Fédération française de football

fédération sportive française relative au football

La Fédération française de football (FFF ou 3F)[1],[2] est une association française, fondée le sous le nom de Fédération française de football association (FFFA), regroupant les clubs de football de France et l'AS Monaco et chargée de l'organisation de la pratique du football en France, notamment des compétitions nationales et des matchs internationaux des équipes de France.

Fédération française de football
Image illustrative de l’article Fédération française de football
Logo de la FFF depuis 2018.

Sigle FFF, 3F
Nom(s) précédent(s) Fédération française de football association (FFFA)
(1919-1966)
Sport(s) représenté(s) Football
Création (105 ans)
Président Philippe Diallo
Siège Paris
Affiliation FIFA
UEFA
Clubs 12 000 (2022-2023)
Licenciés 2 384 192 (2023-2024)
Site web fff.fr

Elle est affiliée à la Fédération internationale de football association (FIFA) depuis sa création, ayant succédé au Comité français interfédéral (CFI), affilié depuis 1907 et à l'Union des sociétés françaises de sports athlétiques (USFSA), membre fondateur de l'organisme international en 1904.

Le siège de la FFF est situé au 87, boulevard de Grenelle à Paris[3], tandis que le centre national du football est installé à Clairefontaine-en-Yvelines.

Historique

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La Fédération française de football association est fondée à Paris, 15 rue du Faubourg-Montmartre, le par transformation du Comité français interfédéral (CFI) créé en 1907. Jules Rimet en devient le premier président et Henri Delaunay le premier secrétaire général. L'association est reconnue d'utilité publique par décret le [4]. Elle adopte le professionnalisme le [5],[6].

Direction technique nationale

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La direction technique nationale, par l’intermédiaire de son directeur, définit une politique technique pour l'ensemble du football, qui est mise en place et animée par les entraîneurs nationaux (une dizaine environ) et les cadres techniques régionaux. Cela concerne le football d'élite, le football de masse et la formation des éducateurs.

Dirigeants

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Liste des dirigeants de la FFF
Période Président Directeur général Directeur technique national
1919 - 1942 Jules Rimet
1942 - 1944 Henri Jevain
1944 - 1949 Jules Rimet
1949 - 1953 Emmanuel Gambardella
1953 - 1963 Pierre Pochonet
1963 - 1968 Antoine Chiarisoli Lucien Troupel[7]
1969 - 1970 Jacques Georges Michel Cagnion
1970 - 1972 Georges Boulogne
1972 - 1982 Fernand Sastre
1982 - 1984 Michel Hidalgo
1985 - 1986 Jean Fournet-Fayard
1986 - 1989 Henri Michel
1989 - 1992 Gérard Houllier
1992 - 1993 Gérard Enault (intérim)
1993 - 1994 Jacques Georges (intérim)
1994 - 1998 Claude Simonet Gérard Enault
1998 - 2005 Aimé Jacquet
2005 - 2006 Jean-Pierre Escalettes Jacques Lambert
2007 Jean-Pierre Morlans (intérim)
2008 - 2010 Gérard Houllier
2010 Fernand Duchaussoy (intérim) François Blaquart[8],[9]
2010 - 2011 Alain Resplandy-Bernard
2011 - 2012 Noël Le Graët Alain Christnacht[10]
2013 - 2017 Florence Hardouin
2017 - 2021 Hubert Fournier[11],[12]
2021 - 2023
2023 - Philippe Diallo Jean-François Vilotte

Conseil fédéral puis comité exécutif

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Structures

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Statut légal

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La Fédération Francaise de Football a le statut d'association loi de 1901, reconnue d'utilité publique. Elle doit obéir à la législation française sur les associations loi 1901.

Les statuts légaux de la FFF ont été modifiés pour la dernière fois en 2022.

Il s'agissait de répondre aux nouvelles obligations imposées par la loi visant à démocratiser le sport, adoptée sous le gouvernement Jean Castex [20].

Cette loi impose aux fédérations sportives de limiter le nombre de mandats des présidents et renforce leur transparence [20].

Missions

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La Fédération française de football a pour rôle[21] :

  • d'organiser, de développer et de contrôler l'enseignement et la pratique du football, sous toutes ses formes, par des joueurs de statuts différents, en France, sur le territoire métropolitain et dans les départements et territoires d'outre-mer ;
  • de créer et de maintenir un lien entre ses membres individuels, les clubs affiliés, ses districts, ses ligues régionales, la ligue du football amateur (LFA), la Ligue de football professionnel (LFP) et la ligue féminine de football professionnel (LFFP) ;
  • de défendre les intérêts moraux et matériels du football français ;
  • d'entretenir toutes relations utiles avec les associations étrangères affiliées à la Fédération internationale de football association (FIFA), les organismes sportifs nationaux et les pouvoirs publics.

Président

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Le Président de la FFF est le Président du comité exécutif.

Il représente la Fédération dans tous les actes de la vie civile et devant les tribunaux. Il assure l'exécution des décisions du comité exécutif et veille au fonctionnement régulier de la Fédération.

Comité exécutif

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Le comité exécutif de la FFF est composé de 28 membres parmi lesquels :

  • 21 membres élus par l'assemblée au scrutin de liste bloquée majoritaire ;
  • 2 membres (1 femme, 1 homme) représentant les joueurs de haut niveau ;
  • 2 membres (1 femme, 1 homme) représentant les arbitres ;
  • 2 membres (1 femme et 1 homme) représentant les entraîneurs ;
  • 1 membre représentant les médecins, élu par l'assemblée fédérale, sur proposition de la commission fédérale médicale.

Au sein du comité exécutif, quatre membres sont chargés des fonctions essentielles :

  • le président ;
  • le vice-président ;
  • le secrétaire général ;
  • le trésorier.

Le comité exécutif de la FFF se réunit, au minimum, 10 fois par an.

Il se réunit également chaque fois qu'il est convoqué par son président ou sur la demande d'au moins 1/4 de ses membres. Il délibère valablement si au moins 16 membres sont présents. Les décisions sont prises à la majorité des voix des membres présents.

Assemblée fédérale

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L'assemblée fédérale définit, oriente et contrôle la politique générale de la Fédération française de football. Elle entend les rapports sur la gestion du comité exécutif et sur la situation morale et financière. Elle peut amender et modifier les statuts ainsi que le règlement intérieur de la Fédération.

L'assemblée fédérale ordinaire se réunit au moins une fois par an et chaque fois qu'elle est convoquée par son président. Elle peut aussi se réunir à la demande du quart de ses membres.

L'assemblée fédérale élit par un vote secret certains membres du comité exécutif, dont le président de la Fédération, au scrutin de liste.

 
Le siège de la fédération est situé au 87 boulevard de Grenelle, dans le 15e arrondissement de Paris.

Siège de la fédération

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Le siège de la FFF a été déplacé à plusieurs reprises :

Identité visuelle

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Depuis sa fondation la Fédération française de football a connu 9 blasons différents[22] dont les six reproduits ci-dessous.

Polémiques

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Affaires des quotas

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En 2011, une polémique éclate lors de la révélation d'un enregistrement audio par Mediapart d'une réunion au sein de la FFF qui s'était tenue en et à laquelle étaient présents Fernand Duchaussoy, le président de la FFF, le sélectionneur de l'équipe A Laurent Blanc, le sélectionneur des espoirs Erick Mombaerts, le sélectionneur des U20 Francis Smerecki ainsi que François Blaquart le directeur de la Direction technique nationale (DTN), sur un projet d'instauration de quotas de joueurs au sein des différentes sélections nationales françaises, basés sur des critères d'appartenance ethnique[23],[24], ce qui est illégal en France aux yeux de la loi, car considéré comme un acte de racisme. Cette affaire qui avait déclenché la polémique en France, à laquelle Laurent Blanc était directement accusé d'avoir tenu des propos polémiques basés sur des clichés racistes, plus particulièrement envers les joueurs noirs en déclarant durant la réunion « En France, on a l'impression qu'on forme le même prototype de joueurs : grands, costauds, puissants. Qu'est-ce qu'il y a actuellement comme grands, costauds, puissants ? Les Blacks. C'est comme ça »[25].

Affaire d'abus sexuels

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En 2022, le journaliste Romain Molina, dévoile une enquête sur des faits d'abus sexuels, y compris à l'encontre de joueurs et joueuses mineurs, durant quarante ans au sein de la FFF, notamment de la part d'une entraîneuse qui aurait entretenu des relations sexuelles avec des joueurs mineurs, avec le silence de la FFF qui aurait caché ces abus durant des années sans avoir rien signalé aux autorités mais également des comportements de cyberharcèlement de la part du président Noël Le Graët qui aurait envoyé plusieurs SMS à caractère sexuel à certaines employées de la fédération[26],[27].

Interdiction de la pratique du ramadan

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En , la FFF prend la décision d'interdire aux joueurs de confession musulmane des différentes équipes de France, de pratiquer le jeûne du ramadan. Cette décision provoque une polémique, certains considérant cette mesure comme islamophobe et discriminatoire, d'autres invoquant la laïcité et la neutralité religieuse[28],[29],[30],[31].

Des accusations que rejette le président Philippe Diallo en expliquant face à la polémique, que personne n'interdit aux joueurs de faire le ramadan mais qu'il serait préférable selon lui que les joueurs le repoussent afin de pas nuire aux performances sportives et aussi qu'il ne peuvent pas exiger un changement des horaires de préparations et d'entraînements pour des raisons religieuses[32],[33].

Organisation du match Israël-France dans le contexte de la guerre à Gaza

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Source :[34].

La Fédération Française de Foot est interpellée le 4 novembre 2024 par le collectif Stop Génocide dans ses bureaux. Ce collectif demande l'annulation du match de Ligue des Nations entre Israël et la France qui devrait se tenir le 14 novembre 2024, au Stade de France[35] en soulignant que "les autorités ont agi sur le cas de la Russie très rapidement, et là on est a un an de Génocide et elles n'ont toujours pas statué"[36].

Bien que la Fédération ait reçu deux membres du collectif et ait exprimé sa compréhension de la "vive émotion"[37] autour de ce match, elle a décidé de maintenir le match selon les directives de l'UEFA qui leur a fait savoir que "l’équipe de France, par contrat, avait l’obligation de jouer au Stade de France, à Saint-Denis"[36]. Lors du match de Ligue des Nations qui devait opposer la Belgique à Israël, l'Union belge de Football avait choisi de délocaliser[38] dans un autre pays (en Hongrie dans ce cas-ci), aucune ville belge n'ayant souhaité l'accueillir[39].

Lors de la rencontre du , le stade de France comptait 16 611 spectateurs, la pire affluence, hors période covid-19[40].

Organisation de compétitions

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La FFF délègue à la Ligue la gestion du football professionnel (Ligue 1, Ligue 2 et Coupe de la Ligue) mais la Ligue, fondée en 1944, reste sous l'autorité de la Fédération. La FFF délègue à la ligue féminine de football professionnel la gestion du football féminin professionnel (Arkema Première Ligue , Arkema Seconde Ligue) mais la ligue, fondée en 2024 reste sous l'autorité de la fédération.

La coupe de France masculine, aussi bien que la coupe de France féminine de football, est placée sous l'autorité de la commission fédérale de la Coupe de France, directement rattachée au conseil fédéral de la FFF.

La FFF organise également toutes les autres compétitions à caractère national.

Compétitions masculines de football

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Seniors

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Compétitions féminines de football

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Seniors

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Compétitions de futsal

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Compétitions de football entreprise

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  • Championnat national de football entreprise
  • Coupe de France de football entreprise

À l'échelon régional et départemental, les ligues et les districts prennent le relais de la FFF mais toujours sous l'autorité de cette dernière.

Les Ligues régionales de la FFF

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En métropole

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La France métropolitaine est divisée en treize Ligues calquées sur les régions françaises :

Départements d'Outre-Mer

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La division d'honneur est la plus haute division que peut atteindre un club affilié à une ligue d'Outre-Mer puisque ces équipes ne peuvent pas disputer les championnats nationaux métropolitains. Il existe aujourd'hui cinq ligues de ce type :

La ligue guadeloupéenne, la ligue de la Guyane et la ligue de la Martinique sont membres de la Confédération de football d'Amérique du Nord, d'Amérique centrale et des Caraïbes (CONCACAF).

La ligue réunionnaise est membre associée de la Confédération africaine de football (CAF), alors que la ligue de Mayotte n'est affiliée ou membre d'aucune autre organisation.

Palmarès des équipes nationales

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Palmarès des équipes de France en compétitions officielles[41]
Équipe de France masculine A
Compétitions intercontinentales Compétitions continentales Trophées divers

Coupe du monde de la FIFA (2 titres)
Vainqueur en 1998, 2018
Finaliste en 2006 et 2022
Troisième en 1958 et 1986
Quatrième en 1982

Coupe des Confédérations (2 titres)
Vainqueur en 2001 et 2003

Coupe intercontinentale des nations (1 titre)
Vainqueur en 1985

Championnat d'Europe de football (2 titres)
Vainqueur en 1984 et 2000
Finaliste en 2016
Demi-finaliste en 1996, 2024
Quatrième en 1960

Ligue des Nations de l'UEFA (1 titre)
Vainqueur en 2021

Tournoi de France (1 titre)
Vainqueur en 1988[42]

Tournoi du Koweït (1 titre)[43]
Vainqueur en 1990

Coupe Kirin (1 titre)
Vainqueur en 1994

Tournoi Hassan II (2 titres)
Vainqueur en 1998 et 2000

Nelson Mandela ICC (1 titre)
Vainqueur en 2000[44]

Challenge Evance-Coppée (1 titre)
Vainqueur en 1904.

Autres équipes de France masculine
Olympique Espoirs Amateurs

Jeux olympiques (1 titre)
Vainqueur en 1984
Finaliste en 2024

Championnat d'Europe de football espoirs (1 titre)
Vainqueur en 1988

Jeux méditerranéens (1 titre)
Vainqueur en 1967

-20 ans -19 ans -18 ans

Coupe du monde des -20 ans (1 titre)
Vainqueur en 2013
Quatrième en 2011

Jeux de la Francophonie (1 titre)
Vainqueur 1994

Championnat d'Europe des -19 ans (8 titres)
Vainqueur en 1949, 1983, 1996, 1997, 2000, 2005, 2010 et 2016
Finaliste en 1950 et 1968

Jeux méditerranéens (1 titre)
Vainqueur en 2022

-17 ans -16 ans Militaire

Coupe du monde des -17 ans (1 titre)
Vainqueur en 2001

Championnat d'Europe des -17 ans (2 titres)
Vainqueur en 2004 et 2015

Coupe du monde des militaires (5 titres)
Vainqueur en 1948, 1949, 1957, 1964 et 1995

Challenge Kentish (21 victoires)
Vainqueur de 1919 à 1986

Jeux Interalliés
Finaliste en 1919

Entreprise Beach soccer

Championnat d'Europe entreprise (5 titres)
Vainqueur en 1988, 1990, 1995, 2000 et 2006

Championne du monde de Beach Soccer (1 titre)
Vainqueur en 2005

Championne d'Europe de Beach Soccer (1 titre)
Vainqueur en 2005

Équipe de France féminine A
Compétitions intercontinentales Compétitions continentales Trophées divers

Coupe du monde
Quatrième en 2011

Jeux olympiques
Quatrième en 2012

Championnat d'Europe
Demi-finale en 2022

Tournoi de Chypre (2 titres)
Vainqueur en 2012 et 2014
Troisième en 2009 et 2011

Tournoi de l'Algarve
Finaliste en 2015
Troisième en 2004 et 2005
Quatrième en 2003, 2006 et 2007

Tournoi de France
Vainqueur en 2020, 2022 et 2023

Autres équipes de France féminine
-20 ans -19 ans -17 ans

Coupe du monde des -20 ans
Finaliste en 2016
Troisième en 2014

Championnat d'Europe des -19 ans (5 titres)
Vainqueur en 2003, 2010, 2013, 2016 et 2019
Finaliste en 1998, 2002, 2005, 2006 et 2017

Coupe du monde des -17 ans (1 titre)
Vainqueur en 2012

Championnat d'Europe des -17 ans (1 titre)
Vainqueur en 2023
Finaliste en 2008, 2011 et 2012

Troisième en 2022

-16 ans

Nordic Cup (1 titre)
Vainqueur en 2011

Statistiques

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Évolution du nombre de licenciés (en milliers)[45]
Évolution du nombre de clubs

Notes et références

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Références

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  1. Noel Le Graet reconduit à la tête de la 3F.
  2. « On ne manque pas de respect à la légende », Mbappé reprend Le Graët de volée
  3. Le centre technique de l'aluminium, résumé d'un article de Philippe Virat in Bull. Soc. hist. & arch. du XVe arrondt de Paris, n° 49".
  4. Les attributions de la Fédération française de football, site officiel de la Fédération française de football.
  5. Cent ans de vie dans la région, tome II, 1914-1939, La Voix du Nord éditions, hors série, 17 février 1999, p. 55.
  6. « La France domine son rival espagnol lors du Eleven All Stars », sur L'Équipe (consulté le ).
  7. « Liste des DTN des fédérations olympiques », sur Ministère des sports, version du 26 novembre 2017 (consulté le )
  8. Blaquart, DTN par intérim.
  9. Le Point magazine, « FFF: François Blaquart nommé DTN », sur Le Point, (consulté le )
  10. Foot Hebdo no 73.
  11. Andréa Morali, « Officiel : Hubert Fournier nouveau DTN », Foot Mercato,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  12. FFF : Hubert Fournier nommé DTN, L'Equipe, le 24 juin 2017
  13. « FFF : Noël Le Graët gagne en professionnel avec trois Lorrains », sur republicain-lorrain.fr, (consulté le ).
  14. « Noël Le Graët : réélu président de la FFF ! », sur africatopsports.com, (consulté le ).
  15. « Le nouveau Comité exécutif », sur fff.fr, (consulté le ).
  16. « Noël le Graët réélu président », sur fff.fr, (consulté le ).
  17. a et b « Tout ce qu'il faut savoir sur l'Assemblée d'hiver », sur fff.fr, (consulté le ).
  18. « Jean-Michel Aulas élu à la vice-présidence de la Fédération française de football », sur www.lemonde.fr, (consulté le ).
  19. « Philippe Diallo réélu président de la FFF », sur fff.fr, (consulté le ).
  20. a et b « Loi du 2 mars 2022 visant à démocratiser le sport en France », sur Vie-Publique.fr,
  21. Les attributions de la Fédération française de football, FFF.fr, consulté le 10 août 2011.
  22. Jibril Diop, « L'évolution du logo de la FFF », sur onefootball.com, (consulté le )
  23. « Affaire des quotas: le résumé complet des faits », sur 20minutes.fr, (consulté le )
  24. « Quotas discriminatoires dans le foot : Mediapart accuse, la FFF dément », sur francetvinfo.fr, (consulté le )
  25. Gilles Dhers et Grégory Schneider, « «Blacks» et binationaux : Laurent Blanc a bien franchi la ligne jaune », sur liberation.fr, Libération, (consulté le )
  26. « Affaires au sein de la FFF : ce que contient l'enquête explosive de Romain Molina », sur europe1.fr, (consulté le )
  27. « De nouvelles accusations d’abus sexuels à la Fédération française de foot », sur liberation.fr, Libération, (consulté le )
  28. « "La religion n'a pas sa place" : la FFF rappelle l'interdiction des pauses ramadan sur les terrains de foot », sur marianne.net, Marianne, (consulté le )
  29. « La FFF interdit l'interruption d'un match pour rompre le jeûne du ramadan », sur lepoint.fr, Le Point, (consulté le )
  30. Hanif Ben Berkane, « La FFF justifie son refus d’interrompre les matches pendant le ramadan », sur footmercato.net, Le Point, (consulté le )
  31. « La FFF rappelle l'interdiction des pauses pendant un match pour rompre le jeûne du ramadan », sur lequipe.fr, L'Équipe (consulté le )
  32. « Foot : Personne n’a interdit de faire le jeûne» du ramadan, assure le président de la FFF, Philippe Diallo », sur lefigaro.fr, Le Figaro, (consulté le )
  33. « « Un mauvais procès » : Philippe Diallo défend la FFF de toute « discrimination religieuse » sur le ramadan », sur leparisien.fr, Le Parisien, (consulté le )
  34. « Des militants propalestiniens manifestent au siège de la FFF contre la tenue du match France-Israël », Le Monde,‎ (lire en ligne, consulté le )
  35. Par Le Parisien Le 4 novembre 2024 à 16h03, « France-Israël : des militants pro-palestiniens dans les locaux de la FFF pour protester contre la tenue du match », sur leparisien.fr, (consulté le )
  36. a et b Par Andreas Guerin Le 5 novembre 2024 à 20h53, « France-Israël : les manifestants qui demandent l’annulation du match ont été reçus par la FFF », sur leparisien.fr, (consulté le )
  37. « France-Israël: la FFF a reçu les militants pro-Palestine ce mardi, de nouvelles actions à venir? », sur RMC Sport (consulté le )
  38. « Belgique-Israël : les coulisses de la délocalisation en Hongrie », sur SOFOOT.com, (consulté le )
  39. « Foot : Bruxelles refuse d'accueillir Belgique-Israël pour raisons de sécurité », sur Le Figaro, (consulté le )
  40. « 16 611 spectateurs pour France-Israël, la plus faible affluence des Bleus au Stade de France »  , sur lequipe.fr, L'Équipe (consulté le )
  41. « Le palmarès des Bleus », sur fff.fr (consulté le ).
  42. « Tournoi de France 1988 », sur rsssf.com (consulté le ).
  43. « Kuwait Tournament 1990 », sur rsssf.com (consulté le ).
  44. « Nelson Mandela Inauguration Challenge Cup », sur rsssf.com (consulté le ).
  45. « Près de 2,4 millions de licences en 2023-2024 », sur www.fff.fr (consulté le )

Liens externes

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