Wikipédia:Oracle/semaine 5 2011

Dernier commentaire : il y a 13 ans par Alphabeta dans le sujet Question de grammaire

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Sculpture déchiffrement bis

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Fichier:2011-01-28-016.gif
à identifier...

Pour reprendre la discussion de la semaine passée sans vous obliger à retourner à la page ad hoc, je recopie image et texte avec résumé de ce que j'ai compris/retenu :

ADM : R.AC.PERILTRIS.DNVS = Anno Domini millesimo R (Romain ? ou Ricardus ?) AC ? (= atque ?) et très illustre maître/propriétaire/seigneur
HENRICVS.DELANAYE.CANCVS = Henry de La Naye chanoine
LEOD : PRÆPOSITVS.S.CRUCIS = de Liège chef/officier de Sainte Croix
SMI ELECT : COLON : CONSIL. = le plus vertueux "choisi" ? fermier conseiller
STATUS.AC.CVRIÆ FEOD : LEOD : &&C = état/position/haut rang AC ? (= atque ?) de la curie féodale ? (de ?) Liège etc. etc.

Question 1 : quelle est la valeur du : gravé ? (le point servant, si je m'en souviens bien, à séparer les mots). Le : aurait-il ici valeur d'un point ?
Si oui, ADM = Année mille du Seigneur. Si non ADM = abréviation pour admirable ? Question 2 : que pensez-vous de la traduction : Année mille du Seigneur. R et très illustre seigneur Henry de La Naye, chanoine de Liège. Abbé de Sainte-Croix Le plus vertueux électeur; Fermier; Conseiller de l'État et feudataire de la curie. Liège. etc. etc.
Question 3 : pourquoi le U de CRUCIS n'est-il pas gravé V comme ailleurs dans le texte ?
Question subsidiaire : qu'est-ce qu'un ministre de conférence ?
Amclt, --Égoïté (d) 31 janvier 2011 à 12:01 (CET)Répondre

Je viens de voir l'énigme et je constate qu'elle est bien avancée. L'année 1000 est possible mais selon l'histoire locale. Je suggère que le chanoine en question (Lanaye est un patronyme familier de la région et de longue date) peut ne pas être celui du XVIIIe siècle. En ce cas, on peut traduire par « nommé gardien des reliques de la très sainte Croix » (le S = sanctuarium), ce qui correspond à la très ancienne collégiale liégeoise qui en a reçu le nom. Par contre, l'inscription n'est pas obligatoirement de cette époque (seul un spécialiste peut le dire). Le mot « colon » est le plus difficile à traduire : il peut signifier "membre" ou (en supposant une abréviation) "colonia". De fait, je ne décide pas s'il fait partie du conseil d'état et de l'assemblée ou s'il a été choisi par ces derniers. --Mistig (d) 31 janvier 2011 à 14:08 (CET)Répondre
J'ai consulté le Net et les articles concernant la collégiale ne font pas état de véritables reliques de la Croix mais seulement d'œuvres artistiques. Il n'est donc que le maître du chapitre de la collégiale liégeoise (« sanctuarium » en a aussi pour ainsi dire le sens). "R." est sans doute le liturgique "reverendus". --Mistig (d) 31 janvier 2011 à 14:45 (CET)Répondre
Bonjour, Égo, en France (je le précise à dessein): En 1718, avec la 2e édition du Dictionnaire de l'Académie française, les lettres J et V sont adoptées et différenciées du I et du U. vu ici Variante contextuelle#Y, j, i, u et v. (oui et alors ? J'en sais rien)--Doalex (d) 31 janvier 2011 à 14:55 (CET)Répondre
Il est question d'un 'Henricus de Lanaye' vers 1720, page 101 de ceci, mais l'OCR n'est pas terrible. (Hermann Jozef Allard, De Sint Franciscus Xaverius-Kerk, of, De Krijtberg te Amsterdam, 1654-1904). Il devrait y avoir un chronogramme confirmant la date sur la pierre. -- Xofc [me contacter] 31 janvier 2011 à 16:15 (CET)Répondre
Simple remarque d’observation : ADM est surmonté d’un titulus (ancêtre du tilde espagnol que l’on trouve sur le n : ñ) comme le DNVS que l’on trouve un peu plus loin et qui est à lire dominus. Est-ce à dire que ADM est nécessairement l’abréviation d’un mot (et non un sigle suivi d’un nombre en chiffres romains) je ne saurais dire mais ADM pourrait être l’abréviation d’admirabilis par exemple... Alphabeta (d) 31 janvier 2011 à 18:49 (CET)Répondre
ADM, d'après une traduction d'un texte sur médaille, pourrait aussi signifier ad mandatum... = sur ordre ?
SMI ELECT pourrait être : serenissimi Elector
Mais l'enthousiasmant vient de Xofc   : « Toen den 12tien September gedoopt werd Petrus-Henricus, zoon van Arnoldus Blesen en Catharina de Lanaye, waren de doopborgen „de seer eerw. en doorlugtigste heer Henricus de Lanaye, domheer van Luyk, proost van de collegiale Kerk van 't Heilig Kruys, cancelier van zijn keurvorstelijke Hoogheid van Ceullen, bisschop en prins van Luyk enz. enz." naast Agnes Vingboons, wed. van den heer Pieter Blesen. » Notez bien que ce qui concerne H. de Lanaye est entre guillement dans le texte ! voici ma traduction : Lorsque Petrus-Henricus, fils de Arnoldus Blesen et Catharina de Lanaye, est baptisé le 12 septembre [1719], les garants du baptême sont "le très révérend et illustre (? doorlugtigste) seigneur Henricus de Lanaye, chanoine de Liège, prévôt de l'église collégiale de Sainte-Croix, chancelier de son Altesse le prince-électeur de Cologne, évêque et prince de Liège, etc. etc." avec (...)
N.B. à cette époque le prince était Joseph-Clément de Bavière pour info peu utile dans le contexte).
Reste à faire la synthèse du latin et du flamand   Courage ! --Égoïté (d) 31 janvier 2011 à 19:05 (CET)Répondre
Pour les U / V plusieurs sources indiquent qu'il n'y avait pas d'usage très fixé pendant longtemps, donc rien de surprenant à les trouver alternativement sur un même document ; pour l'hypothèse M ==> 1.000, très peu vraisemblable (en fait, pas du tout), comme l'indique la page « héraldique médiévale » ce système d'emblèmes se met en place seulement au XIIe siècle et tel que ça se présente, avec les fioritures et tout, la période la plus ancienne serait plutôt le XVIe siècle. En plus, le faisceau d'infos récoltées jusque-là converge vers le Henricus des XVIIe et XVIIIe siècles. -O.--M.--H.- 31 janvier 2011 à 19:40 (CET)Répondre
L'inscription est du XVIIIe et correspond aux dates du Henri de Lanaye. Je me suis posé la question des deux points et des points, la réponse est quelque part dans un traité d'épigraphie ou d'écritures anciennes (j'ai eu ça mais je n'ai plus). ADM n'est pas ANNO DOMINI parce qu'il n'y a pas de chiffre après, je pense comme Alphabeta que ça fait partie d'une formule genre Admirabilis reverendus ac perillustris, admirable révérend et très illustre. Après c'est simplement difficile parce qu'il manque la fin des mots donc il faut deviner le cas et donc la fonction grammaticale. En fait on est tout près du texte flamand, à un poil près je dirais que c'est la même chose. ELECT c'est l'électeur, COLON c'est Colonia(e), Cologne. SMI ELECT COLON CONSIL, conseiller du sérénissime ? électeur de Cologne. Après, ça va venir. Morburre (d) 1 février 2011 à 09:37 (CET)Répondre
La tête du blason n'est pas du tout médiévale. Le heaume à visière n'apparaît comme cimier qu'à partir du XVe, et les zolis lambrequins qui l'accompagnent ne doivent pas remontrer avant le XVIIe. La forme ronde pourrait même plaider pour du XVIIIe, donc une datation XVIIe-XVIIIe est probable. Dans le dictionnaire héraldique de Riestap ([disponible gratuitement ici http://www.euraldic.com/aarm_la.html], on trouve une famille de La Naye qui porte "De sinople à une peau de boeuf au naturel étendue et posée en pal", ça pourrait bien être ce meuble franchement bizarre. Calame (d) 1 février 2011 à 22:50 (CET)Répondre
Une peau de bœuf, rhââ les vaches ! J’étais pas près de trouver. Z"auraient pu laisser les cornes, au moins. Morburre (d) 2 février 2011 à 09:10 (CET)Répondre

Pour l'époque, ok, on me souffle 1664-1746 pour Henri de Lannaye (ou La Naye) mais sans me donner de références. Pour le meuble, je pense que Calame a bien trouvé. OK aussi pour Admirable révérend et très illustre seigneur Henri de Lanaye, chanoine de Liège, prévôt de l'église collégiale de Sainte-Croix, conseiller du Sérémissime électeur de Cologne, mais à qui rapporter status atque curiae feod. ? Toujours à vous, --Égoïté (d) 2 février 2011 à 22:36 (CET)Répondre

Euh, si, il y a une référence, enfin je crois. Je vérifie ça de suite. Ah ! Il me semblait bien ! Je cite : « Pour Léopold, ça ne collerait pas, un poil trop ancien si le chanoine en question est celui indiqué dans ce document (etc.) ». « Ce document » est la bibliographie et l'index des noms de personnes de la thèse de Daniel Jozic, à l'intitulé instructif, « Liège sous la crosse d'un Wittelsbach. Contribution à l'histoire politique et diplomatique de la principauté de Liège durant les douze premières années du règne de Jean-Théodore de Bavière (1744-1755) », publiée par l'Université de... Allez, je te laisse deviner  
Si tu veux t'instruire, cette autre page donne accès à toute la thèse, et le site de la bibliothèque de l'ULg permet de consulter tout plein de thèses dont certaines pourront t'intéresser dans tes recherches, je pense. -O.--M.--H.- 2 février 2011 à 23:06 (CET)Répondre
PS. Zutre ! Je me suis beaucoup avancé : il n'y a que le résumé de la thèse. Dommage... -O.--M.--H.- 2 février 2011 à 23:24 (CET)Répondre
Merci pour les liens, Olivier. Et oui, c'est très (je minimise car en réalité je rage) frustrant. Quand on lit que « Le projet BICTEL/e a pour but de rassembler dans un répertoire commun et de rendre librement accessible en ligne, en texte intégral, la production de la recherche (thèses et e-prints) des neuf universités de la Communauté française de Belgique. » et qu'en réalité, la totalité des textes n'est pas accessible..., on se demande de qui on se moque !   --Égoïté (d) 3 février 2011 à 08:01 (CET)Répondre

Cherche site pour comprendre des expressions

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Bonjour, c'est CQui bla :

Je cherche un site ou je pourrait trouver des expressions dans differentes langues et leur signification en fonction de la region.

La derniere en date est "to be up the walls"... Quelqu'un a une info interressante ?

--CQui bla : 31 janvier 2011 à 17:48 (CET)Répondre

pour cette expression particulière c'est facile, "up the walls" c'est "grimper aux murs" qui a le même sens qu'en français (= très, très excité/énervé)
plus généralement, il suffit de demander "english idioms" à ton trouveur préféré, il va te proposer par exemple http://www.usingenglish.com/reference/idioms/
pour une autre langue je ne sais ; il faudra essayer idiotisme (le mot français pour ce genre d'expression) ou le mot corresponda dans la langue visée
gem (d) 31 janvier 2011 à 18:26 (CET)Répondre
Parfois le Wiktionnaire : wikt:en:up the wall. -- Xofc [me contacter] 31 janvier 2011 à 18:28 (CET)Répondre
--CQui bla : 31 janvier 2011 à 18:46 (CET) Merci pour ces reponses. J'aurrai du penser au Wiktionnary... J'ai bien fait de preciser selon la region, j'ai pu demander a la personne qui etait « up the wall », il semble que par ici, c'est avoir trop de choses a faire... Il va falloir que je trouve des sources pour mettre a jour...Répondre
À rapprocher peut-être de l'expression « Être sur la brèche » (trou dans le mur !) qui signifie "être en pleine activité, au travail, dans des entreprises difficiles", Réf. au contexte militaire : la brèche : par où les assaillants pénètrent dans une place. Sources : dictionnaire des expressions et locutions françaises. Robert (cf. ce forum). - Cymbella (répondre) - 31 janvier 2011 à 22:02 (CET)Répondre
Et pour une réponse précise à la question qui fait le titre de cette partie, je connais un chouette site, Wikipédia, en particulier les pages de l'Oracle   -O.--M.--H.- 2 février 2011 à 11:57 (CET)Répondre
--CQui bla : 2 février 2011 à 12:47 (CET) Le probleme de l'Oracle, c'est que je ne sait pas chercher dans les archives et ma memoire vieillit. :o( Mais il ne m'a pas encore laissé sans reponse. :o)Répondre

Comte de Blois et de Chartres, de Tours, de Chateaudun, de Provins

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Bonjour cher oracle, dans les listes des comtes que l’on peut voir ici même (par exemple Liste des comtes de Blois), il est question à plusieurs reprises de comte de Blois, de Chartres, de Tours, de Chateaudun, de Provins. Mais est-ce que cela signifie que tous ces comtes étaient groupés ? Ayant quelques lacunes dans ce domaine, j’aimerai avoir quelques explications à ce sujet. D'avance merci.--Superjuju10 Un aubois à votre service 31 janvier 2011 à 18:48 (CET)Répondre

ça veut juste dire que le comte de ces différentes contrées était une seule et même personne ; comme aujourd'hui la reine d'Angleterre est aussi reine d'Écosse, duchesse de Normandie, etc. Ce qui ne signifie nullement qu'elles (ces contrées) étaient réunies en un ensemble : chacune conservait ces coutumes et ses privilèges distincts. gem (d) 31 janvier 2011 à 19:17 (CET)Répondre
OK merci pour ces renseignements (PS : Gem j’ai l’impression de te connaitre sur un autre forum). --Superjuju10 Un aubois à votre service 31 janvier 2011 à 20:50 (CET)Répondre
L’Oracle n’est pas un forum. rv1729 31 janvier 2011 à 21:26 (CET)Répondre
Farpaitement ! Sur l'Oracle, on n'en trouve que du vrai – hips ! -O.--M.--H.- 1 février 2011 à 05:25 (CET)Répondre
… c'est ben vrai, ça ! pas de forum, que des hommes forts, non mais des fois. — Hautbois [canqueter] 1 février 2011 à 06:34 (CET) (…   mes excuses à la gent féminine, mais si j'avais écrit qu'il n'y a que des femmes fortes sur l'oracle, je me serais fait incendier.)Répondre
Il se peut aussi que certains de ces titres soient formels : le Duc d'Edimbourg, le Prince de Galles, le Dauphin, bien que leur titre soit formellement lié à une terre, n'en sont pas réellement les seigneurs. Dans le cas que tu cites c'est peu probable mais possible. -O.--M.--H.- 1 février 2011 à 05:39 (CET)Répondre
ça dépend des époques, le comte de Chartres par exemple, ça a commencé par être un vrai seigneur local, puis le comté est devenu un apanage, et enfin le titre est devenu formel. gem (d) 1 février 2011 à 10:09 (CET)Répondre

Complément à deux, ben oui mais pourquoi

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Bonjour oracle,

La question à été posée (pas par moi) dans la page discussion de l'article complément à deux, mais la réponse n'est pas parvenue. Voilà: je veux bien comprendre la raison pour laquelle le complément à un s'appelle ainsi, mais je ne parviens pas à avoir la moindre idée sur le pourquoi de l'appellation du "complément à deux". Quelqu'un aurait-il des lumières à m'apporter s'il vous plait ?

Juste au cas où il y aurait ambigüité, j'entends "complément à deux" en rapport avec la représentation binaire des entiers signés.

Merci bien.--194.199.79.181 (d) 1 février 2011 à 11:32 (CET)Répondre

Doit y avoir une raison, mais ça apparaît mal dans l'article, en effet... -O.--M.--H.- 1 février 2011 à 12:27 (CET)Répondre
c'est pourtant bien plus délicat de comprendre pourquoi le "complément à un" s'appelle ainsi, une fois cela fait le complément à deux devient évident :
exemple : le complément à dix de 4, c'est 6 (4+ 6 = dix) ; si tu ajoutes 1, tu obtient le complément à 11 de 4 (4 + 7 = 11), etc.
ça marche évidemment pour tous les nombres : si tu ajoute 1 au résultat d'un complément à B d'un nombre N (appelons A ce complément : N + A = B) , tu obtiens le complément à B+1 du même nombre N ( si N + A = B, alors N + (A+1) = B + 1)
pour faire le complément à deux, on prend le complément à un et on ajoute 1, tout est logique.
gem (d) 1 février 2011 à 12:37 (CET)Répondre
C'est vrai que dit comme ça, c'est "complément à un" qui n'est pas clair du tout... parce que si on prend 8 bits pour fixer les idées, le "complément à un" est un inversion de tous les bits (on passe par exemple de 11001100 à 00110011), et selon la définition de gem, ce serait le complément à 255 (11111111)...
Malgré tout, ça permet d'imaginer une explication : le complément "informatique" à un d'un nombre est le complément à un bit par bit, et le complément à deux est nommé ainsi en fonction de la propriété que gem a donnée, même si le "complément à un" ne semble pas vouloir dire la même chose dans les deux cas. Ça tiendrait la route (encore que plus je me relis, moins j'ai l'impression d'être clair), mais est-ce que c'est la bonne explication? (Si elle l'est, ça explique pourquoi personne ne se hasarde à la donner, puisqu'elle provient d'une erreur...)
Dans tous les cas merci (en plus, c'était rapide)--194.199.79.181 (d) 1 février 2011 à 15:03 (CET)Répondre

(conflit d'édit - enfin, pas vraiment)

Finalement, je crois avoir compris la cause, mais pas vraiment la méthode : il semble que dans la méthode du complément à un, la manière de procéder fait qu'on a deux représentations du zéro, un zéro « positif » et un zéro « négatif » ; le complément à deux permet, semble-t-il, de corriger ce problème et de supprimer la représentation du zéro « négatif ». Comment ça fonctionne, aucune idée, mais du moins est-ce le principe. -O.--M.--H.- 1 février 2011 à 12:39 (CET)Répondre
Le complément à 2 donne une représentation modulo 2n (si on a n bits significatifs). Donc ici, -1 = 2n - 1 :
Avec n=4 : 1111 vaut 15 ou -1 (modulo 16). Pour ajouter (ou soustraire) des nombres, rien de plus simple, il suffit d'ajouter leurs valeurs binaires sans se préoccuper des signes. De plus l'ajout de chiffre significatifs se fait en propageant le dernier bit (bit de signe).
Le complément à 1 semble plus "naturel" : Un bit sert de signe, les autres bits donnent la valeur absolue. Du coup -1 = 1 001 et il y a 2 zéros (0 000 et 1 000) L'addition est plus compliquée, puisqu'il faut traiter le bit de signe spécialement. --Serged/ 1 février 2011 à 14:47 (CET)Répondre
Ah ben il y a d'autres réponses qui arrivent pendant que je réponds aux premières... Re-merci donc. Encore une fois, si on admet que le complément à deux tire son nom du fait d'être un complément à 2n-1, c'est "complément à un" qui devient incompréhensible. En même temps, complément à 2 pour complément à 2n-1 me semble un raccourci saisissant. Pourquoi pas complément à 0, dans le fond, c'est la définition d'un opposé.--194.199.79.181 (d) 1 février 2011 à 15:23 (CET)Répondre
Je comprends bien pourquoi le complément à deux s’appelle ainsi, c’est plutôt « complément à un » qui m’est obscur (et au-delà du nom, c’est une représentation pas naturelle du tout à mon avis)... rv1729 1 février 2011 à 14:52 (CET)Répondre
La représentation la plus naturelle, c'était par module et signe, mais c'était la merde (pardon) à gérer, avec une addition qui pouvait en fait être une soustraction, et les valeurs absolues à comparer, et aussi deux zéros. Le complément à un est une nette amélioration, même si c'est moins naturel: il n'y a que la retenue à gérer. Par contre, module et signe, ça c'était clair comme appellation !--194.199.79.181 (d) 1 février 2011 à 15:23 (CET)Répondre
(edith aussi)
Bof. Le choix du « complément à deux » est un non-choix, c’est simplement représenter -1 par -1 au lieu d’aller chercher midi à quatorze heure ! Aucun codage n'est nécessaire. On fait la soustraction 00000000 - 1 et on trouve 11111111 (et un bit carry allumé dans un registre d’état quelque part). Il faut comprendre que les opérations arithmétiques dans un ordinateur se font toujours modulo 2n, pas seulement quand on manipule des nombres négatifs : toutes les opérations arithmétiques. Il faut comprendre que quand on calcule sur 8 bits, 255 est égal à -1, ce qui est plus fort que « 255 et -1 ont la même représentation ». rv1729 1 février 2011 à 15:39 (CET)Répondre
(edith)
c'est vrai que ce n'est pas naturel, en décimal naturel on ne mord pas le nœud avec ces bêtises. Personne n'imagine que ça puisse être présenter comme un problème d'avoir un +0 et un -0 (je suppose qu'on rirait au nez du gars qui utiliserait un argument pareil en faveur d'une représentation en complément à dix !)
ça vient du fait qu'historiquement, pour des raisons qui se comprennent (mais qui foutent quand même la zone), en informatique on ne travaille pas sur les entiers (des suites infinies), mais sur les entiers modulo 2^n (avec n croissant avec le progrès : 8, 16, 32) , et que dans ce cadre une représentation cyclique (où le prédécesseur de 00000000, c'est à dire -1, c'est 11111111 ) présente certains avantages par rapport à une représentation plus classique par deux demi-droites en sens opposé.
gem (d) 1 février 2011 à 15:29 (CET)Répondre
Ça n’est pas un problème d’avoir +0 et -0, c’est un problème d’utiliser un codage arbitraire pour les nombres négatifs. Comme je le dis ci-dessus, le complément à deux n’est pas un codage, ou plutôt ça n’en est un que quand on veut « retraduire » de Z/2nZ vers Z. Note que quand on calcule sur 8 bits, on a également 240 + 17 = 1 (et un bit d'overflow quelque part ? C’est loin tout ça), et ça ne suscite pas tant de questions. rv1729 1 février 2011 à 15:39 (CET)Répondre
nous sommes bien d'accord à un détail près : un codage c'est toujours arbitraire (il y a plein de d'autres solutions pour représenter des nombres. On aurait pu conserver la numération additive à la romaine, inventer des signes spécifiques pour les chiffres négatifs --et les inclure dans l'écriture, à la façon dont on peut dire "midi moins le quart" -- , mettre le signe à droite, coder les nombres avec les puissances croissantes vers la droite ou vers le haut --ou même "vers le fond" en 3 D -- , ajouter un codon "stop" plutôt que fixer le nombre de bit à l'avance, ...) gem (d) 1 février 2011 à 17:00 (CET)Répondre
Oui, mais à partir du moment où on a choisi la base 2 avec un nombre fixe de bits (choix largement dicté par des contraintes technologiques) pour représenter les entiers positifs, il n’y a qu’une bonne façon de représenter les entiers négatifs... celle-là. Plus précisément, en choisissant cette façon de représenter les entiers positifs, on a choisi implicitement et du même coup la façon de représenter les entiers négatifs.
Pour le sens de codage voir endianness ; faut pas pousser non plus sur ce point, du moment qu’on a choisi une numération positionnelle en base deux, qu’on l’écrive en boustrophédon ou en queue-de-cochon ne change rien à l’affaire. rv1729 1 février 2011 à 21:05 (CET)Répondre
Ce qui serait bien, à la fin de la discussion, ce serait de faire un copier- coller sur la pdd de l'article (il y en a un qui attend une réponse depuis le 24/08/2009). --Doalex (d) 1 février 2011 à 16:46 (CET)Répondre
  Mission accomplie  . -O.--M.--H.- 2 février 2011 à 07:40 (CET)
_ Merci mais j'attendais un peu car avec nos spécialistes des chiffres et autres bits, en cas de complément à trois, on rajoutera.--Doalex (d) 2 février 2011 à 11:18 (CET)Répondre


Recherche d'un texte que j'ai contribué

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Bonjour, je m'appelle Jérôme, vendredi le 28 janvier 2011 j'ai écrit un texte sur les agences de danseuses nue intitulé Agence érotique 2000. Malheureusement aujourd'hui 1er février je cherchais le texte en question pour lui faire une modification mais je n'ai pas été en mesure de le trouvé, et j'ai fait plusieurs recherche en plus de regardé toute les pages avec des articles pour chaque recherche faite.

Que ces-t-il passé ?

Où est mon article ?

Comment faire pour le retrouver ?

Merci — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 69.70.60.110 (discuter), le 1 février 2011 à 22:13 (CET)Répondre

Bonjour. Probablement il a été supprimé. Vu la date de création, ça a du être une suppression immédiate (une SI en langage wikipédien). Quand c'est fait sur demande on en trouve trace dans cette page ; en l'occurence ça ne semble pas être le cas donc la suppression a du être faite directement par un « patrouilleur » (encore un terme wikipédien) qui est aussi administrateur. Cela dit, il n'y a pas eu de page Agence érotique 2000 créée jusque-là, donc vous devez faire erreur sur le titre de la page. -O.--M.--H.- 1 février 2011 à 22:49 (CET)Répondre
Il s'agit de Agence Érotique 2000 (d · h · j · ) qui a été supprimé par Orlodrim (d · c · b) pour « Auto-promo, publicité ou spam, contenu non vérifiable : contenait avant blanchiment « Au Québec, le domaine du spectacle xxx pour adultes est en fait régit par des agences de placements qui sont sommes toutes pour la p) ». Sans me prononcer sur l'admissibilité (lire Wikipédia:Admissibilité), la rédaction ne semble pas bonne. Un bon article commence par L'XXX est ... (lire Aide:Comment rédiger un bon article). Si vous avez des arguments concernant l'admissibilité, vous pouvez faire une demande de restauration (lire Wikipédia:Demande de restauration de page) et/ou contacter Orlodrim sur sa page de discussion (lire Aide:Discussion). -- Xofc [me contacter] 2 février 2011 à 06:10 (CET)Répondre
NB:Il est préférable de créer un compte utilisateur pour faciliter le dialogue (lire Aide:Compte utilisateur). -- Xofc [me contacter] 2 février 2011 à 06:15 (CET)Répondre

Remarquez, tout est dans le titre. Morburre (d) 2 février 2011 à 10:32 (CET) Ouais ! rv1729 - Mais non, le titre est seulement incomplet : qu'il a contribué à rédiger   - Cymbella (répondre) - 2 février 2011 à 12:47 (CET)Répondre

Question de grammaire

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Bonsoir,

Doit on dire: "Les Etats-Unis sont un grand pays" ou "les Etats Unis est un grand pays"? Dans le premier cas, "sont" ne va pas bien avec "un", dans le second c'est "les" qui ne va pas bien avec "est". Quelle est la bonne formulation? Skiff (d) 1 février 2011 à 22:37 (CET)Répondre

On trouve sur la page États-Unis : "Les États-Unis sont une union de 50 États". Je présume que c'est correct ! - Cymbella (répondre) - 1 février 2011 à 22:42 (CET)Répondre
« Les États-Unis forment un grand pays » permet de lever l'ambigüité. Les verbes être et avoir, lorsqu'ils ne servent pas d'auxiliaires, peuvent avantageusement être remplacés par un ou plusieurs synonymes. Père Igor (d) 1 février 2011 à 23:16 (CET)Répondre
La forme personnelle du verbe est déterminée par le sujet grammatical et elle s'accorde en nombre avec lui, et non point avec l'attribut qui peut être de l'autre nombre … mais on y répugne souvent : « La Polynésie est des îles. », voilà qui est bien mal dit ! on préfère parler d'archipel. Mais si on pinaille : « La Polynésie est des archipels. », ça n'est guère mieux ! L'utilisation du verbe « former » employé comme verbe d'état, dans le sens de « constituer » ne fait que déplacer le problème dans le domaine de l'orthographie (à la liaison près !), mais la forme verbale s'accorde encore ici et toujours avec le sujet qui se trouve être pluriel. Disons que les États-Unis sont un pays de grande étendue, pour rester neutre. le sourcier [on cause ?] 2 février 2011 à 00:00 (CET)Répondre
Comme dit le sourcier, le sujet commande, et l'article montre quel est son nombre :« les » = pluriel. Par contre, on dira ou écrira « c'est un grand pays que les États-Unis » puisqu'ici le sujet est "pays", le complément "États-Unis".
Les hésitations sur le nombre ne valent que pour certaines formes avec génitif (complément de nom), comme « la majorité des pythies » ou « la plupart des questionneurs » où le sujet peut être le premier comme le second substantif, selon ce sur quoi on veut insister ; mais si le principal substantif ne contient pas de notion de quantité ou de pluralité, c'est son nombre qui décidera si le verbe est au singulier ou au pluriel. -O.--M.--H.- 2 février 2011 à 03:36 (CET)Répondre
« Les Trois Glorieuses sont un évènement historique » - où est le problème? "Sont" va très bien avec "un". Et en l'occurrence, c'est bien les états qui forment un pays, e pluribus unum ^_^ Biem (d) 2 février 2011 à 10:53 (CET)Répondre
@ Olivier : « hésitations sur le genre » ou « sur le nombre » ? à moins que tu n'émettes un doute sur le sexe des pythies   - Cymbella (répondre) - 2 février 2011 à 10:55 (CET)   Oups ! Correction faite... la honte ! -O.--M.--H.-Répondre
De même, et sans ambiguïté : « Les Belges sont un peuple antique de Gaule septentrionale »... --Serged/ 2 février 2011 à 11:00 (CET)Répondre
Et aussi : « De tous les peuples de la Gaule, les Belges sont les plus braves ». rv1729 2 février 2011 à 11:17 (CET) - cf. Horum omnium fortissimi sunt Belgae - Cymbella (répondre) - 2 février 2011 à 11:33 (CET)Répondre
Mais d'entre eux, les Rèmes sont les plus valeureux. le sourcier [on cause ?] 2 février 2011 à 11:36 (CET)Répondre
Cette hésitation sur le nombre produit des intros très élégantes du genre « Le département des Bouches-du-Rhône est un département français... » Spedona (d) 2 février 2011 à 20:37 (CET)Répondre
Il faudrait corriger « Les Pays-Bas (en néerlandais : Nederland) est un pays d'Europe de l'Ouest », qui ne sont guère plus élégants ! Toute l'introduction de l'article devrait d'ailleurs être revue - Cymbella (répondre) - 2 février 2011 à 21:57 (CET)Répondre
Qui peut me rafraîchir la mémoire mais je crois me souvenir qu’en anglais, c’est The United States is a nation under God « Les États-Unis sont une nation sous la protection de Dieu »... Alphabeta (d) 3 février 2011 à 20:15 (CET)Répondre
Et d'ailleurs pour poursuivre sur l'équivalent anglais, tiré de l'article sur wp.en:
« The United States of America (also referred to as the United States, the U.S., the USA, or America) is a federal constitutional republic comprising fifty states and a federal district. »
(et @Alphabeta, tes souvenirs te donnent donc au passage raison  ) Cdlt, --Floflo (d) 3 février 2011 à 23:05 (CET)Répondre

En tout cas on a un article intitulé Dénomination des États-Unis d'Amérique et de leurs habitants et non Dénomination des États-Unis d'Amérique et de ses habitants. Alphabeta (d) 9 février 2011 à 20:52 (CET)Répondre

Ris à gorge déployée

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le ris de gorge et le ris de cœur… — Hautbois [canqueter]

Bonjour. Juste pour chicaner un peu   : Le ris de veau est une glande située devant la trachée (donc au niveau de la gorge). Le terme gorge, selon le CNRTL, signifie aussi « Animal vivant ou cadavre encore chaud donné en pâture à un oiseau de proie » lorsqu'il est suivi de l'adjectif chaud (gorge chaude). L'expression gorge de ris de veau, trouvée dans le Dictionnaire de Cuisine de Alexandre Dumas, doit-elle être comprise comme simplement la glande toute entière ou comme un ris de veau "tout frais" ? Merci déjà pour vos réponses, --Égoïté (d) 2 février 2011 à 11:18 (CET)Répondre

  Beurk ! Je croyais que c'était la chandeleur aujourd'hui, bof une crêpe fourrée au ris de veau why not ? --Doalex (d) 2 février 2011 à 11:32 (CET)Répondre
<message> "Mieux est de ris de veau, que de larmes écrire"<end of the message>François Rabelais
l'article ris de veau parle de gorge pour la partie allongée et de noix pour la partie ronde. La question était pourquoi utiliser le mot gorge pour nommer cette partie du ris de veau? Si oui, je n'ai pas la réponse... Avatar 2 février 2011 à 11:50 (CET)Répondre
Le thymus c’est quand-même un peu en-dessous de la gorge : ça ne touche pas le cœur ?! rv1729 2 février 2011 à 11:50 (CET)Répondre
la gorge peut descendre très bas a priori : Par ext. Désigne le cou et les seins d'une femme [1] - Avatar 2 février 2011 à 11:58 (CET)Répondre
Les veaux n’ont pas de nichons ! rv1729 2 février 2011 à 12:05 (CET)Répondre
"la gorge peut descendre très bas", mais Ptôse mammaire reste à créer. - Cymbella (répondre) - 2 février 2011 à 12:10 (CET)Répondre
A force de jouer, on descend ?! -Mikeread (d) 2 février 2011 à 12:13 (CET)Répondre

Gorge, ici, différencie la partie étroite de l'organe, par opposition à noix qui désigne la partie épaisse. C'est une nuance qui n'est pertinente que pour la cuisine, elle n'a pas de fondement anatomique. le sourcier [on cause ?] 2 février 2011 à 13:40 (CET)Répondre

… j'arrive, j'arrive. Je viens d'ouvrir mon tout nouveau "Grand Larousse gastronomique" dirigé par Robuchon ( ). À l'entrée ris, il est précisé : « Le ris se compose d'une partie allongée : le ris de gorge, et d'une partie discoïde : le ris de cœur, plus recherché par les gastronomes. » Voir l'assiette ci-contre. — Hautbois [canqueter] 2 février 2011 à 18:50 (CET)Répondre
… vue les info chinées ici et là dans l'ouvrage, le ris de cœur est plutôt utilisé entier ou en tranches épaisses pour les braisages, poêlages ou fritures, alors que le ris de gorge est plutôt utilisé en morceaux dans les sauces et garnitures. Le ris peut être de veau, d'agneau ou de chevreau.— Hautbois [canqueter] 2 février 2011 à 19:03 (CET)Répondre
Et bien... après cette descente (savoureuse) et cette remontée (en flèche), je vais me contenter d'un plat remerciement.   Avec mes félicitations à Avatar pour le décryyptage d'une question qui se voulait un tant soit peu...intrigante. Bisous, --Égoïté (d) 2 février 2011 à 22:22 (CET)Répondre

Funkytown (chanson) et Radioactivity (chanson)

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Bonjour aux pythies à la feuille musicale.
Suis-je le seul à trouver une parenté entre le thème qui ouvre cette première chanson, et le leitmotiv de la seconde (qui lui est de quelques années antérieure) ? Si jamais ça n’est pas un effet de ma bêtise musicale, pensez-vous que les pubeux qui ont choisi la première pour la pub d’Areva auraient pu vaguement le faire exprès ?  
Merci, pythies mélomanes.rv1729 2 février 2011 à 15:35 (CET)Répondre

Exact. Il y a plusieurs différences (notamment de mode) mais le schéma est très similaire, et le rythme plus que similaire. De l'autre côté, j'ai un très mauvais souvenir de la période 1975-1983 en musique pop / funk / disco, j'avais l'impression que c'était toujours le même truc qu'on entendait, alors... -O.--M.--H.- 2 février 2011 à 16:08 (CET)Répondre
Kraftwerk faisait partie des choses qui sortaient un peu de l’ordinaire, quand-même... non ? rv1729 2 février 2011 à 16:28 (CET)Répondre
Même que pour la pub d'Areva, Radioactivity aurait été plus approprié que Funkytown... (de toutes façons, nous sommes les mannequins qui attendent le Trans Europe Express dans le hall des miroirs en écoutant Franz Schubert. J'entends le bruit du métal contre le métal : le train arrive, puis s'en va, c'est une histoire sans fin... ) Cobra Bubbles°°° Dire et médire 2 février 2011 à 18:02 (CET)Répondre
Oh que oui Hervé, ils furent d'ailleurs l'arrière-garde d'un genre appelé, avec la dérision qui sied aux anglais Krautrock, selon l'article on appelait ça en France le rock allemand ? (hé oui), mais avant Kraftwerk et leur Radioactivity (chanson) de 1975 <POV> combien de groupes allemands s'étaient lancés dans des inventions et recherches acoustiques (mieux faites pour illustrer Metropolis (film, 1927) que la pub pour Areva toute c.... dans le style avançons vers le progrès, tra, la, la, youpi), auprès desquelles les tentatives actuelles sont...(bein, au fait quelles tentatives ?).</POV> --Doalex (d) 2 février 2011 à 18:25 (CET)Répondre
Cobra : oui, c’est pour ça que je me demandais si il n’y avait pas une certaine malice de la part des publicitaires... rv1729 2 février 2011 à 21:01 (CET)Répondre

Bicyclette, température de l'air et aérodynamique

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Cher grand Oracle

Lorsque je me déplace à vélo, il peut arriver que la température de l'air soit voisine de 0 °C (en hiver), il peut aussi arriver qu'elle soit voisine de 30 °C (en été). En température absolue, cela fait autour de 273 Kelvin et 303 Kelvin respectivement, soit un rapport de 9/10 à peu près. Si on assimile l'air environnant à un gaz parfait, la densité de celui-ci varie dans les mêmes proportions. Peut-on dire que l'impact sur les forces aérodynamiques varie dans les mêmes proportions ?

Comme sur route plate ces forces sont la principale perte d'énergie, la différence devrait être sensible ? Cependant, la densité de l'air dans mes poumons doit varier dans les mêmes proportions, ce qui peut modifier mon oxygénation... Et je ne parle pas des vêtements, l'hiver, qui modifient l'écoulement de l'air...

Quand j'étais petit j'entendais parler de « frottement de l'air ». Si on fait une recherche avec ces termes, on ne trouve pas grand chose. Avec « frottement aérodynamique » c'est mieux, mais on arrive à la traînée de frottement, qui est seulement une des composantes des forces aérodynamiques. Comment désigner les forces-aérodynamiques-qui-s'opposent-au-mouvement ? Parce que, à vélo, la portance, ça ne m'intéresse pas beaucoup, je suis trop terre-à-terre.

Merci --Tchai 2 février 2011 à 21:51 (CET)Répondre

Je ne sais dire que ça : frottement fluide. rv1729 2 février 2011 à 22:22 (CET)Répondre
En théorie pure, la pression exercée par un fluide en mouvement sur un corps fixe est : P = 1/2 d x v² (avec P la pression d la densité du fluide et v la vitesse du fluide). On peut considérer donc que d varie avec la température et, si on est toujours à la meme vitesse, la pression exercée sur le cycliste augmente proportionnellement. Reste à savoir si l'hiver et l'été le cycliste a la même prise au vent (t-shirt vs doudoune), car la force F qui freine le cycliste est : F = P x S, (aces S la surface perpendiculaire à P, donc perpendiculaire au sens de déplacement). Tout ca pour dire qu'en théorie pure, dans l'air froid un corps est plus freiné que dans l'air chaud... Mais c'est sans compter d'autres paramètres tels qu'effectivement, la trainée etc, et surtout le frottement du à l'écrasement des pneus qui change quand les pneus sont froids et durs ou chauds et mous. (Mitch)2 3 février 2011 à 09:33 (CET)Répondre
voir Traînée, qui est très exactement la force qui s'oppose à l'avancement because pression etc. Les pertes dues aux frottement au sol sont relativement négligeables, c'est bien le vent relatif qui freine le plus. Inversement, en atmosphère chaude le corps humain a un problème de refroidissement, qui rend l'effort notoirement plus pénible à 30 °C qu'à 0 °C, alors le gain de 10% sur la résistance de l'air en atmosphère chaude, on s'en tape, en général (l'exception c'est pour battre des records : c'est plus facile en altitude, c'est bien connu). gem (d) 3 février 2011 à 12:20 (CET)Répondre

Merci pour ces réponses ! Je me suis permis d'ajouter des liens « voir aussi » dans Traînée et frottement fluide, pour passer de l'un à l'autre. Et je pose la question : est-il raisonnable de créer un article frottement aérodynamique qui redirigerait vers frottement fluide ? --Tchai 3 février 2011 à 22:39 (CET)Répondre

Complément de réponse concernant l'oxygénation du cycliste : ce n'est pas la masse volumique (ou la densité peu importe) du gaz mais la pression partielle en dioxygène qui détermine la saturation de l'hémoglobine. Autrement dit, il y a autant d'oxygène qui passe dans le sang que l'air soit froid et dense ou chaud et raréfié, pourvu que la pression partielle en dioxygène avoisine les 140 mmHg. S.M. | D.S.M. 4 février 2011 à 20:06 (CET)Répondre
oui enfin, la pression partielle dépend de la pression totale, évidemment ; d'où les problèmes d'oxygénation en altitude ; sans oublier que l'O2 et le CO2 ne sont pas dissous dans le sang, ils sont spécifiquement fixés par une molécule ad hoc, ce qui complique le problème. gem (d) 7 février 2011 à 10:53 (CET)Répondre

Prix Renaudot et Goncourt

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Les prix Renaudot et Goncourt ne sont visiblement jamais allé à une même personne, alors qu'ils sont pourtant décernés le même jour, ni même à un même auteur deux années différentes. Est-ce du à quelque chose en particulier, un réglement, ou une tradition de rivalité?

Merci de votre réponse.

Si je te disais qu'il y a une entente entre ces jurys, tu me croirais ? Et pourtant, c'est vrai. Il y a peu de j'ai entendu sur France Culture la rediffusion d'une série d'entretiens avec Bernard Clavel où il expliquait sans ambages les raisons qui l'on fait quitter le jury Goncourt. Pour résumer, il y était entré avec l'idée de participer à une œuvre de promotion de la littérature de qualité, et une fois dedans s'est aperçu que toutes les rumeurs sur les magouilles, la vénalité des jurés, les ententes entre grands éditeurs, était fondées.
De son propre aveu, Clavel n'a réussi qu'une seule fois à faire passer le livre de son choix, mais pour une mauvaise raison, une guéguerre entre deux jurés qui fit que l'un d'eux poussa celui-là contre celui choisi par son adversaire. Et pire encore, le juré qui avait aidé à faire gagner son livre préféré, ne pouvant pas croire qu'un juré Goncourt puisse voter « en son âme et conscience », le sonda peu après pour savoir quelle offre alléchante lui avait faite l'éditeur du livre pour qu'il lui donne sa voix... -O.--M.--H.- 3 février 2011 à 09:03 (CET)Répondre

La pulpe des agrumes est-elle une cellule a part entière?

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Bonjour à tous. J'aurais souhaité savoir si les petit réceptacles de pulpe des agrumes étaient des cellules a part entière ou non. Merci par avance. Cette question, non signée, a été posée par Mikeread   à qui Cymbella dit bonjour

Une première réponse avant de chercher plus loin dans la bibliothèque : « L'endocarpe (la pulpe comestible) se partage en loges ou quartiers, c'est à dire en segments à disposition radiale, chacun issu d'une feuille embryonnaire; chaque quartier est recouvert d'une peau qui renferme de grosses poches multicellulaires en forme de massue, qui contiennent le jus du citron. » (source). - Cymbella (répondre) - 3 février 2011 à 10:54 (CET)Répondre
Bonjour Cymbella  , euh, je n'ai fait que mettre les liens internes à "agrume" et "cellule", vois l'historique. -Mikeread (d) 3 février 2011 à 11:03 (CET)_ Donc rendons à ...question posée par un contributeur qui partage avec d'autres l'adresse IP de École polytechnique (France).--Doalex (d) 3 février 2011 à 11:20 (CET) -   désolée, je suis au boulot et j'ai regardé un peu trop vite … Cymbella (répondre) - 3 février 2011 à 11:27 (CET) « Isn't it a pity? » -Mikeread (d) 3 février 2011 à 12:54 (CET)Répondre
Plus de précisions : les "réceptacles" (le réceptacle c'est tout autre chose !) sont en fait des vésicules (ou sacs à jus) composées de nombreuses cellules à parois très fines, occupées essentiellement par une grande vacuole contenant le jus.
Deux références (en) :
Elbert T. Bartholomew & Walton B. Sinclair, The lemon fruit : its composition, pphysiology and products, Berkely & Los Angeles, University of California, College of Agriculture, 1951, 164 p.
Giovanni Dugo & Angelo Di Giacomo (ed.), Citrus : the genus Citrus, Taylor & Francis, Medicinal and aromatic plants - Industrial profiles, 2002, xiv+642 p. (ISBN 0-41528491-0)
Cymbella (répondre) - 3 février 2011 à 13:05 (CET)Répondre
Si jamais ce que vous cherchez, c’est un exemple de cellule végétale géante, je crois que la noix de coco fait l’affaire. rv1729 3 février 2011 à 16:14 (CET)Répondre
@ Hervé : ne pas confondre « fruit géant » (pluricellulaire) et « cellule géante », je ne vois pas directement d'exemple de cellule végétale géante, mais pour les cellules animales, l'œuf d'autruche serait un bon exemple ! - Cymbella (répondre) - 4 février 2011 à 19:01 (CET)Répondre
Je suis certain d’avoir lu que la noix de coco était une cellule unique (à noyaux multiples). rv1729 4 février 2011 à 23:50 (CET)Répondre
Une recherche coconut syncytium donne de bonnes pistes pour nuancer... rv1729 4 février 2011 à 23:52 (CET)Répondre

oracle

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qu'est ce qu'oracle? c'est quoi son utilite? comment telecharger arocle 10G? comment intaller 10G

Bonjour. L'Oracle, ici, est une page de la Wikipédia francophone où le public peut poser des questions d'ordre encyclopédique auxquelles il n'a pas trouvé de réponse en cherchant dans les autres pages de l'encyclopédie collaborative. Les réponses lui sont données par des contributeurs bénévoles dans la mesure de leurs connaissances et du temps qu'ils peuvent consacrer aux recherches. Comme partout sur le web, les questionneurs sont priés de respecter la nétiquette et donc de commencer leur message par une forme de salutation et de le terminer par des remerciements. L'Oracle est traditionnellement autre chose à découvrir en cliquant sur ce lien bleu. Pour arocle 10G, un autre bénévole (que nous appelons ici une pythie) vous répondra prochainement. Patience. Bien à vous, --Égoïté (d) 3 février 2011 à 07:27 (CET)Répondre
Sinon, pour toute réponse circonstanciée à la question, sachez que

-O.--M.--H.- 3 février 2011 à 09:11 (CET)Répondre

sollicitations

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Bonjour j'ai mon pére qui construit une cité(plus de 50 villas) a TITAO Burkina Faso;est ce possible de mêttre ça sur les sites de vôtre société pour parler du developpement de nôtre cité et si neccessaire je vous envoye des phots comme justificatif.Merçi

C'est envisageable si le projet correspond aux critères d'admissibilité des articles, par contre, ça n'est pas la bonne page pour ce genre de demande, il vaut mieux la faire sur le Bistro du jour. -O.--M.--H.- 3 février 2011 à 13:52 (CET) PS. Bien sûr, une information sur ce projet peut prendre place dans l'article concernant Titao mais c'est à voir avec les participants au Projet:Burkina Faso qui seront les mieux à même d'en discuter. -O.--M.--H.-Répondre

Maladie qui vous fait perdre vos cheveux

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Bonjour, le la maladie qui vous fait perdre vos cheveux s'appelle comment?

L'alopécie. Mais ça peut aussi être le symptôme d'une autre maladie, ou la conséquence d'un soin, comme dans le cas de la chimiothérapie, et là ça s'appelle juste « perte des cheveux ». -O.--M.--H.- 3 février 2011 à 13:54 (CET) Ne pas confondre alopécie et chauvinisme (je sors...) -O.--M.--H.- Je ne perd pas mes cheveux, je gagne en front... --CQui bla : 3 février 2011 à 18:23 (CET)Répondre

Actrices françaises ?

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Lesquelles actrices françaises portent des lunettes ou suffre des défauts visuels ? Je m'interesse pour la plupart aux actrices actuelles et non pas si bien aux celles du passé, et aux actrices françaises et non pas celles américaines, anglaises, ... Bien que je puisse deviner que un grand nombre des actrices en porte, je ne veux que connaître quelques actrices précises qui en portent. Merci et bonne journée. 24.92.70.160 (d) 3 février 2011 à 21:11 (CET)Répondre

Ce n'est pas qu'on ne veuille pas te répondre, c'est juste qu'on ne peut pas. En toute hypothèse, la très grande majorité sinon la totalité des actrices de plus de 45 ans souffre d'une déficience visuelle nécessitant une correction, majoritairement la presbytie. Les données sur la prévalence des déficits visuels est variable (de pour ainsi dire 100% sur les sites qui promeuvent les opérations de l'œil à presque 0% sur les sites qui promeuvent le refus de la médicalisation de la société) mais il semble cependant qu'une prévalence de l'ordre de 50% de la population française souffrant de déficits nécessitant une correction soit probable.
Le principal déficit étant la presbytie et la pyramide des âges chez les actrices différant fort de celle de la population générale (plus de 15-45 ans chez les actrices qu'ailleurs) on peut tabler sur environ 33% des actrices ayant un déficit visuel assez important pour nécessiter une correction. Lesquelles ? Aucune idée, sauf pour celles qui portent leurs lunettes de manière habituelle ou assez courante dans leur travail ou en dehors (Josiane Balasko, Nathalie Baye, Isabelle Adjani, Miou-Miou, Romy Schneider...), pour les autres, faut leur demander... -O.--M.--H.- 4 février 2011 à 14:14 (CET)Répondre

Guillaume I, II et III Bacon

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Bonjour.

Je sais, Oracle n’est pas forcément l’endroit pour effectuer une telle relance : vous pourrez donc effacer la section après en avoir pris connaissance.


Voilà, 3 procédures en suppression sont en cours :

  1. Discussion:Guillaume I Bacon/Suppression visant Guillaume I Bacon,
  2. Discussion:Guillaume II Bacon/Suppression visant Guillaume II Bacon et
  3. Discussion:Guillaume III Bacon/Suppression visant Guillaume III Bacon.


Parmi les intervenants dans ces PàS j’ai l’impression que tous les spécialistes en lignées féodales ne sont pas encore intervenus. Je pense que ces spécialistes sont nombreux à fréquenter Oracle d’où mon « appel ».

À défaut d’intervenir dans les PàS ceux à qui le nom de Guillaume ... Bacon dit quelque chose pourront nous dire ce qu’ils savent ici-même.

Merci d’avance. Alphabeta (d) 3 février 2011 à 21:19 (CET)Répondre

Une recherche rapide montre que la famille existe, mais montre aussi que la proposition de fusion / redirection semble la bonne solution. -O.--M.--H.- 3 février 2011 à 22:45 (CET)Répondre

auteur antique

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Bonsoir o vénérable oracle,

Quel est le 1er auteur antique à dire ou à écrire que la plume était plus efficace ou plus meurtrière qu'une arme? si je pouvais avoir la citation et la référence exactes, ce serait encore mieux. Merci

Salut. Pas d'auteur latin ni antique en vue, et même, pas d'auteur du tout. Sur ce site J'ai trouvé ça, qui semble correspondre : « La plume est plus forte que l'épée » (« Die Feder ist mächtiger als das Schwert »). Proverbe allemand. -O.--M.--H.- 3 février 2011 à 22:56 (CET)Répondre
"I'm all in favor of keeping dangerous weapons out of the hands of fools. Let's start with typewriters." -- Frank Lloyd Wright (1868-1959) pêché sur le net - Biem (d) 3 février 2011 à 23:13 (CET)Répondre

Merci pour cette réponse mais je suis certaine d'avoir lu quelque part (peut être Cicéron mais pas sûre, ça reste à vérifier) que dans l'Antiquité, quelqu'un avait utilisé cette formule pour justifier ses écrits. Je ne désespère donc pas d'obtenir d'autres réponses et de continuer les recherches de mon côté.

Du coup qu'on trouvait le supposé proverbe allemand, je cherche là-dessus, en me disant que les germanophones doivent avoir idée de l'origine de l'expression « La plume est plus forte que l'épée » et là, surprise, sur Wikiquote-DE : « "Die Federn, die gegen Abrüstung schreiben, sind aus demselben Stahl gemacht, aus dem die Kanonen sind ». - Aristide Briand, In Genf, September 1930. -O.--M.--H.- 4 février 2011 à 08:49 (CET)Répondre
Sinon, bien sûr, il y a dans ce registre "cedant arma togae", mais ce n'est pas tout à fait la même idée. Cordialement, Biem (d) 4 février 2011 à 09:28 (CET)Répondre
… pas allemand, je suis sûr que c'est un auteur rom ! OK, je sors… — Hautbois [canqueter] 4 février 2011 à 10:03 (CET)Répondre
L'adage "La plume est plus meurtrière qu'une épée" provient d'une pièce de Edward Bulwer-Lytton, Richelieu; Or the Conspiracy écrite en 1839. Le grec Euripide quant à lui aurait écrit au Ve siècle avant JC : "La langue est plus meurtrière que la lame". On retrouve par ailleurs des adages similaires dans la bible ou dans la philosophie arabe. Des informations plus détaillées sont disponibles sur cet article de Wikipedia anglophone. --Morestel (d) 4 février 2011 à 10:27 (CET)Répondre

Merci pour toutes ces précisions mais malheureusement, je n'arrive toujours pas à y retrouver la citation que je recherche. Je suis sûre que c'est un auteur antique qui a écrit à peu près ceci : "la plume ou l'écriture est plus acerbe que l'épée ou l'arme" pour justifier ses idées et pour traduire l'idée que la parole est plus efficace que la violence. Si je la retrouve, je la mettrais sur Wiki

Notons que la citation que tu cherches ne peut être de Socrate ni d'un de ses contemporains. En effet, à cette époque l'écriture était vue de manière assez négative, surtout par les philosophes. Platon lui-même, dans son mythe de Theuth, explique que ses défauts surpassent ses qualités. Les Anciens, contrairement à nous, ne voyaient pas l'utilité de ce système, auquel ils préféraient de loin la transmission orale. Ils considéraient que le lecteur peut déformer le sens de ce qu'il lit, et qu'à force de noter des choses pour ne pas avoir à s'en souvenir, le scribe perd la mémoire. Si une telle citation existe bien, elle doit donc plutôt correspondre à la période romaine. --Grelot-de-Bois (d) 5 février 2011 à 20:08 (CET)Répondre

Oui, c'est également mon avis ; c'est pourquoi je reste persuadée qu'il s'agirait de Cicéron mais où ça? Je continue mes recherches et ne désespère pas des lumières de l'oracle.

Je "doublonne" trop pour Pas-en-Artois ?

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Coucou, les bien "documentés", les experts et/ou les habitants du coin ! Je vous soumets ma demande déposée en fait ici. Merci ! Amicalement ! Marc ROUSSEL - --Markus3 (d) 4 février 2011 à 10:10 (CET)Répondre

Je pense que l'équipe chargée des déchiffrements (voir section 1 de cette semaine) va te répondre dans quelques (plusieurs) minutes heures jours.--Doalex (d) 4 février 2011 à 11:08 (CET)Répondre
Merci, mais tu sais ... il n'y a pas de réelle "urgence vitale" ! Amicalement ! Marc ROUSSEL - --Markus3 (d) 4 février 2011 à 12:01 (CET)Répondre


Nom des fleuves...

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... et autres cours d'eau.

Bonjour,

Ma question pourra paraitre un peu vaine, mais ça fait un moment que ça me trotte dans la tête et que je ne trouve pas d'explication satisfaisante. Quand et comment furent unifiés et choisis les noms des fleuves? Je limite sciemment aux fleuves, car en général leur cours est plus long que celui des rivières et rend le problème plus sensible.

Un exemple pour bien cerner le contour du sujet: Sans remonter au néolithique, je suppose que les tribus gauloises résidant dans ce que nous nommons aujourd'hui Allier et Loire Atlantique n'avaient guère de contact régulier et chacun devait donner un nom différent à ce qui ne s'avère qu'être le même cours d'eau. Il y a donc tout lieu de supposer que ce nom était différent pour ces deux tribus, d'autant plus que les langues parlées devaient différer elles aussi. Or à la révolution de 1789, ce fleuve porte le même nom d'un bout à l'autre. Quand et comment cela s'est-il unifié?

Voili, voilà, merci des pistes que vous pourriez m'indiquer.

Bonjour. Vous trouverez probablement des pistes dans les biblographies des articles Toponymie et en particulier Hydronymie de la France. --En passant (d) 4 février 2011 à 15:29 (CET)Répondre
Salut. Peu probable qu'on puisse te donner une réponse globale, ça dépend de l'importance des cours d'eau et de leur navigabilité. des fleuves et rivières comme la Loire, la Saône, le Rhin, ont ce nom en France sur tout leur cours depuis très longue date ; un cours d'eau comme l'Essonne parvient, malgré sa brièveté, à n'avoir pas de nom unifié, ses deux confluents ayant un autre nom. La Saône citée devrait, en toute vraisemblance, se nommer le Rhône puisque c'est le bras droit de la confluence avec le Rhône alpin, mais le poids de l'Histoire empêche ce genre de rationalisation. Pour le reste du monde il en va de même certains cours d'eau ont un nom partagé (« unifié ») quand ils sont navigables sur une grande partie de leur cours, d'autres, même très navigables et très fréquentés, ne sont pas dans ce cas. Pour exemple, le Rhin dans sa partie néerlandaise conserve ses noms locaux, ce qui peut se concevoir pour ses divers bras (même quand ils finissent par se rejoindre en aval) mais c'est aussi vrai d'un bras donné qui sur son parcours portera plusieurs noms. -O.--M.--H.- 4 février 2011 à 15:35 (CET)Répondre
Sans oublier que le Rhin (comme d'autres cours d'eau, par exemple le Nil, le Gard...) est le résultat de la confluence de deux ou plusieurs cours d'eau distincts (le Rhin antérieur et le Rhin postérieur pour le Rhin). --Serged/ 5 février 2011 à 10:13 (CET)Répondre

Production d'oxygène singulet

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Bonjour

Nous avons réalisé en TP de chimie où on rajoutait quelques gouttes de sel de Mohr dans un petit volume d'eau oxygénée et de soude molaire. La réaction est exothermique et d'après le chargé de TP, elle produisait du dioxygène à l'état singulet. Malheureusement le temps de mettre le tube à l'ombre la réaction s'est arrêtée. Arrivé chez nous nous avons cherché cette réaction sur le net mais il n'est dit nul part que cela produisait de l'oxygène singulet.

Notre professeur a-t-il eu la berlue ou cette réaction crée réellement de l'oxygène singulet?

Merci d'avance. ---

une autre pythie saura sans doute, en attendant sans être spécialiste ça me semble plausible ; en présence du Fe2+ du sel de Mohr le peroxyde produit des radicaux libres OH et OOH ( en:Fenton's reagent ) de là à l'oxygène singulet il n'y a pas loin ( Radical (chimie) ) . Si votre prof n'a pas l'habitude de raconter des conneries, autant le croire. gem (d) 4 février 2011 à 17:05 (CET)Répondre

Vous aider a traduire des pages.

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Bonjour, je ne sais pas si je suis dans la bonne rubrique mais bon, c'était juste pour vous dire que je vis en Espagne depuis 5 ans et que je parle Espagnol couramment et que si vous voulez de mon aide je peux parfaitement vous aidez a traduire plusieurs de vos pages. Par exemple celle-ci : http://fr.wiki.x.io/wiki/Charles_Gabriel_Seligman Si vous voulez vous pouvez m'envoyer d'autres pages á traduire, ce sera un plaisir de vous aidez car j'utilise cette page au moins deux fois par jour. Merci, Marina.

Buenas tardes, tu peux voir déjà ici Projet:Traduction et compléter un peu ta page utilisateurrice, mais il semble que tu veuilles traduire des aticles français inexistants en espagnol, rien ne t'empêche de les créer, voir ceci Cómo puedes colaborar . Et que veux-tu dire par j'utilise cette page au moins deux fois par jour.--Doalex (d) 4 février 2011 à 18:13 (CET)Répondre

La rennaissance

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Bonjour pouriez vous me faire un texte de 150 sur la rennaissance et de ses science Merci de me réponde dans les plus bref délaie.

Ah tiens, un moment que je n'ai pas mis ce bandeau :
  Le sage Oracle ne fait pas les devoirs à la place des étudiants. Bonne chance dans ta recherche…
Sinon, voir la catégorie:Renaissance. Plein de trucs à glaner. -O.--M.--H.- 4 février 2011 à 20:03 (CET)Répondre
Un texte de 150 quoi ? 150 fôtes d'ortaugrafe par exemple ? - Cymbella (répondre) - 5 février 2011 à 13:51 (CET)Répondre

Un condiment chinois

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Salut ô Oracle !

Omniscient Oracle, sais-tu quel est le nom d’un condiment chinois à base d’olives noires et d’algues ? CheepnisAroma | 4 février 2011 à 22:45 (CET)Répondre

… pas trouvé dans la cuisine spécifiquement chinoise, mais, en France, on a de multiple produits et recettes de « tapenade d'algues » que certains vont jusqu'à appeler « caviar d'algues ». Cette tapenade à la mode Atlantique est un hachis d'algues, olives, câpres, huile d'olive, ail, anchois, cognac… enfin, il en existe plusieurs variantes. Facile à faire, elle se conserve deux à trois semaines au frigo. Pâte à tartiner sur des toasts apéritifs, elle se sert aussi avec un poisson grillé ou, en sauce allongée d'huile, pour relever un hors-d'œuvre de crudités. Bon appétit ! — Hautbois [canqueter] 5 février 2011 à 05:19 (CET)Répondre
J'ai vu ça chez Paristore il faudra que je note le nom, la livraison se fera peut-être attendre.--Doalex (d) 5 février 2011 à 12:25 (CET)Répondre
En Chine, mes collègues ne connaissent pas, par contre en Corée du sud, j'ai trouvé un fournisseur de varech olive sur le site d'import export asiatique alibaba (mais pas son nom, attendons Doalex). Bertrouf 9 février 2011 à 11:00 (CET)Répondre
Merci Bertrouf d'avoir posté car j'avais oublié que je devais livrer une réponse, et donc après une visite dans les rayons de Paristore j'ai bien vu des pots dont le contenant est à base d'olives noires donc très mûres et de feuilles de moutarde (c'est écrit sur une petite étiquette en français), la consistance ressemble bien à une pâte, la provenance est Hong Kong, je n'ai pas vu de nom spécifique sur l'étiquette entourant le petit bocal mais seulement le nom du fabricant, je le pense ainsi parce que la terminaison est industry.--Doalex (d) 9 février 2011 à 12:56 (CET)Répondre

Ingrédients Pizza

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Quel est le meilleur fromage sur la pizza? Est-il mozzarella, gouda ou autre chose? question posée par IP 62.193.236.96 à 11:22

Meilleur ne veut rien dire, c'est une affaire de goût. Historiquement, la pizza originelle, de Naples, comporte de la mozzarella di bufala campana. Mais bon, entre la mozza qui n'est pas faite avec du lait de bufflonne et la mozza trafiquée avec des restes de fromages pourris...Cobra Bubbles°°° Dire et médire 5 février 2011 à 12:01 (CET)Répondre
« La pizza est un des mets de la cuisine italienne qui s'est établi presque partout dans le monde, souvent en s'adaptant aux goûts locaux. » C'est ainsi qu'on en arrive à faire de la pizza au gouda aux Pays-Bas ! - Cymbella (répondre) - 5 février 2011 à 14:38 (CET)Répondre
--CQui bla : 7 février 2011 à 17:38 (CET) La pizza est a l'origine un plat du pauvre, du « pain amélioré », donc on y met(tait) ce qu'on pouvait. Si tu veux de l'authentique, prend du fromage le moins cher, les bouts qui restent parce qu'ils ont durcis ou moisi. Si tu veux suivre la légende d'une pizza créée pour une visite royale, alors le fromage le plus cher et rare est ce dont tu as besoin.Répondre

château d'Auriol

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Bonjour, je souhaiterais connaître l'historique du château Saint Pierre à Auriol 13390. Je vous remercie d'avance

Je ne crois pas qu'il y ait. Château Saint-Pierre (homonymie)Est-ce ceci que vous cherchez?--Morphypnos [Conversons un peu!]  5 février 2011 à 17:41 (CET)Répondre
La Bibliothèque Marie-Rose Poggio doit rassembler des ouvrages sur le patrimoine local, ou pouvoir vous indiquer où l'on en trouve (archives municipales ? etc.). L'idéal est de se déplacer, mais vous pouvez aussi essayer de leur téléphoner, déjà. Bonnes recherches. Piero (d) 8 février 2011 à 10:50 (CET)Répondre

Demande d'informations complémentaires.

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Bonjour.

Je suis une novice sur le thème de la Nouvelle Pensée, et je m'intéresse au travail du docteur Joseph Murphy. J'aurais voulu savoir qui lui a succédé après sa mort, qui a repris son travail après lui? Un de ses enfants ou un des membres de sa "paroisse" ou qui que ce soit, y a t-il quelqu'un qui poursuive les travaux du docteur Murphy?

Ses travaux me passionnent, et j'aimerais beaucoup me documenter sur lui et d'autres auteurs travaillant sur les mêmes sujets.

Je vous remercie d'avance pour les réponses que vous pourrez m'apporter.

Cordialement.

Amandine L.

Salut. Comme on dit ici, « suivez les liens bleus », d'un article à l'autre vous trouverez des informations, des références, des liens vers des sites qui traitent du sujet. Bonnes recherches. -O.--M.--H.- 5 février 2011 à 14:15 (CET)Répondre

Loi, arrestation, identité

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Bonjour, je me demandais:

Quels sont les droits de la Police ou de la Gendarmerie pour garder quelqu'un dont elle n'a aucune idée de l'identité et qui refuse de la donner. Je parle ici d'un délit peu grave, comme des graffitis, ivresse sur la voie publique ou que sais-je encore?

--LeBelot (d) Vive le bépo 5 février 2011 à 18:16 (CET)Répondre

Selon la législation de quel pays ? --Epsilon0 ε0 5 février 2011 à 22:32 (CET)Répondre
France. Mais même si ce que la loi prévoit m'intéresse, l'usage des gens de la loi devant le fait est aussi un élément de réponse. --LeBelot (d) Vive le bépo 5 février 2011 à 22:56 (CET)Répondre
C'est simple : la garde à vue en droit français limite la rétention d'une personne à 24h reconductibles, sauf circonstances particulières. Ensuite, (même article) la sortie de garde à vue est diverse et imprévisible. Bien évidemment, peut s'ajouter un élément, la possibilité que la personne appréhendée ne soit pas de nationalité française, donc le soupçon qu'elle cumule un autre délit, être en situation irrégulière. -O.--M.--H.- 6 février 2011 à 08:03 (CET)Répondre

Bonjour. Articles 78-1 et suivant (en particulier 78-3 et 78-5) : garde à vue plus longue, prise d'empreinte et de de photos, amende, prison. Gbdivers (d) 7 février 2011 à 13:58 (CET)Répondre

Moto et virage

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Re bonjour!

Quand on se penche dans un virage, la moto tourne. Mais est-ce par ce que, sans s'en rendre compte, on tourne le guidon, ou le mouvement vers l'intérieur suffit? Si je pose la question ici, c'est que je n'ose pas souder le guidon de mon vélo!!

--LeBelot (d) Vive le bépo 5 février 2011 à 18:16 (CET)Répondre

Effet gyroscopique est ton ami (en moto, pour aller à gauche, on se penche à gauche mais on tourne le guidon à droite, sinon, on se viande...) Cobra Bubbles°°° Dire et médire 5 février 2011 à 19:24 (CET)Répondre
Mmmm, ça m'explique bien pourquoi ma moto est stable en ligne droite, mais j'ai bien du mal à analyser tout ça pour piger ce que mon guidon va faire quand je me penche… --LeBelot (d) Vive le bépo 5 février 2011 à 21:35 (CET)Répondre
En fait, mieux vaut ne pas tourner le guidon quand tu penches ta moto, c'est un objet rigide donc quand elle est inclinée, si tu tournes ton guidon la roue pointera vers le sol, et non vers le côté où tu veux te diriger. -O.--M.--H.- 6 février 2011 à 00:40 (CET)Répondre
Ce que je veux savoir, c'est est-ce que pendant le virage, la roue reste dans l'axe, penche dans le virage, ou à l'extérieur, comme semble le penser Cobra. --LeBelot (d) Vive le bépo 6 février 2011 à 02:48 (CET)Répondre
Wikipédia ! Wikipédia bien sûr, la ressource ultime   En ce cas, Pilotage (moto). Qui montre que Cobra a raison. Au fait, pour préciser, quand je disais « mieux vaut ne pas tourner le guidon », je voulais dire bien sûr (ce que la suite explique) ne pas tourner le guidon vers le côté où l'on penche (faire pivoter la roue vers la droite quand on penche à droite). -O.--M.--H.- 6 février 2011 à 07:42 (CET)Répondre
Ne soude surtout pas le guidon, même sur un vélo!!!! Il y a grande variété de façons de se casser la figure, pourquoi privilégier celle-là ? C'est la possibilité de tourner le guidon qui permet de se pencher du bon côté dans les virages. Si le guidon ne peut pas tourner, on ne peut plus contrôler son inclinaison : on tombe. Colo (d) 6 février 2011 à 17:57 (CET)Répondre
Ce que tu dis est valable pour les déplacements à petite vitesse (comme indiqué dans l'article que je signale) mais pas à grande vitesse, où tenter de prendre une virage par action sur le guidon, c'est gadin assuré. Par contre, pour les décrochages (dépassement, contournement d'obstacle) c'est avec le guidon bien sûr, et aussi pour les petits ajustements dans un virage. -O.--M.--H.- 6 février 2011 à 18:24 (CET)Répondre
OMH, pas de vexation, j'ai bien tout lu, j'ai bien tout cliqué, mais c'est juste que tout n'est pas très clair dans ma tête. Je me rends bien compte que si on contre braque, la moto tourne autour de l'axe longitudinal, et donc se penche à l'intérieur du virage, mais je dirais bien, qu'à ce moment là, justement, le guidon revient dans l'axe, sinon la moto se coucherait et se vianderait… Donc je ne sais toujours pas ce qu'il se passe, si je soude le guidon de ma moto, et si je me penche dans un virage… --LeBelot (d) Vive le bépo 6 février 2011 à 22:57 (CET)Répondre
Ah ok. Ben oui, tu as raison, une fois que la moto (ou autre deux-roues) commence à pencher, le guidon doit revenir dans l'axe sinon elle tombe puisqu'une partie de l'objet tendrait à aller vers une direction, une partie vers une autre direction. Le contre-braquage sert à amorcer le mouvement, pas plus, et on peut le faire d'autre manière : donner un petit coup de frein à l'avant en déplaçant le corps de manière à déséquilibrer l'engin, ce qui provoquera son basculement, mais vaut mieux être un bon équilibriste. Cela dit, une moto avec le guidon soudé sera plus que difficile à manier pour les petits ajustements de trajectoire, surtout à petite ou à assez grande vitesse. Une petite page intéressante pour illustrer ce qui se passe quand on penche. -O.--M.--H.- 7 février 2011 à 07:06 (CET)Répondre
Non non. Il faut contrebraquer pendant toute la durée du virage (à vitesse élevée) sinon la moto se redresse et on fait un tout droit. Et plus la vitesse est élevée, plus il faut incliner la moto pour la faire tourner. En complément du contrebraquage, on peut déplacer le centre de gravité du coupe moto+pilote en se penchant vers l'intérieur du virage (cf. les pilotes de grand prix) ce qui permet de garder l'inclinaison de la moto dans les limites de l'adhérence du pneu. --En passant (d) 7 février 2011 à 10:56 (CET)Répondre
--CQui bla : 7 février 2011 à 17:09 (CET) Il y a des légendes urbaines qui ont la vie dure... pendant le virage, la roue est effectivement tournée vers l'intérieur du virage, mais presque pas, et il faut maintenir un effort de contre-braquage pour maintenir la moto dans le virage, d'ou la confusion. Pour résumer, je dirais qu'il y a trois phases,Répondre
  1. Il faut pencher la moto, le plus simple est de contre-braquer (pousser légèrement le guidon du coté intérieur au virage), la moto va tourner très très légèrement du mauvais coté et en réaction tombe du coté ou on veut tourner.
  2. La moto est penchée, pour des raisons techniques diverses et variées, la roue a tendance à tourner du coté ou la moto penche, et donc la faire tourner du bon coté mais également la faire remonter, il faut donc maintenir un effort dans le sens du contre-braquage sur le guidon pour maintenir la mot dans le virrage, surtout si l'on accelere.
  3. Fin du virage, accélérer en relâchant l'effort de contre-braquage fait remonter la moto.
--CQui bla : 7 février 2011 à 17:27 (CET) Pour vérifier, il est plus facile de le faire avec un vélo (et moins cher en réparations)...Répondre
  1. Prendre une roue de vélo, la lancer a une certaine vitesse, a un moment elle va pencher, tourner du cote ou elle penche, faire une spirale et tomber.
  2. Prendre un vélo, le lancer avec la même vitesse, il va également se mettre a pencher mais se redresser et pencher de l'autre cote, tourner légèrement du cote se redresser et ainsi de suite, de façon plus brusque a chaque fois avant de tomber, souvent avec la roue complètement tournée d'un coté.
  3. Prendre un vélo dont le guidon est bloqué tout droit et le lancer, il va pencher et tomber très vite, et allant tout droit.
Ce qui se passe, dans le cas du vélo normal, c'est que si le vélo penche d'un cote (et qu'il est bien construit), la roue avant, pivote du cote ou l'on penche, fait entrer le vélo dans un virage, ce qui a pour effet de pousser le vélo vers l'extérieur du virage et redresse le vélo, c'est la même chose pour les motos.

Je crois que je commence à mieux comprendre… Mais il reste des interrogations. Par exemple, une roue avant de vélo est toujours en avant de l'axe du guidon. Donc quand le vélo penche, l'effort sur la roue devrait amplifier le mouvement, puisque la roue est en avant de l'axe. Je dis une bétise? En tout cas, je me rends compte à quel point tout cela est complexe, et je veux dire par là vraiment complexe.

Merci, en tout cas…

--LeBelot (d) Vive le bépo 7 février 2011 à 23:34 (CET)Répondre

--CQui bla : 8 février 2011 à 10:16 (CET) Autre chose plus facile a constater avec un velo ;), tiend un velo par la selle, sans appuyer, penche le d'un coté, la roue a tendance a pencher de ce coté, note que selon le type de velo, cet effet est plus ou moins prononcé, question geometrie, il faut tenir compte de l'axe de rotation de la fourche qui est inclié par rapport a la verticale et le point de contact de la roue au sol qui est lui en arriere de l'intersection de l'axe de la fourche et le sol.Répondre

l'espace

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Bonjour,

je suis un enfant de 9 ans qui fait une élocution sur l'espace. Quelqu'un peut-il répondre à ces quelques questions?:

Combien de degrés dans l'espace? Qu'est-ce que le big bang? Quel est l'équipement spatial des astronautes? Qu'est ce que l'apesanteur? Est-elle présente dans tout l'espace (sauf sur terre)? Il y a-t-il de l'oxygène dans l'espace?

Un grand grand merci déjà si quelqu'un peut répondre à ces quelques questions.;)

Bien à vous,

Matteo Pulvirenti

Bonjour. Beaucoup de questions, donc beaucoup de réponses - trop... Le mieux est que tu fasses un tour sur le Portail:Astronomie et sur le Portail:Astronautique où tu trouveras à coup sûr tous les renseignements pour ton allocution. Bonnes recherches. -O.--M.--H.- 6 février 2011 à 12:17 (CET)Répondre
Bonjour ! Tout d'abord félicitations : si tu as bien neuf ans, ton orthographe est sensiblement meilleure que la moyenne. Je vais essayer de répondre de manière simple à tes questions. Dans l'ordre :
- Si l'on définit l'espace comme étant le vide interstellaire (entre les étoiles), le peu de matière qui s'y trouve a en général une température proche du zéro absolu, c'est-à-dire environ -273 degrés Celsius. Notons que la température est une forme de mouvement de la matière, et que le vide en lui-même ne peut avoir de température.
- Le Big Bang est un événement hypothétique qui aurait eu lieu il y a 13,7 milliards d'années et qui est assimilable à la naissance de l'univers. Bien qu'il soit hypothétique, l'ensemble de la communauté scientifique admet aujourd'hui son existence. A l'époque du Big Bang, le temps et l'espace n'existaient pas (et ici, par "espace", on entend "dimensions spatiales", pas "vide interstellaire"). Cela signifie qu'il est impossible de parler de "avant le Big Bang" : cet "avant" n'existait pas. A l'époque du Big Bang, toute la matière de l'univers était contenue en un seul point ; et d'un seul coup, ce point a "explosé". En réalité, on ne peut pas vraiment parler d'explosion : c'est l'espace lui-même qui est apparu. Il s'agit plutôt d'une extension. Comme tu peux le voir, il s'agit d'un concept difficile à comprendre et à expliquer ; même les physiciens s'y perdent.
- Que veux-tu dire exactement par "équipement spatial" ? Les astronautes portent une combinaison spéciale lorsqu'ils se trouvent dans un milieu où il n'y a pas d'air, mais d'une certaine manière la navette qui leur permet de se déplacer fait partie de leur "équipement".
- L'apesanteur, comme son nom l'indique, est l'absence de pesanteur (voir le a- privatif grec), c'est-à-dire l'absence de force de gravité sensible. L'apesanteur totale n'existe pas, mais on peut dire qu'un objet situé loin de toute grande masse de matière est en apesanteur : il ne tombe pas. Dans le langage courant, un objet est en apesanteur s'il n'a pas de poids, ce qui est plus ou moins le cas des astronautes lorsqu'ils sont en milieu interstellaire. Il leur est alors possible de "nager" dans le vide. L'apesanteur n'est pas présente dans tout l'espace : elle n'existe que lorsque l'on se trouve loin de tout astre.
Note que les astronautes, en orbite autour de la Terre, par exemple, ne sont pas "loin de tout astre". Il ne sont pas en "apesanteur", mais en impesanteur (la force centrifuge équilibre presque leur poids)
- Il n'y a pas d'oxygène dans l'espace. L'oxygène que nous respirons se trouve dans l'atmosphère de notre planète, et c'est lui qui donne au ciel sa couleur bleue ; d'ailleurs, on remarque bien que le "ciel", lorsque l'on se trouve dans l'espace, est d'un noir très intense. C'est notamment à cause de cette absence d'oxygène que les astronautes sont obligés de porter une combinaison lorsqu'ils quittent leur vaisseau : cette combinaison est entièrement étanche, permettant ainsi d'éviter les fuites d'air, et elle comporte des réserves de gaz respirable sans lesquelles il serait impossible de survivre. Notons que l'absence d'air dans l'espace n'est pas la seule raison du port de cette combinaison : le froid évoqué plus haut y est aussi pour quelque chose.
Voilà, j'espère avoir aidé ! Il est bien sûr possible de donner des réponses plus précises et plus justes que les miennes, mais celles que j'ai données ont l'avantage de débroussailler le terrain rapidement. C'est de la vulgarisation. Je te conseille donc fortement de chercher par toi-même les réponses à tes questions en suivant les liens bleus qui ont été marqués un peu plus haut ! --Grelot-de-Bois (d) 6 février 2011 à 16:15 (CET)Répondre
Bien vu, Grelot, c'est pas de la réponse de rigolo, ça! Tu peux me faire la même pour mon soucis de roue de moto, un peu plus haut!? --LeBelot (d) Vive le bépo 6 février 2011 à 17:48 (CET)Répondre
Euh ? Là je suis vexé ! Je ne vais quand même pas recopier l'article Pilotage (moto) dans l'Oracle pour que tu aies ta réponse ici, alors qu'elle se trouve déjà dans cet article - avec l'explication de l'affirmation de Cobra. « Cliquer sur les liens bleus », scrongneugneu ! -O.--M.--H.- 6 février 2011 à 18:28 (CET)Répondre
Merci, Le Belot ! Pour ce qui est de ta question sur les virages à moto, hélas, je n'en sais pas plus que toi, c'est pourquoi je ne peux hélas enrichir la discussion :/ --Grelot-de-Bois (d) 6 février 2011 à 21:39 (CET)Répondre
Une petite question supplémentaire, Grelot : est-ce l'oxygène en particulier qui donne la couleur bleue, ou l'ensemble des gaz de l'atmosphère ?--Pethrus (d) 7 février 2011 à 15:41 (CET)Répondre
D'après l'article sur la Couleur du ciel (mais je vous recommande plutôt ce site, plus clair et didactique), toute la composition de l'atmosphère détermine la couleur du ciel, c'est-à-dire en particulier l'oxygène et l'azote, mais aussi la vapeur d'eau et la poussière. De plus, l'épaisseur de l'atmosphère (et donc l'altitude de l'observateur et l'inclinaison du soleil par rapport à lui) ont logiquement une forte influence sur cette couleur (d'où les couchers de soleil rouges, roses, oranges). L'oxygène a une légère coloration bleue sous forme liquide, mais, contrairement à mon souvenir, ce n'est pas le cas sous forme gazeuse, même de manière infime ; il est réellement incolore en lui-même (comme quoi, je ne suis pas à l'abri de l'erreur !). C'est d'ailleurs également le cas de l'azote, qui est cependant incolore même à l'état liquide.
La couleur du ciel terrestre ne provient donc pas de la teinte de son atmosphère, mais uniquement de l'effet de diffusion de Rayleigh (celui-ci variant cependant en fonction de la composition de l'atmosphère). Notons que, si la lumière du soleil était absolument blanche, le ciel nous apparaîtrait plutôt violet, mais que le soleil dégage une lumière beaucoup plus intense dans les verts. Malgré tout, la très importante proportion d'oxygène dans notre atmosphère (21% environ, et 78% pour l'azote) nous empêche d'affirmer que son influence sur le bleu du firmament est faible. Par ailleurs, notons que des atmosphères comme celle de Mars, beaucoup plus saturées en poussières, possèdent elles réellement une teinte, laquelle s'ajoute à la diffusion de Rayleigh pour déterminer la couleur finale du ciel. --Grelot-de-Bois (d) 7 février 2011 à 20:16 (CET)Répondre
Merci pour cette réponse complète. Si je comprends bien, ma couleur bleue n'est donc pas tant due à l'oxygène qu'à l'azote, puisque ce dernier est quatre fois plus présents, les deux molécules ayant à peu près le même comportement par rapport à la diffusion de Rayleigh. --Pethrus (d) 8 février 2011 à 18:15 (CET)Répondre

Frappe

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Bonjour, peut-être quelque abeille chérie pourrait-elle me signaler le lien qui exaucerait ce veux extraordinaire : "Cher père Wikipédia, je recherche un traitement de texte open ou gratuit qui permette d’écrire un texte, destiné à des utilisations open, avec la fonction suivante :

  • chaque frape de caractère provoque l’écriture d'une proposition de mot qui se précise au fur et à mesure de la frape du mot sur la page, un peu comme sur les cadres de recherche de WP ou de Googeul ;
  • la frape d'une combinaison de touches caractère provoque une séquence de caractères ou un petit texte, ou une fonction médiats ;
  • commodément utilisable par des néophytes, bien sûr, Merci !--jeandefoix 6 février 2011 à 13:41 (CET)
Bonjour  ,
LibreOffice (et OpenOffice) Writer te suggèrent les mots que tu as déjà tapés par le passé au cours de ta frappe. Malheureusement, cela se limite à une unique suggestion (pas de menu déroulant).
Les mêmes logiciels te permettent de définir des mots clefs à remplacer par le texte de ton choix en allant dans le menu « outils » puis « options d'autocorrection ». Par exemple, par défaut déjà, taper « (c) » provoque l'insertion du texte « © ».
Si tu as déjà une expérience avec ces logiciels, Microsoft Word, ou autres… tu ne devrais pas avoir (trop) de mal à les utiliser  .
Amicalement — Arkanosis 6 février 2011 à 15:12 (CET)Répondre
Dans OpenOffice Writer (et dans les autres traitements de textes libres aussi je présume) tu as ça. Pour le remplacement de mots ça se règle dans « Outils / Option d'autocorrection / insertion automatique » pour la suggestion de mots, dans « Outils / Option d'autocorrection / remplacer » pour le remplacement automatique d'une séquence par un texte de longueur diverse. Pour l'insertion il y a un apprentissage, pour le remplacement c'est une table fixe de séquences remplaçables. Pour l'insertion encore, tu peux avoir plusieurs séquences proposées pour un même début mais pas sous forme de menu déroulant, pour aller d'une suggestion l'autre, il faut faire Ctrl+Tab ou Ctr+Shifht+Tab. Pour toute information précise sur la manière dont ça se règle, l'aide est très complète. -O.--M.--H.- 6 février 2011 à 18:12 (CET)Répondre
Ah, tiens, je ne connaissais pas le coup du Ctrl+Tab… Merci Olivier !  Arkanosis 7 février 2011 à 15:29 (CET)Répondre

Cunta in tempore

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Bonsoir l'Oracle. Olivier de Serres était aussi « seigneur du Pradel » dont la maison avait pour devise Cunta in tempore. Quelqu'un peut-il en proposer une traduction ? Merci. --Yelkrokoyade (d) 6 février 2011 à 20:53 (CET)Répondre

« Chaque chose en son temps » ou « Laisser du temps au temps » - Cymbella (répondre) - 6 février 2011 à 21:14 (CET)Répondre
"Cuncta in tempore". P.-S.: la seconde traduction est, à mon avis, très éloignée du sens latin (à plein temps sur chaque cas qui se présente). --Mistig (d) 6 février 2011 à 23:48 (CET)Répondre
Tu veux dire que la traduction pourrait être « à plein temps sur chaque cas qui se présente » ? Merci de confirmer. --Yelkrokoyade (d) 7 février 2011 à 06:26 (CET)Répondre
Je le comprends plutôt comme « Il y a un moment pour chaque chose » ; mais ça pourrait aussi comporter deux notions : il faut faire les choses au bon moment et il faut pouvoir attendre le bon moment qui finit toujours par arriver. Ce 2e sens correspond plus ou moins à la 2e traduction ci-dessus, que je trouve aussi trop éloignée, mais, bon, je n'ai fait que recopier ! Cymbella (répondre) - 7 février 2011 à 07:22 (CET)Répondre
De ce qu'en disent mes dictionnaires latin-français en ligne ou à demeure, il y a déjà le sens de « temporiser », « ne pas se presser » dans cuncta, ce qui explique probablement la traduction « Laisser du temps au temps ». Une glose de l'expression serait « laisser le temps au choses de se faire quand elles doivent se faire », que « Chaque chose en son temps » ou le biblique « Il y a un temps pour chaque chose » rendent bien, à mon avis. -O.--M.--H.- 7 février 2011 à 08:07 (CET)Répondre
Il suffirait d'un bon latiniste, mais un vrai, pour dire si ce cuncta (plutôt que cunta) est un impératif du verbe cunctor : vas-y doucement dans le temps, ne te presse pas, ou l'adjectif cunctus, a, um, tout, entier, ensemble, donc « toutes les choses à temps » ? Les deux traductions peuvent être contradictoires, mais aussi complémentaires et ça peut jouer sur le double sens. Il me semble. Suis pas sûr. Morburre (d) 7 février 2011 à 08:45 (CET)Répondre
On trouve dans cet ouvrage la glose « L'activité, pour faire chaque chose en son tems, et ne pas perdre des momens précieux, qui ne se retrouvent presque jamais » ; ailleurs, même traduction que plus haut, avec en complément l'autre devise donnée pour Olivier de Serres : « Sa devise : Cuncta in tempore (chaque chose en son temps), ou encore : Sordida quœquefugit (il fuit toute bassesse) ». Il semble que le verbe est retenu plutôt que l'adjectif dans les sources accessibles. -O.--M.--H.- 7 février 2011 à 09:26 (CET)Répondre
Le Cunctator éclaire le sens (on traduit généralement par "temporisateur", mais c'est plutôt "utilisateur du temps" : son analyse était que le temps travaillait pour Rome et qu'il fallait le laisser faire). gem (d) 7 février 2011 à 10:47 (CET)Répondre

Cuncta ne peut pas venir du verbe déponent cunctor. Il pourrait à la limite être l'impératif du verbe cuncto, mais celui-ci n'est quasi pas attesté. Cuncta vient donc de l'adjectif cunctus qui signifie « tout ». Il s'agit d'un nominatif-accusatif neutre pluriel et peut être compris comme « toutes les choses ». In tempore est une expression qui signifie « au moment opportun ». Cette devise signifie donc « tout [est fait] au moment opportun ». « Chaque chose en son temps » me semble donc la meilleure traduction en français, tant au niveau de la forme que du sens. Rāvən (d) 7 février 2011 à 11:45 (CET)Répondre

Ben voilà. Morburre (d) 7 février 2011 à 11:53 (CET)Répondre
En fait ma source indique bien Cunta et pas Cuncta, mais je pense qu'il y a une coquille. Merci à tous --Yelkrokoyade (d) 7 février 2011 à 11:57 (CET)Répondre

Expériences de reconstitutions de systèmes écologiques clos

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Je me souviens avoir lu de temps à autres des articles relatifs à des expériences qui consistaient à reproduire un système écologique complet isolé du monde extérieur dans lequel un certain nombre de personnes s'enfermaient en autarcie pendant un temps.

L'idée générale étant de créer une sorte de reproduction de ce que devrait être une colonie extra-terrestre.

Pourtant une recherche Google ne me permet pas de retrouver quoi que ce soit à ce sujet, ce qui vient, à n'en pas douter, de ma méthode de recherche qui ne doit pas être bonne.

Quelqu'un aurait-il quelques références à faire valoir? D'avance merci. Asavaa (d) 6 février 2011 à 22:04 (CET)Répondre

Ceci certainement Biosphère II --Doalex (d) 6 février 2011 à 22:12 (CET) À noter, ce projet était situé à Oracle, Arizona article non traduit en français.Répondre
Ah ben oui, c'est ça, merci ! Asavaa (d) 6 février 2011 à 23:03 (CET)Répondre