Saint-Josse-ten-Noode
Saint-Josse-ten-Noode (prononcé /sɛ̃ ʒɔs tɛn nod/ ; en néerlandais : Sint-Joost-ten-Node), souvent dénommée Saint-Josse, est l'une des dix-neuf communes bilingues de la Région de Bruxelles-Capitale.
Saint-Josse-ten-Noode (nl) Sint-Joost-ten-Node | |
Photo prise à Saint-Josse-ten-Noode | |
Héraldique |
Drapeau |
Administration | |
---|---|
Pays | Belgique |
Région | Région de Bruxelles-Capitale |
Communauté | Communauté française Communauté flamande |
Arrondissement | Bruxelles-Capitale |
Bourgmestre | Emir Kir |
Majorité | LB |
Sièges LB (PS-sp.a) Ecolo-Groen cdH MR LC |
29 17 9 1 1 1 |
Section | Code postal |
Saint-Josse-ten-Noode | 1210 |
Code INS | 21014 |
Zone téléphonique | 02 |
Démographie | |
Gentilé | Tennoodois(e)[1] |
Population – Hommes – Femmes Densité |
26 895 () 52,25 % 47,75 % 23 173,20 hab./km2 |
Pyramide des âges – 0–17 ans – 18–64 ans – 65 ans et + |
() 21,50 % 69,41 % 9,09 % |
Étrangers | 45,08 % () |
Taux de chômage | 20,05 % (2022) |
Revenu annuel moyen | 11 082 €/hab. (2021) |
Géographie | |
Coordonnées | 50° 51′ nord, 4° 22′ est |
Superficie – Terr. non-bâtis – Terrains bâtis – Divers |
1,16 km2 (2021) 1,21 % 43,27 % 55,52 % |
Localisation | |
Situation de la commune au sein de la Région de Bruxelles-Capitale | |
Liens | |
Site officiel | sjtn.brussels |
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Elle fait partie de la zone de police 5344 avec Evere et Schaerbeek.
Communes limitrophes
modifierHistoire
modifierLe village de Ten-Noode apparaît au XIIIe siècle, comme Ixelles, entre les paroisses d'Uccle, d'Etterbeek et Sainte-Gudule à Bruxelles. À cette époque, à l'exception de la vallée du Maelbeek et du Schaerbeek, on n'y rencontrait que des champs à peine cultivés à cause de la mauvaise qualité du sol trop sablonneux. De là le nom Nude, Noede, Oede, qui signifie « besoin » (« nood » en néerlandais moderne), et par extension, « misère ». La première trace de l'existence de cette localité apparaît dans une convention faite entre le chapitre de Saint-Gudule et le Coudenberg, à Bruxelles, en 1254. Cent ans plus tard, un faubourg s’y était formé, principalement le long du chemin conduisant de Bruxelles à Louvain. Là, près du Maelbeek, s'élève alors la chapelle de Saint-Josse, qui prit de plus en plus d'importance, mais qui ne devint une paroisse qu’en 1803, après le Concordat[2].
La vallée du Maelbeek devient, avec ses hauteurs couronnées par le bois de Linthout, avec ses grands étangs et ses chemins pittoresques transformés en rues, le lieu de la vie champêtre à quelques pas de la capitale, du palais du souverain. Au XVe siècle, les ducs de Bourgogne y ont un hôtel ; au XVIe siècle, les Nassau, le cardinal de Granvelle, le poète Houwaert, la famille Marnix et les Croÿ y habitent des villas, qu’ils se plaisent à embellir, mais celles-ci furent négligées lorsque les Pays-Bas furent privés de la présence de la cour[2].
Aux XVIe et XVIIe siècles, les habitants de Saint-Josse subissent les invasions diverses.
- 1572, maisons et champs sont ravagés par les reîtres du prince d'Orange.
- 1578, les Bruxellois brûlent leurs maisons de faubourg par panique, pour empêcher Don Juan de trouver les approvisionnements pendant le siège qu'ils redoutent.
- 1579, les Espagnols font des raids et emmènent des prisonniers.
- 1580, les calvinistes détruisent la chapelle.
- 1583, les troupes du duc d'Anjou vivent aux dépens des habitants.
- 1600, les habitants commencent la reconstruction de la chapelle.
- 1609 verra la reconstruction du château des ducs de Bourgogne.
- 1635, intrusions des troupes françaises qui veulent envahir les Pays-Bas. L'arrivée d'Ottavio Piccolomini les pousse à la retraite.
- 1675, Louis XIV attaque Bruxelles, Zaventem est pillé et les troupes saccagent les faubourgs. Mais trois jours plus tard, ils quittent la région pour la bataille de Maastricht.
- 1690, les Français se replient de la bataille de Fleurus sur Schaerbeek et Saint-Josse et accablent la population.
- 1706, le duc de Marlborough campe avec ses troupes dans la région. Bruxelles offre sa soumission.
- 1746, les Français, sous les ordres du maréchal de Saxe, occupent la banlieue de Bruxelles et finissent par s'emparer de la ville.
La commune de Saint-Josse-ten-Noode est créée[3] en 1795 après la dissolution de la Cuve de Bruxelles dont elle faisait partie, et elle reçoit sa première organisation communale en 1796 avec comme agent municipal André-Étienne-Joseph O'Kelly qui prend le titre de maire à partir de 1800.
Jusqu’à la fin du XIXe siècle, Saint-Josse s'étendait jusqu'aux confins d’Ixelles et d’Etterbeek, et incluait notamment la majeure partie de l'actuel quartier européen de Bruxelles, le rond-point Robert Schuman, le parc du Cinquantenaire et la place du Luxembourg (en). La commune fut forcée de vendre ces terrains à la Ville de Bruxelles pour pouvoir rembourser des dettes contractées à la suite d'une gestion peu judicieuse des finances communales. Ce qui formera une grande partie de l'extension est de la ville de Bruxelles.
Toponymie
modifierOn retrouve dans les livres d'histoire plusieurs noms différents pour la commune : Nude (1251), Oede (1311), Noede (1324), Ten-Noede (1335-1389), La Noede (1437).
La construction d'une chapelle au XIVe siècle, sous le vocable de Sainte Marie et de Saint-Josse (moine breton), tend par la suite à associer les deux noms de « Saint-Josse » et « Ten-Noode » pour désigner le village, situé immédiatement hors des murs d'enceinte.
Saint-Joest-ten-Hoede (1459), Saint Josse de Nouye (1465) Sint-Joost-ten-Noede (1527), Sint-Judocus ten Hoye (1532) ou Sint-Josse-ten-Hoy.
Héraldique
modifierLa commune possède des armoiries qui lui ont été octroyées le . La moitié supérieure montre avec précision le vieux château de Saint-Josse-ten-Noode construit et occupé par les ducs de Bourgogne du XIVe au XVIe siècle. La moitié inférieure gauche montre un sac de mendiant. C'est un élément probant, Saint-Josse-ten-Noode pouvant être traduit « le lieu des personnes dans le besoin ». La moitié inférieure droite montre une branche de vigne, symbole des vignobles qu'on pouvait trouver dans la région.
La devise est la même que celle de la Belgique. Il semble y avoir une différence entre le blasonnement et le dessin des armoiries. Le château est dessiné en perspective ce qui n'est pas mentionné dans le blasonnement.Blasonnement : Coupé d'azur à un château d'argent, et d'un parti de gueules à une besace d'or, et du troisième à une grappe de raisins tigée et feuillée d'or.
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Démographie
modifierLa commune comptait officiellement 26 895 habitants[5] au . Avec une superficie de 1,16 km2, c'est la plus petite des dix-neuf communes de la région, voire de Belgique, mais aussi la plus densément peuplée étant la seule à dépasser le seuil de 20 000 habitants/km2 en atteignant le chiffre de 23 185 habitants/km2.
Évolution de la population
modifierAnnée | 1830 | 1846 | 1856 | 1866 | 1876 | 1880 | 1890 | 1900 | 1910 | 1920 | 1930 | 1947 | 1961 | 1970 | 1980 | 1990 | ||||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Habitants | 2.879 | 14.850 | 17.149 | 21.915 | 26.492 | 28.052 | 29.709 | 32.140 | 31.865 | 31.843 | 30.917 | 28.155 | 24.463 | 23.633 | 21.749 | 21.511 | ||||||||||||
Index | 100 | 516 | 596 | 761 | 920 | 974 | 1.032 | 1.116 | 1.107 | 1.106 | 1.074 | 978 | 850 | 821 | 755 | 747 | ||||||||||||
Année | 2000 | 2010 | 2015 | 2018 | 2019 | 2020 | 2021 | 2022 | 2023 | 2024 | ||||||||||||||||||
Habitants | 22.097 | 26.338 | 27.332 | 27.032 | 27.457 | 27.497 | 27.124 | 26.965 | 27.068 | 26.895 | ||||||||||||||||||
Index | 768 | 915 | 949 | 939 | 954 | 955 | 942 | 936 | 940 | 934 | ||||||||||||||||||
chiffres INS - 1830 = Index 100 |
Graphe de l'évolution de la population de la commune.
- Source : DGS - Remarque : 1806 jusqu'à 1981 = recensement ; depuis 1990 = nombre d'habitants chaque [5]
Année | Population | Évolution 1992=index 100 |
---|---|---|
1992 | 21 663 | 100,0 |
1993 | 21 459 | 99,1 |
1994 | 21 438 | 99,0 |
1995 | 21 522 | 99,3 |
1996 | 21 640 | 99,9 |
1997 | 21 911 | 101,1 |
1998 | 21 889 | 101,0 |
1999 | 22 076 | 101,9 |
2000 | 22 097 | 102,0 |
2001 | 22 208 | 102,5 |
2002 | 22 750 | 105,0 |
2003 | 23 070 | 106,5 |
2004 | 23 047 | 106,4 |
2005 | 23 142 | 106,8 |
2006 | 23 557 | 108,7 |
2007 | 23 785 | 109,8 |
2008 | 24 102 | 111,3 |
2009 | 25 185 | 116,3 |
2010 | 26 338 | 121,6 |
2011 | 27 358 | 126,3 |
2012 | 27 134 | 125,3 |
2013 | 27 207 | 125,6 |
2014 | 27 447 | 126,7 |
2015 | 27 332 | 126,2 |
2016 | 27 402 | 126,5 |
2017 | 27 115 | 125,2 |
2018 | 27 032 | 124,8 |
2019 | 27 457 | 126,7 |
2020 | 27 497 | 126,9 |
2021 | 27 124 | 125,2 |
2022 | 26 965 | 124,5 |
2023 | 27 068 | 125,0 |
2024 | 26 895 | 124,2 |
Population étrangère
modifierNationalité | Population[6] | |
Roumanie | 1 761 | |
Bulgarie | 1 360 | |
France | 924 | |
Maroc | 832 | |
Espagne | 815 | |
Turquie | 733 | |
Italie | 659 | |
Syrie | 512 | |
Ukraine | 398 | |
Pologne | 389 | |
Source : IBSA Brussels, chiffres au 1er janvier 2024. |
À une époque[Laquelle ?], elle a été la seule commune de Belgique dont la population était majoritairement étrangère[citation nécessaire], principalement d'origine turque et marocaine[citation nécessaire]. Actuellement[Quand ?], l'électorat d'origine étrangère est devenu majoritaire par le biais des acquisitions de nationalité et la majorité des conseillers communaux, ainsi que la moitié du collège échevinal, est originaire du Maroc, de Turquie et du Congo (RDC)[citation nécessaire].
Jean Demannez, ancien bourgmestre : « La population de Saint-Josse est belge à 64 %. Mais cela ne veut pas dire grand-chose. La carte d’identité belge n’implique pas pour autant que les gens n’aient pas conservé le mode de vie et les traditions propres à leur pays d’origine. À Saint-Josse, il n’y a plus que 20 % de la population dont le grand-père était belge. Pour huit concitoyens sur dix, l’aïeul était un immigré : français, italien, turc ou marocain, espagnol, etc. C’est donc un brassage culturel extrêmement important, avec, qui plus est, une population jeune »[7][réf. non conforme]. En 2010, 49 % de la population était musulmane[8].
Commune la plus pauvre de Belgique
modifierSaint-Josse a souvent porté l'étiquette de commune la plus pauvre de Belgique[9][réf. non conforme].
Selon les statistiques pour l'année 2021 du SPF Économie, Saint-Josse est la commune la plus pauvre de Belgique avec un revenu moyen par habitant de 11 082 €. La moyenne nationale étant de 20 357 €[10].
Zoé Genot, chef de file Ecolo à Saint-Josse, tente d'expliquer : « C’est une commune d’accueil. C’est la commune où les gens arrivent et à l’heure actuelle, comme elle présente toute une série de difficultés, elle est mal gérée, elle est sale, elle concentre la pauvreté, les gens ont tendance à partir dès qu’ils s’embourgeoisent, dès qu’ils ont trouvé du travail »[11].
Bâtiments, monuments et sites remarquables
modifier- Maison communale.
- Église Saint-Josse, de style néo-baroque.
- Maison Govaerts
- Jardin botanique de Bruxelles, ensemble de bâtiments, de jardins et de sculptures
- Square Armand Steurs, ensemble architectural de style Art déco et topiaire par Eugène Dhuicque et Jules Janlet.
- Ancien observatoire royal de Bruxelles où officia Jean-Charles Houzeau de Lehaie et qui fut une des redoutes révolutionnaires lors de la révolution de 1830.
- Tour Madou, un des plus anciens gratte-ciels bruxellois, construit en 1963 par l'architecte R. Goffaux
- Tour Astro, un des plus anciens gratte-ciels bruxellois.
- Les Tours Belgacom reliées par un pont (et situées en partie sur Schaerbeek)
- Gare de la chaussée de Louvain, de style néo-Renaissance flamande, gare intérieure de Bruxelles, simple halte sur une ligne intérieure de ceinture, fermée depuis 1924, vouée à être intégrée à une extension du métro régional[12]
- Hôtel Boël
- Tour Rogier
- Résidence Pacific
- Covent Garden
- Quartier Nord
- Maison Mayeres, immeuble de style Art nouveau géométrique
- Voir la liste des monuments classés de Saint-Josse-ten-Noode
Ainsi que d'autres bâtiments repris sur le site irisnet[PDF].
Vie culturelle
modifier- Bib Josse, bibliothèque francophone, rue de la Limite, 2[13]
- Bib Joske, bibliothèque néerlandophone, rue de le Limite 2[14]
- Centre arabe d'art et de culture[15]
- Musée Charlier
- Ateliers Mommen, cité d’artistes, rue de la Charité, 37[16]
- Compagnie Thor - Thierry Smits, compagnie de danse contemporaine[17]
- Cercle d'art de Saint-Josse-ten-Noode, de 1930 jusqu'à la fin du XXe siècle. Organisait une exposition annuelle au musée Charlier.
- Jazz Station, centre vivant du jazz[18]
- Théâtre de la Vie
- Le Botanique
Enseignement
modifierEnseignement primaire et secondaire
modifier- Gemeenteschool Sint Joost aan Zee, Grensstraat, nederlandstalige basisschool
- Pensionnat de Saint-Josse-ten-Noode, actif vers les années 1810 (disparu)
- Lycée communal Guy Cudell, école en discrimination positive prioritaire
- École fondamentale communale Henri Frick
- École communale Arc-en-Ciel.
- École communale Les Tournesols
- La Nouvelle École
- Institut La Sagesse
- Institut Saint-Louis, section de Saint-Josse, surnommé Petit Saint-Louis afin de le différencier de l'Institut Saint-Louis situé à Bruxelles rue du Marais dont il est une section depuis son annexion en 1927
- Institut des Dames-de-Marie
Enseignement supérieur et pour adultes
modifierEnseignement artistique
modifier- Académie des beaux-arts de Saint-Josse-ten-Noode
- Académie intercommunale, danse, musique, théâtre
Établissements emblématiques de la commune
modifierDisparus
modifier- Commerces et industrie
- Quincaillerie Van Bemden, chaussée de Louvain, à côté de l'église Saint-Josse
- Coopérative L'Union économique, chaussée de Louvain
- Commerce de nouveautés « Chez Roule ta Bosse », chaussée de Louvain
- « Chez Waver », appareils ménagers, chaussée de Louvain
- La maison Hayoit, spécialisée en linge de maison, fournisseur de la Cour, chaussée de Louvain, 56
- Papeterie-imprimerie Ballieu, chaussée de Louvain 13
- Poissonnerie Doms
- Curiosity House de Michel Deligne, librairie dédiée à la BD, qui deviendra "Le Deuxième Souffle"[19]
- Cinémas
- Cafés et brasseries
- Le Paon royal, Place Madou
- Le Renard, Chaussée de Louvain
Subsistants
modifier- Cliniques
- l'Institut chirurgical du docteur Jean Verhoogen, rue Marie Thérèse, 98-100-102, par l'architecte Jean-Baptiste Dewin.
- Commerces divers
- La Petite Vache, fromagerie, chaussée de Louvain
- La « friterie de la place Saint-Josse », longtemps tenue par Martin (Apers), un des trois meilleurs « fritkots » bruxellois. Depuis 2011, « Chez Palma »[20]
- Salles de spectacle
- Le Claridge
Personnalités liées à la commune
modifierArtistes peintres et sculpteurs
modifier- Marguerite Acarin dite Akarova, (1904-1999), danseuse et artiste peintre, née à Saint-Josse-ten-Noode ;
- François-Antoine Bossuet (1798-1889), peintre d'architecture, mort à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Joseph-Pierre Braemt (1796-1864), graveur belge de médailles et monnaies, vit et travaille à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Ignace Brice (1795-1866), artiste-peintre, domicilié rue de l'Équateur[21], no 2 ;
- Guillaume Charlier (1854-1925) sculpteur, mort à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Franz Courtens (1854-1943) , peintre, mort à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Marthe Massin (1861-1931), Peintre, vit rue Potagère avec son mari Emile Verhaeren
- Alfred Delaunois (1875-1941), peintre, né à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Hermann Courtens (1884-1956), peintre, né à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Jacques Courtens (1926-1988), peintre, né à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Amédée Lynen (1852-1938), peintre, graveur et lithographe, né à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Jean-Baptiste Madou (1796-1877) peintre et illustrateur, habitait un hôtel de maître (aujourd'hui démoli) sur l'actuelle place Madou.
- Jean Milo (1906-1993), peintre et écrivain, né à Saint-Josse ;
- Gustave Max Stevens (1871-1946) peintre et lithographe, est né à Saint-Josse ;
- Fritz Toussaint (1846-1920) artiste peintre, collectionneur et mécène, mort à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Charles Van der Stappen (1843-1910) sculpteur, né à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Vincent van Gogh (1853-1890), peintre hollandais, a séjourné et a étudié la peinture à Saint-Josse ;
- Louis Van Lint (1909-1986), peintre, est né et a étudié à l'Académie à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Georges Van Zevenberghen (1877-1968), peintre, mort à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Firmin Verhevick (1874-1962), peintre, habitait à Saint-Josse-ten-Noode rue de la Ferme 121.
- Alfred Verwée (1838-1895), peintre, né à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Henri Quittelier (1884-1980), peintre, dessinateur et graveur né à Saint-Josse-ten-Noode.
Architectes
modifier- Antoine Courtens (1899-1969), architecte, né à Saint-Josse-ten-Noode [22] ;
- Jean-Baptiste de Dobbeleer (1784-1868), architecte, mort à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Eugène Dhuicque (1877-1955), créateur du square Armand Steurs, habitait rue Potagère ;
- Ernest Hendrickx (1844-1892), architecte, est né à Saint-Josse-ten-Noode
- Henri Hendrickx (1817-1894), artiste peintre, graveur et illustrateur, a fondé l'École des arts du dessin de Saint-Josse-ten-Noode ;
- Henri Jacobs (1864-1935) architecte de la période Art nouveau, né à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Bruno Renard (1781-1861), architecte, mort à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Auguste Schoy (1838-1885), architecte, mort à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Oscar Simon architecte, auteur de nombreuses constructions à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Jean-Frédéric Van der Rit (1823-1882), architecte et archéologue, auteur des premiers travaux de l'église de Saint-Josse-ten-Noode.
Métiers du spectacle
modifier- Émile-Georges De Meyst (1902-1989), réalisateur, né à Saint-Josse ;
- Fernand Faniard (1894-1955), chanteur de l'Opéra de Paris, né à Saint-Josse ;
- Ève Francis (1886-1980), actrice, née à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Simone Max (1903-1983), actrice et humoriste, née à Saint-Josse-ten-Noode
- Ismaël Saidi (1976-) réalisateur né à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Jaco Van Dormael (1957-), réalisateur, réside à Saint-Josse ;
- Mourade Zeguendi (1980-), acteur né à Saint-Josse-ten-Noode.
Hommes et femmes d'État et militaires
modifier- Philippe le Bon (1396-1467) a fait ériger en 1465 le château des ducs de Brabant et planter des vignes, d'où la grappe de raisins sur les armoiries de la commune ;
- Lucien Jottrand (1804-1877), avocat à Saint-Josse-ten-Noode et conseiller communal ;
- Metternich (1773-1859), séjourne à Saint-Josse en 1849, dans l'actuelle maison communale ;
- Charles Rogier (1800-1885), vit au 12 rue Galilée à Saint-Josse-ten-Noode à partir de 1831 ;
- Philémont de Bagenrieux de Lanquesaint (1802-1870), homme politique belge, est mort à Saint-Josse ;
- Gaston Duffour (1875-1953), général de l'armée française, né à Saint-Josse ;
- Alice Itterbeek (1902-1990), résistante déportée est née à Saint-Josse.
Scientifiques
modifier- Adolphe Quetelet (1796-1874), astronome, est à l'origine de l'Observatoire de Bruxelles, situé à Saint-Josse ;
- Albin Lambotte (1866-1955), chirurgien, père de l'ostéosynthèse est né à Saint-Josse ;
- Émile Fourcault (1862-1919), ingénieur, est né à Saint-Josse.
Philosophes et écrivains
modifier- Johan Baptista Houwaert (1533-1599), poète, est inhumé dans l'église de Saint-Josse ;
- Jacques-Joseph Deglimes (1778-1828), poète néolatin, maire de Saint-Josse-ten-Noode de 1808 à 1813 ;
- Karl Marx (1818-1883) et Friedrich Engels (1820-1895), philosophes allemands et théoriciens du socialisme, ont séjourné rue de l'Alliance, respectivement aux numéros 5 et 7, de 1845 à 1846[23] ;
- Eugène Van Bemmel (1824-1880), écrivain, conseiller communal de Saint-Josse-ten-Noode dont il publie une Histoire ;
- Marguerite Coppin (1867-1931), écrivaine, poétesse et traductice est née et a vécu à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Caroline Gravière (-1878), écrivaine, a vécu et est décédée à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Émile Verhaeren (1855-1916), poète, habita no 117 rue Potagère avec son épouse Marthe Massin;
- Gustave Cohen (1879-1958), historien, né à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Laurence Alma-Tadema (1865-1940), écrivaine, née à Saint-Josse-ten-Noode ;
- Yvonne du Jacquier (1904-1994), écrivaine, conservatrice du Musée Charlier à Saint-Josse ;
- Henri Calet (1904-1956), écrivain, a étudié rue Traversière et rue des Coteaux.
Musiciens
modifier- Charles-Auguste de Bériot (1802-1870), compositeur et violoniste, a vécu à Saint-Josse.avec son épouse Maria Malibran cantatrice ;
- Maurice Kufferath (1852-1919), critique musical, librettiste, violoncelliste et chef d'orchestre belge, né à Saint-Josse ;
- Albert Dupuis (1877-1967), compositeur, résida no 136 rue Potagère de 1953 à sa mort ;
- Bénabar (1969-), auteur-compositeur, a habité quelques années rue des Moissons, citoyen d'honneur de la commune[24]
Faits divers
modifier- Muriel Degauque (1967-2005), terroriste, habite à Saint-Josse-ten-Noode dans les dernières années de sa vie.
Sportifs
modifier- Élodie Ouédraogo (1981-) athlète spécialiste du 400 mètres haies, est née à Saint-Josse ;
- Nordin Jbari (1975-), footballeur, est né à Saint-Josse ;
- Nabil Dirar (1986-), footballeur international marocain, a grandi à Saint-Josse.
Vie sportive
modifierLes couleurs de la commune sont défendues par de nombreux clubs sportifs dont le BUC Saint-Josse Rugby Club qui fut champion de Belgique de Rugby à XV en 1973 et qui évolue actuellement dans le championnat de deuxième division nationale. Citons également les clubs FC Saint-Josse (football), ETC Saint-Josse (tennis) et Forever Saint-Josse (pétanque). Avec le BUC Saint-Josse Rugby Club, ils partagent la particularité d’être rattachés à la commune de Saint-Josse-ten-Noode mais d'avoir leurs installations sur le territoire de la commune voisine d'Evere.
Vie politique
modifierDe 1953 à 1999, le bourgmestre de Saint-Josse est le socialiste Guy Cudell, à la tête de coalitions diverses, la dernière (1994) avec le PSC (Hubert Dradin) et le SP (Jules Spooren, unique élu sur la liste de cartel flamand PLU).
C'est son premier échevin, également PS, Jean Demannez, qui lui succède après son décès en . Il est reconduit à la tête d'une liste de coalition communale, la Liste du bourgmestre (PS, SP, PRL) en . Saint-Josse est l'une des rares communes bruxelloises (avec Koekelberg) où le FDF et le PRL ne se sont pas présentés sur une liste commune en 2000, le FDF étant resté dans l'opposition avec 2 sièges sur 27.
Fin , quatre mandataires communaux dont l'échevine de la Propreté publique Nezahat Namli, élus sur la Liste du bourgmestre au titre du quota MR-PRL, décident de siéger désormais en tant qu'indépendants en raison de désaccords qui les opposent au chef de file local du MR, l'échevin Geoffroy Clerckx.
Après les élections communales d', une majorité se met en place entre la Liste du bourgmestre (PS et indépendants ex-MR) et le CdH, relégant dans l'opposition le MR et y maintenant Ecolo. Le nouveau collège se compose dès lors de Jean Demannez (PS), Emir Kir (PS, « échevin empêché » car secrétaire d'État régional, remplacé par Havva Ardiçlik pendant la durée de son mandat exécutif régional), Mohamed Jabour (PS), Ahmed Medhoune (PS), Éric Jassin (CdH), Nezahat Namli (LB-indépendante, puis PS), Mohamed Azzouzi (PS, par ailleurs député régional), auxquels il faut ajouter la présidente du CPAS, Anne-Sylvie Mouzon (PS, par ailleurs députée régionale).
Lors des élections communales du , Emir Kir obtient le plus grand nombre de voix de préférence, supérieur à celui de la tête de liste Jean Demannez. Emir Kir revendique le maïorat qu'il obtiendra à la suite de négociations houleuses[25], devenant ainsi le premier maïeur d'origine turque dans la partie francophone du pays[26][réf. non conforme].
Parti | Voix | % | +/- | Sièges | +/- | |
---|---|---|---|---|---|---|
PS-sp.a (Liste du bourgmestre) | 4 987 | 47,90 | 3,58 % | 17 / 29 |
1 | |
Ecolo-Groen | 2 626 | 25,22 | 7,24 % | 9 / 29 |
4 | |
MR-VLD | 781 | 7,50 | 3,60 % | 1 / 29 |
2 | |
cdH-CD&V+ | 736 | 7,07 | 9,50 % | 1 / 29 |
4 | |
Liste Communale | 600 | 5,76 | Nv. | 1 / 29 |
1 | |
DéFI | 461 | 4,43 | 0,46 % | 0 / 29 |
0 | |
N-VA | 220 | 2,11 | 1,23 % | 0 / 29 |
0 | |
Total | 10 411 | 100 | 29 | 0 |
Résultats des élections communales depuis 1976
modifierPartis | 1976[27] | 1982 | 1988 | 1994 | 2000 | 2006 | 2012 | 2018 | ||||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Votes / Sièges | % | 27 | % | 27 | % | 27 | % | 27 | % | 27 | % | 27 | % | 29 | % | 29 | ||
Extrême gauche | PTB-PvdA | 0,84 | 0 | 0,55 | 0 | 0,94 | 0 | |||||||||||
Ecologistes | Ecolo-Groen | 6,8 | 1 | 8,36 | 2 | 16,1 | 4 | 12,38 | 3 | 17,98 | 5 | 25,22 | 9 | |||||
Socialistes | Liste du Bourgmestre | 39,22 | 13 | 40,12 | 14 | 47,3 | 16 | 48,86 | 16 | 49,43 | 17 | 49,98 | 16 | 44,32 | 16 | 47,90 | 17 | |
SP | 2,4 | 0 | ||||||||||||||||
Chrétiens-démocrates | PSC-CVP/PSC/cdH/cdH+ind | 12,34 | 3 | 15,17 | 4 | 16,78 | 5 | 16,57 | 5 | 7,07 | 1 | |||||||
Fédéralistes francophones | DéFi (FDF) | 30,81 | 9 | 17,59 | 5 | 13,57 | 3 | 10,93 | 2 | 9,18 | 2 | 4,89 | 0 | 4,43 | 0 | |||
Libéraux | MR-OpenVLD (PRL/MR/Bleus de SJ) | 7,16 | 1 | 12,74 | 4 | 12,75 | 3 | 11,47 | 3 | 12,52 | 3 | 11,10 | 3 | 7,5 | 1 | |||
Nationalistes flamands | N-VA | 3,34 | 0 | 2,11 | 0 | |||||||||||||
Extrême droite flamande | Vlaams Belang (Vlaams Blok) | 4,9 | 0 | 3,46 | 0 | |||||||||||||
SJ2000(SJZOOO) | 15,9 | 4 | 12,47 | 3 | 3,95 | 0 | ||||||||||||
VLAAMS/KARTEL/PLU | 6,55 | 1 | 7,35 | 1 | 5,82 | 1 | ||||||||||||
Liste Communale | 2,80 | 5,76 | 1 | |||||||||||||||
Autres(*) | 3,92 | 7,72 | 3,68 | 1,54 | 0,33 | 2,07 | 1,80 | |||||||||||
Total des votes | 10 869 | 7 694 | 6 683 | 5 901 | 7 312 | 9 828 | 10 326 | 11 124 | ||||||||||
Participation % | - | - | 84,12 | 83,21 | 83,62 | 87,88 | 83,76 | 85,39 | ||||||||||
Votes blancs ou nuls % | 5,31 | 7,34 | 7,38 | 5,13 | 5,13 | 5,26 | 6,31 | 6,41 |
(*)1976 :SF-ZG 1982 :SF-ZG,FNK,UDB,FFI 1988:FN,AGIR 1994:UNIE,PH-HP 2000:PH 2006:VLD,PH-HP,LC 2006:EGALITE
Bourgmestres de Saint-Josse-ten-Noode
modifier- 1796 à 1799 agent municipal puis maire 1800 - 1808 : André-Étienne-Joseph O'Kelly
- 1808 - : Jacques-Joseph Deglimes
- 1813 : Théodore-Nicolas-Joseph Aerts
- 1813 - 1823 : Jean-François Wauwermans
- 1823 - 1842 : Urbain-Henri Verbist
- - 1846 : Léonard-Constant Willems
- - 1867 : Jacques-Joseph-Damase Gillon
- - 1870 : Louis-Guillaume-Félix Sainctelette
- 1870 - 1884 : Fritz Jottrand
- 1885 - 1899 : Armand Steurs
- 1900 - 1926 : Henri Frick
- 1926 - 1942 : Georges Pètre, échevin, puis bourgmestre de 1926 à sa destitution et son assassinat par les Rexistes en 1942
- 1944 - 1947 : Joseph Déry
- 1947 - 1953 : André Saint-Rémy
- 1953 - 1999 : Guy Cudell, conseiller communal en 1946, échevin en 1947, bourgmestre en 1953
- 1999 - 2012 : Jean Demannez, conseiller communal en 1976, échevin en 1977, bourgmestre en 1999, réélu en 2000
- 2012 - ... : Emir Kir
- Sources
- Liste des maires et bourgmestres publiée par Van Bemmel, Histoire de Saint Josse Ten Noode et de Schaerbeek (1869)
- Revues anciennes et ouvrages généraux consultables à la Bibliothèque royale de Belgique
- Autres sources non publiées disponibles à la bibliothèque communale ainsi qu'à la Réserve précieuse de la Bibliothèque royale (Fonds Van Hulthem)
Bibliographie générale
modifier- José Camby, Saint-Josse-ten-Noode dans le passé : esquisse historique, illustrations de Jean Dratz, Bruxelles : Edimco, 1952
- Felice Dassetto, Immigration et politique locale. La commune de St Josse ten Noode, Louvain-la-Neuve, Academia/Sybidi paper, 1991, 95 pages
- Yvonne du Jacquier[28], Saint-Josse-ten-Noode au temps des équipages, Bruxelles : P.-J. Dupuis, s. d.[Quoi ?] [circa 1960]
- Yvonne du Jacquier, Saint-Josse-ten-Noode au XIXe siècle : promenade à bâtons rompus, préface par Albert Guislain, s. l., s. d.[Quoi ?] [circa 1960]
- Antoine Schayes, Notice historique sur la commune de Saint-Josse-ten-Noode, dans : Messager des sciences et des arts, Gand, 1838, tome VI, p. 435-449
- Eugène Van Bemmel, Histoire de Saint-Josse-ten-Noode et de Schaerbeek, illustrée par Henri Hendrickx[29], fondateur de l’École normale des arts du dessin de Saint-Josse-ten-Noode et de Schaerbeek, Saint-Josse-ten-Noode, chez E. Van Bemmel, éditeur, rue Saint-Lazare, 25, 1869
- Histoire de la commune de Saint-Josse-ten-Noode pendant la guerre mondiale et l'occupation allemande 1914-1918. Avec 20 photographies et 6 planches h.t.[Quoi ?] d'Amédée Lynen. Préface de Henri Frick. Imprimerie A. Lesigne, 1920, 25, 343 p.
Jumelages
modifierNotes et références
modifier- Jean Germain, Guide des gentilés : les noms des habitants en Communauté française de Belgique, Bruxelles, Ministère de la Communauté française, (lire en ligne), p. 21.
- Histoire des environs de Bruxelles ou description historique des localités qui formaient autrefois l’ammannie de cette ville. Tome troisième, p. 5-6. Alphonse Guillaume Ghislain Wauters, C. Vanderauwera, 1855.
- Alphonse Wauters, op. cit. p. 11 : « En 1794 [sic pour 1795], Ten-Noede, séparé de Bruxelles, fut érigé en une commune distincte, faisant partie du canton de Woluwe-Saint-Étienne ».
- (en) [1].
- https://view.officeapps.live.com/op/view.aspx?src=https%3A%2F%2Fstatbel.fgov.be%2Fsites%2Fdefault%2Ffiles%2Ffiles%2Fdocuments%2Fbevolking%2F5.1%2520Structuur%2520van%2520de%2520bevolking%2FPopulation_par_commune.xlsx&wdOrigin=BROWSELINK
- « Population », sur ibsa.brussels (consulté le ).
- Jean Demannez, interview du )].
- 623.000 musulmans en Belgique, sur Lalibre.be, .
- [2], 7sur7.
- « Revenus fiscaux | Statbel », sur statbel.fgov.be (consulté le )
- « Saint-Josse : une commune atypique… sur beaucoup de points », sur RTL.be.
- Kevin Lebrun et Frédéric Dobruszkes, « Des nouvelles gares RER pour Bruxelles ? Enjeux, méthodes et contraintes », Brussels Studies. La revue scientifique pour les recherches sur Bruxelles / Het wetenschappelijk tijdschrift voor onderzoek over Brussel / The Journal of Research on Brussels, (ISSN 2031-0293, DOI 10.4000/brussels.1073, lire en ligne, consulté le )
- « Bib Josse », sur Bib Josse (consulté le )
- « Startpagina | Bibliotheek Sint-Joost-Ten-Node », sur sint-joost-ten-node.bibliotheek.be (consulté le )
- « Bruxelles : le centre culturel arabe fête ses 30 ans », La Meuse, (lire en ligne).
- Site des ateliers Mommens.
- Le site de la compagnie Thor.
- Site de la Jazz Station.
- « Michel Deligne : « J’ai toujours fonctionné au sentiment (...) », sur ActuaBD (consulté le )
- La Libre.be, « Les frites St-Josse sont de retour », sur LaLibre.be, (consulté le )
- La rue de l'Équateur a été rebaptisée rue Brialmont en 1903, en souvenir du général Brialmont qui y résida.
- Musée des Archives d’architecture moderne, Collections, 1986, p. 154.
- Rue de l’Alliance. Inventaire du patrimoine architectural de la région de Bruxelles-Capitale, 1993-1995.
- DH Les Sports+, « C'est l'effet Bénabar... », sur DH Les Sports +, (consulté le ).
- [3], Emir Kir bourgmestre de Saint-Josse quittera le gouvernement bruxellois, .
- [4].
- 1976-2000:Verkiezingsdatabase Binnenlandse Zaken
- De son vrai nom Emma Lefebvre.
- père de l'architecte Ernest Hendrickx.
- (it) « Grandi Eventi - Gemellaggi e Patti d'Amicizia », sur Comune di Verona (consulté le ).
- http://www.saint-josse.irisnet.be/pdf/divers/2014-02-18-50-ans-d-immigration-turque-et-marocaine_FR.pdf [PDF]].
- « Eskisehir : Accord de jumelage et Polémique sur le voyage », sur 1210sjtn.blogspot.be (consulté le ).
- « Jumelage signé entre Saint-Josse et Bucarest », Édition digitale de Bruxelles, (lire en ligne, consulté le ).
- « Larache se rapproche de Saint-Josse ».
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- Liste des rues de Saint-Josse-ten-Noode
- Gare de Saint-Josse-ten-Noode, actuellement surnommée Jazz station, où se tient le festival Saint-Jazz-ten-Noode
Liens externes
modifier- Site officiel
- Ressource relative à la musique :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- 1210SJTN, blog citoyen qui traite de l'actualité de la commune
- Archives commune Saint-Josse-ten-Noode
- Archives CPAS Saint-Josse-ten-Noode