Chignin
Chignin est une commune française située dans le département de la Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Chignin | |||||
Chignin et son vignoble au pied des Bauges. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Savoie | ||||
Arrondissement | Chambéry | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur de Savoie | ||||
Maire Mandat |
Michel Ravier 2020-2026 |
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Code postal | 73800 | ||||
Code commune | 73084 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Chignerains | ||||
Population municipale |
924 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 111 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
220 118 hab. (2013) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 31′ 30″ nord, 6° 00′ 47″ est | ||||
Altitude | Min. 276 m Max. 1 254 m |
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Superficie | 8,32 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Chambéry (banlieue) |
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Aire d'attraction | Chambéry (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Montmélian | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Savoie (département)
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | chignin.fr | ||||
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Géographie
modifierSituation
modifierLa commune de Chignin est située sur les contreforts sud-occidentaux du massif des Bauges à 10 km au sud-est de Chambéry. Son altitude varie de ce fait de 276 m à 1 254 m.
Chignin est composé des hameaux de Montlevin, Torméry, le Plat des moulins, le Chef-lieu, les Côtes, le Viviers, le Villard et, de l'autre côté de l'ex-RN 6, Chignin-Gare.
Le village est dominé par un rocher, le roc de Tormery, qui même sous l'effet de la dynamite au début du XXe siècle, ne céda pas.
Communes limitrophes
modifierLa commune de Chignin est limitrophe de cinq communes : au nord et à l'est par Curienne et La Thuile dans le massif des Bauges, et au sud et à l'ouest par Porte-de-Savoie (Francin et Les Marches), Myans et Saint-Jeoire-Prieuré.
Voies de communication et transports
modifierTransport routier
modifierLa commune de Chignin est desservie par l'autoroute A43, reliant Lyon à l'Italie, par la gare de péage de Chignin, située au sud du chef-lieu. L'autoroute contourne toutefois le territoire de la commune au sud-ouest sans le traverser.
Chignin est par ailleurs traversé par la Route départementale 1006, portion de l'ancienne Route nationale 6 en direction de l'Italie, passant au pied du massif des Bauges à l'ouest et au sud du chef-lieu.
Transport ferroviaire
modifierLa ligne ferroviaire de Culoz à Modane (frontière) dite aussi « ligne de la Maurienne » traverse Chignin dans la plaine en partie le long de la RD 1006. Depuis la fermeture de la gare de Chignin - Les Marches au début des années 2000, les gares ferroviaires les plus proches sont celles de Chambéry - Challes-les-Eaux au nord, desservie par des TER Auvergne-Rhône-Alpes et des TGV, et la gare de Montmélian au sud, desservie uniquement par des TER.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du nord, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 200 à 1 500 mm, irrégulièrement répartie en été[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 348 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Challes les Eaux », sur la commune de Challes-les-Eaux à 3 km à vol d'oiseau[3], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 147,6 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Chignin est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle appartient à l'unité urbaine de Chambéry[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 35 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[8],[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chambéry, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[9]. Cette aire, qui regroupe 115 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (55,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (39,9 %), forêts (38,7 %), zones agricoles hétérogènes (13,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1 %), zones urbanisées (0,1 %)[12].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
-
Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Toponymie
modifierLe toponyme Chignin semble provenir, selon le chanoine Adolphe Gros, du nom d'un domaine gallo-romain Canianum, qui dérive du gentilice Can[n]ius[13],[14]. Ainsi, en francoprovençal, ca, initial, est devenu chi, et la finale -ianum a produit ien, in[14].
Les premières mentions de la paroisse donnent Capella de castro Chinino ou encore Ecclesia Chinino dans le Cartulaire de Grenoble — le décanat de Savoie dépendait de l'évêché de Grenoble — au cours du XIIe siècle[14]. Au cours du XIIIe siècle, on trouve également les formes Chinnis (1205), Chininis (1207), Chininum (1244), Chinins (1255), Cinnins (1260) ou encore Chinis[13],[14]. Puis les formes Chigniens (1379) ou encore Chigninum (1488)[13],[14].
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Shenyin (graphie de Conflans) ou Chegnin (ORB)[15].
Histoire
modifierLa borne milliaire de l'an 285 découverte à Torméry près de Chignin[16] permet de situer le passage sur le côté est de la combe de Savoie d'une voie romaine[17] qui joignait Vienne à Milan[16].
Au Moyen Âge, on relève l'existence de deux mottes castrales[18].
Politique et administration
modifierLa commune est membre de la Communauté de communes Cœur de Savoie. Elle appartient au territoire du Cœur de Savoie, qui regroupe une quarantaine de communes de la combe de Savoie et du val Gelon[19].
Démographie
modifierSes habitants sont les Chigneraines et Chignerains[20],[21].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[23].
En 2021, la commune comptait 924 habitants[Note 4], en évolution de +6,08 % par rapport à 2015 (Savoie : +3,33 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierL'activité économique de Chignin est essentiellement la viticulture. Jusqu'en 2012, un important dépôt pétrolier était situé sur la commune.
Une barrière de péage autoroutier est sur le territoire de la commune. Elle est le terminus de 3 branches d'autoroute à péage: A43 Modane-Chambéry, A430-A43 Albertville-Chambéry et A41-A43 Grenoble-Chambéry.
Le commune fait partiellement partie de l'aire géographique de production et transformation du « Bois de Chartreuse », la première AOC de la filière Bois en France[26],[27].
Viticulture
modifierSur le territoire de la commune, on produit :
- le chignin
- Le chignin est un vin blanc. L'AOC chignin a été obtenue en 1973. Elle couvre une partie de la surface communale, soit 830 hectares. Sa production est de 8 000 hectolitres. La vigne est élevée sur les pentes du village exposées sud ou sud-ouest. Il utilise le cépage jacquère. Le chignin est un vin qui doit être bu jeune ;
- le chignin-bergeron
- Le chignin-bergeron est un vin blanc qui utilise le cépage roussanne, localement appelé le bergeron. Son AOC chignin-bergeron a été obtenue en 1973 ; elle couvre une partie du territoire communal et s'étend sur les villages de Francin et Montmélian ;
- la Roussette-de-savoie, vin blanc de Savoie au goût fruité et à la robe jaune clair ;
- le gamay de Savoie ;
- la Mondeuse, mono-cépage de réputation.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierTours de Chignin
modifierLes tours de Chignin se dressent aux lieux-dits Bourdeau, Montagny et Les Tours, sur un plateau à 0,6 kilomètre à l'ouest–nord-ouest de l'église du bourg. Au nombre de sept, elles formaient un ancien camp retranché. Il subsiste les ruines de certaines d'entre elles.
Les tours de Chignin et le site archéologique dont elles font partie font l’objet d’une inscription au titre des monuments historiques depuis le 18 février 1991[28].
Statue de Notre-Dame des Champs et des Vignes au lieu-dit Saint-Anthelme.
Revel
modifierCette maison du XVIIe siècle, restaurée, se situe à l'angle du chemin de Tormery et de la Chapelle.
Chapelle de l'Annonciation
modifierPersonnalités liées à la commune
modifier- Saint Anthelme de Chignin, né à Chignin en 1107 et mort en 1178 à Belley (Ain), fut évêque, seigneur de Belley et prince du Saint-Empire romain germanique ;
- Bernard de Chignin, archevêque-comte de la Tarentaise de 1221 à 1222 ;
- Herluin de Chignin, archevêque-comte de la Tarentaise de 1224 à 1248 ;
- Père Gervais Quenard (1875-1961), supérieur général des Assomptionnistes ;
- Magdeleine de Buttet (1882-1974). Ancienne infirmière-major à l'hôpital militaire de Chambéry au service des grands blessés de la guerre 1914-1918, elle fonda après la guerre le Clos Saint-Anthelme à Chignin au profit des personnes convalescentes.
Héraldique
modifierDe gueules, au chevron d'hermines issu de la famille noble de Chignin. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Association de l'Histoire en Cœur de Savoie, 1000 ans d'histoire en Cœur de Savoie, Neva Éditions, , 1027 p. (ISBN 2-3505-5281-0 et 978-2-35055-281-1, OCLC 1202710836), « Chignin », p. 252-279
- Michèle Brocard, Lucien Lagier-Bruno, André Palluel-Guillard, Histoire des communes savoyardes : Aix-les-Bains et ses environs - Les Bauges - La Chartreuse - La Combe de Savoie - Montmélian (vol. 2), Roanne, Éditions Horvath, , 463 p. (ISBN 978-2-7171-0310-6), p. 289-293. ([PDF] lire en ligne)
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Site officiel
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Chambéry comprend deux villes-centres (Aix-les-Bains et Chambéry) et 33 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Chignin et Challes-les-Eaux », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Challes les Eaux », sur la commune de Challes-les-Eaux - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Challes les Eaux », sur la commune de Challes-les-Eaux - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Chambéry », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Chignin ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chambéry », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- D'après Henry Suter, « Chignin », Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs, sur henrysuter.ch, Henry Suter, 2000-2009 (consulté le ).
- Adolphe Gros, Dictionnaire étymologique des noms de lieu de la Savoie, La Fontaine de Siloé, (réimpr. 2004, 2021) (1re éd. 1935), 519 p. (ISBN 978-2-84206-268-2, lire en ligne), p. 127..
- Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 20Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou..
- [Rémy & Ferber 1993] Bernard Rémy et Emmanuel Ferber, « Découverte d'une borne milliaire de Dioclétien dans la cité de Vienne, Chignin (Savoie) », Zeitschrift für Papyrologie und Epigraphik, no 97, , p. 272-274 (voir p. 273) (lire en ligne [sur academia.edu], consulté en ).
- [Garein] Martine Garein, « Une hypothèse nouvelle pour la voie romaine en Combe de Savoie », Bulletin de l'Association des amis de Montmélian et de ses environs, no 90, , p. 6-10 (voir p. 7) (lire en ligne [PDF] sur cruet.np.free.fr, consulté en ).
- Élisabeth Sirot, Introduction à l'archéologie médiévale.
- Direction départementale des Territoires de la Savoie, « Territoire du Coeur de Savoie », sur le site de la Direction départementale des Territoires - observatoire.savoie.equipement-agriculture.gouv.fr (consulté en ), Observatoire des Territoires de la Savoie.
- « Chignin », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté le ), Ressources - Les communes.
- Félix Bernard, « Chignin ou la capitale de la Sapaudia », Mémoires de l'Académie des sciences, belles-lettres et arts de Savoie, vol. série 6 tome 2, , p. 39 (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Information Presse du 5 novembre 2018 : Le Bois de Chartreuse obtient la première AOC Bois en France. Une première dans la filière bois !, site officiel du Bois de Chartreuse.
- Cahier des charges de l’appellation d’origine « Bois de Chartreuse », homologué par l’arrêté du 23 octobre 2018 publié au JORF du 31 octobre 2018, Bulletin officiel du Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, n° 2018-46 (.PDF).
- « Site archéologique de Chignin », notice no PA73000015, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.