Wikipédia:Oracle/semaine 29 2011

Dernier commentaire : il y a 13 ans par Kkbs dans le sujet Col de veste

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Inés de Castro : graphie

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… bonne semaine les pythies,
« Inés de Castro » (WP France) - « Inès de Castro » (Académie des Inscriptions et Belles-Lettres) - « Inês de Castro » (WP Portugal, donc l'originale) et même parfois « Ines de Castro » : pourquoi tant de grahies ? Laquelle faut-il utiliser sur WPfr ? Question subsidiaire : reine de Portugal ? de/du ? Remerciements anticipés. — Hautbois [canqueter] 18 juillet 2011 à 05:34 (CEST)Répondre

Pour la graphie, question de goût. Inés la graphie espagnol (son pays d'origine), Inês graphie portugaise (son pays d'adoption) ? Inès pour respecter la prononciation habituelle ? Quand à "reine de/du Portugal", je choisis sans hésitation pour "reine du Portugal" (comme on dit roi du Maroc...), Portugal étant masculin. --Serged/ 18 juillet 2011 à 08:37 (CEST)Répondre
… OK pour les accents, mais : Liste des rois de Portugal, Manuel Ier de Portugal, enfin bref, il y en a déjà 3410 rien que sur WP.fr, avec cette note sans autre explication pour le premier lien : « Note : le titre traditionnel correct est roi de Portugal (en portugais: rei de Portugal) et non, comme on le lit souvent, roi du Portugal ». — Hautbois [canqueter] 18 juillet 2011 à 10:01 (CEST)Répondre
Et ce, depuis belle lurette, par exemple : http://books.google.fr/books?id=eWRbAAAAQAAJ&pg=PA31&dq=%22roi+de+portugal%22 rv1729 18 juillet 2011 à 10:16 (CEST)Répondre
… oui, mais si une faute est faite depuis… x temps, cela reste une faute, non ? Cf. le péché originel   . Alors qu'est-ce qui justifie les 3410 « de Portugal »  Hautbois [canqueter] 20 juillet 2011 à 23:05 (CEST)Répondre
L’usage seul fait la règle... rv1729 22 juillet 2011 à 07:48 (CEST)Répondre

Profession "Quatorzième"

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Salut! de:WP contient un article "Quatorzième", qui décrit une profession (Paris, Fin de siècle (19./20.)) d'une personne qui complètait un diner der 13 personnes => 14 personnes (contre paiement). Il y a une (1 !) référence allemande concernant cette profession, mais je ne trouve aucune réf. française. Je me demande, si cet commentaire allemand (1903) n'était pas TF ("trouver une théorie"). Commentaires? Références? 213.169.160.63 (d) 18 juillet 2011 à 10:32 (CEST)Répondre

L'expression faire le quatorzième à table est mentionnée sur TLFi avec le sens suivant : « être invité au dernier moment pour empêcher qu'on ne soit treize », mais on n'y indique pas que c'était une profession. Voici une référence française où on en parle [1], mais on situe l'exercice de cette profession à Londres. À mon avis, c'est une légende urbaine. Rāvən (d) 18 juillet 2011 à 11:09 (CEST)Répondre
L'anecdote du quatorzième londonien a été reprise dans The Bazar Book of Decorum (1870, soit la même année que sa publication de L'Écho français) et dans Wicked Etiquette de Sarah Kortum (1995). Rāvən (d) 18 juillet 2011 à 11:25 (CEST)Répondre
Merci beaucoup! Assistance argumentée formidable! 213.169.160.63 (d) 18 juillet 2011 à 11:59 (CEST)Répondre
J'ai lu un petit livre qui appartenait à ma grand-mère et qui devait avoir été publié dans les années 1930 au plus tard, intitulé : "Anecdotes". On y racontait l'anecdote "quatorzième" comme suit : un homme vivant à Paris (un seul, pas une profession), au XIXe siècle si je me souviens bien, avait une carte de visite avec simplement son nom et "quatorzième"; l'auteur intrigué demande quelle est cette profession étrange : "Quatorzième secrétaire d'ambassade ?" Mais non, sa profession est de compléter les tables lorsqu'un hôte est mal à l'aise, par superstition, à l'idée d'avoir 13 convives chez lui; et comme le quatorzième est homme d'agréable compagnie, plusieurs décident délibérément d'inviter 13 personnes pour avoir le plaisir de sa présence parmi eux. L'anecdote est présentée comme vraie, mais ça ne veut pas dire grand chose. Malheureusement, un livre avec un tel titre est plutôt difficile à retrouver sur la grande toile. --Xuxl (d) 18 juillet 2011 à 20:03 (CEST)Répondre
Suite: L'article "Quatorzième" a été "gelöscht", mais l'information a été éternalisé dans la version allemande de Triskaïdékaphobie. Yeah! 213.169.160.63 (d) 19 juillet 2011 à 14:32 (CEST)Répondre

Calendrier 2007

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Bonjour, savez-vous en quelle année le calendrier 2007 sera réutilisable ? Merci !

… en 2018. — Hautbois [canqueter] 18 juillet 2011 à 12:39 (CEST)Répondre
(conflit) En tout état de cause, en 2018. --Floflo (d) 18 juillet 2011 à 12:40 (CEST)Répondre
… puis 2029 (pas 2024, année bissextile) et 2035. — Hautbois [canqueter] 18 juillet 2011 à 12:56 (CEST)Répondre

Merci, mais comment le savez-vous ?

Cf Année commune commençant un lundi et les articles reliés, en particulier Lettre dominicale. rv1729 18 juillet 2011 à 14:17 (CEST)Répondre
Attention que la Lune influence aussi le calendrier. Voir, par exemple, Calcul de la date de Pâques, Calendrier musulman, Calendrier hébraïque, Calendrier lunaire, Calendrier luni-solaire,... -- Xofc [me contacter] 18 juillet 2011 à 15:28 (CEST)Répondre
Ah, si on veut réutiliser le calendrier y compris pour la date de Pâques, il va falloir attendre 2091. rv1729 18 juillet 2011 à 15:39 (CEST)Répondre
… perso, j'ai fait au plus simple : j'ai mis le calendrier de mon ordi au 01/01/2007, puis j'ai avancé à la prochaine année commençant par un lundi. Je ne sais pourquoi, mon Imac s'arrête en 2038, donc dernière en 2035. Et j'ai pensé aux années bissextiles qui décalent d'un jour au 29 février, donc à supprimer. — Hautbois [canqueter] 18 juillet 2011 à 15:48 (CEST)Répondre
J’ai fait encore plus simple : je vous ai laissés répondre !   En pointant sur cet article je n’entendais rien de plus que : la méthode, c’est de chercher une année commune (non bissextile) qui commence un lundi. Que l’article donne la réponse est accessoire... rv1729 18 juillet 2011 à 15:56 (CEST)Répondre
… tu nous tiens……… en laisse   ! — Hautbois [canqueter] 18 juillet 2011 à 16:03 (CEST)Répondre

Intéressant cet article, merci.

La fin du monde selon Apple est prévue pour 2038. Morburre (d) 19 juillet 2011 à 07:29 (CEST)Répondre

incitation au crime

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bonjour merci au revoir

Wikipédia n'a rien sur ce sujet ? --GaAs 18 juillet 2011 à 19:08 (CEST)Répondre

Intéressant le moteur de recherche de Wikipédia... La deuxième entrée trouvée pour "Incitation au crime" tombe sur Jean-Marie Le Pen   --Serged/ 18 juillet 2011 à 19:25 (CEST)Répondre
Doit y avoir incitation à la haine raciale (c'est bien ça) et probablement d'autres types d'incitations spécifiques, ce qui est logique : la notion d'incitation au crime est trop générale pour avoir son article et en outre, ne forme pas une expression figée. -O.--M.--H.- 19 juillet 2011 à 17:18 (CEST)Répondre
L'incitation à la haine raciale est un délit.. Crimes et delits sonf différents devant la loi (de même que les infractions et contraventions). Voir par là : des infractions selon leur gravité (fr)--wikt:User:Syno Message de Syno (d · c · b) - 20 juillet 2011 à 11:17
Si l'« incitation au crime » devait être une infraction reconnue, sauf contextes particuliers ça serait un délit. Inciter au crime ou à la haine raciale n'est pas commettre soi-même un crime ou un acte raciste d'ordre criminel. -O.--M.--H.- 21 juillet 2011 à 06:29 (CEST)Répondre
Dire ou écrire il faut tuer/blesser/violer X ou Y est qualifié en droit de menace. En droit français, voir les articles 222-17 à 222-18-3 du code pénal. Rāvən (d) 22 juillet 2011 à 14:00 (CEST)Répondre
Merci à Rāvən, qui me permet de confirmer mes suppositions : les peines de prison encourues pour ces infractions, qui sont de moins de 10 ans, permettent de les classer dans la catégorie des délits puisque, dans le droit pénal français, les délits sont punissables de peines d'emprisonnement de moins de 10 ans, les crimes de peines d'emprisonnement de 10 ans ou plus. -O.--M.--H.- 22 juillet 2011 à 14:32 (CEST)Répondre

Gaëlle Bona

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… rebonjour ou plutôt bonsoir,
avec Kropotkine 113 (d · c · b), on a créé l'article de la comédienne Gaëlle Bona. Impossible de trouver des données biographiques de cette magnifique actrice ayant pourtant déjà une plus que très belle carrière. Des idées ? Au minimum sa date et son lieu de naissance ? Cordialement, — Hautbois [canqueter] 18 juillet 2011 à 23:49 (CEST)Répondre

Sur cette fiche, il y a son CV avec contact de son agent, tu peux peut-être lui demander ? --Serged/ 19 juillet 2011 à 08:00 (CEST)Répondre
… merci,    Hautbois [canqueter] 20 juillet 2011 à 07:15 (CEST)Répondre
CQui (d) Avez vous pensé a demander une photo a licence compatible Commons ? Si non, une info de la part de l'agent, ce ne serait pas une source primaire ? --20 juillet 2011 à 09:33 (CEST)Répondre

Colle artisanale africaine

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Bonsoir. Je cherche le nom d'une plante sauvage assez répandue en Afrique. Sa tige peut être cassée pour en retirer une sorte de colle. --Red Castle [parlure] 19 juillet 2011 à 06:46 (CEST)Répondre

L'article colle parle de sève de résineux. En croisant les Catégorie:Pinales et ... Catégorie:Afrique ? Bertrouf 19 juillet 2011 à 12:13 (CEST)Répondre
Les premières réponses d’une recherche google renvoient au manguier. Plus loin on trouve aussi l’acacia (qui produit la gomme arabique), le baobab, l’arbre à pain, les plantes de la familles des astragales. Bref... à question vague, réponses multiples. rv1729 19 juillet 2011 à 12:41 (CEST)Répondre
Merci pour les quelques pistes. C'est un peu compliqué à expliquer, mais je n'ai pas vraiment plus d'informations que ça. --Red Castle [parlure] 22 juillet 2011 à 19:50 (CEST)Répondre

Forage extrême

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Bonjour . Voilà une question qui pourrait passer pour le délire du jour  , donc voilà la question, accrochez-vous bien à vos slips ! Que se passerait-il (théories et hypothèses bienvenues) si on faisait un trou dans la croûte terrestre pour atteindre le noyau et pareil dans le sens opposé (exemple : ===0===) et se faisant, reliant les deux trous? Merci d'avance pour vos réponses éclairées, bien cordialement, --Joe La Truite(Courriel Le Bar Joe) 19 juillet 2011 à 09:41 (CEST)Répondre

On croiserait le mange-cailloux... Bertrouf 19 juillet 2011 à 09:57 (CEST)Répondre
Les Français iraient plus souvent en vacances en Australie ? Cobra Bubbles°°° Dire et médire 19 juillet 2011 à 10:31 (CEST)Répondre
Il serait vite encombré par les roches d'une part et la lave d'autre part... (et sans-doute ce qui compose le noyau aussi ^^') --Floflo (d) 19 juillet 2011 à 10:39 (CEST)Répondre
J'imagine que la question induit que le trou est étayé de manière efficace et qu'il n'y a pas de fuite. Il me semble que la question a déja été posée; la réponse est relativement simple, si on lance un objet dedans, il va faire quelques coups de yoyo avant de se stabiliser au centre de la Terre à cause des forces de frottement -- par contre, la pression de l'air risque d'être très forte au centre, je ne suis pas certain que l'air reste gazeux. Si en plus on fait le vide dans le trou, le mouvement peut continuer indéfiniment, et on pourrait utiliser le trou pour faire passer des objets, navettes, etc. Arnaudus (d) 19 juillet 2011 à 10:44 (CEST)Répondre
Voir Wikipédia:Oracle/semaine 8 2010#Trou traversant la Terre de part en part. Rāvən (d) 19 juillet 2011 à 10:55 (CEST)Répondre
Donc aucune chance pour la Belgique d'exporter ses problèmes... snif   --Égoïté (d) 19 juillet 2011 à 11:25 (CEST) qui sortRépondre

Mouvements de masse

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Bonjour à ts.

Quelqu'un pourrait-il me dire comment nomme t-on l'action qui consiste pour chacun des membres d'un troupeau, à suivre aveuglément (bêtemment) son prédecesseur ? Exemple, les moutons de Panurge qui se jettent ts d'une haute falaise, suivant ainsi le premier qui s'y est lancé ? Merci d'avance. --89.158.211.122 (d) 19 juillet 2011 à 11:27 (CEST)18 juillet 2011 JolykanarRépondre

L'instinct grégaire. Agrafian (me parler) 19 juillet 2011 à 11:34 (CEST)Répondre
Voir aussi grégarisme, mouvement de foule. Rāvən (d) 19 juillet 2011 à 11:57 (CEST)Répondre
Et panurgisme... rv1729 19 juillet 2011 à 12:12 (CEST)Répondre
N.B. Le premier mouton a été jeté par Panurge d'un bateau.
Tiens, je dirais du "suivisme".
Je propose, selon le cas : sottise, stupidité, absurdité, ineptie, inintelligence, imbécillité, ignorance, crétinerie, ânerie, balourdise, bêtise, idiotie, folie, socialisme...--Waterstrat (d) 20 juillet 2011 à 00:16 (CEST), irrationalisme...Répondre

conducteur de protection (PE) peut-il être égal au conducteur neutre?

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Bonjour grands oracles, je voulais alimenter un compensateur actif 4 phases(3 phases+neutre) d'alimentation en utilisant à la place des 4 phases(3 phases+neutre) plutôt une alimentation avec 3phases+PE(conducteur de protection).Pourriez vous me dire que l'utilisation dans ce dernier cas se passera sans problème technique ou de sécurité? autrement dit le conducteur de protection peut-il être égal au conducteur neutre? Merci infiniment par avance! — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 196.28.247.222 (discuter), le 19 juillet 2011 à 14:23 (CET)Répondre

Régime TN-C, voir Schéma de liaison à la terre. Mais ce n'est pas forcément autorisé chez vous, votre fournisseur d'électricité et/ou votre assureur risquent de ne pas être d'accord. Comme le dit l'article, "il est nécessaire de se reporter à la norme NF-C 15-100 pour plus de précision" (pour la France). --GaAs 20 juillet 2011 à 18:02 (CEST)Répondre

Seconde et bit

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Bonjour et longue vie à Wikipédia !

Suite à une recherche sur Wikipédia, j'ai appris qu'il existe en physique sept unités de base du système international.
Première question, comment admettre la seconde dans les unités fondamentales, puisque cette dernière dépend du kelvin (cf section "Remarques" dans l'article cité). En effet, nous pourrions croire que la seconde se définie à partir d'une quantité donnée d'événements quantiques. Ce nombre, 9192631770, est donc réductible à la mole. Est-ce que la seconde se laisse entièrement définir par le kelvin et la mole, ou alors est-ce que certains éléments de sa définition sont irréductibles aux six autres unités, ce qui justifierait sont inclusion dans les unités de bases du système international ? Est-ce que la seconde a de fait un statut particulier au sein des unités fondamentales ? Bref, est-ce que c'est une unité fondamentale “bâtarde” ?
Deuxième question, je ne comprends pas pourquoi le bit ne fait pas partie des unités de bases du système international. En effet, comment sans le bit (qui définit le Qbit) mesurer la quantité d'information, et, à travers elle, celle d'entropie ? Pourquoi le bit ne serait-il pas une unité fondamentale ?

Je vous remercie d'avance de bien vouloir répondre à ces deux questions, nf.

Concernant la question à propos de la seconde, je crois que la réponse est donnée dans l'article : « Certaines unités fondamentales utilisent d'autres unités fondamentales dans leur définition, parfois via des unités dérivées (la définition de la seconde utilise par exemple celle du kelvin). Les unités fondamentales ne sont donc pas stricto sensu indépendantes les unes des autres, mais ce sont les grandeurs physiques qu'elles permettent de mesurer qui le sont. » Rāvən (d) 19 juillet 2011 à 17:28 (CEST)Répondre
Pour le bit, je crois qu'il n'est pas inclus dans le système parce qu'il ne sert pas à mesurer des grandeurs physiques. Rāvən (d) 19 juillet 2011 à 17:31 (CEST)Répondre
Un bit c'est un nombre et rien d'autre. un nombre n'est pas une unité, il est sans dimension. le bit ne peut pas être une unité "fondamentale", puisqu'il n'est même pas une unité (tout court) gem (d) 19 juillet 2011 à 18:33 (CEST)Répondre
Et de même le mètre peut se définir à partir de la seconde (et vice-versa) à partir de la vitesse de la lumière. D'ailleurs on ne se prive pas de définire le mètre comme « la distance parcourue par la lumière dans le vide en 1299 792 458 seconde » --Serged/ 20 juillet 2011 à 08:32 (CEST)Répondre
Pour préciser, il faut voir ce système d'unités de base de la physique comme des faits ayant même valeur en tout contexte, à partir desquels ont peut calculer d'autres unités. Ni la mole, ni la seconde, ni même le kelvin ne sont des « unités de base » si on les pense comme fait en soi - je dis bien le kelvin comme unité de mesure, et non pas le zéro absolu qui est une donnée physique absolue, justement, le kelvin étant une donnée relative, puisque chaque degré reprend de manière arbitraire la gradation du celsius. Par contre, on peut en donner une description sans ambigüité à partir de données de base de la physique, qu'on reliera aux systèmes arbitraires en vigueur, pour construire un ensemble cohérent d'unités de base. -O.--M.--H.- 20 juillet 2011 à 11:03 (CEST)Répondre

Je vous remercie de m'avoir fourni ces éclairages, nf

Confusion entre encyclopédie en français et encyclopédie française, entre droit français et international ...

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Bonjour,

Je suis bien heureux de ne plus participer à Wikipédia puisqu'un administrareur supprime systématiquement le symbole "Registered" pour des raisons de code national français.

En effet, le Code de la Propriété Intellectuelle (CPI) s'occupe notamment de la protection des obtentions végétales en France.

Les cultivars de pommiers de la gamme Redlove® n'ont me semble-t-ils pas été créés en France: je ne vois donc pas de raisons sérieuses pour supprimer ici d'autortité l'attribut ® dans une encyclopédie en français et ne portant pas que sur les obtentions variétales en France.

La firme lubera® possédant la marque Redlove® est suisse et les protections des noms et des cultivars sont peut-être suisses ou, européennes et dans ce cas applicables en France. Sans en connaître les détails, écrire les noms comme le fait la firme sur ses sites Web est plus correct même s'il n'est pas formellement interdit de supprimer le ®.

Merci à tous d'y penser.

anciennement JeanDuMont (d · c · b). — Le message qui précède a été déposé par l'IP 81.244.105.216 (d), le 19 juillet 2011 à 18:27 (CET).Répondre

C’est juste que c’est affreusement moche™, ces ® partout. Mais y a-t-il une question, ou cherchiez-vous Le Bistro ? rv1729 19 juillet 2011 à 18:33 (CEST)Répondre
C'est moche est c'est inutile, même en droit anglo-saxon. D'après de ce que j'ai compris, les trucs dans les ronds servent à préciser que la marque n'est pas un nom commun. C'est particulièrement bien adapté aux entreprises qui donnent des noms communs à leurs marques ou à leurs produits (Windows, Orange), ou à celles qui essayent d'empêcher l'utilisation générique de leur marque (Kärcher, Frigo, etc). Ces mentions relèvent de la communication, et ne portent donc aucune valeur encyclopédique. Arnaudus (d) 20 juillet 2011 à 08:58 (CEST)Répondre
Généralement dans un article, on va du principal à l'accessoire. Si la caractéristique principale de ces pommiers est d'être 'enregistrés' et 'protégés', je préfère ne pas en manger. Et, je me demande même si les articles ne devraient pas être proposés à la suppression... -- Xofc [me contacter] 20 juillet 2011 à 10:59 (CEST)Répondre
Ça ne fait aucun doute. Redlove est un article purement promotionnel. Si ces variétés à nom déposé ont un intérêt encyclopédique, elle devraient être mentionnées dans un article concernant la culture du pommier, par exemple. rv1729 20 juillet 2011 à 15:11 (CEST) PS: Liste de cultivars de pommiers domestiques... Wikipédia n’est pas un annuaire...Répondre
Les TM et R n’ont aucune, je dis bien aucune, valeur juridique en droit français. Je cite l’Institut National de la Protection Intellectuelle : « Les lettres ™ ou ® sont utilisées dans les pays anglo-saxons pour mentionner que le nom (ou le signe) est une marque de commerce (TM : trademark), ou a fait l’objet d’un enregistrement (R : registered : marque enregistrée). Alors que l'utilisation de ces lettres a une signification précise dans ces pays, leur utilisation n'a aucune portée juridique en France. » En Suisse, le signe R est reconnu, mais son utilisation est facultative et ne modifie en rien la nature de la protection juridique dont jouit la marque. Bref, c’est un grand classique des articles écrits pour faire de la communication d’entreprise : non seulement ces articles piétinent les principes qui fondent Wikipédia, la détournant pour en faire un support publicitaire, mais en plus ils nous infligent du juridisme d’amateur, histoire de marquer davantage encore leur territoire. gede (d) 21 juillet 2011 à 13:07 (CEST)Répondre

Œuvres littéraires autour de la figure de la mère

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Bonjour à tous les Oracles,

je cherche une liste et/ou une classification d'oeuvres littéraires françaises et étrangères qui tourneraient autour du personnage de LA MERE (autobiographies, fictions, théâtre, poésie,etc... peu importe)

merci d'avance — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 88.219.128.96 (d), le 19 juillet 2011 à 19:58 (UTC).

J'ajouterais:
de François Mauriac :
de Jean Cocteau :
  • Lettres à sa mère NRF Gallimard
Voir aussi Marcel Proust
Et aussi.... les best-sellers:
jbdepradines (d) 20 juillet 2011 à 16:00 (CEST)Répondre
Et personne pour Neuilly sa mère ! m'enfin   ? .Anja. (d) 21 juillet 2011 à 10:23 (CEST)Répondre

Répartir des points sur une sphère

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Bonjour les pythies, j'ai un pb de math à résoudre, peut-être pourriez vous m'aider.

Je me suis mis en tête d'adapter cette extension en javascript pur (au lieu de flash). Le rendu est visible ici.

J'ai en main à peu près tout les éléments, sauf une chose : comment faire pour répartir régulièrement les liens autour de la sphère ?

En gros, j'ai besoin d'une fonction qui, connaissant le rayon de la sphère et le nombre de points, puisse me les répartir équitablement sur la sphère et me renvoyer leur coordonnées (polaires de préférence).

J'ai décompilé le fichier flash qui le fait, et voilà ce que j'ai :

(mcList = tableau de liens ; radius = rayon de la sphère ; distr = "true" (je sais pas à quoi sert cette variable))

private function updateAll() : void
    var phi;
    var theta;
    var i = 1;
    var max = mcList.length;
    while(i < (max + 1){
        if(distr){
            phi = Math.acos(-1 + (2*i -1) / max );
            theta = Math.sqrt(max * Math.PI) * phi;
        }else{
            phi = Math.random() * Math.PI;
            theta = Math.random() * (2 * Math.PI);
        }
        mcList[(i-1)].cx = radius * Math.cos(theta) * Math.sin(phi);
        mcList[(i-1)].cy = radius * Math.sin(theta) * Math.sin(phi);
        mcList[(i-1)].cz = radius * Math.cos(phi);
        i = (i+1);
    }
    return;
}

phi et theta semblent être les coordonnées polaires, converties ensuite en coordonnées euclidiennes, mais j'ai du mal à appréhender ces formules. Quelqu'un pourrait-il me faire une explication de cette formule ?

⇨ Dr Brains ∞ Consultation ∞ 19 juillet 2011 à 22:29 (CEST)Répondre

Tiens ça me rappelle mes cours de Sup où le prof nous faisait chanter à tue-tête : "Oméga dans UVZ : théta point, psi point sin, phi point plus psi point cos". Et je vous assure que c'est une bonne façon de retenir la formule de transposition d'un repère ortho vers un repère polaire (le théta point signifie dérivée de théta). Je ne suis plus capable de refaire la démo, c'était y'a... ouuuh... 13 ans déjà ! Désolé. Et en plus toi il te faut l'autre sens. Bertrouf 20 juillet 2011 à 03:38 (CEST)Répondre
Je n’ai jamais pu retenir une formule comme ça, c’est tellement plus simple de la retrouver à chaque fois. Bon ben, Dr Brains, faut faire un dessin quoi ?! cf Coordonnées sphériques. rv1729 20 juillet 2011 à 07:54 (CEST)Répondre
Rah, vous n'avez pas compris ma question. Bon, elle était peut-être un peu trop alambiquée...
Je ne cherche pas à transformer des coordonnées polaires (ou sphériques) en orthonormée (ou inversement). Ça je sais faire, avec un peu de trigo.
Mon problème c'est de répartir équitablement un nombre arbitraire de points sur une sphère, et donc d'en calculer les coordonnées. Dans cette optique, est-ce que le programme ci-dessus, en particulier le calcul des variables phi et theta (qui semblent être deux des trois coordonnées polaires), me donne ce que je recherche ?
⇨ Dr Brains ∞ Consultation ∞ 20 juillet 2011 à 17:02 (CEST)Répondre
j'avais bien compris, par contre j'ai pas la solution. Le code que tu nous indiques (édit : voir infra l'analyse par RV) est un choix économique et pas mauvais, assez agréable à l'œil, mais pas parfaitement réparti. Si tu es plus exigeant, je crains qu'il va falloir faire une méchante optimisation à partir d'une répartition par trop mauvaise au départ (sauf cas particulier d'un nombre de points correspondant à un polyèdre régulier : 1, 2, 3, 4, 6, 8, 12 et 20 ; en prenant comme référence soit un sommet, soit le centre de la face). Va voir dans Diagramme de Voronoï (idée : chaque point doit couvrir une surface égale à la surface totale de la sphère (4Pir²) divisée par le nombre de points ) et Géode (géométrie) quelques éléments et tu comprendra que je le sens pas trop, là... Je parierai volontiers qu'il existe sans doute quelque part un algorithme sur étagère qui sait faire ça, au moins pour les nombres usuels ; je ne sais pas où le trouver.
gem (d) 20 juillet 2011 à 17:57 (CEST)Répondre
Moi, j’avais pas compris, désolé, et même en relisant j’ai du mal à voir comment on pouvait comprendre — la partie dont tu demandes le commentaire me semble d’ailleurs plus claire que la conversion en coordonnées cartésiennes.
Le code que tu indiques utilise un flag (distr) qui semble être une variable globale ; selon sa valeur il fait soit un tirage aléatoire (phi uniforme entre 0 et pi, theta uniforme entre 0 et 2*pi), soit il prend, pour le i-e élément, i allant de de 1 à n = le nombre d'éléments, phi = arcos( -1 + (2i-1)/n ) : des angles dont le cos se répartit uniformément de -1 à 1, le cos étant la projection sur l'axe des pôles (en fait il s’arrête à 1-1/N, ce qui évite un des deux pôles, je ne sais pas pourquoi) ; et theta proportionnel à phi, précisément theta = sqrt(n*pi)*phi, ce qui est sans doute une grosse bidouille pour avoir un truc globalement agréable à l’oeil, en gros les points sont sur une spirale qui va d’un pôle à l’autre, et plus il y a de points à placer plus la spirale tourne vite (elle fait sqrt(n pi)/2 tours), ce qui évite que les points soient trop proches et qu’on devine trop la présence de la spirale. Le sqrt(n) est sans doute une bonne idée, mais le sqrt(pi) ne rime à mon avis à rien, je te suggère d’essayer d’autres valeurs. rv1729 20 juillet 2011 à 18:27 (CEST)Répondre
Je hais ces boules tournantes sur les sites... Celle de l'exemple cité bouffe quand même 30% de mon modeste CPU ! (Pentium 4 HT à 2,8Ghz) --Serged/ 21 juillet 2011 à 08:57 (CEST)Répondre
Oh ben alors là, voilà une drôle de découverte pour moi (mais vous vous en foutez surement) : comme je n'ai pas les images sur wikipédia à cause du pare-feu chinois, j'ai lancé le VPN pour voir les boules tournantes... et j'ai découvert que les formules LaTeX étaient aussi bloquées par le pare-feu. C'est vachement plus beau en vrai qu'en Chine, wikipédia.   Bertrouf 21 juillet 2011 à 11:35 (CEST)Répondre

Bip Bip et Coyote

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Bonjour l'oracle.

je regarde a l'instant un de ces fameux épisodes et je me pose la question.

pourquoi le coyote n'essaie jamais une deuxième fois le même plan qu'il prépare?

merci.

Bonjour l'oracle.
je regarde a l'instant un de ces fameux épisodes et je me pose la question.
pourquoi le coyote n'essaie jamais une deuxième fois le même plan qu'il prépare?
merci.
… et si cela ne suffit pas :
Bonjour l'oracle.
je regarde a l'instant un de ces fameux épisodes et je me pose la question.
pourquoi le coyote n'essaie jamais une troisième fois le même plan qu'il prépare?
merci.
Hautbois [canqueter] 19 juillet 2011 à 23:34 (CEST)Répondre
À cause de l'obsolescence programmée des produits de l'ACME. --Serged/ 20 juillet 2011 à 08:39 (CEST)Répondre
Moi je dirais que comme le plan en question se termine toujours par un rocher sur la tronche, une chute vertigineuse, ou un obus en plein dans la poire, l'instinct de survie du coyote l'incite à ne pas retenter l'expérience. En tout cas, moi, je ne recommencerais pas. Surtout qu'il n'y a rien à bouffer sur Bip-bip, c'est seulement une question de fierté j'imagine... Arnaudus (d) 20 juillet 2011 à 08:52 (CEST)Répondre
Coyote est peut-être le testeur officiel des produits ACME (pas sûr j'achèterais un de leurs gadgets ...) Docteur Doc Se confier à un psychologue 20 juillet 2011 à 13:08 (CEST)Répondre
Réponse pas sérieuse, parce qu'il a une capacité mémorielle de poisson rouge.
Réponse sérieuse, parce que le schéma narratif de la grande majorité des dessins animés de l'époque de la Warner Bros est immuable : le personnage « faible » est astucieux ou chanceux et échappe à toute agression ; le personnage « fort » échoue à chaque tentative, ce qui le conduit à en chercher chaque fois une nouvelle avec l'espoir qu'elle réussira. Cela dit, si tu regardes plusieurs épisodes de Bip Bip et Coyote, tu verras que le coyote réessaie des tactiques qui avaient échoué auparavant. -O.--M.--H.- 20 juillet 2011 à 14:54 (CEST)Répondre
conjecture du coyote : le coyote essaiera une autre fois le même plan, si, et seulement si, il est possible que ça se termine comiquement mal pour lui d'un autre façon que lors des précédentes tentatives. gem (d) 20 juillet 2011 à 19:06 (CEST)Répondre
Par exemple, le plan du coyote qui consiste à peindre en trompe l'oeil un tunnel sur un pan de rocher, en espérant que le Bip bip s'y plantera en pleine course, revient à plusieurs reprises. Le plan échoue à chaque fois, mais de façon différente. --Xuxl (d) 20 juillet 2011 à 22:21 (CEST)Répondre
Dans un épisode des Simpson, je me souvient plus lequel, la famille Simpson essait plusieurs moyens pour débarrer une porte. Plus tard, Lisa réussi à débarrer la porte. La famille lui demande comment elle a fait, et Lisa dit quelle avait fait le premier moyen et quelle ne comprenait pas pourquoi personne ne réesayait jamais deux fois la même affaire dans les dessins animés. (Il me semble.) ŠⱥᶈıȵƋᵰøǝł ou plutôt de juillet ! Parler à un sapin (et avoir l'air fou) 21 juillet 2011 à 12:57 (UTC-4) ou 21 juillet 2011 à 18:57 (CEST)Répondre
Pourtant, il a essayé plusieurs fois de suite d'envoyer un rocher avec une catapulte... Litlok (m'écrire) 24 juillet 2011 à 23:23 (CEST)Répondre

Articles Jacques Martin et sa descendence

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Je pense qu'il faut vérifier le chapitre Vie privée de cet article ou donner des références sur ses paternité avec l'actrice Marion Game. De notoriété publique, jacques martin a eu 8 enfants, qui se sont d'ailleurs constitués en une société nommée 8 M (comme martin). articles publié le 5 mai 2008.


Sont nommés : David, Elise, Frédéric, Jean-Baptiste, Judith, Jeanne-Marie, Juliette et Clovis.

Salut. En tout premier,
  Chère visiteuse, cher visiteur. C'est avec plaisir que nous répondrons à votre question si nous le pouvons, mais nous aurions grandement préféré qu'elle fût formulée avec un peu plus de courtoisie : bonjour, s'il vous plaît et merci sont toujours appréciés. Bonne navigation sur Wikipédia.
En second, l'Oracle n'est pas le lieu pour ce genre de remarques, les pythies n'émettant pas d'avis sur le contenu des articles, le mieux est donc de la faire sur la page de discussion de l'article concerné. Enfin,
  Nous vous remercions pour votre suggestion. Lorsque vous pensez qu'un article devrait être amélioré, n'hésitez pas à faire vous-même les changements nécessaires. Wikipédia est une encyclopédie basée sur un système wiki, que n'importe qui peut éditer en suivant le lien Modifier situé en haut de chaque page. La communauté des utilisateurs de Wikipédia vous encourage à être audacieux. Ne vous inquiétez pas pour les erreurs que vous pourriez commettre de bonne foi, elles seront probablement détectées et corrigées très rapidement par d'autres contributeurs. Si vous n'êtes pas sûr de la manière de modifier une page, vous pouvez lire Comment modifier une page ou vous entrainer dans le bac à sable. Les nouveaux arrivants sont toujours les bienvenus. Bien que cela ne soit pas obligatoire, vous pourriez trouver des avantages à vous créer un compte utilisateur. Bienvenue parmi les éditeurs de Wikipédia !

-O.--M.--H.- 20 juillet 2011 à 05:58 (CEST)Répondre

Mais quel Jacques Martin ? L'écclésiastique ou le cycliste ? --Serged/ 20 juillet 2011 à 08:37 (CEST)Répondre
Pas le papa d’Alix, Alix n’est pas dans la liste. Morburre (d) 20 juillet 2011 à 08:44 (CEST)Répondre
Et « Tous les ânes ne s’appellent pas Martin » ! --Serged/ 20 juillet 2011 à 10:00 (CEST)Répondre
En espérant que tous les Martin ne fassent pas le Jacques. -O.--M.--H.- 20 juillet 2011 à 10:05 (CEST)Répondre

bonsoir, et bien l'affaire est réglée, j'ai corrigé l'erreur, dans la vie privée de Marion Game, ses 2 fils Romain et Mathieu ne sont absolument pas de Jacques Martin mais de Jacques Verlier

Dispositif de freins sur les chars à voile

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Bonjour à tous; je travaille sur un projet de char à voile miniature et à ce titre m'intéresse à la techonologie du modèle grandeur nature. Dans tout ce que j'ai pu consulter, on ne mentionne jamais l'existence d'un disposif de frein sur un engin qui peut atteindre les 100 km/h. Surprenant, non ? --Ruizo (d) 20 juillet 2011 à 19:23 (CEST)Répondre

Salut. La voile peut faire un excellent frein il me semble. Confirmé par des recherches, d'où il ressort que les chars à voile sont parfois pourvus de freins, mais que les deux meilleures manières de s'arrêter sont de ralentir en s'aidant de sa voile ou de freiner par dérapage contrôlé. -O.--M.--H.- 20 juillet 2011 à 21:58 (CEST)Répondre
Merci. J'attends éventuellement une confirmation. Mon modèle réduit est prévu avec freins par défaut, ce qui complique énormément les commandes, mais cela me semble raisonable, car un tel engin (2,5kg) lancé à 20 km/h peut blesser quelqu'un s'il arrive hors de portée de l'émetteur.--Ruizo (d) 20 juillet 2011 à 22:27 (CEST)Répondre
Je vais te sembler idiot, mais si l'engin est hors de portée de la télécommande, comment tu fais pour le freiner ? Sinon, ça me semble en effet utile d'équiper un modèle réduit d'un système de freinage, du fait qu'on n'a probablement pas la même facilité de contrôle qu'avec un char normal pour le ralentissement à la voile ou le dérapage. -O.--M.--H.- 21 juillet 2011 à 09:32 (CEST)Répondre
Bah, j'imagine qu'il est possible de réaliser un dispositif de freinage négatif, comme dans les trains : la télécommande émet en permanence un signal qui maintient le frein en position ouverte, quand on passe hors de portée, le frein se ferme... et le char bascule et fait plusieurs tonneaux à cause du vent sur la voile. À mon avis, c'est une mauvaise idée de freiner par les roues un engin donc la force motrice vient au dessus du centre de gravité (et c'est une mauvaise idée de freiner un engin sans couper la force motrice de toutes manières). Arnaudus (d) 21 juillet 2011 à 11:20 (CEST)Répondre
Je pensais à ça aussi et me disais que le système de freinage doit être couplé avec un système qui fasse s'affaler la voile, sans quoi le résultat du coup de frein risque d'être catastrophique pour le modèle réduit. -O.--M.--H.- 21 juillet 2011 à 11:26 (CEST)Répondre
CQui (d) Je suppose que les roues sont les plus fines possible, pour limiter la friction, donc si elles sont adaptées a leur fonction de base elle sont parfaitement inadaptées au freinage, si c'est pour aller sur du sable je verrais plutôt un système d'ancre. En fixant l'ancre à l'avant, avec une bonne longueur de ficelle, le truc devrait se tourner face au vent et limiter les problèmes de voile. --21 juillet 2011 à 15:46 (CEST)
Un engin doté de voiles freine en modifiant son orientation de manière à se mettre face au vent. Pline (discuter) 28 juillet 2011 à 14:15 (CEST)Répondre

Port de maillots distinctifs au Tour de France

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Bonjour, les Pythies.

Lors de ce Tour de France, Philippe Gilbert a réalisé la performance de porter les 3 maillots distinctifs du Tour de France (jaune, vert, à pois -- j'exclus le classement du meilleur jeune) bien aidé, il est vrai, par le gain de la première étape qui lui a permis de les raffler tous les 3 en une fois. Voici donc ma question, quels sont les coureurs ayant réussis à porter les 3 maillots distinctifs sur un même Tour de France ? Il n'est pas nécessaire de le ramener jusqu'à Paris ou de les porter en même temps. En bon Belge, je vois déjà Eddy Merckx en 1969 mais je ne sais pas si d'autres cas existent ?

Merci d'avance pour vos suggestions.

--130.207.37.76 (d) 21 juillet 2011 à 19:08 (CEST)Répondre

Il est dit ici (mais un blog n'est pas une source sure) qu'effectivement Eddy Merckx est le seul à avoir gagné les trois classements, en 1969, au classement final. Ce qui n'exclut pas que d'autres puissent avoir eu les trois brièvement. Dhatier jasons-z-en 21 juillet 2011 à 20:22 (CEST)Répondre
Et pratiquement, comment ça se passe ? Il porte 3 maillots à la fois ? Dans quel ordre ? --Serged/ 22 juillet 2011 à 18:01 (CEST)Répondre
Dans le cas où un coureur est leader de plusieurs classements, il porte le maillot le plus important (dans l'ordre il me semble que c'est jaune > vert > pois > blanc). Le(s) autre(s) maillot(s) sont alors portés par le second du classement. --130.207.37.76 (d) 22 juillet 2011 à 20:35 (CEST)Répondre

Pirate informatique

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Bonsoir . J'ai fait un tour du côté des pirates informatiques et des catégories liées, peut-être ai-je mal vu, mais pourriez-vous m'indiquer si il existe des femmes pirates informatiques, des hackeuses? je n'en ai trouvée aucune. Merci d'avance pour votre aide, bien cordialement, --Joe La Truite(Courriel Le Bar Joe) 21 juillet 2011 à 20:41 (CEST)Répondre

Trinity? ! Les réponses sérieuses vont plus bas. ŠⱥᶈıȵƋᵰøǝł ou plutôt de juillet ! Parler à un sapin (et avoir l'air fou) 21 juillet 2011 à 16:28 (UTC-4) ou 21 juillet 2011 à 22:28 (CEST)Répondre
… Google en compte 53 600 dont une mamie de 75 ans qui a coupé l'Internet de toute l'Arménie et visiblement, son histoire a fait le tour du net. — Hautbois [canqueter] 22 juillet 2011 à 08:00 (CEST)Répondre

Remboursement du capital de la dette publique française

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Bonjour

Je me pose une question depuis des années : les intérêts de la dette publique française (charge de la dette) apparaissent comme une dépense dans le budget de l'Etat (cf ici), mais le remboursement du capital, lui n'apparaît pas. Comment cela se fait ?

On paye les intérêts, mais on doit quand même rembourser le capital à un moment. J'imagine que ça apparaît au bilan, mais n'y a-t-il pas un moyen de voir le montant ou la proportion de la dette remboursée pour une année donnée ? Si quelqu'un a le temps, la compétence et la gentillesse de me donner quelques explications, je lui en serai fortement gré.

Merci d'avance pour toute réponse.

Xerbias (d) 21 juillet 2011 à 22:27 (CEST)Répondre

Bonsoir. Voir Déficit budgétaire et déficit public. Le remboursement n'apparaît pas, parce que la France s'endette de plus en plus : pour faire les remboursements on emprunte... pour pouvoir faire des remboursements il faudrait présenter des budgets en excédents, ça n'est plus arrivé depuis les années '75...— Le message qui précède, non signé, a été déposé par Biem (discuter)
Pourquoi devrait-on rembourser le capital ? GL (d) 22 juillet 2011 à 01:26 (CEST) Répondre
L’Etat français fait, en effet, du roll over sur sa dette : il rembourse le principal des dettes passées arrivées à maturité en émettant de nouveaux emprunts d’un montant équivalent. L’Etat français a, en effet, un solde budgétaire en déficit depuis 1975 : par conséquent, tout ou partie de la dette passée arrivée à maturité doit être refinancée par de nouveaux emprunts. Autrement dit, même si l’Etat avait un budget avec un solde parfaitement à l’équilibre, et donc que l’encours de la dette restait le même, il devrait néanmoins émettre de nouveaux emprunts pour rendre possible ce refinancement des dettes arrivés à échéance. D’un point de vue économique, le montant total des émissions de dettes peut être une donnée importante, puisque, même un Etat dont le budget est à l’équilibre doit trouver des prêteurs, et qu'il y a toujours un risque que ceux-ci ne soient pas assez nombreux et que le taux d’intérêt où l'on se refinance augmente. Toutefois, d'un point de vue comptable, ce n’est pas très intéressant : la seule donnée pertinente est de connaître les émissions nettes d’emprunts, puisque ce sont elles qui font accroître l’encours de la dette publique.
Après ce préambule, voici les données que vous demandiez : pour l’année 2011, le projet de budget devait conduire à ce qu’à peu près la moitié des émissions d’emprunt (de l’ordre de 180 milliards d’euros) servent à financer le déficit budgétaire, et l’autre moitié le remboursement des dettes arrivée à maturité. Voir cet article. (J’ai la flemme de trouver un document officiel). Pour les années passées, voir cette page du site du Trésor : les lignes amortissements (à l’exception des dettes reprises) correspondent au remboursement des dettes arrivées à maturité. (GL : parce que quand une dette atteint sa maturité, il faut la rembourser : tout simplement ! Mais on peut le faire en empruntant un montant équivalent, ce qui conduit à maintenir son stock de dette inchangée, et c’est ce que fait l’Etat français, pour l’essentiel, depuis 35 ans.). gede (d) 22 juillet 2011 à 01:49 (CEST)Répondre
Comme le dit gede, c'est une pratique commune des États de renouveler leur dette plutôt que de la solder. C'est une nécessité pour ceux dont le budget est déficitaire, et une pratique de bonne gestion pour ceux à l'équilibre ou bénéficiaires, puisque ça leur permet de prêter à un taux supérieur à celui où ils empruntent. C'est d'ailleurs ce que fait tout bon gestionnaire : la confiance des prêteurs lui permet d'emprunter à faible taux et de faire des placements ou des acquisitions à bon taux. Un bon gestionnaire agit comme un banquier, en se payant sur la différence. -O.--M.--H.- 22 juillet 2011 à 06:51 (CEST)Répondre
Oui, ma formulation était un peu expéditive mais je voulais souligner qu'un État (ou une entreprise) n'a pas forcément de raisons de vouloir réduire le stock de dette (et certainement pas de ne pas avoir de dette du tout…) À la réflexion, j'avais cependant peut-être mal compris la question. GL (d) 22 juillet 2011 à 08:58 (CEST) Répondre
Ce que vous dites est très intéressant mais ça ne réponds absolument pas à la (bonne) question de notre interlocuteur. Voir infra gem (d) 22 juillet 2011 à 10:13 (CEST)Répondre
C'est de la comptabilité de base. Vous excuserez les approximations, je ne suis pas comptable et je peux errer sur quelques détails, mais je peux vous exposer les grands principes.
Dans le plan comptable on distingue d'une part les comptes de patrimoine (finance), d'autre part les comptes de flux . La dette en général est un élément du compte de patrimoine ; créer de la dette n'est pas un revenu et, par conséquent, symétriquement, son remboursement n'est pas une dépense. Donc, contrairement à ce qui est dit plus haut, même si la France trouve un revenu suffisant pour n'avoir plus besoin d'emprunter à nouveau (en exploitant les gaz de schiste par exemple) et se mette à réduire ses dettes, ce remboursement n'apparaitra JAMAIS comme une dépense ; pour une raison de principe (comptable).
Les intérêts sur la dette sont une dépense : c'est bien un flux.
Pourquoi la dette est un élément du patrimoine (et plus précisément : du passif (comptabilité)) ? parce qu'elle est (normalement) associé à un actif (comptabilité) (exemple : Mitterand endette la France pour nationaliser des entreprises ; dette nouvelle = patrimoine nouveau, solde équilibré, pas de problèmes. Et, coté flux, dividendes des entreprises = revenus nouveau = de quoi financer les intérêt sur la dette : encore pas de problème).
Les ennuis commencent quand on utilise l'endettement comme si c'était un revenu... gem (d) 22 juillet 2011 à 10:13 (CEST)Répondre
Tu as peut être raison, gem : le questionneur se posait possiblement une question ayant trait à la comptabilité publique. J’avoue, à la relecture de la question, que je ne sais pas ce qu’il demandait vraiment. La première partie de sa question tend à te donner raison, mais la deuxième m’a conduit à la réponse que j'ai donnée. gede (d) 22 juillet 2011 à 10:47 (CEST)Répondre
Merci pour toutes vos réponses, ma question était d'ordre général, et portait autant sur la logique économique que sur la comptabilité. J'ai ainsi découvert que l'on empruntait systématiquement pour rembourser les dettes arrivées à maturité, ce qui était un des points que je ne comprenais pas. Sur la logique comptable, j'ai du mal à trouver un tableau synthétique, mais si le budget est en déficit (du fait de dépenses de fonctionnement et non d'investissement), cela veut bien dire que l'emprunt est considéré comme un revenu pour pouvoir équilibrer les recettes avec les dépenses, non ? Xerbias (d) 22 juillet 2011 à 11:38 (CEST)Répondre
non, l'emprunt n'est pas un revenu, et d'ailleurs les recettes et les dépenses ... ne sont pas équilibrés : il y a un déficit. Ce qui est équilibré, c'est la balance actif/passif gem (d) 23 juillet 2011 à 11:05 (CEST)Répondre
Gem : tu assimiles abusivement les principes de gestion d'une entreprises avec ceux d'un État. Le but d'une entreprise est de faire du bénéfice, c'est-à-dire d'avoir plus de flux positifs (produits) que de flux négatifs (charges). À long terme, une entreprise ne peut donc pas s'endetter pour couvrir ses pertes, car si une entreprise fait des pertes dans le long terme, elle n'a pas d'utilité économique. La dette d'une entreprise doit donc servir, soit à faire des investissements, soit à couvrir des pertes, mais de manière temporaire, par exemple au début d'une activité ou pendant une période de crise. Pour un État, la situation est radicalement différente, car un État ne cherche pas à faire du bénéfice. Les États n'utilisent d'ailleurs pas un plan comptable du même type type que celui des entreprises. Ils utilisent une comptabilité budgétaire dans laquelle ce qui peut être assimilé à des investissements (par exemple des nationalisation d'entreprises) est mélangé avec ce qui peut être assimilé à des charges (par exemple le paiement de salaires). Toutes ces dépenses entrent dans le calcul du déficit public. Rāvən (d) 22 juillet 2011 à 11:47 (CEST)Répondre
mouais, ça c'est de la propagande politique classique ... La comptabilité ne fait pas de politique et la loi [2] précise que "Les règles applicables à la comptabilité générale de l'État ne se distinguent de celles applicables aux entreprises qu'en raison des spécificités de son action." (c'est moi qui graisse). Autrement dit : l'état fait des choses qu'aucune entreprises ne fait (comme percevoir des amendes ou financer des campagnes militaires par exemple), ça réclame forcément des adaptations qui se voient dans la comptabilité ; pour le reste, l'état fait comme tout le monde. Les questions de dettes sont banals, il n'y a pas de "spécificités de son action" qui justifient des adaptations spéciale du droit comptable qui s'y applique gem (d) 22 juillet 2011 à 19:10 (CEST)Répondre
Alors qu'une entreprise constamment en perte a évidemment un problème, ce n'est pas le cas d'un État constamment en déficit. Un déficit permanent signifie que la dette en termes absolus s'accroît constamment, mais ce qui est important, ce n'est pas la valeur absolue de la dette, mais la charge de la dette. Cette charge est influencée par l'évolution des taux d'intérêt. D'autre part, les revenus de l'État varient en fonction de l'évolution du PIB. Si les revenus de l'État sont plus importants, il pourra facilement supporter le poids d'une dette plus importante. Enfin, s'il y a de l'inflation, elle diminue le poids de la dette. Rāvən (d) 22 juillet 2011 à 12:02 (CEST)Répondre
Totalement faux dans les deux sens. entreprise et états sont parfaitement comparables de ce point de vue : une entreprise peut supporter, comme un état, d'avoir un compte de résultat d'exploitation négatif, pendant très, très longtemps ; pourvu que son patrimoine reste positif, ou même, pourquoi pas, croissant (si par exemple l'entreprise détient un actif dont la valeur monte, monte...). Mais à terme, un état qui accumule "trop" de déficit fini par claquer (exemple : la Grèce). Tout au plus peut-on arguer que le "trop" pour un état est largement plus loin que celui d'une entreprise (justement parce qu'un état détient "hors bilan" un actif magique, à la valeur incomparable : le pouvoir d'asservir sa population et de lui confisquer ses biens). Mais je crains qu'on s'égare gem (d) 22 juillet 2011 à 19:10 (CEST)Répondre
Il n'est pas tout-à-fait exact de dire qu’« on emprunt[e] systématiquement pour rembourser les dettes arrivées à maturité » même si c'est une pratique courante, et obligatoire pour des comptes publics déficitaires. Pour la manière dont la dette publique est considérée, comme dit Rāvən la comptabilité des États n'est pas celle des entreprises, d'un sens (et pour peu que les comptes ne soient pas maquillés) on a trois postes indépendants : les recettes (taxes, impôts, charges sociales, peut-être bénéfices des entreprises publiques mais je ne le jurerai pas), les dépenses, la dette. Même si les gouvernements cherchent autant que possible à ne pas avoir de dépenses qui excèdent leurs recettes, ils ne sont pas dans la situation d'une entreprise ou pour laquelle il y a un rapport entre recettes et dépenses.
Rāvən a tort : sur cet aspect la comptabilité de l'état français est exactement la même que celle d'une entreprise. Tous les raisonnements basé sur une prémisse différente sont bons pour la poubelle. la différence, je l'ai dit plus haut, est "hors bilan" : c'est le pouvoir de taxation gem (d) 22 juillet 2011 à 19:10 (CEST)Répondre
Rāvən a raison, et justement parce que, comme tu dis, « la différence [...] c'est le pouvoir de taxation ». -O.--M.--H.- 22 juillet 2011 à 23:55 (CEST)Répondre
Tu n'a rien compris. C'est hors bilan. C'est très important et ça justifie que les préteurs continuent à faire confiance à un état comme la France dont le patrimoine est négatif, mais ça ne change rien à la comptabilité. gem (d) 23 juillet 2011 à 10:24 (CEST)Répondre
L'État établit son budget en fonction de postes de dépense nécessaires et de rentrées espérées, mais si les dépenses sont à-peu-près prévisibles, à quelques centaines de millions près, les recettes sont incertaines puisque tributaires de l'activité économique globale. C'est le cas par exemple des années 2008 à 2010 en France où la situation générale a fait nettement baisser les recettes espérées, sans que les dépenses aient pu être réduites significativement (en fait, elles ont même dépassé ce que prévu). Du coup, ça a fait mécaniquement augmenter la dette de manière significative en 2008, laquelle n'a pu être réduite depuis.
Tu trouveras sur cette page de l'INSEE un tableau synthétique pour les années 2003 à 2010, où l'on constate que sur cette période les dépenses stagnent ou augmentent alors que les recettes stagnent ou diminuent, et même dans la meilleure année il y a une différence d'environ 3% (5% en moyenne sur la période) en défaveur des recettes, ce qui a pour résultat logique d'augmenter la dette (+17% du PIB sur les trois dernières années). -O.--M.--H.- 22 juillet 2011 à 13:08 (CEST)Répondre
Encore merci pour vos réponses. J'ai en effet des difficultés à comprendre les différences entre la comptabilité d'une entreprise, où en cas de pertes, l'actif diminue, et celle de l'Etat, où le déficit de fonctionnement se transforme en dette, donc en augmentation de passif. C'est un peu embrouillé, mais je vois quand même à peu près ! Xerbias (d) 22 juillet 2011 à 22:20 (CEST)Répondre
C'est normal que tu aie du mal à comprendre parce que Rāvən et OMH, qui ont encore moins compris que toi te donnes des explications... fausses.
En réalité c'est plus simple que ça : en première approximation, la comptabilité de l'état français est la même que celle d'une entreprise. En matière de dette c'est le cas. Le déficit ne se transforme pas "magiquement" en dette, ça n'est possible que tant qu'il y a des prêteurs qui acceptent de financer le déficit. Si un jour les préteurs cessent, l'état français ne fera pas de déficit : soit il trouve des ressources (mais 200 G€/an, soit 4 fois l’impôt sur le revenu, c'est pas une paille...), soit ça va faire il commencera à ne plus payer ses factures ou ses employés (ce qui représente aussi des dettes, mais d'une autre nature). gem (d) 23 juillet 2011 à 10:24 (CEST)Répondre
Gem, si l'État français observe les mêmes principes de comptabilité que les entreprises, il devrait être assez facile de trouver son bilan et son compte de résultat. En réalité, on trouve ceci, où les investissements et les dépenses courantes sont simplement additionnés.
Parfaitement exact, et tu sais quoi ? on les trouve ! [3] gem (d) 23 juillet 2011 à 10:24 (CEST)Répondre
Concernant le cas de la Grèce (qui est ton seul réel argument), je n'ai jamais dit qu'une dette publique excessive ne pouvait pas être source de soucis pour un État. J'ai écrit que la dette publique n'était pas problématique quand il y a de la croissance, des taux d'intérêt bas ou de l'inflation. Quand on n'a rien de tout ça et qu'on est très endetté comme la Grèce, les problèmes arrivent. En outre, le Pacte de stabilité et de croissance (PSC), qui défend pourtant la vision des économistes néoclassiques, ne prévoit pas que les États de la zone euro doivent faire des excédents budgétaires ou qu'ils doivent ramener leur dette à 0 : il préconise uniquement de ne pas dépasser les 3 % de PIB de déficit et les 60 % de PIB de dette publique. Ton idée de faire la différence entre les investissements « productifs » et les dépenses courantes est sensée. Elle a d'ailleurs été retenue lors de la réforme de 2005 du PSC comme un des critères permettant d'apprécier la situation d'un État dépassant les 3 %, mais il n'existe pas de règle (même chez les néoclassiques) qui voudrait qu'un État ne peut faire de déficit que pour faire des investissements. Pour terminer : la problématique du déficit public est l'objet d'une controverse parmi les économistes. En gros, certains défendent que l'État doit augmenter ses déficits pendant les périodes de crises pour en atténuer les effets (soit en réduisant les impôts, soit en augmentant les dépenses). D'autres pensent que de telles politiques ne peuvent mener, à long terme, qu'à une aggravation de la situation. Ils préconisent donc de maintenir constamment le déficit public à un niveau minimal, voire à l'équilibre. Je reconnais l'existence de ce débat et je ne souhaite pas y entrer (il y a des prix Nobel des deux côtés, je ne suis pas de taille). Je voulais juste signaler l'erreur de base de ton raisonnement, qui consiste à assimiler les finances d'un État à celles d'une entreprise, erreur qu'aucun économiste d'aucune école ne fait. Rāvən (d) 22 juillet 2011 à 23:19 (CEST)Répondre
@ Xerbias. Je comprends ton interrogation. Prenons l'exemple d'une entreprise « absurde ». Elle paie ses salariés et elle encaisse des factures de ses clients. Chaque mois, elle encaisse 100 et elle paie 200 en salaire. Elle décide donc d'emprunter 1 500 pour tenir le coup jusqu'à la fin de l'année. Son total bilan (actif et passif) va donc augmenter de 1 500 le jour de l'emprunt. À la fin de l'année, elle va constater une perte de 1 200. Cette perte viendra diminuer son bilan au passif. L'actif aura diminué de la même somme au cours de l'année, au fur et à mesure que l'argent était décaissé pour payer les salariés. Au passif, c'est seulement le capital qui sera diminué, pas la dette, qui restera inchangée à 1 500. La différence avec un État, c'est qu'un État n'a pas de capital et qu'il ne tient pas de bilan. Le seul point commun avec cette entreprise est qu'à la fin de l'année le montant de sa dette aura augmenté. Rāvən (d) 22 juillet 2011 à 23:41 (CEST)Répondre
Bon, je répond finalement parce que là on nage dans du grand n'importe quoi (c’est un sujet technique : cela ne s'improvise pas). Tu confonds deux choses totalement différentes : la comptabilité nationale avec les règles comptables régissant les finances publiques, c’est à dire la comptabilité publique. La compta nat n’est pas une comptabilité au sens ordinaire : c’est, en fait, une technique statistique pour analyser les grands agrégats d’une économie. Elle a été inventée après 1945 par des statisticiens, pour leur usage. En France, c’est l’INSEE (institut de la statistique) qui s’en occupe. Elle n’a bien sûr rien à voir avec le budget voté par l’Assemblée, et de manière générale les règles juridiques qui régissent la comptablité publique. La comptabilité publique ce n’est pas la comptabilité nationale. Et c’est de cette dernière dont il s’agit dans le lien que tu donnes : pas étonnant que tu n’y trouves pas ce que tu y cherches. Cela fait maintenant très longtemps que je n’ai plus fait de finance publique, et c’est un sujet qui m’a toujours ennuyé. Je n’ai donc pas de compétence particulières pour analyser les principes comptables du budget votés par l’Assemblée. Toutefois, deux choses : Gem a, dans l’ensemble, raison. Les grands principes comptables sont appliqués, et s’ils ne le sont pas ce n’est jamais pour des raisons renvoyant à des considérations d’analyse macroéconomique. Il y a d’ailleurs une tendance à la convergence entre comptabilité d’entreprise et comptabilité publique. Par ailleurs (mais je rappelle que je suis nul en finance publique), il me semble que Gem a tort néanmoins. Le remboursement des dettes échues doit apparaître logiquement sur le compte de résultat : pour une entreprise, il constitue en effet un amortissement, qui figure dans tout résultat d’exercice, comme une charge. Je crois que la raison est différente : je soupçonne que le principe de l’unité budgétaire n’est pas respecté, et que c’est un compte spécial du Trésor qui gère tout cela. Mais, à la vérité, je n’en sais rien. Ce qui est certain est que cette question n'a aucune espèce de rapport avec la moindre analyse macroéconomique de la dynamique de la dette publique. gede (d) 22 juillet 2011 à 23:50 (CEST)Répondre
Merci gede.
Il va de soi que les remboursements ont bien une trace dans la comptabilité, mais en tant que variation dans le compte de patrimoine et non dans la partie "exploitation". Seul le paiement des intérêt de la dette apparaissent dans le budget programme "117" L'unité budgétaire est respectée, en principe (vu que c'est au cœur du budget, si elle n'était pas respectée pour ça, ce principe n'aurait plus de sens) : [4] gem (d) 23 juillet 2011 à 10:24 (CEST)Répondre
Si la comptabilité publique suit les mêmes règles que celles de la privée, je suis déjà davantage en terrain connu. Les questions d'amortissement restent épineuses je trouve, mais j'imagine qu'elles demandent un spécialiste. Avec tout ce que vous m'avez indiqué, je n'en ai pas besoin davantage de toute façon. Xerbias (d) 23 juillet 2011 à 19:40 (CEST)Répondre
En fait, le document comptable où le détail apparaît est tout simplement l’analyse des flux de trésorerie, voir p.13 du Compte général de l’Etat [5]. Deux remarques supplémentaires, pour amener des considérations macroéconomiques liées directement au sujet.
1. Cela ne semble pas clair au dessus, mais même un Etat qui n’a pas de déficit budgétaire fait du roll over sur sa dette. Il ne suffit pas d’être en excédent budgétaire, et moins encore à l’équilibre. Il faut disposer d’un excédent budgétaire au moins égal au montant des dettes échues pour ne pas avoir à émettre de nouveaux emprunts qui visent à financer le paiements de celles-ci.
2.a) Cela pose à l’Etat deux problèmes : un risque de liquidité et un risque de taux. Le problème de liquidité : il faut comprendre l’énormité des sommes en jeu. En 2010, l’Etat a émis des emprunts pour l’équivalent de 10% du PIB de la France, près de la moitié de ces emprunts ne visaient qu’à faire du roll over. Le problème est le suivant : même un Etat parfaitement solvable (avec une dette soutenable) peut se retrouver incapable de faire face à sa trésorerie, si, pour une raison quelconque (krach des dettes souveraines par exemple créant une panique générale des marchés), il ne trouve pas assez de prêteurs pour refinancer sa dette arrivée à échéance. Au minimum, il peut être contraint de se refinancer à des taux très élevés. C’est le risque de liquidité.
b) Cela conduit au risque de taux. Le risque est le suivant : que les taux augmentent fortement entre ceux qui valaient pour les emprunts arrivés à échéance et ceux des nouveaux emprunts qui servent au refinancement. Ce risque est d'autant plus fort que la maturité moyenne de la dette est faible, et donc qu'une partie plus importante de la dette doit être refinancée chaque année. Au début des années 2000, le Trésor avait décidé qu'il était de bonne gestion d’émettre des emprunts à maturité relativement courte, parce que les taux en sont plus faibles que pour les emprunts à maturité longue (actuellement, par exemple, on est à environ 3% pour les 5 ans, 3.5% pour les 10 ans et un plus de 4% à 20 ans et au-delà). Pour faire face au risque d'une élévation brutale des taux, il s’était couvert avec des produits dérivés (des "swap de taux d’intérêt"). Un vrai petit spéculateur ! (je plaisante : ce n’est pas du tout de la spéculation. Par contre, ceux qui achetaient ces swaps, et qui acceptaient de prendre le risque à leur compte, eux sont, techniquement parlant, des spéculateurs. Ce n’est pas très populaire de le dire, mais les spéculateurs permettaient donc à l’Etat français d’améliorer la gestion de sa dette…). Depuis, l’Etat a cessé de faire cela, parce que les taux des emprunts à long terme sont très faibles. Autant en profiter ! gede (d) 23 juillet 2011 à 20:11 (CEST)Répondre
Je reconnais que je me suis trompé concernant les règles régissant la comptabilité de l'État, mais je persiste sur l'aspect macroéconomique : il est faux de présenter la situation d'un État face à la dette comme identique à celle d'une entreprise. Il n'y a pas de règle qui voudrait qu'un État ne puisse emprunter que pour faire des investissements. Pour les keynésiens, le déficit public a un effet positif en cas de crise, qu'il s'agisse de consommation publique, de réduction d'impôts ou d'investissements publics. Certains keynésiens recommandent certes de faire des investissements publics si possible rentables en temps de crise, mais ce n'est qu'un « bonus », car pour eux tout déficit a un effet positif. Les néoclassiques quant à eux ont autant de prévention pour les investissements publics que pour la consommation publique, car selon eux il y a une éviction de l'investissement privé par l'investissement public. Rāvən (d) 25 juillet 2011 à 18:47 (CEST)Répondre

le port du voile

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bonjour Peut on me renseigner sur l'origine du port du voile (et tout ce qui s'y apparente) ce n'a pas sans doute toujours été le cas. Et comment se fait il que dans certains pays dans lesquels les confessions religieuses soient similaires il est ou non obligatoire de le porter ce voile.

Bon, c'est bien évidemment la religion qui en est à la base, mais pourquoi ? --Kkbs (d) 22 juillet 2011 à 08:45 (CEST)Répondre

Ça n'a rien d'évident en fait, il y avait des pratiques similaires ailleurs et avant l'islam. Malheureusement Wikipédia ne propose pas beaucoup de détails sur l'origine de ces traditions mais si vous lisez l'anglais, il y a quelques pistes dans en:Hijab#Historical and cultural explanations ou dans en:Burqa#History. GL (d) 22 juillet 2011 à 09:17 (CEST) Répondre
Il faut tout simplement lire l’article consacré à la question : voile. En bref, le port féminin du voile est une pratique que l'on trouve dans la totalité du monde méditerranéen antique. Il y sert à opérer des distinctions sociales entre femmes mariées et célibataires, entre classes sociales, etc. Plus profondément, la chevelure est un attribut érotique puissant. Dans des sociétés profondément patriarcales, comme le sont les sociétés méditerranéennes, les hommes cherchent, par conséquent, à contrôler son exposition par les femmes qui sont sous leur contrôle. C’est ainsi que l'on peut comprendre le fait que, à Rome, ce sont les femmes mariées, dont la sexualité est réservée à un homme, et qui ne doivent pas plaire aux autres hommes, qui sont voilées ou, encore que, en Islam, les jeunes filles ne portent le voile qu’à partir de leur puberté, c’est à dire au moment où elles deviennent un objet sexuel pour les hommes (certains fondamentalistes voilent même les non pubaires, par excès de zèle).
Il n’y a donc pas d’origine religieuse au voile. La religion, en particulier musulmane, n’a fait que donner une légitimation symbolique à une pratique préalable, et qui existaient pour d’autres raisons, en imposant le port du voile comme une obligation religieuse, et en lui donnant une signification proprement religieuse (par exemple la pudeur face à Dieu).
Quant aux variations dans le port du voile, elles correspondent premièrement aux variations de coutumes locales très anciennes, souvent préalables à l’Islam, (la burqa n’est portée, par exemple, qu’en Afghanistan ou, encore, il y a encore pas longtemps à l’intérieur d’un même pays comme le Maroc les formes de voile, et leur rigueur, variaient en fonction des régions et des villes). A cela s’ajoute, le type de pratiques religieuses : plus ou moins fondamentaliste, etc. Pour des raisons complexes, le voile est devenu un point de fixation des fondamentalistes dans la définition de la pratique correcte de l’Islam (selon eux), de même que des occidentaux dans leur rapport au monde musulman. C’est un enjeu identitaire majeur, source de multiples conflits, ce qui explique l’attention que les musulmans et les occidentaux y portent et les multiples débats qui s’y rapportent (notamment ceux qui visent à déterminer son statut religieux précis : est-il vraiment une obligation impérative, le Coran le mentionne-t-il ? Si ce n’est pas le cas, quelle est la portée des textes qui le font (hadith sur les femmes de Mahomet), etc.) Porter le voile, et la manière qu’on a de le porter, est donc une manière de définir le type de rapports que l'on établit à la religion (intime et réservé à la sphère privée ou au contraire public et totalisant), à l’Occident (les Occidentaux étant ceux qui ont cessé de voiler leurs femmes, le faire c’est "s’occidentaliser"), au rapport de domination entre hommes et femmes, et notamment au contrôle par les femmes de leur propre corps, et donc au pouvoir patriarcal, etc. En fonction de cela, on a une autre source de variation dans le port du voile. gede (d) 22 juillet 2011 à 09:27 (CEST)Répondre
J'ai envie d'élargir la question aux autres interdits religieux. L'interdiction de manger les animaux aux sabot fendus provient d'une maladie porcine ; la vache sacré indienne date de l'époque nomade où manger les vaches en période de disette assurait la famille l'année d'après ; la polygamie, la définition de l'inceste... sont aussi ancrés par la religion mais existaient sous forme de coutumes avant. Bertrouf 22 juillet 2011 à 10:02 (CEST)Répondre
Tiens j'avais regardé l'article Hijab qui ne donne pas de liens du tout. GL (d) 22 juillet 2011 à 10:12 (CEST) Répondre
Je fréquente pas trop les rabbins mais je doute fortement qu'on en trouve qui associe "sabots fendu" et maladie porcine. Sauf erreur leur motif est de type symbolique : il n'y a qu'une seule voie sur laquelle marcher, celle du dieu unique, et on est ce qu'on mange, donc il faut eviter de manger les animaux dont le pied hésite entre deux chemins. Quant à cette fameux maladie porcine, une bonne cuisson suffit à l'éviter, déjà à l'époque de l'énoncé de cet interdit la Chine et la Polynésie sont peuplés de gens dont le porc est une des principale source carné sans que ça leur pose de problème sanitaire sensible...
Et la vache sacré... c'est pas non plus une question alimentaire. D'ailleurs ils ne les bouffent pas. Faute de preuve indubitable on peut discuter sans fin sur le pourquoi, et les ethnologue ne s'en privent ps, mais à mon sens l'explication la plus simple est celle du genre qui fait que quand les enfants (le peuple) se disputent maman (la classe sacerdotale) range l'objet de discorde et leur interdit d'y toucher, et les renvoie chacun dans sa chambre pour y faire leurs ses devoirs (cultiver leur lopin de terre pour y faire pousser un truc à bouffer qui sera indubitablement à eux, rien qu'à eux). gem (d) 22 juillet 2011 à 10:29 (CEST)Répondre
Bertrouf : ce que tu présentes est une forme de reconstructions contemporaines anachroniques des interdits religieux. Ce sont d’ailleurs souvent des croyants qui ont recours à ce type d’explication (du moins les croyants non ritualistes : qui croient de manière "moderne", c’est à dire aux grands principes ("l’esprit"), mais ont un regard sceptique sur les détails (la "lettre"). Le procédé consiste, en effet, à trouver une raison, qui correspond à notre rationalité moderne, à nos préoccupations contemporaines, à ces interdits. Nous disposons d'un riche savoir médical et épidémiologique, nous sommes obsédés par les risques alimentaires : les Hébreux avaient d'autres préoccupations et ignoraient tout, ou presque, en matière d’épidémiologie. Ce type d’explication est donc extrêmement satisfaisant pour les croyants : il permet, en fait, de donner une justification rationnelle à des interdits qui n'ont rien de rationnel, ou du moins rien de rationnel dans ce sens. Cela donne presque une sagesse profonde à ces interdits, et donc à la religion qui les impose. Mais c’est du bullshit total. Les interdits renvoient à des logiques symboliques, propre à l’univers symbolique des peuples qui les édictent, et non aux nôtres, de même qu’ils renvoient également à leur rapports sociaux, et non aux nôtres. gede (d) 22 juillet 2011 à 10:39 (CEST)Répondre
Vache sacrée n'étant pas totalement traduit, j'ai consulté en:Cattle_in_religion#Origins qui dit « The cow was possibly revered because the largely pastoral Vedic people and subsequent generations relied heavily on it for dairy products and for tilling the fields... ». Cette phrase n'est pas sourcée, et la suite semble contredire l'origine triviale (non sacrée) de cet interdit, mais l'idée n'est pas de moi.
Pour le porc, ou plutôt les animaux qui ont la corne fendue et le pied fourchu, mais qui ne ruminent pas (chameau, lièvre, daman, porc...) c'est bien la maladie qui est évoquée ici. J'ai compris qu'il y a des reconstructions anachroniques et dans ce cas je suis tombé dedans depuis (très) longtemps, mais je n'ai pas compris la dispute des enfants par Gem. Bertrouf 22 juillet 2011 à 11:58 (CEST)Répondre
Cette discussion me rappelle l'apologie que fait Burke du préjugé : "Many of our men of speculation, instead of exploding general prejudices, employ their sagacity to discover the latent wisdom which prevails in them. If they find what they seek, and they seldom fail, they think it more wise to continue the prejudice, with the reason involved, than to cast away the coat of prejudice and to leave nothing but the naked reason; because prejudice, with its reason, has a motive to give action to that reason, and an affection which will give it permanence. Prejudice is of ready application in the emergency; it previously engages the mind in a steady course of wisdom and virtue and does not leave the man hesitating in the moment of decision skeptical, puzzled, and unresolved. Prejudice renders a man's virtue his habit, and not a series of unconnected acts. Through just prejudice, his duty becomes a part of his nature."
Comme le note Burke, les préjugés remplissent une fonction : ils sont le vêtement d'une raison. L'ennui vient de ce que la raison cachée est parfois très difficile à déceler et celle qu'on trouve ne s'avère être qu'une rationalisation dérisoire. Un exemple de raison cachée qui souffre peu de discussion : la tradition du port du voile et les préjugés afférents servent à soustraire les femmes au risque de la concupiscence des hommes, à affermir les unions, à susciter la paix civile et in fine à asseoir un ordre qu'on pourrait appeler patriarcal. Mais apparait moins logique le rapport entre l'interdiction du porc et le risque de maladies. La coïncidence est notable mais le mécanisme par lequel le préjugé se serait confondu à l'utilité apparait difficile à saisir. Apollon (d) 22 juillet 2011 à 16:02 (CEST)Répondre
Le port du voile et plus largement, d'un vêtement de tête, n'est pas proprement religieux, sinon au sens neutre de religion comme « organisation sociale et politique indifférente aux questions sur la nature et l'existence des dieux » (article « Étymologie de religion »), tel que les pratiques cultuelles et culturelles de la religion officielle à Rome. C'est une pratique sociale très répandue en Europe et au Moyen-Orient, et pas seulement dans le pourtour méditerranéen, qui signale censément la moralité des femmes, et cela il n'y a pas si longtemps. Jusque dans les années 1950, dire d'une femme « elle est en cheveux », donc sans couvre-chef, signifiait « c'est une femme de mauvaise vie », et jusqu'au début des années 1970 on ne voyait que rarement, dans les campagnes ou les petites villes françaises, une femme de plus de 30 ans sans fichu, foulard ou chapeau, preuves de sa décence. -O.--M.--H.- 22 juillet 2011 à 12:30 (CEST)Répondre
J'ajouterai même que quand la prostitution s'est institutionnalisé au 19ème siècle avec contrôle policier et sanitaire, la prostituée n'a pas le droit de porter de couvre-chef. C'est justement la tête nue qui permet de la repérer immédiatement. Ne pas oublier de relire Baudelaire [6] pour se souvenir que le cheveu a longtemps eu dans notre société un potentiel érotique. Pour revenir au religieux, sous Franco, une espagnole catholique ne serait pas rentrée dans une église sans se couvrir la tête et aujourd'hui c'est encore la pratique en Croatie. Cette "tenue décente" devant Dieu peut s'observer également chez certaines musulmanes qui se voilent uniquement pour prier.
Le port d'un couvre chef par les hommes n'était il pas également une obligation sociale ? Pline (discuter) 28 juillet 2011 à 14:20 (CEST)Répondre
Pour la question de l'explication rationnelle, j'incite tout un chacun à lire "Les Grecs ont-ils cru à leurs mythes ? Essai sur l'imagination constituante" de Paul Veyne. Les Anciens essayaient déjà d'analyser leurs mythes à la lueur de la raison. Le processus intervenant quand la force symbolique de leur mythologie commencait à s'étioler, il s'agit d'un biais pour donner force à une tradition.--1R2N (d) 23 juillet 2011 à 08:32 (CEST)Répondre

Merci à tous pour vos réponses --Kkbs (d) 23 juillet 2011 à 19:54 (CEST)Répondre

Moi aussi, je vous remercie. Bertrouf 25 juillet 2011 à 03:29 (CEST)Répondre

île Seguin et achat par Louis XV

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Bonjour. Je suis à la recherche d'une source sérieuse pour la date d'achat de l'île par Louis XV. Cependant, mes recherches dans google books ou google scholar sont infructeuses, et je ne sais plus où chercher, car google web ne me semble rien renvoyer de sérieux. Par sérieux, j'entends un ouvrage écrit par un historien si possible, ou a minima publié dans un livre et pas seulement accessible sur le web. Au pire je pourrais j'imagine trouver l'information en bibliothèque, mais l'habitude de tout trouver sur le web me pousse à vous demander votre aide. Merci d'avance, Freewol (d) 22 juillet 2011 à 17:49 (CEST)Répondre

Salut. Une première recherche fait remonter la date de 1747. Une deuxième recherche "île Seguin" "Louis XV" 1747 fait apparaître plusieurs sources, dont quelques livres d'historiens, qui donnent la même date, et 1794 pour l'achat par le nommé Seguin qui baptisa l'île. -O.--M.--H.- 22 juillet 2011 à 18:14 (CEST) ... c'était pour y mettre une chèvre. 90.49.18.171 (d) 23 juillet 2011 à 05:05 (CEST) (... fallait bien que quelqu'un la fasse, même sous IP)Répondre
Merci pour la réponse. Cependant, j'ai fait cette même recherche, et je ne vois pas trivialement les liens menant à des documents d'historiens. Pourrais-tu m'en pointer un ? Merci d'avance, Freewol (d) 24 juillet 2011 à 22:06 (CEST)Répondre

Blatte américaine ou non?

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Bonjour. Je suis à Lyon, je constate la présence d'insectes rampants au dos assez clair et rayé. Des blattes, (Blatte américaine)? Ils sont dans ma poubelle de rue et ma boite aux lettres, mais pas dans la maison? Un avis sur l'espèce et sur le mode de suppression? Merci.--Macassar | discuter 22 juillet 2011 à 19:21 (CEST)Répondre

Si ça t'est possible, une photo importée sur Commons, pour aider à l'identification ? Sinon, la blatte germanique pourrait faire un bon candidat, elle est plus petite que l'autre et c'est la plus commune en Europe, même si l'américaine se rencontre aussi en France. -O.--M.--H.- 22 juillet 2011 à 19:51 (CEST)Répondre
... sans hésiter, au lance-flammes ! 90.49.18.171 (d) 23 juillet 2011 à 04:55 (CEST)Répondre

Col de veste

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Bonsoir, Pourquoi le revers du col de certaines vestes de costume est-il doublé d'un tissu différent ? (on dirait de la laine)

Merci 41.251.45.25 (d) 23 juillet 2011 à 02:03 (CEST)Répondre

... pour lui donner de la rigidité. On choisit généralement le tissu de son costume pour sa souplesse, son drapé, pour qu'il est une certaine fluidité dans le mouvement. Certaines parties comme le col ont besoin de plus de rigidité et sont donc renforcées par des doublures plus ou moins épaisses, voire même des baleines (petites barres fines en métal ou plastique), qui maintiennent le tissu de base. 90.49.18.171 (d) 23 juillet 2011 à 04:38 (CEST)Répondre
… de même, pour prolonger l'idée de 90.49.18.171, les doublures internes sont en soie ou en satin pour que le tissu semble glisser sur les autres vêtements (chemises, polos, pulls…) avec naturel, sans accrocher et faire de pli. Élégance, quand tu nous tiens… — Hautbois [canqueter] 23 juillet 2011 à 12:05 (CEST)Répondre
Ô Beau Brummell, on a besoin de toi ! Bertrouf 25 juillet 2011 à 03:35 (CEST)Répondre

Bonjour, le tissu un peu raide que l'on met à l'intérieur des cols se nomme "triplure" --Kkbs (d) 29 juillet 2011 à 08:21 (CEST)Répondre

Sélection naturelle

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Bonjour , j'aimerais savoir le terme,le problème, la thèse,la structure logique,l'intention et l'enjeu de l'oeuvre de DARWIN "" sélection naturelle" NB: On ma donné un exposé pour le Lundi donc je vous pris de bien vouloir me répondre le plus vite possible. Merci

  Même pendant les vacances, le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Un petit tour à la plage ?
.Anja. (d) 23 juillet 2011 à 19:32 (CEST)Répondre
Cela posé, et comme on aime à le dire sur l'Oracle, suivez les liens bleus (ou parfois verts...), en tout première celui sur la sélection naturelle qui sera une première étape dans la recherche envisagée. Pour info, notre refus est autant, et même plus, pédagogique que moral : on n'apprend bien que ce qu'on comprend, et pour comprendre il faut s'informer, non pas reproduire le discours d'un autre. -O.--M.--H.- 24 juillet 2011 à 09:58 (CEST)Répondre
Oui, surtout ce soir dis donc, on voit la vie en vert sur l'Oracle... --Floflo (d) 24 juillet 2011 à 20:37 (CEST)Répondre
Sans lire le bouquin, la tâche est impossible. Il faut en plus connaitre l'édition, Darwin a subtantiellement changé l'organisation du livre en fonction de l'édition (et étrangement, les premières sont les meilleures). Arnaudus (d) 25 juillet 2011 à 08:58 (CEST)Répondre

Long mot

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Bonzorno,Bonjour  

J'aimerais connaître le plus long mot en allemand. Le connaissez-vous ? Merci  .

Tchüss !--Morphypnos[Dormir...]. 23 juillet 2011 à 22:33 (CEST)Répondre

Hallo. Le problème est qu'en allemand (de même que pour les nomenclatures chimiques) les mots peuvent être formés par concaténation, sans limite, et du coup le "Gardien de la clé du trou de la serrure de la porte de la grille qui entoure le pied de la colonne de la place Vendôme" peut se dire en un seul mot si besoin est (je laisse à des authentiques germanistes le soin de traduire cette fameuse chanson des "trois grenadiers de la garde impériale" ^_^). Il n'y a donc pas de "mot le plus long", tout au plus le plus long mot effectivement employé dans tel dictionnaire ou dans tel discours. Cordialement, Biem (d) 23 juillet 2011 à 23:10 (CEST)Répondre
de:Donaudampfschiffahrtsgesellschaftskapitän ? --Serged/ 24 juillet 2011 à 11:18 (CEST)Répondre
Merci ! Et c'est vrai, Biem, le génitif permet de faire de grande de composition de l'allemand de la linguistique humaine de la Terre de l'univers.--Morphypnos[Par ma foy !]. 24 juillet 2011 à 12:11 (CEST)Répondre
J'avais appris qu'il s'agissait d'un mot ayant un rapport avec la viande bovine. Et quelle surprise: une petite recherche sur Google me conduit carrément à un article de Wikipédia. Attention: Rindfleischetikettierungsüberwachungsaufgabenübertragungsgesetz   Doit falloir au moins 6 secondes pour tout prononcer   Cordialement, --Floflo (d) 24 juillet 2011 à 12:22 (CEST)Répondre

Première pièce de piano jouée en musique de fond sur le défunt site officiel de Clavinova.

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Bonjour à tous.

Le défunt site officiel dédié exclusivement à la gamme de claviers Clavinova de Yahama (et disparu il y a peu) "jouait" en boucle, en musique de fond, quelques pièces de piano. J'aimais beaucoup le premier morceau, morceau que, honte à mon inculture, je ne suis jamais parvenu à identifier. Tout au plus, à "vue de ... tympan", pourrais-je situer ce passage (d'apparence pour piano seul) du côté du 19ieme entre Beethoven et Chopin ...

Merci par avance pour tout indice qui pourrais me permettre de remettre ... le pavillon sur cette pièce. SibemolMajeur (d) 23 juillet 2011 à 22:36 (CEST)Répondre

Peut-être via Musipedia? (http://musipedia.org) -- Xofc [me contacter] 24 juillet 2011 à 08:22 (CEST)Répondre
… oui, ou un lien où on pourrait au moins l'entendre, parce que là, c'est chercher une double-croche dans un vol de bourdon. — Hautbois [canqueter] 24 juillet 2011 à 09:54 (CEST)Répondre
... Quelle double-croche ?   --Égoïté (d) 24 juillet 2011 à 10:05 (CEST)Répondre
… bah le si bémol de SibemolMajeur évidemment !  Hautbois [canqueter] 24 juillet 2011 à 12:01 (CEST)Répondre
Comme je l'ai dit, ce site (qui était dédié exclusivement à la gamme Clavinova et qui était, de mémoire, http://yamahaclavinova.com/ ) semble avoir fait les frais des récents changements chez Yamaha et n'est plus accessible. Hélas donc, seule donc une bonne âme qui connaissait ce site avant sa disparition peut désormais m'aider. SibemolMajeur (d) 24 juillet 2011 à 10:16 (CEST)Répondre
Tu peux cliquer sur « Contact us » sur le site de Yamaha et leur poser la question. --FreCha (d) 24 juillet 2011 à 11:09 (CEST)Répondre
http://www.yamahaclavinova.ca/index1.html (Canada) existe toujours, mais curieusement, je n'ai aucun son. Par contre sur http://www.yamahamodus.ca/index1.html oui.— Hautbois [canqueter] 24 juillet 2011 à 12:40 (CEST)Répondre
Bingo ! Yamahamodus.ca reprend la même pièce que celle du défunt Yamahaclavinova.com. La pièce que je cherche à identifier est donc la première que l'on entend sur http://www.yamahamodus.ca/index1.html :) SibemolMajeur (d) 24 juillet 2011 à 13:44 (CEST)Répondre

And the winner is ... WatZatSong.com dont un des membres a identifié cette consolation n°3 de Franz Liszt s.172 (que l'on peut entendre ici : http://www.youtube.com/watch?v=MfDmUk7ie6s&NR=1 ). Merci donc de m'avoir permis de retrouver la musique sans laquelle j'en serait toujours à examiner, une à une, les double-croches de Bumblebee   SibemolMajeur (d) 24 juillet 2011 à 18:05 (CEST)Répondre

… en l'entendant (sachant que ce n'était pas cela), j'avais pensé au Nocturne op. 27 n°2 de Chopin très proche par la tonalité (ré b M), l'accompagnement en arpèges brisés ternaires, la mélodie lente et expressive commençant sur la médiante… bref, à écouter également. Comme d'habitude, je préfère Chopin. — Hautbois [canqueter] 24 juillet 2011 à 19:24 (CEST)Répondre

Arnaque à la revente de TimeShare

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Bonjour,

Je me considère comme victime d'une arnaque à propos de la revente d'une semaine de vacances en temps partagé en France par la société Stratégy conection basée à Ténérife.Je souhaitais revendre cette semaine, j'ai été contacté par cette société qui me promettait de nombreux acheteurs potentiels mais je devais envoyer une somme d'argent afin qu'ils se procurent un soit disant certificat de propriété,ce qu'ils nont jamais pu faire car s'est moi même qui leur à fourni, voyant leur innéficacité.

A la reception de la somme le discours devennait plus distant, il fallait de certificats impossibles à trouver, se déplacer à Ténérife, il n'y avait plus d'acheteurs,etc... enfin des tracaseries interminables! J'ai souhaité suspendre la vente comme il était soit disant possible au départ, mais alors c'était devenu impossible prétextant toujours qu'il fallait attendre, il y avait de nouveaux acheteurs en vue !!!!A ce jour je souhaiterais bien récupérer tout ou partie de cette somme et je viens vous solliciter afin d'obtenir une aide de votre part si possible.

Je possède un dosssier complet avec tous les courriers et l'historique de cette affaire.

Dans l'attente recevez Madame, Monsieur mes sincères salutations

Nous sommes désolés pour vous, mais nous ne sommes qu'une encyclopédie en ligne, pas une association de consommateurs ni un service juridique. Nous ne pouvons pas vous aider. --Milena (Parle avec moi) 24 juillet 2011 à 12:11 (CEST)Répondre
Par contre, un conseil de bon sens, le même que celui de Milena : s'adresser à une association de consommateurs. -O.--M.--H.- 24 juillet 2011 à 12:41 (CEST)Répondre

Peloton

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Bonjour à tous.
En cette période de fin de tour de France, je me pose une question : comment cela se fait il qu'il est considéré comme "plus facile" de pédaler dans le peloton, au milieu, de "suivre", que d'être en tête ou seul dans une échappée ? Est-ce un phénomène physique (comme l'aspiration) ou bien uniquement psychologique ? Est-ce prouvé scientifiquement ou juste démontré empiriquement ?
Merci beaucoup. -- 82.225.150.38 (d) 24 juillet 2011 à 12:15 (CEST)Répondre

Salut. C'est physique, et c'est plutôt la résistance aérodynamique pour le peloton, l'aspiration jouant plus pour les petits groupes, raison pour laquelle d'ailleurs les échappés se relaient, le plus souvent, que ce ne soit pas toujours le même qui fasse le plus grand effort. Mais même dans le peloton on se relaie en tête, l'endroit où la résistance est la plus importante. -O.--M.--H.- 24 juillet 2011 à 12:47 (CEST)Répondre
… résistance de l'air, frottement ralentisseur, surtout avec un vent frontal ou latéral. Un vent arrière est très démonstratif par l'aide apportée (beaucoup moins de fatigue) pour comprendre les efforts à faire quand il est de face. Dans le peloton, ce sont les coureurs de devant et latéraux qui subissent ces pressions. — Hautbois [canqueter] 24 juillet 2011 à 12:49 (CEST)Répondre
Voir l’article qui traite de la question : Aspiration (physique). gede (d) 24 juillet 2011 à 13:01 (CEST)Répondre
D'après un cycliste professionnel de ma connaisance, sur sol plat, l'aspiration en milieu de peloton est si importante qu'il n'est limite même pas nécessaire de pédaler (parfois faut-il limite freiner). Cordialement, --Floflo (d) 24 juillet 2011 à 13:04 (CEST)Répondre
Voir aussi keirin, Demi-fond (cyclisme) et derny, où l'on apprend qu'en 1924 un cycliste a atteint 107,7 km/h derrière une telle moto ! -213.41.132.122 (d) 24 juillet 2011 à 14:27 (CEST)Répondre
Ah et bien très bien. Merci à tous de vos réponses. Je le saurais ainsi. Merci. :) -- 82.225.150.38 (d) 24 juillet 2011 à 14:38 (CEST)Répondre
on trouve tout et n'importe quoi sur wikipédia, y compris deux articles qui, quoique vraiment affreux et à recycler (si il y des volontaires...) , répondent à la question en soulignant l'importance de la composante aérodynamique : Puissance musculaire humaine et bicyclette et Évaluation de la puissance exercée à vélo gem (d) 24 juillet 2011 à 19:26 (CEST)Répondre

Identification d'une pièce de charpente

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Nom de la partie sculptée ?

J'ai beau consulter l'article charpente, j'ai du mal à identifier la pièce sculptée sur la photo ci-contre, d'autant qu'il s'agit d'un auvent au-dessus d'un escalier extérieur. Serait-ce un jambage ? Merci. DocteurCosmos (d) 24 juillet 2011 à 17:51 (CEST)Répondre

Un corbeau ? Calame (d) 24 juillet 2011 à 18:05 (CEST)Répondre

j'ai pensé à une contrefiche, en demandant confirmation à "notre ami" : "contrefiche charpente -métier" on tombe sur du vocabulaire auquel j'ai pas tout compris mais qui me semble orienter plutôt vers Aisselier (et de fait, c'est bien un machin qui à "l'aisselle", non ? ). Cela dit je suppose que c'est le genre de truc qui peut avoir des noms variables selon les régions (il semble par exemple que ce qui appelé "fiche" dans le schéma dans notre article porte le nom de "contrefiche dans le lien donné plus haut comme dans ici) et dans le 86 ce n'est pas forcément le même nom que dans le 77 ...
gem (d) 24 juillet 2011 à 19:52 (CEST)Répondre
jambe de force sculptée… — Hautbois [canqueter] 24 juillet 2011 à 20:00 (CEST) (en tous cas, c'est magnifique)Répondre
Et l'article Jambe de force qui explique ce que c'est, et où je n'ai rien compris, car écrit uniquement avec des termes techniques : sur une cinquantaine de mots, il y en a sept qui nécessitent une explication ! Père Igor (d) 24 juillet 2011 à 21:02 (CEST)Répondre
Vu le montage, bizarre et atypique, son seul effet technique est de raidir l'articulation entre le poteau vertical et le soutien-de-tuiles diagonal, ça paraît donc répondre à la définition d'un jambage. Il est possible que l'élément horizontal ait été scié à partir d'une poutre primitivement plus longue, mais ça ne changera rien à la fonction (raidir une articulation). Cordialement, Biem (d) 24 juillet 2011 à 21:16 (CEST)Répondre
Je pense que le mot le plus précis est jambette. Un jambage se dit généralement pour une porte (synonyme de pied-droit). --Mistig (d) 25 juillet 2011 à 00:00 (CEST)Répondre
… oulala ! Si Mistinguet commence à me chanter « On dit que j'ai de belles jambettes », moi je réponds : « C'est vrai ! »  Hautbois [canqueter] 25 juillet 2011 à 00:35 (CEST) (… Mistig, désolé, j'n'ai pas pu résister   )Répondre
Du moment que c’est une construction assez atypique, je ne crois pas qu’il existe un terme spécifique. Donc on reste dans le général et à peu près tous les termes cités sont à peu près valables, « jambe de force » étant le plus vague et donc le moins faux. Il manque gousset. Je dis ça, mais je m’en fiche et contrefiche. Morburre (d) 25 juillet 2011 à 07:48 (CEST) (… j'espère bien que je suis le moins faux, habituellement, je joue plutôt juste… — Hautbois [canqueter] 25 juillet 2011 à 10:52 (CEST) )Répondre

Merci de toutes vos réponses. DocteurCosmos (d) 25 juillet 2011 à 08:06 (CEST)Répondre

… par curiosité, sais-tu à quoi servait le trou au premier quart bas de la jambe ? — Hautbois [canqueter] 25 juillet 2011 à 10:58 (CEST)Répondre
Non, désolé. Peut-être cette pièce sculptée a-t-elle été récupérée ailleurs où elle avait une autre fonction (et un autre mode de fixation) ? DocteurCosmos (d) 25 juillet 2011 à 11:26 (CEST)Répondre
… oui, surtout qu'à la base de la tête, on voit très bien (vue la très haute résolution de la photo, bravo) un autre trou de même diamètre et qui lui a été rebouché et resculpté. — Hautbois [canqueter] 25 juillet 2011 à 12:07 (CEST)Répondre