Kourosse

Naissance	25 octobre 1952; Avignon France
Décès	Pas encore
Nom de naissance	Rosario Heinrich Kouroskovich
Activité	Peinture, sculpture, dessin, gemmail, céramique, eau-forte, lithographie, écriture

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Humeur du jour

Plutot bonne --Kourosse (d) 1 juillet 2012 à 14:50 (CEST)

Kourosse, né Rosario Heinrich Kouroskovich en 1952 en Avignon, est un contributeur bénévole de Wikipédia.

Biographie

Enfance

Fils du colonel Charles-Henri Kourosse qui s'est distingue pendant la Liberation en indiquant la route de Berlin aux Americains, et de Marie-Benoite Beaujoueur dont il est le treizieme enfant, Kourosse voit le jour a travers la fente de la matrice de sa genitrice. Kourosse passe la majeure partie de son enfance à Bezouce, un petit village situé dans le Gard. C’est à l’âge précoce de 8 ans qu’il invente son nom d’artiste, Kourosse. Après avoir suivi les cours primaires de l'ecole de Canivet à Nîmes, il entre en sixième au lycée Ampère de Lyon où sa famille s'installe en 1963. Au lycee, il entre dans le club de karate ou Chantal Jouanno est inscrite. Toutefois, Kourosse ne lui adresse pas la parole, car elle est beaucoup plus douee que lui. Kourosse doit renoncer à passer son baccalauréat à cause du suicide en 1968 de son père, d'une chute de cheval.

Service militaire

Objecteur de conscience, pacifiste et bouddhiste, Kourosse est envoye de force au camp militaire de Mourmelon pour faire ces classes avec d'autres hippies et associaux. C'est a cette occasion qu'il rencontre Gilbert Collard qui sera plus tard son avocat. Selon ses propres mots « bon à rien d'autre qu'à se faire tirer dessus pour deu nouveaux francs par jour » Kourosse craint d'etre envoyer sur le front de la guerre froide, mais il est affecté au 18e régiment d'infanterie basé à Ndjamena en 1972 ou devient le vaguemestre. Au cours d'une liaison postale, un groupuscule de Abu Sayyaf du Maghreb islamique lui tend une embuscade qui se termine par une crevaison du auverland conduite par Kourosse. Kourosse est fait prisonnier par les islamistes lors de ce raid. Les islamistes le gardent deux ans en captivité. Kourosse termine son service militaire en 1973 dont il a passé la majeure partie en tant que prisonnier de guerre. Le prisonnier français n'est libéré que grâce au paiement d'une rançon par le gouvernement Giscard. Pour lui faire tenir la captivite, le journaliste de guerre, André Joubert lui offre alors une chanson paillarde qu'il aurait composé en souvenir de son épouse. Cette chanson utilise un langage cru voire vulgaire pour decrire le corps de la femme de André Joubert.

A son retour de metropole, officiellement le gouvernement francais a nie avoir eu connaissance de la prise d'otage d'un soldat francais. Neanmoins, il recoit son carnet de notation qui stipule : « Rosario Heinrich Kouroskovich n'est pas considéré comme un bon soldat, car à aucun moment il n'a été sélectionné pour une quelconque responsabilité, et il est resté simple soldat tout au long du service militaire. À cette époque tout comme aujourd'hui, s'habiller et agir avec soin, se conformer strictement aux règles, étaient les qualifications requises pour une responsabilité, et ce soldat n'a pas satisfait a ces simples criteres ». On dit qu'en quittant le ministere de la Defense, Kourosse a un geste d'ultime défi pour ce milieu qu'il en était venu à mépriser en faisant crisser les pneus de sa coccinelle sur la cour d'honneur.

Tout de suite apres, Kourosse se rend chez Fabienne Rappeaux-Joubert, la femme de André Joubert. Il lui declare que ce dernier a disparu lors d'une tentative d'evasion. Semblant inconsolable, Kourosse passe la nuit chez la veuve qui finira par accoucher d'une petite Margalie, neuf mois lus tard. Les messes-basses des voisins et la pression social du petit bourg de Outreau convainct Fabienne Rappeaux-Joubert de se remarier avec Kourosse, le 11 mai 1975. Trois autres petites filles naitront a la suite de cette union, Aglanais, Carolie et Benjamine.