Saint-Orens-de-Gameville

commune française du département de la Haute-Garonne

Saint-Orens-de-Gameville, souvent appelée Saint-Orens et prononcé /sɛ̃(t)oʁɛ̃s/ dans le langage courant, est une commune française située dans le nord-est du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Saint-Orens-de-Gameville
Saint-Orens-de-Gameville
La mairie.
Blason de Saint-Orens-de-Gameville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Toulouse Métropole
Maire
Mandat
Serge Jop
2022-2026
Code postal 31650
Code commune 31506
Démographie
Gentilé Saint-Orennais
Population
municipale
13 766 hab. (2021 en évolution de +18,36 % par rapport à 2015)
Densité 1 054 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 33′ 06″ nord, 1° 32′ 02″ est
Altitude Min. 144 m
Max. 219 m
Superficie 13,06 km2
Type Centre urbain intermédiaire
Unité urbaine Toulouse
(banlieue)
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Castanet-Tolosan
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Saint-Orens-de-Gameville
Liens
Site web ville-saint-orens.fr

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Marcaissonne, la Saune et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un espace protégé (les « prairies humides à jacinthe de Rome sur les communes de Saint-Orens-de-Gameville et de Quint-Fonsegrives ») et une zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Saint-Orens-de-Gameville est une commune urbaine qui compte 13 766 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1962. Elle est dans l'agglomération toulousaine et fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Saint-Orennais ou Saint-Orennaises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend un immeuble protégé au titre des monuments historiques : une croix, inscrite en 1965.

Géographie

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Localisation

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La commune de Saint-Orens-de-Gameville se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 9 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 5 km de Castanet-Tolosan[2], bureau centralisateur du canton de Castanet-Tolosan dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Toulouse[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Labège (2,5 km), Lauzerville (2,6 km), Auzielle (2,8 km), Quint-Fonsegrives (3,8 km), Escalquens (4,3 km), Ramonville-Saint-Agne (4,8 km), Aigrefeuille (4,9 km), Castanet-Tolosan (4,9 km).

Sur le plan historique et culturel, Saint-Orens-de-Gameville fait partie du pays toulousain, une ceinture de plaines fertiles entrecoupées de bosquets d'arbres, aux molles collines semées de fermes en briques roses, inéluctablement grignotée par l'urbanisme des banlieues[4].

Saint-Orens-de-Gameville est limitrophe de six autres communes. Les communes limitrophes sont Quint-Fonsegrives, Auzielle, Escalquens, Labège, Lauzerville et Toulouse.

Communes limitrophes de Saint-Orens-de-Gameville[5]
Quint-Fonsegrives
Toulouse   Lauzerville
Labège Escalquens Auzielle

Géologie et relief

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La superficie de la commune est de 1 306 hectares ; son altitude varie de 144 à 219 mètres[6].

Hydrographie

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Réseaux hydrographique et routier de Saint-Orens-de-Gameville.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Marcaissonne, la Saune, le ruisseau de Bolé, le ruisseau de Nicol, le ruisseau de Tricou et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 11 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La Marcaissonne, d'une longueur totale de 26,5 km, prend sa source dans la commune de Beauville (31) et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Elle traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Toulouse, après avoir traversé 14 communes[9].

La Saune, d'une longueur totale de 31,8 km, prend sa source dans la commune du Vaux et s'écoule vers le sud-est. Elle traverse la commune et se jette dans l'Hers-Mort à Toulouse, après avoir traversé 18 communes[10].

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[12].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 726 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 5,3 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Blagnac à 15 km à vol d'oiseau[13], est de 14,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 627,0 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[16].

Milieux naturels et biodiversité

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Espaces protégés

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La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[17],[18].

Un espace protégé est présent sur la commune : les « prairies humides à jacinthe de Rome sur les communes de Saint-Orens-de-Gameville et de Quint-Fonsegrives », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 12,8 ha[19].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

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Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 2] est recensée sur la commune[20] : les « prairies humides des bords de la Saune » (47 ha), couvrant 5 communes du département[21].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Orens-de-Gameville est catégorisée centre urbain intermédiaire, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 2]. Elle appartient à l'unité urbaine de Toulouse[Note 3], une agglomération inter-départementale regroupant 81 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[I 3],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 4],[I 5].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (57,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (53 %), zones urbanisées (35,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (6,4 %), zones agricoles hétérogènes (5,5 %)[22]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Voies de communication

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Accès par la route via l'autoroute A61 sortie   18 Montaudran.

Transports

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La ligne de bus à haut niveau de service Linéo L9 du réseau Tisséo relie le centre commercial de la commune en passant par le centre-ville de Toulouse jusqu'à L'Union (Haute-Garonne), la ligne 78 relie le lycée de la commune et traverse la ville d'est en ouest jusqu'à la station Université-Paul-Sabatier du métro de Toulouse, la ligne 79 relie le lycée de la commune à la station Ramonville, la ligne 83 relie le lycée de la commune et traverse la ville jusqu'à la station Balma - Gramont, la ligne 109 relie la commune à Castanet-Tolosan et au quartier Malepère de Toulouse, la ligne 201 dessert un seul arrêt à l'ouest de la commune et relie le quartier Malepère à Varennes, et la ligne 356 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Revel.

Il n'y a pas de gare à Saint-Orens. Les gares de Labège-Innopole et Escalquens sont situées à proximité.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Orens-de-Gameville est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[23]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[24].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Saune. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1993, 1996, 1999, 2000 et 2009[25],[23].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Orens-de-Gameville.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 98,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 3 820 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 3 814 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[26],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[27].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993, 1994, 1998, 2003, 2005, 2011, 2012, 2016 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[23].

Risques technologiques

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La commune est en outre située en aval du barrage de l'Estrade sur la Ganguise (département de l'Aude). À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[28].

Toponymie

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L’origine de Saint-Orens de Gameville vient du nom d’un évêque du Ve siècle, Orentius à qui fut attribuée la délivrance de Toulouse de l’emprise des romains en 438. Ses prières répétées auraient provoqué un épais nuage entourant le général romain Litorius, l’égarant aux portes de la ville de Toulouse où il fut fait prisonnier. Après sa mort en 439, Orentius fut canonisé. En son hommage, on fit construire l’église en son nom sur le site même de la bataille.

Pour certains, Orens ne se prononce pas /oʁɛ̃s/ ("Orinss") comme le font traditionnellement les Toulousains, mais /orɑ̃/ ("Oran") comme le font les vieux Saint-Orennais. Pierre Founaud, instituteur à Saint-Orens (marié à Marie-Jeanne Mailhol, fille d'Alphonse Maihlol, maire du village de 1938 à 1941) en avait fait la démonstration en son temps. La raison réside dans l'origine du nom propre qu'est Orens. Selon la définition du Larousse, il y a historiquement trois prononciations possibles pour Saint Orens : Saint "Orient", Saint "Orance", Saint "Oran".

La prononciation "orince" de "orens" correspond au "in" (/ɛ̃/) que l'on entend dans "pentagone" ou 'benjamin".

C'est la prononciation de langue d'oc héritée directement du latin "Orientius", se prononçant "Orinssiuss" et écrite parfois "Orencius".

La prononciation "Oran", accentuée d'un "r" roulé, ne doit pas faire illusion ; elle est le fruit de l'embarras des instituteurs méridionaux, tenaillés entre le "bon français" et la phonétique locale.

D'autres exemples, comme "Graulhet" prononcé '"Groyé", "Muret" prononcé "Murèth", Laguiole prononcé "Layole", témoignent de la difficulté à retranscrire les noms occitans en français.

Saint-Orens-de-Gameville est une des 101 communes portant par leur nom ou sur leur territoire la mémoire incontestable de saint Orens, dont le nom est donné à des lieux-dits, des communes, des paroisses, des lieux de culte, des confréries, des légendes, etc.[29].

Histoire

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La création de la commune provient de la fusion, le , de trois communautés : Cayras, Gameville et Lantourville qui faisaient partie du diocèse de Toulouse. Le premier maire de la ville s’appelait Jean Bellières qui a donné son nom à l'actuelle place où se situe l’espace culturel Altigone.

On note qu'en 1791, le conseil municipal vota une somme destinée à payer un chirurgien pour les pauvres et en 1818 la création d'un bureau particulier de charité.

Héraldique

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Son blasonnement est : Coupé au premier d'or à une croix retranchée chargée de la Sainte Eponge sur son roseau en bande, et de la Sainte Lance en barre, le tout de sable, au second d'argent à deux pals de gueules, mi-parti de gueules à la croix occitane d'or[30].

Ce blason fait référence à une croix du XIIe siècle[31], classée Monument historique, qui se trouve au rond-point devant l'église de Saint-Orens.

Sur la croix sont représentés deux des instruments de la passion de Jésus-Christ.

Politique et administration

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Administration municipale

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Le nombre d'habitants au recensement de 2017 étant compris entre 10 000 habitants et 19 999 habitants, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2020 est de trente-trois[32],[33].

Rattachements administratifs et électoraux

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Commune faisant partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne, de Toulouse Métropole et du canton de Castanet-Tolosan.

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1944 1968 Henri Puis    
1968 2001 Gustave Plantade MRG[34],[35] puis
DVD-UDF
Retraité, maire honoraire
Conseiller régional de Midi-Pyrénées
Vice-président du conseil régional
2014 Christian Sempé PCF Professeur des écoles, ancien adjoint
Ancien conseiller régional de Midi-Pyrénées (1983 → 1986)
2022 Dominique Faure MR puis
PRV-LREM
Cadre supérieure
Secrétaire d’État à la Ruralité
Députée de la Haute-Garonne (10e circ.) (2022)
Vice-présidente de Toulouse Métropole (2015 → 2022)
En cours
(au 15 juillet 2022)
Serge Jop   Ancien officier de l'Armée de terre, ancien adjoint
3e vice-président de Toulouse Métropole (2022 → )

Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[36],[Note 6].

En 2021, la commune comptait 13 766 habitants[Note 7], en évolution de +18,36 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
385451490554607687746704676
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
570588677570596600589592609
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
631597620584589611687667674
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
8151 3494 7387 6389 70310 99110 78211 19611 520
2021 - - - - - - - -
13 766--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[37] puis Insee à partir de 2006[38].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[39] 1975[39] 1982[39] 1990[39] 1999[39] 2006[40] 2009[41] 2013[42]
Rang de la commune dans le département 49 17 11 11 11 12 14 13
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

D’un village de moins de 1 500 habitants jusque dans les années 1970, Saint-Orens a connu une explosion démographique à partir de 1980, la population passant de 4 500 à 10 000 habitants en moins de 20 ans.

Économie

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Revenus

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En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 5 573 ménages fiscaux[Note 8], regroupant 12 499 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 25 530 [I 6] (23 140  dans le département[I 7]). 64 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 9] (55,3 % dans le département).

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 8] 4 % 7,3 % 7,6 %
Département[I 9] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 10] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 7 383 personnes, parmi lesquelles on compte 77,3 % d'actifs (69,7 % ayant un emploi et 7,6 % de chômeurs) et 22,7 % d'inactifs[Note 10],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 11]. Elle compte 5 064 emplois en 2018, contre 4 683 en 2013 et 4 378 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 5 239, soit un indicateur de concentration d'emploi de 96,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 54,4 %[I 12].

Sur ces 5 239 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 1 163 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 79,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 10,3 % les transports en commun, 7,6 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 2,7 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].

Activités hors agriculture

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Secteurs d'activités

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1 160 établissements[Note 11] sont implantés à Saint-Orens-de-Gameville au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 12],[I 15].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 1 160 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
43 3,7 % (5,7 %)
Construction 104 9 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
330 28,4 % (25,9 %)
Information et communication 44 3,8 % (4,1 %)
Activités financières et d'assurance 45 3,9 % (3,8 %)
Activités immobilières 49 4,2 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
202 17,4 % (19,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
242 20,9 % (16,6 %)
Autres activités de services 101 8,7 % (7,9 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 28,4 % du nombre total d'établissements de la commune (330 sur les 1160 entreprises implantées à Saint-Orens-de-Gameville), contre 25,9 % au niveau départemental[I 16].

Entreprises et commerces

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Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[43] :

  • Clinique De ST Orens, activités hospitalières (14 310 k€) ;
  • Societe Nouvelle Des Ateliers Fauroux, commerce de gros (commerce interentreprises) de fournitures pour la plomberie et le chauffage (11 750 k€) ;
  • Sirvin - PSP, travaux de plâtrerie (5 627 k€) ;
  • Bonnie&Ride, commerce et réparation de motocycles (4 294 k€) ;
  • Sodimetal, travaux de menuiserie métallique et serrurerie (3 524 k€).

Agriculture

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La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[44]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 19 15 12 11
SAU[Note 14] (ha) 662 770 513 708

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 19 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 15 en 2000 puis à 12 en 2010[46] et enfin à 11 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 42 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[47],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 662 ha en 1988 à 708 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 35 à 64 ha[46].

Équipements, services et vie locale

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Services publics

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Enseignement

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Culture

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  • La médiathèque municipale[48]
  • La salle de spectacle Altigone[49]
  • Roller Skating Saint-Orens (RSSO), club de Roller ayant le plus grand nombre de licenciés en Midi-Pyrénées (disciplines rando, hockey, course et artistique)[50].
  • Saint-Orens rugby féminin club de rugby à XV féminin plusieurs fois championne de France. Associé une partie avec les féminines de Blagnac et du Stade Toulousain. Nombreuses internationales. Le Stade Saint Orens xv va redémarrer une section féminine.
  • Saint-Orens FC : club de football de la ville créé en 1964 sous le nom de Jeunesse Sportive Saint-Orennaise (JSSO) avant d'être renommé, en 2000, Saint-Orens Football Club. Il est, depuis de nombreuses années, composé de plusieurs équipes dans toutes les catégories, de débutants à vétérans.
  • Saint-Orens XV: club de rugby à XV issue de la Jsso omnisports.de la ville. Champion régional de série 4 le club à évolué plus de 15 ans en fédérale 3 et joué la montée en division 2. École de rugby agréé FFR....couplée en élite cadet et junior avec l'Avenir Castanet (fédérale 1). Actuellement[Quand ?] l'équipe fanion évolue en promotion d'honneur, fait partie de la FFR, comité départemental du 31, ligue occitanie de rugby. Populaire, convivial il est leader associatif sur le secteur ou les amateurs de rugby comme les gamins de Labège, Auzielle, St Foy d'Aigrefeuille, Odars,Escalquens y adhèrent en nombre. L'entité dispose d'un club *partenaires* qui attire,de plus en plus, les entreprises locales mais aussi des zi de Labège, la plaine et Montaudran.
  • Le Stade Toulousain y dispose d'une base pour stage de vacances
  • Piscine Tournesol intercommunale du Sicoval.
  • Saint-Orens Badminton : Saint-Orens Badminton, SOBAD, est un club qui a été créé en 1987 en tant que section badminton au sein de la Jeunesse Sportive Saint-Orennaise (JSSO) puis devint SOBAD en 2000. Plusieurs équipes composent le club. Ce sport est pratiqué en loisirs ou en compétition de 7 à 77 ans.
  • Gymnastique Rythmique de Saint Orens (GRSO), club de gymnastique rythmique membre de l'UFOLEP. Le club compte 200 gymnastes âgées de 5 à 18 ans encadré par 25 animatrices[51].
  • Tour de France 1995.
  • Skatepark, tennis, complexe sportif Gustave Plantade, gymnase Riquet,

Écologie et recyclage

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La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la métropole de Toulouse Métropole[52].

  • Les jardins familiaux d'En Prunet[53]

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Toulouse, il y a une ville-centre et 80 communes de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Par convention dans Wikipédia, le principe a été retenu de n’afficher dans le tableau des recensements et le graphique, pour les populations légales postérieures à 1999, que les populations correspondant à une enquête exhaustive de recensement pour les communes de moins de 10 000 habitants, et que les populations des années 2006, 2011, 2016, etc. pour les communes de plus de 10 000 habitants, ainsi que la dernière population légale publiée par l’Insee pour l'ensemble des communes.
  7. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  8. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  9. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  10. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  11. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  12. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[45].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Saint-Orens-de-Gameville » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  2. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  3. « Unité urbaine 2020 de Toulouse », sur insee.fr (consulté le ).
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Toulouse », sur insee.fr (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Orens-de-Gameville » (consulté le ).
  7. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  8. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Orens-de-Gameville » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  10. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  12. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Orens-de-Gameville » (consulté le ).
  13. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  14. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Orens-de-Gameville » (consulté le ).
  16. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Orens-de-Gameville et Toulouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Orens-de-Gameville et Castanet-Tolosan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Saint-Orens-de-Gameville », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 378-379.
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. « Répertoire géographique des communes », sur le site de l'Institut national de l'information géographique et forestière.
  7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Saint-Orens-de-Gameville », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  9. Sandre, « la Marcaissonne »
  10. Sandre, « la Saune »
  11. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  16. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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  19. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  29. Rémy Verdo, « L’anthroponyme Orens dans l’onomastique française et espagnole », dans Circulations linguistiques dans les noms propres : onomastique occitane - onomastica occitana [actes du XVIIIe colloque d'onomastique organisé par la société française d’onomastique, Toulouse, 17-19 janvier 2018], dir. Michel Tamine, Paris : L’Harmattan, 2020, p. 433-454.
  30. Par décision du conseil municipal. NB : le blason ancien : « Fascé d'argent et de gueules de six pièces », attribué par d'Hozier à la suite de l'édit de 1696 n'est pas utilisé.
  31. Cette croix est présentée sur le site de la paroisse
  32. art L. 2121-2 du code général des collectivités territoriales.
  33. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur interieur.gouv.fr (consulté le ).
  34. Toujours membre du parti en 1988.
  35. « M. Marc Censi maire de Rodez (UDF) nouveau président de Midi-Pyrénées », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  38. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  43. « Entreprises à Saint-Orens-de-Gameville », sur entreprises.lefigaro.fr (consulté le ).
  44. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  45. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
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  55. La Dépêche du Midi, « Quint-Fonsegrives. Le moulin de Quint à cœur ouvert », La Dépêche,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  56. « Le beau livre « Saint-Orens de Gameville, Ville nature » », sur ladepeche.fr, La Dépêche du Midi, .