Pellevoisin
Pellevoisin est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.
Pellevoisin | |||||
L'église en 2007. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Indre | ||||
Arrondissement | Châteauroux | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Écueillé - Valençay | ||||
Maire Mandat |
Gérard Sauget 2020-2026 |
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Code postal | 36180 | ||||
Code commune | 36155 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Pellevoisinois | ||||
Population municipale |
794 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 31 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 59′ 02″ nord, 1° 24′ 54″ est | ||||
Altitude | Min. 117 m Max. 192 m |
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Superficie | 25,62 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Valençay | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Indre
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune est située dans le nord[1] du département, dans la région naturelle du Boischaut Nord.
Les communes limitrophes[1] sont : Heugnes (3 km), Villegouin (4 km), Selles-sur-Nahon (5 km), Frédille (5 km), Argy (5 km) et Sougé (6 km).
Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Valençay (23 km), Châteauroux (29 km), Issoudun (44 km), Le Blanc (47 km) et La Châtre (62 km).
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 744 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 798,0 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,9 | 1,6 | 3,9 | 5,8 | 9,4 | 12,6 | 14,5 | 14,4 | 11,2 | 8,7 | 4,8 | 2,4 | 7,6 |
Température moyenne (°C) | 4,9 | 5,5 | 8,7 | 11,3 | 15 | 18,5 | 20,6 | 20,7 | 17 | 13,1 | 8,2 | 5,4 | 12,4 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,9 | 9,4 | 13,6 | 16,9 | 20,6 | 24,3 | 26,8 | 27 | 22,8 | 17,5 | 11,7 | 8,3 | 17,2 |
Record de froid (°C) date du record |
−18 17.01.1985 |
−17,5 08.02.1953 |
−11 01.03.05 |
−5,3 12.04.1955 |
−3,2 07.05.1957 |
2,2 02.06.1962 |
1,5 10.07.1956 |
4 05.08.1956 |
0 16.09.1957 |
−5,7 30.10.1955 |
−10,3 23.11.1956 |
−14,4 31.12.1985 |
−18 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
17,5 01.01.23 |
25 27.02.19 |
28 25.03.1955 |
29,5 01.04.21 |
32 28.05.17 |
40,5 18.06.22 |
41,5 25.07.19 |
41,5 04.08.03 |
35,7 08.09.23 |
31,9 02.10.23 |
24 07.11.15 |
20,6 03.12.1953 |
41,5 2019 |
Précipitations (mm) | 72,9 | 59,9 | 56,1 | 67,3 | 70,4 | 56,7 | 56 | 58,7 | 59,5 | 79,2 | 79,7 | 81,6 | 798 |
Géologie et hydrographie
modifierLa commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[7].
Histoire
modifierAntiquité et Moyen Âge
modifierLe bourg existait sous l’Antiquité et au Moyen Âge. Le site est donc occupé sans discontinuité perceptible depuis plus de deux millénaires. Une motte castrale est édifiée près de ce vieux bourg[9].
Apparition mariale
modifierEn 1875, une jeune femme de 32 ans, Estelle Faguette, née à Saint-Memmie (Marne) en 1843[10], atteinte d’une maladie incurable, écrit, avec un cœur d’enfant et dans une grande confiance, une lettre à la Sainte Vierge : elle lui demande d’intercéder auprès de son divin Fils pour obtenir sa guérison, afin de soutenir ses parents âgés. Elle dépose cette lettre à la grotte de Montbel près du château des La Rochefoucauld-Montbel pour qui elle travaillait. La Vierge Marie répond à cette lettre par quinze apparitions de février à , au cours desquelles elle éduque Estelle à la sainteté et lui délivre un message de miséricorde. Le , Estelle est entièrement guérie (elle mourra en 1929, âgée de 86 ans).
Dès 1877, à la suite des demandes de la Comtesse Marie-Luce de La Rochefoucauld-Montbel, l’archevêque de Bourges autorise le culte public à Notre-Dame de Pellevoisin et la chambre d’Estelle est transformée en chapelle. Depuis plusieurs années, l’archevêque de Bourges a confié aux Frères de Saint Jean la conduite spirituelle du sanctuaire de Pellevoisin, et en particulier le message de Miséricorde transmis aux pèlerins d'aujourd'hui.
Pellevoisin est le siège d'un important pèlerinage à Notre-Dame-de-la-Miséricorde, le Ier dimanche de septembre.
Depuis la Seconde Guerre mondiale
modifierEn 1940, le grand hôtel de Pellevoisin devient une prison d'État et accueille des prisonniers politiques célèbres : Vincent Auriol, Marx Dormoy, Abraham Schrameck, Salomon Grumbach[11], Georges Mandel, Marcel Bloch et Jules Moch. Paul Reynaud arrivé le de sa précédente prison, le château de Chazeron. Les procès de Riom suivirent pour juger ceux que Pétain jugeait responsables de la défaite de 1940. Dans la nuit du au 1er janvier, Paul Reynaud fut à nouveau transféré, cette fois vers Aubenas[12].
La commune fut rattachée de 1973 à 2015 au canton d'Écueillé.
Voies de communication et transports
modifierLe territoire communal est desservi par les routes départementales : 11, 15, 15D et 33[13].
La ligne de Salbris au Blanc passe par le territoire communal, une gare[13] dessert la commune, par le train touristique du Bas-Berry. L'autre gare ferroviaire la plus proche est la gare de Châteauroux[13] (36 km), sur la ligne des Aubrais - Orléans à Montauban-Ville-Bourbon.
Pellevoisin est desservie par la ligne S du Réseau de mobilité interurbaine[14].
L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[13], à 35 km.
Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays de Valençay[8].
-
La gare de Pellevoisin en 2010.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Pellevoisin est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle est située hors unité urbaine[16] et hors attraction des villes[17],[18].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (75,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (74,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (54,3 %), forêts (23,3 %), prairies (10,8 %), zones agricoles hétérogènes (10 %), zones urbanisées (1,6 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Hameaux et lieux-dits
modifierLes hameaux et lieux-dits de la commune sont : Charbonnière, la Maison Neuve et Roidoux[8].
Logement
modifierLe tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[20] de la commune :
Date du relevé | 2013 |
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Nombre total de logements | 508 |
Résidences principales | 72,6 % |
Résidences secondaires | 20,4 % |
Logements vacants | 7 % |
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale | 70,7 % |
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Pellevoisin est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[21]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[22].
Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans les massifs de Frédille et d'Argy, est classée au niveau de risque 4, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[23].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 469 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 469 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[26].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1993 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[21].
Toponymie
modifierPolitique et administration
modifierLa commune dépend de l'arrondissement de Châteauroux, du canton de Valençay, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Écueillé - Valençay[16].
Elle dispose d'un bureau de poste[28], d'un centre de première intervention et d'un syndicat d'initiative[29].
Population et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].
En 2021, la commune comptait 794 habitants[Note 1], en évolution de +2,32 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierLa commune dépend de la circonscription académique d'Issoudun.
Manifestations culturelles et festivités
modifierÉquipement culturel
modifierSanté
modifierSports
modifier- Section gymnastique
Médias
modifierLa commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.
Cultes
modifierÉconomie
modifierLa commune se situe dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie de Buzançais[16].
La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage des fromages Valençay[39] et Sainte-maure-de-touraine[40].
Culture locale et patrimoine
modifier- Château du Mée[41]
- Grotte mariale de Montbel
- Église[41]
- Monument aux morts
- Sanctuaire de Pellevoisin.
- Musée Giraudoux-Bernanos-Estelle Faguette[41]
Personnalités liées à la commune
modifier- Jean Giraudoux (1882-1944), écrivain et un diplomate français.
- Estelle Faguette (1843-1929)
- Georges Bernanos (1888-1948), écrivain français, enterré auprès de sa mère dans le cimetière de la commune.
- Anne Caudry (1957-1991), actrice française, inhumée près de son aïeul Georges Bernanos dans le cimetière de la commune.
- Famille La Rochefoucauld-Montbel
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- Liste des communes de l'Indre
- Liste des anciennes communes de l'Indre
- Notre-Dame de Pellevoisin
- Communauté Saint-Jean
Liens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Ressource relative à la musique :
- Sanctuaire Notre Dame de Miséricorde de Pellevoisin
- Pellevoisin sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
modifierNotes
modifier- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pellevoisin » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Pellevoisin » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
- « Pellevoisin » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
- Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, 2009, p. 52.
- Jean-Paul Barbier, Des Châlonnais célèbres, illustres et mémorables, .
- Extrait du journal l'Alsace du dimanche 2 août 1992, consulté le 16 août 2012.
- Christophe Lastécouères, « La République « embastillée » et « déportée » au fort du Portalet. Errances d’une justice politique ordinaire en temps d’exception (1940-1942) », Criminocorpus, Justice et détention politique, Répressions politiques en situation de guerre, mis en ligne le 01 avril 2014, consulté le 02 septembre 2019.
- « Pellevoisin », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
- « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Pellevoisin ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Site de l'Insee : Pellevoisin, consulté le 6 septembre 2016.
- « Les risques près de chez moi - commune de Pellevoisin », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- « Nom des habitants des communes françaises, Pellevoisin », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
- Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
- Site de Berry Province, consulté le 5 février 2013.
- « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
- « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
- « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
- « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
- Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
- « Sainte-maure-de-touraine », sur le site de l'Institut national de l'origine et de la qualité, consulté le 19 février 2018.
- Site de la communauté de communes Écueillé - Valençay : Territoire, consulté le 18 janvier 2016.