Utilisateur:Roland45/Brouillon28

Levroux
Roland45/Brouillon28
La Porte de Champagne, reste des murs d'enceinte de Levroux.
Blason de Levroux
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Châteauroux
Intercommunalité Communauté de communes de la Région de Levroux
(siège)
Maire
Mandat
Alexis Rousseau-Jouhennet
2020-2026
Code postal 36110
Code commune 36093
Démographie
Gentilé Levrousains
Population
municipale
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Géographie
Coordonnées 46° 58′ 41″ nord, 1° 36′ 49″ est
Altitude Min. 125 m
Max. 190 m
Superficie 82,32 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Levroux
(ville isolée)
Aire d'attraction Châteauroux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Levroux
(bureau centralisateur)
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Levroux
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Levroux
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Levroux
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Levroux
Liens
Site web ville-levroux.fr

Levroux [ləvʁu] Écouter est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Créée en 1793, l'ancienne commune de Levroux (56 km2) fusionne en 2016 avec Saint-Martin-de-Lamps (16 km2), sous le régime juridique de la commune nouvelle, puis absorbe en 2019 la commune de Saint-Pierre-de-Lamps (10 km2), sous le même régime juridique, pour former l'actuelle commune (82 km2).

Sur le plan historique et culturel, elle est située dans la Champagne berrichonne de l'Indre.

Géographie

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Localisation

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La commune de Levroux se trouve dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire[1]. Elle se situe à 19 km par la route[Note 1] de Châteauroux[2], préfecture du département.

Les communes les plus proches[Note 2] sont[3] : Francillon (6 km), Moulins-sur-Céphons (6 km), Bretagne (6 km), Villegongis (7 km), Bouges-le-Château (8 km), Vineuil (9 km).

Évolution du territoire

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De 1793 au , les trois communes de Levroux (56 km2), Saint-Martin-de-Lamps (16 km2) et Saint-Pierre-de-Lamps (10 km2) sont autonomes. Le Levroux devient une commune nouvelle, régime juridique de regroupement de communes défini par la loi du 16 décembre 2010, en absorbant Saint-Martin-de-Lamps (16 km2). Le elle absorbe la commune de Saint-Pierre-de-Lamps[4].

 
Avant 2016
 
À partir du
 
À partir du

Jugon-les-Lacs [ʒygɔ̃ le lak] est une commune du département des Côtes-d'Armor, dans la région Bretagne.

Créée le sous le régime juridique de la fusion-association, suite à sa fusion avec Lescouët-Jugon (22125) et Saint-Igneuc (22301), Jugon-les-Lacs fusionne à nouveau avec Dolo (22051) le , sous le régime juridique de la commune nouvelle, pour former Jugon-les-Lacs - Commune nouvelle, renommée Jugon-les-Lacs le .

Elle fait partie des Petites Cités de Caractère et des Villages étapes.

Géographie

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Situé près de l'axe Dinan - Saint-Brieuc, le village de Jugon borde un étang de 70 ha, alimenté par quatre rivières, la Rosette, la Rosaie, la Rieule et le Vau Déhy. L'étang rejoint ensuite la rivière l'Arguenon, laquelle se déverse dans un premier lac de 40 ha, le Réservoir de Lorgeril, puis dans un second lac de barrage de 200 ha, la Retenue de l'Arguenon. À Plancoët, la rivière Arguenon passe en domaine maritime et se jette dans la Manche à Créhen au niveau du château du Guildo. C'est un haut lieu de pêche, labellisé Station Pêche en 2016, on y recherche les carnassiers, poissons blancs et carpes en étang et la truite fario en rivière. La Maison Pêche et Nature des Côtes d'Armor propose des animations de découverte de la pêche et de l'environnement. Le site est également réputé pour la qualité de ses randonnées pédestres et VTT, avec des parcours bien balisés et de différents niveaux de difficulté, une Station Sport Nature y propose des activités nautiques et VTT toute l'année.

Évolution du territoire

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De 1793 au , les communes de Jugon, Lescouët-Jugon, Saint-Igneuc et Dolo sont autonomes. Le , Jugon-les-Lacs est créée par regroupement des communes de Jugon, Lescouët-Jugon (22125) et Saint-Igneuc (22301), sous le régime juridique de la fusion-association défini par la loi du . Le , Jugon-les-Lacs - Commune nouvelle est créée en lieu et place des communes de Jugon-les-Lacs (22084) et de Dolo (22051), sous le régime juridique de la commune nouvelle (application de l'article 21 de la loi du 16 décembre 2010)[5],[6]. A partir du , Jugon-les-Lacs - Commune nouvelle est renommée en Jugon-les-Lacs.

 
de 1793 à 1973[Note 3].
 
Entre 1973 et 2016
 
Entre 2016 et 2024
 
Depuis le

Avec l'absorption de Dolo, la superficie de Jugon-les-Lacs passe de 26,15 km2 à 38,03 km2.

Relief et paysages

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L'altitude de la commune varie entre 125 m au lieu-dit de la Denise sur l'Arc et 190 m[7].

Paysages

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La commune est située dans les régions naturelles de la Champagne berrichonne et du Boischaut Nord.

Hydrographie

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La commune de Levroux est située dans le bassin hydrographique Loire-Bretagne pour partie sur les secteurs hydrographiques suivants : « l’Indre de sa source à la Loire & la Loire de l’Indre à la Vienne (nc) » (au sud) et « le Cher de l'Arnon (c) à la Loire & la Loire du cher à l’Indre (nc) » (au nord). Elle est drainée par trois cours d'eau qui ont leur source sur la commune : le Céphons, la Trégonce et le Lamps[8] et Trégonce[8].

Le Céphons, d'une longueur totale de 19 km, prend sa source dans le territoire de la commune historique de Levroux et s'écoule d'est en ouest puis se réoriente au nord pour se jeter dans le Nahon à Langé (36), après avoir arrosé cinq communes[9].

La Trégonce, d'une longueur totale de 17 km, prend également sa source dans le sud du territoire de la commune historique de Levroux et s'écoule vers le sud-ouest et se jette dans l'Indre à Villedieu-sur-Indre (36), après avoir arrosé cinq communes[10].

Le Lamps, d'une longueur totale de 6 km, prend sa source dans le territoire de l'ancienne commune de Saint-Pierre-de-Lamps et s'écoule d'est en ouest puis se réoriente au nord pour se jeter dans le Céphons à Moulins-sur-Céphons(36), après avoir arrosé deux communes[11].

Milieux naturels et biodiversité

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Zones protégées et d'intérêt

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Il n'existe pas de zone protégée sur la commune par contre sont recensées une Zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique et 12 sites bioarchéologiques[12]

La Znieff dénommée « marais et étang de Trégonce » est une Znieff de type 1 de 6,6 hectares. Elle inclut un étang et une zone de prairies calcaires en bordure du ruisseau de la Trégonce, affluent de l'Indre. Malgré sa dégradation due en partie à l'absence de fauche, cette zone abrite encore un cortège faunistique et floristique intéressant. Parmi la vingtaine d'espèces déterminantes de ZNIEFF qui y ont été recensées entre 2005 et 2018, plusieurs sont menacées dont : deux mollusques, le Vertigo de Des Moulins et le Vertigo étroit (vulnérables), espèces de la directive habitats-faune-flore ; deux odonates, la Leucorrhine à large queue (en danger) et l'Agrion nain (vulnérable) ; le Grand nègre des bois, un lépidoptère vulnérable et rare en Champagne berrichonne et le Schoin noirâtre, plante vulnérable et protégée en Centre-Val de Loire[13].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[14]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[15].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 751 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[14]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 737,9 mm[16],[17]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[18].

Statistiques 1991-2020 et records LEVROUX - TREG. (36) - alt : 169m, lat : 46°56'55"N, lon : 1°39'46"E
Records établis sur la période du 01-02-1993 au 19-11-2023
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,6 1,4 3,1 5 8,5 11,8 13,7 13,9 10,6 8,4 4,4 2,1 7
Température moyenne (°C) 4,4 5,1 7,9 10,5 14,1 17,7 19,9 19,9 16,3 12,8 7,7 5 11,8
Température maximale moyenne (°C) 7,2 8,8 12,8 16 19,6 23,6 26,2 26 21,9 17,1 11 7,8 16,5
Record de froid (°C)
date du record
−14,6
12.01.1999
−17,6
07.02.12
−12
01.03.05
−4,3
04.04.22
−1,2
02.05.21
1,8
01.06.06
4,4
13.07.1993
5,8
28.08.1998
1,5
29.09.1995
−5,3
30.10.1997
−9,1
24.11.1998
−12,6
19.12.09
−17,6
2012
Record de chaleur (°C)
date du record
17,9
05.01.1999
21,9
27.02.19
24,8
16.03.12
27,6
28.04.10
32
27.05.05
40,3
29.06.19
41
25.07.19
40,1
18.08.12
36,2
04.09.23
32,2
02.10.23
23,6
08.11.15
18,1
07.12.00
41
2019
Précipitations (mm) 67,2 53,6 52,6 66,2 70,5 53,7 51,9 51,8 57,7 69,7 68,1 74,9 737,9
Source : « Fiche 36093002 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 28/11/2023 dans l'état de la base


Urbanisme

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Typologie

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Levroux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[19],[20],[21]. Elle appartient à l'unité urbaine de Levroux, une unité urbaine monocommunale[22] de 2 947 habitants en 2017, constituant une ville isolée[23],[24].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteauroux dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[25],[26].

Lieux-dits, hameaux et écarts

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  • La Boutelaie
  • Les Boiseries
  • Bois-Douhault
  • Bellechasse
  • Les Brosses
  • La Maison Neuve
  • Le Moulin Battereau
  • La Maison Blanche
  • La Gaité
  • Le Méez
  • Touche Brune
  • Neffe
  • Le Grand Nau
  • Bellevue.

Logement

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Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[27] de la commune :

Date du relevé 2015
Nombre total de logements 1 729
Résidences principales 79 %
Résidences secondaires 15,1 %
Logements vacants 5,9 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 70,4 %

Voies de communication et transports

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Voies de communication

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Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 2, 7, 8, 23, 28, 99, 926 et 956[28].

Transports

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La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Châteauroux[28], à 20 km.

Levroux est desservie par les lignes A et S du Réseau de mobilité interurbaine[29].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[28], à 18 km.

Énergie

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La commune possède un poste source[30] sur son territoire.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Levroux est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].

Risques naturels

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Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans les massifs de Frédille et de Baudres, est classée au niveau de risque 4, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[33].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Levroux.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[34].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 65,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 581 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1334 sont en aléa moyen ou fort, soit 84 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[35],[36].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1995, 1997, 2002, 2011, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[31].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[37].

Toponymie

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Pour suivre un décret de la Convention (An II), la commune avait changé de nom pour La Fontaine[38]. Au cours de la Révolution française, elle porta le nom de Richelaine.

Histoire

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Période celtique

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Dès le début de la Tène C2, le village[39], situé dans l’actuel quartier des Arènes[40], est densément peuplé. C'est un habitat de plaine, un genre qui se développe en Europe pendant le IIe siècle av. J.-C. Lors de la Tène D1, le village est abandonné au profit d'un oppidum situé 1 500 m au nord[39], sur la colline des Tours[40] ; mais il est de nouveau repeuplé à l'époque gallo-romaine. Les périodes de la Tène moyenne et finale ont livré plus de 200 000 restes osseux - une quantité exceptionnelle pour cette période dans toute la Gaule celtique. Dans le même temps, l'élevage, qui y joue une grande part, montre une évolution marquée par la sélection (plus grandes tailles, types morphologiques, choix des espèces)[39]. L'élevage concerne le porc, le bœuf, les caprinés, le chien[41] (lui aussi consommé et les peaux utilisées[42]) et le cheval[41]. Le village celtique regroupe 1 600 structures, desquelles il ne reste essentiellement que des fosses creusées dans le calcaire et plus de 500 000 pièces de mobilier (poteries, objets métalliques et en verre, déchets métallurgiques, clayonnages, parures, ossements, monnaies...)[43].

Le site a été fouillé à partir de 1968 sous la direction d'Olivier Buchsenschutz[40].

Antiquité

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Deux sites témoignent de l'occupation humaine aux époques celtique et gallo-romaine : la colline des Tours, oppidum celtique circulaire du Ier siècle av. J.-C., situé au nord de la ville, et le quartier des Arènes[44], au sud, où l'on a retrouvé les traces d'ateliers métallurgiques du IIe siècle av. J.-C. et d' un théâtre gallo-romain[45].

Moyen Âge

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Levroux succède à une agglomération gallo-romaine. Deux châteaux y sont construits : le premier au Xe siècle au milieu du bourg ; le second est mieux placé sur une colline ; avec les étangs et des fossés, il complète le dispositif défensif qui protège collégiale, granges, fours, pressoirs[46]. Le mur d’enceinte du bourg, symbole de ses privilèges communaux, ne faisait cependant que 60 cm d’épaisseur et 2 m de haut[47].

Familles seigneuriales[48]

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Comme Brion et Bouges, Levroux relève au départ des princes de Déols, fondateurs et seigneurs de Châteauroux, connus depuis le Xe siècle puis fondus dans les Chauvigny. André (II) de Chauvigny, fils cadet d'André Ier et Denise de Déols, reçoit Levroux de son frère aîné Guillaume Ier de Châteauroux en 1218. Sa descendante Blanche de Chauvigny, fille de Philippe Ier de Chauvigny-Levroux, apporte Levroux à son mari Guy II Le Bouteiller de Senlis seigneur d'Ermenonville[49] (branche cadette issue de Raoul Ier sire de Luzarches et d'Ermenonville, frère cadet des sires de Chantilly Guy V et Guillaume II Le Bouteiller de Senlis dans la première moitié du XIIIe siècle), et à leur fils Guy III de Senlis d'Ermenonville. La fille de Guy III, Blanche de Senlis, dame de Levroux, épouse en deuxièmes noces Imbaud du Peschin (famille bourbonnaise). Leur fils Louis du Peschin, sire de Levroux, épouse Iseult de Sully-Beaujeu, aussi descendante des Chauvigny-Châteauroux puisqu'elle était l'arrière-petite-fille de Guillaume III, seigneur de Châteauroux.

Jacquette du Peschin, dame de Levroux, fille de Louis et d'Iseult de Sully, épouse Bertrand V de La Tour- Bertrand Ier comme comte d'Auvergne et de Boulogne[50],[Note 6], et leur arrière-petite-fille, la comtesse d'Auvergne Madeleine, épouse Laurent II de Médicis duc d'Urbino : ils sont les parents de la reine Catherine de Médicis, comtesse d'Auvergne et dame de Levroux. Catherine cède en 1581 sa baronnie de Levroux à Alphonsine Strozzi dame de Bressuire, petite-fille de son cousin germain le maréchal Piero Strozzi et femme de Scipione Fieschi (Scipion de Fiesque). Leur fils François de Fiesque (1586-1621) se marie avec Anne Le Veneur de Tillières[51], dame de Brion (lointaine descendante des Déols-Châteauroux, dont elle tenait Brion) ; leur fils Charles-Léon de Fiesque n'a lui-même qu'un fils, Jean-Louis-Marie de Fiesque, mort sans postérité en 1708. Levroux passe alors à son cousin germain Alexandre-Charles de Bréauté (fils de Pierre de Bréauté et Marie de Fiesque, sœur de Charles-Léon), déjà seigneur de Brion, lui-même sans postérité.

Levroux et Brion échoient alors à un petit-cousin d'Alexandre-Charles de Bréauté, Antoine-François marquis de Longaunay, né en 1664, gouverneur de Carentan, sans parenté avec les Déols-Châteauroux (il était le petit-fils de Suzanne de Bréauté, la sœur de Pierre de Bréauté et la belle-sœur de Marie de Fiesque). Les Longaunay de Dampierre gardent Brion et Levroux au long du XVIIIe siècle.

De la fin du Moyen Âge à la Révolution

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La ville de Levroux est touchée par la crise démographique de l’élection d’Issoudun au début du XVIIIe siècle, puisqu’elle passe de 421 feux en 1709 à 397 en 1726[52]. L’hiver de 1709-1710 notamment cause de nombreuses pertes, ainsi que la grande canicule de 1719 (qui tua beaucoup par dysenterie)[53].

XIXe et XXe siècles

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Levroux a été longtemps, avec Graulhet, l'un des centres français de la pelleterie, particulièrement du parchemin ; depuis le début du XXe siècle la production n'a cependant jamais cessé de décroître et le dernier artisan parcheminier a cessé son activité en 2004. La production est désormais exclusivement industrielle.

En 1861, la commune de Saint-Phallier lui est rattachée.


Politique et administration

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Découpage territorial

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Levroux[54] est membre :

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Période antérieure à 2016

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  • commune historique de Levroux
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1888 1898 Jean-Baptiste Guérineau
(1837-1898)
Républicain Médecin
Conseiller général de Levroux (1892 → 1898)
Décédé en fonction
1898 1900 Louis Julien Cullère Républicain Médecin
Conseiller général de Levroux (1898 → 1900)
Décédé en fonction
Les données manquantes sont à compléter.
septembre 1944   Louis Gauvin
(1891-1963)
Rad. Horloger-bijoutier et orfèvre, résistant
Juste parmi les nations[82]
Conseiller général de Levroux (1945 → 1951)
Président du Comité local de Libération
    Marcel Bouillon
(1892-1967)
DVD Notaire
Conseiller général de Levroux (1951 → 1964)
mars 1977 mars 1989 Guy Besse[83] Rad. Artisan taxi
Sénateur de l'Indre (1982 → 1989)
Conseiller régional du Centre (1982 → 1986)
Les données manquantes sont à compléter.
juin 1995 mars 2001 Philippe Bodin   Président de la CC de la Région de Levroux (1996 → 2008)
mars 2001 31 décembre 2015 Alain Fried[84],[85],[86] UDI[87] Chirurgien dentiste retraité
Président de la CC de la Région de Levroux (2008 → 2009)
  • Ancienne commune de Saint-Martin-de-Lamps
  • Ancienne commune de Saint-Pierre-de-Lamps

Période postérieure à 2016

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 2016 3 juillet 2020 Alain Fried UDI Chirurgien dentiste retraité
3 juillet 2020[88] En cours Alexis Rousseau-Jouhennet DVD-LR Directeur de la communication de Châteauroux Métropole
Président de la CC Levroux Boischaut Champagne (2020 → )

Jusqu'aux prochaines élections municipales de 2020, le conseil municipal de la nouvelle commune est constitué de tous les conseillers municipaux issus des conseils des anciennes communes. Le maire de chacune d'entre elles devient maire délégué[89].

Liste des communes déléguées
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Levroux
(siège)
36093 CC de la région de Levroux 56,43 2 752 (2016) 49
Saint-Martin-de-Lamps 36201 CC de la Région de Levroux 15,61 152 (2016) 9,7
Saint-Pierre-de-Lamps 36206 CC de la Région de Levroux 10,28 53 (2016) 5,2


Équipements et services

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Enseignement

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La commune dépend de la circonscription académique d'Issoudun.

Postes et télécommunications

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Levroux compte un bureau de poste[90].

La commune possède un hôpital local[91].

Justice, sécurité, secours et défense

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Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

En 2021, la commune comptait 2 842 habitants[Note 7], en évolution de −2,94 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Anciennes communes

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  • Commune historique de Levroux :
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 8002 6202 7192 9753 0583 1613 1663 3853 576
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
3 5293 8674 0144 1384 2774 0864 1374 2034 077
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
4 0934 1964 0323 4653 4103 3373 2543 2683 312
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
3 2293 1363 1333 1243 0452 9142 8392 8352 752
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[96] puis Insee à partir de 2006[97].)
Histogramme de l'évolution démographique
  • Commune de Saint-Martin-de-Lamps :
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
350364349386400462464466418
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
418428426424440403429431440
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
430460449422395364384353311
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
315285225203177146146146170
2015 2016 - - - - - - -
153152-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[96] puis Insee à partir de 2006[98].)
Histogramme de l'évolution démographique
  • Commune de Saint-Pierre-de-Lamps :
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
245213222232255246243224202
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
224216186174189210216189193
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
188186178183166151163140146
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1178681605644434350
2016 - - - - - - - -
53--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[96] puis Insee à partir de 2006[99].)
Histogramme de l'évolution démographique

Commune nouvelle

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Évolution de la population  [ modifier ]
2014 2015 2016 2021
2 9592 9283 0102 842
(Sources : Insee à partir de 2014[100].)

Ses habitants sont appelés les Levrousains[101].

Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays de Valençay[8].

  • Tennis Association Levrousaine.
  • Football Club Levrousain.

Médias

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La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

Culte catholique

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La commune de Levroux dépend de l'archidiocèse de Bourges, du doyenné du Boischaut Nord et de la paroisse de Levroux. Le lieu de culte est la collégiale Saint-Sylvain[102].

Économie

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Revenus de la population et fiscalité

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Le revenu net déclaré moyen par foyer fiscal et le pourcentage de foyers fiscaux imposables sont présentés dans les tableaux ci-dessous[103],[27] :

Revenu net déclaré moyen par foyer fiscal
2009 2015
Levroux ? 19 386 
Indre 19 310  19 175 
Centre-Val de Loire 22 400  20 494 
France 23 433  20 566 
Pourcentage de foyers fiscaux imposables
2009 2015
Levroux ?% 48 %
Indre 47,9 % 48,7 %
Centre-Val de Loire 55,1 % 55,5 %
France 54,3 % 55,4 %

Le premier employeur de la commune est l'hôpital public[104].

Entreprises et commerces

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L'activité de traitement des cuirs (mégisserie) d'implantation ancienne à Levroux a encore une certaine importance. Deux PME, Bodin-Joyeux (fondée en 1860, et rachetée en par Chanel) et Rousseau, emploient une centaine de personnes (deuxième secteur économique de la commune par le nombre d'emplois)[104]. Les cuirs sont destinés à la maroquinerie, l'industrie de l'habillement, la ganterie et les chaussures[104] et sont exportés à 60 %[104].

Levroux, qui a donné son nom à des fromages réputés, garde du Moyen Âge une industrie originale, la fabrication du parchemin.

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[105].

La culture de la lentille verte du Berry[106] est présente dans la commune.

Tourisme et hébergement

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Un camping est présent dans la commune. Il s'agit du camping municipal de La Piscine qui dispose de 35 emplacements[107].

Culture locale et patrimoine

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Ville et Pays d'art et d'histoire

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Levroux a obtenu au concours des villes et villages fleuris une fleur en 2013, 2014, 2015 et 2016.

Lieux et monuments

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Collégiale Saint-Sylvain

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Datant du XIIIe siècle, on peut voir un des plus anciens buffets d'orgue de France, abritant un instrument moderne mais de composition et de style XVIIe siècle de Jean-Loup Boisseau,   Classée MH (1840, classement par liste de 1840)[108],[109].

Monument aux morts

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Datant de 1922, il représente une figure de poilu désarmé, la tête en appui sur sa paume et le regard tourné vers le sol, dans une attitude qui exprime toute une gamme de sentiments empreints de gravité. Le sculpteur Ernest Nivet, originaire de Levroux, s'est ici inspiré du Penseur d'Auguste Rodin[112].

Porte de Champagne

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Datant de 1435-1506, elle est proche de la collégiale Saint-Sylvain et les ruines des tours de Levroux qui se dressent au-dessus de la ville depuis le Moyen Âge rappellent l'empreinte féodale de la ville,   Classée MH (1944, Porte de Champagne)[113].

Le Berger allongé

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Ernest Nivet (1871-1948), élève d'Auguste Rodin, sculpte en 1930 une version monumentale en pierre de son Berger allongé, dit aussi Berger couché sur le ventre de 1906, offert à la Ville de Levroux par maître Bouillon et transféré sur la place de l'Hôtel-de-Ville en 1994,   Inscrite MH (2017, La statue « Le Berger allongé » dite aussi « Le Berger couché sur le ventre », avec son socle)[114].

Vestige de l'ancien château,   Inscrite MH (1927, Château (vestiges))[115].

Maison de bois

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Maison en colombage datant du XVe siècle,   Inscrite MH (1922, Maison de bois à l'angle de la place et de la rue)[116]. Les pèlerins avaient autrefois l'habitude d'y faire une halte.

Patrimoine culturel

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Musée du cuir et du parchemin

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Il retrace les différentes étapes de la production (sélection des peaux de chèvre, chevreau, agneau, qui sont ensuite plongées dans un bain de chaux et séchées à l'intérieur d'un cercle de bois) et expose des maquettes mettant en scène le parcheminier.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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Levroux
  Blason
De gueules à la tour, flanquée de deux échauguettes, avec ses avant-murs mouvant des flancs, le tout d'argent ajouré hormis les avant-murs et maçonné de sable, les avant-murs ouverts du champ ; au chef cousu d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Les coordonnées de cet article :

Bibliographie

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  • Pierre Brunaud, Levroux et sa région, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, , 128 p. (ISBN 978-2-84910-485-9).
  • Bertrand Puard, Liberty Street, Nouveau Monde Éditions.
  • Mairie de Levroux, Plan local d'urbanisme de la commune de Levroux, , 204 p. (lire en ligne).  

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chef-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. Le découpage entre Saint-Igneuc, Jugon et Lescouët-Jugon résulte d'une interprétation de la carte d'état-major de 1950 et n'est à ce titre pas formellement exact. Il n'a qu'une vocation informative.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Bertrand V-Ier était le fils de Bertrand IV de La Tour et de la comtesse Marie, fille de Godefroy de Montgascon et petite-fille du comte Robert VII. Godefroy et Blanche Le Bouteiller de Senlis avaient été mariés, en troisièmes noces pour les deux, sans postérité.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Références

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  2. Stephan Georg, « Distance entre Levroux et Châteauroux », sur https://fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Levroux », sur www.villorama.com (consulté le ).
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  5. « Métadonnées de la commune de Jugon-le-Lacs », sur insee.fr (consulté le ).
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  54. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées Insee 2
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  89. Erreur de référence : Balise <ref> incorrecte : aucun texte n’a été fourni pour les références nommées creation
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