Resident Evil

franchise médiatique

Resident Evil, connue au Japon sous le nom Biohazard (バイオハザード, Baiohazādo?), est une série de jeux vidéo d'aventure, action et réflexion de type survival horror. La franchise appartient à la société japonaise Capcom.

Elle fait ses débuts sur PlayStation en 1996[1]. Grâce à son succès, de nombreuses suites sont réalisées, sur la plupart des consoles. Resident Evil est une série importante dans l'industrie du jeu vidéo, et Nintendo convoite des contrats d'exclusivité. La série connaît un succès mondial et s'est écoulée à plus de 163 millions d'exemplaires en septembre 2024[2].

Préambule

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Raccoon City, paisible petite ville, de plus de 100 000 habitants, du Midwest des États-Unis, dont la stabilité économique ne repose que sur la multinationale pharmaceutique Umbrella Corporation, est le théâtre d'étranges disparitions. Des dizaines de personnes sont enlevées et ne sont jamais retrouvées. Les efforts de la police restent vains. Cependant, des témoins affirment avoir vu des groupes d'une dizaine de personnes, certains affirment que les victimes auraient été dévorées.

Les Zombies

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Logo de l'Umbrella Corporation.

À quelques kilomètres de Raccoon City existe un manoir où des scientifiques de Umbrella Corporation travaillent. Ils y font des tests pour créer un procédé permettant de créer des créatures plus résistantes aux balles, plus intelligentes et plus endurantes. En clair, Umbrella veut transformer un organisme vivant en arme de combat. Les recherches durent plusieurs mois, jusqu'au jour où survient un accident. Le docteur James Marcus, fondateur de Umbrella Corporation, trahi par ses collaborateurs, voulut se venger de la firme. Tous les habitants du manoir sont infectés et subissent peu à peu les conséquences de cette exposition au produit inachevé en devenant des êtres dépourvus de pensées ou de logique et agissant selon leur seul et unique instinct primaire : le besoin de manger. L'équipe Bravo des S.T.A.R.S. de Raccoon City arrive en reconnaissance par hélicoptère, mais le contact est soudainement perdu. C'est alors qu'intervient l'équipe Alpha, dont les membres font face à des chiens enragés, et le pilote les abandonne au fin fond de la forêt attenante au manoir…

Les personnages se retrouvent alors coincés dans ce manoir obscur, et déjà, un membre de l'équipe disparaît. Un coup de feu retentit dans le hall et le personnage (choisi en début de partie, accompagné ou non selon le choix précédent) doit rechercher l'origine du coup de feu. Le jeu démarre alors vraiment avec l'apparition du premier Zombie.

Virus T

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Créé par Umbrella Corporation, le Virus T est un bactériophage T (virus n'infectant que certaines bactéries) qui, après des modifications génétiques, acquiert la capacité de parasiter les organismes eucaryotes et procaryotes, quel que soit le règne auquel ils appartiennent : animaux (notamment l'Homme), champignons, végétaux et protistes (êtres vivants mobiles et unicellulaires). Chez les vertébrés, le virus voyage par la circulation sanguine avant de proliférer dans les tissus richement vascularisés, tels que le cerveau et les muscles.

Après une période d'incubation de plusieurs jours, les symptômes physiques deviennent évidents. Des parties plus profondes du cerveau sont attaquées, voire littéralement détruites, pendant que le virus dissout progressivement les lobes frontaux, laissant le cerveau dans un état très primaire pour régir le comportement de l'individu infecté. Le virus endommage également l'hypothalamus et la pléthore résultante de neurotransmetteurs, d'enzymes, et d'hormones telles que la noradrénaline et la dopamine, combinée avec les symptômes douloureux de l'infection, induisent une fureur et une faim psychotiques chez les victimes de ce virus.

Le Virus T détruit également d'autres secteurs du système nerveux. Ces dommages combinés avec le dégagement d'endorphine détruisent les sens de la victime, en particulier le sens de la douleur. Une déshumanisation de l'individu est amorcée avec la propagation du virus, détruisant la mémoire, l'esprit, laissant pour seul but la survie. Une survie nécessitant un apport en protéines, la combinaison de plusieurs ADN entraînant des mutations génétiques sur les détenteurs du Virus T. Ainsi, un contaminé absorbant l'ADN d'une proie peut acquérir plus de puissance et surtout continuer à "vivre", néanmoins ces effets se dissipent dans le temps et l'apport est nécessaire pour la survie des organismes vivants contaminés. Le virus infecte d'autres tissus oxygénés tels que les muscles et la peau de la victime qui commencent à se nécroser, tandis que les muscles pourrissent jusqu'à ce que le patient ne puisse plus se déplacer. Ces symptômes, combinés avec les dommages du cerveau, zombifient l'individu infecté. Aussi, le virus est transmis par les fluides corporels, tels que la salive et le sang. Pourtant, une exposition continue à un environnement contaminé entraîne les mêmes effets à long terme : une désinfection complète est nécessaire pour parer à la propagation du virus dans l'organisme.

Le processus complet de destruction des cellules vivantes peut prendre plusieurs semaines, cependant la victime sera morte cérébralement seulement quelques jours après la contamination. Sans traitement prompt, l'euthanasie ou la destruction du cerveau sont les seuls recours contre le Virus T. La contamination entraîne aussi une cataracte donnant au porteur du virus des yeux blancs et vitreux.

L'apocalypse

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Mais des événements plus problématiques ne tardent pas à se déclarer : des habitants de la ville de Racoon se transforment en ce qu'on pourrait qualifier de « Zombies » affamés de chair humaine.

Alors que de plus en plus de gens sont touchés par ce mal étrange, le gouvernement américain place la ville sous loi martiale et ferme ses portes, l'isolant complètement du reste du monde, cherchant une solution contre la pandémie. Cette solution sera la destruction de la ville par un missile atomique. Les survivants jurent par la suite de révéler au monde les activités génétiquement inhumaines d'Umbrella, qui fermera finalement ses portes après que certains d'entre eux y soient parvenus[pas clair]. Mais plusieurs organisations parviennent à récupérer les travaux d'Umbrella et à les réutiliser, semant la terreur et le chaos dans le monde entier. Le BSAA est alors créé pour faire face à ces nouvelles menaces biologiques durant le reste de la série.

Chronologie rapide

Resident Evil Zero
Resident Evil
Resident Evil 2 et Resident Evil 3
Resident Evil: Code Veronica
Resident Evil 4
Resident Evil: Revelations
Resident Evil: Degeneration
Resident Evil: Infinite Darkness
Resident Evil 5
Resident Evil: Revelations 2
Resident Evil: Damnation
Resident Evil 6
Resident Evil: Vendetta
Resident Evil: Death Island
Resident Evil 7: Biohazard
Resident Evil Village

Special Tactics And Rescue Service

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Dans la série, les STARS (Special Tactics And Rescue Service) est une unité spéciale de police. Fondée à New York en 1967 puis transposée à Raccoon City en 1972, elle sera impliquée dans les événements du . Elle était formée de seulement deux équipes : Alpha et Bravo.

Équipe Alpha

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Équipe Bravo

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Liste des jeux composant la série

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Chronologie des sorties
1996Resident Evil
1997
1998Resident Evil 2
1999Resident Evil 3: Nemesis
2000Resident Evil Survivor
Resident Evil: Code Veronica
2001Resident Evil: Survivor 2 - Code Veronica
Resident Evil Gaiden
2002Resident Evil (remake)
Resident Evil Zero
2003Resident Evil: Dead Aim
Resident Evil Outbreak
2004Resident Evil: Outbreak File 2
2005Resident Evil 4
2006Resident Evil: Deadly Silence
2007Resident Evil: The Umbrella Chronicles
2008
2009Resident Evil 5
Resident Evil: The Darkside Chronicles
2010
2011Resident Evil: The Mercenaries 3D
2012Resident Evil: Revelations
Resident Evil: Operation Raccoon City
Resident Evil 6
2013
2014
2015Resident Evil: Revelations 2
2016Umbrella Corps
2017Resident Evil 7: Biohazard
2018
2019Resident Evil 2 (remake)
2020Resident Evil 3 (remake)
Resident Evil: Resistance
2021Resident Evil Village
2022Resident Evil Re:Verse
2023Resident Evil 4 (remake)

Chronologie

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Ci-dessous est indiqué l'ordre chronologique dans lequel se déroulent les événements de la série Resident Evil au gré des différents jeux, chapitres de jeux, films d'animation ou bandes dessinées. Les supports retenus sont ceux dont la canonicité est formellement établie par Capcom (bien que certains titres restent débattus quant à leur degré de canonicité). Il est à noter qu'il n'est pas nécessairement recommandé de suivre l'ordre chronologique indiqué: En effet certains opus de la série peuvent révéler des secrets et des intrigues scénaristiques d'épisodes qui leur succèdent chronologiquement car ayant été développés et réalisés après la parution de ces derniers.

Année 1998

Année 2002

Année 2003

Année 2004

Année 2005

Année 2006

Année 2009

Année 2011

Année 2012

Année 2013

Année 2014

Année 2015

Année 2017

Année 2020

Année 2036

Les compilations

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  • 2001 : Biohazard 5th Anniversary Special Package: Nightmare Returns Edition limité à 10 000 exemplaires.
  • 2003 : Biohazard Collector's Box sur GameCube comprenant les 5 premiers jeux de la série et un DVD bonus Wesker Report File I et II[3].
  • 2004 : Biohazard Double Features Box Edition comprenant Resident Evil et Resident Evil Zero sur GameCube.
  • 2007 : Resident Evil: The Essentials Box sur PS2.
  • 2011 : Biohazard Revival Selection est une compilation regroupant Resident Evil 4 et Resident Evil: Code Veronica en haute définition disponible uniquement au Japon[4].
  • 2011 : Biohazard 15th Anniversary Box sur PS3 comprenant les 3 premiers jeux vidéo PS1, la compilation Biohazard Revival Selection ainsi que les bandes originales de RE: Code Veronica et RE 4[5].
  • 2016 : Resident Evil Origins Collection sur PS4, Xbox One et PC comprenant les versions HD de Resident Evil et Resident Evil Zero.

Origine du titre

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Biohazard, signifiant « Danger biologique », est né de la volonté de Shinji Mikami, un game designer de chez Capcom, à rechercher un titre court et marquant les esprits. Ce fut un membre de l'équipe décor qui le proposa. Pour une question de droit, ce titre ne put être accepté aux États-Unis. En effet, le groupe de musique Biohazard s'était déjà approprié le nom à l'époque. La société japonaise Capcom chercha donc un nouveau nom avec la volonté de créer un titre qui serait encore plus explicite pour le consommateur occidental. Le premier opus se passant dans un manoir, le jeu fut nommé Resident (littéralement résident) et ils eurent l'idée de le lier au mot Evil (mal). Le droit sur Biohazard n'était pas déposé en Europe mais Capcom, tenant son titre fétiche, décida de ne plus le changer[6].

Inspirations

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La série Resident Evil est inspirée de Sweet Home, un jeu basé sur le film d'horreur japonais Suito homu (スイトホム?, Sweet Home). Sweet Home a été édité par Capcom dans les années 1980 seulement au Japon pour la console Famicom. Beaucoup d'éléments ont été réutilisés comme l'arrangement du manoir, les phases de résolution de casse-tête, et même l'écran de chargement. Shinji Mikami, responsable de plusieurs titres de Resident Evil, confirme d'ailleurs ces faits.

La plupart des jeux de la série est présentée avec une perspective objective (l'avatar contrôlé apparaît à l'écran), montrant le personnage généralement en utilisant une vue en légère plongée. Cela n'est pas sans rappeler le jeu vidéo Alone in the Dark sorti en 1992[1], souvent cité comme le premier jeu vidéo du genre survival horror. Le moteur graphique utilisé dès le premier épisode de Resident Evil (mélange 2D/3D avec décors pré-calculés et protagonistes/ennemis en 3D) est totalement identique dans le principe à celui inventé par les concepteurs d'Alone in the Dark. En outre, de nombreuses autres analogies existent entre les deux jeux (l'enfermement dans un manoir, les zombies, le monstre de la porte d'entrée, le système de clés, les mini-puzzles…).

L'ambiance générale rappelle le film La Nuit des morts-vivants de George Romero sorti en 1969, qui partage quelques points communs d'intrigue, comme une ville où une grande partie des habitants se réveillent transformés en zombies. La plupart des angles de caméra du premier Resident Evil sont les mêmes que ceux du remake de la Nuit des morts-vivants réalisé par Tom Savini en 1990.

Les critiques ont souligné le fait que l'opus Resident Evil 4 est « un hommage vibrant aux plus grands moments des jeux d'action/aventure et aux meilleurs passages du cinéma d'action » tel Le Seigneur des Anneaux, Massacre à la tronçonneuse, Le monstre du Lac, Alien, L'Invasion des profanateurs (film), House of the Dead, Shenmue, Metal Gear Solid etc[7],[8].

Shinji Mikami a également confié qu'il s'était inspiré de Alfred Hitchcock, et surtout de Psychose, principalement pour Code Veronica.

Ventes totales

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Ventes cumulées des différentes éditions classées par ordre décroissant (chiffres arrêtés au )[9]

Année Titre Unités vendues
(en millions)
2009 Resident Evil 5 15,1
2019 Resident Evil 2 (remake) 14,5
2017 Resident Evil 7: Biohazard 14
2012 Resident Evil 6 13,8
2005 Resident Evil 4 (original) 13,5
2021 Resident Evil Village 10,5
2020 Resident Evil 3 (remake) 9,2
2023 Resident Evil 4 (remake) 8
2002 Resident Evil (remake) 5,85
2002 Resident Evil Zero 5,65
2012 Resident Evil: Revelations 5,3
2015 Resident Evil: Revelations 2 5,1
1996 Resident Evil (original) 5,08
1998 Resident Evil 2 (original) 4,96
1999 Resident Evil 3: Nemesis 3,5
2012 Resident Evil: Operation Raccoon City 2,7
2000 Resident Evil: Code Veronica 2,54
2003 Resident Evil Outbreak 1,45
2007 Resident Evil: The Umbrella Chronicles 1,3

Adaptations

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Films d'animation

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Films utilisant la licence Resident Evil

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Une série de six films utilisant des éléments de l'univers des jeux a été réalisée avec comme actrice principale Milla Jovovich.

Les films s’inspirent partiellement des jeux et n'utilisent pas la même trame scénaristique que la série vidéoludique. La série de films met en scène Alice, une ancienne employée du service de sécurité de Umbrella Corporation qui se réveille amnésique dans un manoir, après avoir eu la mémoire effacée pour avoir tenté de se rebeller. Par la suite, elle découvrira la vérité et se lancera dans une quête pour se venger et détruire Umbrella.

Certains personnages, comme Claire Redfield ou Jill Valentine, jouent des rôles plus ou moins importants dans certains films. En général, leurs personnalités sont assez éloignées de celles des jeux mais parfois, leurs costumes correspondent. Malgré ces différences, les films reprennent le bestiaire de créatures, et il arrive que certaines trames s’inspirent des jeux comme le contrôle de Jill Valentine par l'ennemi, tiré de Resident Evil 5.

Un reboot, intitulé Resident Evil : Bienvenue à Raccoon City, est sorti en 2021.

Avant la première série de films de Paul W. S. Anderson, le réalisateur George A. Romero était attaché à l'adaptation au cinéma du jeu original. Un projet qui a été rejeté par Sony Pictures. En 2023, le documentaire George A. Romero’s Resident Evil revient sur les travaux du réalisateur sur le long-métrage[10].

Année Titre Réalisateur(s)
2002 Resident Evil Paul W.S. Anderson
2004 Resident Evil: Apocalypse Alexander Witt
2007 Resident Evil: Extinction Russell Mulcahy
2010 Resident Evil: Afterlife Paul W.S. Anderson
2012 Resident Evil: Retribution
2017 Resident Evil : Chapitre final
2021 Resident Evil : Bienvenue à Raccoon City (reboot) Johannes Roberts

Série d'animation

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Une série intitulée Resident Evil: Infinite Darkness est sortie sur Netflix en juillet 2021 pour coïncider avec les 25 ans de la série.

Série télévisée

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Une série télévisée en prise de vues réelles est prévue pour 2022 sur Netflix. Bien qu'elle se déroule dans sa propre chronologie, la série prend en compte les événements des jeux, du premier à Resident Evil Village, et s'en sert comme base. Elle se déroule sur deux temporalités et suit principalement Billie et Jade Wesker, les deux filles adoptives d'Albert Wesker, nées dans d'étranges circonstances.

Adaptations littéraires

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Thomas Day a écrit des nouvelles tirées de l'univers du jeu vidéo. S. D. Perry a écrit les romans du jeu vidéo. Elle y fait notamment apparaître un personnage inédit, M. Trent.

Les romans ont été publiés par les éditions Fleuve noir, dans la collection Resident Evil de 2002 à 2004. Les éditions Milady les ont réédités de 2014 à 2016.

  1. La Conspiration d'Umbrella, 2002 (Umbrella Conspiracy, 1998) par S. D. Perry
  2. La Crique de Caliban, 2002 (Caliban Cove, 1998) par S. D. Perry
  3. La Cité des morts, 2002 (City of the Dead, 1999) par S. D. Perry
  4. Aux portes de l'enfer, 2003 (Underworld, 1999) par S. D. Perry
  5. Nemesis, 2003 (Nemesis, 2000) par S. D. Perry
  6. Code Veronica, 2003 (Code : Veronica, 2001) par S. D. Perry
  7. Zero Hour, 2004 (Zero Hour, 2004) par S. D. Perry

Art Book

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Novelisations

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  1. Resident Evil (2002), par Thomas Day, publié par les éditions Denoël dans la collection Lunes d'encre #31
  2. Genesis (2005), par Keith R. A Decandido (Genesis, 2004)
  3. Resident Evil : Apocalypse (2004), par Keith R. A. Decandido, publié par Fleuve noir dans la collection Cinéma
  4. Resident Evil : Extinction (), par Keith R. A. Decandido, publié par Fleuve noir dans la collection Cinéma

Notes et références

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  1. a et b Marcus (ill. Guillaume Lapeyre, photogr. Raoul Dobremel, mise en couleurs Julien Nido), Nos Jeux vidéo 90-2000 : De la raquette de Pong au racket dans GTA, l'irrésistible ascension des jeux vidéo, Paris, Hors Collection, coll. « Nostalgie / Nostalgie illustré », , 1re éd. (1re éd. 2014), 142 p., 260 × 260 mm, broché (ISBN 978-2-258-11049-6, BNF 44203686, présentation en ligne), partie 1, « La PlayStation, le retour du jeu cool ! », p. 11
  2. (en-US) « Game Series Sales |Product Data | CAPCOM », sur www.capcom.co.jp, (consulté le )
  3. « Un collector pour la série Biohazard », sur Jeuxvideo.com, .
  4. « Resident Evil: Revival Selection illustré », sur Gamekult, .
  5. « Resident Evil : un coffret anniversaire », sur Gamekult, .
  6. Jay, « Secrets de développement »,
  7. Logan, « Test de RE 4 GameCube », Jeuxvideo.com,
  8. Puyo, « Test de RE 4 GameCube », Gamekult,
  9. (en-US) « Platinum Titles |Product Data | CAPCOM », sur www.capcom.co.jp, (consulté le )
  10. Eklecty-City, « George A. Romero's Resident Evil annonce son narrateur », sur Eklecty-City, (consulté le )

Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Autres séries

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Liens externes

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