Espeluche
Espeluche est une commune française située dans le département de la Drôme, en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Espeluche | |||||
Église d'Espeluche. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Nyons | ||||
Intercommunalité | Montélimar-Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Marie-Pierre Piallat 2020-2026 |
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Code postal | 26780 | ||||
Code commune | 26121 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Espeluchois, Espeluchoises | ||||
Population municipale |
1 137 hab. (2022 ) | ||||
Densité | 100 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 31′ 01″ nord, 4° 49′ 26″ est | ||||
Altitude | Min. 106 m Max. 425 m |
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Superficie | 11,33 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Montélimar (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Montélimar-2 | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | espeluche.fr | ||||
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Géographie
modifierLocalisation
modifierEspeluche est située à 8 km au sud-est de Montélimar.
Communes limitrophes
modifierGéologie et relief
modifierHydrographie
modifierLa commune est arrosée par le ruisseau de Citelles[1].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 902 mm, avec 6,6 jours de précipitations en janvier et 4 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Montboucher-S-Jabron »sur la commune de Montboucher-sur-Jabron à 5 km à vol d'oiseau[4], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 915,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Voies de communication et transports
modifierRéseau routier
modifierLe village est accessible par la route départementale RD 4, depuis Montélimar ou Rochefort-en-Valdaine, ainsi que par la RD 126 depuis Allan ou Puygiron. L'autoroute A7 traverse la commune dans sa partie ouest. La sortie la plus proche est la sortie 18.
Réseau ferroviaire
modifierLa LGV Méditerranée traverse la commune, dans le sens nord-sud, à l'ouest de son territoire, mais la commune ne dispose d'aucune gare sur cette ligne. La gare la plus proche est celle de Montélimar.
Transports en commun
modifierPlusieurs lignes régulières de bus desservent Espeluche[8] :
- Châteauneuf-du-Rhône - Montélimar ;
- Rochefort-en-Valdaine - Espeluche - Allan - Montboucher-sur-Jabron - Montélimar ;
- La Bâtie-Rolland - Portes-en-Valdaine - La Touche - Rochefort en Valdaine - Puygiron - Montélimar ;
- Les Tourrettes - La Coucourde - Savasse - Montélimar ;
- Ancône - Savasse - Montélimar.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Espeluche est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montélimar, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[10]. Cette aire, qui regroupe 45 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (53,8 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (55,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (41 %), zones agricoles hétérogènes (40,5 %), terres arables (9,9 %), zones urbanisées (3,5 %), prairies (3,3 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
modifierToponymie
modifierAttestations
modifierDictionnaire topographique du département de la Drôme[14] :
- 1327 : Espelucha (cartulaire de Montélimar, 41).
- 1362 : Espeluchia (Inventaire des dauphins, 95).
- 1447 : Speluchia (ann. d'Aiguebelle, E 556).
- 1455 : Dominus Speluchie (Guy Pape, qu., 95).
- 1481 : Spelachie (Lacroix : L'arrondissement de Montélimar, III, 373).
- 1485 : Expeluchium (archives de la Drôme, E 5924).
- 1540 : Speluchiam (Aymar du Rivail : De Allobbrog., 116).
- 1626 : mention de la chapelle Notre-Dame : Ecclesia Beatae Mariae de Spelluchia (pouillé gén., 94).
- 1891 : Espeluche, commune du canton de Montélimar.
Étymologie
modifierDe l'occitan espelonca, espeluca en Cévennes-Vivarais, du latin spelunca, « caverne, grotte, cavité à large entrée » (du grec)[réf. nécessaire].
Histoire
modifierPréhistoire
modifierLes fouilles faites lors de la construction du TGV Méditerranée ont permis d'étudier sur le site de Lalo, à Espeluche, une des premières implantations néolithiques dans la moyenne vallée du Rhône. Les fouilles, dirigée par Alain Beeching, ont eu lieu dans la partie méridionale de la Valdaine, au confluent du Jabron et de la Citelle, au pied d'une colline orientée plein sud[15].
Ce site, daté entre 5600 et 5000 avant notre ère, a permis de dégager des fosses, des foyers en cuvette et des chenaux aménagés pour la circulation de l'eau. Il comportait deux cabanes de plan ovalaire, où ont été retrouvés des objets en céramique et un outillage lithique[16]. L'occupation des cabanes a pu être daté entre 5200 et 5000 avant notre ère. Elles étaient construites en bois comme l'a prouvé la présence de trous de poteaux verticaux. La plus grande mesurait 10 m × 7,5 m. Elle était recouverte d'un toit asymétrique présentant une pente plus faible au nord pour résister au mistral, l'accès se faisait par la partie méridionale[17].
La présence à proximité d'une seconde cabane, mal conservée, a suggéré l'idée d'un regroupement. Leur plan circulaire permet d'avancer qu'il s'agissait d'une petite tribu encore à demi nomade ou récemment fixée. La construction des cabanes a pu donc servir soit à un campement hivernal de longue durée soit à une première tentative de sédentarisation[18].
Du Moyen Âge à la Révolution
modifierLa seigneurie[14] :
- La terre appartient aux Vesc (au XIIIe siècle[19]).
- 1344 : elle est hommagée aux comtes de Valentinois.
- 1610 : les trois quarts de la seigneurie passent aux (du) Cros.
- 1627 : les Vesc recouvrent la totalité de la seigneurie et la gardent jusqu'à la révolution.
1742 (démographie) : 110 familles et maisons[14].
Avant 1790, Espeluche était une communauté de l'élection, subdélégation et sénéchaussée de Montélimar, formant une paroisse du diocèse de Saint-Paul-Trois-Châteaux, dont l'église fut pendant longtemps celle du prieuré, et qui était de l'ordre de Cluny, sous le vocable de Saint-Étienne. Ce prieuré, dont le titulaire avait les dîmes de la paroisse, et qui fut ensuite uni à celui de Notre-Dame de Rochefort en Languedoc, ayant été ruiné au XVIe siècle, le service paroissial fut transféré, au siècle suivant, dans une chapelle de Notre-Dame ou de saint Jean-Baptiste, qui fut mise sous le vocable de Saint-Étienne en 1724[14].
De la Révolution à nos jours
modifierEn 1790, Espeluche devient une municipalité du canton de Châteauneuf-de-Mazenc, mais la réorganisation de l'an VIII en fait une commune du canton de Montélimar[14].
Le coup d'État du 2 décembre 1851 est connu par affiches le mercredi 3 décembre dans la journée[20]. Les chefs de l’opposition de Montélimar encore libres, des pharmaciens, font porter le mot d'ordre de résistance à Espeluche dans la journée du 5 pour le lendemain, qu’ils avaient aussi reçu d’Orange. Mais quand les messagers de Montélimar arrivent, la population s’est déjà emparée de la mairie[21]. Les insurgés se rassemblent au bois du papier, avec ceux de Rochefort-en-Valdaine et d’Allan, au nombre d’une vingtaine. Ils échouent à sonner le tocsin, et décident de se disperser[22].
Politique et administration
modifierTendance politique et résultats
modifierAdministration municipale
modifierListe des maires
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierIntercommunalités
modifierEspeluche faisait partie, jusqu'en 2013, de la communauté d'agglomération Montélimar-Sésame, ainsi que de trois syndicats intercommunaux : le syndicat Intercommunal d'Électrification de Puygiron, le Syndicat des Eaux de Citelle et le Syndicat Intercommunal d'Irrigation Rhône Montélimar[25]. Depuis 2014, Montélimar-Sésame a fusionné avec une communauté de communes pour former Montélimar-Agglomération.
Politique environnementale
modifierFinances locales
modifierJumelages
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].
En 2022, la commune comptait 1 137 habitants[Note 2], en évolution de +9,43 % par rapport à 2016 (Drôme : +2,64 %, France hors Mayotte : +2,11 %).
Enseignement
modifierEspeluche dépend de l'académie de Grenoble. Les élèves de la commune commencent leurs études dans le groupe scolaire du village, composé d'une école maternelle et d'une école primaire, accueillant 135 enfants dans cinq classes[30].
Manifestations culturelles et festivités
modifier- Fête communale : dimanche suivant le 15 septembre[19].
Loisirs
modifierSanté
modifierServices et équipements
modifierSports
modifier- Centre nautique[19].
Médias
modifierLe territoire de la commune se situe dans l'aire de diffusion de plusieurs médias :
- Presse écrite
- Le Dauphiné libéré, quotidien régional qui consacre, chaque jour, y compris le dimanche, dans son édition de « Romans et Drôme des collines » un ou plusieurs articles à l'actualité du canton et de la commune, ainsi que des informations sur les éventuelles manifestations locales, les travaux routiers, et autres événements divers à caractère local.
- L'Agriculture Drômoise, journal d'informations agricoles et rurales, couvre l'ensemble du département de la Drôme.
- Drôme Hebdo (ancien Peuple Libre), hebdomadaire chrétien d'informations.
- Presse audio-visuelle
- France Bleu est une radio publique diffusée sur son territoire.
Cultes
modifierLa paroisse catholique d'Espeluche fait partie du diocèse de Valence, doyenné de Cléon-d'Andran[31].
Économie
modifierEn 1992 : céréales, ovins[19].
Commerce et artisanat
modifier- Épicerie ;
- boulangerie ;
- plusieurs autres commerces (coiffeur, etc.) ;
- plusieurs bars-restaurants ;
- sociétés et artisans du secteur du bâtiment[32].
Tourisme
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- La Motte castrale à Pierougier[réf. nécessaire].
- Vestiges des deux enceintes médiévales et de leurs portes[réf. nécessaire].
- La Tour quadrangulaire médiévale au cœur du village[réf. nécessaire].
- Le Banc de justice, classé au titre des monuments historiques depuis 1981[33]. Il est appelé le « banc des seigneurs »[19].
- Au cimetière : substructures du prieuré de Saint-Etienne (XIe siècle, ruiné au XVIe siècle)[19].
- Les châteaux de Lalo et de Saint-Romain sont deux maisons fortes remaniées au XIXe siècle, partiellement inscrites au titre des monuments historiques depuis 1981[34]. Le château de Saint Romain est devenu un gite d'hôtes[réf. nécessaire].
- Chapelle Sainte-Anne de Montceau (XVIe siècle, restaurée au XIXe siècle)[19].
- Église Saint-Étienne d'Espeluche.
Patrimoine culturel
modifierPatrimoine naturel
modifier- Parc naturel de Montceau[19].
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique, logotype et devise
modifierEspeluche possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
modifierBibliographie
modifier- Collectif, Archéologie sur toute la ligne. Les fouilles du TGV Méditerranée dans la moyenne vallée du Rhône, Éd. Le Musée de Valence/Semgy, Éditions d'Art, 2001, (ISBN 285056513X).
- Michèle Bois et Chrystèle Burgard, Fortifications et châteaux dans la Drôme, éditions Créaphis, 2004, 192 pages.
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale de référence en vigueur au 1er janvier 2025, millésimée 2022, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2024, date de référence statistique : 1er janvier 2022.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 89.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Espeluche et Montboucher-sur-Jabron », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Montboucher-S-Jabron », sur la commune de Montboucher-sur-Jabron - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Montboucher-S-Jabron », sur la commune de Montboucher-sur-Jabron - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- lignes de bus.
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Montélimar », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 133.
- Alain Beeching, Archéologie sur toute la ligne, p. 62.
- Alain Beeching, Archéologie sur toute la ligne, p. 63-64.
- Alain Beeching, Archéologie sur toute la ligne, p. 65.
- Alain Beeching, Archéologie sur toute la ligne, p. 66.
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Espeluche.
- R. Serre, op. cit., p. 129.
- R. Serre, op. cit., p. 133.
- Robert Serre, 1851. Dix mille Drômois se révoltent. L’insurrection pour la République démocratique et sociale, préface de Maurice Agulhon, co-édition Peuple libre/Notre temps, s.l., 2003. (ISBN 2-912779-08-1 et 2-907655-42-6), p. 199.
- Espeluche sur le site de l'association des maires et présidents de communautés de la Drôme (consulté le 23 janvier 2015).
- « Conseil municipal », sur le site de la mairie (consulté le 29 septembre 2019).
- syndicats intercommunaux.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations de référence de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020, 2021 et 2022.
- école d'Espeluche
- paroisse d'Espeluche
- commerces à Espeluche
- Notice no PA00116946, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00116945, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.