Wikipédia:Oracle/semaine 31 2018

Dernier commentaire : il y a 6 ans par GabrieL dans le sujet Police secours sans uniforme.

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Police secours sans uniforme.

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Policier armé en civil surveillant la manifestation Gay pride juin 2009 à Paris. Bertrouf 7 août 2018 à 12:30 (CEST)Répondre

Bonjour cher Oracle.

Lorsqu'on appelle le 17, est-il possible de demander une intervention en civil pour procéder à une arrestation? Ou alors le port de l'uniforme est obligatoire pour qu'un dépositaire de l'autorité publique arrête quelqu'un? (Un peu le contraire d Alexendre Benalla en somme) 77.136.40.87 (discuter) 31 juillet 2018 à 21:04 (CEST)Répondre

En Belgique, il me semble que les policiers en civil mettent un brassard lors de leurs interventions. Selon, l'article Brassard, c'est la même chose en France depuis 1975. -- Xofc [me contacter] 1 août 2018 à 03:36 (CEST)Répondre
Dans Le Gendarme de Saint-Tropez, la brigade doit enfiler son uniforme avant d'interpeller les naturistes sur la plage !   - Cymbella (discuter chez moi) - 1 août 2018 à 08:27 (CEST)Répondre
Oui mais il y aurait pas une une référence plus actuelle? Que dit le code de procédure pénale? 77.136.19.18 (discuter) 1 août 2018 à 12:29 (CEST)Répondre

Bon apparemment la BAC peut intervenir sans uniforme. 77.136.41.53 (discuter) 4 août 2018 à 20:22 (CEST)Répondre

De mémoire les forces de l'ordre peuvent intervenir en civil mais au moment de l’interpellation elles doivent porter un brassard indiquant clairement leurs qualités.Jehan dumaquis (discuter) 5 août 2018 à 10:37 (CEST)Répondre
Pour les policiers en uniforme, l'affichage du matricule est obligatoire (sauf quelques exceptions). Pour les autres, il doit être montré sur demande.
Mais il n'est pas obligatoire d'être en uniforme pour être en service. N'importe quel agent assermenté peut intervenir dans la tenue qu'il veut à condition d'être capable de montrer son matricule sur demande. On a cité des exemples de policiers en tenue de sport, en dehors de leurs heures de service, qui dressaient seuls un PV pour téléphone au volant. Bertrouf 7 août 2018 à 12:20 (CEST)Répondre
Une réponse de Libération à la question. GabrieL (discuter) 14 août 2018 à 17:52 (CEST)Répondre

Seuil de tolérance

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Bonjour,

Florent Gueguen (Fédération des acteurs de la solidarité): « On est très très loin d'avoir atteint la capacité d'accueil et d'acceptabilité en France. »

Je voudrais savoir quelle est cette capacité.

Merci. Apokrif (discuter) 3 août 2018 à 03:02 (CEST)Répondre

L'article est assez effrayant, en tout cas. 2A01:E34:ECBA:C5D0:5997:D4CF:AF08:1953 (discuter) 3 août 2018 à 11:15 (CEST)Répondre
La ligne suivante de l'article donne une valeur de comparaison : 1 million pour l'Allemagne. Et cet article [1] compare le nombre d'accueillis en 2016 rapporté à 10000 habitants pour plusieurs pays, dont le Canada, la Turquie... Mais il n'est pas possible de donner une valeur absolue, car cela dépend de la sensibilité de chacun. Bertrouf 3 août 2018 à 12:33 (CEST)Répondre
Voir aussi Natalité en France. -- Xofc [me contacter] 4 août 2018 à 13:05 (CEST)Répondre
Je pense qu'il y a de la marge. Depuis 100 ans, la France a accueilli les Arméniens (700 000 arrivées dont plus de la moitié sur huit ans entre 1915 et 1923), les Républicains espagnols (400 000 réfugiés dont une grosse majorité à la fin des années 1930), les Pieds-Noirs (entre 1 000 000 et 1 350 000), les Juifs d'Afrique du Nord (130 000) et les Harkis (42 000) (au début des années 1960), les Boat People (180 000 à partir de 1979). C'est-à-dire bien plus que la population réfugiée actuellement acceptée. Et dans les années 1930, au moment des Arméniens et des Espagnols, la population françaises était de plus un tiers moins importante, donc le nombre de réfugiés paraissait en proportion plus forte. GabrieL (discuter) 14 août 2018 à 11:35 (CEST)Répondre

Cernès, chez Mauriac

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Bonjour aux Oracles, des suites de cette discussion chez les Pythies du Wiktionnaire, Quelqu'un sait-il à quel Cernès François Mauriac fait référence ? D'avance merci, et cordialement, choumix (discuter) 5 août 2018 à 22:30 (CEST).Répondre

… trouvé ici, p. 243 :

« Remonter toujours plus loin dans la filiation et se perdre dans les ramifications ancestrales revient dans un certain sens à abandonner la partie. Le nez sur ses assiettes, de peur d’avoir à se confronter au présent, le reclus de Trenel ne se raccroche à la vie que par le lien effiloché qui l’unit à un passé révolu, trait qu’il partage avec le baron Galéas de Cernès. François Mauriac dresse le portrait de cette fin de race dégénérée dans Le Sagouin, roman publié une quinzaine d’années après Les Célibataires. »

Lire aussi p.243/244 et 255.
Là, un descriptif de la famille.
Voir aussi Haute-Lande-Girondine.
Gros vin : dont la qualité est médiocre, dont la fabrication est rudimentaire mais solide (cf. cnrtl à « gros »).
Traité sur les vins du Médoc et les autres vins rouges et blancs du département de la Gironde (gallica.bnf) :

« Sur 140 mille hectares de terres labourables, il n'y a guères que 35,000 hectares de terres fortes, situées dans cette partie du précieux terrain qu'on appelle Palus ; le reste est en terres légères, maigres ou sablonneuses. On évalue les produits, distraction faite du grain nécessaire pour la semence, à 950,000 hectolitres, tant en bléfroment que seigle. Cette quantité suffit tout au plus à la moitié de la population. On peut estimer les importations qui se font dans le département, à 800,000 hectolitres; cet énorme déficit doit être attribué à la destination qu'on a donnée à la plus grande partie des Palus. Si ce sol, profond, inépuisable, et dont la qualité 1'emporte peut-être sur les meilleures terres de France… »

… et lire plus bas « Vins de Palus ».
Hautbois [canqueter] 6 août 2018 à 06:42 (CEST)Répondre