Discussion:Lycée Pierre-de-Fermat

Dernier commentaire : il y a 3 ans par 176.136.214.13 dans le sujet Anciens élèves
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Pourcentage

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Admissions aux grandes écoles d'ingénieur (nombre d'intégrés et pourcentages)

Il serait bien de préciser à quoi s'applique ces pourcentages. s'agit-il du pourcentage de ceux qui se présentent au concours ou de ceux qui intègrent la grande école, ou ... ? Spedona (d) 6 novembre 2009 à 21:57 (CET)Répondre

Carnaval

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Le paragraphe sur la tradition carnavalesque ne parrait pas appropriee. Aucune source n'est citee pour demontrer le charactere historique ce cette tradition. Dans l'ensemble, le paragraphe ressemble plus a une blague ecrite par les lyceens pour narguer leurs camarades des autres lycees Toulousains qu'autre chose.
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 116.213.171.14 (discuter), le 19 avril 2013 à 12:18 UTC+1

Les traditions du lycée Fermat appartiennent aux lycéens fermateux seuls, c'est-à-dire aux jeunes. Alors arrêtez de snober avec vos "caractères historiques", le Carnaval est une blague peut-être mais il a bien lieu toute une journée. Et d'ailleurs tous les lycées toulousains pratiquent le carnaval. Il faudrait également ajouter par rapport à votre message que, les mots dans la langue française prennent de accents (accessoirement), et le mot "charactere" n'existe pas, il s'écrit "caractère". Après ça on peut discuter je pense.
— Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 93.2.72.226 (discuter), le 20 avril 2013 à 10:18 UTC+1
Oui, mais Wikipédia appartient à tout le monde et possède des règles éditoriales qu'il convient de respecter. Les lycéens fermateux ne possèdent pas cette page. Alors à mon avis, soit vous pouvez montrer que ces tournois et traditions possèdent des sources (articles de presse locale notamment), soit ces passages n'ont rien à faire dans un article encyclopédique. --  Kormin (me contacter) 1 décembre 2013 à 13:50 (CET)Répondre
Ces... « traditions » appartiennent peut être aux lycéens fermateux, mais sans l'apport de sources provenant de publications indépendantes et de référence, leurs mentions dans un article encyclopédique, n'ont strictement rien à faire. Comme dit par Kormin nous avons des règles éditoriales, et notamment un principe de pertinence encyclopédique qui amène à faire le tri entre des informations qui peuvent être ajoutées pour leur nature encyclopédique, et celles qui, par leur caractère publicitaire, anecdotique, non neutre ou non vérifiable, ne sont pas acceptable. Kirtapmémé sage 1 décembre 2013 à 15:25 (CET)Répondre
Je pense que l'IP 93.2.72.226 confond existence et notoriété, connaissance personnelle et information vérifiable, anecdote et information pertinente. C'est embêtant, parce que sur une encyclopédie où tout le monde peut écrire dans l'anonymat le plus total, la vérifiabilité, la pertinence et la notoriété sont indispensables. Lorsqu'elles ne sont pas là, eh bien, le passage est supprimé, voilà tout. -- — Azurfrog [नीले मेंढक के साथ बात करना] 2 décembre 2013 à 01:24 (CET)Répondre

Un des meilleurs lycées de la région ?

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Bonjour, Je réagis à l'information qui est contenu dans le chapeau de l'article définissant le Lycée Fermat comme l'un des meilleurs lycées de la région. J'ai trouvé des informations contradictoires à ce sujet. La source utilisée, datant de 2009, est utilisée de façon erronée. Le titre (La dégringolade du lycée Fermat) ainsi que le contenu de l'article (Le lycée ne se classe que 19ème au classement départemental) contredisent la phrase indiquée dans le chapeau. Une recherche sur d'autres années renforcent l'idée que le lycée Fermat n'est pas l'un des meilleurs lycées de la région : classé 9ème, 7ème et 10ème au niveau départemental (sur 36 lycées). Fermat ne figure pas non plus dans le top 10 des lycées régionaux. Peut-on raisonnablement garder cette phrase dans l'en-tête? (P.S. On parle seulement de l'enseignement secondaire de la Seconde à la Terminale, et pas des classes préparatoires scientifiques, qui figurent régulièrement dans le top 10 des classements au niveau national) Nicolas8241 (discuter) 2 décembre 2014 à 12:45 (CET)Répondre

Le problème, à mon sens, c’est que l’on ne se base que sur les chiffres, puisque les sources disponibles facilement se bornent généralement à traiter automatiquement des données publiques (nombre d’admis au baccalauréat, par exemple). Et ici, effectivement, les trois élèves par an qui ne l’ont pas — logique, sur douze classes de terminale ! — donnent lieu à des articles tels que celui de la Dépêche qui, soit dit en passant, n’est pas utilisé à si mauvais escient puisque le journaliste ne manque pas de rappeler le « prestige » de « l’un des meilleurs établissements de Midi-Pyrénées ».
Maintenant, devons-nous nous borner à ces chiffres ? Bien entendu, il est utile de signaler que les taux de réussite au bac ne sont pas de 100 % à Fermat. Mais le niveau d’un lycée n’est pas seulement le nombre d’admis au bac chaque année. Fermat est avant tout l’un des lycées qui envoie le plus d’élèves en CPGE (l’an dernier, il me semble que quinze des élèves de la seule terminale S-SI sont allés en MPSI, à Fermat ou dans des Parisiennes). De nombreux élèves présentent le concours général des lycées, surtout en mathématiques. Idem pour les Olympiades dans différents domaines. Et s’il est une chose qui ne se mesure pas mais ne peut que se constater, c’est le prestige — à Toulouse, croyez-moi, celui de Fermat rayonne malgré les quelques affaires qui ont éclaboussé certains élèves et dont les médias tentent systématiquement de s’emparer pour faire du chiffre…
Je suis conscient que seules les sources peuvent permettre de confirmer ces dires et d’arriver à un article correct, et sans TI. Mais des recherches très rapides peuvent permettre de trouver ; par exemple j’ai pu trouver un article du Monde de Maryline Baumard, du 31 mars 2011 (payant sur internet, ici : [1] ; le texte intégral est recopié gratuitement (illégalement ?) là : [2]). L’introduction commence par « Pour savoir si les lycées français sont bons, il ne suffit pas de s'arrêter sur leur pourcentage de réussite au bac. Au contraire, il faut moins s'intéresser au score d'un établissement qu'essayer de comprendre ce qu'il apporte aux élèves. » Et on peut lire au milieu de l’article : « À Toulouse, Pierre-Fermat est à 98 %. Et la liste pourrait s'allonger encore de tous ces lycées de centre-ville où les places sont chères, mais le succès garanti. ». Plus ancien (1994), un article de l’Express qui s’intéresse à « la réputation d’excellence » du lycée : [3]. Et cetera.
Alors mentionner les chiffres « médiocres » du lycée, pourquoi pas — encore que l’article du Monde dit bien que ces chiffres ont peu de valeur dans le secondaire, ce qui mérite aussi d’être signalé. Mais en tant qu’encyclopédie, nous pouvons nous permettre, avec les sources disponibles (on doit pouvoir en trouver d’autres), de prendre du recul et de mentionner ce qui ne se mesure pas à coup de statistiques automatisées par l’Étudiant, à savoir que, oui, le lycée général et technologique Pierre-de-Fermat est un lycée de centre-ville de bon niveau, et jouissant d’une réputation (nous ne risquerons pas à dire si elle est fondée ou non, par souci de neutralité) de prestige et d’excellente.
Bien cordialement --Pic-Sou 2 décembre 2014 à 18:14 (CET)Répondre
Le plus simple est de lire et d'appliquer en:Wikipedia:Avoid academic boosterism.
On donne les indicateurs clefs, et on laisse le lecteur en tirer les conclusions si il souhaite le faire. Si on commence à citer des classements, on n'oublie pas de citer aussi ceux où l'établissement n'est pas en haut. On est ni là pour dire aux gens quoi penser, ni relayer des on-dit locaux. Tout le blabla à base d'« excellence », « prestige », « élite » ou autre n'apporte rien. Cdlt, XIII,東京から [何だよ] 2 décembre 2014 à 18:36 (CET)Répondre
Oui, on cite les classements, mais on cite aussi les analyses qui sont portés dessus (notamment, l’article du monde qui dit qu’ils ne suffisent pas). Et la réputation du lycée est quelque chose de purement factuel, sourcé, vérifiable sur place, et qui a amplement sa place dans un article comportant une analyse exhaustive du sujet… Cordialement --Pic-Sou 2 décembre 2014 à 19:37 (CET)Répondre
Concernant les classements, cela fait plusieurs années que le Ministère de l'Education Nationale publie les statistiques concernant la plus-value des lycées (L'Express publie son classement national à partir de ces données). Ces statistiques comportent la part d'élèves qui restent dans l'établissement de la seconde à la terminale, le taux de réussite au baccalauréat, et le niveau de réussite attendu (calculé à partir du niveau à la sortie de 3ème et du niveau socio-culturel moyen des parents). C'est la comparaison entre résultats attendus/résultats obtenus qui est utilisé pour classer les lycées au niveau départemental et national.
Je suis d'accord avec XIII que les termes comme « établissement réputé », « jouissant d'une bonne réputation » sont vagues et sujets à caution dans une encyclopédie. Il vaut mieux citer les chiffres et classements et indiquer les liens vers ceux-ci en évitant des termes subjectifs. Les lecteurs intéressés par la méthodologie de ces classements cliqueront sur les liens et pourront les étudier. Nicolas8241 (discuter) 2 décembre 2014 à 22:32 (CET)Répondre
Bonjour, je propose qu'on modifie la phrase Il est réputé comme l’un des meilleurs lycée de la région au niveau secondaire, tandis que ses classes préparatoires scientifiques figurent parmi les meilleures au classement du taux de réussite aux concours d’entrée aux grandes écoles. à Ses classes préparatoires scientifiques figurent souvent dans les 10 meilleurs au classement national du taux de réussite aux concours d’entrée aux grandes écoles. (on supprime ainsi la mention de l'un des meilleurs lycées de la région). Dans la section Résultats, on rajoute le paragraphe suivant : "Le lycée se classe 9e sur 36 au niveau départemental en termes de qualité d'enseignement, et 360e au niveau national[1]. Le classement s'établit sur trois critères : le taux de réussite au bac, la proportion d'élèves de première qui obtient le baccalauréat en ayant fait les deux dernières années de leur scolarité dans l'établissement, et la valeur ajoutée (calculée à partir de l'origine sociale des élèves, de leur âge et de leurs résultats au diplôme national du brevet)[2]." Nicolas8241 (discuter) 8 décembre 2014 à 21:22 (CET)Répondre
Bonjour, et désolé de ne pas être intervenu plus tôt. Je n’ai rien contre la modification du chapô, qui va à l’essentiel. En revanche, je suis défavorable à la suppression de toute mention concernant la réputation du lycée. Les termes que je propose ne sont pas sujets à caution, dans la mesure où j’ai apporté des sources. Les chiffres, s’ils sont un indicateur factuel simple, ne font pas tout, loin de là, pour les raisons expliquées précédemment. Donc pas de problème avec la modification effectuée ce matin, mais il manque un aspect de la chose. Cordialement --Pic-Sou 11 décembre 2014 à 18:23 (CET)Répondre
Les sources que vous indiquez montrent que le lycée Fermat a un bon niveau, mais qui ne le permet pas d'être parmi les meilleurs de la région. La source de 2009 indique que le classement de Fermat a chuté, et qu'il est n'est que 19ème sur 36 au niveau départemental. La deuxième source (Le Monde, 2011) indique que l'Education Nationale utilise trois indicateurs pour calculer le classement des lycées (i.e. le taux de réussite au bac, la proportion d'élèves de première qui obtient le baccalauréat en ayant fait les deux dernières années de leur scolarité dans l'établissement, et la valeur ajoutée). On y apprend que le lycée Fermat obtient un bon score à l'un des trois indicateurs, mais on n'a pas d'information sur les deux autres. Quant à la source de 1994, je serai d'avis pour dire qu'elle est trop ancienne (elle a 20 ans...), mais je serai intéressé de savoir ce qu'en disent d'autres personnes. Nicolas8241 (discuter) 13 décembre 2014 à 14:37 (CET)Répondre
Encore une fois, je me permets de penser qu’il y a confusion entre le niveau réel, mesuré par des chiffres officiels du ministère… et le reste, qui ne peut être perçu que par des écrits tels que l’article de 1994 que j’ai cité. Certes, il a vingt ans… et alors, ai-je envie de dire ? Car cet élément, l’image (justifiée ou non) d’excellence qu’ont les Toulousains de ce lycée reste ancrée sur le long terme ! Cordialement --Pic-Sou 19 décembre 2014 à 13:24 (CET)Répondre
Oui, enfin c'est l'image de la plupart des établissements de centre-ville dans lesquels les CSP+ mettent leurs enfants, surtout s'il y a une prépas en plus. L'établissement à une meilleur réputation que l'établissement de périphérie dans lequel madame Michou met son gosse, mais ça reste une vision très locale.
« Excellence » est un mot que l'on retrouve typiquement dans la communication des établissements scolaires. Il n'y a pas de raison de le réutiliser. Si vraiment c'est le cas, il n'y a qu'à donner les chiffres et les faits laisser parler. Cdlt, XIII,東京から [何だよ] 19 décembre 2014 à 13:35 (CET)Répondre
J'ai du mal à comprendre la distinction que tu proposes Pic-Sou entre un niveau mesuré et niveau perçu (i.e. l'image dont tu parles). Le niveau est-il excellent? Les statistiques de l'Education Nationale montrent pourtant qu'un enfant s'en sort "mieux" en moyenne en allant à Ozenne ou Sainte-Thérèse qu'à Fermat. Je ne pense pas qu'on puisse évoquer l'image de l'établissement auprès de la population locale sans se retrouver rapidement dans l'ordre du subjectif et de l'émotionnel. Nicolas8241 (discuter) 19 décembre 2014 à 14:23 (CET)Répondre
Je crois que je comprends ce que veut dire XIII. Mais c’est justement là que je veux en venir : je caricature un peu le trait, mais en gros, un Toulousain du centre-ville cherchera volontiers à mettre ses enfants à Fermat, éventuellement à frauder la carte scolaire ou à truander sur les options. Parce que l’association « Fermat = très bon lycée », qu’elle soit vraie ou non (et les chiffres du ministère semblent montrer le contraire) est assez ancrée. (Mon impression est que le lycée est très élitiste et fait progresser ses meilleurs éléments, mais qu’en raison de la carte scolaire, le lycée peine à s’adapter — je ne demande absolument pas à ce que cette vision soit intégrée dans l’article). Après, si ce que dit XIII est sourçable, peut-être pourrait-on envisager de l’évoquer dans un article plus général sur les lycées français ? Mais je trouve dommage que cet aspect purement sociologique ne soit pas abordé ici. Parce que, quoiqu’on dise, quelles que soient les réformes territoriales qu’on tente de faire, Ozenne, Fermat et Saint-Sernin n’ont pas grand chose à voir avec les Arènes, Toulouse-Lautrec ni Rive-Gauche… Cordialement --Pic-Sou 19 décembre 2014 à 14:44 (CET)Répondre
À titre d’exemple le simple fait que cet article ait été évalué d’importance élevée pour le projet:Toulouse me semble assez révélateur…   --Pic-Sou 19 décembre 2014 à 14:52 (CET)Répondre
C'est sourçable de manière globale (cf Bourdieu, et déjà en partie développé dans Sociologie des grandes écoles). Pour un exemple concret de traitement sur Wikipédia, il y a École polytechnique (France)#Origine sociale, mais de là à trouver la même chose pour ce lycée... Cdlt, XIII,東京から [何だよ] 19 décembre 2014 à 14:50 (CET)Répondre
Il y a un amalgame entre les classes préparatoires d'un côté et le lycée, Seconde à la Terminale, de l'autre. On ne nie pas que les classes préparatoires soient d'un très bon niveau - cela est d'ailleurs indiqué dans le chapeau de l'article. Mais l'excellence des classes de la Seconde à la Terminale n'existe tout simplement pas, comme le prouve les chiffres de l'Education Nationale. Comment est-ce qu'on distingue la part du lycée (2nde-Tale) et les classes prépas dans la réputation du lycée (dans son ensemble, i.e. 2nde-Tale et prépas)? La présentation actuelle me semble bien répondre à cette problématique - d'un côté, on indique les résultats des classes prépas dans un paragraphe, et dans un autre paragraphe on indique que le lycée (2nde-Tale) se classe plutôt moyennement au niveau régional, tout en évitant d'utiliser des termes ambigus comme image de ... ou réputation de ... qui engloberaient à la fois la Seconde-Tale et les classes prépas. Nicolas8241 (discuter) 20 décembre 2014 à 07:02 (CET)Répondre
Bonsoir. J'aimerais revenir (bien tard après la fin ce débat qui date pour la dernière réponse de l'année dernière...) sur la question du « prestige » de Fermat ː est-ce bien « l'un des meilleurs lycées de Toulouse » ? Il semble d'ailleurs que l'information ait été retirée du chapeau de l'article. Pourtant, je rejoins Pic-Sou sur un certain nombre d'éléments ː
1) la question du prestige de Fermat est un élément de (disons rapidement) la sociologie éducative toulousaine ː la place de ce lycée est considérable dans l'imaginaire des habitants (même Mme Michou de Saint-Orens en banlieue qui a un bon lycée pour son fils à côté de chez elle) et explique les stratégies de dézonage ou de contournement de carte scolaire, de choix d'options qui permettent d'obtenir une orientation à Fermat, etc. Il est d'ailleurs remarquable que la Dépêche du Midi, journal régional, consacre régulièrement un article au lycée (en vrac ː résultats de bac, affaires de viol, lauréats d'un concours, affaires de bizutage, chiens écrasés, etc.). Il est donc, à mon avis, difficile de ne pas inclure, après l'avoir nuancée au besoin, la question de ce prestige que conserve, à tort ou à raison, le lycée.
2) y a-t-il « dégringolade dans les résultats » ? Oui, si l'on s'en réfère aux classements donnés par l'Express (ne faudrait-il pas d'ailleurs préciser explicitement que ce classement est celui d'un journal, pas celui de l’Éducation nationale ?) qui, repris par la presse locale, souligne la 23e place du lycée. Pourtant, il y a 4 remarques à faire ː a) ce classement ne prend pas en compte les taux de bacheliers sortants, donnée qui précise le nombre de terminales du lycée qui ont obtenu le baccalauréat, mais surtout le nombre de ceux qui l'ont obtenu en se présentant aux épreuves sur les listes de l'établissement (et non pas comme candidat libre par exemple...). Un coup d’œil à ce classement en 2014 montre que les lycées, en particulier privés, en tête du classement de l'Express ont des taux de bacheliers sortants plus faibles que Fermat... qui se trouve soudain 2e meilleur lycée de la ville derrière Ozenne. b) le 3e indice retenu par l'Express, la « valeur ajoutée », permet non pas de mesurer l'excellence des élèves et leurs résultats, mais (à la rigueur et quoique je le trouve contestable comme donnée valable) le travail des équipes pédagogiques et administratives. En quoi cet indice permet-il de mesurer le prestige d'un lycée et expliquer sa renommée ? Pour reprendre la remarque de Pic-Sou, « le problème, à mon sens, c’est que l’on ne se base que sur les chiffres, puisque les sources disponibles facilement se bornent généralement à traiter automatiquement des données publiques » ; j'ajouterais qu'en plus, ces chiffres ont été sélectionnés et qu'on n'en a fait parler qu'une partie. c) Fermat est à 96%... taux qu'il est difficile de qualifier de faible ou même de moyen. Dire que le lycée (2de-Tle) est médiocre me semble donc une erreur. d) Fermat est 23e après Ste-Marie-de-Nevers (70 candidats en général), Charles de Gaulle (24 candidats en S seulement), le Ferradou (113 candidats), Ohr Torah (26 candidats)... quand Fermat en a présenté 395. On se retrouve rapidement dans les tréfonds d'un classement...
3) le prestige n'est pas une donnée brute ou chiffrée, il ne se mesure pas à l'aide de taux de réussite au bac pondérés par des coefficients d'attente sociologique ou des taux de « valeur ajoutée ». D'ailleurs, cette « dégringolade » dont parlent les journaux date de 6 ans ː la réputation d'un lycée ne se défait pas en 6 ans (en bien ou en mal d'ailleurs ː il y a encore des gens qui pensent qu'on risque sa vie au lycée Rive gauche). XIIIfromTOKYO rappelle qu' « on est ni là pour dire aux gens quoi penser, ni relayer des on-dit locaux. Tout le blabla à base d'« excellence », « prestige », « élite » ou autre n'apporte rien. » ː traiter des croyances, fondées ou non, des Toulousains sur ce lycée ne veut pas dire qu'on y croit et qu'on incite le lecteur à y croire, mais on ne peut pas le lui cacher au motif que cela ressortirait d'une forme d’academic boosterism. En quoi des expressions comme « établissement réputé », « jouissant d'une bonne réputation » sont-elles « vagues et sujets à caution dans une encyclopédie » ? Si cette réputation est vérifiable, elle est un fait qui peut être critiqué quant à ses arguments, mais qui ne peut pas être repoussé.
Tout cela pour dire que je pensais remettre dans le chapeau un élément sur le prestige du lycée Fermat. Bonne soirée, --Abdoucondorcet (discuter) 27 juillet 2015 à 03:50 (CEST)Répondre

Viols, suicides, évacuations…

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Je viens d’apposer un bandeau {{pertinence}} à cet ajout sur l’« histoire » du lycée après la guerre. Si certaines des informations sont sourcées et vérifiables, j’ai un très fort doute sur leur pertinence. L’impression que j’ai est plutôt que cette agglutination de faits est plutôt destinée à choquer, à transformer l’article en annexe de metronews et autres journaux sans aucun recul.

Par ailleurs, plusieurs des informations sont beaucoup trop sujettes à caution pour pouvoir être laissées telles quelles dans l’article ; je les supprimerai ce weekend si un débat n’a pas lieu à ce sujet d’ici là. En effet, s’il est indéniable qu’une étudiante est morte suite à une chute d’une fenêtre de l’internat la nuit du 12 au 13 avril 2013, il est inadmissible à mes yeux que nous véhiculions l’information selon laquelle il s’agirait d’un suicide sans source plus sérieuse qu’un article écrit à chaud de la Dépêche avec un titre bien vendeur. L’enquête s’est rapidement orientée vers la thèse de l’accident (« la thèse de l’accident semble la plus probable »), et aucune publication autre que notre bonne vieille presse choc n’a repris l’information.

De même pour l’histoire du « viol » qui aurait eu lieu en début d’année. Il y a eu plainte, il y a eu mise en examen, tant qu’un jugement n’aura pas été rendu, colporter ce qui n’est que de l’ordre de la supposition me semble extrêmement malsain. Et quand bien même le présumé violeur serait jugé coupable, je doute du fait que nous ayons à nous transformer en presse de caniveau et à remplir l’article des affaires qui ont fait la Une du 20minutes Toulouse.

Cordialement --Pic-Sou 19 décembre 2014 à 13:24 (CET)Répondre

A mon avis, ce qui permet de justifier le maintien ou non de ces informations sur la page repose essentiellement sur le fait de savoir si cela a impacté l'école, si cela sort du cadre individuel. Dans la plupart des informations qui sont présentes dans ce paragraphe, on a affaire à des informations qui ont impacté la vie de l'établissement, qui ont eu un écho fort au sein de l'école (i.e. les deux premiers suicides car ces gestes ont été faits au sein de l'établissement, devant les autres élèves, et que cela a généré la mise en place d'une cellule psycho/d'écoute par les autorités pédagogiques). Pour les deux suicides qui ont eu lieu la même semaine, on trouve d'autres sources (nationales) qui reprennent l'information : Paris Match et France 3. Il y a une là aussi une réaction (forte?) de l'équipe pédagogique (i.e. proviseur adjoint qui se déplace dans toutes les classes, policiers devant l'établissement, cellule psychologique). Le fait que la deuxième étudiant soit morte par suicide ou suite à un accidente importe relativement peu (bien entendu je parle strictement en terme de son placement dans l'article, j'espère ne pas offenser les amis/famille de la défunte qui liraient ce passage), car c'est l'impact sur la communauté scolaire qui est surtout importante à noter.
Concernant l'affaire du viol, là c'est plus "limite" car on se retrouve dans le fait divers n'ayant qu'un lien faible avec l'établissement (le supposé viol a eu lieu dans l'enceinte de l'établissement, l'accusé et la victime y sont élèves, et cela a provoqué le renvoi de l'accusé). Du coup, on peut dire que ça n'a pas sa place dans l'article. L'argument pour, c'est de remarquer que cela a été relayé dans de nombreux médias régionaux et nationaux, contrairement à une affaire similaire en 2000 qui a eu beaucoup moins d'échos (à cause du témoignage moins "fiable" de la victime? cf. article 2000)
Concernant le sabre et le lycée évacué, je suis d'avis pour que ça reste dans l'article car montre les mesures de sécurité qui existent dans le lycée (peut-être qu'on peut trouver une source qui dit précisément que ces mesures Vigipirate ont été prises à la suite des attaques de Mérah et sont toujours en place?) Nicolas8241 (discuter) 19 décembre 2014 à 15:15 (CET)Répondre
Aucun des trois cas ne me semble vraiment notables, donc IMO on peut les virer. XIII,東京から [何だよ] 19 décembre 2014 à 15:42 (CET)Répondre
J'abonde dans le sens de XIIIfromTOKYO, cela me semble vraiment sans intérêt. Ces affaires de suicide, tentatives de suicide ou suicides présumés ont été conservés pour parler de la pression exercée sur les élèves. Pour le reste... sans intérêt pour cet article à mon avis. --Abdoucondorcet (discuter) 27 juillet 2015 à 03:58 (CEST)Répondre

Ajouts d'éléments concernant le lycée

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Bonjour à tous,

Cela fait maintenant plusieurs fois que je tente d'ajouter des précisions sur les orientations des élèves de Terminale du lycée Fermat (notamment le fait qu'une partie non négligeable d'entre eux tente les concours de Sciences Po Paris et des IEP de régions) qui me semblent judicieuses compte tenu du fait que la partie sur les résultats au baccalauréat ainsi que celle sur les CPGE du lycée sont très détaillées. De plus cela permettrait d'apporter des informations supplémentaires dans le débat suivant : le lycée Fermat peut-il encore être considéré comme un des meilleurs lycées de la région malgré les classements nationaux pas si glorieux que ça ?

Or mes retouches ont été systématiquement supprimées avec acharnement. J'aimerais en connaître les raisons.

Merci de vos réponses

Bonjour. Cet élément me paraît en effet pertinent, mais il n’est pas dit qu’il puisse être sourcé. Il faudrait des publications attestant qu’il y a bien « une partie non négligeable » qui tente le concours.
Cordialement --Pic-Sou 30 janvier 2015 à 12:36 (CET)Répondre
Ca serait intéressant de trouver une source qui compare les lycées sur ce critère. Avoir 4 admis par an à partir de 400 élèves de Terminale : est-ce spectaculaire? Moyen? En-dessous de la moyenne nationale? Nicolas8241 (discuter) 30 janvier 2015 à 18:05 (CET)Répondre

Paragraphe superflu?

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Bonjour à tous, est-ce que vous trouvez que le paragraphe Structure pédagogique est un peu too much? (i.e. "34 élèves dans cette classe, 45 dans celle-ci, ...") Cdt, Nicolas8241 (discuter) 25 juillet 2015 à 22:41 (CEST)Répondre

Anciens élèves

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Je suggère d'insérer le nom d'Emile Cartailhac, archéologue, parmi les anciens. Source : par exemple Wikipedia. Merci. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par l'IP 176.136.214.13 (discuter), le 10 janvier 2021 à 09:40 (CET)Répondre

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