Gare de Mons

gare ferroviaire belge

La gare de Mons (province de Hainaut, Belgique) est une gare ferroviaire de la Société nationale des chemins de fer belges (SNCB), desservie par le service Ouigo Train Classique (OTC), des trains InterCity (IC), Omnibus (L) et Heure de Pointe (P). Elle est située au croisement de la ligne 96 (Bruxelles-Quévy) et de la dorsale wallonne (lignes 97 et 78 vers Quiévrain et Tournai, et ligne 118 vers La Louvière-Centre).

Mons
Image illustrative de l’article Gare de Mons
La gare, en .
Localisation
Pays Belgique
Commune Mons
Quartier centre-ville
Adresse Place Léopold
7000 Mons
Coordonnées géographiques 50° 27′ 14″ nord, 3° 56′ 31″ est
Gestion et exploitation
Propriétaire Infrabel
Exploitant SNCB
Code UIC 88810002
Services Ouigo Train Classique (OTC)
InterCity (IC)
Omnibus (L)
Heure de pointe (P)
Caractéristiques
Ligne(s) 96, Bruxelles-National-Aéroport ou Schaerbeek à Quévy (frontière)
97, Liège-Guillemins ou Saint-Ghislain à Quiévrain (frontière)
118, Mons à La Louvière-centre
Voies 7 (+ voies de service)
Quais 4
Altitude 33 m
Historique
Mise en service
Architecte Santiago Calatrava Valls
(nouvelle gare)
Correspondances
Bus voir Intermodalité

Carte

Située à proximité du centre de la ville de Mons, elle fut mise en service en 1841 par les Chemins de fer de l'État belge et reconstruite à trois reprises depuis lors.

Le troisième bâtiment, qui datait de 1952, a été démoli en 2013 et est progressivement remplacé par une nouvelle gare en construction, conçue par l'architecte Santiago Calatrava, dont le budget initial de 37 millions d'euros en 2006 devrait atteindre 480 millions en 2024, en fin de chantier, soit 13 fois le budget initial[1].

En , la fin des travaux de la nouvelle gare est annoncée pour [2]. En , le chantier « touche à sa fin », sans que la date d'ouverture ait été annoncée[3]. La nouvelle gare a été mise en service le et sera inaugurée le [4].

Situation ferroviaire

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Établie à 33 m d'altitude, la gare de Mons est située au point kilométrique (PK) 60,3 de la ligne 96, de Bruxelles-Midi à Quévy (frontière), entre les gares ouvertes de Ghlin et de Frameries. Gare de bifurcation, elle était l'origine de l'ancienne ligne 98, de Mons à Quiévrain via Warquignies et Colfontaine, de la ligne 97, de Saint-Ghislain à Quiévrain (frontière) et de la ligne 118, de Mons à La Louvière-Sud[5].

Histoire

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Arrivée du train à Mons

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La gare, vers 1870 (crayonné de 1933).

La première gare de Mons a été mise en service le [6]. L’inauguration de la première lignée ferroviaire en Belgique entre Bruxelles et Malines remonte à 1835 et cette dernière constitue un maillon d'un réseau comprenant quatre grandes lignes et quatre embranchements[7]. Dès les discussions préalables à la construction du premier chemin de fer, le Roi et le gouvernement poussent le chemin de fer à se développer et à passer les frontières belges ; c'est ainsi que la « ligne du Midi » doit relier Bruxelles à la frontière française, en direction de Valenciennes, appelée à constituer une liaison vers Paris[7], tandis que la ligne de Malines à Ostende est dotée d'un embranchement partant de Gand vers Courtrai, Mouscron et Lille. Contrairement à Tournai, dont la gare est alors un modeste terminus le long de l'Escaut accessible depuis Mouscron, Mons est d'emblée une gare à la vocation internationale, accessible directement depuis Bruxelles et connectée à Paris à partir de 1846[8]. Le bâtiment originel, inauguré en 1842, se situait sur l'emplacement actuel de la place Léopold.

Le premier projet de chemin de fer belge, concrétisé en 1843, n'a pas vocation à donner à l’État la responsabilité de l'expansion du réseau qui est laissée durant les 30 années qui suivent à l'initiative du secteur privé. En Hainaut, un immense réseau de lignes industrielles et de nouveaux chemins de fer se tisse mais en dehors, dont la ligne de Mons à Quévy (raccourcissant le trajet vers Paris) sous le contrôle de la Compagnie du Nord - Belge tandis que des liaisons vers Manage, Ath et Chimay voient le jour. L'évolution exponentielle du chemin de fer belge rendra très vite la première gare insuffisante qui, 30 ans après sa construction, sera remplacée.

La gare de 1874

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Un nouveau bâtiment de gare est mis en service en 1874. Cette nouvelle infrastructure, construite dans le style néo-roman[réf. nécessaire], est due aux plans de l’ingénieur Van Der Sweep. Elle présente un corps central surmonté d'une grande horloge qu'encadrait des statues figurant le commerce et l’industrie. De part et d'autre de cette partie monumentale abritant la salle des pas perdus se trouvent deux longues ailes rythmées par deux frontons, surmontant les accès secondaires, dont les façades s'ornaient de 20 baies à arc en plein cintre surmontées de 16 blasons symbolisant la province et des principales villes du Pays. Une grande verrière de fer et de verre couvre également les 8 lignes desservant Mons à l'arrière de la gare.

Le bâtiment et sa verrière sont fortement endommagés à la fin de la Seconde Guerre mondiale lors de bombardements survenus le par l'US Army Air Force. Une reconstruction complète étant nécessaire, après une courte réhabilitation des parties les moins sinistrées, elle est démolie et remplacée, en phases successives[9], par un bâtiment plus moderne, inauguré en 1952.

La gare Panis de 1952

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Le Ministre Achille Van Acker pose la première pierre de cette nouvelle gare le . La gare sera inaugurée en 1952, elle est l'œuvre de l'architecte montois René Panis[6]. Le bâtiment présente sur ses quatre façades un parement en pierre de Soignies, ainsi qu'une imposante horloge d'un style typique des années 1950.

La salle des pas perdus est ornée d'une fresque décorative[10]. Perchée à une dizaine de mètres du sol, elle propose, sur trois parois, un aperçu de la vie socio-culturelle et folklorique de la région de Mons-Borinage. L'ouvrage a été commandé dans le cadre des festivités de l'Exposition Universelle de 1958. Il est conçu par le peintre et décorateur montois Jacques D'Hondt qui l'a réalisé sur des panneaux en bois. Abimée par le temps, l’œuvre a été remplacée en , pour les 75 ans de la SNCB, par une nouvelle fresque réalisée par conjointement par Jacques D'Hondt et par l'artiste turc Dogan Cakir, qui avait notamment décoré le hall d'accueil Thalys à Bruxelles-Midi ; ces derniers transcrivent les dessins de Jacques d'origine sur des panneaux de tôle émaillée[11],[12]. La gare renfermait aussi de magnifiques vitraux, œuvres de Zéphyr Busine et de Georges Boulmant ainsi que des reliefs sculptées dans la pierre de Soignies par Raoul Godfroid. La gare de 1952 a été définitivement fermée le [13], après 61 ans d'existence, et fut démolie fin pour laisser place à un nouveau projet signé par l'architecte Santiago Calatrava[6].

La gare de Santiago Calatrava

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En 2004, la SNCB a décidé d'entreprendre une importante modernisation du site en recentrant la gare sur le transport de voyageurs. Elle a confié les missions d'études et de suivi des travaux qui en résulteront à Euro Liège TGV (devenue Eurogare en 2010). Les études d'avant-projet, sur les volets des infrastructures ferroviaires et de l'accueil des voyageurs, ont mis en évidence une série d'objectifs sur le plan ferroviaire ; il s'agit notamment : de réduire le nombre de voies de garage et de relais marchandises pour valoriser les potentialités commerciales et d'accueil des voyageurs ; de dégager des espaces afin de permettre le franchissement du site et la réalisation de la double accessibilité à la gare ; d'uniformiser la longueur des quais (350 m) et leur largeur (8,50 m) et d'adapter le tracé de la ligne 118 (dorsale wallonne) pour augmenter la vitesse d'entrée en gare[14].

Ventilation du budget estimé à 324 millions € en 2020[15] :

  • Coût initial (37 millions €)
  • Indexation du budget initial (12 millions €)
  • Gare des bus et places publiques (47 millions €)
  • Infrastructure ferroviaire (132 millions €)
  • Retards et faillites (50 millions €)
  • Évolution du projet (46 millions €)

 
Escaliers du souterrain de l'ancienne gare, menant aux quais (2007).

Sur le plan de l'accueil voyageurs, il s'agit : d'améliorer la qualité des infrastructures d'accueil et de rencontrer les normes actuelles pour les personnes à mobilité réduite ; de faciliter l'accès aux quais depuis la place et les parkings ; d'optimiser l'accessibilité à la gare et l'intermodalité ; de liaisonner le cœur historique de Mons et le site des Grands Prés ; d'aménager un parking véhicules d'une capacité minimum de 800 places et de valoriser des terrains libérés connexes à la gare (boulevards Charles-Quint et Gendebien). Afin de développer un projet de qualité, novateur, intégrant les dimensions fonctionnelles, architecturales, urbanistiques et environnementales posées lors de l'identification des objectifs. Eurogare décide de faire appel à un bureau d'architecture externe et lance un concours en (avis de marché aux niveaux belge et européen)[16]. Ce concours vise à dégager une esquisse architecturale et urbanistique portant sur l'aménagement général du site de la gare. Cet aménagement inclut un parking paysager, une liaison aérienne entre la place Léopold, la gare et le site des Grands Prés, en ce compris la desserte des quais via les accès existants et futurs. Au terme de ce concours, la conception de cet ensemble est confiée à l'ingénieur et architecte Santiago Calatrava et, en , la maquette d'esquisse de ce premier acte de la modernisation du site de Mons est rendue publique.

Santiago Calatrava Valls devait construire sa gare en laissant intacte la gare de 1952. C’était là une qualité qui l’avait distingué des autres candidats lors du concours de 2006. La gare de 1952 fut ensuite vouée à disparaître, selon la SNCB ; le projet a « évolué », « mûri[17] ».

D'un budget de 37 millions d'euros en 2006, prévu initialement pour un aménagement général du site de la gare n'incluant pas les infrastructures ferroviaires et le réaménagement du bâtiment des voyageurs, mais qui envisage la construction d'une passerelle menant à l'espace commercial des Grands Prés - Shopping de Wallonie, ce projet deviendra au fil des ans celui d'une véritable « gare-passerelle » complètement modernisée nécessitant des investissements beaucoup plus lourds[15] et qui s'élèveront à 150 millions en 2012[18], 263 millions en 2017[19], 324 millions en 2020[20],[15] et 332 millions en 2022 alors que la Cour des Comptes publie un rapport relevant plusieurs irrégularités dans l'évolution du projet[21],[22]. Le réaménagement aura finalement coûté 480 millions d'euros, les responsables promettant un changement de méthode et plus de sobriété pour les éventuels projets futurs[23].

 
La gare en construction, vue depuis la passerelle provisoire ().

La mise en service de la nouvelle « gare-passerelle » était à l'origine prévue pour début 2015[24],[25], mais, à la suite des nombreux retards dus aux faillites de divers intervenants, elle ne sera vraisemblablement inaugurée qu'en [2]. En attendant, les voyageurs doivent utiliser une gare provisoire. Cette dernière, en conteneurs assemblés, permet d'accueillir 100 000 voyageurs par semaine[26]. Les éléments préfabriqués sont du même type que ceux qui ont servi pour la gare provisoire de Liège-Guillemins[27]. La nouvelle gare est finalement mise en service le , puis sera inaugurée le à l'occasion du festival « Mons en Lumières[4] ».

Par ailleurs, à partir de 2015, la gare provisoire n'accueille plus le TGV en direction de Paris-Nord, qui permettait d’atteindre cette dernière en h 20, car la société Thalys, gestionnaire de la ligne, a décidé de « sacrifier » la dorsale wallonne jugée trop peu rentable[28] ; les voyageurs désireux de se rendre dans la capitale française sont alors contraints de passer par Bruxelles-Midi ou Lille-Flandres. En 2023, la France et la Belgique annoncent envisager une nouvelle relation entre Schaerbeek et Paris-Nord, qui passerait notamment par Mons ; sa mise en service est alors prévue pour fin 2024[29]. Finalement, une liaison Ouigo Train Classique Paris-Nord – Bruxelles-Midi (via Creil, Aulnoye-Aymeries et Mons) est lancée le [30],[31],[32] ; un arrêt à Saint-Quentin doit être ajouté le [33].

Fréquentation

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Ces graphique et tableau montrent le nombre de voyageurs embarquant en moyenne durant la semaine, le samedi et le dimanche[34].

Nombre de passagers qui embarquent à la gare de Mons
Semaine Samedi Dimanche
1977 12 149 3 411 2 939
1978 12 000 3 400 2 500
1979 12 587 3 359 2 873
1980 11 423 3 500 3 000
1981 12 289 3 835 3 757
1982 10 188 3 849 3 656
1983 11 308 2 347 2 900
1984 10 265 2 569 2 602
1985 10 437 2 608 2 735
1986 9 005 2 363 2 184
1987 10 224 2 393 2 636
1988 8 785 3 314 2 405
1989 8 071 2 861 2 239
1990 8 205 1 751 1 713
1991 8 194 2 368 2 015
1992 9 191 2 350 2 485
1993 7 336 1 824 1 881
1994 9 392 2 742 2 740
1995 7 129 2 016 1 374
1996 7 574 2 297 1 874
1997 7 884 2 293 1 759
1998 8 738 2 446 2 110
1999 8 963 1 885 1 463
2000 9 200 2 258 1 860
2001 8 758 1 922 1 954
2002 9 367 2 614 2 114
2003 7 652 2 108 1 968
2004 8 916 2 390 2 248
2005 9 996 2 944 2 556
2006 10 113 2 672 2 150
2007 10 387 3 178 2 597
2008 - - -
2009 8 556 1 779 1 522
2010 - - -
2011 - - -
2012 7 633 1 915 1 488
2013 9 956 1 521 1 653
2014 9 434 2 404 2 030
2015 8 997 3 747 3 517
2016 8 698 3 518 2 765
2017 8 502 3 432 3 015
2018 9 273 4 145 2 434
2019 9 820 3 839 2 498
2020 6 475 2 328 1 913
2021 - - -
2022 8 923 3 304 2 760
2023 9 399 5 160 4 559

Service des voyageurs

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Accueil

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Gare de la SNCB, elle dispose d'un bâtiment voyageurs avec guichets, ouvert tous les jours. Des aménagements, équipements et services sont à la disposition des personnes à la mobilité réduite[35].

Desserte

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Mons est desservie par des trains InterCity (IC), Omnibus (L) et Heure de pointe (P) de la SNCB, qui effectuent des missions sur les lignes commerciales 78 (Mons - Tournai - Lille) , 90 (Grammont - Ath - Mons), 96 (Bruxelles - Quévy), 97 (Mons - Quiévrain) et 118 (Mons - La Louvière-centre)[36],[37].

En semaine, la gare est desservie par les trains :

Les week-ends et jours fériés, la gare est desservie par les trains :

La gare est également desservie par le service international Ouigo Train Classique (OTC), qui assure la liaison Paris-Nord - Creil - Aulnoye-Aymeries - Mons - Bruxelles-Midi.

Intermodalité

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Un parc à vélos et un parking sont aménagés aux abords de la gare[35]. Des bus TEC la desservent. La gare est aussi desservie par la ligne transfrontalière no 41 assurant la liaison entre Mons et Maubeuge, et conjointement organisée par le réseau français Stibus et le TEC Hainaut[38].

Notes et références

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  1. « La facture de la gare de Mons a encore explosé de plusieurs millions d’euros », .
  2. a et b Emeline Berlier, « L’inauguration de la gare de Mons repoussée en 2024 », sur DHnet, (consulté le ).
  3. Emeline Berlier, « Chantier de la gare de Mons : « on est désormais sur la phase d'aménagement pour permettre une mise en service optimale » », sur DHnet, (consulté le ).
  4. a et b Lisa Beken, « Gare de Mons : la nouvelle gare, flambant neuve, accueille (enfin) ses premiers navetteurs ce mercredi », sur rtbf.be, (consulté le ).
  5. « Cartes réseau », sur Infrabel (consulté le ).
  6. a b et c « La future gare sera la quatrième dans l’histoire de la ville », l'Avenir (consulté le ).
  7. a et b « Législation et jurisprudence des chemins de fer belges. Chemins de fer de l'Etat. 1834. Loi du . Pasinomie, no 330 » [PDF], sur Base de données historique du musée Train World (consulté le ).
  8. Catherine Walravens, « La liaison Bruxelles-Paris » [PDF], sur trainworld.be, (consulté le ).
  9. « Gare de Mons (huit négatifs) : Numéro d'objet Z03561 », sur Base de données historique du musée Train World, (consulté le ).
  10. « Jacques D'Hondt créateur de la fresque est décédée », sur laprovince.be, (consulté le ).
  11. Manu Delporte, « Jacques Dhondt: une fresque inoubliable et les tableaux sombres d'un artiste très drôle », sur rtbf.be (consulté le ).
  12. « Les gares belges d'autrefois. La gare de Mons III . Guy Demeulder. », sur garesbelges.be (consulté le ).
  13. sncb7020, « Fermeture de la gare », sur Youtube.com, (consulté le ).
  14. « La Gare de Mons, le temps de la réflexion avant les travaux », sur eurogare.be (version du sur Internet Archive).
  15. a b et c « La gare de Mons à 324 millions: le dessous des chiffres », Le Soir Plus, (consulté le ).
  16. « Eurogare », sur eurogare.be (version du sur Internet Archive).
  17. « La gare Calatrava à Mons: un projet contesté et suspect », sur Site-LeVif-FR, (consulté le ).
  18. « La future gare de Mons coûtera plus cher que prévu », sur rtbf.be (consulté le ).
  19. « Gare de Mons: pourquoi elle sera plutôt ouverte fin 2019 (voire plus tard) », L'Avenir (consulté le ).
  20. « La nouvelle gare de Mons coûtera deux fois plus cher que prévu », L'Echo, (consulté le ).
  21. « Fiche | Cour des comptes », sur Rekenhof - Cour des comptes (consulté le ).
  22. « Concours truqué, irrégularités dans le marché public, manque de transparence : la gare de Mons dans le viseur de la Cour des comptes », sur rtbf.be (consulté le ).
  23. « La gare de Mons va finalement coûter près d’un demi-milliard, plus de dix fois ce qui était prévu en 2001 », sur rtbf.be (consulté le ).
  24. « Gare de Mons : les travaux de démolition du bâtiment principal ont commencé », sur lavenir.net, (consulté le ).
  25. « Mons: la future gare va grandir de 17 mètres, ce jeudi », sur laprovince.be, (consulté le ).
  26. « La gare de Mons », sur eurogare.be (consulté le ).
  27. « Découvrez la gare provisoire de Mons », sur lavenir.net (consulté le ).
  28. Suppression du Thalys wallon : encore plus d’usagers à quai !, sur Ecolo.be.
  29. « La Belgique et la France envisagent une nouvelle liaison entre Schaerbeek et Paris, avec un arrêt à Mons », sur rtbf.be (consulté le ).
  30. Thibault Lapers, « OUIGO Train Classique Bruxelles - Paris officialisé », sur mobilithib.substack.com, (consulté le ).
  31. Olivier Chicheportiche, « Avec le Ouigo « petite vitesse » vers Bruxelles, la SNCF veut séduire ceux qui ne prennent pas le train », sur bfmtv.com/economie, (consulté le ).
  32. Belga, « La nouvelle ligne de train OUIGO Paris-Bruxelles inaugurée ce jeudi : voici sa fréquence et la fourchette du prix des tickets », sur dhnet.be, (consulté le ).
  33. Jérôme Hémard, « Le train Paris-Bruxelles s’arrêtera bien en gare de Saint-Quentin dès le  », sur aisnenouvelle.fr, (consulté le ).
  34. SNCB, « Aantal instappende reizigers per station in $ / Nombre de voyageurs montés par gare en $ (en cherchant "Reizigerstellingen" dans la barre de recherche) » [PDF], (consulté le ).
  35. a et b « SNCB - Mons » (consulté le ).
  36. « Brochures de ligne », sur belgiantrain.be, (consulté le ).
  37. « Dès le  : nouvelle offre de trains », sur belgiantrain.be, (consulté le ).
  38. « Fiche horaires de la ligne 41 Mons - Maubeuge » [PDF], sur stibus.fr (consulté le ).

Voir aussi

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Articles connexes

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Lien externe

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Origine Arrêt précédent Train   Arrêt suivant Destination
Paris-Nord Aulnoye-Aymeries Ouigo Train Classique Bruxelles-Midi Bruxelles-Midi
Lille-Flandres
ou Tournai
Saint-Ghislain IC
(en semaine)
La Louvière-Sud Namur
Quiévrain
ou Saint-Ghislain
ou Terminus
Jemappes
ou Terminus
IC
(en semaine)
Jurbise Tongres
ou Hasselt
Terminus Terminus IC Jurbise Bruxelles-Aéroport-Zaventem
Terminus Terminus IC
(en semaine)
La Louvière-Sud Liège-Saint-Lambert
Mouscron Jemappes IC
(week-ends et fériés)
La Louvière-Sud Liers
Grammont Jurbise L
(en semaine)
Jemappes Tournai
ou Mouscron
Grammont Erbisœul L
(week-ends et fériés)
Frameries Quévy
Quévy Frameries L
(en semaine)
Nimy La Louvière-Sud
Terminus Terminus L
(week-ends et fériés)
Nimy La Louvière-Sud
Terminus Terminus L
(en semaine)
Ghlin Braine-le-Comte
Ath
ou Terminus
Ghlin
ou Terminus
P
(en semaine)
Jemappes Tournai
Terminus Terminus P
(en semaine)
Ghlin Ath
Quévy
ou Quiévrain
ou Saint-Ghislain
Frameries
ou Jemappes
P
(en semaine)
Terminus
ou Jurbise
Terminus
ou Schaerbeek
Manage Nimy P
(en semaine)
Terminus
ou Frameries
Terminus
ou Quévy
La Louvière-Sud Nimy P
(en semaine)
Terminus Terminus