont dégradés depuis leur formation, et qu'on ne retrouve sur terre qu'en quantités tellement infimes qu'on ne peut pas vraiment les détecter. Exemple: Uranium 232, 233 et 236. Ce sont ces derniers que l'on considère comme 'artificiels' puisqu'il faut aux scientifiques de des fabriquer pour les étudier.
- Pour répondre à la question de Jojodesbatignoles, oui, on a fabriqué tous les isotopes de tous les éléments, y compris les isotopes stables et ceux à longue demi-vie. Dhatier discuter 7 juillet 2014 à 01:28 (CEST)
- La classification de Dhatier ci-dessus correspond au point de vue du géologue, dont l'unité de compte est le million d'années. Pour compléter, les isotopes radioactifs sont de demi-vie très variable ; et à échelle humaine (notamment pour la gestion des déchets radioactifs les limites sont (forcément) comptées en années, et forment des tranches d'un facteur ~ cent :
- Quand la demi-vie est de l'ordre de quelques milliers d'années, comme le plutonium, l'élément est à échelle humaine suffisamment stable pour être employé comme constituant technologique (par exemple, des plaques de combustible MOX alimentant des réacteurs).
- Les isotopes "à vie longue" sont par convention dont la demi-vie est supérieure à 31 ans. Cette "longue" demi-vie fait qu'il n'est pas possible d'espérer une décroissance à échelle historique, quand ils sont stockés ces déchets sont "en pratique permanents".
- Les isotopes à demi-vie courte (moins de 31 ans) peuvent au contraire être entreposés dans des centres spécialisés pendant quelques siècles, à échelle historique leur radioactivité cessera alors d'être un problème justifiant des mesures de radioprotection.
- Les isotopes à demi-vie très courte, inférieure à 100 jours : ils sont gérés sur place par décroissance radioactive, et ensuite gérés comme des déchets classiques.
- Les isotopes peuvent avoir des applications médicales jusqu'à des demi-vies assez courtes (quelques jours), mais en dessous de la journée les contraintes de délai entre la production et l'utilisation sont telles qu'ils n'ont plus d'intérêt sociétal. A échelle du grand public, donc, un isotope dont la demi-vie est inférieure à un jour n'a pas d'existence pratique. Pour les physiciens, en revanche, la course à l'isotope n'a pas de limite. Voir Vallée de stabilité.
- Cordialement, Biem (discuter) 7 juillet 2014 à 06:45 (CEST)
- La classification de Dhatier ci-dessus correspond au point de vue du géologue, dont l'unité de compte est le million d'années. Pour compléter, les isotopes radioactifs sont de demi-vie très variable ; et à échelle humaine (notamment pour la gestion des déchets radioactifs les limites sont (forcément) comptées en années, et forment des tranches d'un facteur ~ cent :
- On peut répartir les isotopes en trois catégories :
- Je complète ma réponse précédente par une question : peut-on faire des isotopes artificiels avec tous les atomes ? Ma réponse serait oui.--Jojodesbatignoles (discuter) 6 juillet 2014 à 22:50 (CEST)
Prédiction théorique ?
modifierBonjour Biem. Je profite de cette section pour poser à mon tour une question sur le même thème :
Est-ce que la théorie (quantique ou ses extensions) permet de prédire la demi-vie de n’importe quel isotope ? Grasyop ✉ 8 juillet 2014 à 09:09 (CEST)
- Ça n’est pas évident, cf Îlot de stabilité et Formule de Weizsäcker. Ce que je comprends, c’est que pour mener les calculs on est obligés de faire des tas d’approximations simplificatrices. rv1729 11 juillet 2014 à 08:17 (CEST)
- C'est pas mon domaine, mais la réponse est probablement non. Il y a des formules théoriques qui donnent des prédictions, mais qui se révèlent très approximatives ; et des formules empiriques qui suivent assez bien les isotopes connus par interpolation, mais de là à faire des extrapolations fiables il y a un gouffre. L'ensemble ressemble plus à une description empirique qu'à une compréhension théorique. Cordialement, Biem (discuter) 11 juillet 2014 à 13:28 (CEST)
- Merci pour vos réponses. Ce n’est en effet pas une interpolation qui m’intéresse, mais plutôt de comprendre si la théorie physique actuelle est ou non en mesure de rendre compte des observations. Puisque la formule de Weizsäcker est "semi-empirique", je vais essayer de comprendre ce qu’il y a de théorique dedans. Grasyop ✉ 14 juillet 2014 à 14:06 (CEST)
- C'est pas mon domaine, mais la réponse est probablement non. Il y a des formules théoriques qui donnent des prédictions, mais qui se révèlent très approximatives ; et des formules empiriques qui suivent assez bien les isotopes connus par interpolation, mais de là à faire des extrapolations fiables il y a un gouffre. L'ensemble ressemble plus à une description empirique qu'à une compréhension théorique. Cordialement, Biem (discuter) 11 juillet 2014 à 13:28 (CEST)
Éditeur du modèle:Article
modifierBonsoir, ce n'est qu'un détail mais s'il est indiqué, est-ce que l'université de Floride est bien l'éditeur de ce protologue ? Dans ce cas, cela donnerait ceci : (en) Travis M. Thomas, Michael C. Granatosky, Jason R. Bourque, Kenneth L. Krysko, Paul E. Moler, Tony Gamble, Eric Suarez, Erin Leone, Kevin M. Enge et Joe Roman, « Taxonomic assessment of Alligator Snapping Turtles (Chelydridae: Macrochelys), with the description of two new species from the southeastern United States », Zootaxa, Université de Floride, vol. 3786, no 2, , p. 141–165 (ISSN 1175-5326 et 1175-5334, lire en ligne [PDF], consulté le ). --81.49.231.157 (discuter) 6 juillet 2014 à 23:35 (CEST)