Montboucher-sur-Jabron
Montboucher-sur-Jabron est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Montboucher-sur-Jabron | |||||
Usine saint Joseph vers 1910 | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Montélimar-Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Bruno Almoric 2020-2026 |
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Code postal | 26740 | ||||
Code commune | 26191 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Montboucherois, Montboucheroises | ||||
Population municipale |
2 507 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 256 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 33′ 20″ nord, 4° 48′ 33″ est | ||||
Altitude | Min. 96 m Max. 170 m |
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Superficie | 9,8 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Montélimar (banlieue) |
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Aire d'attraction | Montélimar (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Montélimar-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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modifier |
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune est située à 5 km à l'est de Montélimar.
Sauzet Montélimar |
Sauzet | Sauzet | ||
Montélimar | N | La Bâtie-Rolland | ||
O Montboucher-sur-Jabron E | ||||
S | ||||
Montélimar | Espeluche | Puygiron |
Relief et géologie
modifierHydrographie
modifierLa commune est arrosée par :
- le Jabron qui sert de limite sud avec la commune d'Espeluche,
- le Vermenon, affluent du Jabron,
- le Manson.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 881 mm, avec 6,7 jours de précipitations en janvier et 4 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 915,0 mm[3],[4]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[5].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1,2 | 1,3 | 3,9 | 6,4 | 10,2 | 13,7 | 15,8 | 15,5 | 12,3 | 9,3 | 4,9 | 2 | 8 |
Température moyenne (°C) | 5,1 | 6 | 9,7 | 12,5 | 16,5 | 20,6 | 23 | 22,7 | 18,6 | 14,3 | 9 | 5,7 | 13,6 |
Température maximale moyenne (°C) | 8,9 | 10,7 | 15,4 | 18,7 | 22,9 | 27,4 | 30,2 | 29,8 | 24,8 | 19,3 | 13 | 9,3 | 19,2 |
Record de froid (°C) date du record |
−14,5 07.01.1985 |
−11,5 18.02.1983 |
−12 02.03.05 |
−3,4 08.04.21 |
0,2 05.05.1991 |
3 04.06.1984 |
7,6 12.07.1993 |
4 30.08.1986 |
2,8 25.09.1990 |
−2,6 26.10.03 |
−6,5 28.11.05 |
−8,7 20.12.07 |
−14,5 1985 |
Record de chaleur (°C) date du record |
20,6 10.01.15 |
22,6 24.02.20 |
27,1 18.03.1997 |
29,4 25.04.18 |
33,3 30.05.01 |
40,5 27.06.19 |
40 24.07.19 |
41,9 13.08.03 |
35,4 03.09.05 |
29,9 01.10.11 |
23,9 12.11.1995 |
19,6 18.12.1989 |
41,9 2003 |
Précipitations (mm) | 69,8 | 45 | 50,5 | 73,9 | 75,3 | 59,1 | 54,1 | 59,8 | 108,7 | 129 | 130,8 | 59 | 915 |
Voies de communication et transports
modifierUrbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Montboucher-sur-Jabron est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[6]. Elle appartient à l'unité urbaine de Montélimar, une agglomération inter-départementale dont elle est une commune de la banlieue[7],[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (79,6 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (85,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (61,3 %), zones agricoles hétérogènes (18,3 %), zones urbanisées (8,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (5,2 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %), forêts (3,1 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
modifierHameaux et lieux-dits
modifierLogement
modifierProjets d'aménagement
modifierLa commune connait une expansion urbaine conséquente. Cette expansion se fait sur des terres arables constituant une artificialisation rapide des sols, ayant pour conséquence un recul de la biodiversité et de la biomasse[12]. La commune fait d'ailleurs partie des communes françaises consommant le plus d’espaces, dépassant la moyenne de 20 hectares[13] en 10 ans avec un cumul de 22,2 hectares bétonnés entre 2010 et 2020[14].
Cette artificialisation concerne avant tout une expansion des lotissements et habitats individuels concernant 18,6 hectares toujours sur cette période.
Risques naturels et technologiques
modifierToponymie
modifierAttestations
modifier- 1237 : Mons Bocheri (de Coston, Étymologies de la Drôme, 35)[15].
- 1280 : de Montebocherio (cartulaire de Montélimar, 53)[15].
- 1336 : castrum de Monte Bocherio (cartulaire de Montélimar, 101)[15].
- XIVe siècle : mention de la paroisse : capella Montis Bocheriis (pouillé de Valence)[15].
- 1380 : Montem Bocharium (Columbi, De reb. gest. episc. Valent. et Diens., 44)[15].
- 1391 : Montboyssier (choix de docum., 214)[15].
- 1509 : mention de l'église paroissiale Saint-Blaise : ecclesia parrochialis Sancti Blasii Montis Bocherii (visites épiscopales)[15].
- 1529 : Montbochier (archives de la Drôme, E 6764)[15].
- 1793 : Montbouchet[16].
- 1891 : Montboucher, commune du canton de Montélimar[15].
- 1920 : Montboucher-sur-Jabron[16].
Étymologie
modifierMons Bocheri signifie le « Mont du bois »[17].
Histoire
modifierAntiquité : les Gallo-romains
modifierOrigine gallo-romaine : tombes[17].
Du Moyen Âge à la Révolution
modifierLes maisons du VIe-VIIe siècle
modifierDes fouilles préventives sur le tracé de la ligne du TGV Méditerranée se sont déroulées en 1996. Elles ont permis la découverte de deux maisons du haut Moyen Âge à la limite de la commune de Montboucher-sur-Jabron. Ces fouilles ont été faites sur la rive gauche du Vermenon, au lieu-dit Constantin, par une équipe sous la direction de Michel Goy et Isabelle Rémy. Elles concernaient une superficie de 3 000 m²[18].
L'ensemble médiéval comprenait un bâtiment datable du VIe-VIIe siècle, construit en murs de terre sur solins de pierre et un bâtiment du IXe siècle détruit par un incendie. Le feu, par carbonisation, a préservé de nombreux éléments dont la datation a pu être possible grâce à l'étude de la vaisselle et par la méthode du C14 sur le bois. Cette chaumière fut habitée entre 1024 et 1060[18].
Édifiée sur une terrasse graveleuse dominant la rivière, cette maison se situait alors aux confins des seigneuries de Montboucher et de La Bâtie-Rolland. Elle possédait un terroir fertile grâce au limon déposé par les crues du Vermenon et se situait sur un axe important de communication de la Valdaine nommé alors Gontardin ou Costardin qui a évolué en Constantin[18].
Elle couvrait une superficie d'environ 30 m2 et sa structure était constituée de poteaux en bois de chêne assemblés à l'aide de chevilles. Ses parois étaient en torchis réalisé par un mélange de terre, de végétaux et de tessons de poterie d'une épaisseur de 10 cm[19].
L'intérieur était peint à la chaux et le foyer installé sur une sole constituée d'une pierre calcaire de 80x35 cm et d'une épaisseur de 45 centimètres. Elle possédait un plancher clouté sur un châssis de solives qui formait un vide sanitaire. Le toit qui la recouvrait était constitué de végétaux provenant des roselières de la rivière[19].
Le mobilier découvert suffisait à une seule famille vivant isolée pratiquant l'agriculture et défrichant sa terre. Il était constitué de vaisselle de terre, d'outillage et d'un coffre de bois. Ce dernier avait été fait avec de l'orme et contenait la réserve de céréales. Pour l'outillage, outre un certain nombre d'outils pour travailler le bois, il y avait une lame de couteau mesurant 20 centimètres, des ferrures de porte, un morceau de clef et des clous de fer à cheval, à tête carrée, qui avaient servi à clouter le plancher[20].
La seigneurie
modifierAu point de vue féodal, Montboucher était une terre des comtes de Valentinois[15] :
- 1283 : elle est inféodée aux Adhémar.
- 1405 : acquise par les Mévouillon.
- Recouvrée par les Adhémar.
- 1511 : vendue aux Odoard.
- 1576 : vendue aux Lévis-Ventadour.
- 1595 : cédée aux Bezanger (ou Besangier).
- 1658 : passe aux Vesc.
- 1754 : passe (par héritage) aux Tulle, derniers seigneurs.
1734 (démographie) : 71 familles[15].
Avant 1790, Montboucher était une communauté de l'élection subdélégation et sénéchaussée de Montélimar.
Elle formait une paroisse du diocèse de Valence dont l'église, dédiée à Notre-Dame, et auparavant à saint Blaise, dépendait du prieur de Saint-Marcel-lès-Sauzet, qui y prenait la dîme et présentait à la cure[15].
De la Révolution à nos jours
modifierEn 1790, la commune est comprise dans le canton de Sauzet. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) la place dans le canton de Montélimar[15].
1799 (démographie) : 405 habitants[15].
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierAdministration municipale
modifierListe des maires
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierPolitique environnementale
modifierFinances locales
modifierJumelages
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[24]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[25].
En 2021, la commune comptait 2 507 habitants[Note 2], en évolution de +10,93 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Services et équipements
modifierEnseignement
modifierLa commune de Montboucher-sur-Jabron fait partie de l'Académie de Grenoble. Les élèves débutent leur scolarité dans l'école primaire Hubert Reeves du village[27].
Santé
modifierManifestations culturelles et festivités
modifierFête : premier dimanche de septembre[17].
Loisirs
modifierSanté
modifierSports
modifierMédias
modifierCultes
modifier- Culte catholique : église Saint-Martin[28].
Économie
modifierEn 1992 : céréales, vergers, vignes, porcins, ovins, bovins[17].
La commune de Montboucher-sur-Jabron fait partie de la zone d'appellation de plusieurs produits agricoles :
Tourisme
modifierRevenus de la population et fiscalité
modifierEmploi
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Château-village : il a été dévasté en 1789 puis restauré. Il reste deux tours tronquées sur quatre, et des vestiges de l'enceinte[17].
- Restes de logis et enceinte flanquée de tours rondes remaniées au XXe siècle[réf. nécessaire].
- Tour surmontée d'un beffroi (clocher de la vieille église du XIIe siècle) : fresques, Vierge à l'Enfant (XIXe siècle)[17].
- Le Monard, maison forte médiévale remaniée aux XIe et XVIIe siècles[réf. nécessaire].
- Église Saint-Martin de Montboucher-sur-Jabron, pseudo-romane (XIXe siècle)[17].
Patrimoine culturel
modifier- Musée de la Soie[17].
Patrimoine naturel
modifierPersonnalités liées à la commune
modifier- François Clerc, l'arroseur arrosé dans le film homonyme des frères Lumière.
- Francis Marroux (1915-1987), né et inhumé à Montboucher : chauffeur attitré du général de Gaulle, le conduisant lors des attentats de Pont-sur-Seine et du Petit-Clamart.
Héraldique, logotype et devise
modifierMontboucher-sur-Jabron possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
modifierBibliographie
modifier- Collectif, Archéologie sur toute la ligne. Les fouilles du TGV Méditerranée dans la moyenne vallée du Rhône, Éd. Le Musée de Valence/Semgy, Éditions d'Art, 2001, (ISBN 285056513X).
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Site officiel
- Montboucher-sur-Jabron sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2011.
- Ressources relatives à la géographie :
- Association des maires de la Drôme (note : cette référence est insuffisante car elle ne donne que les derniers résultats, remis à jour à chaque nouvelle élection municipale)
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Montboucher-S-Jabron » - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Montboucher-S-Jabron » - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Montélimar », sur insee.fr (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montélimar », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- https://www.ecologie.gouv.fr/sites/default/files/Les%20enjeux%20de%20l%E2%80%99artificialisation%20des%20sols.pdf.
- « La consommation d’espaces et ses déterminants d’après les Fichiers fonciers de la DGFiP : Etat des lieux au 1er janvier 2016 », sur Cerema (consulté le ).
- https://archive.wikiwix.com/cache/19981130000000/https://sparte.beta.gouv.fr/project/7536/tableau-de-bord/consommation.
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 224.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Montboucher-sur-Jabron.
- Michel Goy et Isabelle Rémy, Archéologie sur toute la ligne, p. 130.
- Michel Goy et Isabelle Rémy, Archéologie sur toute la ligne, p. 131.
- Michel Goy et Isabelle Rémy, Archéologie sur toute la ligne, pp. 132-133.
- « En 1841, Henri Lacroix épouse sous le système dotal Clothilde Thibaud, fille d'un juge de paix de Bagnols. Les affaires sont florissantes et l'année 1843 marquera la reconnaissance vouée à monsieur Lacroix. Il est nommé maire de Montboucher » [1]
- Notice GOURTOVOY Édouard, Georges par Gilles Morin, version mise en ligne le 14 juillet 2010, dernière modification le 14 juillet 2010
- http://www.mairesdeladrome.fr/annuaire/
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- école primaire du village
- église de Montboucher-sur-Jabron