Wikipédia:Oracle/semaine 26 2012
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Fonctionnaire et étudiant
modifierBonjour. Même s'il existe un certain nombre d'exceptions, les fonctionnaires ont l'interdiction, d'après la loi 83-634 du 13 juillet 1983 (article 25-1), d'exercer une activité professionnelle annexe. Savez-vous s'il est permis a un fonctionnaire de suivre des études tout en étant en poste ? Ainsi, un maître de conférences (n'exerçant pas dans une UFR de médecine et n'enseignant pas une discipline médicale) pourrait-il, sans abandonner son poste, suivre des études de médecine ? (sachant que les étudiants sont rémunérés après quelques années, mais conservent un statut d'étudiant) Je vous remercie d'avance pour les éclaircissements que vous m'apporterez. Stocha (d) 25 juin 2012 à 13:37 (CEST)
- A vérifier, mais en cours du soir ca doit être possible (voir aussi du côté du CNED). Cependant je crois qu'il y a obligation d'en informer l'employeur. Mitch-Mitch 25 juin 2012 à 13:42 (CEST)
- Après, suivre des études de médecine en même temps qu'un autre travail (même fonctionnaire ), ça doit être chaud. Surtout pendant l'internat. Ziron (d) 25 juin 2012 à 13:50 (CEST)
- J’ai connu un cas, quelqu’un qui bossait comme ingénieur. En effet, au moment de l’internat il a fallu faire un choix. rv 25 juin 2012 à 14:03 (CEST)
- De toute manière, le problème ne se pose pas qu'aux fonctionnaires, les internes en médecine atteignent la durée de travail maximale autorisée (en fait ils la dépassent, mais passons...), ce qui exclut un autre emploi, le code du travail ne le permettant pour les employés du privé que si, justement, ça ne dépasse pas cette durée. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 25 juin 2012 à 15:01 (CEST)
- J’ai connu un cas, quelqu’un qui bossait comme ingénieur. En effet, au moment de l’internat il a fallu faire un choix. rv 25 juin 2012 à 14:03 (CEST)
- Après, suivre des études de médecine en même temps qu'un autre travail (même fonctionnaire ), ça doit être chaud. Surtout pendant l'internat. Ziron (d) 25 juin 2012 à 13:50 (CEST)
vieux pigeonniers languedociens
modifierPourquoi les niches individuelles des pigeons comportent-elles, en partie supérieure, un bossage proéminent ?
Remerciementrs et cordiales salutations.
- J'ai trouvé ici quelques photos de pigeonniers de Haute-Garonne, est-ce bien votre question ? Bertrouf 26 juin 2012 à 04:17 (CEST)
- Très jolis mais pas très « standard », ces pigeonniers. Et on ne voit pas l’intérieur, donc difficile de répondre à la question. On pourrait penser à un seuil pour la niche supérieure. Morburre (d) 26 juin 2012 à 08:18 (CEST) Le bandeau en saillie à l’intérieur du pigeonnier est appelé « perchoir », c’est assez clair : Jean-Marie Pérouse de Montclos (dir.), Architecture : vocabulaire et méthode, Paris, Imprimerie nationale, 1977. Morburre (d) 26 juin 2012 à 16:34 (CEST)
- La proéminence au-dessus des boulins de colombier est peut-être destinée à servir de perchoir et à empêcher par la même occasion les fientes de tomber sur les autres. On voit parfois aujourd'hui une solive au-dessus des toits des cases avec une planchette de propreté à leur extrémité. Ce qui pourrait être l'équivalent. Les pigeons aiment se poser en dehors du nid pour surveiller mais, vivant en couple, ils n'aiment pas beaucoup la proximité, surtout s'il y a couvaison. --Mistig (d) 26 juin 2012 à 16:43 (CEST)
fff et club de foot
modifierBonjour, Ne connaissant rien au foot, je voudrais savoir comment dont financés les club de football et la fédération française. Merci--Le ciel est par dessus le toit (d) 25 juin 2012 à 19:25 (CEST)
- Salut. Pas de réponse simple, bien sûr.
- Comme beaucoup de fédérations sportives en France, la Fédération française de football est une association à but non lucratif qui, comme son nom l'indique, fédère les ligues d'amateurs (LFA) et de professionnels (LFP). Ce sont donc ses adhérents (personnes physiques, les licenciés, et personnes morales, les ligues, les clubs) qui la financent. En outre elle gère les droits d'exploitation audiovisuelle et de retransmission des deux principales compétitions professionnelles, droits redistribués en grande partie aux clubs mais dont elle a sa part. Enfin la LFP et l'État lui versent des subventions destinées principalement à aider la LFA.
- Pour les clubs, ça dépend. Les clubs professionnels sont supposés se financer eux-mêmes par divers moyens, les mêmes que dans tous les sports : billets et abonnements pour les matchs, droits dérivés (merchandising, droits de retransmission), sponsoring, vente ou location de joueurs (oui oui, les joueurs sont des marchandises dans le foot), financement direct par un propriétaire, etc. Les clubs amateurs quant à eux sont supposés ne pas être des entreprises commerciales, leurs moyens de financement, qui sont en gros les mêmes que pour les clubs professionnels, sont plus limités puisqu'ils ne sont pas supposés faire un profit dessus. Par contre, en tant qu'amateurs ils peuvent recevoir des subventions de la fédération, de l'État ou des collectivités territoriales (communes, départements, régions).
- Tout ça est de la théorie bien sûr : les clubs professionnels sont souvent subventionnés mais de manière indirecte, par exemple une municipalité ou un département va financer la construction et l'entretien des locaux d'administration, du centre d'entraînement et du stade, et les louer au club ; de même les clubs amateurs sont souvent aidés par des financeurs bien au-delà de ce qui est normalement admissible mais comme dans la situation symétrique des clubs pros, c'est indirect, le cas le plus courant étant la rémunération dissimulée des joueurs par une entreprise locale dont ils sont censément les employés, comme ce fut longtemps le cas par exemple pour le FC Gueugnon, « sponsorisé » de cette manière par les Forges de Gueugnon jusqu'en 1987 — d'où leur surnom de « Forgerons ». -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 25 juin 2012 à 21:16 (CEST)
chèque
modifierBonjour. Sur un chèque bancaire, les traits sur lesquels nous écrivons la somme est constitué de chiffres et de lettres. Quel est l’intérêt? Merci de votre réponse. Bien cordialement. Laurence
- Je ne vois rien de tel sur mes chèques à moi, j'ai des traits constitués d'une ligne pleine--Le ciel est par dessus le toit (d) 25 juin 2012 à 19:49 (CEST)
- Comme le dit notre article chèque, en France il est possible de faire des chèques sur support libre. L'infalsifiabilité que permettrait des micro-caractères n'a pas d'intérêt. Votre chèque provient de quel pays ? Bertrouf 26 juin 2012 à 03:47 (CEST)
- Au verso de mes chèques, on trouve le message suivant apposé par la société qui les imprime :
- « L'absence d'une ou plusieurs des caractéristiques de sécurité suivantes peut indiquer une tentative d'altération.
- Micro-impression : Les mots en petits caractères qui apparaissant sur le chèque deviennent illisibles au balayage numérique ou à la photocopie.
- [...] »
- « L'absence d'une ou plusieurs des caractéristiques de sécurité suivantes peut indiquer une tentative d'altération.
- -- Asclepias (d) 26 juin 2012 à 05:03 (CEST)
- Il s'agit de la déclaration du 9 mai 1950 de Schumann (voir ici. Quant au pourquoi, certains pensent qu'en signant le chèque on "approuverait" le texte à chaque chèque. Peu probable si on tient compte du nombre de personnes connaissant l'existence du texte... Mitch-Mitch 26 juin 2012 à 08:56 (CEST)
- CQui (d) Des Cheques? il y a encore des pays ou on utilise des cheques ? vraiment ? --26 juin 2012 à 16:31 (CEST)
- Quelque chose me dit que tu te trouves drôle. Tu peux expliquer la blague ? rv1729 26 juin 2012 à 21:53 (CEST)
- Pas vérifié où habite Cqui mais en Belgique, même si officiellement on peut toujours émettre un chèque, plus aucun commerçant n'en accepte. Raison : les chèques ne sont plus garantis par les banques. Donc à moins d'être très particulièrement confiant dans l'émetteur, ou à moins d'être fou, on ne prend plus de risque. Il y a bien une dizaine d'années que je n'ai plus vu de chèque ici... A fortiori, je ne sais plus à quoi ils ressemblent aujourd'hui. Amclt, --Égoïté (d) 27 juin 2012 à 00:17 (CEST)
- Tu m’en colmates une sacrée surface. rv1729 27 juin 2012 à 23:58 (CEST)
- CQui (d) a vecu aux Pays-Bas, si les cheques y existent, les banquiers ne le savent pas, et maintenant en Irlande, je n'ai pas demandé mais je n'en ai pas vu non plus... Je trouve etonant que le pays qui a inventé et generalisé la carte a puce ai encore des cheques... Je me demande egalement pourquoi je n'ai jamais vu d'equivalent aux TIP dans les quelques pays ou j'a pu habiter. --28 juin 2012 à 10:21 (CEST)
- Ce sont souvent des usages distincts, il y a en effet peu de gens qui paient par chèque au quotidien (je connais cependant des commerçants qui n’acceptent pas la carte bleue, mais c’est rare). Un exemple au hasard : tu me prêtes 2000 € à titre amical, merci c’est sympa mais non : je prends pas la carte bleue... tu peux me faire un virement mais c’est quand-même beaucoup moins commode qu’un chèque. Bref les chèques servent en particulier à échanger de l’argent avec des particuliers (ventes, loyer, prêts). rv 28 juin 2012 à 14:20 (CEST)
- Les banques française veulent supprimer les chèques, qui visiblement leur coûtent cher. Elles font un gros lobbying dans ce sens. Bien que les Français y soient exceptionnellement attachés, à mon avis, leurs jours sont donc comptés. gede (d) 29 juin 2012 à 13:50 (CEST)
- Ce sont souvent des usages distincts, il y a en effet peu de gens qui paient par chèque au quotidien (je connais cependant des commerçants qui n’acceptent pas la carte bleue, mais c’est rare). Un exemple au hasard : tu me prêtes 2000 € à titre amical, merci c’est sympa mais non : je prends pas la carte bleue... tu peux me faire un virement mais c’est quand-même beaucoup moins commode qu’un chèque. Bref les chèques servent en particulier à échanger de l’argent avec des particuliers (ventes, loyer, prêts). rv 28 juin 2012 à 14:20 (CEST)
- CQui (d) a vecu aux Pays-Bas, si les cheques y existent, les banquiers ne le savent pas, et maintenant en Irlande, je n'ai pas demandé mais je n'en ai pas vu non plus... Je trouve etonant que le pays qui a inventé et generalisé la carte a puce ai encore des cheques... Je me demande egalement pourquoi je n'ai jamais vu d'equivalent aux TIP dans les quelques pays ou j'a pu habiter. --28 juin 2012 à 10:21 (CEST)
- Tu m’en colmates une sacrée surface. rv1729 27 juin 2012 à 23:58 (CEST)
- Pas vérifié où habite Cqui mais en Belgique, même si officiellement on peut toujours émettre un chèque, plus aucun commerçant n'en accepte. Raison : les chèques ne sont plus garantis par les banques. Donc à moins d'être très particulièrement confiant dans l'émetteur, ou à moins d'être fou, on ne prend plus de risque. Il y a bien une dizaine d'années que je n'ai plus vu de chèque ici... A fortiori, je ne sais plus à quoi ils ressemblent aujourd'hui. Amclt, --Égoïté (d) 27 juin 2012 à 00:17 (CEST)
- Quelque chose me dit que tu te trouves drôle. Tu peux expliquer la blague ? rv1729 26 juin 2012 à 21:53 (CEST)
- CQui (d) Des Cheques? il y a encore des pays ou on utilise des cheques ? vraiment ? --26 juin 2012 à 16:31 (CEST)
- Il s'agit de la déclaration du 9 mai 1950 de Schumann (voir ici. Quant au pourquoi, certains pensent qu'en signant le chèque on "approuverait" le texte à chaque chèque. Peu probable si on tient compte du nombre de personnes connaissant l'existence du texte... Mitch-Mitch 26 juin 2012 à 08:56 (CEST)
production de Superphénix
modifierune question facile (j'ai déjà une idée mais je voudrais juste vérifier mon calcul). quel a été le Facteur de charge (électricité) de superphénix sur sa période de fonctionnement? --Moulins (d) 26 juin 2012 à 11:07 (CEST)
- Réponse ici dans la base de données réacteurs du WNO : capacity factor life 7.9%. Cordialement, Biem (d) 26 juin 2012 à 18:05 (CEST)
- je trouve aussi autour de 7%, mais je ne comprends pas le calcul du WNO, que signifie ce Output Life de 3.39 TWh ?--Moulins (d) 26 juin 2012 à 20:17 (CEST)
- Pour ce que j'en comprends, c'est la quantité totale d'énergie fournie au réseau, pendant la durée où il était raccordé au réseau et censé fonctionner (hors périodes de maintenance). Il faudrait une définition de référence pour bien comprendre quel est le temps de "disponibilité" qui sert de base au ratio de productivité. Mais je n'arrive pas à trouver de page où WNO donne ses définitions.
- Le rapport entre les 3.39 TWh produits (3360 GHh) et sa puissance nominale de 1200 MWe (1.2 GW) donne un équivalent de 2800h de fonctionnement à plein régime, soit un peu moins de quatre mois. On voit dans l'article que Superphénix "en 11 ans a fonctionné pendant 53 mois, il a subi des réparations pendant 25 mois, mais il a été arrêté 54 mois" : Quatre mois d'équivalent pleine puissance sur 53 mois d'exploitation effective ça fait 7.2%, on n'est pas loin. Si 2800h représentent un taux de 7.9%, c'est par rapport à 36000h, soit 49 mois de fonctionnement effectif : il y a dû y avoir quatre mois d'arrêts programmés (période de maintenance programmée) dans ces 53 mois présentés comme "de fonctionnement" (?).
- Cordialement, Biem (d) 26 juin 2012 à 22:29 (CEST)
Merci pour vos calculs, je comprends le principe. d'après l'article superphénix, le réacteur a produit environ 8 TWh soit 8000 GWh, j'applique la même méthode que vous, et cela me donne 6666h de fonctionnement à pleine puissance, soit environ 9 mois 1/4, sur les 11 ans (132 mois) d'exploitation on retrouve aussi un facteur de charge d'environ 7%. si le réacteur a produit 8 TWh sur sa durée de vie, je ne comprends toujours pas à quelle période de fonctionnement correspondent ces 3,39 TWh. il se fait tard, je reprendrai ça demain, cordialement,--Moulins (d) 27 juin 2012 à 00:22 (CEST)
information sur les horaires du mètro
modifierbonjour je vais descendre à l'hotel Novex 75013Paris et je passerai mon examen à ENSG PrisTech mine Veullez m'informer des transports les frèquants MERCI
- Bonjour. Une question : pensez-vous trouver les informations sur le trafic du métro parisien dans une encyclopédie papier ? Donc, pas de raison qu'on en trouve sur une encyclopédie électronique, par contre la RATP est au top pour ça, d'ailleurs,
- Bonnes recherches. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 26 juin 2012 à 20:30 (CEST)
- Site spécialisé : vianavigo.com plutôt que celui de la RATP. Mais faut quand même avoir les adresses de départ, d'arrivée, le jour et l'heure... --MGuf (d) 27 juin 2012 à 08:35 (CEST)
mouffette
modifiersvp aquel age doit ont opérer une moufette avant que son urine comence a sentir merci — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 24.122.237.227 (discuter), le 26 juin 2012 à 17:58
- Ce n'est pas son urine qui sent, mais un liquide émis par des glandes spécialisées. Ces glandes fonctionnent dès le plus jeune âge de l'animal, donc l'âge qui importe est celui auquel elle sera en mesure de supporter cette opération. Un vétérinaire pourra vous donner son avis sur ce moment, et il est le seul en mesure de pratiquer cette intervention correctement.
- Et en passant, si vous êtes du Québec, il y est formellement interdit de retirer les glandes anales d'une moufette. Dhatier jasons-z-en 26 juin 2012 à 20:08 (CEST)
- C'est le cas, le nœud de réseau de notre correspondant(e) est à Salaberry-de-Valleyfield. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 26 juin 2012 à 20:17 (CEST)
titre d'un film
modifierBonjour, Je recherche le titre d'un film que j'ai vu vers la fin des années 90. Il s'agit d'une histoire d'un bébé qui détient quelque chose importante pour un groupe de mafia, et lorsque ils essayent de lui la prendre, le bébé s'échappe de sa maison et ils le poursuivent dans la rue et se passe beaucoup de choses drôles. Je me rappelle qu'à la fin ils ont réussi à le rattraper et l'un d'eux l'a caché dans son pantalon, le bébé retrouve un briqué et le brûle. Merci Rabah201130 (d) Je fais beaucoup de fautes d'orthographe, merci de me les corriger 27 juin 2012 à 09:09 (CEST)
- Salut. Bébé part en vadrouille ? -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 27 juin 2012 à 10:46 (CEST)
- Oui c'est exacte. Merci Rabah201130 (d) Je fais beaucoup de fautes d'orthographe, merci de me les corriger 27 juin 2012 à 13:21 (CEST)
Consommation de Superphénix
modifierBonjour chèr Oracle, quelle est la consommation électrique de Superphénix à l'arrêt? quelle a été sa consommation lorsqu'il fonctionnait? peut-on avoir un ordre de grandeur en estimant l'énergie nécessaire pour maintenir les 5000 tonnes (ou 6000?) de sodium liquide (à 180°C?)? Quand j'essaie de faire le bilan il me manque des infos (déperditions thermiques, etc...). D'après Superphénix#Bilan_.C3.A9nerg.C3.A9tique, la consommation en fonctionnement serait de l'ordre d'un milliard de kWh par an. Merci par avance, --Moulins (d) 26 juin 2012 à 09:42 (CEST)
- Inutile de répéter la question, nous ne sommes que de piètres bénévoles, en bref on fait ce qu'on peut! Patience, les réponses vont arriver petit à petit. Mitch-Mitch 27 juin 2012 à 09:26 (CEST)
- j'ai simplement séparé ma question portant sur la consommation de cette portant sur la production pour plus de clarté. désolé si cette manipulation vous a importuné.--Moulins (d) 27 juin 2012 à 12:37 (CEST)
- En fait, le sodium était utilisé comme caloriporteur, donc de toute manière il était rendu liquide dès que le réacteur était en fonctionnement, le problème était plutôt de le refroidir ... ^_^ Donc, "l'énergie nécessaire" est essentiellement gratuite (voir "Technique de l'Ingénieur", article BN3170, Réacteurs à neutrons rapides refroidis au sodium, 10 juil. 2005). Dans ce genre d'installation il n'y a pas de consommation en fonctionnement, et il n'y a théoriquement pas besoin de maintenir le sodium à l'état liquide pendant un arrêt froid (on peut le faire, mais ça ne sert à rien), le seul moment où il faut effectivement chauffer c'est pendant le démarrage. Pour ça, on utilise des circuits de chauffage dédiés (l'information donnée par l'article est complètement fantaisiste, la "référence" citée est tout sauf crédible). Ce qui coûte cher dans une installation à l'arrêt (y compris en courant électrique), c'est essentiellement le fonctionnement des systèmes de sécurité, et en particulier la ventilation nucléaire ; c'est probablement ça qui est à l'origine du chiffre donné par les gazettes antinucléaires - mais un GWh/an ça ne fait jamais qu'une puissance installée de 100 kW, une vingtaine de fers à repasser... Cordialement, Biem (d) 27 juin 2012 à 12:42 (CEST)
D'accord sur le principe pour la consommation en fonctionnement. Pour la consommation à l'arrêt, pourriez vous m'indiquer une source qui valide votre hypothèse (pas besoin de maintenir le sodium liquide) ? Par contre je crois que vous vous êtes trompée de rapport d'unité (sinon c'est moi ;-), dans l'article et dans la question, il ne s'agit pas d'1 GWH/an (1 milliards de Wh) mais d'environ 1 TWh/h (1 milliard de kWh) (en fait 13 TWh/11an), ce qui fait peut-être 20 milles fers à repasser. Ça me surprendrait que les gazettes antinucléaires aient estimé que la ventilation consomme autant ;-) --Moulins (d) 27 juin 2012 à 14:16 (CEST)
- Le Rapport de l'OPECST (p9) dit qu'il faut en permanence maintenir le sodium à l'état liquide, mais ce n'est pas clair si c'est aussi le cas en arrêt froid. On n'est pas obligé de garder le Na liquide si on peut purger les circuits pour le mettre dans un réservoir intermédiaire, ou si on a les moyens de chauffer le circuit au redémarrage ; je ne sais pas si ça a été prévu sur Superphénix. Cordialement, Biem (d) 27 juin 2012 à 17:00 (CEST)
- CQui (d) completement sans aucune connaissance approfondie du sujet, je serait étonné qu'on puisse laisser un liquide se solidifier dans un tuyau sans avoir de gros problèmes au redémarrage... et si on sait probablement purger le circuit pour enlever le liquide, celui-ci devrait probablement être remplacé par autre chose qu'il faut purger au reremplissage... je doute que des bulles de gaz dans un liquide soient les bien venues...--28 juin 2012 à 11:49 (CEST)
- Bah il suffit de prévoir un système pour réchauffer le tuyau avant le démarrage... un préchauffage... rv 28 juin 2012 à 12:22 (CEST)
- CQui (d) Je pense aux dilatations qui sont certainement differentes entre le materiau du tuyau et le liquide, et imagine que les concepteurs n'ont pas imaginé qu'un si bel outil ne soit pas en fonctionnement le plus souvent possible... donc pas de systeme de redemarrage qui ne serait qu'une faiblesse possible en production normale. --28 juin 2012 à 13:02 (CEST)
- D'un autre côté, le sodium solide prend moins de place que le sodium liquide (l'eau est en fait une exception dans ce domaine), donc ça écarte déjà le risque de faire péter les tuyaux. En plus le point de fusion du sodium est relativement facile à atteindre, ça va dans le sens de l'hypothèse du système de préchauffage, non ? Blue [ -02- ] 28 juin 2012 à 13:16 (CEST)
- Ca, c'est faux. Le tuyau se contracte aussi. Il faut comparer le coefficient de dilatation volumique du contenu avec le coefficient de dilatation surfacique du contenant.
Gratte-papier (d) 28 juin 2012 à 19:20 (CEST)
- Ca, c'est faux. Le tuyau se contracte aussi. Il faut comparer le coefficient de dilatation volumique du contenu avec le coefficient de dilatation surfacique du contenant.
- D'un autre côté, le sodium solide prend moins de place que le sodium liquide (l'eau est en fait une exception dans ce domaine), donc ça écarte déjà le risque de faire péter les tuyaux. En plus le point de fusion du sodium est relativement facile à atteindre, ça va dans le sens de l'hypothèse du système de préchauffage, non ? Blue [ -02- ] 28 juin 2012 à 13:16 (CEST)
- CQui (d) Je pense aux dilatations qui sont certainement differentes entre le materiau du tuyau et le liquide, et imagine que les concepteurs n'ont pas imaginé qu'un si bel outil ne soit pas en fonctionnement le plus souvent possible... donc pas de systeme de redemarrage qui ne serait qu'une faiblesse possible en production normale. --28 juin 2012 à 13:02 (CEST)
- Bah il suffit de prévoir un système pour réchauffer le tuyau avant le démarrage... un préchauffage... rv 28 juin 2012 à 12:22 (CEST)
- CQui (d) completement sans aucune connaissance approfondie du sujet, je serait étonné qu'on puisse laisser un liquide se solidifier dans un tuyau sans avoir de gros problèmes au redémarrage... et si on sait probablement purger le circuit pour enlever le liquide, celui-ci devrait probablement être remplacé par autre chose qu'il faut purger au reremplissage... je doute que des bulles de gaz dans un liquide soient les bien venues...--28 juin 2012 à 11:49 (CEST)
- Dans les temps anciens le Super Phénix consommait d'autres trucs... -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 1 juillet 2012 à 14:05 (CEST)
copyright des photos de superphénix sur commons
modifierJ'ajoute une question sur le copyright des photos. Voir légende, merci. Bertrouf 29 juin 2012 à 04:50 (CEST)
- je ne suis pas expert en licence, mais il me semble que ces photos sont sous licence GFDL-CC-BY-SA-all, ce qui est différent du domaine public. je transmets votre questions aux experts multimédia de wikipédia : Wikipédia:Le Bistro multimédia/semaine 26 2012--Moulins (d) 29 juin 2012 à 09:49 (CEST)
- Ils y répondent que le bâtiment, quoiqu'unique, était conçu pour être en série, supprimant les critères d'originalité. Je ne cherche pas plus loin, la question de la liberté de panorama étant un sujet sensible en France. Bertrouf 2 juillet 2012 à 04:44 (CEST)
Le soduim n'était pas solidifié pendant les périodes d'arrêt prolongées. Pour le circuit primaire, les pompes primaires tournaient au ralenti: elles dégageaient donc de l'énergie thermique et comme elles trempaient dans le soduim, elles le réchauffaient. Il me semble que les circuits secondaires étaient vidangé, mais je ne suis plus sur! (beaucoup d'années ont passée!). Le circuit primaire n'était pas vidangé car il aurait fallu trouvé un ou des récipients de capacité totale de 3000 m3: Le plus simple était donc de le laisser dans la cuve. En plus comme un grand cylindre unique a à volume identique moins de surface qu'un ensemble de petits cylindres et que les pertes de chaleur se font par la surface, on diminuait ainsi les échanges thermiques et donc la puissance de chauffe nécessaire pour maintenir le soduim liquide. Pour les circuits secondaires, c'est l'inverse: comme ils ne consistent pas en un grand cylindre unique mais en une série de tuyaux, en les vidangeant dans une cuve unique, on diminue la surface d'échange, donc les pertes thermiques. Pour la question de la consommation à l'arrêt pour maintenir le soduim à 180°C, si vous connaissez le coefficient d'échange thermique de l'acier, sachant qu'on a environ 150°C d'écart entre l'intérieur et l'extérieur de la cuve d'acier du réacteur, il suffit de calculer la surface d'un cylindre ayant le diamètre égale à sa hauteur et ayant 3000 m3 de capacité: on a alors Puissance=H*Surface*150. Il me semble me souvenir de 4 à 5 MWatt de consommation à l'arrêt, mais je pense que là-dedans, il devait y avoir les consommations annexes de la centrale. Mac_Col
Plus ancien député français
modifierCher Oracle,
J'aurais souhaité savoir qui était le plus ancien député français (élu sans discontinuer).
Jusqu'en 2012, il me semble que c'était Didier Julia (élu en 1967), mais il ne s'est pas représenté cette année.
Merci. Fabant (d) 27 juin 2012 à 09:30 (CEST)
- … dans les bonnes longévités politiques, il y a eu Jacques Baumel : sénateur de 1959 à 1967, puis député de 1967 à 2002. — Hautbois [canqueter] 27 juin 2012 à 11:18 (CEST)
- Dans le genre, Édouard Frédéric-Dupont est pas mal aussi : il a traversé trois républiques et quatre régimes comme élu, premier mandat en 1933, première députation en 1935, dernière en 1988, terminée en 1993, fin de carrière politique en 1995 avec son décès, 62 ans de carrière politique presque ininterrompue, c'est pas mal. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 27 juin 2012 à 13:01 (CEST)
- Ce n’est peut-être pas un record, mais je me souviens de la haute silhouette d’Hippolyte Ducos, député de 1919 à 1970 (avec interruption entre 1940 et 1951). Morburre (d) 27 juin 2012 à 16:09 (CEST)
- Et Charles Edmond Mathis, qui n'a pas eu une carrière de député extraordinaire, mais alors comme maire, pardon ! 72 ans au total... Oblomov2 (d) 28 juin 2012 à 14:25 (CEST)
- Ce n’est peut-être pas un record, mais je me souviens de la haute silhouette d’Hippolyte Ducos, député de 1919 à 1970 (avec interruption entre 1940 et 1951). Morburre (d) 27 juin 2012 à 16:09 (CEST)
- Dans le genre, Édouard Frédéric-Dupont est pas mal aussi : il a traversé trois républiques et quatre régimes comme élu, premier mandat en 1933, première députation en 1935, dernière en 1988, terminée en 1993, fin de carrière politique en 1995 avec son décès, 62 ans de carrière politique presque ininterrompue, c'est pas mal. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 27 juin 2012 à 13:01 (CEST)
de la taille des vocabulaires anglais et français
modifierBonjour à tous,
J'étais persuadé que la langue française comportait plus de mot que la langue anglais mais, après quelques recherches sur le web, je me rends compte que ce n'est pas du tout le cas : le français en aurait moins de 100 000 quand l'anglais dépasserait les 300 000 mots ! Cependant, tous ces chiffres me semblent douteux... quelle est la définition d'un "mot" ? est-ce qu'il faut compter les mots oubliés du grand public ? etc.
Pouvez-vous m'orienter vers des documents sérieux étudiant l'étendu des vocabulaires anglais et français ? Merci d'avance ! Kfadelk (d) 27 juin 2012 à 13:35 (CEST)
- Tous ces chiffres sont effectivement douteux, et vos remarques sont justifiées. Le Wiktionnaire en est à 191 090 pour le français (hors noms propres, mais avec les locutions), et on en ajoute tous les jours, cf Wiktionnaire:Statistiques. Le TLFi est probablement autour de 200 000, et ce ne sont souvent pas les mêmes que le Wiktionnaire.
- Le Wiktionnaire en français n'est pas assez avancé en langue anglaise pour envisager une comparaison, et la version anglaise du Wiktionnaire n'a pas de tableau directement comparable (tjs le problème de définir ce qu'est un mot). --GaAs (d) 27 juin 2012 à 16:41 (CEST)
- NB : pour le TLFi, l'article wp indique 100 000, mais il y a bcp de mots qui n'ont pas d'entrée propre (il sont mentionnés en fin d'article d'un mot principal), d'où mon estimation. --GaAs (d) 27 juin 2012 à 17:05 (CEST)
- Salut. Pas de document sérieux à te signaler mais je suis assez d'accord avec GaAs. On trouve ces données couramment mais elles ne sont que partiellement exactes et ne tiennent pas compte d'un fait : en anglais une même réalité ou un même concept s'énonce souvent en deux, voire trois mots différents.
- Pour le premier point, les dictionnaires courants de l'anglais, spécialement britanniques, ont bien plus tendance que ceux du français à être exhaustifs sur les vocabulaires techniques, régionaux ou archaïques, la donnée porte donc non pas sur l'ensemble du vocabulaire des deux langues mais sur les usuels les plus répandus dans les deux langues.
- Pour le second point, c'est lié à l'histoire de l'Angleterre : après le peuplement brittonique ancien dont les langues ne subsistent qu'à l'état de vestiges dans l'anglais actuel, il y a une première couche linguistique anglo-saxonne, le vieil anglais, à laquelle s'ajoute une couche anglo-normande, et enfin une langue élevée, universitaire et diplomatique, qui comporte énormément de latinismes (il est d'ailleurs amusant de lire des mémoires universitaires en anglais, on se demande parfois si on n'est pas en train de lire du latin...), ce qui fait donc, comme dit, qu'un fait (concret ou abstrait) peut comporter jusqu'à trois synonymes exacts qui n'indiquent alors pas une nuance de sens mais de niveau de langue.
- L'exemple classique de ce fait est la plaque qui figurait (et figure peut-être encore) dans les bus et dans le métro de Londres, avec les deux phrases « It's forbidden to spit » / « Please do not expectorate », l'une anglo-saxonne, l'autre anglo-normande, spit et expectorate ayant strictement le même sens. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 27 juin 2012 à 17:17 (CEST)
- spit, not split. Youri Caine (d) 27 juin 2012 à 19:03 (CEST) Ce qui est rigolo c’est qu’on a déjà vu cette interdiction de scinder sur l’Oracle : là... rv 27 juin 2012 à 19:19 (CEST)
- Ah merci rv, j'avais oublié celle-là ! Et ça me fait du bien ce soir, de sourire un peu. Bisous, --Égoïté (d) 27 juin 2012 à 23:15 (CEST)
- spit, not split. Youri Caine (d) 27 juin 2012 à 19:03 (CEST) Ce qui est rigolo c’est qu’on a déjà vu cette interdiction de scinder sur l’Oracle : là... rv 27 juin 2012 à 19:19 (CEST)
Je n’ai pas de source particulière, mais le Français est l'une des grandes langues modernes comportant le moins de mots, quelque soit la définition du terme de "mot". Un moyen simple de s’en rendre compte est de regarder les dictionnaires bilingues français-allemand, français-italien, français-espagnol ou français-anglais. La partie française est systématiquement plus petite que la partie dans l’autre langue. Je crois que cela renvoie à la construction historique du Français, qui est une langue artificielle et hautement codifiée, depuis le XVIIe siècle. L’Académie française a historiquement passé une grande partie de son temps à "purifier" la langue de tout ce qui lui semblait impur. Les Français ont fait leur ce rapport à la langue, et sont souvent méfiants à l’égard des néologismes (en particulier s’ils viennent de l’anglais). L’anglais est par contre la grande langue moderne qui a le plus de vocabulaire. C’est d’ailleurs une des grandes difficultés de l’anglais, dès lors que l’on veut bien le parler : il y a des listes presque infinies de vocabulaire à apprendre.
Je me permettrais de complexifier ce que dit Olivier. Contrairement à ce qu’il dit, ce n’est pas à proprement parler les doublets anglo-saxon/anglo-normand qui sont la cause de cette richesse. Les doublons anglo-saxon/franco-normand ne sont pas si nombreux que cela. Ils ne concernent que des points de base de la langue (les réalités qu’on pouvait rencontrer à l’époque de la conquête, le XIe siècle). Par exemple, "expectorate" n’est pas du tout un mot anglo-normand. C’est un mot qui date du XVIIe siècle, et qui est d’origine latine, soit à travers le vocabulaire "savant" de l’époque, soit à travers le français (je n’ai pas de bon dictionnaire d’étymologie sous la main). En fait, l’anglais a continué longtemps après la conquête à emprunter des mots au français (il y a eu une deuxième grande vague d’emprunt au XVII et XVIIIe siècle), le français étant la langue des élites du temps, et au latin, langue savante. Une des causes de la richesse du vocabulaire anglais, c’est donc plutôt l’existence de tous ces doublets : anglo-saxon/anglo-normand, mais également anglo-saxon/français moderne ou anglo-saxon/latin. Et même ces doublets ne sont qu'une des causes de la richesse de l’anglais (il y en a d’autres : l’absence de tradition de forte codification centralisé de la langue ; les mots créés dans le vaste espace post-colonial britannique ; le fait que ce soit la langue de la "technologie" aujourd’hui, ce qui suscite de nombreuses créations de mots, etc.). gede (d) 28 juin 2012 à 09:41 (CEST)
- En donnant mon exemple je me suis aussi dit que ce n'était pas si représentatif de l'anglo-normand (please l'est beaucoup plus) mais je mentionnais aussi la langue savante dans mon premier message, en indiquant qu'il y a en anglais trois niveaux de langue, le plus élevé étant fortement latinisé. On peut dire que, si dans les deux langues le niveau de langue est à la fois une affaire de syntaxe et de vocabulaire, en français la différence se fait plutôt sur la syntaxe, en anglais plutôt sur le vocabulaire. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 28 juin 2012 à 10:18 (CEST)
- Par ailleurs, j’aimerais bien que tu donnes une source pour cette histoire de pancarte. Tu l’as racontée plusieurs fois, plusieurs fois j’ai vainement cherché sur internet si je trouvais une image de cette pancarte et des commentaires sur sa raison d’être. J’en viens à suspecter que ça soit une urbaine légende. rv 28 juin 2012 à 12:20 (CEST)
- Non, c'est un fait, mais un fait ancien, j'ai vu ça dans un ouvrage très sérieux (avec photo à l'appui), mon manuel d'anglais de 6° ou de 5°, je ne sais plus, mais ça date : j'ai appris l'anglais sur les bancs de l'école il y a 40 ans, et mon manuel datait déjà un peu (je dirai, deuxième moitié de la décennie 1960). Non pas une légende urbaine donc, mais une réalité ancienne, comme les pancartes trilingues français-allemand-italien qu'on voyait encore il y a 4 ou 5 lustres, qui prévenaient sur les risques à se pencher par la fenêtre du compartiment. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 28 juin 2012 à 13:38 (CEST)
- Do not lean out of the window - E pericoloso sporgersi - Nicht hinauslehnen - Niet naar buiten leunen... Oblomov2 (d) 29 juin 2012 à 08:27 (CEST)
- Non, c'est un fait, mais un fait ancien, j'ai vu ça dans un ouvrage très sérieux (avec photo à l'appui), mon manuel d'anglais de 6° ou de 5°, je ne sais plus, mais ça date : j'ai appris l'anglais sur les bancs de l'école il y a 40 ans, et mon manuel datait déjà un peu (je dirai, deuxième moitié de la décennie 1960). Non pas une légende urbaine donc, mais une réalité ancienne, comme les pancartes trilingues français-allemand-italien qu'on voyait encore il y a 4 ou 5 lustres, qui prévenaient sur les risques à se pencher par la fenêtre du compartiment. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 28 juin 2012 à 13:38 (CEST)
- Par ailleurs, j’aimerais bien que tu donnes une source pour cette histoire de pancarte. Tu l’as racontée plusieurs fois, plusieurs fois j’ai vainement cherché sur internet si je trouvais une image de cette pancarte et des commentaires sur sa raison d’être. J’en viens à suspecter que ça soit une urbaine légende. rv 28 juin 2012 à 12:20 (CEST)
- CQui (d) J'ai souvent entendu dire que si le nombre de mots de l'anglais etait plus grand que pour le francais, l'anglophne moyen avait un vocabulaire plus limité[réf. nécessaire]. --28 juin 2012 à 11:42 (CEST)
- Si l'"l'anglophne moyen" c'est un caissier de station service à Twin Falls, ça ne fait aucun doute ! (crois en mon expérience) --MGuf (d) 29 juin 2012 à 09:54 (CEST)
- ... si on prend comme français moyen un foutbolleur de l'équipe de France, la comparaison pourrait ne pas être en notre faveur ... v_atekor (d) 29 juin 2012 à 11:11 (CEST)
- Merci à tous ! Kfadelk (d) 29 juin 2012 à 14:06 (CEST)
- Je crois que la remarque de Cqui et la question initiale elle même incorporent un cliché fondateur de l’identité française, c’est-à-dire de la manière dont nous nous définissons en tant que nation. Nous avons la certitude, en tant que Français, de parler une langue très subtile, aux infinies nuances -qui n’a, en fait, en tant que langue littéraire, pas de vraie rivale. Et quelque part, nous avons la croyance que nous participons tous à cette substance sacrée et, donc, que nous sommes associés à sa grandeur, dès lors que nous parlons français. La réalité est infiniment plus triviale : par exemple, notre langue est plutôt pauvre en vocabulaire (Ironiquement, il en est ainsi notamment en raison de cette croyance, qui nous fait épurer notre langue en permanence de tous les mots "impurs" qui pourraient atteindre son essence sacrée, en particulier tous ceux originaires de l’anglais. Si les Anglais avaient eu la même obsession, leur langue serait plus pauvre d’au moins 30% de son vocabulaire...). Et il n’y a aucune raison particulière de penser que les Américains ou les Anglais des classes populaires connaissent moins de vocabulaire que les Français des mêmes milieux sociaux. Si ce n’est ce stéréotype dont nous tirons une si grande fierté, et qui nous permet d’abolir et même d’inverser le rapport de force symbolique que nous entretenons avec eux : car, en attendant, ce sont bien de ces types incultes que vient une part essentielle de notre culture, à commencer par la musique que nous écoutons ou pratiquons (du jazz en passant par le rock jusqu’au R’n’B -tous genres créés par ces classes populaires). gede (d) 30 juin 2012 à 15:07 (CEST)
- C’est marrant, mais je crois que c’est toi qui énonce des clichés (sur ce que les français penseraient de leur langue). Je soupçonne que la plupart des français n’ont pas la moindre opinion à ce sujet, et s’en tamponnent furieusement le coquillard... s’en battent l’œil et le flanc gauche. rv1729 30 juin 2012 à 19:23 (CEST)
- PS il est possible que (dans le sillon de Rivarol ?) certains « lettrés » du 19e siècle ou du 20e aient professé ce genre de chose, je l’ai lu si souvent qu’il doit y avoir un fond de vérité... je veux bien. Mais aujourd’hui, être lettré c’est être fluent en anglais (et dans certains cas truffer sa conversation d’anglicismes...) et non se flatter d’avoir la plus belle langue du monde ! À mon avis tout ça date un peu. rv
- J’ai écris cela, parce qu’aujourd’hui même, j’ai lu sur le blog d’Assouline une variation sur ce cliché. Je cite : "Il est indéniable que la littérature française est latine. Pour preuve de la richesse des temps verbaux de notre langue, les auteurs évoquent les deux premières phrases de la Recherche, et leur capacité à exprimer le projet proustien de faire revivre le passé dans le présent, par l’opposition du passé composé et de l’imparfait, qu’ils disent intraduisible dans la plupart des autres langues." Quant à la quasi certitude que bien des Français ont que l’Américain moyen est un gros inculte : ais-je besoin de trouver des sources ? gede (d) 30 juin 2012 à 20:52 (CEST)
- En tout cas, il n'est pas très difficile de sourcer le fait que l'Américain moyen est gros et inculte. Grasyop ✉ 30 juin 2012 à 23:36 (CEST)
- Oui, tu as besoin de trouver des sources. J’ai l’impression que tu ne fréquentes pas beaucoup les milieux populaires, où pour beaucoup de gens les ÉUA sont avant tout l’« Amérique ». et où on n’a pas l’habitude de se flatter soi-même d’être cultivé et raffiné. rv1729 1 juillet 2012 à 10:22 (CEST)
- Je ne parlais pas particulièrement des milieux populaires français pour ce stéréotype sur les Américains. Voilà une source (vraiment pas dur d’en trouver une). C’est le cliché n°2 : [1]. --gede (d) 1 juillet 2012 à 11:22 (CEST)
- En général, on appelle « idée reçue », « cliché », « stéréotype », « a priori », une idée que l'on considère comme fausse ou caricaturale et que l'on s'efforce de démentir. Or là, l'essentiel de l'article les étaye ! (Fût-ce en partie par des arguments douteux, comme cette vidéo certainement jouée.) Grasyop ✉ 1 juillet 2012 à 15:08 (CEST)
- Je viens de faire le "test de google" que suggère l’article que je cite au dessus. C’est amusant. Il faut aller sur google en français et taper dans la barre de recherche "les américains sont". La première suggestion de complétion est "stupides".§ La deuxième "gros". La troisième "nuls en géographie". gede (d) 1 juillet 2012 à 11:31 (CEST)
- Si on en est rendus à des techniques d’investigation de ce niveau, j’abandonne la discussion et te laisse à tes préjugés. Note quand-même que s’agissant de clichés aussi galvaudés, il n’est pas surprenant qu’il soit « pas dur » de trouver des folliculaires qui s’en fassent l’écho... pour ma part j’ai des gros doutes, j’ai le sentiment que pour beaucoup de gens l’Amérique est le pays de rêve de tout un tas de séries télé, et que les Américains sont avant tout les gens qui ont marché sur la Lune et botté le cul des nazis (perso, j’ai commencé à entendre du mal « des Américains » à partir de bac + 3. Au collège et au lycée les superlatifs manquaient pour qualifier ce pays de rêve...). Partant de là, oui, je demande une enquête sociologique sur la perception des Étazuniens par les Français, pas les opinions à deux balles d’un tireur à la ligne visiblement en mal de copie. rv1729 1 juillet 2012 à 13:57 (CEST) La sagesse des nations selon google : les français sont des veaux, des moutons, racistes.
- "clichés aussi galvaudés" : il faut savoir. Il est ou non galvaudé ce cliché ? Tu ne peux pas dire à la fois qu'il n’existe pas et qu’il est tellement galvaudé qu'il n’est pas difficile de trouver des sources qui s’en faut l’écho. En ajoutant un peu d’ironie en guise d’argumentation. Par ailleurs, et pour le coup, les stéréotypes sur les nationalités sont souvent multiples et incohérents. Une nation pense sur les autres des choses qui sont contradictoires. Ce que tu dis sur les Américains est par exemple exact : ce stéréotype (les Etats-Unis pays de rêve) a été particulièrement fort après guerre, et notamment dans les classes populaires. Il l’est moins aujourd’hui, mais il demeure (et s’actualise de manière différente en fonction des milieux sociaux : passion du western et de la country dans les classes populaires notamment du Nord, passion pour New-York dans les milieux intellectuels, etc.). Mais cela n’a jamais interdit à ce stéréotype de coexister avec celui que j’indique. La raison en est que ces stéréotypes ne visent pas à décrire objectivement le monde, mais à nous définir en rapport à celui-ci. Ils répondent à des besoins pragmatiques, et n'ont pas à être cohérents pour remplir ces besoins, bien au contraire. C’est précisément parce que nous vivons entouré par la culture américaine, que nous sommes dans le fond fascinés par elle, que nous pensons que les Américains sont incultes : cela nous permet d’annuler symboliquement une partie de cette domination symbolique. Dans le cas des Français, ce besoin est d’autant plus grand que nous nous pensons et définissons comme ayant un lien direct avec l’universel, en particulier par notre culture. Il nous est difficile, plus qu’à d’autres nations, d’accepter la présence d’une culture dotée d’une universalité sans doute plus grande que la nôtre. Et c’est à partir de là que ce cliché prolifère -tout en vivant avec d’autres qui renvoient à d’autres besoins identitaires. J’avais écrit, il y a longtemps, la partie de l’article anglais qui traite de cette "compétition de l’universel" comme racine des stéréotypes américains sur la France et les Français : car il y a, sur ce point, partiellement symétrie: [2]. gede (d) 1 juillet 2012 à 14:44 (CEST)
- Si on en est rendus à des techniques d’investigation de ce niveau, j’abandonne la discussion et te laisse à tes préjugés. Note quand-même que s’agissant de clichés aussi galvaudés, il n’est pas surprenant qu’il soit « pas dur » de trouver des folliculaires qui s’en fassent l’écho... pour ma part j’ai des gros doutes, j’ai le sentiment que pour beaucoup de gens l’Amérique est le pays de rêve de tout un tas de séries télé, et que les Américains sont avant tout les gens qui ont marché sur la Lune et botté le cul des nazis (perso, j’ai commencé à entendre du mal « des Américains » à partir de bac + 3. Au collège et au lycée les superlatifs manquaient pour qualifier ce pays de rêve...). Partant de là, oui, je demande une enquête sociologique sur la perception des Étazuniens par les Français, pas les opinions à deux balles d’un tireur à la ligne visiblement en mal de copie. rv1729 1 juillet 2012 à 13:57 (CEST) La sagesse des nations selon google : les français sont des veaux, des moutons, racistes.
- Je ne parlais pas particulièrement des milieux populaires français pour ce stéréotype sur les Américains. Voilà une source (vraiment pas dur d’en trouver une). C’est le cliché n°2 : [1]. --gede (d) 1 juillet 2012 à 11:22 (CEST)
- J’ai écris cela, parce qu’aujourd’hui même, j’ai lu sur le blog d’Assouline une variation sur ce cliché. Je cite : "Il est indéniable que la littérature française est latine. Pour preuve de la richesse des temps verbaux de notre langue, les auteurs évoquent les deux premières phrases de la Recherche, et leur capacité à exprimer le projet proustien de faire revivre le passé dans le présent, par l’opposition du passé composé et de l’imparfait, qu’ils disent intraduisible dans la plupart des autres langues." Quant à la quasi certitude que bien des Français ont que l’Américain moyen est un gros inculte : ais-je besoin de trouver des sources ? gede (d) 30 juin 2012 à 20:52 (CEST)
- Visiblement je n’ai pas été assez clair : le cliché, en l’occurrence, c’est que les Français méprisent les Américains. J’exprime des doutes. Voilà. Quant à ces subtiles histoires d’universalité, il me paraît évident que ça ne concerne que les classes intellectuelles. Je n’ai pris conscience du fait que la France pouvait prétendre à être un pays connu dans le monde entier que longtemps après avoir passé ma thèse de doctorat (en fait, après plusieurs années passées à l’étranger). Nous ne sommes pas du même monde... rv1729 1 juillet 2012 à 14:48 (CEST)
- C’est sûr que si l’argument est "nous ne sommes pas du même monde", cela donne une folle envie de poursuivre cette conversation. Parce que là, on touche le fond. gede (d) 1 juillet 2012 à 15:30 (CEST)
- Je suppose qu'Hervé ne l'entendait pas comme ça, mais j'avoue ne pas comprendre non plus ce qu'il a voulu dire. Grasyop ✉ 1 juillet 2012 à 15:35 (CEST)
- Que j’en ai plein le cul d’avoir l’impression que Gede me prend de haut ? rv1729 1 juillet 2012 à 23:53 (CEST)
- Je t'invite à te calmer sur cette histoire RV, merci d'avance. Comme tu ne l'ignores pas, l'attaque ad hominem est l'argument de celui qui n'a pas d'argument. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 2 juillet 2012 à 00:03 (CEST)
- Je ne suis pas certain de m’être livré à une attaque ad hominem ni même ad personam, mais passons.
- Je ne dis rien de très compliqué : j’ai parfois lu que les Français sont persuadés que leur langue est la plus subtile de l’Univers ; j’ai également beaucoup entendu dire que les Français méprisent les Américains ; je l’ai beaucoup moins constaté ; je suppose donc qu’il s’agit de deux clichés. C'est tout. Les preuves sont peut-être plus ou moins faciles à trouver, mais enfin ! Oui, l’imperméabilité de Gede à mon propos, sa façon de débiter une fatrasie de théories subtiles supposées expliquer le fait en question — à défaut de le prouver — me mettent, je l’avoue, hors de moi. J’ai sincèrement l’impression d’être pris pour un con, oui, puis-je le dire sans prendre un carton rouge, Monsieur l’Arbitre ? rv1729 2 juillet 2012 à 00:18 (CEST)
- Je crois que tout cela ne mérite pas d’en arriver là. Parce que je t’aime bien RV (aucune ironie, ici). Et je ne te prend pas de haut. Par contre, il est assez difficile d’être entièrement aimable avec quelqu'un qui parle "de me laisser à mes préjugés", alors que la conversation est à peine engagée. Puis qui en rajoute une couche avec le "nous ne sommes pas du même monde", pour finir par m’accuser de développer un "fatraserie de théories subtiles" à des fins captieuses. Tout cela n’est pas quand même pas très gentil, RV. Et tu ne peux pas t’attendre, en retour, à une entière cordialité. Pour le reste, dans ta dernière intervention, ton argumentation devient vraiment claire, et je crois que tu as tort. Je t’accorde (on dispose d’enquêtes d’opinion dans ce sens) que l’antiaméricanisme est surtout présent chez ceux qui ont des diplômes élevés, et l’est beaucoup moins dans les milieux populaires (même si ce type de perception n’y est pas absent non plus). Je ne connais pas d’enquête d’opinion portant spécifiquement sur l’idée que peuvent avoir les Français que l’Américain moyen est inculte. Mais je suppose, sans preuve, qu'il répond à une distribution sociologique équivalente. Voilà. (sinon, je t’encourage à lire l’article de Bourdieu qui est à l'origine de la "fatraserie de théories subtiles" : il est bref et très bon). --gede (d) 2 juillet 2012 à 01:25 (CEST)
- Bon, je te présente mes excuses pour avoir été si peu clair et si soupe-au-lait. rv1729 2 juillet 2012 à 16:46 (CEST)
- Pas de problème. gede (d) 3 juillet 2012 à 14:11 (CEST)
- Bon, je te présente mes excuses pour avoir été si peu clair et si soupe-au-lait. rv1729 2 juillet 2012 à 16:46 (CEST)
- Je crois que tout cela ne mérite pas d’en arriver là. Parce que je t’aime bien RV (aucune ironie, ici). Et je ne te prend pas de haut. Par contre, il est assez difficile d’être entièrement aimable avec quelqu'un qui parle "de me laisser à mes préjugés", alors que la conversation est à peine engagée. Puis qui en rajoute une couche avec le "nous ne sommes pas du même monde", pour finir par m’accuser de développer un "fatraserie de théories subtiles" à des fins captieuses. Tout cela n’est pas quand même pas très gentil, RV. Et tu ne peux pas t’attendre, en retour, à une entière cordialité. Pour le reste, dans ta dernière intervention, ton argumentation devient vraiment claire, et je crois que tu as tort. Je t’accorde (on dispose d’enquêtes d’opinion dans ce sens) que l’antiaméricanisme est surtout présent chez ceux qui ont des diplômes élevés, et l’est beaucoup moins dans les milieux populaires (même si ce type de perception n’y est pas absent non plus). Je ne connais pas d’enquête d’opinion portant spécifiquement sur l’idée que peuvent avoir les Français que l’Américain moyen est inculte. Mais je suppose, sans preuve, qu'il répond à une distribution sociologique équivalente. Voilà. (sinon, je t’encourage à lire l’article de Bourdieu qui est à l'origine de la "fatraserie de théories subtiles" : il est bref et très bon). --gede (d) 2 juillet 2012 à 01:25 (CEST)
- Je t'invite à te calmer sur cette histoire RV, merci d'avance. Comme tu ne l'ignores pas, l'attaque ad hominem est l'argument de celui qui n'a pas d'argument. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 2 juillet 2012 à 00:03 (CEST)
- Que j’en ai plein le cul d’avoir l’impression que Gede me prend de haut ? rv1729 1 juillet 2012 à 23:53 (CEST)
- Je suppose qu'Hervé ne l'entendait pas comme ça, mais j'avoue ne pas comprendre non plus ce qu'il a voulu dire. Grasyop ✉ 1 juillet 2012 à 15:35 (CEST)
- C’est sûr que si l’argument est "nous ne sommes pas du même monde", cela donne une folle envie de poursuivre cette conversation. Parce que là, on touche le fond. gede (d) 1 juillet 2012 à 15:30 (CEST)
- Je crois que la remarque de Cqui et la question initiale elle même incorporent un cliché fondateur de l’identité française, c’est-à-dire de la manière dont nous nous définissons en tant que nation. Nous avons la certitude, en tant que Français, de parler une langue très subtile, aux infinies nuances -qui n’a, en fait, en tant que langue littéraire, pas de vraie rivale. Et quelque part, nous avons la croyance que nous participons tous à cette substance sacrée et, donc, que nous sommes associés à sa grandeur, dès lors que nous parlons français. La réalité est infiniment plus triviale : par exemple, notre langue est plutôt pauvre en vocabulaire (Ironiquement, il en est ainsi notamment en raison de cette croyance, qui nous fait épurer notre langue en permanence de tous les mots "impurs" qui pourraient atteindre son essence sacrée, en particulier tous ceux originaires de l’anglais. Si les Anglais avaient eu la même obsession, leur langue serait plus pauvre d’au moins 30% de son vocabulaire...). Et il n’y a aucune raison particulière de penser que les Américains ou les Anglais des classes populaires connaissent moins de vocabulaire que les Français des mêmes milieux sociaux. Si ce n’est ce stéréotype dont nous tirons une si grande fierté, et qui nous permet d’abolir et même d’inverser le rapport de force symbolique que nous entretenons avec eux : car, en attendant, ce sont bien de ces types incultes que vient une part essentielle de notre culture, à commencer par la musique que nous écoutons ou pratiquons (du jazz en passant par le rock jusqu’au R’n’B -tous genres créés par ces classes populaires). gede (d) 30 juin 2012 à 15:07 (CEST)
- C'est amusant parce que lorsque j'ai posé initialement cette question, je n'ai pas pensé un seul instant aux américains mais bien à nos amis d'outre-manche ! Si les clichés sur la prétendue inculture des américains sont effectivement courants, il n'en est pas de même des anglais... il me semble pourtant difficile de lier la richesse de la langue anglaise à la supposée inculture américaine. Kfadelk (d) 2 juillet 2012 à 09:40 (CEST)
N'y a-t-il pas aussi une différence entre le français et les langues anglo-saxonnes dans la préférence de la première à recourir à des locutions plutôt qu'à agglutiner les mots. J'ai cherché un exemple dans la catégorie Pomme de terre comparée à la cat Kartoffel. On trouve par exemple comme équivalent allemand de « planteuse de pomme de terre », Kartoffellegemaschine. Ce dernier est un mot supplémentaire alors que l'expression française n'est pas lexicalisée comme telle dans les dictionnaires. C'est la même chose dans d'autres langues nordiques. Ce phénomène doit expliquer au moins en partie la différence de taille des vocabulaires. Spedona (d) 2 juillet 2012 à 14:02 (CEST)
Chattra Union au Bangladesh
modifierBonjour,
Je ne trouve quasiment aucune info sur la Chattra Union; s'agit-il de l'aile politique d'un parti (comme le Chattra Dal pour le BNP ou la Chattra League pour la Ligue Awami), ou bien d'un parti distinct (plutôt proche ou éloigné du BNP, de la Ligue Awami, du JSD...?)
Merci. Apokrif (d) 27 juin 2012 à 19:44 (CEST)
- Bonjour, si ça s'écrit plutôt Chhatra Union, il y a des info ici, qui dit que c'est un mouvement étudiant créé en 1952 connu aussi sous le terme de "Bangladesh Students Union (BSU)". --Epsilon0 ε0 28 juin 2012 à 00:30 (CEST)
traduction
modifierje cherche désespérement a traduire un e prhase en francais vers le latin merci
- Indiquez votre phrase ici, nous avons quelques latinistes distingués qui se feront un plaisir de vous répondre. Dhatier jasons-z-en 27 juin 2012 à 20:46 (CEST)
- Suggestion : « je cherche désespérément à respecter l'orthographe et la typographie. » Chiche ! --Égoïté (d) 27 juin 2012 à 23:18 (CEST)
fluide non newtonien rhéoépaississant
modifierBonjour !
Je passe prochainement mon TIPE aux concours CPGE, et un détail me taraude :
les modèles d'Ellis, de Williamson, équation de Shangraw, loi de Cross, Krieger, Carreau
sont applicables à tous les types de fluides ou uniquement aux fluides rhéofluidifiants ?
- déjà pour commencer, relisons la définition d'un fluide et en particulier celle d'un Fluide rhéofluidifiant ou pseudoplastique
- ensuite les équations des modèles d'Ellis, de Williamson, équation de Shangraw et loi de Cross sont explicités sur ce site :
- http://patrick.kohl.pagesperso-orange.fr/rheologie/rheo_1.htm
- bon courage--Moulins (d) 28 juin 2012 à 19:06 (CEST)
- d'après cette dernière sources, les modèles d'Ellis, de Williamson, équation de Shangraw et loi de Cross me semblent valables uniquement pour les fluides rhéofluidifiants. pour les autres fluides, voici quelques modèle proposé par Patrick Kohl :
- fluides newtoniens : modèle de Newton
- liquides rhéoépaississants : équation d'Ostwald avec n > 1.
- liquides plastiques: modèle newtonien au delà du seuil.
- liquides plastiques non idéaux qui possèdent un comportement plastique fluidifiant : Modèle de Casson
- Pour les modèles de Krieger et Carreau, je ne sais pas. cordialement, --Moulins (d) 30 juin 2012 à 01:21 (CEST)
- d'après cette dernière sources, les modèles d'Ellis, de Williamson, équation de Shangraw et loi de Cross me semblent valables uniquement pour les fluides rhéofluidifiants. pour les autres fluides, voici quelques modèle proposé par Patrick Kohl :
Traduction d'une phrase en Latin
modifierBonjour, une des dernière question m'a donner l'idée de la poster, en fait, c'est une question que j'avais posté il y a quelques mois, mais personne n'avais répondu.
Donc, J'aimerai savoir s'il vous plais, la traduction de cette locution, en Latin.
J'adorerais changer le monde, mais ils ne veulent pas me fournir le code source.
(citation d'un certain Kazaekiel, administratrice du fansite transformice)
Merci et bonne journée :) -- Le Q-rieux ⚜ ♫♪♫♪ 28 juin 2012 à 15:30 (CEST)
- Salut Q-rieux, il me semble que ta question avait trouvé une réponse, mais il fait trop chaud pour que je recherche le lien. Si tu remontes dans ton historique oraculaire tu devrais retrouver ça. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 28 juin 2012 à 16:46 (CEST)
- Ici. À part ça, google translate propose le latin comme langue cible. rv 28 juin 2012 à 16:54 (CEST)
- traduction au marteau et à la fourchette : mutare mundi amem nisi fons codex no haben dedit. Avec plus que de grosses réserves v_atekor (d) 29 juin 2012 à 08:39 (CEST)
- Effectivement, ça risquerait de surprendre Cicéron. Allez, je me lance à mon tour (après quelques recherches), je propose : Mihi mundum mutare delectandum, archetypum tamen codex non deditum. Qui dit mieux ? Oblomov2 (d) 29 juin 2012 à 12:08 (CEST)
- Mieux. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 29 juin 2012 à 14:44 (CEST)
- Effectivement, ça risquerait de surprendre Cicéron. Allez, je me lance à mon tour (après quelques recherches), je propose : Mihi mundum mutare delectandum, archetypum tamen codex non deditum. Qui dit mieux ? Oblomov2 (d) 29 juin 2012 à 12:08 (CEST)
Non-départ en 100m
modifierBonjour à toutes et tous. Je viens de lire le déroulement de la finale du 100m remporté par Christophe Lemaitre aux Championnats d'Europe à Helsinki et il y a quelque chose que je ne comprends pas. Le premier départ a été annulé pour « non-départ » de Rytis Sakalauskas ! Alors là, j'ai deux questions en une : 1) pourquoi n'est-il pas parti ? 2) pourquoi le non-départ d'un concurrent entraîne-t-il un nouveau départ ? (tant pis pour lui, non ? surtout qu'apparemment il a encore fait de même lors du 3e départ, non annulé... Bref, j'ai du mal à comprendre !) --TwøWiñgš Boit d'bout 28 juin 2012 à 21:30 (CEST)
- D'après les règlements (règle 162, point 5) de l'Association internationale des fédérations d'athlétisme (en anglais), si un coureur ne se prépare pas à s'élancer au moment où le préposé au départ donne le signal 'prêt', ce dernier doit annuler le départ. Dhatier jasons-z-en 28 juin 2012 à 22:22 (CEST)
- Pour cette course c'est inexplicable puisque pour les trois départs le coureur en question était bien en position « prêt », simplement il n'est pas parti. D'ailleurs, le troisième départ, exactement semblable au premier, n'a pas été annulé. Plus étrange, le règlement précise que « si un carton jaune (d'avertissement) est présenté à un athlète pour "attitude incorrecte" par le starter (exemple un lever de main abusif), le carton vert doit être présenté à tous les athlètes car ce carton jaune n'est pas un carton de faux départ mais d'avertissement », ce qui s'est passé lors du premier départ, donc le carton rouge donné à Simone Collio était injustifié puisque ce deuxième départ était réglementairement le premier faux départ et qu'en tout cas le carton vert annulait l'effet du premier carton jaune. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 29 juin 2012 à 12:13 (CEST)
- Pour vérification, cette vidéo (russe) où l'on voit que Sakalauskas s'est mis en position après le « Ready ! » du starter, ne fait aucun signe et simplement ne part pas – d'ailleurs, au deuxième start il a un temps de réaction énorme, pas loin d'une seconde. Vers 4'35" on voit aussi l'exhibition du carton vert. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 29 juin 2012 à 12:27 (CEST)
- Voilà pourquoi je n’ai jamais fait de sport, c’est trop compliqué. Morburre (d) 29 juin 2012 à 13:06 (CEST)
- Bon, ça me confirme que c'est bizarre, cette course... Mais Sakalauskas s'est-il expliqué sur les raisons de ses deux non-départs ? --TwøWiñgš Boit d'bout 29 juin 2012 à 17:30 (CEST)
- Voilà pourquoi je n’ai jamais fait de sport, c’est trop compliqué. Morburre (d) 29 juin 2012 à 13:06 (CEST)
- Petite correction, apparemment j'ai raté une autre modification du règlement puisque, dans d'autres courses, j'ai pu constater que les coureurs étaient éliminés dès le premier faux-départ. Dur dur... -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 30 juin 2012 à 20:11 (CEST)
Livres de papier
modifierBonjour! J'aimerai savoir à quoi correspond 10 livres de papier?
- Bonjour. À cinq kilos de papier ? Morburre (d) 28 juin 2012 à 21:44 (CEST)
- Ou à vingt demi-livres de papier. Oblomov2 (d) 29 juin 2012 à 08:31 (CEST)
- Ça dépend des livres : si c'est
- dix fois le même, ça sera dix exemplaires,
- dix livres sans rapport entre eux, dix ouvrages,
- dix livres formant une série, dix tomes,
- dix livraisons d'un feuilleton, dix épisodes,
- dans tous les cas, dix volumes.
- -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 29 juin 2012 à 09:29 (CEST)
- Ça dépend des livres : si c'est
- Ou 12,428 euros de papier, soit 10 £. Morburre (d) 29 juin 2012 à 09:51 (CEST)
- (edith)… ou alors 10 livres de papier = 12,275 euros (27 avril 2012) ou un souverain en or (environ 8 grammes) de 1818 à nos jours. — Hautbois [canqueter] 29 juin 2012 à 09:55 (CEST)
- Ou à vingt demi-livres de papier. Oblomov2 (d) 29 juin 2012 à 08:31 (CEST)
Avec les livres numériques, 10 livres correspondent à autant de poids que 1 ou 100. Soit le poids d'une tablette, donc tout dépend de la marque. --TwøWiñgš Boit d'bout 29 juin 2012 à 17:33 (CEST)
Écureur-écureuse à la Poste
modifierBonsoir. Ayant lu dans un article de journal belge qu'il y allait y avoir des pertes d'emplois [3] au niveau des écureuses de Bpost (faut comprendre la poste belge), j'ai évidemment consulté le CNRTL pour ce mot que je ne connaissais pas. La réponse en ligne me laissant sur ma faim [4] (vous le prenez comme vous voulez), j'ai interrogé le journal avec accusé de réception du message e-mail. Total des réponses : 3 lus, 3 non lus mais aucune explication livrée - décidément ce qui concerne la Poste et moi pour le moment... ). Pourriez-vous Ô Pythies me dire quel est cet emploi au XXIe s. dans un service postal ? Merci déjà, --Égoïté (d) 28 juin 2012 à 21:35 (CEST)
- J’ai bien peur que la Caisse d’Épargne française ne licencie ses écureuils. Morburre (d) 28 juin 2012 à 21:51 (CEST)
- Technicien(ne)s de surface ? D’après [5] : Quant aux écureurs [sic], il devait s'agir de ce que de nos jours nous nommerions des techniciens de surface, c'est-à-dire une main d'œuvre non qualifiée, préposée au nettoyage des lieux. Morburre (d) 29 juin 2012 à 08:14 (CEST)
- Mais d’après [6] qui est mieux renseigné, les écureurs étaient des ébarbeurs. Reste à savoir ce qu’on ébarbe à la poste belge. Morburre (d) 29 juin 2012 à 08:19 (CEST)
- (Edith)CQui (d) Écureur et écureur ne donnent rien, que va-t-on devenir... Écureur (en) non plus... --29 juin 2012 à 08:22 (CEST)
- En le prenant par un autre bout, on trouve écurage et écurer, il s'agit donc de nettoyer à fond, et par le TLFi on comprend le sens « ébarber » : « Écurage, subst. masc. Action d'écurer. En partic., métall. Action de nettoyer la tôle destinée au fer blanc », donc entre autre de l'ébarber. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 29 juin 2012 à 09:22 (CEST)
- Sur ce document, on trouve :
- « WOLUWE-SAINT-LAMBERT. - Par arrêté du 18 août 2000 est approuvée la délibération du 28 juin 2000, par laquelle le conseil communal de Woluwe-Saint-Lambert décide de créer deux emplois d'ouvrière auxiliaire (écureuse) au cadre du personnel. »(Et 2 lignes plus loin, le 21 août un autre emploi d'écureuse).
- Si ça peut t'apporter des lumières... --Serged/♥ 29 juin 2012 à 09:34 (CEST)
- J'ai créé écureur avec 2 sens, mais sans plus de sources que vous.
- Pour le mot belge, je suppute qu'en France on dirait récureuse, avec cette manie d'ajouter des re- partout (comme redoubler au lieu de doubler), ce qui collerait bien avec femme de ménage, mais ce n'est qu'une extrapolation perso. --GaAs (d) 29 juin 2012 à 11:54 (CEST)
- Merci. Grâce à la trouvaille de Serged, j'ai pu contacter téléphoniquement l'administration communale de Woluwé-Saint-Lambert qui a confirmé que l'écureur ou écureuse est l'ouvrier (ouvrière) non qualifié employé pour le nettoyage. Ce terme ancien n'est plus d'usage depuis l'instauration, en janvier 1997, d'une "charte sociale" applicable à toutes les administrations de la Région de Bruxelles-capitale. Il équivaut effectivement à "technicien(ne) de surface", "femme d'ouvrage", "femme de ménage".
- Ceci dit, par amusement, je me suis demandé le rapport entre écurer et écurie...ce dernier terme vient de écuyer et historiquement l'écuyer est d'abord un valet mais « Garçon, jeune homme issu de maison noble, non encore armé chevalier, qui accomplit divers services » (CNRTL) en 1100 et je ne sais si ces valets-là étaient tenus d'écurer les écuries... --Égoïté (d) 29 juin 2012 à 14:30 (CEST)
- Autre sens : celui qui cure les puits [7]. --GaAs (d) 29 juin 2012 à 15:18 (CEST)
- Un peu comme un curateur des eaux, mais en moins chic ! Grasyop ✉ 30 juin 2012 à 12:03 (CEST)
- Autre sens : celui qui cure les puits [7]. --GaAs (d) 29 juin 2012 à 15:18 (CEST)
- Technicien(ne)s de surface ? D’après [5] : Quant aux écureurs [sic], il devait s'agir de ce que de nos jours nous nommerions des techniciens de surface, c'est-à-dire une main d'œuvre non qualifiée, préposée au nettoyage des lieux. Morburre (d) 29 juin 2012 à 08:14 (CEST)
- … mais qu'eurent ceux qui n'ont cure de ces curies curieusement dressées contre les curés écureurs écœurés par les cures d'écuries ? — Hautbois [canqueter]
Hugues de Courson - Mozart l'Egyptien
modifierBonjours Je suis musiciens et dirige entre autre un orchestre symphonique. j'aimerai connaitre l'adresse e-mail de ce compositeur pour prendre contacte avec lui dans l'éventualité de monter des extraits de Mozart l'Egyptien. je sais que vous ne voulez pas notre adresse e-mail,mais ma demande est particulière et professionelle.
avec mes remerciements, en souhaitant une réponse favorable Ph.Martin
- Adresse supprimée pour éviter le spam et autres courriers indésirables. Sur le fond, il est improbable que quelqu'un connaisse cette personne sur Wikipedia, même si j'espère que vous aurez des réponses. Orientez vous plutôt vers un annuaire? v_atekor (d) 29 juin 2012 à 12:36 (CEST)
- Ce n'est pas qu'on n'en veut pas, des adresses courriel, c'est que
En savoir plus sur l'utilisation des courriels sur Wikipédia.
- Sinon, l'Oracle n'est pas vraiment l'endroit pour ce genre de demande, l'adresse courriel d'un compositeur n'étant pas vraiment (pour l'heure) une information encyclopédique. L'éditeur du disque Mozart l'égyptien est Virgin Classics, vaut mieux voir par là, ça marchera mieux. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 29 juin 2012 à 12:43 (CEST)
- Il habite dans le 18ème de Paris, selon les pages blanches, et son numéro de téléphone et son adresse postale sont disponibles. Je ne reproduis pas ma recherche ici pour ne pas lui nuire, mais vous devriez pouvoir le joindre facilement. Bertrouf 2 juillet 2012 à 03:49 (CEST)
mon bébé de 6 mois tète ses mains en permanence et ne veut pas de la tétine
modifierbonjour, j'ai un bébé qui auras 6 mois le 5 juillet. il tète énormément ses mains et refuse catégoriquement la tétine. il ne montre pas les signes d'un bébé qui fait ses dents. c'est peut être le besoin de succion, mais à 6 mois en théorie ce besoin devrait diminuer alors que nous observons qu'il ne fait qu'augmenter nous souhaitons savoir si cela est normal ou s'il y a quelconque risque à cela merci de votre précieuse aide bien à vous Zac
- Consultez un pédiatre. Lui seul peut vous dire s'il y a un problème, en tout cas il a plus de chances de vous donner un avis pertinent que des inconnus qui n'ont jamais vu votre bébé ... --Milena (Parle avec moi) 29 juin 2012 à 15:52 (CEST)
c'est un "jeu éducatif" tout à fait normal : il découvre les différentes sensations par la bouche. Sigmund Freud appelait ça le stade oral. voir par exemple le stade oral selon famili.fr. Tant que votre bébé est en bonne santé, demandez plutot des conseils à d'autres mamans, elles sauront vous conseiller parfois aussi bien qu'un pédiatre (et même mieux, à condition qu'il soit bien en bonne santé). --Moulins (d) 29 juin 2012 à 16:59 (CEST)
- Peut-être lit-il Xavier Forneret en cachette : voir ici. (Euh, c'est pour rire, hein ?) Oblomov2 (d) 29 juin 2012 à 17:34 (CEST)
Aucune, mais vraiment aucune raison de s'inquiéter ! Si tu commences à t'inquiéter pour de telles choses, bon courage pour les futures angoisses ! Plus sérieusement, j'ai une fille de 18 mois et un père médecin, et je peux t'assurer que le refus de tétine n'est pas un problème (c'est même peut-être une bonne chose) et que les premières dents peuvent arriver bien plus tard sans qu'il n'y ait de problème à y voir ! Le besoin de succion, quant à lui, peut durer très longtemps. Mais comme dit plus haut, si tu t'inquiètes vraiment, demande à un médecin (généraliste, ça suffit dans un premier temps d'ailleurs, pas besoin d'aller voir un pédiatre pour si peu - si c'est plus grave, le généraliste réorientera si besoin). --TwøWiñgš Boit d'bout 29 juin 2012 à 17:39 (CEST)
- Ton père médecin suce toujours ses mains ?! Je m'inquiéterais quand-même. rv1729 29 juin 2012 à 21:57 (CEST)
Bonjour. D'après mes rapides recherches sur GG, il semble qu'il s'agit du document par lequel une personne (homme ou femme) reçoit la qualité de bourgeois tant en France qu'en Suisse [8] ou en Principauté de Liège.
J'aimerais savoir quelle était l'utilité pour un comte du Saint-Empire romain germanique, Conrard II comte d'Ursel et d'Hoboken, s'établissant à Hermalle-sous-Huy d'obtenir en 1639 une lettre de ce genre de la ville de Liège, ville qui fait partie de la Principauté de Liège qui fait elle-même partie du Saint Empire romain germanique ?
Était-il nécessaire pour lui, par exemple, d'être reconnu « bourgeois » pour pouvoir signer un acte d'achat de propriété ? Ou pour déposer une plainte ? Ou... ? (À noter que Bourgeoisie ne dit rien sur ces lettres). Merci déjà pour vos réponses, --Égoïté (d) 29 juin 2012 à 17:37 (CEST)
- Dans ma recherche j'ai trouvé l'indication, sur cette page qui m'a l'air bien informée, que ça correspondait à la naturalisation. Page intéressante qui permet de bien rappeler que dans les structures politiques anciennes on a affaire à des sujets et donc à une sujétion (dommage que ça renvoie à « domination », la sujétion au sens d'état de sujet dans les régimes anciens pouvant donner matière à d'autres développement). Les États d'avant l'invention de l'État-nation n'ont pas une unité territoriale comparable, chaque seigneur est maître en son domaine, de ce fait appartenir à un même ensemble politique ne fait pas que chacun est libre de s'installer où il veut et d'y acquérir des terres ou des immeubles, pour ça il doit négocier avec le seigneur local et à ceux auxquels il est lié par des obligations et des allégeances. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 29 juin 2012 à 22:31 (CEST)
- Merci Olivier. 1ère réaction : je relis ça demain à tête reposée - et il faut chercher si cela s'applique hors de la "France" de l'époque. 2e réaction : la première source citée est WP ! mais sans davantage de précision... .
- Tout autre commentaire est le bienvenu car j'ai l'impression que cela ne va pas être facile à définir...
- Merci déjà à tous, --Égoïté (d) 29 juin 2012 à 23:07 (CEST)
Bonjour.
Il serait souhaitable que l'auteur de l'article concernant "France Info", justement, révise les informations.
Merci.
- Certes, certes, mais l'Oracle n'a pas de pouvoir spécial quant au contenu des articles, donc...
- Sinon, il n'y a pas un auteur particulier et « révise les informations » sur un article, c'est vague : quelles informations ? -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 30 juin 2012 à 17:33 (CEST)
Lycéenne engagée
modifierBonjour,
Je ne me souviens plus du nom de cette lycéenne (ex-lycéenne) qui a brillé au début des années 2000 pour son implication dans la vie lycéenne. Peut-être une syndicaliste. Laurent Baffie lui avait fait une remarque désobligeante en 2004 sur un plateau télé. Loubna Byl, je ne sais plus, c'est si loin... Merci d'avance.
--178.192.221.154 (d) 30 juin 2012 à 21:30 (CEST)
- Salut. Layla Rahhou de la FIDL ? -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 30 juin 2012 à 23:27 (CEST)
- Non, il m'a semblé avoir vu son article sur Wikipédia.--178.192.221.154 (d) 1 juillet 2012 à 09:23 (CEST)
- Loubna Méliane ? Ancienne de la FIDL aussi, passée à l'émission Tout le monde en parle du 03/01/2004, pas vu toute la vidéo (j'évitais de regarder quand ça passait, c'est pas pour me la tartir en différé...) mais, bien évidemment, il y a Baffie sur le plateau. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 1 juillet 2012 à 11:29 (CEST)
- Non, l'émission que tu me montres est enregistrée antérieurement à 2004. C'était une lycéenne à l'époque qui s'était investie dans la vie scolaire des lycéens, avait défendu des causes. Louna R, lounaby... je ne sais plus. C'était une lycéenne fortement impliquée.--178.192.221.154 (d) 1 juillet 2012 à 11:45 (CEST)
- Julie Coudry? (je ne la connaissais pas mais on en a parlé par ici il y a peu.. Si c'est elle que vous cherchez alors vous avez de la chance) --Floflo (d) 2 juillet 2012 à 00:36 (CEST)
- Non, hélas, merci quand même.--178.192.221.154 (d) 2 juillet 2012 à 10:12 (CEST)
- Non, l'émission que tu me montres est enregistrée antérieurement à 2004. C'était une lycéenne à l'époque qui s'était investie dans la vie scolaire des lycéens, avait défendu des causes. Louna R, lounaby... je ne sais plus. C'était une lycéenne fortement impliquée.--178.192.221.154 (d) 1 juillet 2012 à 11:45 (CEST)
- Loubna Méliane ? Ancienne de la FIDL aussi, passée à l'émission Tout le monde en parle du 03/01/2004, pas vu toute la vidéo (j'évitais de regarder quand ça passait, c'est pas pour me la tartir en différé...) mais, bien évidemment, il y a Baffie sur le plateau. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 1 juillet 2012 à 11:29 (CEST)
Nom et usage d'une pierre
modifierLes indiennes sont souvent représentées avec une pierre (précieuse?) sur le front. Quelqu'un peut m'en dire plus? Est-ce seulement une parure? Une marque religieuse ? Autre chose ? Est-que cette pierre a un nom? Merci par avance v_atekor (d) 1 juillet 2012 à 11:17 (CEST)
- L’article français n’existe pas (clairement à créer). Mais l’article anglais est très complet : Bindi.--gede (d) 1 juillet 2012 à 13:08 (CEST)
- Super, merci v_atekor (d) 1 juillet 2012 à 13:31 (CEST)
- L'article francophone existe mais sur l'autre nom de la décoration mise en lien au début de l'article anglophone, le tilak ou bindi. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 1 juillet 2012 à 14:00 (CEST)
- Les catégories bindi et tilak sont différentes sur commons, mais même avec les illustrations, je n'ai pas compris la différence. Une zone géographique du porteur, peut-être ? Bertrouf 2 juillet 2012 à 04:19 (CEST)
- Ta question me fait réviser ma précédente réponse. Dans les articles anglophones ont explique que le bindi est une décoration en cercle ou en amande, en divers matériaux, disposée au milieu du front, et sans usage particulier même si souvent d'usage religieux ou social (mariage p.ex.) ; le tilak (ou tilaka) est d'usage religieux ou politique (signe d'excellence, d'appartenance à une caste), symbolise le troisième œil, se retrouve en diverses parties du corps, est toujours confectionné avec une pâte ou une poudre rouge. Bref, la réponse exacte est bien bindi. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 2 juillet 2012 à 09:44 (CEST)
- Il est joli le bindi tamoul. le sourcier 2 juillet 2012 à 14:39 (CEST)
- Ta question me fait réviser ma précédente réponse. Dans les articles anglophones ont explique que le bindi est une décoration en cercle ou en amande, en divers matériaux, disposée au milieu du front, et sans usage particulier même si souvent d'usage religieux ou social (mariage p.ex.) ; le tilak (ou tilaka) est d'usage religieux ou politique (signe d'excellence, d'appartenance à une caste), symbolise le troisième œil, se retrouve en diverses parties du corps, est toujours confectionné avec une pâte ou une poudre rouge. Bref, la réponse exacte est bien bindi. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 2 juillet 2012 à 09:44 (CEST)
- Les catégories bindi et tilak sont différentes sur commons, mais même avec les illustrations, je n'ai pas compris la différence. Une zone géographique du porteur, peut-être ? Bertrouf 2 juillet 2012 à 04:19 (CEST)
- L'article francophone existe mais sur l'autre nom de la décoration mise en lien au début de l'article anglophone, le tilak ou bindi. -O.- ♦ -M.- ♦ -H.- 1 juillet 2012 à 14:00 (CEST)
- Super, merci v_atekor (d) 1 juillet 2012 à 13:31 (CEST)
Nombre d'équipes de France et joueurs
modifierBonjour à tous !
Je me demandais combien y a-t-il d'équipes de France tous sports confondus, et combien cela représentait d'athlète.
en gros, d'un point de vu sportif (oui je compte aussi les équipes de tricot par exemple, vu que les tricotteuses s’entraînent des heures par jour), combien de personne représentent notre pays ?
merci à ceux qui auront des pistes =) !