Noyal-Châtillon-sur-Seiche

commune française d'Ille-et-Vilaine

Noyal-Châtillon-sur-Seiche est une commune française située dans le département d'Ille-et-Vilaine, en région Bretagne.

Noyal-Châtillon-sur-Seiche
Noyal-Châtillon-sur-Seiche
La mairie de Noyal-Châtillon-sur-Seiche.
Blason de Noyal-Châtillon-sur-Seiche
Blason
Noyal-Châtillon-sur-Seiche
Logo
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Ille-et-Vilaine
Arrondissement Rennes
Intercommunalité Rennes Métropole
Maire
Mandat
Sébastien Guéret (DVG)
2020-2026
Code postal 35230
Code commune 35206
Démographie
Gentilé Castelnaudais
Population
municipale
7 631 hab. (2021 en évolution de +10,42 % par rapport à 2015en évolution de +10,42 % par rapport à 2015)
Densité 288 hab./km2
Population
agglomération
395 710 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 02′ 36″ nord, 1° 39′ 27″ ouest
Altitude Min. 17 m
Max. 54 m
Superficie 26,51 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Rennes
(banlieue)
Aire d'attraction Rennes
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Bruz
Législatives Première circonscription
Localisation
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Noyal-Châtillon-sur-Seiche
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Noyal-Châtillon-sur-Seiche
Liens
Site web www.ville-noyal-chatillon.fr

Située au sud du bassin rennais, traversée par la Seiche et peuplée de 7631 habitants, elle fait partie des 43 communes de Rennes Métropole.

Géographie

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Localisation

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La commune se trouve au sud de Rennes, sur un surplomb de la Seiche. Le bourg est séparé de celui de Chartres-de-Bretagne par la RN 137/E3.

Le territoire de la commune est traversé du nord au sud par la RD 82 et d’est en ouest par la RD 34 (seconde rocade de Rennes).

Hydrographie

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La Seiche, affluent rive gauche de la Vilaine, est le principal cours d’eau. L’Ise et l’Orson drainent respectivement le nord et le sud de la commune. L’Orson est un ruisseau qui prend sa source sur la commune.

La Seiche constitue une partie de la limite communale entre Noyal-Châtillon-sur-Seiche et Saint-Erblon. L’Orson constitue la limite entre Noyal-Châtillon-sur-Seiche et Chartres-de-Bretagne.

Qualité des eaux

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Un point de suivi de la qualité des eaux de l'Ise est présent sur la commune[1].

Transports

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La ville était autrefois desservie par les Tramways d'Ille-et-Vilaine via la ligne de Rennes à Grand-Fougeray, entre 1910 et 1937.

Le centre de Noyal-Châtillon est desservi par les lignes de bus 61, 91 et 161ex.

La zone d'activité de la Janais est desservie par les lignes 59, 63 et 72.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[3]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Sud Est », avec des étés relativement chauds et ensoleillés[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 712 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Jacques-de-la-Lande à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 12,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 691,0 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Noyal-Châtillon-sur-Seiche est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle appartient à l'unité urbaine de Rennes[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant 16 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[I 2],[I 3]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rennes, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 3]. Cette aire, qui regroupe 183 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 4],[I 5].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (85,9 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (91,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (43,3 %), terres arables (37,1 %), zones urbanisées (8,9 %), prairies (5,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,6 %)[9]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement

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Le tableau ci-dessous présente une comparaison de quelques indicateurs chiffrés du logement pour Noyal-Châtillon-sur-Seiche et l'ensemble de l'Ille-et-Vilaine en 2017[I 6],[I 7].

Le logement à Noyal-Châtillon-sur-Seiche en 2017
Noyal-Châtillon-sur-Seiche Ille-et-Vilaine
Parc immobilier total (en nombre d'habitations) 3 195 546 440
Part des résidences principales (en %) 93,4 86,2
Part des résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,0 6,9
Part des logements vacants (en %) 5,6 6,9
Part des ménages propriétaires de leur logement (en %) 62,5 59,8

Morphologie urbaine

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Noyal-Châtillon-sur-Seiche dispose d'un plan local d'urbanisme intercommunal approuvé par délibération du conseil métropolitain du 19 décembre 2019[10]. Il divise l'espace des 43 communes de Rennes Métropole en zones urbaines, agricoles ou naturelles.

Toponymie

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Extrait de la Tabula ducatus britanniae gallis, où l’on peut lire « Noyal ». Le symbole utilisé signifie pagi (bourgs).

Le nom de la localité est attesté sous les formes Nulliacus en 1050[11], Noial en 1174, Noyallum super Siccam en 1516[12].

Noyal est un toponyme d'origine gauloise dérivé de l’étymon nouioialon, désignant une terre nouvellement défrichée[13]. Les lieux nommés Châtillon tirent généralement leur origine d’une fortification du Moyen Âge (castellum) : il est probable qu’une ancienne forteresse couronnait la motte sur laquelle est construite l’église Saint-Léonard.

En gallo, Noyal s’écrit Nouyall ou Noyall et Châtillon-sur-Seiche s’écrit Châtiyon (écriture MOGA)[14]. Noyal-Châtillon-sur-Seiche s’écrit Nóyau-Chastilhon[15].

La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Noal-Kastellan[16].

Histoire des deux paroisses et communes (avant leur fusion)

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Noyal-sur-Seiche

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Église Saint-Martin - ancienne église paroissiale de Noyal-sur-Seiche.

L'existence de Noyal-sur-Seiche semble remonter au XIe siècle car un seigneur nommé Geoffroy, fils de Salomon, construisit vers 1050 un château dans un lieu nommé Nulliacus et qui paraît être Noyal-sur-Seiche. Ce château qui est peut-être celui de Brécé, ne fut bâti qu’avec l'autorisation de l'abbesse de Saint-Georges dont l'abbaye possédait des terres sur la commune et avait un droit de Tonlieu, c'est-à-dire de prélever une taxe sur le transport des marchandises par bateau.

En 1697 le seigneur protecteur de la paroisse était messire Charles Marie Le Meneust, sire de Bréquigny.

Au XVe siècle se trouvait sur le côté nord du chœur de l'église, la pierre tombale des sieurs de Brécé ; celle des seigneurs de Lancé se voyait sur le côté nord de la nef et celle de ceux du Chênet, vis-à-vis du maître autel. En 1667 fut inhumée Marguerite Gouicquet, fille de Jean Gouicquet seigneur de Lancé.

Le cimetière de Noyal se situait autour de l'église. En 1878 la municipalité s'inquiète de son exiguïté, en raison de la construction des chapelles latérales de l'église. Dix ans plus tard rien n'a changé, un projet en cours depuis 1871 a été à maintes reprises modifié puis abandonné. En 1889, la commune reçoit de la famille de Vaujuas le don providentiel d'un terrain qui permet l'agrandissement du cimetière vers le nord à peu de frais. Les premières inhumations sur le nouveau terrain n'eurent vraisemblablement pas lieu avant 1892, soit plus de 14 ans après le lancement du projet !

Châtillon-sur-Seiche

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Église Saint-Léonard - ancienne église paroissiale de Châtillon-sur-Seiche.

L'église Saint-Léonard, de Châtillon dépendait de l’abbaye de Saint-Melaine. Les moines en étaient curés primitifs. En 1158 Josse, évêque de Tours, confirme la donation de l’église de Châtillon aux bénédictins de Saint-Melaine. La paroisse ayant obtenu une certaine prospérité, les moines obtinrent en 1332 de Jean III, duc de Bretagne une foire annuelle à Châtillon-sur-Seiche le (Cette date correspond à celle d’un pèlerinage à Saint-Léonard qui semble avoir remplacé un pèlerinage ancien à une relique de la Vraie Croix). Un peu plus tard, le duc Jean IV accorda à l'abbaye de Saint-Melaine, le 30 septembre 1380, « un marché par chacune sepmaine, au jour de mardy, en leur bourg de Chasteillon-sur-Seiche »[17].

À cette époque, autour du prospère et animé bourg de Châtillon-Sur-Seiche qui borde l'église Saint-Léonard, on dénombrait 3 manoirs nobles dans la paroisse (la Lande, Lancé et la Josselinais).

La foire du vieux bourg eut lieu plusieurs siècles et prit fin à la Révolution française.

1793 -1794 Pendant la Terreur (révolution française), le vicaire de la paroisse de Châtillon, Julien Gauthier fut caché sur le territoire de la commune par les paysans du lieu. Il disait la messe, baptisait, confessait de nuit et lors d'une de ses sorties nocturnes, il tomba sur une patrouille de soldats révolutionnaires. Arrêté, il s'échappa grâce au chef des soldats qui le laissa partir et ne donna l'ordre de tirer que lorsqu'il se trouva hors de portée.

Trois paysans de Châtillon-sur-Seiche appelés Baratte, Bazin et Logeais cachèrent tour à tour chez eux un prêtre nommé Crosson qu'ils désignaient par le nom de code de « tonton ». Une lettre qui lui était destinée tomba dans les mains d'un partisan du gouvernement, qui le dénonça. Le prêtre fut traîné par les cheveux jusqu'au pré voisin et fusillé.

Les Châtillonnais Baratte, Bazin et Logeais qui le cachaient furent arrêtés, conduits à Rennes pour y être enfermés. Baratte y mourut, la fin de la Terreur sauva les deux autres.

Le prêtre fusillé fut remplacé par un autre qui se cacha dans une excavation sur les bords de la Seiche. L'ayant aussi découvert, les « Bleus » le fusillèrent au lieu-dit les Prés Pruneaux.

Un dernier prêtre vint sur le territoire de la commune à la demande des paysans ; il se cachait dans une ferme de la commune de Bruz. Au bout de plusieurs années, il fut tué dans le bois de Chancor, alors qu'il disait la messe[18].

 
Le vieux bourg de Châtillon-sur-Seiche.

En 1803, la paroisse fut supprimée et son territoire fut uni à celle de Noyal-sur-Seiche. Mais en 1814, l'évêque de Rennes nomma à Châtillon-sur-Seiche un prêtre auquel il donna les pouvoirs de recteur et en 1820 une ordonnance royale érigea Châtillon-sur-Seiche en succursale et redevint indépendante de Noyal.

Elle conserve sous le chœur une crypte du haut Moyen Âge. De la période romane subsistent le chœur et une partie de la nef. Cette dernière ayant été agrandie au XVe ou XVIe siècle. La sacristie date peut-être du XVIIIe siècle. Le clocher-porche est une construction de l'architecte Béziers-Lafosse, projeté en 1869 il fut réalisé en 1880 (date portée). L'ensemble de l'édifice a été récemment remanié, ce qui rend difficile sa lecture archéologique[19].

Châtillon-sur-Seiche était renommée pour ces cerises qui y « sont exquises et mûrissent plus tôt qu'ailleurs » (Adolphe Orain).

Histoire des deux communes fusionnées

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Antiquité

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Le territoire de la commune est assez riche en menhirs et dolmens de l'âge de pierre.

Des objets de l’âge du bronze ont même été trouvés dans le sol tels les taureaux visibles au musée de Bretagne[20] (qui semblent dater de cette époque).

La peuple celte qui peuplait ce territoire est celle des Riedones dont Condate Riedonum était la capitale (situé à l'emplacement de l'actuelle Rennes).

En 1983 la commune de Châtillon-sur-Seiche projette la construction d’un lotissement à la Guyomerais, des sondages sont effectués permettant de déterminer l’existence d’un site d’une grande densité de structures. Suivront trois années de fouilles du au sur un chantier de quatre hectares. Ces fouilles ont permis de retracer l’évolution sur quatre siècles, d’un domaine rural gallo-romain : de la modeste ferme du début de notre ère au palais campagnard du IIIe siècle. Le microtoponyme médiéval ou plus tardif la Ville-Rouge se situait à la Guyomerais , d'où le nom donné à la villa découverte : Villa de la Guyomerais. En gallo-roman VILLA signifie « grand domaine rural », puis « village » à l'époque médiévale, rouge qualifie peut-être la terre de la région qui était utilisée dans l’artisanat de la poterie depuis la plus haute antiquité.

Période féodale

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Les seigneurs de cette époque avaient le droit plus ou moins total de rendre la justice sur leurs terres. Pour les condamnations à mort, des fourches patibulaires étaient dressées. Les seigneurs de Lancé, Brécé et de Launay-Bruslon avaient le droit de condamner à la pendaison. À Brécé, se dressaient des fourches patibulaires à trois piliers. Pour des peines de moindre importance, l’abbaye de Saint-Melaine avait un droit de cep et de collier (poteau qui servait à attacher les coupables) dans le bourg de Châtillon.

XIXe siècle

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Les principaux changements pour les communes pendant cette période furent opérés sur la voirie, qui était alors en fort mauvais état. Quelques routes ont été créées : 1852 de la Noé d’Etole à Thorigné en Rennes, 1854 Pont du vivier sur l’Isle en Saint-Erblon ; 1868 route de Bézalais.

Le service national des télégraphes, sur ordonnance de Louis-Philippe, créa en 1832 une ligne selon le système Chappe, d’Avranches à Nantes. Le choix de la flèche du vieux clocher de Noyal eut lieu la même année. Son poste de guet communiquait au nord avec l’église Saint-Sauveur de Rennes et au sud avec une tour construite à Bout de Lande en Orgères. En 1832, le projet fut contesté : le clocher datant de 1701 était en si mauvais état qu’on n’osait même plus sonner la cloche. En 1835, on décida de construire une nouvelle tour qui fut achevée en 1841 mais le télégraphe n’y vint jamais.

Le XXe siècle

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La Belle Époque

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Une ligne de tramway des TIV (Transports d'Ille-et-Vilaine) allant de Rennes au Grand-Fougeray en passant par Chartres, Noyal-sur-Seiche, Pont-Péan, Orgères, Chanteloup, Le Sel, Saulnières, Pancé, Bain et La Dominelais fut construite à partir de 1909[21] ; mise en service en 1910, la ligne était longue de 64 km ; elle ferma en 1937 ; les tramways y circulaient à environ 25 km/h[22].

De nos jours (depuis la création de la nouvelle commune fusionnée)

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La commune de Noyal-Châtillon-sur-Seiche a été créée le , par fusion simple des anciennes communes de Noyal-sur-Seiche et Châtillon-sur-Seiche. La nouvelle commune a établi son chef-lieu sur le territoire de l'ancienne commune de Noyal-sur-Seiche[23].

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Circonscriptions de rattachement

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Depuis la création de la commune, Noyal-Châtillon-sur-Seiche appartient à l'arrondissement de Rennes et au canton de Bruz. Avant 1993, Châtillon et Noyal-sur-Seiche ont appartenu aux cantons suivants : Rennes-Sud-Ouest (1833-1973), Rennes-VIII (1973-1982) et Bruz (1982-1993).

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la première circonscription d'Ille-et-Vilaine, représentée depuis par Frédéric Mathieu (LFI-NUPES). Auparavant, elle était rattachée à la 4e circonscription (Redon). Sous la IIIe République, les deux anciennes communes appartenaient à la deuxième circonscription de Rennes et de 1958 à 1986 à la 2e circonscription (Rennes-Sud).

Intercommunalité

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Châtillon et Noyal-sur-Seiche ont fait partie des 27 communes fondatrices du District urbain de l'agglomération rennaise, intercommunalité créée le et devenue Rennes Métropole le .

Noyal-Châtillon-sur-Seiche fait aussi partie du Pays de Rennes.

Institutions judiciaires

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Sur le plan des institutions judiciaires, la commune relève du tribunal judiciaire (qui a remplacé le tribunal d'instance et le tribunal de grande instance le 1er janvier 2020), du tribunal pour enfants, du conseil de prud’hommes, du tribunal de commerce, de la cour d’appel et du tribunal administratif de Rennes et de la cour administrative d'appel de Nantes.

Administration municipale

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Le nombre d'habitants au dernier recensement étant compris entre 5 000 et 9 999, le nombre de membres du conseil municipal est de 29[24].

Conseil municipal actuel

Les 29 sièges composant le conseil municipal ont été pourvus le lors du premier tour de scrutin. Actuellement, il est réparti comme suit :

Groupe Effectif Statut
« Construisons un nouveau projet pour Noyal-Châtillon-sur-Seiche » (DVG-PS-PCF) 24 majorité[25]
« Noyal-Châtillon mobilisée pour l'avenir » (DVD-UDI) 5 opposition[26]
 

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires successifs depuis la création de la commune
Période Identité Étiquette Qualité
janvier 1993 juin 1995 Jean-Jacques Heuzé DVG Entrepreneur
Président du SIVOM de Châtillon-Noyal (1992 → 1993)
juin 1995 mars 2001 Franck Trouilloud PS Ancien collaborateur de cabinet ministériel
mars 2001 mars 2008 Gilles de Bel-Air DVD Maraîcher
mars 2008 mars 2014 Sylvie Epaud PS Mère au foyer (ancien chirurgien-dentiste)
mars 2014 mai 2020 Gilles de Bel-Air[27] DVD Maraîcher
mai 2020 En cours Sébastien Guéret DVG Directeur pôle éducation et culture
Conseiller départemental du canton de Bruz (2021 → )
Conseiller métropolitain délégué à l’économie sociale et solidaire (2020 → )
Liste des maires successifs de Châtillon-sur-Seiche
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1808 avril 1813 Jacques Veillard    
Les données manquantes sont à compléter.
1896 1901 Jean-Marie Libiot    
1901 1919 Jules Hux   Chevalier du Mérite agricole
1919 1925 Alexandre Quatreboeufs    
1925 1945 Ange Chevet[28] SFIO Ancien combattant 14-18
Officier d'académie
1945 1962 Pierre Croc père MRP  
1962 mars 1989 Pierre Croc fils[29]   Artisan carrossier, maire honoraire
Président du SIVOM de Châtillon-Noyal
mars 1989 décembre 1992 Jean-Jacques Heuzé DVG Entrepreneur
Président du SIVOM de Châtillon-Noyal (1992 → 1993)
Les données manquantes sont à compléter.
Liste des maires successifs de Noyal-sur-Seiche
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1792 Jean Even    
1792 1800 Pierre Gauchard    
1800 1803 Jean Georges Bourtoureau    
1803 1830 Julien René Mainguené    
1830 1830 Pierre René Petit    
Les données manquantes sont à compléter.
1866 1871 Pierre Jean Marie Judeaux    
1871 1888 Félix Denis    
1888 1898 Alexandre Pierre Joseph Pichard    
1898 1900 Henri Porteu de la Morandière   Garde général des Eaux et Forêts
1900 1902 François Texier    
1902 mai 1908 Pierre Texier    
mai 1908 mai 1929 Félicien Jean Marie Texier Républicain  
mai 1929 1956 François Chapin Rad ind Exploitant agricole
1956 1964 Pierre Roussard   Cultivateur
1964 1971
(décès)
Armel Gatel    
février 1972 mars 1989 Louis Texier   Agriculteur, maire honoraire (1989)
mars 1989 décembre 1992 Claude David   Président du SIVOM de Châtillon-Noyal (1989 → 1992)
Premier adjoint (1993 → 1995)
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelages

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Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[31].

En 2021, la commune comptait 7 631 habitants[Note 4], en évolution de +10,42 % par rapport à 2015 (Ille-et-Vilaine : +5,32 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3391 1281 4031 2663 3941 2151 2451 2241 208
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 1721 1841 1471 1161 1081 0561 0291 004957
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
893873834741721696726789853
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
9211 0261 3381 4032 0905 6355 7975 8226 688
2017 2021 - - - - - - -
6 9197 631-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 36,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (38,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 23,7 % la même année, alors qu'il est de 23,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 3 346 hommes pour 3 539 femmes, soit un taux de 51,4 % de femmes, légèrement supérieur au taux départemental (51,18 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,2 
5,5 
75-89 ans
7,1 
16,0 
60-74 ans
17,2 
22,3 
45-59 ans
22,4 
18,1 
30-44 ans
17,5 
19,6 
15-29 ans
17,9 
18,0 
0-14 ans
16,7 
Pyramide des âges du département d'Ille-et-Vilaine en 2021 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
1,8 
6,3 
75-89 ans
8,7 
14,5 
60-74 ans
15,6 
19,6 
45-59 ans
18,8 
19,5 
30-44 ans
18,7 
20,2 
15-29 ans
19 
19,1 
0-14 ans
17,4 

Culture locale et patrimoine

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Noyal-Châtillon-sur-Seiche au début du XXe siècle

Monuments

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église Saint-Léonard.

Église paroissiale actuellement Saint-Léonard, Saint-Mélaine initialement[36]. Crypte du Haut Moyen Âge sous le chœur. Le chœur et une partie de la nef sont romans. Cette dernière a été agrandie au XVe siècle ou XVIe siècle. Le porche a été édifié en 1880.

La commune compte trois monuments historiques :

  • la croix à l'emplacement de l'ancien cimetière paroissial de Noyal, située à côté de l'église Saint-Martin, date du XVIe siècle. Sculptée dans le granit, une Vierge porte l'Enfant Jésus dans ses bras. Sur le socle sept singes grimpent les uns sur les autres : ces singes pourraient symboliser les sept péchés capitaux. Elle a été classée par arrêté du [37],[38].
  • l'église Saint-Léonard de Châtillon-sur-Seiche, inscrite monument historique par arrêté du 11 août 2022[39].
  • le manoir de Mouillemuse, domaine situé à l'est du bourg, inscrit depuis le [40],[41],[42].

Personnalités liées à la commune

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  • Frédéric Benoist[43],[44], né le à Châtillon-sur-Seiche, clerc de notaire chez maître Meslin, notaire à Guignen. Il a été arrêté le à Guignen lors d'une rafle. Incarcéré au camp Margueritte, il est déporté lors du dernier convoi du vers Belfort, puis transféré le vers Neuengamme (matricule 43917). Il décède à Neuengamme, kommando de Whilhemshaven.
  • Blachère Alphonse Lucien, né en 1964 à Chatillon/S. Capitaine en 2e au 27 régiment d'artillerie. Chevalier de la Légion d'honneur. Décret du 10/7/1907[45].
  • Douabin François Joseph, né le à Châtillon/S. Officier d'administration de 2e classe au parc d'artillerie régional de Dijon. Chevalier de la Légion d'honneur. Décret du 25/1/1926[46].
  • Stéphane Heulot, champion de France de cyclisme sur route, 1996.
  • Lucas Léon, né le à Châtillon/S, capitaine au 65e RI. Chevalier de la Légion d'honneur. Décret du 11/7/1896[47].
  • Martin Auguste Marie, né le à Noyal-sur-Seiche. Ancien soldat du 117 RI. Mutilé à 100 %. Chevalier de la Légion d'honneur. Décret du 21/6/1954[48].
  • Monchatre René Eugène Louis, né le à Noyal-sur-Seiche. Capitaine d'infanterie territorial. Chevalier de la Légion d'honneur. Décret du 5/1/1918[49].
  • Porteu de la Morandière Edmond Marie Gaëtan, né le à Noyal-sur-Seiche. Chevalier de la Légion d'honneur[50].
  • Porteu de la Morandière Emmanuel Gaëtan Marie, né le à Noyal-sur-Seiche. Médecin capitaine. Chevalier de la Légion d'honneur. Décret du 19/1/1952[51].

Héraldique

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Les armes de Noyal-Châtillon-sur-Seiche se blasonnent ainsi :

De gueules à deux taureaux effarouchés affrontés de sable, accornés et onglés d’or, soutenant une crosse du même, à laquelle ils sont liés au col par une chaîne aussi d’or.

Notes et références

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  1. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  2. « Unité urbaine 2020 de Rennes », sur insee.fr (consulté le ).
  3. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Noyal-Châtillon-sur-Seiche ».
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Rennes », sur insee.fr (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. « Chiffres clés - Logement en 2017 à Noyal-Châtillon-sur-Seiche » (consulté le ).
  7. « Chiffres clés - Logement en 2017 en Ille-et-Vilaine » (consulté le ).
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Rennes, il y a une ville-centre et 15 communes de banlieue.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
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  6. « Station Météo-France « Rennes-Saint-Jacques » (commune de Saint-Jacques-de-la-Lande) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  10. Un Plan local d'urbanisme intercommunal (PLUi) pour 43 communes, sur metropole.rennes.fr
  11. Paul de La Bigne Villeneuve, Cartulaire de l'abbaye de Saint-Georges de Rennes, Rennes, Imprimerie de Ch. Chatel, , 540 p. (lire en ligne), p. 497.
  12. Amédée Guillotin de Corson, Pouillé historique de l'archevêché de Rennes, Rennes-Paris, Fougeray-Haton, 1880-1886 (lire en ligne), Vol. 5, p. 361.
  13. Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, Le Relecq-Kerhuon, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620, lire en ligne), p. 486-488
  14. Noms de lieudits et de personnes à Rennes (35), Bèrtran Ôbrée et Mathieu Guitton, Chubri, p. 16.
  15. « Fiche descriptive de la ville de Noyal-Châtillon-sur-Seiche », sur Geobreizh (consulté le ).
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  23. « Arrêté préfectoral du 1er décembre 1992 portant modification aux circonscriptions administratives territoriales », Journal Officiel de la République Française, (consulté le ) : fusion le 1er janvier 1993 des anciennes communes de Noyal-sur-Seiche et Châtillon-sur-Seiche.
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  27. « Salle comble pour le conseil municipal d'installation », Ouest-France,‎ (lire en ligne).
  28. « Un espace Ange-Chevet, ancien maire  », Ouest-France, (archives du journal)
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  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Noyal-Châtillon-sur-Seiche (35206) », (consulté le ).
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  38. Le Département d'Ille-et-Vilaine. Histoire-archéologie-monuments. Paul Banéat. P. 512
  39. Notice no PA35000091, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  40. Notice no PA35000070, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Notice no IA00008020, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. Notice no IA35047477, sur Gertrude, base du service de l’Inventaire du patrimoine de la région Bretagne..
  43. http://memoiredeguerre.free.fr/biogr/benoit.htm
  44. Frédéric Benoist sur Wiki-Rennes.
  45. « Cote LH/247/28 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  46. « Cote 19800035/13/1595 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  47. « Cote LH/1672/21 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  48. « Cote 19800035/958/11238 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  49. « Cote 19800035/391/52368 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  50. « Cote 19800035/772/87469 », base Léonore, ministère français de la Culture.
  51. « Cote 19800035/337/45336 », base Léonore, ministère français de la Culture.

Voir aussi

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Article connexe

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Liens externes

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