Attaque de Boni (2018)
L'attaque de Boni a lieu le pendant la guerre du Mali.
Date | |
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Lieu | Boni |
Issue | Victoire malienne |
Mali | Groupe de soutien à l'islam et aux musulmans |
Inconnues | Inconnues |
3 morts[1] 3 blessés[1] |
10 à 13 morts[1],[2] |
Batailles
- Konna
- Gao (bombardement)
- Diabaly
- Gao (2e)
- Gao (3e)
- Gao (4e)
- In Khalil
- Tigharghâr
- Timétrine
- Imenas
- Tin Keraten
- In Zekouan et Teurteli
- Tombouctou (2e)
- Gao (5e)
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- Tombouctou (3e)
- 1re Ber
- Anéfis (1re)
- Anéfis (2e)
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- Fooïta
- Douaya
- Amazragane
- Tin-Hama (2e)
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- Kondaoui
- Tamkoutat
- Ametettaï (bombardement)
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- Kidal (2e)
- Kidal (3e)
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- Ametettaï
- Tabankort (2e)
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- Ténenkou (1er)
- Tabankort (3e)
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- 1re Léré
- Ténenkou (2e)
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- Koba
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- Tiébanda
- Talahandak (1re)
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- Aguel'hoc (2e)
- Sévaré
- Nampala (2e)
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- Gourma-Rharous (2e)
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- Tina
- Aklaz et Awkassa
- Talataye (1re)
- Boni (1re)
- Inabelbel
- Inghalamane
- Tintihidjrene
- Soumouni
- Dogofry (2e)
- Ndaki
- 2e Ber
- Farimaké
- Abanguilou
- Serma (2e)
- Aguel'hoc (3e)
- Elakla
- Dialloubé
- 1re Dioura
- Tiésaba-Bourgou
- Guiré
- Aconit
- Fafa
- Boulikessi (2e)
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- Tabankort
- Eranga
- 1re Wagadou
- Sokolo
- Tarkint
- 1re Bamba
- Talahandak (2e)
- Bouka Weré
- Sokoura
- Boulikessi (3e)
- Niaki
- Éclipse
- Boulikessi (4e)
- Boni (2e)
- Tessit (2e)
- Aguel'hoc (4e)
- Nokara
- Dangarous
- Bodio
- Mondoro
- Région de Ménaka
- Andéramboukane (2e)
- Tessit (3e)
- Talataye (2e)
- Tadjalalt et de Haroum
- Diafarabé et Koumara
- 3e Ber
- Le Tombouctou et Bamba
- Bourem
- 2e Léré
- 2e Dioura
- 2e Bamba
- Taoussa
- Région de Kidal
- 5e Kidal
- Niafunké
- Labbezanga
- Farabougou
- Dinangourou
- Kwala
- 2e Wagadou
- Mourdiah
- 2e Tinzawatène
- Bamako
Coordonnées | 15° 04′ 30″ nord, 2° 13′ 16″ ouest | |
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Déroulement
modifierLe matin du , une attaque est lancée par les djihadistes contre la ville de Boni[1]. Les assaillants arrivent avec deux véhicules pick-up, des motos, de l'armement lourd, et attaquent sur deux points[3]. Cependant les soldats maliens ripostent de manière efficace et parviennent à repousser les djihadistes qui se replient en direction du Nord-Est[3].
Après le début de l'attaque, l'armée malienne dépêche un hélicoptère et envoie des renforts depuis la ville de Douentza[1],[3]. Cependant, en chemin, un véhicule saute sur une mine près de la localité de Dallah[1],[3]. Selon l'armée malienne, des poseurs de mines ouvrent également le feu et trois d'entre-eux sont abattus[1],[3],[2]. Cependant cette version est contestée par l'association peule Tabital Pulaaku et par des proches des victimes, qui affirment que les trois personnes abattues par les militaires étaient de simples bergers et que l'un d'entre eux était un enfant de sept ans[2].
Pertes
modifierDans son communiqué, le ministère malien de la Défense annonce que trois soldats ont été tués, trois autres blessés et 13 terroristes tués[1],[3],[4]. Avant sa publication, des sources militaires de l'AFP avaient donné des bilans proches[1].
Références
modifier- AFP, « Mali : trois soldats et 13 « terroristes » tués dans une attaque jihadiste », Jeune Afrique, (consulté le )
- « Attaque à Boni au Mali: confusion sur l'identité d'hommes abattus par les Fama », RFI, (consulté le )
- « Mali: trois soldats et treize présumés jihadistes tués dans une attaque à Boni », RFI, (consulté le )
- Philippe Chapleau, « Mali: 3 soldats gouvernementaux et 13 membres d'un GAT tués samedi », sur ouest-france.fr, Lignes de défense, 10 juin 2018. (consulté le )