Reuilly (Indre)

commune française du département de l'Indre

ReuillyÉcouter est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Reuilly
Reuilly (Indre)
L'hôtel de ville en 2009.
Blason de Reuilly
Blason
Reuilly (Indre)
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Issoudun
Intercommunalité Communauté de communes du Pays d'Issoudun
Maire
Mandat
Carole Baptista
2024-2026
Code postal 36260
Code commune 36171
Démographie
Gentilé Reuillois
Population
municipale
1 995 hab. (2021 en évolution de −2,06 % par rapport à 2015)
Densité 77 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 05′ 05″ nord, 2° 02′ 42″ est
Altitude Min. 107 m
Max. 167 m
Superficie 25,8 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Issoudun
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Levroux
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Reuilly
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Reuilly
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Reuilly
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Reuilly
Liens
Site web reuilly.fr

Géographie

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Localisation

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La commune est située dans le nord-est[1] du département, à la limite avec le département du Cher. Elle est située dans la région naturelle de la Champagne berrichonne, dans un vallon perpendiculaire à la vallée de l'Arnon.

Les communes limitrophes[1] sont : Lazenay (2 km), Chéry (4 km), Diou (4 km), Saint-Pierre-de-Jards (6 km), Giroux (10 km) et Paudy (11 km).

Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Issoudun (16 km), Levroux (35 km), Châteauroux (40 km), La Châtre (56 km) et Le Blanc (90 km).

 
Localisation de la commune de Reuilly

Hameaux et lieux-dits

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Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : Noray, Gratte-Chien, la Ferté et le Bois Saint-Denis[2].

Géologie et hydrographie

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La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

Le territoire communal est arrosé par les rivières Arnon et Théols[2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 704 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Quincy à 10 km à vol d'oiseau[6], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 735,0 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports

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Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 2, 27, 28, 28B, 28C, 165 et 918[10].

La ligne des Aubrais - Orléans à Montauban-Ville-Bourbon passe par le territoire communal, une gare[10] dessert la commune.

Reuilly est desservi par la ligne 1 du réseau TIGR[11] ; par la ligne U du Réseau de mobilité interurbaine[12] et par la ligne 1.3 du réseau d'autocars TER Centre-Val de Loire[13].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[10], à 41 km.

Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays de la Champagne berrichonne[2].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Reuilly est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Issoudun, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[15]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[16],[17].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (87,3 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (89,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (78,1 %), zones urbanisées (6,8 %), zones agricoles hétérogènes (6,1 %), forêts (5,9 %), cultures permanentes (2,7 %), prairies (0,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement

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Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[19] de la commune :

Date du relevé 2013
Nombre total de logements 1 192
Résidences principales 79,5 %
Résidences secondaires 7,1 %
Logements vacants 13,5 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 76,6 %

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Reuilly est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Herbon, l'Arnon, la Théols, La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1985, 1999, 2008 et 2016[22],[20].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Reuilly.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[23].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 168 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1168 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[25].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 1993, 1994, 2011, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].

Toponymie

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Le nom de Reuilly viendrait de Rulliacus, dérivé, peut être de Rullius, nom d'un propriétaire d'une villa gallo-romaine. Un village s'est regroupé peu à peu autour de la première église disparue.

Ses habitants sont appelés les Reuillois[27].

Histoire

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En 637, le roi Dagobert (629 - 639) aurait donné ses domaines reuillois à l'abbaye de Saint-Denis-en-France. Il existe un document en ce sens, qui se réfèrerait bien à Reuilly dans l'Indre, et non à un des autres lieux dans la moitié nord de la France qui portent le nom de Reuilly, car ce manuscrit associe Reuilly (Ruilliacum) à d'autres lieux du Berry. L'authenticité de ce document a été mise en doute pour des raisons de style et de date[28],[29],[30], mais Reuilly aurait bien été rattaché à l'abbaye de Saint-Denis à la fin du Xe siècle[30].

Reuilly est une seigneurie religieuse jusqu’à la Révolution. Le village a connu l’invasion normande en 902, l’invasion anglaise durant la guerre de Cent Ans, avant d’être reconquis par Du Guesclin vers 1370.

Une commanderie des templiers s'est installée à l’Ormeteau, au début du XIIe siècle. Les hospitaliers de Saint Jean de Jérusalem remplacent les templiers en 1312 après la dissolution de leur ordre par Philippe le Bel[31]. Le château de l'Ormeteau connaît aussi une bataille lors des guerres de Religion, en .

Entre 1656 et 1659, le château de la Ferté est construit, avec François Mansart, cousin du grand Mansart, comme architecte. C’est le seul château de l’Indre de l’époque Louis XIV.

La communauté de Reuilly traverse une grave crise démographique au début du XVIIIe siècle, puisqu’elle passe de 295 feux en 1709 à 226 en 1726[32]. L’hiver de 1709-1710 notamment cause de nombreuses pertes, ainsi que la grande canicule de 1719 (qui tua beaucoup par dysenterie)[33].

En 1791, Reuilly devient chef-lieu de canton pour quelques années seulement, Bonaparte réduisant drastiquement le nombre des cantons en 1801.

La commune fut rattachée de 1973 à 2015 au canton d'Issoudun-Nord.

Politique et administration

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La commune dépend de l'arrondissement d'Issoudun, du canton de Levroux, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes du Pays d'Issoudun[15].

Elle dispose d'un bureau de poste[34], d'un centre de secours, d'une gendarmerie[35] et d'un office de tourisme[36].

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
1944 mai 1945 Raymond Perrot    
mai 1945 mars 1959 Thérèse Maguin   L'une des premières femmes maires de France[38]
mars 1959 mars 1965 Pierre Jacob    
mars 1965 1976 Claude Caylus RI Député suppléant de Maurice Tissandier (1968 → 1973)
1976 mars 1977 Lucien Sandré   Dirigeant d'entreprise
mars 1977 1979 André Bigot    
1979[39] 21 mars 2006
(décès)
Jean-Pierre Berlot PCF[40] Cadre à la Mutualité sociale agricole
Conseiller général d'Issoudun-Nord (1998 → 2006)
Vice-président de la CC du Pays d'Issoudun
2006[41] 2 avril 2014 Patrick Bertrand DVG Retraité de l'Éducation nationale
2 avril 2014[42]
(démission)
Nadine Bellurot DVD-LR Inspectrice générale au ministère de l'Écologie
Sénatrice de l'Indre (2020 → )
Conseillère départementale de Levroux (2015 → )
Vice-présidente du conseil départemental (2015 → 2020)
[43] Yves Guesnard DVD Cadre de banque retraité, ancien 1er adjoint
Démissionnaire
[44] En cours Carole Baptista   Infirmière libérale
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[46].

En 2021, la commune comptait 1 995 habitants[Note 2], en évolution de −2,06 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 7121 6711 7621 8592 1852 2972 2412 4182 586
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 5242 5682 6322 6672 7192 7352 7762 7142 610
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 5692 5352 5782 2222 0912 0521 9182 0782 058
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
2 0112 0202 0362 0171 9521 9631 9601 9532 060
2014 2019 2021 - - - - - -
2 0502 0101 995------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[47] puis Insee à partir de 2006[48].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune dépend de la circonscription académique d'Issoudun.

Manifestations culturelles et festivités

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Une foire aux vins a eu lieu chaque année à Pâques, depuis 1953, jusqu'en 2019 où l'association qui l'organisait a décidé de l'arrêter.

Équipement culturel

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La médiathèque est installée en plein cœur de Reuilly, au 30 rue de la République. Revues, romans, livres documentaires, magazines, presse quotidienne locale, fonds berrichon, ouvrages en gros caractères, CD, DVD, sont à la disposition du public.

La consultation de l’ensemble des documents est libre et gratuite. Une inscription, gratuite, avec remise d’une carte d’adhérent est établie, pour emprunter les livres à domicile mais aussi accéder à des ressources numériques avec réservation en ligne : film et documentaires en streaming « Univers ciné » et « Arte VOD », site d’apprentissage « tout apprendre ».

Le fonds documentaire appartient à la ville de Reuilly et à la bibliothèque départementale de l’Indre. Il est possible de consulter le catalogue[51].

Au niveau sportif la commune dispose de deux terrains de football, d'un terrain de basket, d'un dojo, d'un boulodrome, d'un terrain de volley-ball, d'un terrain de tennis d'un parcours santé et d'un pumptrack (parcours VTT)

Médias

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La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

Économie

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La commune se situe dans la zone d’emploi d'Issoudun et dans le bassin de vie de Mehun-sur-Yèvre[15].

La viticulture est l'une des activités de la commune, qui se trouve dans la zone couverte par l'AOC reuilly. Il a obtenu l'appellation d'origine contrôlée pour les vins blancs (issus du sauvignon) en 1937 et pour les vins rouges et rosés (issus du pinot noir et du pinot gris) en 1961. La production annuelle est d'environ 8 000 hectolitres.

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[52].

Reuilly dispose de plusieurs commerces en centre-ville et d'un supermarché.

Un camping est présent dans la commune. Il s'agit du camping municipal qui dispose de 33 emplacements[53].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Labels et distinctions

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Reuilly a obtenu au concours des villes et villages fleuris le prix régional de l'Office de Tourisme Fleuri en 2011[55].

Personnalités liées à la commune

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Héraldique, logotype et devise

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Reuilly
  Blason
De gueules à la croix d'argent.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
  Logotype de la commune de Reuilly :

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
  2. a b et c « Reuilly » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Reuilly et Quincy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Quincy », sur la commune de Quincy - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Quincy », sur la commune de Quincy - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. a b et c « Reuilly », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  11. « Transport », sur le site de la commune d'Issoudun, consulté le 2 septembre 2018.
  12. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
  13. « Fiches Horaires », sur le site SNCF TER Centre-Val de Loire, consulté le 2 septembre 2018.
  14. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  15. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Reuilly ».
  16. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Issoudun », sur insee.fr (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. Site de l'Insee : Reuilly (Indre), consulté le 6 septembre 2016.
  20. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Reuilly », sur Géorisques (consulté le ).
  21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  23. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  25. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  26. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur indre.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  27. « Nom des habitants des communes françaises, Reuilly », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  28. Bréquigny, Diplomata, chartae, epistolae, et alia documenta, ad res Francicas spectantia, ex diversis regni, exterarumque regionum archivis ac bibliothecis, jussu regis christianissimi, multorum eruditorum curis, plurimum ad id conferente congregatione, 1791.
  29. D'Arbois de Jubainville, Recherches sur l'origine de la propriété foncière et des noms de lieu en France, 1890, également paru dans la Revue celtique IX, 1888.
  30. a et b Jacques Lerale, Bulletin des Amis de Reuilly : Les origines de Reuilly, évocation historique, 1re éd. (lire en ligne).
  31. Site de l'association Les amis de Reuilly et de ses environs : Les Templiers à Reuilly, consulté le 26 novembre 2008.
  32. Olivier Zeller, « Changement agraire et récession démographique : la première enquête Orry (1730). L'exemple de l'élection d'Issoudun », Annales de démographie historique 2/2007 (n° 114), p. 169.
  33. Zeller, op. cit., p. 145 et 153.
  34. Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
  35. Site de Région de Gendarmerie du Centre : « Groupement de l'Indre »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), consulté le 23 août 2012.
  36. Site de Berry Province, consulté le 5 février 2013.
  37. https://maitron.fr/spip.php?article194067, notice MORISSEAU Théophile, version mise en ligne le 26 juillet 2017, dernière modification le 26 juillet 2017.
  38. Fiona Moghaddam, « En 1945, les premières femmes élues maires en France », franceculture.fr, 2 mars 2020.
  39. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  40. Site du PCF : « Liste des maires communistes »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?) (consultée le 25 septembre 2010).
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  43. « Yves Guesnard élu maire de Reuilly (Indre) », La Nouvelle République,‎ (lire en ligne).
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  46. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  47. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  48. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  49. « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
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