Le Cinéma du dimanche soir
Le Cinéma du dimanche soir est une case de programmation hebdomadaire de télévision hebdomadaire diffusant un film « grand public » en première partie de soirée, présente à l'atenne du au sur TF1. Ce rendez-vous est renommé Ciné Dimanche, à partir du 14 mai 1989.
Le Cinéma du dimanche soir | ||||||||
TF1 Le Cinéma du dimanche soir 1977. | ||||||||
Programme adapté | NBC Saturday Night at the Movies' | |||||||
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Réalisation | Con Pederson (générique image) |
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Musique | Vladimir Cosma | |||||||
Pays | France | |||||||
Langue | Français | |||||||
Programme similaire | Ciné Dimanche Le Film ce soir |
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Production | ||||||||
Format d’image | 4/3 | |||||||
Production exécutive | Robert Abel & Associates (générique image) |
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Société de production | TF1
Robert Abel & Associates |
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Diffusion | ||||||||
Diffusion | TF1 | |||||||
Date de première diffusion | ||||||||
Date de dernière diffusion | ||||||||
Public conseillé | Tout public | |||||||
Chronologie | ||||||||
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Historique
modifierHistoriquement, depuis le début des années 1950, la case du dimanche soir à 20h30 sur la chaîne publique RTF Télévision devenue la première chaîne de l'ORTF en 1964, consacre la diffusion d'un « grand film » de cinéma ou Film du dimanche soir[1].
Dès les débuts de la télévision publique française nationale en 1945, la diffusion de longs-métrages de cinéma permet de combler l'antenne avec des contenus de qualité et ne nécessitant pas de grands moyens humains et techniques, notamment grâce à l'utilisation du télécinéma[2]. Dès l'année 1945[3], cet appareil mécanique, électronique et optique associe une caméra vidéo capturant l'image d'un petit écran dépoli où est projeté un film, enregistré sur pellicule[4], généralement synchronisé à 25 images par seconde au lieu des 24 i/s, ce qui provoque une légère accélération du tempo du film et de la piste sonore lors de sa télédiffusion[5].
À partir de 1949, une règle tacite visant à ne pas trop concurrencer l'industrie du cinéma limite la diffusion d'un grand film à la soirée du dimanche[6], pour éviter les effets observés en Amérique du Nord à cette période sur la chute de fréquentation des salles de cinéma au profit du grand succès des films à la télévision, secteurs dont les relations sont parfois complexes[7]. Le dimanche connaît également une autre programmation cinéma l'après-midi sur la première chaîne, durant la période de la RTF puis de l'ORTF[8].
Ainsi à cette période, le cinéaste Marcel L’Herbier appelle l’État français à définir une certaine chronologie des médias permettant de préserver l’activité des deux secteurs[9]. Par ailleurs, la diffusion d'un grand film le dimanche soir répond aussi pour les dirigeants de la télévision, d'un besoin de repos pour les équipes techniques fortement sollicitées le reste de la semaine[10].
Durant les années 1950 à 2005, le film du dimanche soir sur la première chaîne reste un rendez-vous récurrent[11] ,[12].
À partir des années 1960, la télévision française adopte d'une grille horaire visant à fidéliser et habituer le téléspectateur à des rendez-vous réguliers parmi lesquels la case film du dimanche soir sur la première chaîne[13]. Le rendez-vous cinéma de la soirée dominicale sur la première chaîne se consolide[14],[15].
Au tout début des années 1970, les sondages de mesure d'audience et de satisfaction de l'ORTF placent le film du dimanche soir sur la première chaîne parmi les programmes préférés des français, obtenant de 15,6 à 18,2 millions de téléspectateurs[16]. Malgré quelques tentatives alternatives[17], le film du dimanche soir reste plébiscité par le public. Même quelques mois après l'éclatement de l'ORTF en 1975, le film de la soirée dominicale domine l'audience télévisuelle et permet à TF1 conserver sa première place[18]. En dehors de quelques retransmissions en direct exceptionnelles de sport, de soirées électorales, d'importants événements d'actualité ou lors des périodes de fêtes de fin d'année, le film du dimanche soir est maintenu sur la première chaîne de l'ORTF devenue TF1 en 1975.
Jusqu'en 1975, les trois chaînes de télévision française ont une programmation complémentaire pilotée par leur tutelle commune, l'Office de radiodiffusion-télévision française. Après l'éclatement de l'ORTF, une certaine concurrence s'intensifie entre les deux chaînes publiques principales TF1 et Antenne 2, dont les missions sont similaires[19].
Après avoir longtemps exploité l'image en noir et blanc et l'ancienne norme de haute définition 819 lignes, la première chaîne historique TF1 en couleur depuis 1975, diffuse chaque dimanche soir à 20h30 ou 20h40, un film « grand public » désormais sous le titre chapeau Le Cinéma du dimanche soir, à partir de décembre 1977. Le film du dimanche soir est accueilli favorablement par le public et complémente le film du mardi diffusé depuis 1967, dans Les Dossiers de l'écran sur la deuxième chaîne. Cependant, la baisse de fréquentation des salles de cinéma due à la concurrence de la télévision se poursuit durant les années 1970[20]. Dans les années 1980, le jeu d'aventure La Chasse aux Trésors diffusé de 1981 à 1984 sur Antenne 2 est l'une des rares émissions susceptibles de concurrencer le film du dimanche soir. La deuxième chaîne tentera également de programmer sur le même créneau Les Enquêtes du commissaire Maigret à la fin de la décennie ; avec un résultat mitigé[21]. À partir du , l'émission Sport dimanche soir est programmée à la suite du film[22] de TF1.
Selon un rapport d'information du Sénat, les recettes publicitaires des films diffusés à la télévision (quasi négligeables jusqu'au début des années 1980) ont progressé à un rythme rapide entre 1982-1991, plus 30 % par an, en moyenne[23]. En l'occurrence, et dans une logique de marché, le magazine Sport dimanche soir est supprimé le laissant place à une soirée composée de deux films avec Ciné Dimanche. En première partie, un film récent, en seconde un film classique destiné aux cinéphiles avertis[22].
Tentatives de programmation alternative
modifierLa deuxième chaîne de l'ORTF, concurrente directe de la Une, tente dès l'année 1969 de programmer à son tour, un film au même créneau horaire le dimanche soir avec un certain avantage, car elle diffuse ses émissions en couleur alors que la première reste en noir et blanc jusqu'en 1975[24]. Toutefois, il faut attendre les années 1990 pour que la chaîne publique Antenne 2 devenue France 2 commence à diffuser régulièrement un long métrage le dimanche soir[25], après avoir programmé dès la fin des années 1980, une case fiction intitulée « Le policier du dimanche soir »[26]; cette concurrence frontale entre TF1 et France 2 se poursuit durant les décennies suivantes[27].
Au mois de septembre 2006, la Une choisit pour la première fois d'abandonner la diffusion du traditionnel grand film et de programmer plusieurs épisodes de la série Urgences[28]. Cette tentative pourtant couronnée d'une audience honorable, n'est toutefois que très provisoire[29]. Confortée par un sondage où plus de la moitié des Français déclarent préférer un grand film à cette case horaire sur TF1[30]la première chaîne reprend sa programmation cinéma avec un voire deux longs-métrages successifs, le dimanche soir[31]. Dès le 12 novembre 2006, elle programme ainsi le film américain Bad Boys 2[32].
Contexte réglementaire
modifierInterdiction de diffuser des films de cinéma à certaines périodes de la semaine
modifierEn réponse à cette évolution du marché, à la suite de la loi n° 74-696 du 7 août 1974 qui procède au démantèlement de l’ORTF, le cahier des charges imposés aux sociétés de télévision par le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA) comporte l'interdiction de diffusion des œuvres cinématographiques le vendredi soir avant 22h30, le samedi en entier et une interdiction partielle le dimanche avant 20h30[33]. Tenant compte de ces contraintes, et par procédé d'élimination, le dimanche soir (et mardi soir) s'impose dans la grille de programmation des sociétés de télévision comme créneau envisageable pour la diffusion de films de cinéma[34].
Proposition de fixation du prix d'achat des films programmés en semaine et le dimanche soir
modifierEn 1977, malgré une demande des professionnels du cinéma au moment de l'élaboration du cahier des charges que le prix d'achat minimum soit fixé à 250 000 francs (151 949 Euros, ajustée pour le taux d'inflation de l'Insee) hors taxes pour les films programmés en semaine, et à 500 000 francs (303 898 Euros) hors taxes pour les films programmés le dimanche soir, cette mesure ne sera pas suivie[35].
Générique
modifier1977-1989
modifier- Le générique image a été créé à l'aide d'une machine Scanimate par la société américaine Robert Abel & Associates (RA&A), spécialiste de synthèse commerciale d'images réalistes animées, qui a réalisé pour TF1 différents habillages de la chaîne[36]. Le cabinet publicitaire participe notamment au nouveau générique d'ouverture d'antenne de TF1 représentant le logo de la chaîne évoluant sur fond de ciel nuageux et inaugurée à la même période pour célébrer le passage complet à la couleur. Catherine Chaillet, créatrice du premier logo de TF1, en est la directrice artistique et Con Pederson, mieux connu pour sa contribution comme superviseur d'effets spéciaux du film 2001, l'Odyssée de l'espace, le réalisateur. L'animation de l'émission ressemble fortement au générique de The ABC Sunday Night Movie, réalisé par la même société avec, sur un plan visuel, l'utilisation d'images de synthèse. Le résultat, pour le téléspectateur, est un sentiment d'étoiles traversant la lucarne du petit écran affichant un décor géométrique polychrome scintillant, représentatif des films à l'affiche des anciens théâtres et salles de spectacle des années 1920. L'ornementation aspire à retrouver le strass et paillettes des années folles en invitant les téléspectateurs à prendre part a un grand événement social chaque dimanche.
- La musique aux accents disco est composée par Vladimir Cosma[37].
Programmation
modifierQuotas de diffusion d’œuvres audiovisuelles
modifierÀ la suite de la Loi n° 74-696 du 7 août 1974 relative à la radiodiffusion et à la télévision, en 1977, le cahier des charges, prévoit aussi un minimum de 60 % de films français, ou « d'initiative française » avec une majorité de part française. L'article 27 de la loi du 30 septembre 1986, relative à la liberté de communication (Loi Léotard) ordonne de nouveaux quotas avec, pour les chaînes hertziennes, l'obligation de consacrer, dans le total du temps annuellement consacré à la diffusion et rediffusion d'œuvres audiovisuelles, au moins 60 % à la diffusion d'œuvres européennes et au moins 40 % à la diffusion d'œuvres d'expression originale française. Le décret n°87-36 du 26 janvier 1987 pris pour l'application des articles 27-I et 70 augmente le quota de diffusion de films français à 50%. L'Historique de la réglementation concernant les quotas de diffusion télévisuelle française récapitule la série de lois et décrets.
1978 | 1979 | 1980 | 1981 | 1982 | 1983 | 1984 | 1985 | 1986 | 1987 | 1988 | |
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films français, ou « d'initiative française » (1) | 32 | 35 | 32 | 24 | 29 | 27 | 27 | 30 | 32 | 37 | 27 |
dont films de coproduction | 13 | 13 | 17 | 11 | 7 | 9 | 6 | 12 | 14 | 6 | 5 |
films américains ou « d'initiative américaine » (2) | 15 | 12 | 17 | 15 | 12 | 19 | 18 | 19 | 13 | 13 | 19 |
films britanniques ou « d'initiative britanniques » (3) | 4 | 2 | 2 | 4 | 2 | 0 | 4 | 1 | 5 | 1 | 1 |
films italiens ou « d'initiative italienne » (4) | 0 | 0 | 1 | 2 | 1 | 0 | 3 | 0 | 0 | 0 | 0 |
films espagnols ou « d'initiative espagnole » (5) | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
films polonais (6) | 0 | 0 | 0 | 1 | 0 | 1 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 |
films autrichiens (7) | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 |
films non-comptabilisés (8) | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 0 | 1 | 0 | 0 |
Total: (1)+(2)+(3)+(4)+(5)+(6)+(7) | 52 | 49 | 52 | 46 | 44 | 47 | 52 | 50 | 50 | 51 | 48 |
% films français, ou « d'initiative française » | 61% | 71% | 61% | 52% | 65% | 56% | 51% | 60% | 65% | 72% | 56% |
% films européen, ou « d'initiative européenne » | - | - | - | - | - | - | - | - | 75% | 74% | 60% |
(8) Note: La grille est incomplète.
Quoi qu'il en soit, cela se traduit concrètement pour TF1 dans sa grille de programmation[39]. En conséquence, le dimanche soir, la comédie française et le film policier français règnent suivi de co-productions cinématographiques, principalement franco-italienne, de genre différents. Les films étrangers, de vieux westerns et films de guerre américains, suivent.
Coût de diffusion
modifierLes films retenus par les chaînes sont souvent choisis pour leur faible prix de revient. À titre de comparaison et, en parenthèse, ajustée pour le taux d'inflation de l'Insee, en 1976, le prix d'achat moyen d'un film français était de 218 984 francs (145 524 Euros). Pour un film étranger, il fallait compter 166 385 francs (110 570 Euros). Certains, déjà largement amortis dans leur pays d'origine, sont même achetés a des prix défiant toute concurrence, soit 50 000 francs (33 337 Euros) par la chaîne faisant baisser significativement le prix des 30 secondes de publicité avant leur diffusion attractifs[40]. Cette tendance se poursuit tout au long des années 1980. En 1985, le prix moyen d'achat du droit de passage d'un film pour les trois chaînes est de l'ordre de 2 millions de francs (560 850 Euros). En 1988, le prix payé par les chaînes pour la diffusion des films de cinéma varie entre 200 000 (51 575 Euros) et 10 millions de francs (2 578 769 Euros)[41].
Délai minimal de diffusion
modifierA noter le principe d’un délai de diffusion minimal qui prévaut encore aujourd’hui: le premier passage à l’antenne d’un film de cinéma ne peut ainsi intervenir que dans un délai minimal de 36 mois après la délivrance du visa et de 24 mois dans le cas d’une coproduction.
Publicité
modifierÀ partir de 1987, à la suite de la privatisation de la chaîne, les films sont désormais coupés par la publicité mais sans limitation de volume[42].
Audience
modifierAnnées 1980
modifierLe film du dimanche soir devient un élément phare de la semaine pour TF1 avec une audience moyenne de 40% de 1980 à 1985 et, en 1988, un chiffre de 30%, selon l'Audimat, ce qui représente 5 820 000 foyers, soit entre 18 et 20 millions d'auditeurs[43]. Une audience exceptionnelle s'associe aux films présentant un attrait particulier[44]. En général, des films réunissant de grands acteurs de cinéma et des réalisateurs de renom. Au fil de la décennie, des pics sont atteints, avec, par exemple, en février 1983, 58% de part d'audience pour Max et les Ferrailleurs de Claude Sautet, en octobre 1984, la diffusion du film La Femme Flic du réalisateur Yves Boisset, réunissant 22,8 millions de téléspectateurs[45] ou Tchao Pantin, le film de Claude Berri, retransmis en janvier 1987 et réusissant 47,7% de part d'audience[46].
Films diffusés
modifierLes listes suivantes sont extraites des Archives historiques du Journal de Genève, de la Gazette de Lausanne et du Nouveau Quotidien.[47] Il est à noter que certains films ont pu être déprogrammés pour cause de grève ou pour d'autres motifs.
Années 1970
modifierAnnées 1980
modifierPas de film les et pour cause de premier et second tour d'élection présidentielle, ni les et en raison des élections législatives.
Pas de film le 6 juin 1982 pour cause de cloture du sommet du G7 le 12 juin 1982 à la suite du match d'ouverture de la Coupe du monde de football 1982, Argentine-Belgique, le 20 Juin avec la rencontre Espagne-Yougoslavie, le 4 juillet URSS-Pologne et le 11 juillet Italie-Allemagne. À la suite du décès du réalisateur Jacques Tati le 4 novembre, déprogrammation le 14 novembre de Police Python 357 pour Mon Oncle.
À la suite du décès de l'acteur Louis de Funès le 27 janvier, déprogrammation le 30 janvier de Chinatown (film) pour La Zizanie (film)[48]. Pas de film le pour cause du premier tour d'Élections cantonales.
À la suite du décès de l'acteur Cary Grant le 29 novembre, déprogrammation le 7 décembre de Clara et les Chics Types pour La Mort aux trousses.
Pas de film le pour cause de second tour d'élection présidentielle, ni les et en raison des élections législatives.
Diffusion | Film | Réalisateur | Date |
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L'aile ou la cuisse | Claude Zidi | 1976 | |
La Boum | Claude Pinoteau | 1980 | |
Guerre et Passion | Peter Hyams | 1979 | |
Garçon ! | Claude Sautet | 1983 | |
Le Choc | Robin Davis | 1982 | |
Gloria | John Cassavetes | 1980 | |
L'Africain | Philippe de Broca | 1982 | |
Le Meilleur | Barry Levinson | 1984 | |
Le Verdict | Sidney Lumet | 1982 | |
Un mauvais fils | Claude Sautet | 1980 | |
Les Compères | Francis Veber | 1983 | |
Pinot, simple flic | Gérard Jugnot | 1984 | |
La Zizanie | Claude Zidi | 1978 | |
Un éléphant ça trompe énormément | Yves Robert | 1976 | |
Nous irons tous au paradis | Yves Robert | 1977 | |
La Rumba | Roger Hanin | 1986 | |
Le Grand Blond avec une chaussure noire | Yves Robert | 1972 | |
Le Ruffian | José Giovanni | 1982 | |
Il était une fois un flic | Georges Lautner | 1971 |
Références
modifier- Jacques Mousseau et Christian Brochand : « Histoire de la télévision française », page 48, éditions Fernand Nathan, 1982
- https://books.openedition.org/psorbonne/58144 Marie-Françoise Lévy : « Jean d'Arcy, penser la communication au XXe siècle. Marcel Bluwal : D’un seul coup, la France a découvert la télévision ». Éditions de la Sorbonne, 2014, pages 101 à 105.
- https://achdr.over-blog.com/2021/02/aaaa.html Daniel Bottin : « Le bloc programme à Cognac-Jay ». Publication de l'ACHDR : Association du Centre Historique de la Diffusion Radiophonique. Publié le 18 février 2021. Consulté le 1er mai 2024
- https://www.ina.fr/ina-eclaire-actu/video/cpf86625871/le-masque-et-la-plume-daisy-de-galard-le-telecinema Micros et caméras - Le masque et la plume; Daisy de Galard ; le télécinéma. Diffusé le 2 avril 1966, archives INA.fr, vidéo consultée le 1er mai 2024.
- https://www.radiofrance.fr/franceinter/pourquoi-les-films-que-vous-voyez-sur-votre-tele-ne-sont-pas-toujours-exactement-les-memes-qu-au-cinema-1784897 Julien Baldacchino : « Pourquoi les films que vous voyez sur votre télé ne sont pas toujours exactement les mêmes qu'au cinéma ». Site de la radio France Inter, publié le mercredi 6 mai 2020, consulté le 1er mai 2024.
- https://books.openedition.org/psorbonne/58144 Marie-Françoise Lévy : « Jean d'Arcy, penser la communication au XXe siècle. Marcel Bluwal : D’un seul coup, la France a découvert la télévision. 1949 : un grand film le dimanche soir ». Extrait : Une certaine catégorie de professionnels du cinéma, les producteurs et les distributeurs se sont rendu compte tout de suite, en prenant exemple sur l’Amérique, du danger que représentait la télévision pour les films de cinéma. Seule la diffusion d’un film du commerce était autorisée le dimanche soir. Éditions de la Sorbonne, 2014, pages 101 à 105.
- https://www.erudit.org/fr/revues/cine/2007-v17-n2-3-cine1887/016751ar/ Gilles Delavaud (Université Paris 8) : « Penser la télévision avec le cinéma », publié le 16 novembre 2007, consulté le 1er mai 2024.
- https://books.openedition.org/pressesmines/1820 Jérôme Bourdon : « Histoire de la télévision sous de Gaulle. Chapitre 7. Une autre télévision ? » pages 199 à 233, éditions Presses des Mines, 2014.
- https://journals.openedition.org/rhsh/6502#text Azzouz Abdallah : « La télévision face au cinéma. Une contribution savante et prospective des critiques et des professionnels de l’audiovisuel (1945-1957) », Revue d’histoire des sciences humaines, publié le 05 novembre 2021, consulté le 1er mai 2024
- https://books.openedition.org/pressesmines/1819 Procès-verbaux du comité des programmes, Jérôme Bourdon : « Histoire de la télévision sous de Gaulle. Chapitre 6. Une autre télévision ? Jeux, variétés, feuilletons (1958-1967) ». Fonds ORTF, Archives nationales, janvier 1964. Extrait : Dimanche, « jour de repos pour la majorité des services techniques comme pour tout le monde, la diffusion d’un film dispense d’utiliser les studios, pages 175 à 198. Presses des Mines, 2014. 356 pages. (ISBN 978-2-35671-080-2)
- https://books.openedition.org/psorbonne/58154 Programme_TV_du_dimanche_31_decembre_1950_au_samedi_6_janvier_1951.html Marie-Françoise Lévy et François Jost : « Jean d'Arcy, penser la communication au XXe siècle. La télévision pour rire en quête d’auteur » : Tableau 1 – Programmation d'une semaine ordinaire de rentrée, 1955. Éditions de la Sorbonne, 2014, pages 107 à 117.
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- https://www.lemonde.fr/archives/article/1975/05/26/cinq-mois-apres-l-eclatement-de-l-o-r-t-f-le-responsable-le-telespectateur-et-le-sondagiste_3102414_1819218.html Jean-Marie Drot : « Cinq mois après l'éclatement de L'O.R.T.F. Le responsable, le téléspectateur et le "sondagiste" ». Le Monde. Publié le 26 mai 1975, consulté le 1er mai 2024
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- https://www.cairn.info/revue-communication-et-langages1-2012-4-page-123.htm Séverine Barthes : « Le retour du primetime. Une histoire de la programmation des séries télévisées étrangères à la télévision française ». Revue Communication & langages 2012/4 (n°174) 160 pages, pages 123 à 145.
- https://www.cairn.info/revue-communication-et-langages1-2012-4-page-123.htm Séverine Barthes : « Le retour du primetime. Une histoire de la programmation des séries télévisées étrangères à la télévision française ». Extrait : TF1 : Les Experts, septembre 2006, lorsque le film du dimanche soir a été remplacé par une série, qui battait immédiatement des records d’audience. Revue Communication & langages 2012/4 (n°174) 160 pages, pages 123 à 145
- https://www.toutelatele.com/les-experts-la-fin-de-la-serie-sur-tf1-epilogue-d-un-parcours-jalonne-de-succes-78793 Benjamin Lopes : « Les Experts : la fin de la série sur TF1, épilogue d’un parcours jalonné de succès ». Site Toutelatele.com, publié le 6 janvier 2016, consulté le 1er mai 2024
- https://www.ecranlarge.com/films/dossier/926904-oui-non-aux-series-le-dimanche Stéphane Argentin : Oui/Non aux séries le dimanche ? Écran Large, publié le 10 septembre 2006, consulté le 1er mai 2024
- http://seriotheque.over-blog.com/article-4448707.html Max : « Plus de 9 millions de téléspectateurs pour "Les Experts" », publié le 6 novembre 2006 sur le site Seriotheque.over-blog.com, consulté le 1er mai 2024.
- https://www.ecranlarge.com/films/news/904313-tf1-bad-boys-2-battu-par-le-fbi Stéphane Argentin : « TF1 - Bad boys 2 battu par le FBI », Écran Large, publié le 13 novembre 2006, consulté le 1er mai 2024.
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