Wikipédia:Oracle/semaine 29 2015

Dernier commentaire : il y a 9 ans par Alphabeta dans le sujet Approximations de langage.

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Amidon hydrolisé et Klebsiella Pneumoniae

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Bonjour.

1°) Est-il vrai que les amidons hydrolysés (amidons industriels) favorisent la pullulation de Klebsiella ? (oui selon : [1])

2°) Est-il facile d'hydrolyser de l'amidon (par exemple en faisant du pain perdu) ?

3°) Quel lien y a-t-il avec le glutamate monophasique ? (Je ne trouve pas de source qui infirme ou confirme ?)

Merci. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 78.113.234.187 (discuter), le 13 juillet 2015 à 11:14 (CEST/UTC+0200)

Bonjour,
1) L’amidon est une chaîne de molécules de glucose. L’hydrolyser, c’est casser cette chaîne en morceaux plus petits. Le produit obtenu, appelé maltodextrine, est donc un mélange de morceaux de taille variable, dont la composition dépend du degré auquel on pousse l’hydrolyse.
L’hydrolyse de l’amidon peut donc favoriser la croissance de n’importe quelle bactérie capable de digérer du glucose mais pas de l’amidon.
2) Pour réaliser cette hydrolyse, on peut utiliser des enzymes, par exemple l’amylase, contenue dans notre salive.
La fabrication du pain perdu permet de revenir sur le rassissement du pain, qui est une cristallisation de l’amidon, mais n’a a priori rien à voir avec l’hydrolyse de l’amidon.
3) Le glutamate est un acide aminé ; l’amidon est un glucide. A priori, je ne vois pas quel lien il pourrait y avoir entre les deux.
Grasyop 13 juillet 2015 à 15:16 (CEST)Répondre
1)L'amidon se transforme en Maltodextrine, comme dit Grasyop, ou en Sirop de glucose si on n'interrompt pas l'hydrolyse. Klebsiella est une bactérie, elle n'est pas capable d'assimiler les molécules complexes, mais peut assimiler le glucose. Elle doit donc être accompagnée d'une enzyme si elle veut se développer en présence d'amidon, ou être directement en présence de glucose.
L'article cité en lien explique que le fait de manger plus de glucose (soit par des produits sucrés, soit par de l'amidon modifié) déplace l'activité de la bactérie vers le haut de notre organisme, car la dégradation de l'amidon est finie dans l'intestin grêle, avant le gros intestin. Cet article est assez alarmiste, il liste tous les ingrédients contenant du glucose comme s'il s'agissait de poisons, alors qu'ils induisent, au pire un « un déséquilibre au sein du microbiote intestinal ».
2)Le pain perdu est une question piège, car une fois le pain sec ré-humidifié par le lait (sans hydrolyse), on le sucre (saccharose), puis on le grille : réaction de Maillard par action du lactose sur la protéine du lait, réaction non-enzymatique non plus. Sachant que le saccharose n'est pas le sucre qui entraîne la réaction. Bref, l'amidon cuit sans s'hydrolyser.
3)Enfin, j'ai un doute sur la question du glutamate. Il existe un glutamate monosodique, avec des effets toxiques supposés sur le système nerveux (voir acide glutamique). Par ailleurs, il peut éventuellement y avoir une réponse monophasique du système nerveux, mais c'est sans lien. Merci de me confirmer l'existence d'un glutamate monophasique. Bertrouf 15 juillet 2015 à 12:36 (CEST)Répondre
Tout ça me rappelle mon jeune temps et le fameux (à l'époque) et variable « tract de Villejuif » (qui selon notre article circulerait encore, entre autres sous forme électronique) qui mélangeait allègrement le vrai et le faux, le sérieux et le fantaisiste... >O~M~H< 16 juillet 2015 à 11:54 (CEST)Répondre

Approximations de langage.

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Bonjour. Existe-t-il un nom spécifique désignant les approximations de langage que l'on entend parfois, comme "aréoport", "infractus", ou encore "l'incendie est circoncis" ?

Merci d'avance. --Lupercus (discuter) 14 juillet 2015 à 14:42 (CEST)Répondre

Dyslexie peut-être, dans certains cas cités. Alphabeta (discuter) 14 juillet 2015 à 15:24 (CEST)Répondre
Salut Lupercus. Les premières erreurs (formes incorrectes) sont des barbarismes (d'ailleurs tes deux exemples, infractus et aoport (ainsi que son pendant, aéropage) sont donnés. La troisième (emploi impropre d'un mot existant) pourrait être un solécisme, quoique le terme concerne plutôt les fautes de syntaxe ; j'ai pensé aussi à « impropriété », ce qui m'a conduit à « impropriété de terme », une redirection vers « abus de langage », qui semble correspondre mieux à ce cas. >O~M~H< 14 juillet 2015 à 15:53 (CEST)Répondre
Je dirais aussi une erreur de prononciation, fréquente dans le langage enfantin. Quand les deux termes existent, ce sont des paronymes (circoncis vs circonscrit) et il pourrait s'agir d'un lapsus linguae ; à l'écrit, en cas d'inversion de lettres, il peut s'agir de coquilles. - Cymbella (discuter chez moi) - 14 juillet 2015 à 15:59 (CEST) Pas de coquilles, de mastics. --Morburre (discuter) 14 juillet 2015 à 22:12 (CEST) - Merci pour la rectification   - Cymbella (discuter chez moi) - 14 juillet 2015 à 22:48 (CEST)Répondre

Mon troisième exemple était mauvais. Je retiens donc le barbarisme, c'est exactement le terme qui convient. Merci pour vos réponses. --Lupercus (discuter) 14 juillet 2015 à 22:58 (CEST)Répondre

Hynoptiser, dilemne, obnibuler voire omnibuler etc. Blue [ -02- ] 15 juillet 2015 à 10:10 (CEST)Répondre
Tiens ben, ça me rappelle une vieille blague. Deux gars sont en haut du Pain de Sucre et contemplent la baie de Rio. L'un dit à l'autre,
– « C'est Pythagore ! »
– « Hein ? »
– « Oui, la vue, le paysage, c'est Pythagore ! »
– « Tu veux dire que c'est pittoresque. »
– « Pythagore, pittoresque, c'est synagogue... ».
Je signe, mais elle n'est pas de moi. >O~M~H< 15 juillet 2015 à 10:31 (CEST)Tu l’as déjà racontée en semaine 19 ! :) rv -- Que nenni ! Je l'ai évoquée seulement   >O~M~H<Répondre
Une belle définition du barbarisme par Pierre Bénard, ici. --Hannah ma bestah (discuter) 15 juillet 2015 à 10:42 (CEST)Répondre
Comme le dit justement cet article, le barbarisme est une catégorie encombrée. A l'intérieur de cette catégorie, il s'agit plus précisément de métathèses ou interversions, trahissant souvent, soit un penchant à la dyslexie, soit une formation de journaliste (français) (genre qui continue imperturbablement à prononcer Mastritche au lieu de Maastricht...). Accessoirement, à l'écrit, il s'agit aussi de cacographies. 84.98.254.48 (discuter) 16 juillet 2015 à 10:01 (CEST)Répondre
J’avais donc signalé supra la dyslexie à bon escient.
Et dans Barbarisme#Exemples je lis : « *infractus au lieu d’infarctus (infarctus est lui aussi un barbarisme en latin, employé au lieu de infertum) »...
Alphabeta (discuter) 17 juillet 2015 à 21:23 (CEST)Répondre
Au passage, on signale deux titres « barbares » de film :
  1. Le Crime farpait
  2. Le Thé au harem d’Archimède
Il doit y en avoir d’autres. Alphabeta (discuter) 18 juillet 2015 à 13:48 (CEST)Répondre
Pour le second, je suis dubitatif, mise à part la question plus ou moins autobiographique de cette « interprétation » de la fameuse sentence mathématique, les homophonies approximatives (fort usitées dans l'émission Des Papous dans la tête) sont un procédé littéraire, notamment illustré par certains romans de Raymond Roussel, plutôt qu'un barbarisme. >O~M~H< 18 juillet 2015 à 15:14 (CEST)Répondre
Dubitatif, mais de quoi ? Je pense pour ma part qu’il s’agit autant d’un barbarisme que le Pythagore pour pittoresque dans l’histoire drôle que vous nous avez racontée supra (Pythagore et Archimède : deux savants grecs, soit dit au passage). Un cancre est supposé être dans l’impossibilité de répéter correctement la formule le théorème d’Archimède (théorème auquel il ne comprend de toute façon rien) : il la transforme en le thé au harem d’Archimède voire en le thé au harem d’Archi-Ahmed. Il y a surtout une attraction paronymique de la part du cancre je pense.
Je n’ai pas revu le film Le Thé au harem d’Archimède depuis longtemps : il se peut que l’un des deux jeunes héros s’exprime ainsi en classe.
Alphabeta (discuter) 18 juillet 2015 à 18:48 (CEST)Répondre
Au passage : Historiquement, barbarisme a désigné, chez les Grecs de l’Antiquité, la faute de grec (ancien) susceptible d’être commise par un non-Grec (un Barbare) s’exprimant dans cette langue. Alphabeta (discuter) 18 juillet 2015 à 18:53 (CEST)Répondre
Pour les titres de films, voir encore La Fracture du myocarde : pour les collégiens du scénario, l’infarctus du myocarde se simplifie en la fracture du myocarde, sans doute en passant par l’infractus du myocarde... Alphabeta (discuter) 18 juillet 2015 à 19:01 (CEST)Répondre
C'est une question d'intention de l'auteur : dans les cas des titres Le Crime farpait et La Fracture du myocarde, on peut supposer la reprise d'un barbarisme réel ou inventé, dans celui du titre Le Thé au harem d’Archimède (celui du roman est encore plus cohérent : Le Thé au harem d'Archi Ahmed) il y a une intention littéraire, que confirme le titre d'un autre roman de Mehdi Charef, À bras le cœur, l'on peut donc voir que l'auteur ne rapporte ni ne commet de barbarismes, qui sont des fautes de langage, donc involontaires, mais comme d'autres poètes ou romanciers avant lui il se plaît à transformer des phrases convenues ou des lieux communs. >O~M~H< 19 juillet 2015 à 12:59 (CEST)Répondre
« C'est une question d'intention de l'auteur » : j’approuve : une approximation de langage ou un barbarisme apparaissant dans un titre d’œuvre doit être examinée au cas par cas. Alphabeta (discuter) 19 juillet 2015 à 21:14 (CEST)Répondre
Pour les titres on peut encore citer Quand j’avais cinq ans je m’ai tué (avec sa faute d’auxilliaire), un roman dont on a tiré un film. On laisse les commentaires à ceux qui connaissent réellement ces œuvres. Alphabeta (discuter) 20 juillet 2015 à 15:33 (CEST)Répondre

Maud de Belleroche

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Bonjour aux chères — j'ai retenu un « pythie pythie pythie ! », pardon  ... — pythies. Ma question est simple : comme, en généalogie, je ne connais rien, et bien que j'aie demandé à plusieurs d'entre ces spécialistes, j'aimerais savoir quels sont les moyens de trouver la date naissance de Maud de Belleroche. Vous auriez pu m'objecter, en vertu de la nétiquette, qu'il n'est pas correct d'œuvrer à divulguer l'âge d'une dame, mais celui-ci apparaît déjà dans la page ; vous êtes donc acculés, et contraints de me répondre  . Plus sérieusement, cela me semble difficile à mettre en évidence, car ces informations d'état-civil-là seraient trop récentes pour qu'on les puisse trouver sur les Internets. Il semblerait toutefois que sa ville de naissance soit connue. J'aimerais donc savoir ce qu'en pensent ces très-sages Pythonisses ; qu'elles ne se mettent toutefois pas trop en transe pour me répondre. --Hannah ma bestah (discuter) 14 juillet 2015 à 19:01 (CEST)Répondre

En outre, une autre source mentionne la date de 1920. Ajoutez à cela les nombreux éléments « flous » relevés par Marek2 sur la PdD... --Hannah ma bestah (discuter) 14 juillet 2015 à 19:18 (CEST)Répondre
(Au passage : une discussion (toujours en cours) de ce type est restée célèbre dans les annales de Wikipédia : voir Discussion:Arielle Dombasle... Alphabeta (discuter) 15 juillet 2015 à 16:23 (CEST))Répondre
Bonjour, ici une interview de Maud de Belleroche sur France Info, on l'entend dire vers 1min50 - 2min qu'elle a 86 ans. Sachant que l'émission date de 2008 elle est donc d'après elle née en 1922. Rien ne prouve cependant qu'elle ne ment pas :D.--NexRezzo (discuter) 17 juillet 2015 à 14:04 (CEST)Répondre

Article sémiotique

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Bonjour à toute l'équipe de Wikipédia, J'ai lu avec beaucoup d'intérêt l'article de Wikipédia concernant la sémiotique. Etant moi-même en plein recyclage, je voudrais poser une question et attirer votre attention sur ceci: l'Afrique n'est-elle pas une des inventrices de la sémiotique? Il me semble que oui et je n'en trouve guère trace dans l'article. Je suggère que vous contactiez une spécialiste pour autant qu'elle soit d'accord: Madame Clémentine Faïk Nzuji dont je ne vois pas les travaux répertoriés dans la bibliographie. En tapant son nom sur internet, vous trouveres son site et ses coordonnées. Je ne peux malheureusement pas m'impliquer plus avant pour l'instant, devant me concentrer sur quelques travaux.

En vous souhaitant une excellente continuation et en vous remerciant de nous faire bénéficier d'un outil aussi conviavial,

Bien cordialement,

Sabine Cornelis-Bompuku-Eyenga — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 193.190.223.130 (discuter), le 15 juillet 2015 à 11:43

Salut Sabine, alias 193.190.223.130 (d · c). La réponse à ta question est complexe. L'article traite proprement des études sur les systèmes de signes qu'on a nommées « sémiotique », tel que défini par le TLFi : « Théorie générale des signes dans toutes leurs formes et dans toutes leurs manifestations ; théorie générale des représentations, des systèmes signifiants », mot de diffusion récente (années 1890 aux États-Unis, années 1940 et 1950 dans d'autres contextes culturels et académiques). Fondamentalement, dans leurs acceptions linguistiques la sémiotique et la sémiologie ont le même sujet d'étude, l'acclimatation du terme en France eut surtout pour but de différencier moins tant deux sciences que deux approches d'une même science, l'une structuraliste, la sémiologie, l'autre pragmatique, la sémiotique.
Maintenant, si les deux termes, dans ces acceptions (ou dans d'autres, notamment pour le domaine médical), sont récents, et si une certaine manière, qu'on dira à la fois philosophique et scientifique, de les étudier n'est pas très ancienne (XVIIe siècle), l'étude des signes est une pratique extrêmement ancienne, un des plus anciens ouvrages techniques, sinon le plus ancien, est le traité de grammaire descriptive de Panini ; de même, une pratique très ancienne est la « science » de l'étymologie (science entre guillemets, en ce sens que jusqu'à une époque récente, là encore au XVIIe siècle, les tentatives d'étymologies étaient assez fantaisistes). Clairement, l'étude des signes et spécialement l'étude des systèmes linguistiques, est une très ancienne passion humaine, il est donc très probable et pour tout dire à-peu-près certain qu'en Afrique comme ailleurs, cela du nord au sud et de l'est à l'ouest du continent, il y eut une une sorte de sémiotique, cela bien avant que le mot et la science contemporains aient été inventés, il y a donc un peu plus d'un siècle, aux États-Unis. >O~M~H< 15 juillet 2015 à 12:45 (CEST)Répondre

Tracts pour dissuader les migrants

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Bonjour,

Je cherche des versions en ligne de ces documents.

Merci. Apokrif (discuter) 15 juillet 2015 à 14:08 (CEST)Répondre

ici une photo de l'affichette. — Hautbois [canqueter] 15 juillet 2015 à 20:04 (CEST)Répondre

Cliché à localiser (esplanade du Trocadéro, Paris 16 ?)

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Bonsoir,

Je cherche à localiser le cliché commons:File:1946 Equipe JGV.jpg inséré dans les articles Section motorisée du XVIe (d · h · j · · DdA) et Jean-Gérard Verdier (d · h · j · · DdA).

Je pense que cette photo de groupe a été prise sur l’esplanade du Trocadéro (Paris 16e).

Mais on souhaite avoir l’avis de tiers.

Merci d’avance pour vos lumières. Alphabeta (discuter) 18 juillet 2015 à 21:12 (CEST)Répondre

Merci à   Hautbois :
« … Trocadéro confirmé - stop - » : mais à Paris il y a « Troca » et « Troca » (cf. Trocadéro  ) comme on va voir :
J’avais pensé que le groupe du cliché commons:File:1946 Equipe JGV.jpg stationnait sur l’esplanade du Trocadéro ou esplanade du palais de Chaillot aujourd’hui appelée (depuis 1985) parvis des droits de l’homme : c’était surtout à cause de éléments verticaux et de la statue que l’on voir à gauche du cliché.
Je viens de catégoriser (j’ai osé le faire suite à votre communication) commons:File:1946 Equipe JGV.jpg dans commons:Category:Parvis des droits de l'homme.
Le groupe figurant dans commons:File:1946 Equipe JGV.jpg et stationnant sur l’actuel parvis des droits de l’homme est photographié (non pas en direction de la tour Eiffel mais) en direction de la place du Trocadéro aujourd’hui officiellement appelée (depuis 1978) place du Trocadéro-et-du-11-Novembre.
Merci aussi pour le montage commons: dont la partie « 1946 » est un détail de commons:File:1946 Equipe JGV.jpg. Les éléments de toiture en fond de plan doivent appartenir à la pointe formée par l’avenue d’Eylau et l’avenue Raymond-Poincaré à leur débouché sur la place du Trocadéro-et-du-11-Novembre, auquel cas la paroi comportant (en 2015) un tag commençant par ALL (ou quelque chose comme ça) appartient à un immeuble de l’avenue Raymond-Poincaré.
Le cliché commons: est actuellement catégorisé dans commons:Category:Jardins du Trocadéro : c’est faux dans dans le mesure où dans l’usage officiel (dans l’usage courant, le « Troca(déro) » c’est un peu ce qu’un veut...) les jardins du Trocadéro n’englobent pas l’esplanade du Trocadéro ni la place du Trocadéro.
On suggère donc de catégoriser le cliché commons: dans les 2 seules « categories » commons:Category:Place du Trocadéro-et-du-11-Novembre (Paris) et commons:Category:avenue Raymond-Poincaré (Paris).
Alphabeta (discuter) 19 juillet 2015 à 19:25 (CEST)Répondre
  Fait : « categories » modifiées (3 « categories avec commons:Category:Parvis des droits de l'homme rajoutée pour la partie « 1946 » au moins). Mais tout est re-modifiable... Alphabeta (discuter) 20 juillet 2015 à 15:10 (CEST)Répondre

Décorateur d'intérieur et architecte d'intérieur

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Bonjour,

je souhaiterais connaître la différence entre un décorateur d’intérieur et un architecte d’intérieur.

Merci d'avance

Koozedine (discuter) 19 juillet 2015 à 16:13 (CEST)Répondre

… contrairement aux architectes, aucun diplôme n’est exigé pour exercer, il n’est donc pas obligatoires de posséder un diplôme reconnu pour exercer en tant que décorateur ou architecte d’intérieur. Néanmoins, le CFAI (Conseil français des architectes d’intérieur) veille à l’intégrité de la profession en délivrant un certificat de capacité aux diplômés de certaines écoles. — Hautbois [canqueter] 19 juillet 2015 à 16:27 (CEST)Répondre
Salut Koozedine. Fondamentalement, il n'y en a pas, disons que l'architecte d'intérieur est un cas particulier de décorateur d'intérieur, même si le second est en rouge. À noter qu'une recherche Google sur « décorateur d'intérieur » ramène surtout des résultats pour... architecte d'intérieur. Que ce soit le décorateur ou l'architecte d'intérieur, dans les deux cas il s'agit de modifier l'apparence et la fonctionnalité d'une pièce ou d'un appartement. Bien que, comme précisé par Hautbois, il n'existe pas de diplôme d'architecte d'intérieur, on peut cependant dire que cette fonction est (en théorie) moins empirique que celle de décorateur d'intérieur, et emprunte beaucoup de ses méthodes à l'architecture ; en outre les personnes qui se présentent comme architectes d'intérieur ont généralement une approche plus globale de leur intervention : un décorateur peut créer des ambiances temporaires et superficielles, « décorer », un architecte sera plus souvent sollicité pour une restructuration plus complète et durable. >O~M~H< 19 juillet 2015 à 22:12 (CEST)Répondre
En Belgique, il existe une option "architecte d'intérieur" proposée par l'École supérieure des arts Saint-Luc (voir [2]) au niveau master1, qui est donc un diplôme reconnu, mais décorateur d'intérieur n'est pas un titre protégé. - Cymbella (discuter chez moi) - 20 juillet 2015 à 00:13 (CEST)Répondre