Magland
Magland est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes. Ses habitants sont les Maglanchards et les Maglanchardes. Elle se situe dans la vallée de l'Arve et borde la rivière du même nom (l'Arve).
Magland | |||||
Centre-ville de Magland. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Haute-Savoie | ||||
Arrondissement | Bonneville | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cluses-Arve et Montagnes | ||||
Maire Mandat |
Johann Ravailler 2020-2026 |
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Code postal | 74300 | ||||
Code commune | 74159 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Maglanchards | ||||
Population municipale |
3 251 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 81 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 01′ 22″ nord, 6° 37′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 483 m Max. 2 649 m |
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Superficie | 40,32 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Magland (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Cluses (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Sallanches | ||||
Législatives | Sixième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Haute-Savoie
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | magland.fr | ||||
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Géographie
modifierDescription
modifierLa commune de Magland se situe dans la vallée de l'Arve entre Cluses et Sallanches, parfois incluse dans la cluse de l'Arve dans sa définition la plus large. Elle se compose de plusieurs grands hameaux tels que Gravin, Balme, Oëx, Luth, les Villards et appartient au canton de Sallanches. Elle s'étend du massif des Aravis (pointe d'Areu, 2 478 m), plus précisément de la chaîne du Reposoir, jusqu'au massif du Giffre (sommet du petit Colonné, 2 600 m). La moitié de Flaine fait partie de la commune de Magland et l'autre moitié d'Arâches.
Réseau de communication
modifierLa commune est traversée par la ligne de La Roche-sur-Foron à Saint-Gervais-les-Bains-Le Fayet. La gare de Magland est desservie par des trains régionaux[1]. Deux anciennes gares sont fermées : Balme-Arâches et Oëx.
Magland est également traversée par l'autoroute A40 mais les sorties les plus proches sont celles de Sallanches et de Cluses-Centre. La route RD 205 (anciennement RN 205) traverse le centre de Magland. Le projet de Funiflaine, qui a été abandonné en 2022, aurait dû relier la vallée de l'Arve, au lieu-dit de Bellegarde, à la station de Flaine.
Communes limitrophes
modifierCluses | Arâches-la-Frasse | |||
Nancy-sur-Cluses | N | Sixt-Fer-à-Cheval | ||
O Magland E | ||||
S | ||||
Le Reposoir | Sallanches | Passy |
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Magland est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[2]. Elle appartient à l'unité urbaine de Magland[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[3],[4]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cluses, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[4]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[5],[6].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (53,7 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (22 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,2 %), zones urbanisées (6,6 %), zones agricoles hétérogènes (5 %), prairies (3,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,7 %)[7].
L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
-
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols en 2018 (CLC) de la commune.
-
Carte orthophotogrammétrique de la commune.
Toponymie
modifierMagland est mentionné sous les formes Maglenz, vers 1344, Maglans, en 1432[8]. Théodore Perrenot, auteur de La toponymie burgonde (1942), considérait qu'il pouvait s'agir d'un ancien nom d'origine burgonde *Maglens, dérivant d'un primitif *Magilingos, « chez les Magilingi »[8],[9].
En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Magyan, selon la graphie de Conflans[10].
Histoire
modifierL'émigration intense en 1726, vers la Suisse, puis vers l'Allemagne, pour exercer le métier de chaudronnier, permet aux habitants de Magland d'obtenir monopole du travail du cuivre, auquel s'ajoutait le trafic du métal usagé et le commerce ou la contrebande d'or et d'argent.
Cette émigration facilite l'installation de l'horlogerie dans la commune qui profite des anciennes relations commerciales qu'elle entretenait dans les régions de la langue allemande.
Cette commune de la vallée de l'Arve, la plus vaste du canton de Cluses, est riche d'une importante industrie du décolletage.
L'avalanche de Gravin
modifierLe 26 février 1844 à dix heures du soir, le hameau de Gravin fut victime d'une forte avalanche, cette dernière s'étant arrêtée au niveau du pont qui traverse le torrent où se trouvait le moulin de la famille Cartier. La panique gagna rapidement les habitants du village, la maison ainsi que le moulin des Cartier ayant disparu sous la neige. Parmi les dégâts qui peuvent également être soulignés, la maison des Ravinet dont la toiture a été arrachée[11].
Le ménage des Cartier se composait à cette période du père, Joseph Cartier, de sa femme Angélique Delaplagne, de leurs deux fils Jean-Pierre et Alexandre Cartier, ainsi que de Louis Cartier (le frère de Joseph). La première personne retrouvée fut Louis Cartier, trouvé mort derrière la porte d'entrée enfoncée par l'avalanche. Ce fut ensuite autour d'Angélique Delaplagne d'être retrouvée également sans vie, étranglée par une poutre sur son lit. Le mari, Joseph Cartier, fut quant à lui trouvé sain et sauf, tout comme son fils Jean-Pierre réfugié dans le pèle. Ce ne fut toutefois que sur les onze heures du matin le lendemain que le fils, Alexandre, fut enfin dégagé des décombres. Ses membres étaient congelés, mais grâce aux bons soins prodigués par l'abbé Dubettier, alors vicaire, la victime fut rapidement rétablie[11].
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierJumelages
modifierMagland est jumelée avec la commune italienne Barzio de la province de Lecco dans la région Lombardie en Italie.
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[15].
En 2021, la commune comptait 3 251 habitants[Note 3], en évolution de −1,51 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierCe village comporte trois écoles : l'école primaire du Chef-Lieu, l'école primaire de Gravin et l'école maternelle.
Magasins
modifierMagland abrite quelques magasins comme des boulangeries, un Super U (depuis fin 2014), un bureau de tabac, une pharmacie, des boucheries, une fromagerie. Jusqu'en 2018 Magland disposais d'un Petit Casino qui ferma définitivement[18].
Associations
modifier- Associations Sportives[19]
Nom | President(e)s actuel(le)s | Notes |
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Ski Club de Magland | Sébastien Moenne | 65 enfants licenciés (2019)[20] |
A 2 Motards | Jérôme Leseurre | |
Club de foot USM | Philippe Riand | club féminin en entente avec le Cluses Scionzier Football Club[21] |
Inter Club Magland Desert Blanc (ski club) | François Simond | Compétition et loisir[22] |
Judo Club de Magland | Bertrand Vauthay | Compétition et loisir (éducatif)[23] |
Les foulées de l'Arve | Catherine Hubault | Marche nordique et running[24] |
Magland Badminton | Yohann David Jung | |
Moto Club les Pots Rouges | Karl Leroy | |
Pétanque Maglancharde | Jérôme Perret | |
Saut de falaise de la Vallée de l’Arve et du Griffe | Cédric Rabinand | [25] |
TEAM GAYPE | Mathieu Gay-Perret | |
Tennis Club de Magland | Karyne Stolcis |
Culture et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierMagland abrite plusieurs lieux et monuments :
- Église dédiée au saint patron Maurice, dans un style néo-classique dit « sarde »[Note 4], édifiée par le maître-maçon Joseph Pelissier, de Samoëns ;
- Maison forte de Loche (1372), rue Nationale, aménagée en auberge au XXe siècle. Elle est inscrite en 1994, au titre des Monuments historiques[28] ;
- Château ou tour de Bellegarde (maison forte attestée dès 1367)[29],[30], son pseudo-crénelage servait à l'aération des combles, car il n'était pas rare de conserver les récoltes dans les « greniers »[31] ;
- Maison forte de Thural[32] ;
- Tour Clerton (indice) ;
- Tour Noire (1476) ;
- Maison forte du Crochet (1307) ;
- Grotte de Balme ;
- Station de ski de Flaine est implanté sur le territoire de la commune ;
- Carrière de Magland, créée en 1880 et la fin de son exploitation est en 2002. Elle a permis de construire des routes, des chemins de montagne. Par exemple sa pierre a permis de construire la gare de Magland[réf. nécessaire] ;
- Cascade de Magland, accessible à partir d'un sentier de randonnée, derrière la mairie ;
- Cascade d'Oëx.
Espaces verts et fleurissement
modifierEn 2014, la commune obtient le niveau « une fleur » au concours des villes et villages fleuris[33].
Gastronomie
modifierHéraldique
modifierBlason | Tranché : au premier d'azur à la marque au quatre de chiffre des colporteurs savoyards d'or, au second de gueules aux trois glands d'or posés à plomb mal ordonnés ; à la cotice d'argent brochant sur la partition. |
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Détails |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 271-276 « Magland ».
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Le style néoclassique est régulièrement qualifié de style « sarde » en Savoie afin de souligner son origine étrangère à la Savoie et que « cela produit des édifices un peu conventionnels »[26], voire « rigide[s] »[27]. Il fait son apparition à la suite de la Restauration de la Maison de Savoie en Savoie à partir de 1815.
- Cartes
- IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
Références
modifier- Site ter-sncf.com : Gare de Magland (consulté le 24 janvier 2014).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Magland », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Magland ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cluses », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Henry Suter, « Magland », sur le site d'Henry Suter, « Noms de lieux de Suisse romande, Savoie et environs » - henrysuter.ch, 2000-2009 (mis à jour le 18 décembre 2009) (consulté en ).
- Théodore Perrenot, La toponymie burgonde, Editions des régionalismes, coll. « Arremoludas » (réimpr. 2017) (1re éd. 1942), 260 p. (ISBN 978-2-8240-0760-1, lire en ligne), p. 163.
- Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 14Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
- Mairie de Magland, Magland Images d'hier et d'aujourd'hui, Manchecourt, Maury-Eurolivres, , 92 p. (ISBN 2-9514384-0-0), p. 70
- Mairie de Magland, Magland Images d'hier et d'aujourd'hui, Manchecourt, Maury-Eurolivres, , 92 p. (ISBN 2-9514384-0-0), p. 14
- Océane Trouillot, « Magland: Johann Ravailler a pris ses fonctions de maire », La Savoie, (lire en ligne).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Registre des sociétés, « L'établissement PETIT CASINO - 74300 en détail », sur societe.com, (consulté le ).
- « Associations - Commune touristique », sur magland.fr (consulté le ).
- « Magland - L’hiver fut bon pour le club de ski qui arrive à fidéliser ses licenciés. Le ski club a l’heure du bilan de fin de saison », sur ledauphine.com (consulté le ).
- « Soutiens ton club », sur soutienstonclub.fr (consulté le ).
- « INTER-CLUB MAGLAND DESERT-BLANC | Le comité Mont-Blanc - FFS », sur ski74.fr (consulté le ).
- « MONT-BLANC JUDO - JUDO JUJITSU - SALLANCHES, PASSY, MEGEVE, MAGLAND », sur ffjudo.com (consulté le ).
- « Ville: Magland - www.marche-nordique.net », sur marche-nordique.net (consulté le ).
- « Saut de Falaise Arve & Giffre – Association de saut de falaise (BASE Jump) des vallées de l'Arve et du Giffre » (consulté le ).
- Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, Parc naturel régional du Massif des Bauges, Les Bauges : entre lacs et Isère. Histoire et patrimoine, vol. 107, Société savoisienne d'histoire et d'archéologie, coll. « Mémoires et Documents », , 350 p. (ISBN 978-2-85092-000-4), p. 119.
- Art et archéologie en Rhône Alpes, n°4, 1988, p.134.
- « Maison-forte de Loche », notice no PA00132830, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Lucien Guy, « Les anciens châteaux du Faucigny - Château de Bellegarde (section) », Mémoires & documents, vol. 47, , p. 200-202 (lire en ligne).
- Georges Chapier, Châteaux Savoyards : Faucigny, Chablais, Tarentaise, Maurienne, Savoie propre, Genevois, La Découvrance, coll. « L'amateur Averti », , 410 p. (ISBN 978-2-84265-326-2), p. 48-49.
- Élisabeth Sirot, Noble et forte maison : L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe au début du XVIe, Paris, Editions Picard, , 207 p. (ISBN 978-2-7084-0770-1), p. 95.
- Élisabeth Sirot, Noble et forte maison : L'habitat seigneurial dans les campagnes médiévales du milieu du XIIe au début du XVIe, Paris, Editions Picard, , 207 p. (ISBN 978-2-7084-0770-1), p. 117.
- « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).