Armorial et nobiliaire de Savoie

liste des familles nobles de Savoie
(Redirigé depuis Famille de Chignin)

L'armorial et nobiliaire de Savoie recense les familles nobles et notables qui ont possédé des fiefs en Savoie — Savoie propre, Avant-pays savoyard/Bugey savoyard, Chablais, Genevois, Faucigny, Maurienne, Tarentaise —, correspondant aux départements français actuels de la Savoie et de la Haute-Savoie. Le titre de l'article reprend en partie celui de l'Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie d'Amédée de Foras, et continué par François-Clément de Mareschal de Luciane, 5 volumes publiés entre 1863 et 1938. Ces travaux répertorient 263 familles.

Les familles sont répertoriées par ordre alphabétique, avec leurs armoiries, sous forme de figures et de blasonnements, et leurs devises ; la période de subsistance (mentionnée, attestée et éteinte) et leurs possesions.

Pour les familles au service de la maison de Savoie ayant possédé des biens dans les autres territoires des États de Savoie (Bresse, Bugey, Genevois, Nice, Piémont, Valais, vallées d'Aoste et de Suse, pays de Vaud, etc.), se référer aux articles connexes.

Tableau des familles nobles

modifier

Selon les historiens Léon Menabrea (1938)[1] ou Bernard Demotz (2000)[2], on peut ainsi distinguer pour la Savoie, au cours de la période médiévale, plusieurs ordres dans la hiérarchie des familles féodales constituée d'une soixantaine de familles, suivis de leurs bannerets.

À ces principales familles féodales, il faut compter les seigneurs ecclésiastiques, souvent issus de ces mêmes familles importantes, parmi lesquelles on retient les évêques puis archevêques-comtes de Tarentaise, les évêques de Genève, les évêques de Maurienne.

Pour Louis Comby, on compterait pour cette période plus de 250 familles aristocratiques féodales en Savoie[4]. À partir du XVe siècle, le duché de Savoie compte environ 1 420 familles nobles, dont le quart était domicilié à Chambéry[5].

Accès direct dans l’index alphabétique :
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise Période, possessions
    Famille d'Albier, d'Alby ou d'Albiez

Losangé de gueules et d'argent et/ou De gueules à la bande d'or chargée d'un vol (deux ailes), alias d'un demi-vol (une aile) de sable.[Foras 1],[6]

Selon Foras, deux familles portent ce patronyme et seraient probablement de souche commune[Foras 1] :

  • Albier de Maurienne
    • Albier de la Croix de la Rochette
    • Dalbier (?) en Maurienne
  • Albier, faisant preuves de noblesse au XVIIIe siècle
Vers les XIIe au XVe siècle[6] — Éteinte au XVIIIe siècle[Foras 1].

Maurienne, Bauges-Alby et Genevois. Seigneurs de La Croix (La Croix-de-la-Rochette-Maurienne), Le Châtelard (Bauges)[7], Montpon (Alby-Albanais)[7].

  Famille de L'Alée, L'Allée ou Lalée (La Lée)

D'argent, à la bande d'azur accompagnée de deux étoiles du même, au chef de gueules chargé d'un croissant d'or. (autres variantes)[Foras 2].

Devise : Beatae Virginis letae[réf. nécessaire]

v. XVe siècle — Preuves de noblesse en 1723[Foras 2].

Originaire d'Annecy (Genevois)[Foras 2]. Seigneurs et barons (XVIIe siècle)[8] de la Tournette (Tornette) et de Songy (Saint-Sylvestre - Albanais), coseigneurs de La Val des Clets et de Manigod (Genevois), seigneurs des Molettes (Savoie)[Foras 2].

  Famille d'Alexandry d'Orengiani (anciennement Orengiani)

Écartelé : aux 1 et 4, d'azur, à trois soleils d'or ; aux 2 et 3, parti d'or et d'azur, à l'oranger de sinople fruité d'or.[Foras 3],[CEA 1].

Foras indiquait n'avoir aucune information sur le passage du nom Orengiani après celui d'Alessandri, ni pourquoi les armes ont été inversées[Foras 3].

Couronne de baron
Supports : Deux lions lampassés de gueules.
Cimier : Une nymphe de carnation, tenant de la dextre une orange d'or, et de la senestre une banderole flottante sur laquelle est écrit : Pulcriori detur.
Devise : Tien il mezzo[Foras 3],[CEA 1].

Mention XIe siècle — Filiation prouvée depuis le XVIe siècle — Preuves de noblesse en 1723[Foras 3],[CEA 1]. Subsistante en 2024[9].

Originaire d'Ivrée (Piémont)[Foras 3],[CEA 1]. Mariage d'un Orengiani avec l'héritière des Alexandry, au XVIe siècle[Foras 3],[CEA 1]. Preuves de noblesses du à la Chambre des comptes de Savoie[Foras 3],[CEA 1].

  Maison d'Allinges

De gueules, à la croix d'or.[Foras 4],[Borel 1]

Devise : Sans varier[Foras 4]

Vers le XIe siècle — Éteinte au XIXe siècle (branche Allinges-Coudrée dont le dernier représentant meurt en 1840)[Foras 4].

Originaire du Chablais. Selon Grillet, les chefs de familles sont dits « Princes »[10]. Marquis de Coudrée, de Lullin, de Ternier, de Seyssel-La Chambre ; comtes de Langin, de La Valdisère, de L'Hueuille, d'Apremont, de Montréal ; Vicomtes de Tarentaise ; Barons de Larringes, de Montfort, de Montfalcon, etc.[Foras 4]

  Famille Amblard de Chignin

D'argent au lion de gueules, à la fasce d'azur brochante chargée de trois roses du champ.[Foras 5]

XIIIe siècle — XVIe siècle[11].

Noble, mais absence de titres[Foras 5]. Se réclamant descendre de la famille de Chignin (sans preuves)[Foras 5].

  Famille d'Ameysin

D'argent à la bande de gueules chargée de trois coquilles d'or.[Foras 6],[12]

Mentionnée au XIIe siècle ou XIIIe siècle[Foras 6].

Seigneur d'Ameysin, Le Villard (Comté de Savoie).

  Famille d'Andrevet

D'argent, à trois fasces de sable, à la bande de gueules brochant sur le tout.[Foras 7],[Borel 2]

Cimier un lévrier de sable colleté d'argent.
Supports deux lévriers de sable colletés d'argent.

Autre branche
  • Andrevet de Corsant
Anoblie au XIVe siècle — Éteinte au XVIe siècle[Foras 7].

Originaire de Montmélian (Comté de Savoie), installée en Bresse. Seigneurs puis barons (XVIe siècle) de Corsant (Pont-de-Veyle) ; seigneurs de Beaurepaire, Montfalcon, d'Albens, Saint-Julien[Foras 7].

  Famille d'Angeville, d'Angeville de Beaumont

De sinople à deux fasces ondées d'argent.[Foras 8],[CEA 2]

Devise : In his renascimur omnes (Nous renaissons tous en eux)[Foras 8],[CEA 2]

Etablie en Genevois au XVe siècle[Foras 8] — Branche du Bugey (XVe siècle)[CEA 2].

Originaire du Bassigny (Champagne)[CEA 2], établie à La Roche (1440)[13]. Seigneurs de/du Mestral, de Chesnay (Chenex), du Vidomnat des Bornes, d'Espagny, de Doudens et de Lambert ; barons de Ternier (1611)[14], de Lornay, d'Allonsier (1700) et de Villy-le-Pelloux (1700) (Savoie) ; Seigneurs de Montveran, de Culoz (1698), de Landaise (1698), et comtes de Lompnes (1657), en France[Foras 8].

  Famille d'Arenthon

Bandé d'argent et de gueules.[Foras 9],[15]

Probablement issue de la Maison de Faucigny, voire des Faucigny-Lucinge[Foras 9],[16]. Prend le nom d'Arenthon d'Alex au XVe siècle, à la suite du mariage de Marguerite d'Alex et de Pierre d'Arenthon.

Branche
  • Arenthon de Veigy
Apparue vers le XIIIe siècle — Éteinte.

Baron d'Arenthon (Faucigny)[Foras 9]. Seigneurs d'Alex, Châtillon (Terreaux) (1530)[17], Ferrières, Monterre (?) ; coseigneurs de La Val des Clets et de Manigod (Comté de Genève)[Foras 9].

  Famille d'Arlod, d'Arloz, d'Arlos ou encore d'Arlo (en latin de Arlosio, de Arloz, de Arlodo)

D'argent au lion de sable, armé et lampassé de gueules ou de sable au lion d'argent.[Foras 10],[CEA 3]

Support & cimier : Trois taureaux[CEA 3]
Devise : Nobilis, miles, potens[CEA 3]

Apparue vers le XIIe siècle. Éteinte en Savoie, nom relevé en France par la famille Bouillet[Foras 10].

Originaire de Mons (Comté de Genève), selon Foras[Foras 10], ou du Bugey, selon Guichenon et Chaix d'Est-Ange[CEA 3]. Seigneur d'Arlod, Mons (Comté de Genève)[Foras 10]. Possessions en Semine, en Michaille, dans le Chablais et dans les bailliages de Ternier et Gaillard[Foras 10].

  Famille d'Arvillard, Arvillars (d') ou encore Altvillars (d')

D'or à l'aigle éployée d'azur, couronnée, becquée et membrée de gueules.[Foras 11]

Devise : Nube Altius (Au-dessus des nuages)[Foras 11]

Apparue vers XIIe siècle (selon Foras)[Foras 11], mais mentionnée en 1058[Note 1]. Audise, dernière héritière des nobles d'Arvillard, épouse en 1341 Humbert, bâtard du comte Aymon de Savoie[Foras 11],[19], donnant naissance à la branche des Savoie-Arvillard (1341-1628), puis achat par la famille de Milliet, en 1628[20].

Installée en vallées du Gelon, du Bens et du Bréda (Comté de Savoie). Seigneur d'Arvillard et de la Bastie-d'Arvillard[Foras 11]. Une branche cadette semble subsister en Dauphiné voisin[Foras 11].

  Famille d'Avalon

De gueules, à l'aigle bicéphale d'argent.[Foras 12]

Apparue vers le XIe siècle[Foras 12].

Seigneur de Saint-Pierre-sur-Isère ou Sous-Conflens, de Blay, coseigneur de la vallée de Bozel (Tarentaise)[Foras 12]. Nombreux domaines sur la rive gauche de l'Isère jusqu'en Graisivaudan[21].

Accès direct dans l’index alphabétique :
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise Période, possessions
  Famille de Ballaison, ou Bal(l)aison (de), Bal(l)eyson (de) ou Bal(l)ayson (de) ou Bal(l)eison (de)

D'hermine à une bande de gueules.[Foras 13],[Borel 2]

Première mention en 1138[22] — Éteinte au XVIe siècle.

Baron d'Hermance et de Beauregard (Chens-sur-Léman), seigneur d'un puis des deux châteaux ainsi que du mandement de Balleyson, du Vidomne des Bornes, seigneur d'Avanchy, de Boisy, de Chavannex, de Loisin, de Saxel (Chablais)[Foras 13].

  Famille de La Balme et/ou Apremont, puis La Balme d'Apremont

Fascé d'or et de sable ou Fascé d'or et de sable de 6 pièces., Bandé d'or et d'azur de 6 pièces., d'or à 2 fasces de sable. (Besson)[Foras 14] ou encore De gueules à la croix d'argent. (Guichenon), alaisée ou pleine.[Foras 14]

Les historiens régionaux considèrent que les La Balme et les Apremont seraient une même famille[Note 2], qui prendra le nom de La Balme d'Apremont (à partir du XVe siècle).

Mention fin du Xe siècle[24] / début du XIe siècle — Éteinte au XVe siècle[Foras 14].

Originaire d'Apremont (Combe de Savoie-Chartreuse). Richard Vacher ou d'Apremont (cité en 1132) serait à l'origine de la branche noble des La Balme d'Apremont[23],[25]. Seigneur d'Apremont, Avressieux (1323-1345, 1402)[26], des Marches, Entremont-le-Vieux (Savoie Propre), Silans (Corbonod). Les bien passent ensuite à différentes familles : Rivoire, Montmayeur[Foras 14].

  Famille de La Balme

D'or à la bande d'azur.[Foras 15]

Branches cadettes
  •   La Balme de la Molière : D'azur à trois bandes d'or.[Foras 15]
Apparu vers la fin du XIe siècle[Foras 15].

Originaire du Bugey, dont deux rameaux installés en Savoie. Seigneurs des Terreaux (Valromey), de Longefan et de la Molière (Savoie)[Foras 15].

  Famille de La Balme (de Balmâ)

De gueules à la fasce d'or accompagnée en chef d'une étoile de même et d'un oiseau d'argent en pointe.[Foras 16]

Première mention en 1233[27] — Éteinte vers 1646[Foras 16].

Originaire de Montvernier (Maurienne).

  Famille de La Baume, La Baume de Montrevel (de)

D’or, à la bande vivrée d’azur.[CEA 4],[Jougla 1].

Cimier : Un cygne d'argent, ailé de sable.[CEA 4],[Jougla 1]
Devise : L'honneur guide mes pas.[CEA 4],[Jougla 1]

Premières mentions au XIIe siècle — Filiation XIVe siècle[Jougla 1] — Éteinte (1794) par décapitation du dernier représentant[CEA 4].

Originaire de la Bresse. Seigneur puis comte (1418) puis marquis de Montrevel, marquis de Saint-Martin (1584)[Jougla 1]. Baron de Cusy. Seigneur de Mont-Saint-Sorlin.

  Famille de Bavoz, Bavoux (en latin : bavisilien)

De sable au mufle de lion d'argent.[Foras 17]

Apparue au XVe siècle — Anoblie (XVIIe siècle) — Éteinte en 1775[Foras 17].

Originaire de Billième (Bugey savoyard). Domaines à Ruffieu et Serrières (Comté de Savoie).

Be à By

modifier
Accès direct dans l’index alphabétique :
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise Période, possessions
  Famille de Beaufort

De gueules au lion d'argent. (armé et lampassé d'azur)[Foras 18],[28]

Branche cadette
  • Beaufort de Villard-Chabot
Mentionnée au Xe siècle — Filiation XIVe siècle — Éteinte au XVIIIe siècle[Foras 18].

Originaire de Beaufort (Beaufortain). Vicomte de Tarentaise et seigneur de la Val-d'Isère (1346 en échange de la terre de Beaufort), barons du Bois, Chevron, Montailleur. Seigneurs en Albanais, Beaufortain, Genevois, Savoie et Tarentaise[Foras 18].

  Famille de Bellegarde

Palé d'argent et de sable de six pièces, à la fasce de gueules, chargée de trois casques d'or.[Foras 19],[CEA 5]

Timbre : « un heaulme en porfil duquel issit un bras armé de son brassal tenant une lance à la main avec la devise : NON VI SED VIRTUTE ET ARMIS. »[Foras 19],[CEA 5].

Branche cadette
  • Bellegarde-Buffavent
Mentionnée vers le XIIIe siècle — Éteinte au XVIIIe siècle — Branche naturelle[CEA 5].

Originaire de Magland (Faucigny). Seigneur de Brens, Buffavent, Disonce, Foncenex-Veigy, Miribel, Montagny, Pontier, Praz, Pressin, Saint-Cergues, Saint Disdille, Thorens, Vigny, Vongy[Foras 19].

  Famille de Belletruche

Écartelé : aux 1 et 4 de gueules plein ; aux 2 et 3 d'argent à deux fasces d'azur.[Foras 20]

Mentionnée vers le XIVe siècle — Éteinte au XVIe siècle[Foras 20].

Originaire probablement de Chambéry[Foras 20]. Possessions en Tarentaise et Pays de Vaud[Foras 20].

  Famille de Bertrand (Bertrandi ou Beltrandi) ou Bertrand de La Pérouse

D'or, à un lion de sable, armé, couronné et lampassé de gueules.[Foras 21],[Borel 3]

Devise : Sapient et confident

Établie en Tarentaise et Savoie vers le XIIIe siècle[Foras 21].

Originaire probablement de Suse (Val de Suse-Piémont). Seigneurs en Piémont, Savoie, Bresse et Bugey[Foras 21].

  Famille de Blonay

De sable, semé de croisettes d'argent, au lion d'or sur le tout.[Foras 22],[CEA 6],[Borel 4]

Branche chablaisienne : De sable, au lion d'or armé et lampassé de gueules.[Foras 22],[CEA 6].

Couronnes de baron, de marquis ou de comte[Foras 22]

Supports : deux griffons ou deux lions d'orCimier : un griffon issant d'or, ou un lion ailé d'or[Foras 22],[CEA 6].
Devises : "Pro Aris et Focis"[Foras 22],[CEA 6] ou "Crois sans fin" ou "Toutes servir, toutes honorer, pour l'amour d'une" ou encore "Pur comme l'or, prompt comme l'éclair (alias comme l'aigle)"[Foras 22].
Cri : Blonay ![Foras 22],[CEA 6]

Deux branches[Foras 22]
  • branche aînée en pays de Vaud, réformée, installée sur la rive vaudoise du Léman, au château de Blonay, berceau de la famille.
  • branche cadette établie en Savoie, catholique, installée sur la rive savoyarde, au château de Saint-Paul, puis de Maxilly.
Apparu au XIIe siècle[29].

Baron de Blonay (Vaud). Possessions sur les deux rives du Léman[Foras 22]

  Famille de Boëge

Écartelé d'or et d'azur. ou D'or, écartelé d'azur.[Foras 23]

Devise : "nescit labi virtus"[Foras 23]

Apparu vers le XIe siècle, éteinte vers le XVe siècle[30].

Originaire du Faucigny[Foras 23].

  Famille de Boigne, anciennement Le Borgne (Le Borgne de Boigne)

D'azur, au lion d'or, plantant une épée d'argent au sommet d'une montagne au naturel, mouvant de la pointe.[Foras 24],[Jougla 2]

Couronne de comte
Devise : Patientia omnia vincit[Foras 24]

Anoblie comte en 1816[Foras 24].

Originaire de Picardie, installée en Savoie au début du XVIIIe siècle[Foras 24]. Benoît de Boigne créé comte héréditaire par le Roi de Sardaigne en 1816[Foras 24],[Jougla 2].

  Famille Bonivard (latin Bonivardi)

D'or à la croix de sable, chargée de cinq coquilles d'argent.[Foras 25]

Accède au rang de la noblesse au cours du XIIIe siècle ou du XIVe siècle[Foras 25].

Originaire de Chambéry, famille bourgeoise (Comté de Savoie)[Foras 25]. Seigneurs en Savoie, Bugey et Pays de Gex[Foras 25].

  Famille Bouvier (Bovier), Bouvier d'Yvoire

De gueules à la fasce d'argent accompagnée de trois écussons du même posés 2 et 1.[Foras 26],[31]

Devise : Festina lente (hâte-toi lentement)[Foras 26],[31]

Mentionnée au XIVe siècle[31] — Anoblie vers le XVIIe siècle[Foras 26].

Originaire de Lompnes (Bugey)[31]. Possessions en comté de Genève, Faucigny, Vaud[Foras 26].

  Famille de Bracorens, Bracorens de Savoiroux ou encore Brascorens

D'azur, au pal d'or, chargé de trois coquilles de sable.[Foras 27]

Cimier : un bras armé brandissant une épée
Devise : Leniter et opere sado

Anoblissement par LP (1590)[Foras 27].

Seigneurs de Boëge, de Rochefort et de Salins Faucigny. Vicomte de Maurienne, comte de Salins, seigneur de Bracorens, Saint-Laurent-de-la-Côte, de Savoiroux[Foras 27].

  Famille de Briançon (parfois Brianson)

D'argent, à l'aigle de gueules membré et becqué d'azur.[32]

Joseph Garin indique que « l'aigle a été pris aux empereurs d'Allemagne [...] dont les Briançon avaient reçu le titre de vicomtes de Tarentaise. »[32]

Devise : Unguibus et Rostro (des ongles et du bec)[32].

Branches

Tant pour les Briançon que pour les Aigueblanche, de Foras renvoie vers les Montmayeur[Foras 28],[Foras 29]. L'historien Félix Bernard « considérait que la famille seigneuriale de Montmayeur est issue de celle des Briançon-Aigeblanche »[36]. Il précise « Tandis que cette branche aînée s'installa exclusivement en Dauphiné, à partir de 1289, et garda le nom de Briançon, une branche savoyarde qui tenait ses biens « de l'alberge de Brianczon » s'appela Montmayeur »[36].

  • Aiguebelle : de gueules à l'aigle d'argent. Bernard indique « S'il m'était permis de hasarder une conjecture, je supposerais que les Aiguebelle sont, comme les Aigueblanche, du même sang que les Montmayeur. »[Foras 29]
Apparue au IXe siècle — Branche aînée savoyarde éteinte mi-XIIIe siècle — Branche Aigueblanche (1349/1355)[32],[34] — Branche dauphinoise (fin XVIIe siècle)[33].

Originaire d'Aime (Tarentaise)[34]. Vicomte de Tarentaise[34]. En Savoie : Seigneur de Cur (ou Cœur), d'Aigueblanche, de Feisson. En Dauphiné : Bellecombe, Varces, Le Touvet, La Terasse, Saint-Ange, Eybens, Gières[33]. Les titres et possessions de la branche savoyarde passent par mariage, de Léonette Aigueblanche-Briançon ( /1355) à la maison de Montmayeur[32],[34]. Le nom et armes de la branche dauphinoise passent à des cousins, les de Vachon[33],[CEA 7].

  Famille de Brotty d'Antioche

De gueules à trois sautoirs d'argent.[Foras 30],[CEA 8]. Besson ajoutait qu'il y avait aussi un croissant de même en abîme.[Foras 30],[CEA 8]

Filiation à partir du début du XVe siècle — Noblesse obtenue pendant l'occupation bernoise et la possession de fiefs nobles, confirmation ducale par arrêt du [Foras 30],[CEA 8] — Subsistante en 2024[9].

Originaire du Chablais. Substitué aux nom et armes de la famille d’Antioche, à la suite d'une alliance de 1570. Comtes. Seigneurs et coseigneurs de Nernier, Messery, coseigneurs de la rente de Neuvecelle, etc.[Foras 30],[CEA 8]

  Famille de Buttet

De sable aux trois butes d'or entrelacées, deux en sautoir et une en pal.[Foras 31],[Borel 5],[CEA 9]

Devise : La vertu mon but est.[Foras 31],[CEA 9]

Mentionnée au XVe siècle — Anoblie par LP en 1460 — Branche aînée éteinte (1914)[Foras 31].

Originaire d'Ugine (comté de Savoie). Baron du Bourget (Le Bourget-du-Lac), comte de Tresserve, seigneurs en Savoie et en Genevois[Foras 31].

Ca à Ch

modifier
Accès direct dans l’index alphabétique :
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise Période, possessions
  Famille de Candie

De gueules, semé de fleurs de lis d'or, à la bande d'azur, brochant sur le tout.[Foras 32],[Borel 6]

Devise : Tout à rebours[Foras 32] (La devise des Candie rappelle que comme l'écrevisse, les sages quelquefois marchent à reculons).

Qualifiée de noble au XIVe siècle[Foras 32] — Branche savoyarde éteinte au XVIe siècle[Foras 32] — Branche bressane (?).

Originaire de Chambéry-le-Vieux, famille bourgeoise (Savoie). Possession du château auquel ils donnent le nom au XIVe siècle, ainsi que de nombreux biens à Chambéry-le-Vieux. Seigneur de Candie, Chaffardon (Saint-Jean-d'Arvey), Salagine (Bloye)[Foras 32].

  Famille Capré de Megève

D'azur à une tête et col de chêvre coupés d'argent au chef d'or.[Foras 33],[CEA 10],[37]

Couronne : Comte[CEA 10]
Cimier : une tête de chèvre d'argent[Foras 33]
Devise : Non indigna cœlo[Foras 33],[CEA 10],[37].

Mentionnée au XIIe siècle[Foras 33] — Anoblie au XVIIe siècle et filiation suivie[CEA 10] — Subsistante en 2020[38].

Originaire probablement du Piémont, installée en Faucigny au XIIe siècle[Foras 33]. Comtes de Megève. Seigneur de Bellecombe (1681), de Bonport, du Crest-Voland (1681), de Megève (1681)[Foras 33].

  Famille de Castagnery de Bourgneuf

P. d'or au châtaignier de sinople sur une motte de même, ou d'or au châtaignier arraché de sinople fruité de 4 fruits du champ. (Les Preuves de Malte donnent les deux versions)[Foras 34], ou encore d'or à un châtaignier de sinople planté sur une motte du même (aliàs arraché), fruité de quatre fruits du champ.[CEA 11]

Filiation pour preuve de noblesse à partir de 1550[Foras 34] — Subsistante en 2024[9].

Originaire du Piémont, peut-être de la famille italienne Castagna[Foras 34]. Barons de Châteauneuf (Maurienne)[Foras 34].

  Famille de Cervens

D'argent au cerf effrayé de gueules, sommé d'argent et brisé à l'épaule d'un croissant de même, au chef d'azur[Foras 35]

Branche cadette
  • Cervens « dit du Vernay »
Mentionnée au XIIe siècle — Éteinte à la fin du XVe siècle[39].

Originaire du Chablais. Seigneurs de Cervens, de La Rochette, de Savy (maison-forte de Save, Margencel) ; coseigneurs de Ayens, de Brens et de Buffavent, en Chablais[Foras 35].

  Famille de Chabod, parfois Chabod-Lescheraine ou encore Chabod/Jacob de l'Echerenne

porte : D'azur, à trois fleurs de lys d'argent 2 et 1, au chef de même chargé d'un lion issant de sable lampassé de gueules.[Foras 36]
Selon Guichenon : d'azur, serné de fleurs de Lys d'argent, à la bande d'or, brochant sur le tour chargée de trois lyonceaux de gueules.[40]

Cimier : une lice issant d'azur[Foras 36] ou Un lévrier naissant d'argent, accolé de sable, lampassé de gueules[40].
Supports : deux griffons d'argent[Foras 36].
Devises : c'est à tard[Foras 36] ou encore tout à temps[40].

Anoblie au XVe siècle[Foras 36].

Originaire de Chambéry, famille bourgeoise (Savoie). Seigneurs (anobli en 1440), comtes puis marquis de Lescheraines (1682), Saint Maurice (1635) ; barons de Crête, Lupigny, Saint-Jeoire ; seigneurs d'Aiguebelette, Aisone, Arith, Cengle, Chiron, Chitry, La Dragonnière, Féterne, Grésin, Hauteville, Jacob, Mionaz, Monet, Thusy, Travernay, Troche et Douvaine, Villeneuve (achat en 1401), coseigneurs de Peillonex[Foras 36].

  Famille de Challes

D'argent à la croix ancrée de sable.[Foras 37]

Filiation du XIVe siècle jusqu'au XVIIe siècle[Foras 37].

Originaire de Challes (Bresse, partie de Bourg-en-Bresse). Un descendant obtient la seigneurie du Puy (Triviers), donnant son nom à Challes (Savoie). Seigneurs de Barberaz-le-Gras, de Challes, de Corgenon, de Gras, de Monterminod et du Puy[Foras 37]. Vente des titres à Louis Milliet, qui relève le titre (1569)[41].

  Maison de La Chambre

D'azur, semé de fleur de lis d'or, à la bande de gueules brochant sur le tout.[Foras 38],[Borel 6]

Devise : Altissimus nos fundavit[Foras 38].

branches cadettes
  • Les vicomtes de Maurienne (éteinte au XVIe siècle)
  • Les marquis d'Aix et comtes de Montréal
  • Les seigneurs de Sermoyé et de la Cueille, marquis de Meximieux
  • Les barons de Ruffey
Apparue au XIe siècle[42] — Éteinte au XVe siècle.

Originaire de La Chambre (Maurienne). Vicomte de Maurienne, etc.[Foras 38]. Les noms, titres et biens passent à la famille de Seyssel, donnant naissance à la branche des La Chambre Seyssel.

  Famille de Charansonay, parfois Charanson(n)ex (Chalansonay, Chalanczonay, Charançunai, Chalansonnex)

D'or, au lion de sable armé et lampassé de gueules.[Foras 39]

Mentionnée fin XIIIe siècle[Foras 39].

Originaire du comté de Genève. Seigneurs de Charansonnay, Charanson(n)ex, Chalansonnex, (Massingy, de Malagny, de Saint-Marcel, de Puisgros[Foras 39].

  Famille de Châtillon du Chablais ou Châtillon-Larringe

Fascé d'azur et d'argent (alias d'azur à trois fasces d'argent), à la cotice de gueules, brochante sur-le-tout.[Foras 40],[CEA 12]

Attestée en 1286[43] — Branche de Larringe(s) éteinte en 1701[CEA 12].

Originaire du Chablais. Probable branche des Châtillon de Michaille[43]. Seigneurs en Chablais[Foras 40].

  Famille de Châtillon de Michaille

D'argent à la croix de gueules.[Foras 41]

Remonterait au XIIe siècle[Foras 41].

Seigneurs en Bugey savoyard[Foras 41].

  Famille de Chavan(n)es, ou Chavanne (de) ou La Chavanne (de)

De gueules, à trois quintefeuilles d’argent, rangées en bande, au chef d’azur chargé à dextre d’une quintefeuille d’argent.[Foras 42]

d'azur, à trois quintefeuilles d'argent, rangées en bande, au chef du champ, chargé à dextre d'une autre quintefeuille d'argent, selon l'Armorial de Rietstap.

Mentionnée vers la fin du XVe siècle. Foras indique que « les Chavannes, comme plusieurs des bourgeois de Rumilly, se qualifiaient de nobles, et que cette habitude, ou bien la possession de biens nobles, les a fait inscrire parmi les vrais nobles. »[Foras 42] — Éteinte en 1760[Foras 42].

Originaire de Rumilly (Albanais). Seigneurs de Corbonnex, Motz, Reynex/Reinex et de la maison forte de Manessy[Foras 42].

  Famille de Chevelu

D'argent au chef endenté de trois pointes de sable.[Foras 43]

Remonterait au XIIe siècle — Éteinte à la fin du XVIe siècle[Foras 43].

Originaire du comté de Savoie. Seigneurs de Chevelu ou Cinne et maison forte de Prélian à Saint-Jean-de-Chevelu, Châtelard, Lucey[Foras 43].

  Maison de Chevron Villette

D'azur au chevron d'or chargé d'un chevron de gueules accompagné de trois lionceaux d'or, deux affrontés en chef et un en pointe.[Borel 6],[Foras 44],[CEA 13]

Union de :

  • Chevron : d'azur au chevron d'or chargé d'un de gueules.
  • Villette qui portent d'azur à trois lyons d'or armez et lampassez de gueules.

Couronne de comte
Cimier : un bouc ou chevron, issant de sable accolé d'une couronne ducale.[Foras 44],[CEA 13]
Devise : "IN ARDVIS" ou "ALTISSIMA QVERO"[Foras 44],[CEA 13].

Remonterait au XIIe siècle — Filiation à partir du XIVe siècle[Foras 44],[CEA 13]. Subsistante en 2024[9].

Originaire de Tarentaise (Villette) et Combe de Savoie (Chevron). Barons, puis comtes de Chevron, de Montjoye ; barons de L'Orme, Villette en Tarentaise[Foras 44].

  Famille(s) de Chignin, ou de Chinins, de Chynin, de Cignin, de Cheynin, de Chenin ; Ciniensis, a Cinio, de Cheyno, de Chignino, de Chinino

De gueules, au chevron d'hermines.[Foras 45]
De gueules, au chevron d'argent, chargé de six hermines de sable. (Guichenon)[Borel 6],[Foras 45]
De gueules, au chevron d'argent, moucheté d'hermines.[44]
« Chignin en Savoye porte de gueules au chevron d'argent chargé de 6 Mouchetures d'Hermines de sable au Lambel à 6 pendants de mesme. Ceux de ce nom portoient anciennement Tiercé en bande d'or, de gueules et d'azur, le gueules chargé de trois Molettes à huit raiz d'argent. » (Pierre Palliot)[Foras 45]

Branches cadettes
  • Chignin de la Biguerne
  • Chignin, branche de Taninges (Faucigny)
  • Chignin de La Place, branche de Cluses (Faucigny)
  • de Verdon ou Verdun (Cruet)
Mentionnée à partir de la deuxième moitié du XIe siècle[45] jusqu'au milieu du XIIIe siècle — Branches cadettes portent ensuite le nom[46].

Originaire de Chignin (Combe de Savoie). Seigneurs de la Biguerne (Chignin), de la place de Chignin, de Saint-Jeoire, de La Place (Thyez), de Troches (Douvaine), co-seigneurs de Naix et Fleyrier (Taninges)[Foras 45].

  Famille de Chissé (de Chissy, de Chissey, de Chissay, de Chissiaco, de Chessiaco, de Cheyssie, de Chesie, de Chessie, de Chissier, de Chissy, de Chessyer)

Parti d'or et de gueules, au lion de sable, armé, villené et lampassé de gueules, brochant sur le tout.[Borel 6],[Foras 46],[CEA 14],[47],[48]

Branches cadettes[Foras 46],[48]
  • Chissé Servoz (éteinte au XVIe siècle)
  • Chissé Fillinges (éteinte au XVIIe siècle)
  • Chissé Polinges et Challant (éteinte 1879), dont un rameau en Dauphiné[47]

Devise : Toujours[Foras 46],[CEA 14],[47],[48].

Mentionnée vers le XIIe siècle[48] — Éteinte dans les mâles (XVIIe siècle)[CEA 14].

Originaire de Chissé, environs de Sallanches (Haute-vallée de l'Arve), feudataires des barons de Faucigny. Comtes de Challant (Val d'Aoste) ; barons de Marcosse (Faucigny) ou la Marcousse (Dauphiné) ; seigneurs en Faucigny, Genevois Savoie et Dauphiné[Foras 46],[48].

Ci à Cy

modifier
Accès direct dans l’index alphabétique :
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise Période, possessions
  Famille de Clermont-Mont-Saint-Jean

De gueules à deux clefs d'argent en sautoir.[Foras 47],[49],[CEA 15]

Cimier : Deux clefs de l'Église, surmontées d'une thiare papale d'or.[Foras 47],[49]

Mentionnée en Savoie au début du XIVe siècle[Foras 47] — Éteinte par les mâles en 1868[CEA 15].

Originaire du Dauphiné, branche cadette de la Maison de Clermont-Tonnerre[Foras 47],[49]. Seigneurs, puis barons, comtes et marquis (1732) de Mont-Saint-Jean et de La Bâtie d'Albanais (1681) ; comtes de Sacconay et de Saint-Cassin, barons de Flaxieu ; seigneurs Saint-Pierre de Soucy, Sainte-Hélène-du-Lac, Rubaud, du Fléchet, de Verel, La Colliette, Montferrand, Mecoras, Truaz, Grésy, Dérée, Montfalcon, Gaillard, Martignat, Matafelon, Villarcia, Les Terreaux, La Balme, etc.[Foras 47]

  Famille des Clets, Clés (des), Clez (des), Clées (des)

De gueules à la croix d'or chargée de cinq étoiles d'azur[Foras 48].

Mentionnée dès le XIe siècle — Branche aînée disparait vers la fin du XVIe siècle[Foras 48].

Originaire du Val des Clets. Seigneurs de et dans la Val des Clets, etc.[Foras 48]

  Famille du Clos, parfois Duclos (Cloux (du), Clouz (du), Cloz (du)), dite du Clos du Fresnoy, comtes de Bonne

P. écartelé : au 1er d’argent à la fasce de gueules au chef enmanché de 4 pièces de sable; au 2e d’or à la fleur de lys de sable, qui est du FRESNOY ; au 3e d’or au sautoir de sable qui est de MARTIN ; au 4e de gueules à l’arbre d’or, clos de même qui est du CLOS.[Foras 49],[50]

Branches cadettes
  • Comtes de Bonne[50] ;
  • Seigneurs de Blanzy (Bonneville)[50] ;
  • Seigneurs de Belelcombe[50] ;
  • Du Clos de La Martinière
  • Du Clos de la Place (peut être de la même souche, selon Foras)[Foras 50]
Anoblie en 1469 — Branche des comtes éteinte vers la fin du XVIIIe siècle[Foras 49],[50].

Originaire de Bonne sur la Menoge (bassée vallée de l'Arve)[Foras 49],[50]. Comtes de Bonne ; barons de Lambert. Seigneurs de Lorzier, du Fresnoy, Esery, Blansy, de la Batie Dardel, etc.[Foras 49] Vers la fin du XVIIe siècle, des alliances, l'érection de leur terre de Bonne en comté, ainsi que l'héritage des Martin du Fresnoy, des terres d'Esery et de Blansy[Foras 49].

  Maison de Compey, parfois Compeis ou Compois

D'azur à la croix d'or.[Foras 51]

Devise : "A.V.F." (A vostre foy)[Foras 51]

Branches
  • Compey-Thorens : D'azur à la croix d'or.
  • Compey-Draillans et de la Chapelle : P. de Compey, brisé d'une cotice de sable.[Foras 52]
  • rameau (probable selon Foras) des de Compey-Féternes ou de Compois de Féterne : De gueules à cinq étoiles d'argent en 3 et 2, au chef du second, chargé d'un lion issant de sable.[Foras 53].
Apparue vers le XIe siècle - attestée vers le milieu du XIIIe siècle[Foras 51].

Originaire de Compeis ou Compois (commune actuelle suisse de Meinier, Genevois)[Foras 51].

  Famille de Confignon

De sable à la croix d'or.[Foras 54]

Mentionnée au XIIIe siècle[Foras 54].

Originaire du comté de Genève. Seigneurs de Boringes (château du Pont-de-Boringe, inféodé en 1296), de La Bâtie de Confignon, de Corsier, de Marlioz, de La Motte-sur-Épagny. Héritent au XIIIe siècle du château de Pierre (Nangy) de la famille de Nangy[51]. Vidomne de Genève au XIIIe siècle[Foras 54].

  Famille de Constantin

D'azur au cerf d'or passant sur un chêne arraché de sinople. (alias d'argent) posé à la pointe de l'écu.[Foras 55],[CEA 16],[52]

Cimier : Un sert issant d'or Devise : l'espoir du mieux à présent me contenteVelocitate et constantiâ[Foras 55],[CEA 16],[52].

branche cadette
  • de Constantin de Moussy
Anoblie dans la seconde moitié du XVIe siècle (LP 1560) — Preuves de noblesse de 1723[Foras 55],[CEA 16],[52].

Originaire d'Annecy, famille de notables(Genevois)[Foras 55],[52]. Seigneurs de Magny, de La Biollé et de Moussy ; Co-seigneur de La Bâtie-Dardel[Foras 55],[52].

  Maison de Conzié ou Conzier

D'azur, au chef d'or, à un lion issant de gueules.[Borel 6],[Foras 56],[53]

Mentionnée fin XIIIe siècle — filiation au siècle suivant — Branche aînée disparue en 1868[Foras 56].

Originaire de Conzié, commune de Bloye près de Rumilly (Comté de Genève)[Foras 56].

  Famille de Coppier (parfois Copier)

D'azur à trois coupes d'or, en 2 et 1.[Foras 57],[CEA 17] (variante : trois coupes d'argent)

Mentionnée dès le XIIIe siècle — Réhabilitation le (douteuse selon Foras), puis dérogation au cours du XVIIIe siècle. Rétablissement le (1849 ?)[Foras 57],[CEA 17],[54]. Subsistante en 2020[55].

Originaire du Genevois, famille notariale[Foras 57],[CEA 17]. Foras annonce, mais sans preuve, un lien avec la famille de Copponay ou Copponex[Foras 57]. Distincte de la famille d'ancienne chevalerie dauphinoise Copier ou Coppier[CEA 17].

  Famille de Corbeau, Corbel/Courbeau (de) (Corbelli), de Corbel dits de Corbeau ou de Corbeau de Corbel

D'or à trois fasces de sable.[Foras 58],[56],[CEA 18]

Couronne : de marquis
Supports : deux corbeaux
Devise : Nihil sine virtute[Foras 58],[CEA 18]

Mentionnée au XIII — Preuves de noblesse en 1766[Foras 58],[CEA 18].

Originaire très probablement de Corbel (Savoie), puis implantée en Dauphiné[Foras 58],[56]. Seigneurs de Corbel, Saint-Franc, La Balme, Echaillon, Thuet, Domessin, du Châtelard, de la Bauche, etc. (en Savoie), seigneurs de la Comber et d'Upie en Valentinois, seigneurs de La Mure, du Biol, de Saint-Albin, Voyssan, Saint-Bueil, Saint-Martin, etc. Marquis de Vaulserre (1751) en Dauphiné[Foras 58],[56],[CEA 18].

  Maison de Cordon

Écartelé d'argent et de gueules.[Foras 59],[57],[CEA 19]

Couronne : de comte
Cimier : un lion coupé d'agent et de gueules
Supports : deux lions coupés d'argent et de gueules (alias un lion et une chimère)
Devise : TOUT SANS CONTRAINTE ou Omnia Sponte[Foras 59],[57],[CEA 19].

Apparue vers le XIIIe siècle.

Originaire de Cordon (Bugey). Seigneurs de La Balme, Croset, Evieu, Les Marches, Morestel, Passin, Pluvy, Veyrin[Foras 59].

  Famille de Cornillon

D'or au chevron de gueules accompagné de trois corneilles volantes de sable, membrées et becquées du second, les deux du chef affrontées.[Foras 60],[58]
Le chevron serait d'adjonction moderne, selon Foras[Foras 60].

branches[Foras 60]
  • branche de Tarentaise
  • branche de Faucigny
Mentionnée vers 1080[Foras 60],[58].

Probablement originaire de Cornillon, à Queige (Beaufortain-Tarentaise)[58], et ayant essaimée en Faucigny[Foras 60]. Seigneurs de Cornillon (Queige), de Cornillon (Saint-Laurent), Marthod, Clertans, Fessy, La Pérouse en Faucigny, Meyrens (Reignier), Cevins, Exery, Arbusigny[Foras 60].

  Famille Costa de Beauregard

D'azur à trois bandes d'or, au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or. (par concession des rois de France Charles VII et Louis XIV)[Foras 61],[Borel 7],[CEA 20]

L'écu posé sur un aigle d'Empire.
Supports : deux anges
Cimier : un soleil d'or avec la devise Soli Fidelis[Foras 61],[CEA 20].

Branches
  • savoyarde
  • génoise, dont rameau
Mentionnée vers le XIIe siècle — Filiation prouvée depuis le XVe siècle — Branche cadette éteinte au XIXe siècle[Foras 61],[CEA 20].

Originaire de Gênes[59], avant de se fixer en Savoie, vers la fin du XVIIe siècle[Foras 61],[CEA 20]. Marquis de Saint-Genix de Beauregard (1700) ; comtes du Villard, Saint-Remy ; seigneurs d'Archamps, La Bâtie-Meille (Genève), Beauregard, Cernex, Ceruse, Charlier, Châtelard, Cordon, La Dragonnière, Evieu, Megève, La Motte, Rougemont, Sacconex, etc.[Foras 61]

  Famille des Costes (de Costis)

De gueules à la bande d'or chargée de trois côtes au naturel.[Foras 62],[60],[61].
Le site Blasonario subalino indique quant à lui d'azur à la bande d'or chargée de trois côtes au naturel.

Mentionnée dès le XIVe siècle — Éteinte vers la fin de la première moitié du XVIIe siècle[Foras 62].

Originaire de Saint-Pancrace (Maurienne)[60]. Deux maisons-fortes dans l'enceinte de Saint-Jean-de-Maurienne : la maison et la tour de Babylone[62], au XVIe siècle[63] la seconde a disparu[60].

 
 
Famille Courtois d'Arcollières (anciennement Cortoys)

De gueules à l'épée droite d'argent, accostée de deux fleurs de lys d'or. (Armes concédées par le roi François Ier)[Foras 63],[CEA 21].
Armes anciennes : D'or à un griffon de gueules.[Foras 63],[CEA 21]

Devise : COURTOYS DE NOM ET DE FAICT (donnée par François Ier) ou encore OB SERVATUM QUANDOQUE LILIUM[Foras 63],[CEA 21].

Patentes de noblesse du duc de Savoie (1517)[Foras 63],[CEA 21] (noblesse probablement antérieure[Foras 63]).

Originaire du Petit Bugey[Foras 63],[CEA 21]. Seigneur en Petit-Bugey, en Forez, en Valromey[Foras 63].

  Famille de Crans

De gueules à trois losanges d'argent.[Foras 64]

Fin du XIVe siècle — Filiation prouvée entre 1451 et 1650 — Probablement éteinte au cours du XVIIIe siècle[Foras 64].

Originaire probablement du village de Cran, dans la banlieue d'Annecy (comté de Genève). Seigneurs de Bausse et Méral. Possédaient une maison forte à Annecy et une autre à Passy[Foras 64].

  Famille de Crescherel ou Crécherel

D'azur, au rencontre de cerf d'or.[Foras 65]

Mentionnée vers la fin XIVe siècle[Foras 65].

Originaire peut être d'Angleterre[64], mentionnée la première fois en 1391 à Ugine[Foras 65] (Maison-forte de Crescherel)[64]. Seigneurs de Crescherel, Cevins, Saint-Laurent-de-la-Côte, Marthod, Thénézol-en-Tarentaise, des Déserts[Foras 65].

  Famille de Cuines ouCuynes (de) (de Cuynâ)

D'or au lion de sable armé et lampassé de gueules, à la bande du même brochant chargée de trois étoiles d'argent.[Foras 66],[65]

Devise : J'attends fortune[65].

Mentionnée dès le XIIe siècle — Éteinte vers le XIVe siècle (1620)[Foras 66].

Originaire de Maurienne. Seigneur de Ribaud (Ribod, Rubaud ou encore Rubeaud), à Coise (le château est leur résidence principale)[Foras 66]. Possessions à Saint-Rémy, La Chapelle, Saint-Léher, Coise[66].

Accès direct dans l’index alphabétique :
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise Période, possessions
  Famille Delachenal, Lachenal (de) ou La Chenal (de)

D'or à un chevron raccourci d'azur, accompagné de trois étoiles de gueules, et à la champagne d'une rivière d'azur chargée d'un cygne d'argent.[67]

Anoblie le [67].

Originaire d'Ugine, famille de notables[67]. Obtention du titre de comte d'Outrechaise, pour l'une des branches, avec érection en comté du fief par achat[67].

    Famille de Dérée ou Hérée (d')

D'or, au chevron d'azur. ou D'azur, au chevron d'or.[Foras 67]

Mentionnée noble vers le milieu du XIVe siècle — Éteinte au milieu du XVIe siècle[Foras 67].

Originaire de Dhéré (Duingt, comté de Genève), petite noblesse, vassale des Duyn. Seigneur de Boissy, Bressieux, Dhéré, Noyret ; conseigneur de la Val de Clets[Foras 67]. Les biens passent aux Sales et aux Clermont-Mont-Saint-Jean.

    Famille de Duin ou Duyn (de)

De gueules à deux bars adossés d'argent., puis D'or à la croix de gueules.[Foras 68]

branche
  • Duin (de) La Val d'Isère, avec l'union à la famille Mareschal donne les Mareschal-Duin (de) La Val d'Isère ou Duyn Maréchal, portant écartelé 1 et 4 d'or à la croix de gueules, écartelé 1 et 3 d'or, à la bande d'or, chargée de trois coquilles d'argent.[Foras 69]
Mentionnée dès le XIIe siècle — Éteinte vers 1530[Foras 68].

Originaire de Duyn (Duingt) (Comté de Genève). Seigneurs puis barons de Val-d'Isère et de Sainte-Hélène par mariage (v.1310), vicomtes de Tarantaise et de la Val-d'Isère (jusqu'au XVIIe siècle). Seigneurs en Genevois et en Savoie[Foras 68]. Une partie des biens passe à leurs cousins de La Forest.

Accès direct dans l’index alphabétique :
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise Période, possessions
  Maison de Faucigny

Palé d'or et de gueules de six pièces.[Borel 8],[Foras 70]
Variantes : trois pals. ou trois pals billetés.[Foras 70]

Branches
  •    Faucigny-Lucinge (XIIe siècle) : Parti, au premier palé d'or et de gueules (Faucigny), au deuxième parti, d'argent, à trois bandes de gueules (Lucinge).[CEA 22] ou Écartelé en 1 et 4 palé d'or et de gueules de six pièces et en 2 et 3 d'argent, à trois bandes de gueules.

Couronne de prince
Tenants : deux sauvages d'or.
Cimier : Un bras brandissant une épée d'argent.
Devise : Usque Quo.[CEA 22]

    •  Faucigny-Lucinge, branche de Vevey : De sinople à trois bandes d'argent.
    •  Faucigny-Lucinge, branche de Marlioz : Bandé d'argent et de gueules, la première bande de gueules chargée d'une étoile à huit branches de sable en chef.
  • Faucigny-Vozerier
  • Faucigny-Châtillon
  • Faucigny-Grésy ou Greysier (Grésier)
Fin du XIe siècle — Éteinte au XIIIe siècle[Foras 70]
— Branche détachée des Faucigny-Lucinge (XIIe siècle), vers XVIIIe siècle[CEA 22].

Originaire de Faucigny[Foras 70] (possessions : consulter l'article principal).

  Famille de La Faverge (de Fabricis)[Note 3]

D'azur à la croix d'or chargée d'une croix de gueules cantonnée de deux ancres aussi d'or aux 1er et 2e et de deux calices du même aux 3e et 4e.[Foras 71]
On trouve aussi la croix fichée; la croix de gueules bordée d'or; les ancres d'argent, cantonnant aux 1er et 4eetc.

Branches
  • La Faverge de Montpon
  • La Faverge de Cormand
  • La Faverge de Bévy
Anoblie vers le XVIe siècle — Branche aînée éteinte vers le XVIIIe siècle[Foras 71],[CEA 23] — Branche La Faverge de Bévy subsistante en 2020[55].

Originaire du Genève, fuyant le calvinisme. Seigneurs de Cormand et de Montpon[Foras 71].

  Famille Favier du Noyer (Favier Dunoyer), puis Favier du Noyer de Lescheraine (1864)

P. de gueules à la grue d'argent tenant sa vigilance de même, au chef d'azur chargé de trois bandes ondées du second ou de gueules à une grue d'argent dans sa vigilance d'or, au chef d'azur chargé de trois bandes ondées d'argent.[Foras 72],[CEA 24]

Attestée depuis le XVe siècle — Anoblie le (Sénat de Savoie)[Foras 72],[CEA 24]. Subsistante en 2020[55].

Originaire de Curienne (Bauges), issue d'une famille paysanne ayant accédé à la magistrature, puis la noblesse de robe[Foras 72]. Barons du Noyer, du Châtel-sur-Conflans, seigneurs d'Alex, Chezenay, Minjoux, de La Biguerne et Saint-Maurice-de-Rotherens ; marquis de Lescheraine[Foras 72]. Héritière du dernier membre de la famille de Lescheraine (1825), les membres de la famille sont autorisés à ajouter à leur nom celui de Lescheraine (Décret impérial no 12.149 en date du )[Borel 9].

  Famille Favre

D'argent, au chevron d'azur, accompagné de trois têtes de Maure tortillées d'argent.[Borel 10],[Foras 73],[CEA 25]

Couronne de comte[CEA 25]
Supports : un lion à dextre et une licorne à sènestre[CEA 25]
Devise : Fermeté[Foras 73],[CEA 25]

Branches[Foras 73],[CEA 25]
  • branche bressane (aînée) :
    • Favre de Meximieux (Éteinte)
  • branche savoyarde :
  • branche lyonnaise : de gueules à un chevron d'or accompagné en chef de deux trèfles et en pointe d'un besant de même.[CEA 25]
Mentionnée au XIVe siècle (bourgeoisie de Meximieux) — Filiation fin du XIVe siècle — Anoblie au XVIe siècle — Branches bressanes et savoyardes éteintes[Foras 73],[CEA 25].

Originaire de Meximieux (Bresse), dont des branches installées à Meximieux, Chambéry et Lyon[Foras 73],[CEA 25]. Juristes qui achètent la maison des Charmettes en 1596, obtenant ainsi un titre honorifique. Comtes (obtenu en 1670 et érigé en comté en 1680) de Chanaz ; barons d'Aiguebellette, d'Arenthon, de Domessin, de Pérouges (Péroge, 1587) ; Seigneurs des Charmettes, de Bettonet, Félicia, La Valbonne (Lavalbonne), /Pérouges, Premery, St. Étienne, Vaugelas (Vaugelaz), Villaret, Yvoire[Foras 73].

 
Famille Fernex de Mongex (Montgey)

Parti d'argent à un lion de gueules, couronné d'or, et d'azur à deux lances d'argent en sautoir accompagnées de quatre étoiles de même, deux en pal et deux en flanc.[Foras 74],[CEA 26]

Comte par L.P. (1824)[Foras 74],[CEA 26] — Subsistante en Subsistante en 2024[9].

Originaire de Mégevette, famille bourgeoise de Thonon (XVIIe siècle), « adonnée au notariat et à la magistrature »[Foras 74].

    Famille de Féterne

De gueules au lion d'or. ou D'or au lion de gueules.[68]
Foras mentionne les deux blasons, mais souligne qu'il n'existe aucune preuve de leur usage[Foras 75].

Mentionnée vers le Xe siècle — Branche principale éteinte au XIIe siècle — Poursuite avec les vidomnes de Féternes jusqu'au XIVe siècle[69].

Originaire du val d'Abondance (Chablais). Seigneurs de Bons, Brens, Conflans, Doussard, Évian, Excevenex, Féterne, Margencel, Marin, Notre Dame d'Abondance, Tournon. Au XIIIe siècle, les terres passent sous le contrôle de la Maison de Savoie[69]. Les Compois de Féterne semblent avoir succédé en partie à cette famille[Foras 75].

  Famille de La Fléchère

D'azur, au sautoir d'or, cantonné de quatre aiglettes d'argent.[Borel 10],[Foras 76],[CEA 27].

Plusieurs branches en Savoie et canton de Vaud.

Mentionnée dès le début XIIIe siècle — filiation prouvée depuis 1370[Foras 76].

Seigneurs de Beauregard, originaire d'Écosse, branche des Fletcher. Comtes d'Alex, la Flechère, Veyrier-Châtillon (1654) ; seigneurs en Genevois[Foras 76].

  Famille de Foras

D'or, à la croix d'azur.[Borel 10],[Foras 77],[CEA 28],[Jougla 3].

Couronne de Comte
Supports : deux griffons de sable
Cimier : une aigle de sable
Devise : In cœlesti fortitudine (« En la force céleste ») et Intus et foras undique crucis amor (« Dedans et dehors toujours l'amour de la croix »)[Foras 77],[CEA 28],[70].

Branche cadette
  • Bourgneuf de Balleyson
Mentionnée dès le XIIIe siècle[Foras 77] — ses membres sont dits comtes de Foras à partir du XVIIIe siècle, inscription dans l'Etat de la noblesse de Savoie en 1700 (AR), confirmation du titre par L.P. du roi d’Italie en 1890[Note 4]. Subsistante en 2020[55].

Originaire du château de Foras, au Bourgneuf, près Douvaine Chablais. Comte de Foras ; Seigneur de Beauregard, Bourgneuf, Bottolier, Chanaz, Chesabois, Chilly, Foncenex et Foras d'Amont, Montocornu, Murs, Mussel, Thuyset[Foras 77].

  Famille de La Forest Divonne

De sinople à la bande d'or frettée de gueules.[Borel 11],[Foras 78],[CEA 29],[Jougla 4]

Couronne ducale
Cimier : une aigle éployée de sable, couronnée d'or.
Supports : deux lions
Devise : Tout à travers
La branche aînée enveloppe son écusson d'un manteau de pair de France[Foras 78].

Patronyme La Forest mentionné depuis le XIIIe siècle sans preuves de rattachement — Filiation prouvée depuis le XIVe siècle[CEA 29],[Jougla 4].

Originaire du Petit-Bugey. Comte de La Barre, La Croix St. Alban, Verel et Dulin, La Forest ; seigneur en Savoie et Genevois[Foras 78]. Noblesse de France 1650. Pair de France (1827), majorat de pairie au titre de baron-pair (1829)[CEA 29].

  Famille de La Frasse (de Fragia, Fracia ou Fraxia)

D'or à l'ours rampant de sable/[Foras 79]
Variantes : d'argent à l'ours rampant de sable contre une entre alaisée de sinople, fichée sur une champagne de même ou encore d'argent au bouc de sable saillant contre une entre de sinople sur un mont d'une pointe de même.[Foras 79]

Mentionnée au XIIe siècle — Éteinte au XVIe siècle[Foras 79].

Seigneurs de La Frasse (Faucigny), de Ferney/Fernex au pays de Gex, de Mons en Sémine, coseigneurs de La Val des Clets[Foras 79].

  Famille Du Fresney (Dufresney)

Palé d'or et de gueules, à six pièces, écartelé de gueules au frêne d'or. ou p. écartelé de Faucigny et de gueules au frêne d'or qui est de Fresney.[Foras 80],[Jougla 5]

Devise (moderne) : FORT A ROMPRE[Foras 80],[Jougla 5]

Mentionnée au XIVe siècle — Éteinte[Foras 80].

Originaire du Faucigny. Reçoit du dauphin de Viennois des lettres patentes reconnaissant leur descendance de la maison de Faucigny en 1328, toutefois Amédée de Foras souligne que c'est très probablement de manière illégitime[Foras 80]. Seigneurs du Fresney, du Châtelet, Hautetour ou Aultetour (St-Gervais), Montreynaud, de la Brosse, de Laudes, Saint-Laurent-de-la-Côte, barons de Saint-Ange (héritier des Villier Saint-Ange)[Foras 80].

Accès direct dans l’index alphabétique :
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise Période, possessions
  Famille de Gantelet, de Gantelet d'Anières, puis de Gantelet d’Asnières de Veigy, de Gantelet d’Anières de Sales

De sinople, à un lion léopardé d’or, la patte dextre antérieure enfilée dans un gantelet d’argent.[Foras 81],[71]

Mentionnée à Annecy au XVIe siècle[Foras 81] — Subsistante en 2020[55].

Originaire de Hauteville-sur-Fier. Anoblissement par lettres patentes de Charles-Emmanuel Ier (1615, confirmations en 1629 et 1638). Naturalisée française par L.P. d'avril 1787, maintenue de Noblesse par L.P. du 7 septembre 1788[Foras 81].

  Famille Gay, Guex, puis Gay de Lupigny

Fascé d'or et d'azur, au chef de gueules au lion hissant d'or.[Foras 82],[72]

Mentionnée au XVe siècle.

Originaire de Genève, avant l'implantation à Vulbens (Genevois) dès 1450. Famille notariale, au début du XVIIe siècle. Anoblissement par lettres patentes de Victor-Amédée II (). Baron de Lupigny (août 1776, commune de Boussy)[73].

  Famille de Gemilly, Gimilly ou Jumilly (latin De Gimilliaco)

Losangé d'argent et de sable.[Foras 83]

Mentionnée dès le XIIIe siècle — Éteinte au XVIe siècle (Foras)[Foras 83] ou vers la fin du XVIIe siècle[74].

Originaire de Gémilly (hameau de Mercury, Savoie Propre). Coseigneurs de Marthod, Cornillon et de La Val des Clets[Foras 83].

    Maison de Genève (Géroldiens, comte de Genève)

D'argent à la bande d'azur accompagnée de deux lions du même. (Genève ancien, v. 1127)
D'or à quatre points équipolés d'azur. (Genève moderne, vers 1280)[Foras 84]

Branches
  • de Gex ou Genève-Gex (XIIIe siècle-XIVe siècle).
  • de Genève, Marquis de Lullin  
  • Branche de Genève-Lullin   à la cotice de gueules brochant.[Foras 85],[Jougla 6].
    • Devise : APTE NON ARCTE (« Justement mais non étroitement. »).
  • Branche de Genève-Boringe   à la cotice de sable brochant.[Foras 86]
  • Branche de Genève-Montagny  Ecartelé de Genève et Montagny.
Mentionnée au début du XIe siècle — Branche aînée éteinte en 1394, les droits passent à des cousins, comté est acheté par la maison de Savoie — Maintien des branches cadettes seigneurs d'Anthon, Lullin, Varey, etc.[Foras 84].

Originaire du Comté de Genève[Foras 84]. (possessions : consulter l'article principal).

  Famille Gerbais de Sonnaz, parfois Gerbaix

D'azur, au chef d'argent chargé de trois étoiles de gueules.[Borel 12],[Foras 87],[Jougla 7]

Cimier : une tête de chien de gueules.
Devise : "SI N'ESTOIT"[Foras 87] ou "RELIGIO PATRIAE"[Jougla 7].

La branche, devenue aînée au XVe siècle, écratèle de Châtillon ( aux deux et trois d'argent à la croix de gueules.). Plus tard, écartèle d'Alby ( losangé d'argent et de gueules.), puis : Ecartelé de Châtillon et d'Alby et sur le tout de Gerbais.

  • Gerbais-Sonnaz d'Habères (branche cadette) : Ecartelé de Gerbais et de Châtillon.  
Mentionnée au XIIIe siècle[Foras 87].

Originaire de Belley (Bugey)[Foras 87]. (possessions : consulter l'article principal).

  Famille Gex ou Gex (de), olim Jai/Jay

D'azur au lion d'or lampassé de gueules, à la fasce de même chargée de trois roses d'argent brochant sur le tout.[Foras 88]

Anoblie en 1563[Foras 88],[75] — Éteinte au XVIIIe siècle.

Originaire du Faucigny. Le châtelain Charles Jay, châtelain de Samoëns, achète une terre aux Lucinge. Anobli par patentes le , prenant le nom de Gex, seigneur de Vallon[Foras 88],[75],[76]. Comte de Taninges ; baron de Saint Christophe (1622) ; seigneur de Arbusigny, Montfort ; coseigneur de Cluses, Nernier (Faucigny)[Foras 88].

  Famille de Gilly

D'or à trois fasces de gueules à la bande d'argent, brochant sur le tout, chargée de trois corneilles de sable.[77],[Foras 89],[Jougla 8]

XIIe – XVIe siècle av. J.-C.[78].

Barons de Gilly ; seigneurs de Rochefort, Villarayon ; coseigneurs de Cons-Sainte-Colombe, Marthod et Cornillon[Foras 89].

  Famille de Gingins

D'argent semé de billettes de sable, au lion naissant du même brochant.[Foras 90],[Jougla 9]

Apparue vers le XIIe siècle — Éteinte en 1911[79].

Branche colatérale de la famille de Divonne[79] (Pays de Vaud). Baron Divonne (avec une partie du pays de Gex - Savoie)[79],[Foras 90].

  Maison de Grailly (Grilly)

D’or, à une croix de sable chargée de cinq coquilles d’argent.[Foras 91],[Jougla 10]

Branches
  • Grailly-Villagrand
  • Grailly-Veigy (Grailly-Villagrand-Veigy[Foras 91]), qui porte brisé d'argent à la croix de sable chargée de cinq coquilles d'or.[Foras 91]
  • Grailly-Foix
Attestée vers 1120[80].

Originaire du village de Grilly (Pays de Gex, comté de Genève)[80]. Implantée en Gex, Savoie, puis Guyenne et Gascogne à partir du XIIIe siècle, dont les comtes de Foix (Captal de Buch)[Foras 91],[Jougla 10].

  Famille Greyfié de Bellecombe.

D'or à l'ente (ou greffe) sur une tige de sinople.[Foras 92],[Jougla 11]

Mentionnée vers la fin du XVe siècle — Anoblie en 1737[Foras 92]. Subsistante en 2020[55].

Originaire d'Annecy, puis installation en Tarentaise[81]. Anobissement par charge en 1737, titre de comte en 1825[Foras 92].

  Famille de Greysier ou Grésy (de)

Palé d'or et de gueules de six pièces, (à la fasce d'argent).[Foras 93]

Apparue vers le XIIe siècle — Probable branche cadette de la maison de Faucigny[82],[Foras 93],[Foras 94].

Originaire du Faucigny, seigneurs de Grésy (Grésy-sur-Aix, près d'Aix-les-Bains, en Pays de l'Albanais). Seigneurs de La Balme-de-Sillingy, La Chambre, Châteauneuf, Choisy, Chuyt, Compois, Cusy, Greysier et Cessens, Montaimont, Montrottier, Sacconex[Foras 93],[Foras 94].

    Famille de Grolée

Gironnée d'or et de sable de huit pièces. (en Bugey — Dauphiné)[Foras 95],[Jougla 12],[83]

Devise : Je suis Grolée[Jougla 12]

Branches cadettes
  • Grolée-Meuillon, Mévillon ou Mévouillon, qui porte Gironnée d'argent et de sable de huit pièces.[83]
  • Grolée, branche de Viriville (comtes et marquis), qui porte Gironné d'argent et de gueules et une couronne d'or en abîme.[Jougla 12],[83]
Vers 1180 — Éteinte vers le XVIIe siècle[Foras 95],[83].

Originaire du Bugey, installée en Dauphiné[Foras 95],[83]. (possessions : consulter l'article principal).

  Famille Guillet de Monthoux(olim, Mayor ou Majours)

D'azur à trois mufles de léopards d'or, couronnés d'argent.[Foras 96],[84],[Jougla 13]

Ne pas confondre avec les familles de Monthoux (Genevois, voir ci-après) et Montou (Savoie) ou la famille homonyme dauphinoise : d'azur, à trois têtes de léopards arrachées et couronnées de 3 pointes d'argent.[85].

Filiation des Mayor depuis 1290, sept générations, avant le changement de nom (selon Guichenon)[Foras 96] — filiation prouvée de la seconde famille de Guillet depuis 1500 (selon Foras)[Foras 96] — preuves en 1780[Foras 96] — Éteinte au XIXe siècle[84].

Originaire de Crans, près de Nyons (canton de Vaud)[Foras 96],[86]. Elle portait le nom de Mayor avant que François Majour ou Mayor « quitte ce nom pour prendre celui de sa mère, fille et héritière de noble Jean Guillet, seigneur d'un maison forte rentée de ce nom »[Foras 96]. Transportée à Genève et à Thonon, puis Annemasse[Foras 96]. Achat de la baronnie de Monthoux (1532)[86],[87].
Seigneurs puis barons de Monthoux (1532)[Foras 96]. Barons de Marcossey[86], de Sénoches. Seigneurs d'Annemasse, Balmont, Collonges, Draillant, Pougny, Vétraz. Coseigneurs de Ville-la-Grand[84]. Voir aussi le château des Guillet-Monthoux à Thonon[Foras 96].

Accès direct dans l’index alphabétique :
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise Période, possessions
  Famille d'Hauteville ou d'Auteville

Palé d'argent et de gueules de huit pièces.[Foras 97]

  •   Palé d'argent et de gueules de huit pièces, à la fasce d'azur, brochant sur le tout.[Borel 2]
Vers le XIIe siècle-fin du XVe siècle[Foras 97].

Originaire du comté de Genève. Seigneurs et coseigneurs d'Hauteville, Creste (Crête, commune de Versonnex)[Foras 97], vidomne de Genève au XIIIe siècle[88],[89]

  Famille d'Humilly (parfois du Milly)

De sable, au cerf d'or passant.[Foras 98].

Devise : HUMILIS CORDE (« de cœur humble »). Cette devise est donné par Foras qui précise « à titre de fantaisie héraldique, sans autre autorité »[Foras 98].

Noble vers 1337, maintenue en 1566[Foras 98]. Humilly de Chevilly et de Serraval subsistante en 2020[55].

Originaire du hameau de Chevilly à Viry (Comté de Genève). Seigneurs de Chevilly (maison-forte), Germagny (Viry), co-seigneurs de Serraval et de la Val des Clets[Foras 98].

  Famille de Juge (de Pieuillet)

D'azur à trois roses d'or. (Champaneis, comte palatin, en 1498)[Foras 99],[90].

Serait identique à la famille de Juges, de Lyon, selon l'historien et généalogiste suisse Galiffe[91].

  • d'azur au sautoir d'or chargé de cinq roses de gueules., selon Besson[Foras 99].
Branches
  • les seigneurs de Candie auraient porté d'azur au sautoir d'or chargé de cinq roses de gueules. (selon Foras)[Foras 99]
  • les seigneurs de Pieuillet.
Anoblie en 1498, réhabilitation de noblesse le , preuves en 1723[Foras 99]. Subsistante en Subsistante en 2024[9].

Originaire de Rumilly (Genevois), famille bourgeoise, anoblie par LP ()[Foras 99],[90]. Accord ducal de lettres d'ancienne noblesse (1598)[90]. Seigneur de Pieuillet (Marcellaz-Albanais) et de Candie[Foras 99].

Accès direct dans l’index alphabétique :
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise Période, possessions
  Famille de Langin

D'azur à la tour d'or avec un pan de mur de même senestre.[Foras 100],[92]

Apparaît vers le XIIe siècle (1113)[93]. Vassaux de la maison de Faucigny, puis en 1179 des comtes de Genève[93]. Passe à la maison d'Allinges par mariage en 1509[94].

Seigneurs de Ballaison, Bardennuche, Brens, Bons, Buffavent, Cholex, Collonges, Dingy-Saint-Clair, Greysier, Langin (Tour de Langin), Mieussy, Veigy, Verrières, Vigny, (Chablais)[Foras 100].

  Famille Le Blanc de Cernex

Parti en bande d'argent et de gueules au cygne du premier membré d'or sur le champ de gueules grimpant contremont à dextre les aisles estendues.[Foras 101]

Foras précise « il n'est pas surprenant, avec une description aussi peu claire, que les non initiés l'aient mal comprise ; ainsi un vieux cachet de famille porte : tranché de gueules et d'azur (où avait-on pu trouver cet émail ?) à la cotice d'argent br. s. 1. t. supportant un cigne grimpant (à dextre du spectateur, c'est-à-dire) à senestre. »[Foras 101]

Cimier : Un cigne de même (autant que cela est possible)[Foras 101].
Devise : DOCE ME VOL VNTATEM TVAM[Foras 101].

Anoblie en 1572[Foras 101].

Originaire de La Rochette (Savoie). Acquisition de Cernex par mariage, en 1813[Foras 101].

  Famille de Lescheraine

D’azur à la bande écotée d’or (ou d'argent).[Foras 102],[Borel 11],[95]

Couronne : de marquis
Cimier : Selon les versions courantes, présentées par Foras, une Vérité de carnation à double queue, tenant de la main dextre un miroir et de la senestre une banderolle avec la devise, écaillée de sinople en feuilles de coudrier.[Foras 102]. Pour le comte, ce dernier attribut n'a pu être ajouté que par les nobles de Coudrey, héritiers des Lescheraine. Pour Seyssel-Cressieu : écaillée de sinople en feuilles de coudrier ou Une sirène à double queue, de carnation, tenant à la main dextre un miroir.[95]
Supports : deux sirènes à double queue[Foras 102],[95]
Devise : Sine macula (sans tache)[Foras 102],[95].

Apparaît vers le XIIIe siècle[95]. Disparition au XIXe siècle.

Originaire des Bauges (Comté de Savoie). Marquis de Bauges/Lescheraines (1682)[96] ; comtes de Leschaux, Vinadio et Sambuco ; seigneurs de Les Allues, La Charnée, La Compôte, Pertengo[Foras 102].

  Famille de Livron (de Lyvron)

de gueules à la bande d'argent accostée de deux cotices de même.[97]

Cimier : Un dextrochère armé d'or, tenant horizontalement, comme pour parer, un cimeterre d'argent à ta garde d'or.[97] Supports : Deux lions contournés[97]

Ne pas confondre avec les Livron de Bourbonne (Dauphiné, puis Champagne, Lorraine).

XIIIe siècle[97],[Foras 103].

Originaire du Pays de Gex, château dit la Molle, le Molard ou la Molière de Livron (Collonges)[97],[Foras 103]. Implantée en France, en Savoie, en Pays de Vaud, Neuchâtel et Genève[97].

  Famille de Loche

Partie de gueule à trois glands d'or au chef d'argent et au croissant montant d'azur.[Foras 104]

Apparaît vers le XIVe siècle.

Originaire de Magland (comté de Genève)[98], lignée de notaires. Comtes de Vanzy ; barons de Saint Martin ; seigneurs de Châtel, Fléchère (Vanzy) ; conseigneurs de Bozel, Servoz[Foras 104],[98].

  Famille de Luciane

D'or à deux brochets adossés, d'azur.[Foras 105]

À partir du XIIIe siècle[Foras 105].

Originaire de Maurienne. Possessionnée à Saint-Martin-de-la-Porte. Nom et armes passent en 1479 à un membre de la famille Mareschal, donnant naissance à la branche des Mareschal-Luciane[Foras 105],[99].

  Famille de Lucinge

D'argent, à trois bandes de gueules.[Foras 70],[Foras 106],[Borel 13]

Devise: USQUE QUO (Jusque là)

À partir du XIIe siècle[Foras 70].

Famille dont le nom et les droits passent, par héritage, à une branche cadette de la maison de Faucigny, les Faucigny-Lucinge[Foras 107],[82]. Sénéchaux de Faucignyetc.[Foras 70].

  Famille de Luyrieu(x)

D'or au chevron de sable.[Foras 108],[100].

Cimier : un dragon d'or clariné d'argent.
Supports : deux anges au naturel.
Devise: Belle sans blasme/blâme[101].

Apparaît vers le XIIe siècle.

Originaires de Belley (Bugey). Possessions en Bugey et en Savoie[Foras 108].

Accès direct dans l’index alphabétique :
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise Période, possessions
  Famille de Machard

D'argent à trois pals de gueule au chef d'azur chargé de deux lions issants affrontés d'or.[Foras 109]

Branches cadettes[102]
  • Machard de Chillaz
  • Machard de Chassey
Anoblie par lettres patentes le [102],[103]. Subsistante

Seigneurs de Chassey (Fillinges)[102], de Chillaz (Fillinges)[102], Loëx, de Pierre, coseigneurs du Val de Bozel[Foras 109].

  Famille Maillard de Tournon, Maillard olim Perrin (ou inversement) ou encore Perrin-Maillard

D'azur, à un oiseau d'argent, becqué et membré de gueules, posé en bande.[Foras 110],[Borel 14]

Mentionnée au XIVe siècle. Qualifiée de noble après le XVIe siècle[Foras 110].

Originaire de Rumilly, famille bourgeoise (Genevois). Marquis de Saint-Damien et Pallières en Piémont, d'Alby, comtes de Tournon, barons du Bouchet et de Chevron en Savoie[Foras 110]. Les aînés sont marquis d'Alby (1681), comte (1569), puis marquis de Tournon[104].

  Famille de Maistre

D'azur, à trois soucis tigés et feuillés d'or. (alias trois tulipes)[Foras 111],[Borel 14]

Devise: Fors l'honneur, nul souci[Borel 14]. Couronne de comte

Apparue en Savoie au XVIIIe siècle. Une branche savoisienne, anoblissement par charge (1740), comte (1778), et une autre piémontaise. Subsistante en Subsistante en 2024[9].

Originaire du comté de Nice[Foras 111]. (possessions : consulter l'article principal)

  Famille de Marcossey, olim Fornier/Fournier de Marcossey (Marcossay)

D'azur au lévrier d'argent accolé de gueules.[Foras 112],[105]

Foras : « Marcossey de Viuz-en-Sallaz, dont le véritable nom est Fornier et originaire de Cluses », probable origine, selon les armes que leur attribuent Besson, avec les Fornier/Fournier de Thônes[Foras 112].

branches[105]
  • Marcossey de Scionzier (Miossinge)
  • Marcossey de Viuz
Vers XIVe siècle[105]

Originaire de Cluses (Faucigny). Seigneurs de Miossinge (Myozinge, Scionzier, Faucigny), Marcossey (Viuz-en-Sallaz, Faucigny), de Mussel (Scionzier)[105]. Jean de Marcossey : seigneur de Goint, Essey, Passavant, baron de Saint-Georges d'Haussonville en Lorraine, comte (1618)[105]

  Famille Mareschal (Maréchal) parfois Mareschal de Montmélian

D'or, à la bande de gueules, chargée de trois coquilles d'argent.[Foras 69],[Borel 14]

Devise : PORTANTUR STEMMATA COELO et ASSEZ À TEMPS[106].

Branches[Foras 69]
  • Mareschal-Meximieux : D'or à la bande de gueules, accompagné de six coquilles du même rangées en orle. (éteinte au XVIe siècle dans la famille de Seyssel)
  • Mareschal de Saint Michel de Maurienne dont les branches :
    •   Mareschal (de) Duyn (de) La Val d'Isère : Écartelé 1 et 4 d'or à la croix de gueules (de Duyn), 2 et 3 d'or, à la bande de gueules, chargée de trois coquilles d'argent (de Mareschal). (voir ci-dessus) dont :
      • Marquis de Marclaz
    • Maréchal de Saumont
  •   Maréchal-Luciane : Écartelé 1 et 4 d'or à la bande de gueules, chargée de trois coquilles d'argent (de Mareschal), 2 et 3 d'or à deux brochets adossés, d'azur (de Luciane).
Apparue vers la fin du XIIe siècle (Premiers maréchaux de Savoie)[Foras 69]. Éteinte en ligne masculine. Branche en ligne féminine des Mareschal de Luciane, subsistante en 2020[55].

Originaire de Montmélian (?). Marquis de Marclaz (1671). Comtes de Somont/Saumont, de la Val-d'Isère (obtenu en 1540, érigée en baronnie en 1617)[107] ; vicomtes de Tarantaise (1540), etc.[Foras 69].

  Famille de Mareste

D'azur à deux fasces d'argent et à la bande de gueules brochant sur le tout.[Foras 113],[Borel 14].

Devise: À la gloire marche, à Dieu seul je m'arreste ou À Dieu seul je m'arreste.

Apparu vers…

Originaire de Chautagne. Marquis de Lucey (1654), Saint-Agneux (1684) ; Comtes de Rochefort ; barons de Champroventetc.[Foras 113].

    Famille de Martin, ou Martin du Fresnoy (parfois Dufresnoy)

D'or au sautoir de sable. ou D'argent au sautoir d'azur.[Foras 114]

Mentionnée en 1228[Jougla 14].

Marquis de Cluses (1699)[Foras 114] ; Seigneur de Blanzy, de Chuyt, de Clartans, de Compois, d'Ezery, de Loysin, de Mussel, de La Perouse, de Pormonay, de Symond ; coseigneur de Montvuagnard, de la Vallée de Bozel[Foras 114].

  Famille de Martin-Salière d'Arve

D'argent semé de myosotis d'azur tigées de sinople, boutonnées de gueules.[Foras 114],[108]
Écartelé aux 1 et 4 tranché de gueules sur or à la râtelle/rastelle [colonne vertébrale] de poisson posée en bande de l'un en l'autre (qui est d'Arves) ; aux 2 et 3 de gueules à la salière d'or, au chef d'azur chargé de deux étoiles d'argent (qui est de Salière) ; en abyme et sur le tout d'argent semé de myosotis sans nombre, feuilles de synople, fleuris d'azur, boutonnés de gueules. (XIXe siècle)[109]

Héritage par mariage en 1604, des noms, biens et titre des Salière d'Arve[110],[111]. La famille d'Arve avait déjà relevé les Salière[112].

  • Famille d'Arves : tranché de gueules sur or à la ratelle de poisson posée en bande de l'un en l'autre.
  • famille Salières(Sallières, Sallière) portait de gueules à la salière d'or, au chef d'azur chargé de deux étoiles d'argent.

Devise : Armatos vinco[108].

Branches[110]
  • La Chambre ;
  • Lachenal.
Anoblie en 1517[110],[113]. Dernier représentant mort en 1940[114].

Originaires de La Sausse à Saint-Colomban (Maurienne)[110]. Comtes de Cuines et Villards (1699)[115] ; barons de Sainte-Marie-de-Cuynes ; seigneurs de Combefort, Le Pontet, Ribaud.

Me à Mi

modifier
Accès direct dans l’index alphabétique :
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise Période, possessions
  Maison de Menthon

De gueules, au lion d'argent, à la bande d'azur, brochant sur le tout.[Foras 115],[Borel 14]

Devise : Partout Menthon, toujours Menthon[116]

Branches[Foras 115]
  • Menthon-La Balme De gueules, au lion d'argent, à la bande d'azur, brochant sur le tout, chargeant la bande d'une coquille d'argent mise en chef pour brisure.
  • Menthon-Beaumont
  • Menthon-Lornay : De gueules, au lion d'argent, à la bande d'azur, brochant sur le tout, chargeant la bande d'une rose d'or mise en chef pour brisure.
  • Menthon-Marest
  • Menthon-Montrottier
  • Menthon-Rochefort
Apparue vers le Xe siècle[Foras 115]. Menthon d’Aviernoz branche subsistante en Subsistante en 2024[9].

Originaire de Menthon (comté de Genève). Comtes de Menthon, d'Aviernoz et de la Grimottière (1699)[Foras 115]. (possessions : consulter l'article principal).

  Famille de Menthonay, Menthonnay ou Menthonay de la Tour

De gueules au sautoir d'argent cantonné de quatre coquilles du même.[Foras 116]

Originaire de Menthonnex (comté de Genève). Seigneurs des châteaux de Truchet et de la Petite-Balme à Sillingy[Foras 116].
dont : Jacques (cardinal), Guillaume (évêque de Lausanne)
  Famille de Metral de Châtillon

D’azur à trois bandes d’or au chef d’argent chargé de trois étoiles (ou molettes) d’azur.[117]

XVIe siècle — Eteinte avec la mort de Joseph-Joachim-Xavier Métral en 1794[117].

Originaire du Chablais[117]. Marquis de Chignin (1779, par achat), de Thônes (1744, par mariage)[117] ; seigneurs de Châtillon, Cruseilles, Épagny, Gruffy, Maugny, Monêtier, Mornex, Notre-Dame-de-Briançon, Pallud, Rumilly ; coseigneurs de Mons, Montjoye, Thollon.

  Famille Michaud

Tranché d’or au lion de sable, armé et lampassé de gueules, brandissant une épée d’argent et au 2 par une ligne canelé de 14 pièces de gueules à 2 bandes d’argent.[Foras 117]

Anoblissements par LP et [Foras 117]. Subsistante en Subsistante en 2024[9].

Originaire de Mognard (Pays de l'Albanais).

    Famille Milliet

D'azur au chevron d'or, chargé d'un chevron de gueules, accompagné de trois étoiles d'or deux en chef, et une en pointe.[Foras 118],[118]

Écartelé, aux 1er et 4e d'argent, à deux lions issans de sinople, armés et lampassés d'or, à la fasce de gueules côtoyée de deux filets de même ; aux 2e et 3e de gueules, à la bande d'argent, accompagnée de deux cotices de même ; sur le tout d'azur, au chevron d'or, vuidé de gueules, accompagné de trois étoiles d'or, à une hydre issant, à trois têtes de sinople, couronné et langué de gueules, posé en chef.[118]
Note: « Vuidé » (=vidé) est ici fautif. le chevron est en fait « rempli » de gueules.

Supports : deux griffons de sinople
Cimier : trois têtes d'hydre
Devise : Vigili prudentia servor.

Remonterait au XIIIe siècle — anoblie au XVIe siècle. Milliet de Faverges et de Challes subsistante en 2024[9].

Originaire de Genève. Marquis d'Arvillard (1678), de Challes (1669), de Faverges (1644) ; comtes de Sacconex ; seigneurs en Genevois et Savoie[Foras 118].

    Maison de Miolans

Bandé d'or et de gueules ou Bandé de gueules et d'or de six pièces.[Foras 119],[118]

Devise : Force m'est.[119]

Branches cadettes
  • Miolans-Urtières : barré d'or et de gueule à la bande de losanges accolés de l'un en l'autre.[Foras 120],[120]
Apparue vers le XIe siècle — Éteinte en 1523[121].

Comtes de Montmayeur ; vicomtes d'Aiguebellette, de Maurienne ; barons de Cusy, Hermance, Montfalcon[Foras 119].

Mo à N

modifier
Accès direct dans l’index alphabétique :
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise Période, possessions
Famille Monon, alias Perrin dit Monon

D'azur, à un oiseau d'argent, becqué et membré de gueules, posé en bande.[Foras 121],[Foras 122]

Selon Foras, la famille serait « presque certainement de la même souche que les Perrin dit Maillard »[Foras 121] (cf. Maillard de Tournon ci-dessus).

Anoblie en 1424 par L.P.[Foras 121],[Foras 122] — Fin XVIe siècle[Foras 121].

Originaire de Rumilly[Foras 122].

  Famille de Montbel

D'or, au lion de sable, armé et lampassé de gueules, à la bande componée d'hermine et de gueules de six pièces (brochante sur le tout).[Foras 123],[Borel 15].

Remonterait au XIe siècle, attestée au XIIe siècle.

Originaire du comté de Savoie. Seigneurs, comtes de Montbel et de Saint-Pierre-d'Entremont. Seigneurs de Montellier, de Nattage, de Saint-Maurice et de Saint-André de Brior[Foras 123].

  Famille de Montfalcon

Aux 1 et 4 d'argent à l'aigle éployée de sable, membrée et becquée d'or; aux 2 et 3 d'hermine et de gueules.[Foras 124],[Note 5]

branches dont
  • de Flaxieu
  • Seigneurs de Cevins
  • branche genevoise
Mentionnée à la fin du XIe siècle.

Originaire de Montfalcon (Pays de l'Albanais). Comtes de Saint-Pierre-de-Soucy et de Château-Blanc[Foras 124]. (possession : consulter l'article principal).

  Famille de Montfort

D'or à trois pals d'azur.[Foras 125] ou Palé d'or et d'azur.[Borel 15]

Les armes sont semblables à celle de la famille de Ternier, dont les Montfort seraient une branche cadette[123]

Devise : Me fault tenir. ou Me faut tenir mon fort.[123]

Fin XIIIe siècle[123].

Comtes de Montfort (Comté de Genève) ; seigneurs de Boisy, La Cour[Foras 125]. Portent le titre de seigneurs de Conzié   à partir de 1546 et cela pendant 2 siècles[124],[125].

  Famille de Monthoux ou de Monthouz

D'or, au chevron de gueules.[Foras 126],[126]

Branches cadettes
  • Monthouz du Barrioz
Attestée au XIIIe siècle[127].

Originaire de Duingt[127]. Comtes du Barrioz, d'Argonay et de Saint-Martin, seigneurs de Duingt et Châteauvieux, de Leschaux, de Marcellaz, de Montagny, de Monthoux ; coseigneur de Cornillon et Marthod[Foras 126].

  Maison de Montmayeur

D'argent, à l'aigle éployée de gueules, becquée et membrée d'azur.[Foras 127]

cimier : une aigle de même
supports : deux aigles de même[128].
Devise : Unguibus et rostro (par les ongles et le bec !)[129].
Cri de guerre : A moi, Montmayeur ![130]

Apparue vers le XIIe siècle — Éteinte en 1487 — Relevée au XVe siècle par Jacques II de Montmayeur, issu d'une branche cadette installée en Tarentaise.

Peut-être issu de la branche de Briançon (Tarentaise)[129], héritière de leurs titres par mariage[131]. Comtes de Montmayeur et de Brandis ; barons de Cusy, de Villarsallet, de Bussy, de Silans et d'Hermance[Foras 127].

  Famille de Montvuagnard, Vuagnard, Montvagnard ou Vagnard (Wagnardi)

D'argent au lion de gueules, à la cotice d'or et de gueules brochante.[132],[Foras 128]

Citée en 1283 — Disparue au XVIIe siècle[133].

Seigneurs de Boëge (par mariage en 1425)[134], Lornay, château de Mécoras (Ruffieux), Château de Montfalcon, Château de Montvuagnard, Château de Pierrecharve (par mariage en 1507)[134], Rochefort, Senoches, Les Tours (Ayse, XIVe siècle)[134].

  Maison de Mouxy

Échiqueté d'or et d'azur de quatre tires.[135],[Foras 129].

Devise : Honor aut mors (Honneur ou mort) ; Pacta Tuentur (...)

Branche
  •     Maison de Mouxy de Loche : écartelé, aux 1 et 4 échiquetés d'or et d'azur de quatre traits ; aux 2 et 3 de gueules, au sautoir d'or[Borel 16].
Apparue vers le XIVe siècle.

Originaire du comté de Savoie. Marquis d'Hermance (1596) ; Comtes d'Arlod, Loche (ancienne seigneurie de Mognard, érigée en comté en 1683)[136] et Mognard ; Barons de Lupigny, Montfalcon, Montfort, St. Jeoire Seigneurs de Boussy, Cessens, Chapelle, Charosse, Châtel, Féternes, Lupigny, Mouxy, Pérouse, Planchamp, Pontchy, St. André, Thônes ; Coseigneurs de Ballaison, Clermont, Hauteville, château de Longefan[Foras 129].

  Famille Noyel de Bellegarde, parfois Noël ou Noé

D’azur, à la fasce d'or courbée rayonnante et étincelante vers la pointe, (à partir de 1540, par concession) au chef du même chargé d’une aigle à deux têtes de sable.[Foras 130]

Anoblie à la fin du XVe siècle[84],[137]. Jean Noyel, général des finances et trésorier de Savoie, petit-fils de notaire, ajoute à son nom Bellegarde à la suite de l'achat du château, en 1470[138],[139].

Originaire de Montmélian (comté de Savoie). Marquis de Cervens et Corsinge (1693), Les Marches (1682) ; comtes de Boringes, Entremont, Nangy ; seigneurs de Bellegarde, Bernex, Charmoisy, Draillant, Loys, Mieudry, Montgelaz, Saint-Cergues, Saint-Paul, Thonon, La Tour de Servette, Villarbigny ; coseigneurs de Montdragon[Foras 130].

Accès direct dans l’index alphabétique :
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise Période, possessions
 
 
Famille d'Orlier, Dorlier, d'Orlyé, d'Orlyer

D'or à l'ours de sable rampant (alias debout), langué et armé de gueules.[Foras 131],[140]

Devise : Tout par Fortune (Omni Fortuna)[Foras 131],[140]

Branche
  • Orlier de Saint-Innocent : De sable à l'ours rampant d'or.[Jougla 15]
Mentionnée au XIIIe siècle. Filiation remontant à 1344[Foras 131],[Jougla 15].

Originaire de Savoie. Barons (1662) puis marquis de Saint-Innocent (1682)[141]. (possessions : consulter l'article principal).

  Famille de La Palud, Pallud, Palu

De gueules à la croix d'hermine[Foras 132],[Borel 17].

Cimier : un ours
Devise : Mourir plutôt que se souiller (Mourir plustost que le souiller)

Branche
  • La Palud-Varembon
Première mention au XIIe siècle - Éteinte au début du XIXe siècle[142].

Originaire de la Bresse[142]. (possessions : consulter l'article principal).

  Famille de Perret, Perret d'Hauteville

D'or à la bande de sable chargée de trois dagues dont la pointe est tournée vers le cimier.[Foras 133],[143],[144]

Devise : VIRTUS ET ENSIS (La vaillance et l'épée)[143],[144]

Branche
  • Perret d'Angloz (subsistante en 2020)[55]
Anoblissement en 1626[144].

Famille bourgeoise. Achat de la seigneurie d'Hauteville (1724)[145], fait comtes de Hauteville sur Rumilly (1775)[146] ; Seigneurs de Le Mollard, Truaz ; coseigneur de La Bastie Dardel.

  Famille de Pingon

D'azur à une fasce d'or.[Foras 134] ou De geule à trois gerbes d'or.[147].

Devise : Soli Deo Gloria

Branche
  • Pingon-Cusy : d'azur à une fasce d'or, flanquée de deux pointes d'argent appointées vers la fasce. (branche cadette)[Foras 134]
Éteinte en 1819[Foras 134].

Comtes de Sallenôves (par mariage) et de Pingon ; barons de Cusy ; Seigneurs de Prémeyzel, de Prangin en Bugey, de Savigny, de Salins et de Marlioz (par mariage)[Foras 134].

  Famille Pobel

De sinople, à la bande d'or, chargée de trois coquilles de sable[Borel 18].

Apparaît vers le XVIe siècle.

Originaire de Bonneville (Faucigny). Comtes de Saint-Alban (achat du château en 1584, érigé en baronnie en 1598, puis en comté en 1608[148]) ; barons de La Pierre (ou des Pierres en pays de Gex en 1654), de Châteauneuf ; seigneurs de Anières, Anuys, Ayse, Boisy, Chignin, Collonges, La Croix, Farges (1565), Le Molard, Péron (1654), Pontchy, Pougny, Pressy, Saint-Étienne, Saxel ; coseigneur de La Colliette.

  Famille Du Pont

D'azur à la bande ondée d'argent.[149]

Apparaît vers le XIIIe siècle. Disparition au XVIIe siècle[150].

Originaire de Pontamafrey (Maurienne) où les premiers membres surveillaient le pont sur l'Arc, hommes-liges des vicomtes de La Chambre[150]. Possessions d'une quarantaine de maisons fortes au XVIe siècle, entre Saint-Michel-de-Maurienne et Myans[151]. Seigneurs de Burgin (Sainte-Marie-de-Cuines), Combremont (pays de Vaud), Montarlot (Saint-Etienne-de-Cuines), Myans, Saint-Michel, Siens (?), Villaret (Le Châtel), Vorgerey (?).

Accès direct dans l’index alphabétique :
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise Période, possessions
  Famille de La Ravoire, La Ravoyre, Ravoyria, Ravoria[152]

Palé de six pièces d'argent et de gueules, à la bande d'azur brochant sur le tout.[Foras 135]

Les documents anciens favorisent la confusion entre les familles des Ravoire (Montmélian), des Rivoire (Dauphiné) et des Rovéréa (Chablais) puisqu'ils retranscrivent leurs noms de la « même manière et en une douzaine de formes différentes »[153]. Par ailleurs, Foras indique d'autres familles homonymes moins importantes, avec les Ravoire, Ravoyre et Ravoire de Queige[Foras 135],[Foras 136].

Branches[152]
  • de Montmélian ;
  • de Saint-de-Jean-de-la-Porte ;
  • de Saint-Alban-Leysse ;
  • de Passy-Chamonix.
Remonterait au XIIe siècle[152],[154]. Eteinte au XVIIIe siècle[152].

Originaires de La Chavanne et Planaise (à proximité de Montmélian, comté de Savoie)[152],[155] (peut-être issue de la maison de Miolans[152],[156]). Barons de Charansonnay ; seigneurs Châteaubochard, la Colliette, la Croix, Les Marches, Mollard, La Ravoire, Saint Alban, Silans, Tresserve ; coseigneurs de Cavallerleone, Escrivieux, Massigneu.

  Famille de Reydet, Reydet de Vulpillières

D'azur, à la fasce d'or, accompagnée en chef de deux étoiles du même et en pointe d'un croissant d'argent.[Foras 137],[157]

Louis de Reydet, notaire de la Chambre apostolique, anobli au XVe siècle[158]. Subsistante en Subsistante en 2024[9].

Comtes de Vulpillieres, de Choisy et de La Balme. Barons de Grilly. Seigneurs de Manigod, de Rogemont, de Montmirel, de Pressy, de Pymont , d'Hauteville, de La Croix d'Aiguebelle, de Lermineux (ou d'Hermineux) , d'Annieres , de Balmont (ou Belmont)[Foras 137].

  Famille de Riddes (De Rida)

Azur à la tour d'or senestré d'un pan de mur de même et crénelé comme la tour ouvert d'un portique sur lequel est une étoile d'or.[Foras 138],[159]

Branches[160]
  • Riddes de Belletour
  • Riddes de Charbonnière
XVIe siècle.

Originaire de Riddes (Valais), installée v. 1560 à Flumet (Faucigny)[160],[161],[162], héritiers des Salins (1607)[21]. Seigneurs de Bellecombe, Belletour, Bellevarde, Blay, Charbonnière, La Croix, Le Rosey, Saint Paul, Saint Thomas des Esserts, la Val de Bozel, la Val des Clets[Foras 138]. Châtelains en Haut Faucigny sur 4 générations (Bonneville, Beaufort, Flumet, Charousseetc.)[163]

  Famille de Rivoire (ou Rivoire de la Bâtie)

D'or, à trois (chênes) arrachés de sinople, rangés[164].

Fascé d'argent et de gueules, de 6 pièces, à la bande de France. La bande, chargée d'abord de fleurs de lys sans nombre, subit plus tard la réduction au nombre de trois, qu'avait adopté la maison royale. (après réunion du Dauphiné à la France)[164]
Fascé d'argent et de gueules de six pièces, a la bande d'azur chargée de trois fleurs de lis d'or. (Foras)[Foras 139]

L'auteur C. Mulleur indique quant à lui : D'or au chevron d'azur, chargé en chef d'un soleil d'or et en pointe de deux croissants d'argent[Foras 139],[165].

Mentionnée au XIIe siècle[164].

Originaire du Dauphiné. Seigneur de La Bâtie Montgascon, Domessin, Lay, Pancalieri, Pont de Beauvoisin, Rochefort ; coseigneurs de Balmont, Cervens, Faverges, Pierre-Châtel, Rochefort[Foras 139].

  Famille de Rochette

D'azur à un chef-pal du champ bordé d'or et chargé de cinq étoiles du même posées en tau(à confirmer).[Foras 140],[166]

Branche
  • La Croix de La Rochette
Chevaliers originaires du Chablais. Comtes de Arâches, La Croix, Scionzier (1699) ; barons de Beaufort, Donjon, Salagine (par mariage, 1675)[167], Villard, Burdignin, Cohendier et Villard (1684) ; seigneurs de Bourgeal, Hermineur, La Forest, Mont Saconnex, Saint Sigismond, Vougy[Foras 140].
  Famille de La Rochette (Roccetta, Rochete, Rocchetta)

D’azur à trois rocs ou roquets d’échiquier, alias, fers de lance) d’or.[Foras 141]

Les La Rochette du Dauphiné portaient d'or, à trois rocs d'échiquier de sable[168]

Première mention au XIIe siècle — Éteinte au XVIe siècle[169].

Originaire de La Rochette (comté de Savoie). La branche principale s'éteint au plus tard au début du XVe siècle, une branche, dite La Rochette d'Alby, s'installe au XIIIe siècle en Albanais (Geenvois) et forme 3 rameaux, le dernier éteints au début du XVIe siècle[169]. La branche genevoise porte les titres de seigneurs de Pierrecharve, de Rougemont et de La Pesse[169].

  Famille de Rolland, Roland, dite d'Alby ou de Marigny

D'azur à l'épée d'argent en pal la pointe en haut[Foras 142],[Jougla 16]

À distinguer des familles[170]. :

  • Rolland de la Biolle, de Mouxy et de Villard-Sallet, anoblie en 1564, portant d'azur au griffon contourné et couronné d'or)[Jougla 16].
  • Rolland de Versonnex, anoblie en 1621, portant d'azur au chevron d'or chargé d'un autre chevron de gueules accompagné de deux étoiles d'or en chef et d'un croissant du même en pointe.)[Jougla 16].
Mentionnée en 1504[170], anoblie par LP [Jougla 16].

Originaire d'Alby (Pays de l'Albanais). Seigneurs d’Alby, de Marigny[Foras 142].

  Famille de Rovéréa/Rovorée, Ravorée/Rovérée

De gueules à la bande d'argent.[Foras 143]

Attestée depuis le XIe siècle[Foras 143],[171].

Chevaliers originaires du Chablais savoyard. Considérés parfois comme cadets de la maison de Faucigny. Barons de Brissogne[Foras 143].

Accès direct dans l’index alphabétique :
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise Période, possessions
  Famille de Sacconay (Sacconeto), Saconney, Sachonay, Sacconay, Sacconex

De sable, à trois étoiles d'argent, au chef du même chargé d'un lion issant de gueules.[Foras 144],[Borel 19],[172]

Apparaît au XIIIe siècle.

Seigneurs de Saconnex (Le Grand-Saconnex-comté de Genève). Seigneurs d'Albeterre, La Bâtie Dardel, Bruel, Bursinel, Le Châtelard, Corsier, Ogny, Prat, Pregny, Rouz, Sacconex, Truaz, Vernier, Vesancy[Foras 144].

  Famille de Saint-Jeoire

D'or au sautoir de sable.[Foras 145]

Mentionnée XIIe siècle.

Originaire du Faucigny. Barons de Saint-Jeoire, de Féterne et d'Hermance ; Seigneurs d'Aléry, Beaucroissant, La Chapelle-Marin (1518-avt. 1607)[173], Les Ferrières, La Ravoire, Rovorée, Turchet, Yvoire[Foras 145].

    Famille du Saix (de Saxo), Dessaix

D'azur à trois bandes d'or ou écartelé d'or et de gueules.[174]

Ce nom étant commun dans la région, il est partagé par plusieurs familles : les Desaix (famille noble d'Auvergne), les Dessaix (famille non noble de Savoie), les Du Saix (Bresse), les Dussaix et les Dessaix (Faucigny)[175].

Cimier : Un globe chargé d'une écartelure semblable.
Supports : deux lions de gueules, armés d'or.
Devise : NON MOBILE SAXUM[174]

Branches
  • plusieurs savoyardes (cf. Guichenon)
  • branche suisse
Mentionnée vers le XIVe siècle — Branche suisse éteinte fin du XVe siècle[174].

Originaire de Bresse. Seigneur de Annet, Marignier, Montfalcon, Passeirier, Pontchy, Roche, Saix.

  Famille de Sales

D’azur à deux fasces d’or surfascsées de gueules, accompagnées d’un croissant d’or en chef et de deux étoiles à six rayons, aussi d’or, posées l’une an abîme et l’autre en pointe.[Foras 146]
D'azur, à deux fasces d'or, chargées chacune d'une autre fasce de gueules, accompagnées d'un croissant d'or en chef et de deux étoiles à six rais d'or en cœur et en pointe.[Borel 20]

Couronne de marquis ou heaume de front à cinq grilles.
Cimier : Hercule avec une massue sur l'épaule droite. Tenants : deux sauvages ceints et couronnés de feuilles de peuplier, armés de massues abattues.
Devise : Nec plus nec minus ou Ny plus ny moins[Foras 146]
Cri d'armes : Mamours ! Mamours[176]

Vers le XIe siècle.

Originaire de La Roche-sur-Foron (comté de Genève). Barons (1613), puis comtes (1632) puis marquis de Sales (1665)[177]. (possessions : consulter l'article principal).

  Famille de Sallenove, Sallenôves, Salanova ou Aula nova[178],[179]

Palé d'argent et de gueules de six pièces à la bande d'or, brochante sur le tout. ou Palé d'argent et de gueules de six pièces à la bande de gueules, brochante sur le tout.[Foras 147]

Devise: A VIRTUTE VIRI

Branches
  • En 1239, la branche aînée conserve le nom de Sallenove et la cadette prend celui de Viry[178]
  • Sallenôves de Viry ou Viry-Sallenove (XIIe siècle)
Mentionnée vers 1142[178].

Originaire du comté de Genève. Probablement issue de la famille de Chaumont tout comme la famille de Vidomne de Chaumont[180]. (possessions : consulter l'article principal).

  Famille de Sallier (Saillet), Sallier de La Tour

Parti de sable et de sinople au cheval nu, gai, d'argent.[Foras 148],[181]

Devise : Post funera lætor[Foras 148]

Branche
  • Sallier de la Tour Corio (Italie)
Anoblissement vers la fin de décembre 1634[Foras 148] ou le début de 1635[182] — Installation en Italie lors de la Révolution française.

Mariage d'Humbert Sallier avec Françoise de Gilly permet d'obtenir les terres et les droits des familles de Gilly, de Serraval et de Bertrand de la Pérouse, dont le Tournon (1596)[183]. Marquis de Cordon (1700)[184] ; Comtes de Boringes ; Barons de Bourdeaux, Chevron (par achat en 1755), Combloux, Gilly. Duc de Corio.

  Famille de Salteur (Sartoris)

De gueules, à une bande échiquier d'or et d'azur de trois traits, accompagnée de deux étoiles d'or (ou d'argent).[Foras 149],[Borel 21] (parfois de deux tires et l'échiqueté d'argent et d'azur.)[Foras 149]

Devise: FIDES ET OFFICIUM[Foras 149]

Branches[Foras 149]
  • Salteur de la Serraz : De gueules à la bande échiquetée de trois tires d’or et d'azur accompagnée de deux étoiles d'argent.
  • Salteur La Salle : de quelle à la bande échiquetée de trois livres d’azur et d'or accompagnée de deux étoiles d’argent.
Apparue au XVIe siècle.

Originaire de Rumilly, famille bourgeoise[185]. Anoblissement par charge (Sénat de Savoie). Marquis de Samoëns (1699), La Serraz (1755), comtes de Saint-Pierre-de-Soucy ; seigneurs de Châtel de Culoz, Curtilles, Landaize, Molettes, Montprovens, La Salle, Villette[Foras 149].

 
 
Maison de Savoie, (Humbertiens, comtes, puis ducs de Savoie)

D'or à l'aigle de sable. (Savoie ancien)[186]
De gueules à la croix d'argent.[186]

Devise : FERT

Apparue vers la fin du Xe siècle.

Originaire de Belley (Bugey), puis implantation en Maurienne, puis Savoie, etc.. (possessions : consulter l'article principal).

  Famille de Serraval

Palé de six pièces d'or, d'azur et de gueules.[187]
Foras indiquait qu'elles sont inconnues[Foras 150]

Apparition milieu du XIIIe siècle — Disparition au XVIe siècle[Foras 150].

Originaire du comté de Genève[188].

  Famille de Seyssel

Gironné d'or et d'azur de huit pièces.[Foras 151],[Borel 21]

Supports : deux griffons (d'or ?)
cimier : un griffon (d'or ?)
Devise : Franc et Léal et Fortifer quod pie[Foras 151].

Mentionnée à la fin du XIIe siècle — Filiation au siècle suivant[Foras 151].

Originaire autour du lac du Bourget. Marquis d'Aix (1575), de La Serraz (1654) ; Comtes de Seyssel ; Vicomte de Novalaise ; Barons de Montfalcon, Montfort[Foras 151].

  Famille de Syons (Sion, Sions)

De gueules au cygne d'argent (becqué et patté de sable).[Foras 152]

Mentionnée vers le XIIIe siècle — Éteinte en 1857[Foras 152].

Originaire du Pays de l'Albanais. Seigneurs de Syons et de Montagny. Seigneurs et barons de Beauregard, de Creste et de Saint-André, en Genevois[Foras 152].

Accès direct dans l’index alphabétique :
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise Période, possessions
  Famille de Ternier (anciennement Terny)

D'or à trois pals d'azur.[Foras 153],[189]

Mentionnée depuis le XIIe siècle — Éteinte en 1418[190].

Originaire du comté de Genève. Seigneurs notamment de Château de La Poype, dont ils sont originaires, etc.[Foras 153],[190]. Au XVe siècle, passent à la famille de Montchenu[190]

  Famille de Thiollaz (de Thiolla)

De gueules à l'aigle naissante d'argent becquée de sable, accompagnée en chef à dextre de deux étoiles d'or.[Foras 154]

Devise: Post mortem lauda (Loue après la mort)[191]

Remonterait au début du XIVe siècle (inféodation du fief de Thiollaz )[192].

Originaire de Thiollaz, Chaumont (comté de Genève). Seigneur de Montpont (1801)[Foras 154].

  Famille de Thoire (Thoyre)

D'azur, à la bande d'argent.[Foras 155],[193]

Ne pas confondre avec les Thoire de la maison de Thoire-Villars.

Branche cadette
  • Thoire de Pilly
Remonterait au XIe siècle[193] — Éteinte au XIXe siècle[193].

Originaire du Faucigny, branche de la maison de Faucigny[194],[195]. Chevaliers, seigneurs de La Bâtie-Dardel, Bellecombe, Bossy, Brison, Carroz, Château-Blanc-d'Onion, Gravernel, Hauteville, Plagnes, Tour noire de Magland, Sirier, Vivier[Foras 155].

Accès direct dans l’index alphabétique :
Blason Nom de la famille, blasonnement et devise Période, possessions
  Famille de Varax

écartelé de vair et de gueules.[Foras 156]

Devise : OMNIBUS UNUS

Apparue au XIIIe siècle.

Originaire de Saint-Sorlin / Richemont, (Bresse-Bugey). Comtes de Varax et marquis de Saint-Sorlin (lettres patentes de 1460)[196] ; comtes de Arlod ; seigneurs de Châtel (par mariage en 1559 avec Catherine de Verbos/Verboz[Foras 157]), Mons, Sainte-Hélène-des-Millières, Saxel, Semine, La Vernaz[Foras 156].

  Famille de Verboz / Verbouz (Verbou, de Verbos, de Verbosis)

D'azur à la tour crénelée d'argent, maçonnée de sable.[Foras 158]

Apparue au XIIe siècle.

Originaire de Semine (comté de Genève). Seigneur de Châtel sur les Usses[Foras 158] (inféodé en 1393 par le comte de Genève jusqu'en 1575 où elle passe à la famille de Varax, à la suite du mariage en 1559 entre Jean Philibert de Varax et Catherine Bailland de Verbos)

  Famille de Verdon ou Verdun (de)

D'azur au lion d'or ou de sinople au lion d'or.[Foras 159]

Rameau d'une des familles de Chignin (XIIIe siècle)[197].

Originaire du comté de Savoie. Seigneur de Chalex, de La Corbière, de Cornillon, de Marthod, de Verdon (Château)[Foras 159].

  Famille de Vidomne de Chaumont

Palé d’argent et d’azur au chevron de gueules.[Foras 160]

Branches cadettes
  • Vidomne de Novéry
  • Vidomne de Charmoisy
Mentionnée au XIIe siècle[198].

Issu de la famille de Chaumont (comté de Genève). Barons de Couvette ; seigneurs de Anthy, La Chapelle, Charmoisy, Durzilly, Epagny, Folliet, Lausenette, Marclaz (par mariage en 1515, puis passe à la maison des Maréschal), Montségur, La Motte, Novery, Villy (acheté 1397) ; coseigneurs de Cormand[Foras 160].

  Famille Vignet

D'argent, à deux fasces de sable chargées la première de deux raisins d'or, la seconde de même.[Foras 161]

Devise : Droit chemin. Bon chemin[Foras 161]

Mentionné au XVIIe siècle — Noblesse au XIXe siècle[Foras 161].

Originaire du Chablais, famille bourgeoise de Thonon. Barons des Étoles (par achat 1757) et de Montgex (1789)[Foras 161]. Titre de comte par L.P. du , et de baron par L.P. du [Foras 161].

    Famille de Viry

Palé d'argent et d'azur[Foras 147].
parfois Palé d'argent et de gueules (alias d'azur), à la bande de gueules, brochante sur le tout.

Les noms de Viry et de Sallenove sont portés indistinctement jusqu'en 1239 où Hugues II de Viry partage la branche entre ces trois fils[178],[179].

Devise : A VIRTUTE VIRI[199].

Branches
  • Viry
  • Viry-Pimont
Remonterait au XIe siècle — Issue de la famille de Sallenove[178],[179] — Seconde moitié du XVIe siècle, reprise par une branche cadette des biens de la branche aînée, ruinée[179].

Originaire du comté de Genève. Comte de Viry. barons de Ternier[Foras 147]. (possession : consulter l'article principal).

Notes et références

modifier
  1. Mention d'un Humbert d'Arvillard en 1058, avec son fils et son petit-fils ainsi qu'une fille, Oda, à travers une donation pour la fondation d'un prieuré à Domène (Grésivaudan)[18].
  2. Foras fait l'hypothèse qu'il s'agirait probablement d'une seule et même famille[Foras 14]. L'historien Félix Bernard « D'après ces textes, les Apremont et les La Baume ont donc des biens intimement mêlés et même des intérêts identiques. Ils doivent être de la même famille »[23].
  3. Ne pas confondre la famille de La Faverge avec les seigneurs de Faverges (de Fabricâ), originaire du Dauphiné et qui devint la famille de Rébé. Il n'y a aucun lien avec la commune de Faverges où une famille seigneuriale, les de Faverges (Fabricis) possédaient le château.
  4. Les différents auteurs indiquent que Janus de Foras porte la qualification de comte de Foras dans plusieurs actes de cette période et que ce titre est porté depuis par le chef de la famille[Foras 77],[CEA 28],[Jougla 3].
  5. Une version plus explicite est "écartelé au 1 et 4 d'argent à l'aigle éployée de sable, béqué et membré d'or ; au second et troisième contre-écartelé d'hermine et de gueules." donnée par l'abbé Aubert de Vertot dans son Histoire des chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem[122].

Références spécialisées

modifier

Annuaire de la noblesse de France (1861)

modifier

(section « Bibliographie »)

  1. p. 373.
  2. a b et c Borel, p. 374.
  3. pp. 374-375.
  4. pp. 376.
  5. pp. 376-377.
  6. a b c d e et f p. 377.
  7. pp. 158-159.
  8. pp. 378-379 (lire en ligne).
  9. vol. 22, p. 335 (lire en ligne).
  10. a b et c p. 379 (lire en ligne).
  11. a et b Borel, p. 380 (présentation en ligne).
  12. pp. 387-388.
  13. p.186-187.
  14. a b c d e et f p. 381.
  15. a et b p. 383.
  16. Borel, p. 384, mais le dessin est inversé.
  17. p. 358.
  18. p. 386-387.
  19. p. 209, 386.
  20. p. 386.
  21. a et b p. 387.

Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie (1863-1910)

modifier

(section « Bibliographie »)

  1. a b et c vol. 1, pp. 12-14 lire en ligne.
  2. a b c et d vol. 1, pp. 15-17 (lire en ligne.
  3. a b c d e f et g vol. 1, pp. 19-21 (lire en ligne).
  4. a b c et d vol.1 pp. 22-36 (lire en ligne).
  5. a b et c vol. 1,pp. 41-43 (lire en ligne).
  6. a et b vol. 1, pp. 46 (lire en ligne).
  7. a b et c vol. 1, pp. 50 (lire en ligne).
  8. a b c et d vol. 1, pp. 51-53 (lire en ligne).
  9. a b c et d vol. 1, pp. 61-64 (lire en ligne).
  10. a b c d et e vol. 1, pp. 68, 70-71 (lire en ligne).
  11. a b c d e et f vol. 1, pp. 73-75 (lire en ligne).
  12. a b et c vol. 1, pp. 79 (lire en ligne).
  13. a et b vol. 1, pp. 92-97 (lire en ligne).
  14. a b c d et e vol. 1, pp. 99-102 (lire en ligne).
  15. a b c et d vol. 1, pp. 103-108 (lire en ligne).
  16. a et b vol. 1, pp. 108-110 (lire en ligne).
  17. a et b vol. 1, pp. 135-139 (lire en ligne).
  18. a b et c vol. 1, pp. 144-156 (lire en ligne).
  19. a b et c vol. 1, pp. 162-170 (lire en ligne).
  20. a b c et d vol. 1, pp. 171-174 (lire en ligne).
  21. a b et c vol. 1, pp. 189-195 (lire en ligne).
  22. a b c d e f g h et i vol. 1, pp. 211-232 (lire en ligne).
  23. a b et c vol. 1, pp. 233-238 (lire en ligne).
  24. a b c d et e vol. 1, pp. 239-241 (lire en ligne).
  25. a b c et d vol. 1, pp. 247-252 (lire en ligne).
  26. a b c et d vol. 1, p. 266 (présentation en ligne).
  27. a b et c vol. 1, pp. 275-278 (lire en ligne).
  28. vol. 1, p. 278 (lire en ligne).
  29. a et b vol. 1, p. 6 (lire en ligne).
  30. a b c et d vol. 1, pp. 279-281 (lire en ligne).
  31. a b c et d vol. 1, pp. 287-294 (lire en ligne).
  32. a b c d et e vol. 1, pp. 299-301 (lire en ligne).
  33. a b c d e et f vol. 1, pp. 302-303 (lire en ligne).
  34. a b c et d vol. 1, pp. 313-315 (lire en ligne).
  35. a et b vol. 1, pp. 320-324 (lire en ligne).
  36. a b c d e et f vol. 1, pp. 327-337 (lire en ligne).
  37. a b et c vol. 1, pp. 342-346 (lire en ligne).
  38. a b et c vol. 1, pp. 349-358 (lire en ligne).
  39. a b et c vol. 1, pp. 362-364 (lire en ligne).
  40. a et b vol. 1, pp. 383-391 (lire en ligne).
  41. a b et c vol. 1, pp. 392-398 (lire en ligne).
  42. a b c et d vol. 1, pp. 399-402 (lire en ligne).
  43. a b et c vol. 2, pp. 1-3 (lire en ligne).
  44. a b c d et e vol. 2, pp. 5-31 (lire en ligne).
  45. a b c et d vol. 2, pp. 32-41 (lire en ligne).
  46. a b c et d vol. 2, pp. 42-60 (lire en ligne).
  47. a b c d et e vol. 2, pp. 75-89(lire en ligne).
  48. a b et c vol. 2, pp. 90-98 (lire en ligne).
  49. a b c d et e vol. 2, pp. 99-103 (lire en ligne) et pp. 104-107 (lire en ligne).
  50. vol. 2, pp. 104-107 (lire en ligne).
  51. a b c et d vol. 2, pp. 123-134 (lire en ligne).
  52. vol. 2, p. 131 (lire en ligne).
  53. vol. 2, pp. 135-141 (lire en ligne).
  54. a b et c vol. 2, pp. 141-147 (lire en ligne).
  55. a b c d et e vol. 2, pp. 153-156 (lire en ligne).
  56. a b et c vol. 2, pp. 157-163 (lire en ligne).
  57. a b c et d vol. 2, pp. 163-167 (lire en ligne).
  58. a b c d et e vol. 2, pp. 170-178 (lire en ligne).
  59. a b et c vol. 2, pp. 179-184 (lire en ligne).
  60. a b c d e et f vol. 2, pp. 185-193 (lire en ligne).
  61. a b c d et e vol. 2, pp. 195-202 (lire en ligne).
  62. a et b vol. 2, pp. 203-207 (lire en ligne).
  63. a b c d e f et g vol. 2, pp. 218-225 (lire en ligne).
  64. a b et c vol. 2, pp. 231-235 (lire en ligne).
  65. a b c et d vol. 2, pp. 236-241 (lire en ligne).
  66. a b et c vol. 2, pp. 252-255 (lire en ligne).
  67. a b et c vol. 2, pp. 263-265 (lire en ligne).
  68. a b et c vol. 2, pp. 285-293 (lire en ligne).
  69. a b c d et e vol. 3, pp. 337-364 (lire en ligne).
  70. a b c d e f et g vol. 2, pp. 317-354 (lire en ligne).
  71. a b et c vol. 2, pp. 357-359 (lire en ligne).
  72. a b c et d vol. 2, pp. 361-365 (lire en ligne).
  73. a b c d e et f vol. 2, pp. 367-369 (lire en ligne).
  74. a b et c vol. 2, p. 376 (lire en ligne).
  75. a et b vol. 2, pp. 381-382 (lire en ligne).
  76. a b et c vol. 2, pp. 388-398 (lire en ligne).
  77. a b c d et e vol. 2, pp. 407-422 (lire en ligne).
  78. a b et c vol. 2, pp. 423-441 (lire en ligne).
  79. a b c et d vol. 3, pp. 17-22 (lire en ligne).
  80. a b c d et e vol. 3, pp. 23-29 (lire en ligne).
  81. a b et c vol. 3, pp. 43-49 (lire en ligne).
  82. Voir au « Supplément ».
  83. a b et c vol. 3, pp. 61-62 (lire en ligne).
  84. a b et c vol. 3, pp. 63-71 (lire en ligne).
  85. vol. 3, pp. 72-79 (lire en ligne).
  86. vol. 3, pp. 80-83 (lire en ligne).
  87. a b c et d vol.3, pp. 90-108 (lire en ligne).
  88. a b c et d vol. 3, pp. 109-111 (lire en ligne).
  89. a et b vol. 3, pp. 112-119 (lire en ligne).
  90. a et b vol. 3, pp. 120-121 (lire en ligne).
  91. a b c et d vol. 3, pp. 126-133 (lire en ligne).
  92. a b et c vol. 3, pp. 150-151 (lire en ligne).
  93. a b et c vol. 3, pp. 152-161 (lire en ligne).
  94. a et b vol. 2, p. 324 (lire en ligne).
  95. a b et c vol. 3, p. 167 (lire en ligne).
  96. a b c d e f g h et i vol. 3, pp. 190-195 (lire en ligne).
  97. a b et c vol. 3, pp. 196-201 (lire en ligne).
  98. a b c et d vol. 3, pp. 202-210 (lire en ligne).
  99. a b c d e et f vol. 3, pp. 219-222 (lire en ligne).
  100. a et b vol. 3, pp. 229-237 (lire en ligne).
  101. a b c d e et f vol. 3, pp. 247-248 (lire en ligne).
  102. a b c d et e vol. 3, pp. 249-257 (lire en ligne).
  103. a et b vol. 3, pp. 263-270 (lire en ligne).
  104. a et b vol. 3, pp. 272-277 (lire en ligne).
  105. a b et c vol. 3, p. 291-293 (lire en ligne).
  106. vol. 3, p. 294 (lire en ligne).
  107. vol.2, p. 328-329 (présentation en ligne).
  108. a et b vol. 3, pp. 298-300.
  109. a et b vol. 3, pp. 302-304 (lire en ligne).
  110. a b et c vol. 3, pp. 313-316 (lire en ligne).
  111. a et b vol. 3, pp. 317-319 (lire en ligne).
  112. a et b vol. 3, pp. 6-10 (lire en ligne).
  113. a et b vol. 3, pp. 365-374.
  114. a b c et d vol. 3, pp. 387-395.
  115. a b c et d vol. 3, pp. 411-470 (lire en ligne).
  116. a et b vol. 3, pp. 471-473.
  117. a et b vol. 4, pp. 10-12.
  118. a et b vol. 4, pp. 13-31.
  119. a et b vol. 4, pp. 32-55.
  120. vol. 4, pp. 42-46.
  121. a b c et d vol. 3, p. 316 (lire en ligne).
  122. a b et c vol. 4, p. 65.
  123. a et b vol. 4, pp. 66-78.
  124. a et b Foras, p. V4 - pp.91-108.
  125. a et b vol. 4, pp. 109-120.
  126. a et b vol. 4, pp. 121-138.
  127. a et b vol. 4, pp. 143-170.
  128. vol. 4, pp. 171-180.
  129. a et b vol. 4, pp. 200-228.
  130. a et b vol. 4, pp. 268-280.
  131. a b et c vol. 4, pp. 301-317.
  132. vol. 4, pp. 334-340.
  133. vol. 4, pp. 372-376.
  134. a b c et d vol. 4, pp. 398-408.
  135. a et b vol. 5, pp. 78-101.
  136. vol.5 pp. 34-35.
  137. a et b vol. 5, pp. 146-152.
  138. a et b vol. 5, pp. 169-183.
  139. a b et c vol. 5, pp. 186-199.
  140. a et b vol. 5, pp. 202-207.
  141. vol. 5, pp. 208-220.
  142. a et b vol. 5, pp. 235-243.
  143. a b et c vol. 5, pp. 261-285.
  144. a et b vol. 5, pp. 297-303.
  145. a et b vol. 5, pp. 305-317.
  146. a et b vol. 5, pp. 327-344.
  147. a b et c vol. 5, pp. 345-384.
  148. a b et c vol. 5, pp. 385-387.
  149. a b c d et e vol. 5, pp. 388-395.
  150. a et b vol. 5, pp. 453-455.
  151. a b c et d vol. 5, pp. 459-500.
  152. a b et c vol. 5, pp. 504-508.
  153. a et b vol. 5, pp. 510-520.
  154. a et b vol. 5, pp. 523-526.
  155. a et b vol. 5, pp. 527-543.
  156. a et b vol. 5, pp. 559-563.
  157. vol. 5, p. 577.
  158. a et b vol. 5, pp. 573-578.
  159. a et b vol. 5, pp. 579-581.
  160. a et b vol. 5, pp. 598-611.
  161. a b c d et e vol. 5, pp. 614-616.

Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle (1903-1929)

modifier

(section « Bibliographie »)

  1. a b c d e et f T.Ier. A-Att. - 1903, p. 122 (lire en ligne).
  2. a b c et d T.Ier. A-Att. - 1903, pp. 214-215 (lire en ligne).
  3. a b c et d T.Ier. A-Att. - 1903, p. 318-319 (lire en ligne).
  4. a b c et d t. III. Bas-Ber. - 1904, p. 93-97 (lire en ligne).
  5. a b et c t.III. Bas-Ber. - 1904, p. 282-283 (lire en ligne).
  6. a b c d et e t. IV. Ber-Blo. - 1905, p. 380-382 (lire en ligne).
  7. a et b t. VII. Bré-Bur. - 1908, p. 69-70 (lire en ligne).
  8. a b c et d t. VII. Bré-Bur. - 1908, p. 212-214 (lire en ligne).
  9. a et b t. VIII. Bus-Cas. - 1909, p. 25-27 (lire en ligne).
  10. a b c et d t.VIII. Bus-Cas. - 1909, p. 225-226 (lire en ligne).
  11. t.VIII. Bus-Cas. - 1909, pp. 374-376 (lire en ligne).
  12. a et b t.X. Cha-Chu. - 1911, p. 140-141 (lire en ligne).
  13. a b c et d t.X. Cha-Chu. - 1911, pp. 317-319 (lire en ligne).
  14. a b et c t. X. Cha-Chu. - 1911, pp. 354-355 (lire en ligne).
  15. a et b t.XI. Cib-Cor. - 1912, pp. 91- (lire en ligne).
  16. a b et c t.XI. Cib-Cor. - 1912, pp. 328-329 (présentation en ligne).
  17. a b c et d t.XI. Cib-Cor. - 1912, pp. 344-345 (lire en ligne).
  18. a b c et d t.XI. Cib-Cor. - 1912, pp. 358-360 (lire en ligne).
  19. a et b t.XI. Cib-Cor. - 1912, pp. 381-383 (lire en ligne).
  20. a b c et d t.XII. Cos-Cum. - 1913, pp. 27-30 (lire en ligne).
  21. a b c d et e t.XII. Cos-Cum. - 1913, pp. 191-192 (lire en ligne).
  22. a b et c T. XVII. Fab-Fei. - 1921, pp. 136-143 (lire en ligne).
  23. T. XVII. Fab-Fei. - 1921, pp. 199-200 (lire en ligne).
  24. a et b T. XVII. Fab-Fei. - 1921, pp. 203-204 (lire en ligne).
  25. a b c d e f g et h Chaix d'Est-Ange, T. XVII. Fab-Fei. - 1921, pp. 209-212 (lire en ligne).
  26. a et b t.XVIII, Fel-For. - 1922, p. 38 (lire en ligne).
  27. T.XVIII. Fel-For. - 1922, pp. 187-189 (lire en ligne).
  28. a b et c T. XVIII. Fel-For. - 1922, pp. 301-302 (lire en ligne).
  29. a b et c T. XVIII. Fel-For. - 1922, pp. 324-327 (lire en ligne).

Grand armorial de France (1934-1952)

modifier

(section « Bibliographie »)

  1. a b c d et e [PDF] vol. 2, p.16, « De La Baume de Montrevel ».
  2. a et b [PDF] vol. 2, p.191, « Le Borgne de Boigne ».
  3. a et b vol. 4, p. 27, no 15731 ([PDF] lire en ligne) ».
  4. a et b vol. 4, p. 31, no 15767 ([PDF] lire en ligne).
  5. a et b vol. 4, pp. 68, no 16309 ([PDF] lire en ligne).
  6. vol. 4, p. 134, no 17252, « de Genève-Lullin » ([PDF] lire en ligne).
  7. a et b vol. 4, p. 143, no 17371, « De Gerbais-Sonnaz » ([PDF] lire en ligne).
  8. vol. 4, p. 154, no 17524, « De Gilly » ([PDF] lire en ligne).
  9. vol. 4, p. 155, no 17530, « De Gingins » ([PDF] lire en ligne).
  10. a et b vol. 4, p. 223, no 18096, « De Grailly », no 18097, comtes de Foix ([PDF] lire en ligne).
  11. vol. 4, p. 223, no 18250, « Greyfié de Bellecombe » ([PDF] lire en ligne).
  12. a b et c vol. 4, p. 230, no 18338, « De Grolée » et no 18339, Branche de Viriville ([PDF] lire en ligne).
  13. vol. 4, p. 254, no 18725, « Guillet » ([PDF] lire en ligne).
  14. vol. 7, p. 384.
  15. a et b vol. 5, p. 183-184, no 25337, « D'Orlier de Saint-Innocent » ([PDF] lire en ligne).
  16. a b c et d vol. 6, p.48.

Autres sources

modifier
  1. AdS, p. Tome 1, IX, 1938 - Article Léon Menabrea, "De la marche des études historiques en Savoie et en Piémont, depuis le XIVe siècle jusqu'à nos jours, et des développements dont ces études seraient encore susceptibles", p. 348 (lire en ligne).
  2. Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 978-2-05-101676-6), p. 239-260.
  3. Grillet, p. Tome 3 - p.28.
  4. Louis Comby, Histoire des Savoyards, éd. Nathan, Coll. Dossiers de l’Histoire, , 157 p. (ISSN 0154-9499).
  5. Christian Sorrel, Histoire de la Savoie en images : images, récits, Montmélian, La Fontaine de Siloé, Collection « Les Savoisiennes », , 461 p. (ISBN 978-2-84206-347-4, BNF 40949269), p. 218-219.
  6. a et b Maurienne, p. 247, observable sur la façade de la chapelle Saint-Antoine à Saint-Jean-de-Maurienne.
  7. a et b Léon Menabrea, Des origines féodales dans les Alpes occidentales, Imprimerie royale, , 596 p. (lire en ligne), p. 327.
  8. Maurice Antoine Durandard de Aigueblanche (ca1840-1900), « Notice historique sur la famille de Lalée de la Tournette, et notamment sur Louis et Abel père et fils, ambassadeurs du Duc de Savoie, en Suisse, au XVIIe siècle, lieutenants généraux d'artillerie », Congrès des sociétés savantes de Savoie, Chambéry,‎ , p. 151-157 (ttps://gallica.bnf.fr/ark:/12148/bpt6k5425077m/f185.image.r).
  9. a b c d e f g h i j et k Asnières de Veigy, Greyfié de Bellecombe et Regat 2024, vol.II.
  10. Jean-Louis Grillet, Dictionnaire historique, littéraire et statistique des départements du Mont-Blanc et du Léman, contenant l'histoire ancienne et moderne de la Savoie, vol. 3, t. 2, Chambéry, J.F. Puthod, , p. 254. (lire en ligne)
  11. Gabriel Pérouse, Les environs de Chambéry : Guide historique et archéologique, La Fontaine de Siloé, coll. « Le Champ régional », , 389 p. (ISBN 978-2-908697-47-6), p. 101.
  12. SSHA, p. Tome XLV - 1907 - p.45.
  13. Jean-Louis Grillet, Histoire de la ville de La Roche : contenant les principaux événements arrivés depuis sa fondation en l'an 1000 jusqu'à présent, Annecy, impr. de L. Thésio, par A. Arestan et E. Pelloux (réimpr. 1867) (1re éd. 1790) (lire en ligne), p. 162-165.
  14. Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, vol. 7, Société d'histoire et d'archéologie de Genève (réimpr. 1978) (1re éd. 1956), 486 p., p. 66.
  15. AS, p. Volume 43-44 - 1925 - p.240.
  16. Faucigny, p. 365.
  17. Guy Gavard, Histoire d'Annemasse et des communes voisines : les relations avec Genève de l'époque romaine à l'an 2000, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 439 p. (ISBN 978-2-84206-342-9, BNF 40960007, lire en ligne), p. 59.
  18. Conférence de Pierre Brugnon, « Moines et seigneurs et paysans d’Arvillard. Vers un long Moyen Age savoyard (XIe – XVIIIe siècle) » à la Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, du 31 janvier 2018 (lire en ligne).
  19. Eugène Burnier, La Chartreuse de Saint-Hugon en Savoie, Impr. F. Puthod, 1869, 567 pages, p. 80.
  20. Raoul Naz, « La garde et l'avouerie des monastères en Savoie (1167-1596) », Revue savoisienne, no 108,‎ , p. 130, note n°10 (lire en ligne).
  21. a et b Tarentaise, p. 86.
  22. Chablais, p. 294, 1138, acte de donation pour la fondation de la Chartreuse de Vallon, à Bellevaux.
  23. a et b Félix Bernard, Les Origines féodales en Savoie-Dauphiné : la vie et les rapports sociaux d'alors, Imprimerie Guirimand, , 596 p., p. 62_63.
  24. Christian Regat et François Aubert, Châteaux de Haute-Savoie : Chablais, Faucigny, Genevois, Cabèdita, , 193 p. (ISBN 978-2-88295-117-5), p. 33.
  25. Maurienne, p. 280.
  26. Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno et André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes, vol. 1 : Chambéry et ses environs. Le Petit Bugey, Roanne, Éditions Horvath, , 475 p. (ISBN 978-2-7171-0229-1), p. 337-339. ([PDF] lire en ligne)
  27. Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 978-2-05-101676-6), p. 592.
  28. Joseph Garin, Le Beaufortain : une belle vallée de Savoie : guide historique et touristique illustre, Montmélian, La Fontaine de Siloé (réimpr. 1996) (1re éd. 1939), 287 p. (ISBN 978-2-84206-020-6, BNF 36162018), p. 117 et suivantes.
  29. Bernard Andenmatten, « Blonay, de » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du .
  30. Chablais, p. 257.
  31. a b c et d Paul Guichonnet, Mémoires et document : Histoire d'Arthaz-Pont-Notre-Dame, t. 92-93, Académie salésienne, , 319 p. (lire en ligne), p. 96.
  32. a b c d e et f Joseph Garin, Histoire féodale des seigneurs de Briançon, Savoie (996-1530), t. XII, Besançon, Imprimerie de l'Est, coll. « Recueil des mémoires et documents de l'Académie de la Val d'Isère », (lire en ligne), notamment page 84-85.
  33. a b c et d Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 257 (lire en ligne).
  34. a b c d et e Jacqueline Roubert, « La seigneurie des Archevêques Comtes de Tarentaise du Xe au XVIe siècle », Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie, impr. Chatelain (Chambéry), no 6, tome 5,‎ , p. 65, 94, 149-150 (lire en ligne).
  35. Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 978-2-05-101676-6), p. 112.
  36. a et b Félix Bernard, Le pays de Montmayeur : sa vallée du Coisin et le Bondeloge, Imprimerie Allier, , 214 p., p. 104.
  37. a et b Jean Nicolas, La Savoie au XVIIIe siècle : Noblesse et Bourgeoisie, La Fontaine de Siloé, coll. « Le Champ régional », , 1242 p. (ISBN 978-2-84206-222-4), p. 514.
  38. Asnières de Veigy, Greyfié de Bellecombe et Regat 2020, vol.I.
  39. Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, vol. 7, Société d'histoire et d'archéologie de Genève (réimpr. 1978) (1re éd. 1956), 486 p., p. 400.
  40. a b et c Samuel Guichenon, Histoire généalogique de la Royale Maison de Savoie..., chez Jean-Michel Briolo, (lire en ligne), p. 183.
  41. Jean-Paul Bergeri, Histoire de Moûtiers. Capitale de la Tarentaise, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », 503 p. (ISBN 978-2-84206-341-2, BNF 41004872), p. 204.
  42. Maurienne, p. 76.
  43. a et b Blanc 2005, p. 351.
  44. D'après les auteurs suivants : Menestrier, Besson, Della Chiesa, cités par Foras.
  45. Aix, p. 289 ([PDF] lire en ligne).
  46. Gabriel Pérouse, Les environs de Chambéry : Guide historique et archéologique, La Fontaine de Siloé, coll. « Le Champ régional », , 389 p. (ISBN 978-2-908697-47-6), p. 94-95.
  47. a b et c Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 257 (lire en ligne).
  48. a b c d et e Paul Guichonnet, Mémoires et document : Histoire d'Arthaz-Pont-Notre-Dame, t. 92-93, Académie salésienne, , 319 p. (lire en ligne), p. 92.
  49. a b et c Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 159-160 (lire en ligne).
  50. a b c d e et f Paul Guichonnet, Mémoires et document : Histoire d'Arthaz-Pont-Notre-Dame, t. 92-93, Académie salésienne, , 319 p. (lire en ligne), p. 94-95.
  51. Faucigny, p. 338.
  52. a b c d et e Paul Guichonnet, Mémoires et document : Histoire d'Arthaz-Pont-Notre-Dame, t. 92-93, Académie salésienne, , 319 p. (lire en ligne), p. 93-94.
  53. Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 169 (lire en ligne).
  54. Benoît de Diesbach Belleroche, Dictionnaire des familles nobles subsistantes de Suisse, Fribourg, Intermède Belleroche, , 171 p., G (lire en ligne).
  55. a b c d e f g h et i Asnières de Veigy et Greyfié de Bellecombe 2020, vol.I.
  56. a b et c Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 171 (lire en ligne).
  57. a et b Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 171-172 (lire en ligne).
  58. a b et c Joseph Garin, Le Beaufortain : une belle vallée de Savoie : guide historique et touristique illustre, Montmélian, La Fontaine de Siloé (réimpr. 1996) (1re éd. 1939), 287 p. (ISBN 978-2-84206-020-6, BNF 36162018, lire en ligne), p. 53-54.
  59. Jean Baptiste L'Hermite de Soliers, La Ligurie française, (lire en ligne)
  60. a b et c Saturnin Truchet, Saint-Jean de Maurienne au XVIe siècle, Chambéry, Imprimerie savoisienne, (lire en ligne), p. 312-313.
  61. Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 161.
  62. Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 43.
  63. Maurienne, p. 316.
  64. a et b Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 978-2-05-101676-6), p. 413-414.
  65. a et b SHAM, p. 1894 - p. 166
  66. Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN 978-2-7171-0289-5), p. 117, 123, 474. ([PDF] lire en ligne)
  67. a b c et d Léon Buffet, Ugine, notes d'histoire, Annecy, Mémoires & documents publiés par l'Académie salésienne, (OCLC 1178470778, lire en ligne), p. 293-298, 371-372.
  68. AC, p. 1963.
  69. a et b Chablais, p. 375.
  70. Joseph Hubert Willems, H Lamant, J -Y Conan, Armorial français. Ou Répertoire alphabétique de tous les blasons et notices des familles nobles, patriciennes et bourgeoises de France, Imprimé sur les presses G. Lelotte, v.9, 1976, p. 189.
  71. Henri Jougla de Morenas et Raoul de Warren, Grand armorial de France. tome IV, Société du Grand armorial de France, 1934-1952, p. 103.
  72. Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, précédé d'un dictionnaire des termes du blason, Gouda, G. B. van Goor Zonen, 1884, p. 751 ([lire en ligne]).
  73. « La famille Bardy, de Samoëns », Révue savoisienne, Annecy,‎ , p. 6 (lire en ligne).
  74. Jean Brunier, Petite et grande histoire de Mercury, La Fontaine de Siloé, , 255 p. (ISBN 978-2-84206-106-7), p. 65, 218 (65, « Seigneurs et château de Gémilly », 218, « Blason des Gémilly »).
  75. a et b Christian Regat et François Aubert, Châteaux de Haute-Savoie : Chablais, Faucigny, Genevois, Cabèdita, , 193 p. (ISBN 978-2-88295-117-5), p. 158.
  76. Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 538.
  77. Recueil des mémoires et documents de l'Académie de la Val d'Isère, 1938, p. 183.
  78. Marius Hudry, Histoire des communes savoyardes : Albertville et son arrondissement (vol. 4), Roanne, Éditions Horvath, , 444 p. (ISBN 978-2-7171-0263-5), p. 267.
  79. a b et c Ansgar Wildermann / FP, « Gingins, de » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du .
  80. a et b Bernard Andenmatten, « Grailly (Grilly), de » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du .
  81. Jacques Lovie, La Savoie dans la vie française de 1860 à 1875, Paris, Presses universitaires de France, , 632 p., p. 17.
  82. a et b Nicolas Carrier, La vie montagnarde en Faucigny à la fin du Moyen Âge : Économie et société (fin XIIIe début XIVe siècle), L'Harmattan, coll. « Logiques historiques », , 620 p. (ISBN 978-2-7475-1592-4), p. 31.
  83. a b c d et e Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 290-293 (lire en ligne).
  84. a b c et d Paul Guichonnet, Mémoires et document : Histoire d'Arthaz-Pont-Notre-Dame, t. 92-93, Académie salésienne, , 319 p. (lire en ligne), p. 89.
  85. Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 302-303 (lire en ligne).
  86. a b et c Guy Gavard (préf. Paul Guichonnet), Histoire d'Annemasse et des communes voisines : les relations avec Genève de l'époque romaine à l'an 2000, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 439 p. (ISBN 978-2-84206-342-9, BNF 40960007), p. 111.
  87. Faucigny, p. 130.
  88. Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Jean-Bernard Challamel, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes. Le Genevois et Lac d'Annecy (Tome III), Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 2-7171-0200-0), p. 423-426, « Hauteville-sur-Fier (Hauteville de Rumilly) ».
  89. Paul Lullin et Charles Le Fort, Régeste genevois ou Répertoire chronologique et analytique des documents imprimés relatifs à l'histoire de la ville et du diocèse de Genève avant l'année 1312, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, , 542 p. (lire en ligne), p. 498.
  90. a b et c François Mugnier, « Nicod de Menthon », Mémoires et documents publiés par la Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, 2e série, t. 7,‎ , p. 107-108 (lire en ligne).
  91. Jacques Augustin Galiffe, Notices généalogiques sur les familles genevoises : depuis les premiers temps, jusqu'à nos jours (vol. 3 suite et fin), J. Barbezat, (lire en ligne), p. 277-279.
  92. Fiche sur le site de l'Abbaye d'Aulps.
  93. a et b Chablais, p. 300.
  94. Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, vol. 7, Société d'histoire et d'archéologie de Genève (réimpr. 1978) (1re éd. 1956), 486 p., p. 176.
  95. a b c d et e Marc de Seyssel-Cressieu, La maison de Seyssel : La maison de Seyssel : ses origines, sa généalogie, son histoire : d'après les documents originaux, t. 2, Grenoble, Allier Frère, , 569 p. (lire en ligne), p. 407.
  96. Aix, p. 140.
  97. a b c d e et f Jacques Augustin Galiffe, Notices généalogiques sur les familles genevoises : depuis les premiers temps, jusqu'à nos jours (vol. 5), J. Barbezat, (lire en ligne), p. 1-109.
  98. a et b Faucigny, p. 273.
  99. Adolphe Gros, Histoire de la Maurienne. T. I, Des origines au XIVe siècle, , 333 p. (lire en ligne), p. 199.
  100. Raymond Oursel, Les chemins du sacré : L'art sacré en Savoie, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 393 p. (ISBN 978-2-84206-350-4, BNF 41413867), p. 71.
  101. Léon Menabrea, Des origines féodales dans les Alpes occidentales, Imprimerie royale, , 596 p., p. 377.
  102. a b c et d Faucigny, p. 326.
  103. Laurent Perrillat, L'apanage de Genevois aux XVIe et XVIIe siècles : pouvoirs, institutions, société, vol. 113, Académie salésienne, , 1070 p. (ISBN 978-2-901102-21-2, lire en ligne), p. 616.
  104. Michel Germain, Personnages illustres des Savoie : "de viris illustribus", Lyon, Autre Vue, , 619 p. (ISBN 978-2-915688-15-3, BNF 41276536), p. 354.
  105. a b c d et e Lucien Guy, « Les anciens châteaux du Faucigny », Mémoires & documents, vol. 47,‎ , p. 190-192 (lire en ligne).
  106. Enciclopedia storico-nobiliare italiana : famiglie nobili e titolate viventi riconosciute dal governo d'Italia compresi, Forni, 1968, p. 376.
  107. Brigitte Alzieu, Éveline Alzieu-Martin, Val d'Isère Jadis et Naguère, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « la Chronique de l'Autrefois », , 207 p. (ISBN 978-2-84206-204-0), p. 49.
  108. a et b Pierre Bozon, Le Pays des Villards en Maurienne, Éditions des "Cahiers de l'Alpe", , 291 p., p. 127.
  109. Mémoires de l'Académie de Savoie, 1903, p. 682.
  110. a b c et d Maurienne, p. 110.
  111. Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 978-2-05-101676-6), p. 220.
  112. Joseph Rochette et René Blanc, Saint-Rémy-de-Maurienne : Village aux mille sources, La Fontaine de Siloé, coll. « Savoie vivante », , 217 p. (ISBN 978-2-84206-054-1), p. 104-105.
  113. Christian Sorrel, Histoire de la Savoie en images : images, récits, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Les Savoisiennes », , 461 p. (ISBN 978-2-84206-347-4, BNF 40949269), p. 220-221.
  114. Maurienne, p. 135.
  115. Maurienne, p. 231.
  116. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (ISBN 978-2-84206-374-0, BNF 41173998), p. 139.
  117. a b c et d « Des noms et des hommes : aujourd'hui les Métral », Le Dauphiné libéré,‎ . Voir aussi le Site consacré à la famille Métral.
  118. a b et c p. 382.
  119. Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance, coll. « L'amateur Averti », , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 131.
  120. D.L. Galbreath, « Les armoiries des Miolans-Urtières en Savoie », Archives héraldiques suisses, no 61,‎ , p. 26-31 (lire en ligne).
  121. Grillet, p. Tome 3 - p.38.
  122. René Aubert de Vertot, Histoire des chevaliers hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem, appelez depuis chevaliers de Rhodes, et aujourd’hui chevaliers de Malte, Paris, Rolin, 1726, 4 vol, t. IV, p. 44.
  123. a b et c Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, vol. 7, Société d'histoire et d'archéologie de Genève (réimpr. 1978) (1re éd. 1956), 486 p., p. 163.
  124. Henri Voiron, À Bloye, autrefois : monographie d'une paroisse et commune de l'Avant-pays savoyard, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 255 p. (ISBN 978-2-84206-333-7, BNF 40246091), p. 25.
  125. [PDF] Bernard Hauert, « Le château de Montfort », sur site de La Salévienne - la-salevienne.org, (consulté en ), p. 36.
  126. Mémoires et documents de Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, 1878, p. 322.
  127. a et b Genevois, p. 186.
  128. Mémoires et documents, de Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, 1894, p. 33.
  129. a et b Travaux de la Société d'histoire et d'archéologie de Maurienne, 1978, p. 81.
  130. Michel Germain, Personnages illustres des Savoie : "de viris illustribus", Lyon, Autre Vue, , 619 p. (ISBN 978-2-915688-15-3, BNF 41276536), p. 399.
  131. Bernard Demotz, Le comté de Savoie du XIe au XVe siècle : Pouvoir, château et État au Moyen Âge, Genève, Slatkine, , 496 p. (ISBN 978-2-05-101676-6), p. 369.
  132. Mémoires et documents (Volume 34) de la Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, 1895, p. 283.
  133. Chablais, p. 259.
  134. a b et c Lucien Guy, « Les anciens châteaux du Faucigny - Château de Chuet (section) », Mémoires & documents, vol. 47,‎ , p. 155, généalogie de la branche cadette de Bonneville (lire en ligne).
  135. François de Mouxy de Loche, Histoire d'Aix-les-Bains, Chambéry, Imprimerie savoisienne, , p. 241 ou encore précisé dans Jean Aubert et Pierre Dumas, Catalogue des collections du Musée de Chambéry : sculptures, XIe – XXe siècles, Chambéry, Musée de Chambéry, , p. 20.
  136. Aix, p. 93.
  137. Gabriel Pérouse, Les environs de Chambéry : Guide historique et archéologique, La Fontaine de Siloé, coll. « Le Champ régional », , 389 p. (ISBN 978-2-908697-47-6), p. 114.
  138. Mémoires et documents de l'Académie Chablaisienne, 1955, p. 33.
  139. Ghislain Garlatti, Histoire des Marches : à l'ombre du Granier, chronique d'un village de Savoie, Montmélian, La Fontaine de Siloé, , 157 p. (ISBN 978-2-84206-343-6, BNF 41023791), p. 45.
  140. a et b John Baud, Armorial du Chablais, Thonon-les-Bains / Genève, Académie chablaisienne / Slatkine reprints, , 274 p. (ISBN 978-2-05-101288-1).
  141. Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Aix-les-Bains et ses environs - Les Bauges - La Chartreuse - La Combe de Savoie - Montmélian (vol. 2), Roanne, Éditions Horvath, , 463 p. (ISBN 978-2-7171-0310-6), p. 203. ([PDF]lire en ligne)
  142. a et b Fabienne Abetel-Béguelin, « de La Palud » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du .
  143. a et b SSHA, p. Volume 39 - 1900 - p. XXXVIII.
  144. a b et c Paul Guichonnet, Mémoires et document : Histoire d'Arthaz-Pont-Notre-Dame, t. 92-93, Académie salésienne, , 319 p. (lire en ligne), p. 90-91.
  145. Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, vol. 7, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, , 486 p., p. 131.
  146. Paul Guichonnet, Les monts en feu : la guerre en Faucigny, 1793, Académie salésienne, , 368 p. (ISBN 978-2-901102-11-3), p. 42.
  147. Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance, coll. « L'amateur Averti », , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 390.
  148. Gabriel Pérouse, Les environs de Chambéry : Guide historique et archéologique, La Fontaine de Siloé, coll. « Le Champ régional », , 389 p. (ISBN 978-2-908697-47-6), p. 43.
  149. Joseph Rochette et René Blanc, Saint-Rémy-de-Maurienne : Village aux mille sources, La Fontaine de Siloé, coll. « Savoie vivante », , 217 p. (ISBN 978-2-84206-054-1, présentation en ligne), p. 117.
  150. a et b Maurienne, p. 290 (lire en ligne).
  151. Maurienne, p. 255 (lire en ligne).
  152. a b c d e et f Marcel Gianada, « La famille noble de La Ravoire au service de l'Église », Vie religieuse en Savoie : mentalités, associations, no actes du XXXIe Congrès des sociétés savantes de Savoie, Annecy, 13-14 septembre 1986 - Académie salésienne,‎ , p. 241-250 (lire en ligne).
  153. Archivum heraldicum, Société Suisse d'Héraldique, Volumes 60 à 61, p. 14.
  154. Félix Bernard, Les Origines féodales en Savoie-Dauphiné : la vie et les rapports sociaux d'alors, Imprimerie Guirimand, , 39 p., p. 248.
  155. Gabriel Pérouse, Les environs de Chambéry : Guide historique et archéologique, La Fontaine de Siloé, coll. « Le Champ régional », , 389 p. (ISBN 978-2-908697-47-6), p. 120.
  156. Félix Bernard, Les Origines féodales en Savoie-Dauphiné : la vie et les rapports sociaux d'alors, Imprimerie Guirimand, , 596 p., p. 248 ; Félix Bernard, Le pays de Montmayeur : sa vallée du Coisin et le Bondeloge, Imprimerie Allier, , 214 p., p. 27.
  157. L'Armorial historique de Bresse de Edmond Révérend du Mesnil et Philibert Collet (1878) indique d'azur, à la fasce d'or, accompagnée de deux étoiles de même en chef et d'un croissant aussi d'or en pointe.
  158. Christian Regat et François Aubert, Châteaux de Haute-Savoie : Chablais, Faucigny, Genevois, Cabèdita, , 193 p. (ISBN 978-2-88295-117-5), p. 51.
  159. Charles Socquet, Megève et son passé, France Couleur, , 380 p., p. 345.
  160. a et b AS, p. Volumes 19 à 20 - 1806 - p. 83.
  161. AVI, p. Volume 3 - 1925 - p. 127.
  162. Faucigny, p. 400.
  163. Laurent Perrillat, L'apanage de Genevois aux XVIe et XVIIe siècles : pouvoirs, institutions, société, vol. 113, t. 2, Académie salésienne, , 1070 p. (lire en ligne), « Annexe n°4 : Listes des châtelains et fermiers de châtellenies de l'apanage aux XVIe et XVIIe siècles », p. 761.
  164. a b et c Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 619-623 (présentation en ligne).
  165. Claude Muller, Les mystères du Dauphiné, Éditions de Borée, , 423 p. (ISBN 978-2-84494-086-5), p. 254.
  166. Portrait de Charles de Rochette, Président du Sénat de Savoie, sur le site Joconde du Ministère de la Culture.
  167. Henri Voiron, À Bloye, autrefois : monographie d'une paroisse et commune de l'Avant-pays savoyard, Montmélian, La Fontaine de Siloé, coll. « Chronique de l'autrefois », , 255 p. (ISBN 978-2-84206-333-7, BNF 40246091), p. 31-32.
  168. Rivoire de La Bâtie, 1867, p. 629 (présentation en ligne).
  169. a b et c François Coutin, Histoire d'Alby : Les Sept Châteaux — La Commune — La Paroisse, t. 45, Annecy, Impr. commerciale, coll. « Mémoires & documents de l'Académie salésienne », (lire en ligne), p. 62-66.
  170. a et b François Coutin, Histoire d'Alby : Les Sept Châteaux — La Commune — La Paroisse, t. 45, Annecy, Impr. commerciale, coll. « Mémoires & documents de l'Académie salésienne », (lire en ligne), p. 66-68.
  171. Chablais, p. 315.
  172. Paul Guichonnet, Mémoires et document : Histoire d'Arthaz-Pont-Notre-Dame, t. 92-93, Académie salésienne, , 319 p. (lire en ligne), p. 90.
  173. A. Rouget, A. Vachez, Monuments historiques de France publiés par départements : Haute-Savoie, Lyon, Archives départementales de la Savoie, (lire en ligne), « 28. L'Échelle ».
  174. a b et c James Galiffe, Notices généalogiques sur les familles genevoises : depuis les premiers temps, jusqu'à nos jours (vol. 1), Genève, (lire en ligne), p. 172-174.
  175. Joseph Dessaix, « Vie politique et militaire du général Dessaix », p. 22 (lire en ligne), p. 441 (lire en ligne), publié dans les Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie, troisième série, tome V, Impr. générale savoisienne, Chambéry, 1879.
  176. Joseph de Champeaux, Devises. cris de guerre, légendes, dictons, , p. 248.
  177. Jean Nicolas, La Savoie au XVIIIe siècle : Noblesse et bourgeoisie, La Fontaine de Siloé, , 1242 p. (ISBN 978-2-84206-222-4), p. 37.
  178. a b c d et e Martine Piguet, « Sallenove, de » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du ..
  179. a b c et d Roberto Biolzi, « Viry, de » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du ..
  180. Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, Genève, Société d'histoire et d'archéologie, , p. 71.
  181. Jean Brunier, Petite et grande histoire de Mercury, La Fontaine de Siloé, , 255 p. (ISBN 978-2-84206-106-7), p. 218, Article « Blason des Sallier de La Tour ».
  182. AVI, p. Volume 10 - 1938 - p.257.
  183. Tarentaise, p. 293.
  184. Faucigny, p. 208.
  185. SSHA, p. Volume 50 - 1911 - p.332.
  186. a et b Bernard Demotz, 1000 ans d'histoire de la Savoie : La Maurienne, Cléopas, , 845 p. (ISBN 978-2-9522459-7-5), p. 49.
  187. Tarentaise, p. 292 [PDF] (lire en ligne).
  188. Bruno Galland, Les papes d'Avignon et la Maison de Savoie : 1309-1409, Collection de l'École française de Rome, 512 p. (ISBN 978-2-7283-0539-1), p. 62.
  189. Guichonnet85, p. 89-90.
  190. a b et c Matthieu de la Corbière, « Ternier (de) » dans le Dictionnaire historique de la Suisse en ligne, version du ..
  191. Joseph de Champeaux, Devises. cris de guerre, légendes, dictons, , p. 277.
  192. Pierre Duparc, Le comté de Genève, IXe – XVe siècle, t. XXXIX, Genève, Société d'histoire et d'archéologie de Genève, coll. « Mémoires et Documents » (réimpr. 1978) (1re éd. 1955), 616 p., p. 517 note de bas de page n°9.
  193. a b et c Guichonnet85, p. 91-92.
  194. Faucigny, p. 314.
  195. Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, vol. 7, Société d'histoire et d'archéologie de Genève (réimpr. 1978) (1re éd. 1956), 486 p., p. 324.
  196. SSHA, p. Volume 33 - 1894 - p.60, note de bas de page.
  197. AdS, p. Tome I - 1953 - p.29, Il est fait mention en 1272 de Antelme de Verdon dit fils de Ogier de Chignin.
  198. Louis Blondel, Châteaux de l'ancien diocèse de Genève, vol. 7, Société d'histoire et d'archéologie de Genève (réimpr. 1978) (1re éd. 1956), 486 p., p. 71.
  199. Grillet, p. 435 et suivantes.

Voir aussi

modifier

Bibliographie

modifier

Armoriaux

modifier
  • Thierry d'Asnières de Veigy et Damien Greyfié de Bellecombe, Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie : ou état de la noblesse savoyarde subsistante, vol. 1, Rumilly, Association des Continuateurs de l'Armorial de Savoie, , 629 p. (ISBN 979-10-699-6074-9), p. 21 familles.
  • Thierry d'Asnières de Veigy, Damien Greyfié de Bellecombe et Christian Regat, Armorial et nobiliaire de l'ancien duché de Savoie : ou état de la noblesse savoyarde subsistante, vol. 2, Rumilly, Association des Continuateurs de l'Armorial de Savoie, , 632 p. (ISBN 978-2-95903-850-1), p. 21 familles.
  • André Borel d'Hauterive, Annuaire de la Noblesse de France et des Maisons souveraines, vol. 18e année, Grenoble, Allier Frères, (ISSN 2019-8086, lire en ligne), p. 373-388, « Nobiliaire de Savoie ».
  • Gustave Chaix d'Est-Ange, Dictionnaire des familles françaises anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, t. 10, Évreux, impr. de C. Hérissey, 1903-1929 (lire en ligne).
  • (it) Alessandro Franchi-Verney, Armerista delle famiglie nobili e titolate della Monarchia di Savoia (Savoia, Val d'Aosta, Piemonte, Liguria, contea di Nizza, Sardegna), Turin, Bocca, , XVI - 242 p. (lire en ligne) (Réédition 1929, 1985, 2010)
  • (it) Francesco Agostino della Chiesa, Fiori di blasoneria per ornare la corona di Savoja, Turin, , 73 p. (lire en ligne)
  • Amédée de Foras, continué par François-Clément de Mareschal de Luciane, Armorial et Nobiliaire de l'Ancien Duché de Savoie, vol. 5, Grenoble, Allier Frères, 1863-1910 (lire en ligne). Volumes consultables sur Gallica
    • Volume 1 : Achard-Chevaliers de l'ordre de... (lire en ligne)
    • Volume 2 : Chevelu (de)- Forestier (lire en ligne)
    • Volume 3 : Fornerat - Menthonay (lire en ligne)
    • Volume 4 : Merande-Portier de Mauriène
    • Volume 5 : Portier de Rumilly - Vulliet
  • Henri Jougla de Morenas et Raoul de Warren, Grand armorial de France : catalogue général des armoiries des familles nobles de France, comprenant les blasons des familles ayant possédé des charges dans le royaume et de celles ayant fait enregistrer leurs armoiries en 1696, de la noblesse de l'Empire, des anoblissements de la Restauration, donnant les tableaux généalogiques de familles confirmées dans leur noblesse entre 1660 et 1830 (sept volumes), Société du Grand armorial de France, 1934-1952 (BNF 34209165). L'ouvrage est composé de sept volumes répartis ainsi :
  • Gustave de Rivoire de La Bâtie, L'armorial de Dauphiné : contenant les armoiries figurées de toutes les familles nobles & notables de cette province, accompagnées de notices généalogiques complétant jusqu'à nos jours les nobiliaires de Chorier et de Guy Allard, Lyon, impr. de L. Perrin, (lire en ligne)

Travaux des sociétés savantes de Savoie

modifier

Travaux spécifiques

modifier
  • Guido Castelnuovo, « Nobles des champs ou nobles de cour ? Princes et noblesse dans les chroniques savoyardes du XVe siècle », dans Marco Gentile, Pierre Savy, Noblesse et États princiers en Italie et en France au XVe siècle, Rome, École française de Rome, coll. « École française de Rome », , 420 p. (ISBN 978-2-7283-0839-2, lire en ligne [PDF]), chap. 416, p. 191-208.
  • Collectif, Noblesse en Savoie, Chambéry, Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, coll. « L'Histoire en Savoie », décembre 1998-mars 1999, 256 p., chap. 132-133.
  • Marcel-Robert Sauthier, « Cent ans de recherches généalogiques en Savoie. L'Armorial et Nobiliaire de Savoie (1863-1963) », Revue Savoisienne, Annecy, Imprimerie de Louis Thésio,‎ , p. 179-205 (lire en ligne).

Ouvrages sur les communes et les provinces

modifier
  • Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno et André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes, vol. 1 : Chambéry et ses environs. Le Petit Bugey, Roanne, Éditions Horvath, , 475 p. (ISBN 978-2-7171-0229-1).
  • Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Aix-les-Bains et ses environs - Les Bauges - La Chartreuse - La Combe de Savoie - Montmélian (vol. 2), Roanne, Éditions Horvath, , 463 p. (ISBN 978-2-7171-0310-6).
  • Michèle Brocard, Maurice Messiez-Poche, Pierre Dompnier, Histoire des communes savoyardes : La Maurienne - Chamoux - La Rochette (vol. 3), Roanne, Éditions Horvath, , 558 p. (ISBN 978-2-7171-0289-5).
  • Marius Hudry, Histoire des communes savoyardes : Albertville et son arrondissement (vol. 4), Roanne, Éditions Horvath, , 444 p. (ISBN 978-2-7171-0263-5).
  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Histoire des communes savoyardes : Le Chablais, Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 978-2-7171-0099-0).
  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4).
  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Jean-Bernard Challamel, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes. Le Genevois et Lac d'Annecy (Tome III), Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 2-7171-0200-0).
  • Jean-Louis Grillet, Dictionnaire historique, littéraire et statistique des départements du Mont-Blanc et du Léman, contenant l'histoire ancienne et moderne de la Savoie, vol. 3, t. 2, Chambéry, J.F. Puthod, .

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :