Wikipédia:Oracle/semaine 2 2013

Dernier commentaire : il y a 11 ans par Herve1729 dans le sujet facebook et twiter ?

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La plus populaire de toutes les activités de loisirs en Suisse pour les années 1920

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Bonjour, Quel a été le plus populaire de toutes les activités de loisirs en Suisse pour 1920s? — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 98.234.170.206 (discuter) alias Rebel Yeh (d) 7 janvier 2013 à 06:20 (CET)Répondre

Peut être commencer par jeter un œil sur ces articles : 1920 en Suisse, 1921, 1922, 1923, 1924, 1925, 1926, 1927, 1928 et 1929. --Agamitsudo (d) 7 janvier 2013 à 11:25 (CET)Répondre
L'attente de la sortie du coucou --Rene1596 (d) 7 janvier 2013 à 11:20 (CET)Répondre
… ah ! tu appelles ça comme ça ? — Hautbois [canqueter] 8 janvier 2013 à 05:50 (CET)Répondre
Skiing. Rebel Yeh (d) 8 janvier 2013 à 08:43 (CET)Répondre

Titre de chanson

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Chères pythies! Je suis désespérément à la recherche du titre d'une chanson; c'est un chanson assez vieille pour passer sur Radio Nostalgie, qui raconte l'histoire triste d'un homme qui n'a pas très bien tourné (je ne sais plus les détails);le dernier mot de la chanson est "Papa", ce qui indique à l'auditeur que c'était de son père que le chanteur parlait tout au long de la chanson... Je vous remercie infiniment. John — Le message qui précède, non signé, a été déposé par 178.193.223.190 (discuter)

Toi là haut (Claude Nougaro) ? --Agamitsudo (d) 8 janvier 2013 à 01:18 (CET)Répondre
Vu la radio source, plus probablement Mon Vieux de Daniel Guichard, paroles ici. -O.--M.--H.- 8 janvier 2013 à 02:47 (CET)Répondre
… oui ou Claude Barzotti, Papa ? — Hautbois [canqueter] 8 janvier 2013 à 05:46 (CET)Répondre
Ah ben non, ça ne se termine pas sur le mot « papa », et en plus c'est pas triste, tss tss... -O.--M.--H.- 8 janvier 2013 à 07:36 (CET) Enfin, pas triste, au point de vue du sens du texte, pas au plan musical, ni surtout ai plan artistique, ou là c'est triste d'avoir à écouter des trucs pareils... -O.--M.--H.-Répondre
A mon humble avis, c'est aussi mon vieux de D. Guichard; il insiste suffisamment avec son Papaaaaaa final pour que ca marque les esprits. Mitch-Mitch 8 janvier 2013 à 09:12 (CET)Répondre
Dans la joie et la bonne humeur continuons avec Père prodigue et juste pour que l’ambiance ne retombe pas on a aussi Le vieux.--Doalex (d) 8 janvier 2013 à 11:08 (CET)Répondre
Ah en lisant j'ai tout de suite pensé à Mon vieux également. Très émouvante chanson en effet, justement à la fin d'ailleurs. --Floflo (d) 8 janvier 2013 à 12:58 (CET)Répondre

nombre exact d'immatriculations de voitures neuves en France en 2012

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Bonjour, quel est le nombre exact d'immatriculations de voitures particulières neuves en France en 2012. J'ai une approximation de moins de 1,9 millions, mais je recherche le nombre exact, si possible par marque (Peugeot, Citroën, Renault, étrangères). Salutations.--194.51.190.172 (d) 8 janvier 2013 à 11:50 (CET)Répondre

Bonjour,
Vous pouvez déja utiliser ceci,par marques jusqu'à septembre ou cela, en global par mois. En farfouillant www.ccfa.fr vous trouverez peutêtre d'autres chiffres et dans quelques temps il y aura surement des mises à jour Mitch-Mitch 8 janvier 2013 à 12:48 (CET)Répondre
Grillé ! J'avais aussi la page des chiffres du CCFA   -O.--M.--H.- 8 janvier 2013 à 12:53 (CET)Répondre
mais pas encore de chiffres pour toute l'année 2012, par marque.--88.160.13.244 (d) 8 janvier 2013 à 14:42 (CET)Répondre
Trop tôt à mon avis, sur cette autre page tu as accès aux données par constructeurs pour les trois premiers trimestres de 2012, apparemment les données pour 2011 ont été faites en avril 2012, et celles pour 2010 en juillet 2011, attend encore deux ou trois mois, tu auras celles pour 2012. -O.--M.--H.- 8 janvier 2013 à 16:27 (CET)Répondre

Sans déc'

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Renaud en 2006
 
Le même dans son jeune temps

Bonjour cher Oracle,

dans la chanson Sans déc' de Renaud, il y a la dernière partie de ce couplet que je n'ai jamais compris :

Avec mon frère jumeau on s'ressemble vachement,
Mais faut dire que d'nous deux
C'est lui le plus ressemblant
L'jour d'notre naissance, deux scarabées sont morts,
Dès qu'un enfant rentre dans la vie,
Un vieillard en sort.
Paroles avec la musique (vers la fin)

Tout au long de la chanson, Renaud fait plein de jeux de mots et de détournements de sens, mais celui-là m'échappe... Pourquoi scarabées ? Est-ce aussi un terme d'argot qui désignerait je ne sais quoi, ce n'est pas indiqué sur le wiktionary ?

Merci. --92.154.217.16 (d) 8 janvier 2013 à 12:52 (CET)Répondre

Rien de sûr mais probable que ça fait référence aux Beatles, qu'on appelait familièrement « les Scarabées », rapport aux beetles. -O.--M.--H.- 8 janvier 2013 à 12:55 (CET)Répondre
Oui, mais le premier Beatles à lâcher la rampe, c'est John Lennon décédé en 1980 ! Or Renaud est né en 1952 ! --Serged/ 8 janvier 2013 à 13:24 (CET)Répondre
Certes, mais ça n'est pas vraiment une chanson réaliste, voir le premier couplet :
J´ai un pote qu´est plein d´ fric
Il est musicien.
Il joue d´la guitare électrique
Avec moi sur scène.
Quand il joue trop fort
Il fait du larsen,
Alors j´lui dit tu fait du larsen rupin.
Et voir surtout le refrain :
Sans déc
J´ vous jure qu´c´est vrai les mecs
Croix de bois, croix de fer
Si j´mens j´vais en enfer.
Bref, ne pas trop chercher de rapport entre les paroles et la vérité biographique (en plus, la chanson est sortie en 1979, donc bien avant tout décès de scarabées chantants). -O.--M.--H.- 8 janvier 2013 à 13:44 (CET)Répondre
Un peu plus mystique, le scarbée est signe de résurrection [1] chez les égyptiens. Peut-être une allusion au fait que grâce à lui la vieille musique meurt mais qu'une nouvelle (la sienne bien sûr) va en naître? Mitch-Mitch 8 janvier 2013 à 14:37 (CET)Répondre
Faut pas charrier sur l’exégèse, les mecs. Les scarabées, c’est juste des vieux schnocks, pour amener la chute, point. C’est de l’argot-minute, quoi. Morburre (d) 8 janvier 2013 à 15:50 (CET)Répondre

Ça semble être en hommage à notre Johnny national avec sa chanson Voyage au pays des vivants où il déclare « Le jour de ma naissance un scarabée est mort, je le porte autour de mon cou ! ». D'après ce forum :

« L'origine de cette phrase est due au fait que Johnny avait un collier avec un bijou en forme de scarabée, qu'il l'a perdu mais que quelque temps plus tard, un ami en a trouvé un semblable, au dos duquel était inscrit 15-06-43 (date de naissance de JH). C'est tout bête mais ça a permis d'écrire une phrase dont tout le monde parle encore 43 ans plus tard ! »

Ça me parait l'explication la plus plausible, les deux sont complices, la preuve dans Wanted. En tout cas, merci pour la chanson Sans déc', je ne la connaissais pas : « Alors j´lui dit tu fait du larsen rupin. »   --172.129.46.62 (d) 8 janvier 2013 à 16:22 (CET)Répondre

Les paroles de la chanson (Dès qu'un enfant rentre dans la vie, Un vieillard en sort) éclairent la mention du scarabée. Il s'agit évidemment d'une évocation de la réincaranation et la métempsycose. Le scarabée fait référence à trois œuvres littéraires connues : 1. Le Scarabée d'or d'Edgar Poe, qui passe à travers un crâne symbolisant la mort ; 2. Douce Nuit de Dino Buzzati qui raconte qu'il se passe des choses importantes même quand on croit que tout est paisible ; et 3. La Métamorphose (Die Verwandlung) de Franz Kafka, qui raconte la métamorphose inverse, d'un homme en un insecte. --Rene1596 (d) 8 janvier 2013 à 18:06 (CET)Répondre
Ah yes, merci beaucoup à tous pour vos réponses, je comprends mieux. Bonne soirée. --92.154.217.16 (d) 8 janvier 2013 à 18:41 (CET)Répondre

Le calembour final (le vieil hareng saur) est un classique, voir Récréations littéraires#Perles apocryphes. Cordialement, Biem (d) 8 janvier 2013 à 20:59 (CET)Répondre

C'est un peu comme le vieil Armagnac... Oblomov2 (d) 9 janvier 2013 à 10:38 (CET)Répondre

facebook et twiter ?

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Bonjour, Je voudrais savoir si beaucoup d'entreprises utilisent les réseaux sociaux tel que twiter ou facebook pour leurs commandes. Est ce que c'est assez rare ou est ce que c'est courant ?

Merci

Gérer de commandes via facebook ou twitter me semble assez mal adapté. Il est en effet assez compliqué de récupérer des informations de manière automatique à partir d'une page facebook/twitter. Pour un gros volume de commandes, j'imagine bien que c'est un coup à oublier des commandes... Donc oui, de toutes petites structures peuvent éventuellement utiliser cela ponctuellement, mais dès que l'activité grandit, j'ai des doutes. Mitch-Mitch 8 janvier 2013 à 15:48 (CET)Répondre
Et je me demande comment ils gèrent les paiements dans cette situation ... --Milena (Parle avec moi) 8 janvier 2013 à 17:26 (CET)Répondre
Je me demande la même chose. Tu as des exemples concrets de sociétés qui gèrent leurs ventes sur ces plateformes ? Parce que question confidentialité et sécurité des transactions, c'est nul, donc sauf à vouloir faire de la transparence intégrale, y compris pour les données bancaires, j'imagine mal qu'on puisse faire ça. -O.--M.--H.- 8 janvier 2013 à 18:12 (CET)Répondre
Pour moi, imposible, car les réseaux sociaux ne s'occupent pas des commandes et comme le dit tout les autres, c'est trop risqué, on peut très facilement perde les commandes. Certes, ils utilisent les réseaux sociaux pour leur publicité mais pas pour commande à mon avis. Rome2 (d) 9 janvier 2013 à 09:06 (CET)Répondre
Le seul cas que je connaisse est une radio ( aussi webradio ) dont l'animatrice de l'aprem gère aussi la page FB. Comme ça elle reçoit les demandes de titres, les messages... et les commente en direct. ViZiT (d) 9 janvier 2013 à 16:04 (CET)Répondre

C'est une offre d'emploi de bureau dans un service comptabilité qui demande de connaître les commandes par facebook... c'est pour cette raison que je m'affole.

Merci de ces renseignements.

C’est un peu tard pour répondre, mais certaines pages facebook ont en effet une « application » qui permet de passer des commandes (en redirigeant en fait vers un site marchand), cf http://www.facebook.com/hfthiefaine/app_227015347368842 par exemple. C’est peut-être de ça qu’il s’agissait. rv1729 3 mars 2013 à 14:01 (CET)Répondre

La Mariée morte

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Hello, je viens de tomber sur cet article créé il y a déjà pas mal de temps par une IP et qui me paraît assez suspect : il s'agirait d'un "conte populaire russe du XIXe siècle" qui aurait inspiré Tim Burton pour ses Noces funèbres, mais sans la moindre source - c'est moi qui viens de rajouter les bandeaux - (et apparemment, ce serait plutôt un conte juif qu'un conte russe). Je vois sur Internet que d'autres gens se sont déjà posé cette question des sources, et un un oracle concurrent a répondu que cela semblerait plutôt être un conte littéraire allemand intitulé "La Morte Fiancée" ("die Todtenbraut") d'un dénommé Friedrich Laun (voir de:Gespensterbuch). Ce qui m'étonne, c'est que pas un relecteur ni un bot n'ait pipé mot, tout le monde se contentant d'ajouter paisiblement des catégories et des améliorations cosmétiques. Qu'en penser ? Oblomov2 (d) 8 janvier 2013 à 19:32 (CET)Répondre

Que l'histoire est belle, et bien écrite, que la source supposée donnée dans l'article anglophone sur le film n'est pas plus fiable (livre source introuvable, sauf par son titre dans l'article de WP:EN), que probablement il s'agit à la base d'un conte populaire, tout aussi probablement juif, et que comme tout conte populaire il en existe à coup sûr plusieurs versions, soit par collecte, soit par réécriture littéraire. -O.--M.--H.- 8 janvier 2013 à 20:25 (CET)Répondre
Donc, le texte allemand n’est que la reprise d’un texte anglais, qui est la traduction d’un recueil français : Fantasmagoriana; ou, Recueil d'histoires, d'apparitions, de spectres, revenans, fantômes, etc. Traduit de l'allemand, par un amateur. Traduit de l’allemand ! L’histoire se mord la queue. Où est le conte juif, hum-hum… Ça sent la fabrication littéraire, même anonyme, qui n’a pas grand-chose à voir avec la tradition populaire par voie orale. D’un autre côté il n’y a pas de problèmes de droits. Morburre (d) 8 janvier 2013 à 20:43 (CET) Je n’avais pas vu l’article (pas taper sur les doigts !). Donc ce n’est pas un conte, ça n’en a pas la structure ni le fonctionnement, ça ne rentre pas dans la classification Aarne-Thomson, c’est un récit écrit qui est parti vivre sa vie. À vérifier auprès des Fantasmagories ci-dessus, si ça se trouve (j’aimerais bien le lire). Morburre (d) 8 janvier 2013 à 20:53 (CET)Répondre
Pas sûr que ça ne soit pas un récit traditionnel mais d'une variété qui répond à d'autres normes que le conte, une parabole ou un récit édifiant de type fable ou exemplum. Le fait est que ce genre de récits nous est parvenu par la littérature mais ils font partie de la tradition orale à l'origine. Sinon, il y a quand même le problème des sources. -O.--M.--H.- 8 janvier 2013 à 22:24 (CET)Répondre
Tout est dit dans la page en russe de Wikipedia sur le film de Tim Burton, ru:Труп невесты dans le paragraphe sur la source de cette histoire : Источники и параллели. --Rene1596 (d) 8 janvier 2013 à 23:35 (CET)Répondre
En résumé, l'histoire a déjà été racontée sous des formes un peu différentes par Phlégon (Les merveilles), Goethe (Die Braut von Korinth), Prosper Mérimée (La Vénus d'Ille), Washington Irving, Alexandre Dumas (La Femme au collier de velours). Le paragraphe en russe se termine par le même texte que celui qui se trouve dans la page en anglais sur ce même film, en:Corpse Bride, dans le paragraphe Origins. --Rene1596 (d) 8 janvier 2013 à 23:54 (CET)Répondre
Bref, l’article est à compléter, voire à refaire en y incluant toutes ces informations. Morburre (d) 9 janvier 2013 à 08:15 (CET)Répondre
Merci de toutes ces pistes. En attendant mieux, j'ai recatégorisé assez large et tempéré l'introduction. Ce qui me choquait, c'était surtout de voir cette histoire catégorisée comme "conte russe", alors que ça ne ressemble vraiment pas à un conte russe. Oblomov2 (d) 9 janvier 2013 à 10:41 (CET) (Je me demande si le texte indiqué n'est pas une traduction/adaptation d'une version dans une autre langue).Répondre
On va dire que c’est une légende juive, le site russe donne un lien sur un bouquin en anglais qui mentionne Palestine, 16e siècle. M’est avis qu’il y a un tas de littérature autour de cette histoire. Morburre (d) 10 janvier 2013 à 08:13 (CET) J’ai commencé par dire des bêtises. Je suis en train d’arranger ça.Répondre

L'obélisque de Louxor

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Vous n'avez pas l'impression qu'il manque quelque chose, à droite ? --Bertrouf 10 janvier 2013 à 03:00 (CET)Répondre
 
Girafe de Charles X

Bonsoir, l’obélisque de Louxor a était offerte à la France par Mehmet Ali mais pour quelles raisons ? Il devait y avoir un message à passer, voulait-il juste montré le savoir-faire de ses ouvriers ou bien matérialiser une alliance en faisant ce cadeaux ? Que représente l’obélisque pour les français et pour les égyptiens ? --SashaSmith75016 (d) 8 janvier 2013 à 20:01 (CET)Répondre

Salut. L'Obélisque de la Concorde et son jumeau resté à Louxor furent offerts, comme le précise notre article, « à l'instigation du baron Taylor puis de Jean-François Champollion », donc il ne faut pas chercher d'intention particulière de la part de Méhémet Ali mais bien plutôt des égyptologues et égyptophiles français. À l'époque, les Égyptiens et leurs « protecteurs » ottomans dédaignaient ces vieilles pierres, il s'agissait juste de faire des échanges de cadeaux avec la France en signe d'amitié, et du point de vue égyptien le principal cadeau fut la girafe offerte à Charles X par Méhémet Ali, les obélisques représentant un cadeau secondaire de peu d'intérêt, pour le donateur. L'égyptomanie était à l'époque une maladie européenne, et non pas égyptienne. -O.--M.--H.- 8 janvier 2013 à 20:43 (CET)Répondre
Et selon une tradition bien ancrée, la France aurait offert en retour une superbe horloge... qui n'a jamais fonctionné. Oblomov2 (d) 9 janvier 2013 à 06:02 (CET)Répondre

Si on avait déjà offert à la France la girafe pourquoi ramener l’obélisque ? Et si il y avait un intérêt quelconque pourquoi en avoir ramener qu’une vue que Méhémet Ali en avait offert deux ?--SashaSmith75016 (d) 9 janvier 2013 à 17:30 (CET) C’est dommage qu’on n’ait ramené qu’une obélisque. Avec le mâle (un obélisque), on aurait eu plein de petits. Mais si je me souviens bien (j’étais petit à l’époque), il a déjà fallu fabriquer un bateau spécial, c’était pas simple. Morburre (d) 9 janvier 2013 à 17:41 (CET) N’aurait-il pas était possible de se servir du même ? Et même pourquoi avoir ressenti le besoin de les amener ? Et une foi en France pourquoi l’avoir installé sur la place de la concorde ? Dans l’article il est écrit « Le choix d'un monument totalement étranger à l'histoire nationale était destiné à empêcher les querelles de mémoire et les tentatives d'appropriation de ce haut lieu de la Révolution française par telle ou telle faction. » je ne suis pas sûr de bien comprendreRépondre

Ben oui, on voulait éviter des symboles tels que la fleur de lys ou la statue de Napoléon par exemple. L'obélisque, ça ne dérangeait personne. Oblomov2 (d) 9 janvier 2013 à 20:01 (CET)Répondre
Effectivement, la place de la concorde a été le lieu, entre autres exécutions, de celle de Louis XVI. Et lors du règne de Charles X, sous la Restauration, la place fut brièvement renommée place Louis XVI et il y eut un projet de statue à la mémoire de ce dernier. Projet auquel la révolution de juillet 1830 puis l'obélisque, mirent fin. Il fut décidé d'y placer ce symbole car il était apolitique et correspondait bien à l'égyptomanie en vogue à l'époque. --JoleK (d) 9 janvier 2013 à 20:27 (CET)Répondre

Donc sur la place de la concorde il était plus approprié de placer l’obélisque plutôt qu’autre chose , mais on aurait pu le mettre n’importe où il n’y a pas de sens spéciale c’est ça ?

Oui, c'est cela. Si l'on tient vraiment à y donner un sens, ça pourrait être qu'on a préféré oublier, peut-être parce que cela déchirait le pays, que cette place fut un des grands lieux révolutionnaires, en particulier de la Terreur et de l'exécution de Louis XVI. --JoleK (d) 9 janvier 2013 à 21:10 (CET)Répondre

Okey et merci pour les raiponces:réponse (je suis en progression ):p

CQui (d) Et on avait pas de musée au toit assez haut pour l'y ranger... Quand au second, un fois la facture du transport du premier reçue... --16 janvier 2013 à 16:20 (CET)Répondre

c'est vrai que ça a pas dû etre donné —_—

toilettes bouchées par un couteau

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Couteau sans lame, auquel manque le manche (Lichtenberg)

Bonjour à tous,

Je souhaite vous faire part d'un problème de plomberie/tuyauterie auquel je suis confronté: j'ai un couteau de cuisine ( manche en plastique, lame en inox) bloqué au fond du tuyau se terminant par un coude dans mes toilettes...expliquer comment il est arrivé là serait une trop longue histoire; Il bloque les déchets et au bout de quelques jours, mes toilettes se bouchent. J'arrive à déboucher les toilettes en évacuant les déchets mais le couteau reste et le phénomène de "toilettes bouchées" recommence encore et encore. Auriez vous un solution à me proposer ? Merci pour l'attention portée à ce message et merci pour une éventuelle solution proposée. A bientot,

Oui, appelé le plombier au pire, après je sais pas. Rome2 (d) 8 janvier 2013 à 22:36 (CET)Répondre
… après le plombier, appeler un psy pour ne pas avoir contacté un plombier plus tôt. — Hautbois [canqueter] 8 janvier 2013 à 23:12 (CET)Répondre
… Ou alors, profiter de la présence du plombier pour procéder à un grand nettoyage des boyaux de la tête   -O.--M.--H.- 9 janvier 2013 à 06:41 (CET)Répondre
Et si vous n'avez pas l'argent pour payer un pro qui démonte la tuyauterie... lame inox = aller à la pêche avec un aimant ? Fixé assez solidement à la ligne pour ne pas le perdre à son tour  . Bertrouf 9 janvier 2013 à 06:47 (CET)Répondre
En attendant, prendre des laxatifs. Morburre (d) 9 janvier 2013 à 08:11 (CET)Répondre
Le couteau doit être coincé à mort de toutes manières, j'imagine qu'avec la pression de ce qu'on appelle pudiquement "les déchets", la lame a dû s'incruster dans le PVC (autrement, il aurait bougé tout seul depuis longtemps). Si le coup de l'aimant marchait, de toutes manières, pas besoin d'aller à la pêche, il suffirait de déplacer l'aimant le long du tuyau (beaucoup plus facile s'il s'agit d'un électro-aimant). Mais bon, je ne vois pas à quelle réponse notre poseur de question s'attendait. Arnaudus (d) 9 janvier 2013 à 10:45 (CET)Répondre
On trouve (sur certains sites des webcam endoscope pour pas trop cher. Perso j'utiliserai un truc de ce style, fixé à un fil de fer assez rigide pour dans un premier temps explorer le tuyau, puis avec un second fil de fer repêcher le couteau (j'ai dit repêcher hein! et pas pousser un peu plus loin  ). Mitch-Mitch 9 janvier 2013 à 09:16 (CET)Répondre
Les aciers inoxydables se répartissent en différentes catégories, selon les propriétés qui intéressent l'utilisateur. Celles utilisées pour les couteaux de cuisine sont généralement amagnétiques. Seuls les couteaux très tranchants genre "couteaux de marins" sont en inox très dur pratiquement sans nickel et donc susceptibles d'être attirés par un aimant. Démonter les toilettes devrait permettre de récupérer le couteau sans trop de main d'oeuvre, car il est probable qu'il se soit arrêté au premier coude de tuyau. Rigolithe 9 janvier 2013 à 14:04 (CET)Répondre
bonjour, la bonne vieille mécanique marche bien: une pince flexible ViZiT (d) 9 janvier 2013 à 15:53 (CET)Répondre

la page Wikipedia sur le hamburger

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Ça donne faim. Bertrouf 10 janvier 2013 à 02:46 (CET)Répondre

Bonsoir Wikipédiens.

De toute évidence , je suis un nouveau parmi vous.

Je me suis permis d'ajouter des anecdotes sur la page hamburger afin de compléter les informations sur le sujet que j'ai trouvé dans d'autres pages de l'encyclopédie Wikipedia.

j'aimerais être un contributeur des plus efficient et espère que je n'ai pas outrepasser mes attributions .

Vous remerciant de votre écoute et j'ai hâte de vous lire.

--Serge Bolduc 8 janvier 2013 à 23:46 (CET)--Serge Bolduc 8 janvier 2013 à 23:46 (CET)--Serge Bolduc 8 janvier 2013 à 23:46 (CET)--Serge Bolduc 8 janvier 2013 à 23:46 (CET)

Bonjour Sergius14 (d · c · b). Rassurez-vous, vous n'avez pas outrepassé vos attribution, « N'hésitez pas! » est, en effet, une des premières recommandations. Cependant, votre apport à Hamburger (d · h · j · ) a été effacé par un autre contributeur qui ne semble pas l'avoir jugé pertinent. Rien de grave. Si vous avez des 'sources' reconnues, n'hésitez pas à réintroduire les informations ou en discuter avec celui qui effacé votre apport (lire Aide:Présentez vos sources, Aide:Discussion et Aide:Historique). Il faut du temps pour se faire à la manière dont Wikipédia fonctionne. C'est normal. Bonnes contributions. -- Xofc [me contacter] 9 janvier 2013 à 06:40 (CET)Répondre
Remarquez que la question n'est pas 'encyclopédique'. Elle aurait plus sa place sur WP:QT ou plutôt sur WP:Forum des nouveaux. -- Xofc [me contacter] 9 janvier 2013 à 06:46 (CET)Répondre

énigme

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Blocs en rangée;

Patricia joue aux blocs dans sa chambre. Elle décide d'empiler tous les blocs de sorte que chaque rangée compte un bloc de moins que la rangée précédente. Patricia a 55 blocs en tout et elle veut terminer avec un seul bloc au sommet. Combien de blocs doit-elle placer sur la première rangée?

Merci JOJO.
¹⁰, et on n'en parle plus. — Hautbois [canqueter] 9 janvier 2013 à 04:37 (CET)Répondre
Faut prendre ton problème dans l'autre sens : en haut, un cube, en-dessous, deux, en-dessous, trois, etc., tu additionnes tes cubes (1+2+3+4+5+…) et à un moment tu auras, ou n'auras pas, un total de 55, du coup tu sauras combien il y en a à la base. -O.--M.--H.- 9 janvier 2013 à 06:48 (CET)Répondre
Carl Friedrich Gauss aurait étonné son instituteur en calculant très vite la somme des nombres de 1 à 100... (qu'il avait reçu comme punition). -- Xofc [me contacter] 9 janvier 2013 à 06:55 (CET)Répondre
Question bizarrement posée. Et ou est le modèle devoir ? Ah le voilà. Bertrouf 9 janvier 2013 à 06:58 (CET) 9+10+11+12+13 = 55Répondre
  Le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Bonne chance dans ta recherche…

26+27 = 55 Ou alors il faut faire découvrir les factorielles à Jojo. Bertrouf 9 janvier 2013 à 07:12 EDIT: Pas des factorielles, qui sont des multiplications, mais plutôt les séries. Bertrouf 14 janvier 2013 à 14:45 (CET) (CET) 10+9+8+7+6+5+4+3+2+1 = 55 J'ai failli te le dire mais c'est mieux que tu corriges toi même, cordialement --Epsilon0 ε0 14 janvier 2013 à 22:47 (CET) Répondre

1. prouver par récurrence que la somme des entiers de 1 à n est n*(n+1)/2 2. résoudre l'équation n*(n+1)/2 = 55. Le résultat n'est pas dit. --Epsilon0 ε0 9 janvier 2013 à 07:36 (CET)Répondre
Heureusement que j'ai abandonné les maths  . Rome2 (d) 9 janvier 2013 à 08:57 (CET)Répondre
On peut aussi faire l'éxpérience avec 55 cubes (ou sucres, ou autre) et donc montrer un résultat. Et puis ca permet de s'amuser un peu! Mitch-Mitch 9 janvier 2013 à 12:55 (CET)Répondre
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6789512345
12345678910
Il faut 10 cubes sur la premiere ligne. CQui (d) qui s'est bien amusé le 16 janvier 2013 à 16:09 (CET)Répondre

étymologie du nom Aljubarrota

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Je voudrais savoir si quelqu'un s'est intéressé à l'étymologie (vraisemblablement arabe) du nom de lieu Aljubarrota Merci

Peut-être poser la question sur l'Oracle portugais ? --Serged/ 9 janvier 2013 à 08:17 (CET)Répondre
Selon nos collègues Teutons, "le nom est probablement d'origine arabe et remonte à l'occupation de plusieurs siècles par les Maures. Cela signifie pâturage ouvert. Cela pourrait aussi être une déformation de l'arabe Aljobbe (puits ou citerne)" (selon les Portugais). Oblomov2 (d) 9 janvier 2013 à 14:21 (CET)Répondre

Géométrie

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Bonjour. Dans une énigme de géocaching, il faut localiser un lieu en écoutant les cloches de 3 églises (A, B, C géolocalisées)... On entend la cloche B, T1 secondes après A et C, T2 secondes après A. La vitesse du son est de... et les horloges sont parfaitement synchronisées. J'arrive à résoudre le problème de manière graphique et de manière numérique, par approximations successives (numériquement par Pythagore) en utilisant les coordonnées Lambert. Mais, la question que je me pose est plus générale (et probablement triviale?  ) : quel est le lieu des points dont la distance euclidienne à un point B est égale à leur distance à un point A plus une constante? D'avance merci. -- Xofc [me contacter] 10 janvier 2013 à 06:54 (CET)Répondre

A l'intersection de deux sphères (si on fait abstractions des reverbérations), et si tu rajoutes la sphère terrestre, ca doit te donner plus que 2 points. La première sphère a pour dimension v x T1 et la seconde v x T2 (avec v la vitesse du son dans l'air). Skiff (d) 10 janvier 2013 à 08:15 (CET)Répondre
Non, non, je ne connais pas la distance au premier point. Par exemple, je suis à 1 km de A et à 1.2 km de B, puis à 2 km de A et 2.2 km de B, puis ... Je parcours un chemin où je suis constamment 200 mètres plus loin de B que de A. Quelle est la forme de ce chemin? Est-ce que ça a un nom, des propriétés,... (serait-ce (bien) une conique?) -- Xofc [me contacter] 10 janvier 2013 à 08:45 (CET)Répondre
Je ne suis pas un pro en géométrie... mais non, ça n’est pas une conique. Je ne sais pas si ça a un nom. Oh, ou bien si, tiens, c’est une portion d’hyperbole (seulement une des deux branches). Cf Hyperbole (mathématiques)#Définition bifocale de l'hyperbole. Je vais coiffer mon bonnet d’âne. rv 10 janvier 2013 à 09:37 (CET) Comment ai-je pu louper ça ?
 
Hyperbole |d2-d1| = s*c , B1 correspond au point A, B2 au point B, s au nombre de secondes T1 entre les deux cloches, c à la vitesse du son dans l'air, environ 340 m/s. Puis la même avec respectivement B1 = A, B2 = C et s = T2. (ignorer l'autre branche) Bertrouf 11 janvier 2013 à 03:25 (CET)Répondre
Cela marche uniquement si le distance entre A et B est supérieure ou égale à 200m. Cas particulier où la distance AB = 200m : la branche de l'hyperbole dégénère en une demi-droite d'origine A, de direction (AB) et ne passant pas par B. Blue [ -02- ] 10 janvier 2013 à 13:20 (CET)Répondre
Sans garantie, mais voilà mes idées :
  • On va noter P le point qui satisfait à tes exigences. Il s'agit de trouver P, sachant que AP = x (on ignore le temps que met le son à venir de A) ; BP = x + T1 et CP = x + T2. En connaissant les coordonnées de A, B et C (par exemple (xA;yA) , (xB;yB) et (xC;yC) ) et idem en notant celles de P (xP;yP) on peut écrire les 3 équations :
  • AP=x
  • BP = x + T1
  • CP = x + T2
Les inconnues étant x, xP et yP (3 éqn // 3 inconnues) on devrait d'en sortir.Ca devrait marcher à condition qu'on fasse l'approximation de se situer en géométrie plane, ce qui n'est pas forcément garanti
Mitch-Mitch 10 janvier 2013 à 11:19 (CET)Répondre
Et graphiquement sur une carte, on sait où est A, on sait où est B donc on sait tracer le lieu des points qui correspondent à l'hyperbole. Idem avec A et C. Graphiquement, on est situé sur la carte à l'intersection des deux courbes. Sauf cas particuliers (églises trop proches, églises alignées...), intersection unique. Belle résolution. Reste à savoir tracer les deux hyperboles sur une carte pendant la course d'orientation. Bertrouf 11 janvier 2013 à 03:25 (CET)Répondre
Si c'est pendant une course d'orientation, on peut sans-doute utiliser les asymptotes en première approximation pour déterminer l'intersection. Blue [ -02- ] 11 janvier 2013 à 09:54 (CET)Répondre

Merci à tous.  :-) -- Xofc [me contacter] 13 janvier 2013 à 17:50 (CET)Répondre

Reconstitution de signal

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Bonjour,

J'ai des relevés d'un signal que je souhaite reconstituer (et retrouver ses maximas). J'ai des relevés de températures 1 tous les x heures et je souhaite estimer la température maxi et mini dans la journée. Il doit exister des méthodes pour les déterminer. Quelles sont elles? Skiff (d) 10 janvier 2013 à 08:11 (CET)Répondre

Voir, peut-être 'Interpolation polynomiale'? -- Xofc [me contacter] 10 janvier 2013 à 08:52 (CET)Répondre
Si x = 1/12, soit un relevé toutes les cinq minutes, prendre le max et le min des relevés doit suffire amplement sans se casser la tête (et même si x = 1). Plus x est grand, plus il faut injecter d’information dans la construction du modèle. Mon premier mouvement serait de me tourner vers une transformée de Fourier pour « reconstituer » un signal sur toute la période. rv 10 janvier 2013 à 09:28 (CET)
En fait, ce sont des relevés météo. J'ai deux périodes: la première l'échantillonnage est 1 mesure/3h et l'autre 1/h. !!!!!!!Pour l'interpolation polynomiale, j'ai des doutes car j'ai un phénomène plutôt sinusoïdal. Je vais aller voir la transformée de Fourier. Skiff (d) 10 janvier 2013 à 11:55 (CET)Répondre
Si tu utilises R, je dois avoir un truc tout fait qui traîne quelque part. rv 10 janvier 2013 à 12:13 (CET)
Si tu as un truc qui traine quelque part, je vais me mettre à R, vu que c'est un logiciel gratuit. Au passage, l'article sur la transformée de Fourier est pleine d'intégrales, j'ai pas l'impression que ce soit adapté à de l'échantillonage discret. Skiff (d) 10 janvier 2013 à 16:10 (CET)Répondre
La possibilité de reconstituer un signal proprement à partir d'un échantillonnage suppose la connaissance d'une caractéristique du signal. En général, on essaye de satisfaire au théorème de Shannon, qui indique aussi comment interpoler si le critère est satisfait. Rigolithe 10 janvier 2013 à 21:12 (CET)Répondre

Voilà un bout de code. Sur le jeu de données que je simule ça n’est pas spectaculaire (à l’œil on dirait une interpolation linéaire) mais peut-être que sur tes données ça peut devenir intéressant. Tu auras sans doute intérêt à prendre N plus petit que L/2 (N de l'ordre de grandeur du nombre de jours, typiquement), ça ne passera alors plus exactement par les points mais ça sera plus lisse. Suite en pdd, peut-être. rv1729 10 janvier 2013 à 22:26 (CET)Répondre

# création d'un jeu de données « pipo » pour illustrer
# on superpose une sinusoïde (période 24 h) avec un bruit autocorrélé
# échantillonage toutes les trois heures pendant 10 jours

L <- 80  

bruit <- numeric(L)
r <- rnorm(L, sd = 0.5)
for(i in 2:length(bruit)) bruit[i] <- 0.8*bruit[i-1] + r[i]

x <- 15+8*sin( (1:L)*pi/8 ) + bruit;

# fourier transform

ft <- fft(x)

# création fonction
N <- floor(L/2);       # pour faire un filtre passe-bas, prendre N plus petit
I <- 2i*pi*c(0:N)/L;
C <- ft[1]/L;
C <- c(C,2*ft[2:(1+N)]/L);
F <- function(t) Re(colSums(C*exp(outer(I,t))));

# démonstration graphique
plot(0:(L-1), x, pch=19)
 
t <- seq(0,L-1, length=1001)
lines(t, F(t))

Merci, rv. Il va me falloir un peu de temps pour digérer tout ça, car j'ai des connaissances quasi nulle dans le dommaine. Skiff (d) 11 janvier 2013 à 06:29 (CET)Répondre

Tu peux appliquer tel quel, tu remplaces x par un vecteur contenant tes mesures, et tu fais L <- length(x). Et tu tâtonnes pour trouver la valeur de N qui à l’œil te satisfait le plus. Si ça n’est pas pour une publication scientifique mais pour tes loisirs, ça devrait suffire... le plus pénible ça va être d’apprendre assez de R pour charger tes données et récupérer ensuite ce que tu veux. rv 11 janvier 2013 à 08:53 (CET)

Courriels qui arrivent en retard ?

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Bonjour les wikistes. Presque tout est dans la question. Est-ce que cela arrive parfois que des mails arrivent en retard ? J'ai l'impression que cela m'arrive. D'autres personnes m'en ont parlé. Les questions : 1) Est-ce réel ? 2) Si c'est le cas, de quoi cela peut-il venir (FAI, messageries ou l'internet lui-même ?) 3) Pouvons-nous y faire quelque chose ? Je vous remercie pour votre attention. --Joël DESHAIES (d) 10 janvier 2013 à 13:59 (CET)Répondre

Oui, c'est possible, et c'est alors la faute aux serveurs mails. Et on ne peux rien y faire, sinon râler :) Zandr4[Kupopo ?] 10 janvier 2013 à 15:47 (CET)Répondre
En retard de combien ? Il est parfois possible que certains mail soient retenus quelques heures à cause de la lutte anti-spam. Il est possible également que le serveur récepteur soit indisponible quelques temps, auquel cas le serveur expéditeur recommence quelques heures après. --Serged/ 10 janvier 2013 à 16:52 (CET)Répondre

Je pense à des retards qui se comptent en jours ou en semaines.--Joël DESHAIES (d) 10 janvier 2013 à 17:17 (CET)Répondre

En heures, parfois sur un ou deux jours ça arrive (problème du serveur, saturation de la boîte de transfert de l'émetteur...), en semaines je ne crois pas que ça soit possible, sauf si l'émetteur a un problème d'émission depuis son poste de travail, par exemple le logiciel qui s'est mis en hors ligne. -O.--M.--H.- 10 janvier 2013 à 17:59 (CET)Répondre
Éventuellement, faire un envoi avec accusé de réception, pour avoir une estimation du moment de réception ou de lecture. --JoleK (d) 10 janvier 2013 à 18:40 (CET)Répondre
(voix chevrotante) Il y a 20 ans, ça arrivait. Mais on avait à intervalles réguliers un message nous disant que le serveur n’avait pas pu être joint, et qu’on patiente, « ça » continuait à essayer... de nos jours franchement des gros retards sans message d’erreur, c’est rare. rv1729 10 janvier 2013 à 21:54 (CET)Répondre
J'ai paramétré mon serveur avec 1# taille maxi de l'e-mail (10Mo) 2# un nombre de secondes d'ouverture du transfert (de l'ordre de 15 secondes), puis si le transfert a échoué (par exemple connexion du serveur récepteur coupée ou connexion trop lente malgré la limite de taille (vive la Chine)), 3# attente d'un certain nombre de minutes (de l'ordre de 20 minutes) puis nouvelle tentative. Et enfin j'ai défini 4# un nombre de jours pendant lequel on répète l'opération (j'ai 4 jours) avant d'expédier un avis de non-réception à l'expéditeur. Idem en expédition. Les admins réseaux de ma connaissance règlent tous leur nombre de jours de 2 à 5.
Si vous avez des retards de l'ordre de la semaine, voyez plutôt si vous n'avez pas des problèmes avec votre anti-SPAM. Les e-mails peuvent être placés en quarantaine (expéditeur sur liste grise), et être libérés aléatoirement lorsque l'expéditeur sort de la liste grise. Bertrouf 11 janvier 2013 à 03:42 (CET)Répondre
Si vous avez des retards de l'ordre de la semaine, on me chuchote un truc : glissez votre message imprimé dans une enveloppe avec indication du destinataire, collez-y une vignette postale et glissez le tout dans une boîte aux lettres, ça marche encore assez bien. Oblomov2 (d) 11 janvier 2013 à 08:32 (CET)Répondre

Limitation de vitesse sur les autoroutes hollandaises

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Bonjour,

Le texte de l'article Limitations de vitesse aux Pays-Bas dit que la vitesse sur autoroute est limitée à 130 km/h. Mais il y a une photo d'un panneau de limitations de vitesse à l'entrée des Pays-Bas qui indique 120 km/h.

Qui a raison ? Odejea (♫♪) 10 janvier 2013 à 20:16 (CET)Répondre

La page néerlandaise « Lijst van maximumsnelheden », qui correspond à « Vitesse maximale autorisée sur route », donne elle aussi une vitesse maxi de 130 km/h, valeur confirmée dans la page sur les autoroutes, partie « Maximum- en adviessnelheden » (« vitesses maximum et conseillées »), où on indique qu'aux Pays-Bas c'est 130 km/h, par contre en Belgique c'est 120, possible confusion avec un panneau flamand. -O.--M.--H.- 11 janvier 2013 à 04:25 (CET)Répondre

Cyrano de Bergerac: Ballade du duel

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La coquille d'une épée qui, frappée, peut tintinnabuler.

Bonjour - j'ai tenté de traduire la ballade du duel par Edmond Rostand, mais il y a des verses et des mots je ne comprend pas, et je demande de l'aide.

  1. "... sous votre bleu cordon?" - est-ce que Valvert porte un cordon bleu pour enjolivure, ou est-ce qu'il y a une acception plus specifique?
  2. "Les coquilles tintent, ding-don!" - qu'est-ce que sont les "coquilles" ici?
  3. "Ma pointe voltige: une mouche! ... Décidement... c'est au bedon," - Cyrano prétend de voire une mouche à l'abdomen de Valvert, est-ce que correcte? Mais qu'est-ce que signifie "ma pointe voltige" dans ce contexte?
  4. "Vous espériez me faire don," - pourquoi le subjonctif, et qu'est-ce que c'est "don" ici?
  5. "je quarte du pied"... je ne le comprend pas. Quest-ce que c'est ce verbe? quarter?

Je vous remercie d'avance. --KnightMove (d) 11 janvier 2013 à 01:05 (CET)Répondre

Salut et bon courage  
  1. Comme l'indique notre article, « cordon bleu était, sous l’Ancien Régime, le surnom donné aux chevaliers de l’ordre du Saint-Esprit », tu peux le traduire littéralement ou chercher une équivalence (par exemple, surnom donné au plus haut ordre honorifique du principal pays dans ta langue de traduction au XVIIe siècle) ;
  2. (petit oubli, réponse ci-dessous par Bertrouf)
  3. Selon moi, la mouche est la pointe elle-même, qui va se poser sur le bedon « à la fin de l'envoi », donc il faut lire « ma pointe voltige comme une mouche » avec élision de « comme » - à mettre aussi en rapport, je pense, avec le sens figurer de moucher, « dire son fait à quelqu'un », « remettre quelqu'un à sa place » ;
  4. « Don » est en lien avec le vers précédent, « vous espériez me faire don de la pointe que je pare » ; sinon, le verbe n'est pas au subjonctif présent mais à l'imparfait de l'indicatif (voir cette page) ;
  5. Une liberté poétique : le verbe n'existe pas, il me semble, mais vaut ici pour l'expression « faire une quarte ».
Et voilà. -O.--M.--H.- 11 janvier 2013 à 04:08 (CET)Répondre
KnightMove (d · c · b) est germanophone, je peux imaginer que du Rostand soit un peu difficile à comprendre. Un don, c'est un cadeau. Parer, c'est éviter. Voltiger, c'est voler (comme un mouche). Les coquilles, c'est une allusion aux clochettes des hommes. Bertrouf 11 janvier 2013 à 05:11 (CET)Ca m'étonnais aussi. Bertrouf 11 janvier 2013 à 08:25 (CET)Répondre
Ah ouais, désolé, mal lu, j'avais compris « qu'est-ce que fait "don" » et non « qu'est-ce que c'est "don" ». -O.--M.--H.- 11 janvier 2013 à 05:38 (CET)Répondre
Interview d'Edmond Rostand par André Arnyvelde, publiée par Les Annales, le 9 mars 1913 et puis voilà. Voir la garde. — Hautbois [canqueter] 11 janvier 2013 à 05:50 (CET)Répondre
Sur le (3), la pointe du fleuret est comparée à une mouche qui voltige (à toute vitesse et on ne la voit pas passer, on ne peut pas l'attraper), le rapprochement des deux mots est plaisant parce que en escrime, la "pointe" s'oppose à la "mouche" du fleuret wikt:moucheté (d'exercice). Sous-entendu de Cyrano : pour l'instant je ne cherche pas à toucher, je ne fais que ma poésie, et ma pointe n'est donc qu'une mouche inoffensive, mais "à la fin de l'envoi je touche". Biem (d) 11 janvier 2013 à 08:36 (CET)Répondre
Et aussi, à rapprocher de l'expression « faire mouche », donc toucher, qui provient du terme évoqué par Biem. En fait et sans vouloir te décourager, le problème général de la poésie, encore plus aigu pour le Cyrano de Bergerac de Rostand, est sa polysémie plus marquée que celle de la langue ordinaire. La « Ballade du duel » est pleine de sous-entendus, de doubles sens, de métaphores filées, d'expressions « défigées » (des expressions figées réactivées, qui à la fois reprennent leur plein sens et en trouvent un nouveau), bref, bon courage encore mais je crains que la traduction de cette ballade ne rende pas bien l'original, il vaudrait mieux essayer des transpositions (comme celle proposée pour « cordon bleu ») que proprement une traduction. -O.--M.--H.- 11 janvier 2013 à 08:59 (CET)Répondre

Merci à vous. Une plusieurs question: "Je fais lentement l'abandon Du grand manteau qui me calfeutre..." - je comprend les mots, mais qu`est-ce que l´acception? Est-ce que c'est une louange à la qualité du manteau? Veut-il exprimer qu´il a besoin de plus air pour respirer? Les deux? Autre chose? --KnightMove (d) 11 janvier 2013 à 18:40 (CET)Répondre

(Hallo - Guten abend...) Pour moi, il s'agit simplement de dire qu'il quitte son manteau pour être plus à l'aise dans le duel. "Qui me calfeutre" signifie que le manteau lui tient chaud, donc qu'on est plutôt en hivers s'il faut le prendre au pied de la lettre, mais c'est tout ; et "calfeutre" étant surtout appelé par la rime à "feutre" il ne faut pas y voir trop d'allusions. A mon avis du moins. Cordialement, Biem (d) 11 janvier 2013 à 19:13 (CET)Répondre
Normalement, on dit "calfeutrer (une pièce, une ouverture)" ou "se calfeutrer (chez soi)", c'est-à-dire s'enfermer bien au chaud. En donnant à "calfeutrer" un complément d'objet direct animé (humain), Rostand tire un peu sur la syntaxe et la sémantique, ce qui donne à la phrase une tournure inattendue et intéressante, légèrement humoristique. C'est ce que font les poètes en général, il ne faut pas chercher à analyser ce genre de textes de manière totalement rationnelle : ce n'est pas le mode d'emploi d'un téléphone portable ! Oblomov2 (d) 12 janvier 2013 à 08:08 (CET)Répondre

Suivant une discussion émotionelle, inattendument j'ai encore deux questions (je promets, ce sont les dernières):

  1. "Agile comme Scaramouche" - de nos jours on est habitué á associer ce nom avec un héros d'épée, mais le roman fondant a été écrit plus tard. Est-ce que c'est "Scaramouche" le type de la commedia dell'arte, et fait-il référence aux movements rapides des acteurs? Pourrait le Scaramouche être substitué par l'Arlequin avec la même acception, négligant le rime?
  2. "t!" - Prince est un titre plus haut que celui de Valvert, et il ne paraît insultant. Est-ce qu'il est ironie? Mais avec quelle connotation? Ou veut Cyrano exprimer quelque chose comme "noble arrogant", et le titre lui est égal?

--KnightMove (d) 12 janvier 2013 à 11:53 (CET)Répondre

1. Peut-être le condottiere Scaramuccia da Forlì ?
2. C’est une ballade. Dans l’envoi d’une ballade, on s’adresse au commanditaire, et le plus fréquemment, au « prince des poètes ». Ici c’est évidemment très ironique que d’appeler son adversaire « prince », mais c’est également dicté par la forme. rv1729 12 janvier 2013 à 14:25 (CET)Répondre
CQui (d) Pour quatre, il me semble qu'il y avait des position numerotées, comme en danse classique, et quatrer serait se mettre en position No 4. Pour la mouche, je pense que c'est a lire a faire mouche et justement a ce moment il semble en position de toucher l'adversaire mais se reprend parce que c'est a la fin de l'envoi (que) je touche et qu'il lui manque une rime. --16 janvier 2013 à 15:01 (CET)
CQui (d) Scaramouche, comme quatre, c'est une position ou une suite de gestes, une passe me semble-t-il. --16 janvier 2013 à 15:28 (CET)Répondre

Anachronisme - Un terme similaire pour les aberrations spatiales ?

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Lorsqu'on parle d'un concept ou d'un objet inexistant à un moment donné on parle d'Anachronisme. Existe t-il en français un terme similaire pour les aberrations spatiales ?
Merci d'avance ! Kyro me parler le 11 janvier 2013 à 02:03 (CET)Répondre

Salut. Mirage ? -O.--M.--H.- 11 janvier 2013 à 04:10 (CET)Répondre
On peut construire Anaquité à partir d'ubiquité, mais ça n'existe pas. Sinon, à partir de la physique quantique, on peut trouver le principe de localité, avec le paradoxe EPR et autre intrication quantique. Bertrouf 11 janvier 2013 à 05:27 (CET)Répondre
Il y a l'anachorisme, que je viens d'inventer. Oblomov2 (d) 11 janvier 2013 à 08:37 (CET)Répondre
Un OOPArt ? Blue [ -02- ] 11 janvier 2013 à 13:12 (CET)Répondre
Anatopisme ? Ce mot n'est habituellement pas connu pour l'idée suggérée par ta question mais cela semble arriver (même sur Wikipédia  ). --Agamitsudo (d) 11 janvier 2013 à 19:38 (CET) (au passage merci quand même pour un de tes avis récents, exprimé légèrement anachroniquement).Répondre

Toúla Limnéos

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Bonjour. J'aurais voulu compléter cet article car la compagnie de Toula Limnéos a reçu en 2012 le Prix George Tabori qui est un important prix allemand. Mais ce que j'ai deviné (je ne parle pas allemand), il y a quelques jours de liens trouvés sur GG m'indiquait qu'il y a eu une contestation pour l'attribution du prix et si j'ai bien compris le retrait du jury. Malheureusement, je ne parviens plus à retrouver cette information aujourd'hui (je ne dois pas utiliser les bons termes allemands pour la recherche). Une pythie pourrait-elle m'aider à trouver les sources correctes et expliquer ce qui s'est passé ? Merci déjà, Égoïté (d) 11 janvier 2013 à 10:06 (CET) P.S. L'annonce se trouve sur le site de la compagnie comme point de départ des recherches...Répondre

Je suppose que c'est ce lien que tu avais lu. Par contre, la controverse ne semble pas récente et aurait eu lieu en mars 2012. Elle ne concernerait que le mode d'attribution par le jury (mais mon allemand n'est pas très brillant non plus). --Agamitsudo (d) 11 janvier 2013 à 19:55 (CET)Répondre
Effectivement cela date de début 2012, mais je n'en ai eu connaissance, incidemment, que ce mois-ci. Merci pour ta recherche Agamitsudo. Mais ce n'est pas encore ce site-là que j'ai vu, parmi d'autres. J'avais trouvé, notamment un communiqué de presse du jury qui (me semblait-il toujours avec l'aide de GG traduction, donc...) expliquait pourquoi il se retirait et sur le même site l'annonce officielle du prix à la cie Toula Limnéos. Je m'en veux de n'avoir pas pris note des adresses mais j'en avais parcouru au moins une vingtaine pour essayer de comprendre, il était tard, j'étais lasse, etc. Vu les x recherches que je fais par jour, il est illusoire de retrouver cela dans l'historique de mes consultations GG ! Je m'en veux vraiment mais ce qui est fait est fait... J'espère donc que d'autres que toi seront intéressés par le sujet. Il va de soi que je peux faire mention du prix sur WP mais la logique voudrait le contexte, puisqu'il y a eu problème, et sources... Amclt, Égoïté (d) 12 janvier 2013 à 00:43 (CET)Répondre
CQui (d) Essayer de ce coté trouve apres une recherche sur "george tabori preis" März 2012 --16 janvier 2013 à 14:25 (CET)Répondre
CQui (d) J'ai compris que les membres du jury n'arrivaient pas a se departager et ont suggeré d'avoir 3 ex aequo mais cela a ete refusé --16 janvier 2013 à 14:35 (CET)Répondre

Nathalie Wood

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WP en ne donne pas davantage que WP fr des informations sur la formation de cette actrice. Une pythie aurait-elle davantage d'information ? Nathalie Wood aurait-elle suivi ou non des cours de danse ? Je me pose la question après avoir revu ce soir West Side Story (film), avec beaucoup de plaisir mais un esprit nettement plus critique qu'il y a... près de 40 ans. Merci pour vos réponses, Égoïté (d) 12 janvier 2013 à 01:51 (CET)Répondre

En toute hypothèse non, ou rien de très poussé : tu peux le voir dans son article et mieux encore dans sa bio sur Allociné, en 1960 elle a déjà une carrière de comédienne presque aussi longue que sa vie et ininterrompue depuis 1947. Entre son travail d'actrice (20 films de 1947 à 1960 !) et sa vie d'enfant, peu de chances qu'elle ait eu l'opportunité de faire un apprentissage approfondi en danse - ni en chant d'ailleurs, on peut trouver des séquences du film Gypsy où elle est censée faire les deux, et où l'on peut voir que, disons qu'elle bouge à-peu-près en rythme, sans plus, et regretter, pour le chant, qu'elle ne soit pas doublée comme dans West Side Story... -O.--M.--H.- 12 janvier 2013 à 02:32 (CET)Répondre
Il n'y a pas de 'h' à Natalie Wood. Quel esprit critique?!? (Serait-ce le petit côté Bisounours par rapport aux guerres de gangs actuelles dans Bruxelles?; ou le côté ringard de Mad Max par rapport à ce qui se passe, aujourd'hui, dans le centre de Liège la nuit?...  ) -- Xofc [me contacter] 12 janvier 2013 à 08:02 (CET)Répondre
D'une façon générale, Alexandre Vialatte a consacré une partie de son existence à combattre le h superfétatoire dans Natalie. Oblomov2 (d) 12 janvier 2013 à 09:00 (CET)Répondre
Navrée d'avoir estropié ce prénom... Merci à Olivier pour sa réponse qui conforte ce que je pensais. Amclt, Égoïté (d) 12 janvier 2013 à 19:04 (CET)Répondre

Modeste Moussorgski

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Bonjour à toutes et tous. L'article de WP en, plus étoffé que le nôtre, ne me permet pas de savoir si ce compositeur est venu en Belgique ou en France... Or il existe un daguerréotype du compositeur pris par le belge Alphonse Plumier visible ici, à la fin des années 1860 dit-on, - et quand je compare les différents portraits sur Commons, cela me parait possible (type de corpulence). Mais je me demande où a eu lieu la prise de vue ? Je n'ai pas trouvé que A. Plumier se soit rendu en Russie ni que le musicien ait quitté la Russie... Pouvez-vous m'aider ? Merci déjà, Égoïté (d) 12 janvier 2013 à 19:13 (CET)Répondre

Le daguerréotype est également ici (le communiqué de presse du musée ). Rien trouvé d'intéressant si ce n'est que l'Adq de Moussorgski (en hongrois) ne semble évoquer qu'un seul voyage (en Crimée et après la mort de Plumier) : ce serait donc Plumier qui aurait voyagé en Russie...
Le mieux est peut être de contacter le musée ? --Agamitsudo (d) 13 janvier 2013 à 10:50 (CET)Répondre
Merci Agamitsudo. J'ai écrit au musée ; si j'ai une réponse, je vous en ferai part (mais je doute...) Égoïté (d) 13 janvier 2013 à 11:40 (CET)Répondre
… une indication, dans l'Histoire de la musique occidentale, les Massin (Jean et Brigitte), nous précisent que Moussorgski « accompagne une cantatrice, Daria Léonova, dans ses tournées ». Les tournées, à cette époque étant déjà très européennes, un passage par la Belgique semble une obligation. Rien trouvé sur cette Daria Léonova (1835-1896), il est peut-être possible (avec beaucoup de « si », normal pour un musicien  ) que ce soit elle sur la photo… ça m'épaterait ! — Hautbois [canqueter] 14 janvier 2013 à 11:20 (CET)Répondre

"La nuit blanche d'un hussard rouge"

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Hello, les Pythies ! Dans un café, un sexa(septua?)génaire m'a récemment dit, en me montrant la porte des WC  : "Attention, "La porte ouvrait vers l'intérieur"...". Et nous nous sommes sentis de la même communauté culturelle, mais nous n'avons pas été fichus de retrouver l'auteur (Robert Lamoureux ? Pierre Dac ? Pierre Doris ? Jean Amadou ? ou peut-être Edmond Allais ? ) de ce sketch, "La nuit blanche d'un hussard rouge", qui faisait tant rire nos parents dans les années '50-'55 : avant un bal costumé un monsieur déguisé en hussard rouge entre aux cabinets, et ne peut en sortir que le lendemain matin, quand il a enfin l'idée de tirer la porte au lieu de la pousser, car "la porte ouvrait vers l'intérieur". (Je me demande bien qui cette histoire ferait rire de nos jours...). Merci par avance de votre réponse. T.y. Arapaima (d) 13 janvier 2013 à 06:57 (CET)Répondre

Alphonse Allais. Le texte sur wikisource. — Hautbois [canqueter] 13 janvier 2013 à 09:24 (CET)Répondre
J’ai lu plusieurs fois tout Allais et me souviens bien de cette histoire, mais j’aurais été incapable de comprendre la référence. rv1729 13 janvier 2013 à 13:36 (CET)Répondre
Ne pas confondre avec Les vécés étaient fermés de l'intérieur. Oblomov2 (d) 13 janvier 2013 à 18:14 (CET)Répondre
Mille mercis (tardifs) aux Pythies, et 1000 excuses à Alphonse Allais pour l'avoir affublé du prénom Edmond, et m'être demandé qui ce texte pourrait faire rire de nos jours : je me suis tordu de rire en relisant ce monologue (destiné semble-t-il à Coquelin cadet ?). Il me semble que c'était Pierre Doris qui le disait à la radio, dans les années '50... T.y. Arapaima (d) 26 janvier 2013 à 17:51 (CET)Répondre

Dérive (empennage)

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L'article Dérive (empennage) ne dit rien sur le fait que cette partie de la queue d'un avion porte la plupart du temps une marque distinctive, souvent le logo d'une compagnie. Mais qu'en est-il des avions militaires? Et existe-t-il, soit dans la Wikipédia, soit sur Internet, une liste de tels signes? Merci d'avance. 81.63.78.141 (d) 13 janvier 2013 à 07:31 (CET)Répondre

Bonjour,
Effectivement, dans le cas des avions civils, c'est lieu épatant pour poser le logo de la compagnie. J'ajoute que les deux plus grands groupes d'aéronautique civile (que je ne citerai pas pour ne pas leur faire de pub) se servent de la peinture sur la dérive pour marquer le moment où la compagnie ne peut plus refuser l'appareil. N'hésitez pas à ajouter ces informations.
Quant aux avions militaires, il y a souvent une indication du pays ou de l'armée qui possède l'appareil. A ajouter également. v_atekor (d) 13 janvier 2013 à 12:46 (CET)Répondre

peinture dupré

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je possède une peinture de DUPRE sur acajou représentant des moutons malgré mes recherches je ne trouve pas de quel artiste DUPRE il s'agit qui peut me répondre?

Possiblement Jules Dupré (1811-1889). Voir l'article, la Catégorie Commons et ici pour voir si vous reconnaissez le style ; apparemment il utilisait parfois des panneaux d'acajou pour ses toiles (voir ).
Cordialement, --Agamitsudo (d) 13 janvier 2013 à 13:10 (CET)Répondre
PS : si c'est bien lui, rien ne s'oppose à ce que vous téléversiez une image de cette toile sur Commons.  

Impression de daguerréotype

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Bonjour. Navrée de vous déranger à nouveau mais moi et la photographie... hum ! Donc : je viens de trouver ce texte :

« 17. Fac-similé au trait d'une photographie de A. Plumier,. in-4°, 1852. Cette pièce, tirée à 4000 exemplaires, n'a pas eu de débit.
18. Vu de 3/4. Photographie de A. Plumier, 1852, gr. in-8.Ce portrait, qui reproduit parfaitement les traits du prélat mort, ne donne cependant pas la ressemblance réelle. Ce défaut s'explique, croyons-nous, par l'altération des traits qui était beaucoup plus sensible dans la position choisie ici par l'artiste. Il n'a été vendu qu'une centaine d'exemplaires de cette photographie qui a été tirée à 600 exempl.
19. Portrait, ut supra. Souvenir pieux, 1852, in-18 d'après le daguerréotype. Portrait d'une ressemblance frappante et digne du succès qu'il a obtenu.—Van Bommel au lit de mort avait manifesté le désir que des souvenirs pieux fussent distribués en son nom aux enfants du diocèse de Liège et les exécuteurs testamentaires ont fait choix de ce portrait qui a été tiré à plus de 60,000 exemplaires. »
dans ce livre

je me demande ce que signifie "Fac-similé au trait d'une photographie" au n° 17 : on a dessiné d'après la photo ? au 19 : comment aurait-on fait pour tirer à plus de 60 000 exemplaires ? J'ai noté ailleurs que c'est une litho qui a été tirée à 60 000 exemplaires. Donc là aussi on aurait redessiné d'après le daguerréotype ?

j'ai tenté de trouver l'image sur le web mais n'arrive qu'à ceci : [2] et [3]. Pensez-vous que l'une des images puisse être la reproduction du souvenir donné aux enfants ?

Merci déjà pour votre aide ! Égoïté (d) 13 janvier 2013 à 14:44 (CET)Répondre

Je pense qu’il s’agit d’une gravure ou d’une lithographie, oui, « au trait » c’est-à-dire qui n’indique que le contour des formes, sans ombres ni modelé. Reproduire des photos a longtemps été beaucoup plus long et couteux que de reproduire des gravures ou des lithographies. rv1729 13 janvier 2013 à 21:09 (CET)Répondre
Voir  : Avant d’être intégrée directement à l'impression, la photographie fait office de document et de modèle aux dessinateurs et graveurs. Utilisée comme « matière première visuelle », elle constitue un outil précieux pour les dessinateurs qui prennent des clichés afin de les recopier manuellement. En second lieu, les graveurs interprètent et intègrent l’image à la publication au moyen d’impressions mécaniques comme la lithographie (faite sur pierre calcaire) et la gravure sur bois.
En 1852, on réduit les possibilités mais il y a encore du choix pour les procédés techniques de reproduction des photos. Le phototypie n’est pas encore au point. Il y a la gravure sur bois, on dessine d’après la photo et on grave. Même chose en utilisant la lithographie. Le fac-simile au trait, ça peut être un cliché photo-mécanique qui ne sélectionne que les noirs et élimine les nuances : aléatoire. Le reproduction d’un daguerréotype, à mon avis, est techniquement très difficile parce qu’il n’est visible qu’en fonction de l’éclairage et de l’orientation, ça suppose qu’il y a intervention manuelle. Bref, pas de réponse, ce serait mieux si on pouvait voir les images. Morburre (d) 13 janvier 2013 à 21:46 (CET) Les portraits de Mgr Bommel qu’on voit sur les deux sites sont manifestement des gravures ou des lithographies (« d’après le daguerréotype »). Avec la chromolithographie (lithographie industrialisée) on pouvait avoir de gros tirages. Morburre (d) 13 janvier 2013 à 21:54 (CET) Mais ce portrait lithographié ressemble trop au portrait peint (de Cornelis van Bommel (voir son article WP) pour être la copie d’un daguerréotype, je suis tenté de penser que ce n’est pas la bonne image.Répondre
Question subsidiaire qui n’a rien à voir : dans le bouquin que tu cites, je remarque que « Liége » est écrit avec un é accent aigu, et pas Liège avec un accent grave. C’est normal ? C’est/c’était l’orthographe officielle ? Je me souviens d’avoir lu, il y a vingt ou trente ans, un grand monsieur de la BD (belge) qui fulminait contre les gens qui écrivent Liège au lieu de Liége, c’est-à-dire tout le monde. Aurait-il eu raison ? Morburre (d) 13 janvier 2013 à 22:06 (CET)Répondre
L'accent grave est une invention relativement récente puisqu'il a été introduit pour la première fois en 1740. Le passage de l'accent aigu à l'accent grave a pris beaucoup de temps. De plus l'orthographe était moins stabilisée autrefois qu'à partir de la fin XXe siècle quand les dictionnaires sont devenus très courants, et qu'il y eut des dictionnaires des noms propres. Pour la question du fac similé au trait, je confirme ce qui a été dit plus haut. Il y a eu un dessin au trait à partir de la photo. Une autre solution aurait été de faire des points figurant les pixels de la photo. Cela aurait été difficile à faire à l'époque, et de toutes manières les points auraient été beaucoup plus gros que les grains d'argent, donc ça aurait été un fac-similé aussi. Pour la photo 19, son titre « souvenir pieux » indique que c'est une photo souvenir.--Rene1596 (d) 13 janvier 2013 à 23:43 (CET)Répondre
Merci pour toutes vos réponses ! Voici la mienne, en premier, à Morburre pour « Liége » : oui le nom de cette ville a très longtemps été orthographié avec un e accent aigu. Si tu veux, je chercherai l'époque à laquelle cela a officiellement changé mais honnêtement je ne le sais pas. (conflit d'éd. avec René)
En ce qui concerne "les lithograveurs qui prennent des clichés pour les recopier manuellement", j'avoue n'avoir pas bien réagi : le verbe prendre dans le vocabulaire courant de la photographie moderne m'a totalement influencé au point d'oublier qu'on peut "prendre", c'est-à-dire choisir pour utilisation quelque chose, comme modèle  
J'aimerais bien, Morburre, que tu m'expliques ce qu'est un "cliché photo-mécanique" ; cela me ferait plaisir (et je suppose que je ne suis pas la seule à ne pas savoir ce dont il s'agit)
Pour le portrait lithographié qui ressemble trop au portrait peint, j'en suis arrivé à me demander où est l'original : un daguerréotype qui aurait donné le portrait ? ou un portrait d'après nature qui aurait pu influencer le photographe. Je sais que c'est totalement TI et je n'emploierai évidemment pas cela sur WP mais cela m'interpelle. Comme m'interpelle le fait que les frères Plumier ont eu une réelle notoriété en leur temps (là j'ai trouvé beaucoup de mentions dans des revues, et même dans des livres contemporains sous forme de notices extrêmement brèves évidemment) mais qu'il ne m'a pas encore été possible de lire un article développé sur eux. Je sais que je "tourne zotte" comme on dit à Bruxelles et que je suis en passe de risquer de faire une fixation sur les Belges non connus mais avouez que c'est drôle : un auteur cite Victor Plumier parmi les photographes travaillant en France dans l’un de ses ouvrages et dans les photographes de « German-speaking countries » dans un autre de ses livres ! À une époque où la Belgique est un état reconnu par toutes les puissances depuis au moins 12 ans... Égoïté (d) 13 janvier 2013 à 23:48 (CET)Répondre
Avant d'être utilisé comme synonyme de prise de vue, en imprimerie le terme cliché désigne « une plaque gravée constituant une forme imprimante en relief » (pour exemple, la lithographie) ; il est donc question d'un cliché de ce genre destiné à une impression photomécanique (une petite approche du sujet sur cette page). -O.--M.--H.- 14 janvier 2013 à 02:48 (CET)Répondre
D'après la première note de l'article 'Liège', l'abandon officiel de la graphie 'Liége' (avec un accent aigu) date de 1946. C'est ce que semble confirmer Ngram Viewer(Liége, Liège). (Bien sûr, il y a aussi le bouchon mais Ngram Viewer est sensible à la casse.) On a aussi un article 'Liége' qui parle des deux graphies. -- Xofc [me contacter] 14 janvier 2013 à 05:20 (CET)Répondre
Merci pour Lié-ège. Pour le cliché, Olivier avait bon jusqu’à la lithographie, qui n’est ni en creux ni en relief. Le cliché photo-mécanique est une plaque de zinc ou de magnésium recouverte d’un e sorte de vernis photosensible : une fois insolées à travers le négatif photographique, les parties du vernis correspondant aux blancs de l’image sont éliminées, les parties correspondant aux noirs restent. On fait attaquer la plaque par un acide : les parties qui ne sont plus protégées par le vernis restent, les autres sont attaquées par l’acide. Résultat, une plaque en relief, où les parties hautes reçoivent l’encre, on imprime par le procédé typographique. Mais on est « au trait », c’est-à-dire noir et blanc, sans nuances intermédiaires (et pas que des « traits » mais des surfaces noires). Pour les nuances on interpose, entre le négatif et la plaque du cliché, une trame de lignes fines et orthogonales (un quadrillage, quoi). La lumière passe dans les trous et se diffuse plus ou moins en fonction de son intensité. Le résultat est pour chacun de ces « pixels » avant la lettre une tache ronde, toute petite s’il y a beaucoup de lumière, très grande s’il y a peu de lumière, et s’il y a très peu de lumière ces points se rejoignent et donnent un noir continu. Le résultat vu à distance normale donne une image avec toutes les nuances de gris (plus de cinquante évidemment) bien qu’il n’y ait que de l’encre noire sur du papier blanc : c’est dans l’œil que ça marche et c’est toujours comme ça que ça marche avec l’impression actuelle. Procédé que Firmin Gillot met au point en 1852, tiens. C’est encore un peu limite, mais il n’était pas seul à travailler la question. Je ne sais pas si un imprimeur liééégeois a pu faire ce genre de similigravure (si monseigneur est mort en 52, c’était de toute façon après). Morburre (d) 14 janvier 2013 à 07:53 (CET)Répondre
Argh ! Comme l'héliographie - et l'héliogravure - bien sûr ! -O.--M.--H.- 14 janvier 2013 à 11:16 (CET) Désolé, mais l’héliogravure, c’est en creux : une trame où les points sont de même valeur mais en creux, de profondeur variable. L’encre se met au fond des trous et se reporte sur le papier : plus c’est profond, plus il y a d’encre, plus il y a d’encre, plus c’est foncé. Morburre (d) 14 janvier 2013 à 12:51 (CET)Répondre
Pigé. Grand merci Morburre. "Nous savions qu'on peut compter sur toi" ! Merci aussi à Olivier, évidemment   Égoïté (d) 15 janvier 2013 à 07:00 (CET)Répondre

Les spectateurs antiques

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Bonjour Devineresse,

J'ai le vague souvenir d'un texte de l'antiquité grecque ou romaine dans lequel l'auteur se plaignait d'être gêné par les bavardages et l'inattention des autres spectateurs au théâtre. Est-ce que ça rappelle quelque chose à quelqu'un... ? Merci beaucoup.--Glützenbaum (d) 14 janvier 2013 à 01:16 (CET)Répondre

Ca me fait penser à l'Art d'aimer d'Ovide, mais l'auteur verrait plutôt un avantage au théâtre, celui de courtiser les belles. --Le ciel est par dessus le toit (d) 14 janvier 2013 à 10:23 (CET)Répondre

livre nouveau testament original

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Déplacé en semaine actuelle Mitch-Mitch 14 janvier 2013 à 13:06 (CET)Répondre

Revue de Paris ?

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Déplacé en semaine actuelle

Mitch-Mitch 15 janvier 2013 à 10:37 (CET)Répondre

John Paul (entreprise)

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Déplacé en semaine actuelle

Mitch-Mitch 17 janvier 2013 à 13:27 (CET)Répondre