Wikipédia:Oracle/semaine 18 2016

Dernier commentaire : il y a 8 ans par 194.199.4.202 dans le sujet recherche etymologie du nom Niveaudière

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perte de sang et intervention chirurgicale

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coucou. Je viens de regarder quelques vidéos sur le genou. Je ne vois pas beaucoup de sang, moins que lorsque je me coupe. Est ce que le fait d'être anesthésié qui évite les grosses pertes de sang --Kkbs (discuter) 4 mai 2016 à 11:14 (CEST)Répondre

(Sans aucune garantie...) J'imagine que les chirurgiens font attention aux endroits où ils coupent. Il est rare de voir des vidéos d'opération chirurgicale avec des mares de sang. (Il faudrait trouver une source/un article sur cet aspect des choses...; Don de sang et Transfusion sanguine ne semble pas spécialement lié à Chirurgie) -- Xofc [me contacter] 5 mai 2016 à 06:13 (CEST)Répondre
Expérience : quand on se coupe, le sang ne coule pas tout de suite. Témoignage d’un copain qui a laissé quelques doigts dans un ventilateur de Traction. En cas de section d’un vaisseau, il tend à se resserrer, mais ça ne dure pas longtemps. Je suppose que les chirurgien en profitent pour obturer les vaisseaux (clampage). --Morburre (discuter) 5 mai 2016 à 19:59 (CEST)Répondre
Si on ne voit pas beaucoup de sang c'est parce que 1) le genou ne saigne pas beaucoup 2) les chirurgiens cautérisent les artérioles qui saignent avec des pinces hémostatiques 3) quand il y a du sang dans le champ opératoire, on l'aspire avant qu'il n'ait le temps de s'accumuler, on ne se rend compte de la quantité de sang perdu qu'en regardant le bocal d'aspiration. Pour la chirurgie du membre inférieur, on peut mettre un garrot sur l'artère fémorale pour que ça saigne moins. Pour certaines chirurgies (hémorroïdes par ex.), on peut injecter localement de l'adrénaline pour serrer les artères, avec modération (risque de nécrose tissulaire et arythmogène pour le coeur). Mais l'anesthésie ne change rien à l'affaire. S.M. | D.S.M. 5 mai 2016 à 20:59 (CEST)Répondre
« du fait de la rétractation des artères, de la contraction des muscles et des parois artérielles et de la transformation des plaquettes qui s'agrègent pour former un tampon sous l'afflux des protéines et du collagène il y a coagulation l'hémorragie est stoppée rapidement lorsqu'une main est coupée avec un instrument bien tranchant » : description quasi chirurgicale du phénomène par John Irving dans Dernière nuit à Twisted River ! mandariine (libérez les sardiines) 5 mai 2016 à 21:45 (CEST)Répondre

coucou merci a ceux qui ont répondu --Kkbs (discuter) 8 mai 2016 à 16:55 (CEST)Répondre

recherche etymologie du nom Niveaudière

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Bonjour,

j'habite Villiers-sous-Grez petit village en lisière de la foret de Fontainebleau.

Un lieu dit de notre village porte se nom de Niveaudiere, ensuite au 19eme siècle une rue a porté ce nom.

Qu'elle est son origine ?

Si quelqu'un pouvait m'aider dans mes recherches, d'avance merci.

On trouve ce toponyme dans deux autres communes à Moyon et à Quincié-en-Beaujolais lire ici[1] Philippe Nusbaumer (discuter) 5 mai 2016 à 08:09 (CEST)Répondre
Même constat. c'est indicatif du fait que, pour rare qu'il soit, ce nom se retrouve sur une large partie du territoire (dans le sud-est, le nord-est et le centre-ouest). J'ai aussi relevé que ce fut un nom d'homme, cité dans des textes du temps des guerres de religions ou peu après, apparemment un membre de petite noblesse et un type peu engageant. Rien trouvé sur l'étymologie. >O~M~H< 5 mai 2016 à 08:59 (CEST)Répondre
nom de lieu formé sur le modèle de pétaudière (pour le « type peu engageant »  ) ? voir les mots finissant en « dière » ? avec un préfixe issu de libella ? mandariine (libérez les sardiines) 5 mai 2016 à 09:56 (CEST)Répondre
Nom de lieu, pas nécessairement peu engageant. Je dirais : de niva, neige, lieu où la neige tend à rester (voir si le lieu est exposé au nord, peu ensoleillé…), modifié par attraction du mot moderne « niveau » qui à mon avis n’a rien à voir. Mais sans garantie. --Morburre (discuter) 5 mai 2016 à 20:08 (CEST)Répondre
Peut-être serait-ce utile de faire une recherche sur le patronyme NIVEAU dans les trois communes citées ? Philippe Nusbaumer (discuter) 6 mai 2016 à 07:43 (CEST)Répondre
Un membre de petite noblesse aurait bien pu prendre son nom du lieu. —Tamfang (discuter) 7 mai 2016 à 08:04 (CEST)Répondre
Bellaud de la Bellaudière : on suppose qu’un nommé Bellaud a appelé son domaine Bellaudière, puis a pris le nom Bellaud de la Bellaudière. 194.199.4.202 (discuter) 12 mai 2016 à 15:33 (CEST)Répondre

À emporter... Question très concrète !

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Bonjour. Les 25000 personnes (selon un média belge ! 80000 selon WP !) évacuées en urgence de Fort McMurray me font me rappeler que je n'ai jamais donné suite à une réflexion que j'ai eue alors que j'étais jeune adulte : "Qu'emporter avec moi si.... Je devrais faire une liste..." J'aimerais savoir si une liste type existe et s'il y a des endroits dans le monde où les pouvoirs publics l'ont diffusée sans qu'il y ait de catastrophe prévue à court terme. Merci déjà, Égoïté (discuter) 6 mai 2016 à 08:37 (CEST)Répondre

Trouvé pour la France. Par contre pour la Belgique... Égoïté (discuter) 6 mai 2016 à 09:24 (CEST)Répondre

Accessoirement, qu'emporteriez-vous avec vous ? :

  1. papiers d'identité
  2. argent (espèces et carte de crédit)
  3. bouteille(s) d'eau
  4. cv médical et médicaments du traitement en cours
  5. disque dur de l'ordi (de l'utilité d'avoir une copie sur disque dur externe...)
  6. vêtements de rechange
  7. ?
Les anglophones ont un article plus détaillé mais on peut toujours lire Sac d'évacuation. Moi, je dirais cela dépend d'où tu es (en ville? à la campagne?), combien vous êtes (enfants en bas âge...), et où pensez vous aller (il ne sert à rien de faire une liste longue comme le bras si tu penses aller en montage avec un sac à dos) et pour combien de temps. Pour moi: eau, nourriture, rechange de vêtements, de quoi se protéger des intempéries, du froid et de quoi se défendre devrait être la base. Mais avant, tout cela doit être pensé avant que la catastrophe arrive afin de savoir quoi faire, où se rendre, par quel chemin, de savoir où se procurer de l'eau quand les reserves seront à sec... J'avais trouvé des infos sur les sites de la securité civile, de la croix rouge, et de survivalistes (comme par exemple). Skiff (discuter) 6 mai 2016 à 13:42 (CEST)Répondre
M'est avis qu'il n'y a pas de réponse à cette question, car la grande diversité des « si... » pouvant motiver la question « Que dois-je emporter ? » fait qu'on ne peut guère établir une liste universelle. Pour prendre un cas de plus en plus courant dans nos régions, les inondation rapides et violentes, quand on voit une vague s'engouffrer chez soi et qu'on a tout juste le temps de se précipiter vers un « velux » pour monter sur son toit, on n'emporte rien d'autre que soi et sa frayeur...
Concernant les incendies de grande ampleur et de diffusion rapide, c'est un peu pareil. Sans l'avoir vécu du moins j'ai eu connaissance de telles situations à l'époque où je vivais en Provence. Pour dire les choses, quand on voit un mur de flammes à quelques dizaines de mètres de chez soi, on ne prend rien sinon la poudre d'escampette et pour les malheureux piétons, ses jambes à son cou, et on ne songe pas vraiment à vérifier sa liste des trucs « à ne pas oublier »... >O~M~H< 6 mai 2016 à 19:29 (CEST)Répondre
Olivier, si on est préparé, on ne vérifie pas sa liste avec les flammes au cul, on chope le sac à dos préparé à l'avance et on prend ses jambes à son cou/saute dans la voiture. Si cette préparation n'est pas faite en amont, on se retrouve avec les yeux pour pleurer et une charge pour les autorités qui ont d'autres choses à faire dans ces moments-là que de prendre en charge les 95% de cigales. C'est marrant, ces cigales assurent leurs maisons/autos/vacances/chiens/chats..., mais ne préparent rien pour eux en cas de pépins. Elles sont juste bonnes à pleurer à postériori car les autorités ne les ont pas relogées au Hilton du coin. Égoïté, comme le dis Olivier, tu dois te faire ta propre préparation en fonction de ta famille, de ton lieu de résidence, de la saison, des risques qui pèses sur toi et que tu anticipes. Skiff (discuter) 6 mai 2016 à 20:23 (CEST)Répondre
Bin alors ? À l’heure qu’il est, personne n’a encore cité Cocteau (S’il y avait le feu chez vous, qu’emporteriez-vous en premier ? — J’emporterais le feu.) ? --Morburre (discuter) 6 mai 2016 à 21:58 (CEST) Tiens, ça me rappelle un truc : pendant la guerre, mes grands-parents avaient paraît-il prévu l’éventualité d’un bombardement, et rempli en conséquence d’objets de première nécessité une énorme malle, que personne n’aurait été capable de soulever si les Allemands avaient eu le dessein machiavélique d’aller très loin de chez eux bombarder un endroit totalement dénué de tout intérêt stratégique ou tactique. La moralité de mon intervention, c’est que t’as beau prendre tes précautions au cas où un malheur arriverait, c’est toujours mieux quand le malheur n’arrive pas. --Morburre (discuter) 6 mai 2016 à 21:58 (CEST)Répondre

Merci Olivier, Skiff et Morburre !
Je désespérais un peu de n'avoir que la réponse de Skiff.
Eh oui, c'est vrai : en cas de problème on a souvent juste le temps de se précipiter quelque part et on attend les sauveteurs. Vécu le 4 novembre dernier à la Ferme (ceux qui me connaissant savent laquelle - anecdotique) : j'ai eu le réflexe de prévenir un occupant qui dormait, de couper l'électricité mais sans penser à éteindre convenablement le serveur et sauver le NAS de sauvegarde (la mémoire de plus de 20 ans de recherches), sans penser au compteur d'eau ni aux bonbonnes de gaz. Juste pensé à appeler les pompiers et à attendre "dehors" dans la cour de la ferme comme ils me l'ont enjoint... Conclusion assez heureuse : ils sont arrivés assez vite, ont éteint l'incendie et m'ont ordonné de quitter les lieux. Ce que je n'ai pas fait évidemment vu mon sale caractère. Et le fait que je ne me voyais pas débarquer nulle part en abandonnant tout sur place - dont le linge de rechange, les souvenirs de famille, les quelques biens de valeur, les papiers d'assurance, etc. C'était le 4 novembre dernier et je n'ai pas fini d'émerger des problèmes administratifs qui en ont découlé - pauvres Canadiens et autres : qui pense à cela quand on lit la presse ?
Et que nous apprend leur malheur ? C'est cela le fond de ma question : où est l'information que les pouvoirs publics devraient mettre en évidence ? Lesquels le font-ils ?
Pour la petite histoire "liégeoise", le jour où je me suis inscrite au service de la population d'Engis, j'ai demandé : que faut-il faire s'il y a un problème à Tihange ? J'avais mon idée, livrée par un copain scientifique au courant : en 3 minutes, c'est fini, et trois minutes après Bruxelles est atteinte. Donc... à 3 minutes près, pourquoi ne me serais-je pas installée là plutôt qu'ailleurs ! Mais la réponse de la préposée administrative fut : "euh..." et la seule autre venant d'un homme présent dans le bureau - un policier - fut le rire. Rire ? Ben oui, m'expliqua-t-il : "il faut quitter Hermalle en prenant la N90 construite pour cela" (véridique : lisez les comptes-rendus de la Chambre ! je les tiens à votre disposition) et suivre le trajet prévu : évacuation vers Huy - c'est-à-dire en passant par Tihange ! C'était effectivement "risible". Mais cela n'a pas changé : depuis plus de 20 ans, j'attends une information quelconque des autorités : rien, sauf "prenez des pastilles d'iodes" (détails incongrus à votre disposition quant à leur date de péremption !)...
Bon, ce soir c'est enfin fait : il y a deux sacs préparés avec une liste des trucs à ajouter en dernière minute (médocs des traitements, bouffe en conserve, etc. - faudrait quand même pas emporter des denrées périmées !) Manquent évidemment des armes - je n'en ai pas et je ne me vois pas du tout en acquérir pour cela.
Mais j'espère que ma question en soulèvera d'autres pour vous : que feriez-vous ? qu'avez-vous prévu ?

Bonjour l'avenir ! Avec tout mon respect.
P.S. À parrain : je possède le document qui fut distribué à tous les habitants de Hermalle en 1939, expliquant ce qu'il fallait prévoir, prendre avec soi et où aller pour monter dans le train d'évacuation à une heure bien précise. J'ai fait le calcul : 29 km à faire à pied ou en charrette attelée (les automobiles étaient quasi inexistantes dans la région) avec 1 sac de couchage en toile de 1 x 2 m, 2 couvertures et des vivres pour 48 h tout en limitant le bagage à 30 kg. Par personne... Ce qui s'est passé en réalité, c'est que très peu (infiniment) de gens ont respecté le plan mais que tout le monde (ou quasiment) a foutu le camp... (témoignages à disposition).
Bisous à tous, Égoïté (discuter) 7 mai 2016 à 00:10 (CEST)Répondre

Je suis tout à fait d'accord avec Morburre, je souhaite que tout se passe bien... mais j'ai quand même une assurance car dans la vraie vie tout ne se passe pas toujours bien. C'est quand même bizarre, pour réussir dans la vie, on se étudie à l'école, pour une course, on s'entraîne en faisant des tours de stade, mais pour les catastrophes on ne se prépare pas dans la majorité des cas, sûrement un beau cas de déni collectif. Par ailleurs, si j'ai une assurance de l'état c'est bien, si j'en ait une perso c'est encore mieux (Lorsque je prend le bateau, je suis super content que la SNSM existe mais je suis aussi très content de savoir nager). A méditer. Skiff (discuter) 7 mai 2016 à 07:54 (CEST)Répondre
On raconte que Degas à qui l'on demandait : quel tableau emporteriez-vous du musée du Louvre en cas d'incendie ? aurait répondu : celui près de la sortie ! Philippe Nusbaumer (discuter) 8 mai 2016 à 13:15 (CEST)Répondre
  pour toi et pour Morburre - cf. les citations, réelles ou supposées. Égoïté (discuter) 9 mai 2016 à 22:36 (CEST)Répondre
Maintenant, il y a des urgences ou il faut pouvoir tenir chez soi sans ravitaillement possible, avez vous également prévu cela ? Je me rappelle d'un camarade de collège (il y a longtemps) dont les parent avaient fuit un pays d'Asie en guerre, Vietnam ou Cambodge, qui avaient des placards remplis de boites de conserves, pour tenir au cas ou, avec un système de gestion des dates limites de consommation. Perso, quand je me couche le soir, j'ai près du lit mon sac à dos avec mon ordinateur, des disques avec mes données les plus importantes, mon appareil photo, mes ordonnances médicales, sur lequel je pose mon pantalon dans les poches duquel, mes papiers (pas tous dans le même portefeuille) et mon portemonnaie, prêt a attraper tout cela et partir en courant en pyjama si nécessaire. Question bouffe, je me dit que je trouverais bien et que cela m'alourdirait, c'est plutôt une petite bouteille d'eau qui me manquerai. --CQui (discuter) 10 mai 2016 à 14:12 (CEST) Moi, à ta place, je prendrais un pyjama avec de grandes poches, et tout dedans. --Morburre (discuter) 11 mai 2016 à 19:48 (CEST)Répondre

Liens entre l'entreprise agricole Braud et son ou ses racheteurs dans les années 1980

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Bonjour. D'après cette modification, l'entreprise Braud de machines agricoles aurait été achetée par Ford en 1982. Précédemment l'article indiquait que c'est FiatAgri, dépendant de Fiat qui l'avait achetée en 1983, information qui figure sur Fiat Trattori. Le tout est sans référence. Mes recherches sur Internet ne m'ont pas permis de confirmer l'une ou l'autre de ces hypothèses. Quelqu'un saurait-il ce qu'il en est ? Merci d'avance. Père Igor (discuter) 7 mai 2016 à 12:54 (CEST)Répondre

En 1982, Braud passe sous le contrôle de Fiat-Allis : j'ai sourcé le passage. C08R4 8U88L35Dire et médire 7 mai 2016 à 18:42 (CEST)Répondre
  Cobra bubbles : merci mais du coup, le résumé introductif est erroné. Père Igor (discuter) 8 mai 2016 à 13:01 (CEST)Répondre
J'ai corrigé le RI. C08R4 8U88L35Dire et médire 8 mai 2016 à 14:36 (CEST)Répondre