Rue Claire-Pauilhac

rue de Toulouse, en France

La rue Claire-Pauilhac (en occitan : carrièra Clara Paulhac) est une voie de Toulouse, chef-lieu de la région Occitanie, dans le Midi de la France.

Rue Claire-Pauilhac
Situation
Coordonnées 43° 36′ 41″ nord, 1° 26′ 40″ est
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Métropole Toulouse Métropole
Ville Toulouse
Secteur(s) 1 - Centre
Quartier(s) MatabiauChalets
Début no 1 rue Matabiau
Fin no 10 rue de Coulmiers
Morphologie
Longueur 445 m
Largeur m
Transports
Métro de Toulouse Métro Ligne B du métro de Toulouse (à proximité)
Liste des lignes de bus de Toulouse​​​​​​​​​​​​​​​ Bus L1L91415232729394570AéroportVille (à proximité)
Odonymie
Anciens noms Rue Saint-Lazare (1850-1906)
Nom actuel 16 mars 1906
Nom occitan Carrièra Clara Paulhac
Histoire et patrimoine
Création 1850-1873
Notice
Archives 315555219239
Géolocalisation sur la carte : Toulouse
(Voir situation sur carte : Toulouse)
Rue Claire-Pauilhac
Géolocalisation sur la carte : France
(Voir situation sur carte : France)
Rue Claire-Pauilhac

Situation et accès

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Description

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La rue Claire-Pauilhac est une voie publique de Toulouse. Elle traverse le quartier de Matabiau, puis le quartier des Chalets, tous deux dans le secteur 1 - Centre.

Elle naît perpendiculairement à la rue Matabiau, à proximité immédiate de la place Jeanne-d'Arc. Elle est longue de 445 mètres, large de 8 mètres, rectiligne et orientée au nord-est. Elle se termine au carrefour de la rue de Coulmiers.

La chaussée compte une seule voie de circulation automobile en sens unique, de la rue de Coulmiers vers la rue Matabiau. Elle appartient à une zone 30 et la vitesse y est limitée à 30 km/h. Il n'existe pas de bande, ni de piste cyclable, quoiqu'elle soit à double-sens cyclable.

Voies rencontrées

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La rue Claire-Pauilhac rencontre les voies suivantes, dans l'ordre des numéros croissants (« g » indique que la rue se situe à gauche, « d » à droite) :

  1. Rue Matabiau
  2. Petite-rue Saint-Lazare (g)
  3. Rue Roquelaine
  4. Rue Job (d)
  5. Rue de la Concorde
  6. Rue de Quéven (g)
  7. Rue de Verdun (g)
  8. Rue des Roziers (d)
  9. Rue du Capitaine-Paul-Escudié
  10. Rue de Coulmiers

Transports

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La rue Claire-Pauilhac n'est pas directement desservie par les transports en commun. Elle est cependant proche de la place Jeanne-d'Arc, où se trouve une gare de bus pour les lignes de Linéo L9 et de bus 1523394570, ainsi que des navettes AéroportVille. Le long des boulevards Lazare-Carnot et de Strasbourg se trouvent également les arrêts des lignes de Linéo L1 et de bus 1429, ainsi que la station Jeanne-d'Arc, sur la ligne de métro  . Au nord, le boulevard Matabiau est également parcouru par les lignes de bus 1527.

Les stations de vélos en libre-service VélôToulouse les plus proches sont les stations no 34 (15 rue Joseph-Bosc), no 35 (1 rue Raymond-IV) et no 58 (4 rue de la Concorde).

Odonymie

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La rue est, lors de son percement en 1850, désignée comme la rue Saint-Lazare – le nom s'en est conservé pour une rue voisine, la petite-rue Saint-Lazare[1]. D'ailleurs, plusieurs rues des quartiers Matabiau et des Chalets, toutes percées au XIXe siècle, portent le nom de saints et de saintes des premiers siècles du christianisme liés à Toulouse et à sa région : la rue Saint-Dominique[2], la rue Saint-Érembert (actuelle rue Robert-Borios)[3], la rue Saint-Germier[4], la rue Saint-Hilaire[4], la rue Saint-Honest[4], la rue Saint-Honoré (actuelle rue Édouard-Dulaurier)[4], la rue Saint-Hubert[5], la rue Sainte-Marthe[6], la rue Saint-Orens[7], la rue Saint-Papoul[8] et la rue Saint-Sylvain (actuelle rue Joseph-Bosc)[9].

En 1906, la rue reçoit le nom de Claire Pauilhac (1856-1906), épouse de l'industriel Léon Pauilhac[10]. Son père, Jacques-Zacharie Pauilhac, était lié depuis 1849 à Jean Bardou (1799-1852) et à son fils, Pierre Bardou (1826-1892), à la tête de l'entreprise JOB. Ils s'associèrent en 1872 pour une usine à papier qui se trouvait à la Moulasse, près de Saint-Girons, puis une usine qui se trouvait dans l'actuelle rue Claire-Pauilhac (actuel no 17 bis). D'ailleurs, la société JOB avait son siège à l'hôtel de Pauilhac tout proche (actuel no 72 boulevard de Strasbourg)[11]. Claire Pauilhac consacra une partie de sa fortune à l'amélioration de la vie quotidienne des ouvriers de l'usine, ainsi qu'à l'entretien des hôpitaux de la ville[12].

Histoire

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Patrimoine et lieux d'intérêt

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Usines JOB

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no 14 : magasin industriel.

Immeubles et maisons

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  • no  20 : maison Alphonse Deklerck (1931)[15].
  • no  31 : immeuble (deuxième moitié du XIXe siècle)[16].
  • no  33 : immeuble (deuxième moitié du XIXe siècle)[17].
  • no  37 : immeuble (deuxième quart du XXe siècle)[18].
  • no  43 : maison (1910, Georges Masquet)[19].

Références

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Voir aussi

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Bibliographie

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Article connexe

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Liens externes

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