Liste de devises de familles françaises notoires
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Liste alphabétique non exhaustive de devises de familles françaises notoires, disposant ou pouvant disposer d'un article Wikipédia propre[1].
Liste des familles
modifierA
modifier- Abzac de La Douze (d') : « Qui ne veult selle, Dieu luy donne bast » Relevé en 1929 par Cheyron de Beaumont (du)[2].
- Acres de l'Aigle (des) : « Virtus sine faco » (La valeur sans faux éclat).
- Adhémar (d') : « Plus d'honneur que d'honneurs »
- Agoult (d') : « Avidus committere pugnam » (Avide d'engager le combat).
- Albon (d') : « A Cruce Victoria » (La victoire de la croix).
- Albertas (d') : « Talis noster amor » (Tel est notre amour).
- Alleno de Saint-Alouarn : « Mat eo kelenn e pep amzer » (Enseigner est bon en tout temps).
- Alton (d') : « Justus et fidelis » (Juste et fidèle).
- Andigné (d') : « Aquila non capit muscas » (L'aigle ne chasse pas les mouches).
- Andlau (d') : « Simplicitas et fidelitas » (Simplicité et fidélité).
- Arenberg (d') : « Christus protector meus » (Le Christ me protège).
- Armand de Chateauvieux (d') : « Amandus legis Armandus » (Armand est amant de la loi).
- Assailly (d') : « Terris altus » (La terre est profonde).
- Assas (d') : « À moi, Auvergne. »
- Astorg (d') : « Nihil me pavet » (Rien ne m'effraye).
- Audren de Kerdrel : « Tour à tour. »
- Audiffret-Pasquier (d') : Pasquier : « Haut diffidit qui decepitur » (Celui qui est trompé n'a pas confiance) d’Audiffret « Virtus omni obice major » (Un grand courage vient à bout de tout).
- Aulnis (d') : « Prudence et félicité. »
- Auxy (d') : « On s'enlace. »
- Auzac de Lamartinie (d') : « Ut digni efficiamur promissionibus Christi » (Afin que nous devenions dignes des promesses du Christ).
- Avout d’Auerstaedt (d’) : « Justum et tenacem » (Juste et ferme) ou « Virtuti pro patria » (Le courage est pour ma patrie).
- Ayrault de Saint-Hénis : « It fama per orbem » (Sa renommée s'étend sur le monde entier).
B
modifier- Bacot : « Nusquam infidus » (Jamais Infidèle).
- Banville (de) : « Dam aye Diex el voil » (Il faut souffrir Dieu le veut).
- Baglion de la Dufferie (de) : « Omne solum forti patria est » (Pour le vaillant, toute terre est une patrie)[3].
- Bailleul (de) : « Mieux mourir que faillir. »
- Bailliencourt (de) : « Fut par vertu Courcol. »
- Barras (de) : « Vaillance de Barras » (dicton du roi René).
- Barreau La Vallière de Junessac : « Qui credit periit » (Celui qui croit périt) ou « Va où tu veux, meurt où tu dois. »
- Bastard (de) : « Cunctis nota fides sanguis regum et caesaris » (Le sang des rois et de César est connu de tous).
- Bauffremont (de) : « Plus de deuil que de joye » ou « In variis nunquam varius » (Indifférents aux vicissitudes de la terre).
- Beaucorps (de) : « Fiez-vous-y. »
- Beauharnais (de) : « Nemo impune lacesset inermem » (Personne n’attaque impunément un soldat désarmé) ou « Autre ne sers. »
- Beaumanoir (de) : « J’ayme qui m’ayme » ou : « Bois ton sang, Beaumanoir ! » (phrase prononcée par un des compagnons de Jean de Beaumanoir lors du combat des Trente).
- Beaumont (de) : « Impavidum ferient ruinae » (Ils supporteront la chute intrépide).
- Beauveau (de) : « Sans départir. »
- Beauvilliers (de) : « Il vigore tutto nel cuore » (La vigueur est toute dans le cœur).
- Becdelièvre (de) : « Hoc tegmine tutus » (Ceci est une couverture sûre).
- Belin : « Absque tabe lingua » (Et perdre ta langue).
- Belleforière (de) : « Vix æquat fama labores » (Ses exploits surpassent sa renommée).
- Benoist d'Azy : « Benefacientes benedicti » (Ceux qui font le bien sont bénis).
- Benoist de La Prunarède (de) : « Voca me cum Benedictis » (Appelez moi quand vous serez béni).
- Berthier : « Fides » (Foi).
- Berthier : « Fortes creantur fortibus et bonis » (Les grands engrendrent des puissants et des bons) ou « Bon sang ne saurait mentir.
- Bésiade (de) : « Vicit iter durum pietas »[4] (La miséricorde a gagné à la dure).
- Béthune : « À moi Béthune. »
- Béthune Hesdigneul (de) : « Spes in Deo non vana » (L'espoir en Dieu n'est pas vain).
- Bigorie (de) : « Rectè » (C'est exact).
- Bigot de Préameneu : « Tout de par Dieu. »
- Binet de Jasson et d'Andigny : « Je le veuil » et « Ille vicit » (Il vainquit)[5]
- Bizemont (de) : « Jungat stemma virtus » (Que la valeur s’ajoute à la décoration de mon blason).
- Blacas d'Aulps (de) : « Pro Deo pro Rege » (Pour Dieu et pour le Roy).
- Bodin de Boisrenard (de) : « Pro veritate et libertate » (Pour la vérité et la liberté).
- Bodin de Galembert (de) : « In hoc signo vinces » (Par ce signe tu vaincras).
- Boileau de Castelnau : « De tout mon cœur. »
- Boisbaudry (du) : « Trans » (À travers).
- Boisboissel (de) : « Soli Hæc gestant insignia fortes » (Seuls les braves portent ces insignes).
- Boisguéhenneuc (du) : « Carantez ha guirionez » (Amour et vérité).
- Boissat (de) : « Ny regret du passé, ny peur de l'avenir » ou : « Sans regret du passé, ni peur de l'avenir. »
- Boisset (de): « Altitudo fortitudo » (Plus haut, plus fort).
- Bommelaer : « Fais ce que tu dois. »
- Boissonneaux de Chevigny (de) : « Deus ubique » (Dieu est partout).
- Bonnechose (de) : « Fide ac virtute » (Foi et courage).
- Bonneval (de) : « Victorious à tou lou azars » (Victorieux dans toute rencontre).
- Bonnevie de Pogniat (de) : « De bonne vie nous sommes. »
- Bouays de Couësbouc (du) : « Officium et jus » (Devoir et droit).
- Bouëxic (du) : « Hoc tegmine tutus » (Ceci est une couverture sûre).
- Bourdon de Gramont (de) : « In Honore Et Magnificentia Divinae Gloriae Luceat » (Dans l'honneur et la magnificence de l'éclat de la gloire divine).
- Bourgoing (de) : « Duplici honore digni » (Digne d'un double honneur).
- Bouvier d'Yvoire : « Festina lente » (Hâte-toi lentement).
- Boyer de Fonscolombe : « Lento sed cero grada » (Notre marche est lente mais sûre).
- Braquilanges (de) : « Quod erigit virtus, sustinet animus » (Ce que la vertu érige, l'âme le soutient).
- Bréauté (de) : « Æquora placeat » : (Chevaux s'il vous plaît).
- Breil de Pontbriand (du) : « Parcere subjectis et debellare superbos » (Protéger les faibles et frapper les arrogants)[6].
- Bréhan (de) : « Foi de Bréhan, mieux vaut qu’argent. »
- Broglie (de) : « Pour l’avenir. »
- Brindeau de Bayonvilliers : « Brindeau toujours plus haut. »
- Brunon : « Dieu, le Roy et la France. »
- Budes de Guébriant : « Superis victoria faustis » (La victoire est guidée par les influences d'en-haut).
- Bugeaud de La Piconnerie : « Ense et aratro » (Par l'épée et par la charrue).
- Burchard de Bélavary de Sycava : « Impavidus! » (Sans Peur !).
- Butler (de) : « Depressus extollor » (Je souligne la déprime).
C
modifier- Cacqueray de Valménier: " Semper et ubique fidelis." ("Toujours et partout fidèle.")
- Carné (de) : « Plutôt rompre que plier. »
- Carré de Lusançay : « Nusquam devius » (Déviant nulle part).
- Cardevac d'Havrincourt (de) : « Mieux mourir que me tenir. »
- Carpentier de Changy : « Dieu m'aide. »
- Castelbajac (de) : « Lilia in cruce floruere » (Le lys a fleuri sur la croix).
- Castellane (de) : « Honor ab armis » (L'honneur nous vient des armes).
- Caumont (de) : « Forcior coronatur, fit via vi » (Il est couronné plus fort, la route devient plus forte)[7].
- Certain de Germay : « Haut et droit. »
- Chabalier : « Cui me insequitur adsum » (Qui me cherche me trouve).
- Chabot (de) : « Concussus surgo » (Terrassé, je me relève).
- Chasteigner (de) : « At avis at armis » (Par les aïeux et par le sang).
- Châteaubriant (de) : « Notre sang teint les bannières de France. »
- Chaumont-Quitry (de) : « Furibondi Calvin Montenses » (Furieux Calvin Montenses).
- Chérisey (de) « Toujours tout droit. »
- Chifflet (d’Orchamps) : « Sicut serpentes, sicut columbae. » (Tels les serpents, tels les colombes)
- Choiseul (de) : « Choiseul à la rescousse, à moi Bassigny ! »
- Clérel de Tocqueville : « Virtus fidei omnia vincit » (La vertu et la foi peuvent tout vaincre).
- Clermont-Tonnerre (de) : « Si omnes ego non » (Si tous, moi pas).
- Clisson (de) : « Pour ce qui me plaît. »
- Cochin : « Requiescite Vigilo » (Reposez-vous, je veille).
- Coëtlogon (de) : « A peb amzer » ou « De tout temps Coëtlogon. »
- Coëtlosquet (du) : « Franc et loyal. »
- Coëtmen de Tonquédec (de) : « Item, item» (Même chose).
- Colbert (de) : « Servat et abstinet »[8] (Garde et s'abstient).
- Coligny (de) : « Je les espreuve tous. »
- Commarque (de) : « Cum arca » (Avec l'arche).
- Cordon (de) : « Omnia sponte » (Tout sans contrainte).
- Cornulier (de) : « Firmus ut cornus » (Ferme comme la corne).
- Cos de la Hitte (du) : « Fortitudo et celeritas » (Courage et célérité)[9].
- Cosnac (de) : « Neque auro neque argento, sed honore » (Ni or ni argent, mais l'honneur).
- Cossé-Brissac (de) : « Virtute et tempore » (Avec le temps et le courage).
- Coucy (de) : « Roi ne suis, ne prince, ne duc, ne comte aussi, je suis le sire de Coucy. »
- Courlet Vregille (de) : « Altius cor laetum » (Plus haut le cœur joyeux).
- Courrèges d'Agnos (de) : « Je meurs où je m'attache. »
- Crécy (de) : « Fortis et fidelis » (Courageux et fidèle).
- Créquy (de) : « Nul ne s'y frotte » ou « Qui s'y frotte, s'y pique. »
- Croismare (de) : « Comeo fidenter » (Je mange en toute confiance).
- Croÿ (de) : « À jamais Croÿ. »
- Crussol d’Uzès : « Ferro non auro » (Par le fer et non par l’or).
- Cugnac (de) : « Comme il nous plaît » ou « Ingratis servire nefas » (Ne pas servir un ingrat), ou « Il grandit malgré ses blessures. »
D
modifier- Damas (de) : « Et fortis et fidelis » (Et fortes et fideles).
- Dampierre (de) : « Sans peur et sans reproche. »[10]
- Dax d'Axat (de)[11] : « Decus et tutamen in armis »[12] (Honneur et protection dans les armes).
- Desgrées du Loû : « Semper fidelis » (Toujours fidèle).
- Delpech de Frayssinet : « Puissant contre la force, tendre avec la faiblesse. »[13]
- Dion (de) : « Domine ad adjuvandum me festina » (Seigneur, hâtez-vous de venir à mon aide)[14].
- Dreux-Brézé (de) : « Fac quod musti, veni quod licet » (Fais ce que dois, advienne que pourra).
- Duguay-Trouin : « Dedit haec insigna virtus » (Le courage lui a donné sa noblesse)[15].
- Durat (de) : « Duravit Durat Durabit. »
- Duras (de) : « Si ell dur, yo fort » (S'il (le château) est dur, moi je suis fort).
E
modifier- Emé de Marcieu : « Vinco dulcedine robur » (Je conquiers la force avec la douceur).
- Érard (d') : « Non griffum danorum duci erardi : sed solum ipsuis pedes trunco libatos servavimus » (Les Danois n'ont pas été égarés par les griffes, mais nous n'avons sauvé leurs pieds qu'avec le tronc).
- Escayrac de Lauture (d') : « Y pensois » (J'y pensais). Phrase dite par le chevalier d'Escayrac à la Reine Margueritte.
- Estampes (d') : « Virtus non prima coronat » (La force n'est pas la première couronne).
- Esterno (d') : « Ce trop ne désirer faict l'homme prospérer. »
- Everlange (d') : « Stella duce » (Conduit par l'étoile).
F
modifier- Fages (de) : « Regi fidelitatem lilia coronant intacta » (La fidélité au roi est couronnée de lys intacts).
- Falcoz : « Semper in altum » (Toujours en haut).
- Ficquelmont (de) : « Nul ne m'atteint. »
- Fitz-James (de) : « Ortu et honore » (Ascension et honneur) ou « Semper et ubique fidelis » (Toujours et partout fidèle).
- Forbin (de) : « Regem ego comitem me comes regem » (Tu m'as fait comte, je te fais Roi) ou « Quo fortior, mitior » (Le plus fort, le plus doux).
- Foresta (de) : « A nido devota tonanti » (Voué à Dieu dès le berceau).
- Fou (du) : « Dieu - l'honneur. »
- Foucault (de) : « Honor pro patria et rege » (Honneur pour la patrie et le roi).
- Foudras (de) : « Sunt mihi in custodiam » (Je les ai en garde).
- Fouquet : « Quo non ascendet ? » (Jusqu'où ne montera-t-il pas ?). En parlant de l'écureuil, symbole de la famille.
- Fraiche (du) : « Il a la main juste et droite. »
- France (de) : « Recto Tramite. » (Par le droit Chemin).
- Franchet d'Esperey : « Sans frein. »
- Francheville (de) : « Honneur et bienfaisance. »
- Froissard (de) : « Servir Dieu et le Roi » et « Qui est comme Dieu ? »
- Frotier : « Nul ne s’y frotte. »
G
modifier- Gadré de Sürgy de Terreval : « Gloria in gratia meus cruor » (Gloire dans la grâce de mon sang).
- Galléan (de) : « Ab obice sævior ibit » (Il ira plus violemment de la barrière).
- Galliffet (de) : « Bien faire et laisser dire. »
- Gantelet (de) : « Arma decent fortes » (Les armes sont dignes des plus forts).
- Gardey de Soos : « Plus d’honneur que d’Honneurs. »
- Garnier des Garets (de) : « Contre fortune bon cœur » ou « Bara io ciega » (Gare, je suis aveugle).
- Garnier de Labareyre : « Ab Altioribus ad altissima »
- Gaudart : « Dard de Dieu. »
- Gérard du Barry (de) : « Luiz en croissant. »
- Gilart de Keranflec'h : « Et pour et contre » ou « De Gilart servant. »
- Ginestous (de) : « Nec vi nec metu » (Ni par la force, ni par la crainte) ou « Stabit atque florebit » (Il se tiendra debout et il fleurira)[16].
- Goddes de Varennes (de) : « Ne vante ne foiblesse » (ne s'exalte ni ne faiblit).
- Goësbriand (de) : « Doue a pourveo » (Dieu y pourvoira).
- Goguet de La Salmonière : « Omnium tuum presta » (Fais ce que doit).
- Gontaut-Biron (de)[17],[18],[19],[20],[21] : « Perit sed in armis » (Mourir mais avec les armes).
- Goué (de) : « Prisca deo regique fides » (Prie Dieu et reste fidèle).
- Gourdon de Genouillac (de) : « Ne freno ne tempo » (Ni frein, ni temps).
- Gouvello (de) : « Fortitudini » (Au courage).
- Gouzillon de Belizal (de) : « Sans fiel »
- Goyon-Matignon (de) : « Honour à Goyon, liesse à Matignon. »
- Grammont (de) : « Lo soy que soy » (Je suis ce que je suis).
- Gramont (de) : « A resistente coronor » (Je suis couronné de résistance).
- Grébert : « Spes confortat Grebert » (L'espoir renforce Grébert).
- Grente (de) : « Virtute Non Verbis » (Tu ne parles pas de force).
- Grimaldi : « Deo juvante » (Avec l’aide de Dieu).
- Grimaudet de Rochebouët (de) : « Le dialogue ou l’épée. »
- Grosourdy de Saint-Pierre (de) : « S'il plaît à Dieu. »
- Guesclin (du) : « Dat virtus quod forma negat » (le courage donne ce que refuse la beauté).
- Guignard de Saint-Priest : « Fort et ferme » Relevé par la famille Le Marchand[22].
- Guillebon (de) : « J'attents, je prétents et j'espère en tout tems. »
- Guynement de Keralio : « Ex hasta successit oliua » (Au jardin succéda la lance).
H
modifier- Harcouret (d') : « Pour ma défense. »
- Harcourt (d') : « Gesta verbis praeveniant » (Laisser les actions précéder les mots).
- Harenc de La Condamine (du) : « Nul bien sans peine. »
- Harscouet : « Enor ha Frankiz » (Honneur à la France).
- Harty de Pierrebourg : « Malo mori quam fœdari » (Je préfère mourir que d'être déshonoré).
- Hauteclocque (de) : « On entend loing haulte clocque. »
- Hautefort (de) : « Altus et fortis! » (Force ne peut vaincre peine).
- Hautpoul (d') : « Amat idem pugnat » (Aime et combat de même).
- Hay : « Crains aime Hay. »
- Hilaire de Jovyac (d') : « Fais bien et laisse dire. »
- Huart (d') : « Mon cœur comme mon houx arde. »
- Humières (d') : « Gloire est mon partage. »
- Huon de Kermadec : « Atao da virviquen » (A toujours à jamais).
- Hurault de Vibraye : « Certat majoribus astris » (Qui brille parmi les plus grands astres).
I
modifier- Irumberry de Salaberry (d') : « Force a superbe ! Mercy a faible. »
- Isnards (des) : « Qui me touche, je le pique. »
J
modifier- Jouffroy (de) : « Virtus cum pietate juncta » (Pouvoir allié à la piété).
K
modifier- Keranflec'h (de) : « Potius mori quam fedari » (Je préfère mourir que d'être nourri).
- Keratry (de) : « Gens de bien passent partout. »
- Kerautem (de) : « Mar ar Doue » (Si le Dieu).
- Kergariou (de) : « Là ou ailleurs, Kergariou » ou « Au bon chrétien. »
- Kergorlay (de) : « Ayde-toi Kergorlay, Dieu t’aidera. »
- Kergos (de): « M. qui T.M. » (Aime qui t'aime).
- Kergouët (de) : « E christen mad me ber en Doué » (En bon chrétien je vis en Dieu).
- Kergrist (de) : « Sanctum nomen ejus » (Son saint nom).
- Kerguelen de Kerbiquet (de) : « Vert en tout temps. »
- Kerguern (de) : « Utinqm » (Je souhaite).
- Kerguiziau de Kervasdoué (de) : « Spes in Deo » (Espérer en Dieu).
- Kergus (de) : « Voluntas dei » (La volonté de Dieu).
- Kerhoën de Coëtanfao (de) : « Sur mon honneur ou Dieu soit loué. »
- Kermel (de) : « Audacibus audax » (Audacieux avec les audacieux).
- Kermenguy (de) : « Tout pour le mieux. »
- Kermoysan (de) : « Plutôt mourir que faillir. »
- Kerouallan (de) : « De bien en mieux. »
- Kerouartz (de) : « Tout en l'honneur de Dieu. »
- Kerret (de) : « Tevel hag ober » (Taire et faire) ou « Fortis ut leo, mitis ut colomba » (Fort comme un lion, doux comme une colombe).
- Kerros (de) : « Graz ha speret » (Grâce et esprit).
- Kersaintgilly (de) : « Floruit sicit lilium » (Il a fleuri comme un lys).
- Kersauson (de) : « Il est temps, il sera temps. »
- Kloeckler de Waldegg et Münchenstein (de) : « In sola virtute vera nobilitas » (Dans la vertu seule est la vraie noblesse).
- Koenigswarter (de) : « Candide secure » (Franchement sécurisé).
L
modifier- Laage (de) : « Sursum corda » (Élevons notre cœur).
- La Barre de Nanteuil (de) : « Veritas liberavit et servabit » (La vérité a livré et sauvera).
- La Borie (de): « Ecclesia scuto toga » (L'église porte un bouclier).
- La Bouëxière (de) : « Vexillum régis » (Étendard du Roi).
- La Broïse (de) : « Temporis acti memor » (Je me souviens des actes du passé).
- La Brosse (de): « Fortis et Clemens » (Fort et Clément)
- Le Chartier de Sédouy:"Fors et Virtus" (De chance et de courage)
- La Croix de Castries (de) : « Fidèle à son Roi et a l'honneur. »
- La Croix de Chevrières (de) : « Indomitum domuere cruces » (Apprivoiser les croix indomptées) ou « victricia signa secutus » (Suivre les signes de la victoire).
- Lacvivier (de) : « Tout pour l'honneur. »
- Ladreit de Lacharrière : « Tout droit quand même. »
- La Fare (de) : « Lux nostris hostibus ignis » (La lumière pour les nôtres, le feu pour nos ennemis).[23]
- Laffon de Ladebat : « Soyez utile. »
- La Forest Divonne (de) : « Tout à travers. »
- La Fouchardière (de) : « Post tenebras pero lucem » (Après l'obscurité vient la lumière).
- La Garde de Chambonas (de) : « Deus, Rex, amici » (Dieu, le Roi, nos amis).
- La Guiche (de) : « Au plus haut. »
- Lambert des Champs de Morel (de) : « Fides toga et armis » (Foi dans les robes et les armes) puis « Vir et civis » (Un homme et un citoyen).
- Lambertye (de) : « Fais le bien, advienne que pourra. »
- Lambilly (de) : « Point gesnant, point gesné. »
- La Motte-Ango de Flers (de) : « Mens consensia rectis » (Consensus de l'esprit juste).
- La Motte-Baracé (de) : « Lenitati fortitudo comes » (tu compte la force dans la douceur).
- La Moussaye (de) : « Honneur à Moussaye. »
- Lannion (de) : « Prementem pungo » (Presser piquer).
- Lantivy (de) : « Qui désire n’a repos. »
- La Poëze (de) : « Auxilium ab alta » (Au secours du plus haut).
- La Rochefoucauld (de) : « C'est mon plaisir. »
- La Rocque de Sévérac (de) : « Deo vero et honori » (Pour le vrai Dieu et l'honneur).
- La Roque Ordan (de) : « Ubique candida virtus » (Partout la vertu rayonne).
- La Saussaye (de) : « Cominus et eminus » (de près comme de loin).
- Lasteyrie (de) : « Deo monstrante viam » (Dieu montre le chemin).
- La Taille (de) : « Virtus fidesque corona » (Le courage et la fidélité sont sa (ma) couronne).
- La Tour d’Auvergne (de) : « Sua stans mole refulget » (Debout par sa force elle porte des reflets brillants autour d’elle).
- La Tour du Pin (de) : « Courage et loyauté » ou : « Turris fortitudo mea » (Mon courage est ma forteresse) Allusion à la tour qui figure dans leurs armes.
- La Trémoïlle (de) : « Sine extra orbitam depressa » (Sans sortir de l’ornière)
- Lascaris de Vintimille : « Gracia Dei familiaeque consensu » (Par la grâce de Dieu et le consentement de la famille).
- Lauzanne (de) : "Candor exsuperat aurum" (La blancheur surpasse l'or)
- Lavaulx (de) : "Tout par amour"
- Law de Lauriston : « Nec obscura nec ima » (Rien d'obscur ni de bas).
- Le Bas : « Vel avuslsce crescunt » (Ou ils se séparent).
- Le Borgne de La Tour : « Attendant mieux ou « Quoique borgne, j'y vois clair. »
- Le Clerc de Juigné : « Ad alta » (Au plus haut).
- Le Gouz de Saint-Seine : « Ferrum in cruce vincit » (Le fer dans la croix vaincra).
- Le Grand : « In variis nunquam varius » (Indifférents aux vicissitudes de la terre).
- Le Gualès : « Faventibus astris » (À la faveur des astres).
- Le Prestre de Vauban : « Bellicae virtutie praemium » (Une récompense pour la valeur de la guerre).
- Le Proux de la Rivière : « Aut Vincere aut mori » (Vaincre ou mourir).
- Le Peletier d'Aunay : « In cruce spes et robur » (Dans la croix espérance et force).
- Le Roux de Bretagne : « Mon Dieu et mon Roi. »
- Le Saulnier de Saint-Jouan : « E sale maris » (Du sel de la mer).
- L'Espinasse de Langeac (de) : « Sans chimère et sans repproche. »
- Le Tonnelier de Breteuil : « Nec spe, nec metu » (Ni espoir, ni peur).
- Leuret-Maillard : « Per illam stolam Villetronus Leureti feodum ferrum » (Par ce manteau, Villetronus Leureti a donné une redevance de fer).
- Lévis (de) : « Dieu ayde au second chrétien Lévis. »
- Lodzia Brodzki (de): « Aequus fidelisque » (Juste et loyal) ou « Æquus et fidelis » (Juste et fidèle).
- Lombard de Montchalin (de) : « Deus, Rex, honor » (Dieu, Roi, honneur).
- Lorgeril (de) : « Potius Mori quam foedari » (Plutôt la mort que la souillure).
M
modifier- Mac-Mahon (de) : « Sic nos sic sacra tuemur » (Nous défendrons la religion comme nous-mêmes).
- Madaillan de Lesparre (de) : « Pour l'honneur. »
- Maillard (de) : « Fidèle quand même. »
- Magon : « Tutus mago » (Génie sûr).
- Maillé (de) : « Stetit unda fluens » (Reste au-dessus des flots).
- Mailly (de) : « Hogne qui vonra » (Gronde qui voudra).
- Maistre (de) : « Fors l’honneur, nul soucy. »
- Mancini : « Lucia stirps claris olim lucebat alumnis » ou « Le temps et moi » (Mancini-Mazarini).
- Marin de Montmarin : « Aspiciendo crescit » (Aspire à croître ou Toujours plus haut).
- Martimprey (de) : « Pro fide pugnando » (Combattant pour la foi).
- Martin de Viviés (de) : « Auxilium meum a Domino » (Mon secours est dans le Seigneur).
- Martrin Donos (de) : « Plus donneur que d'honneurs. »
- Massol (de) : « Perspicacia et fortitudine » (Perspicacité et courage).
- Massougnes (de) : « In utroque fidelis » (Fidèle à l'un et à l'autre).
- Mathan (de) : « Au féal rien ne fail » ou « Nil deest timentibus deeum » (Ceux qui craignent Dieu ne manquent de rien).
- Mauléon (de) : « Malus leo meus leo » (Mon lion est un lion méchant).
- Mauny (de) : « Mauny ô toit Guesclin » ou « Jungat stemmata virtus » (Joindre l'étendard aux vertus).
- Maupeou (de) : « Pro fide pugnando » (Jamais à moins d'être amoureux).
- Maussion de Candé (de) : « Fidèle sans contrainte. »
- Mengin-Fondragon (de) : « Semper fidelis » (Toujours fidèle).
- Menthon (de) : « Partout Menthon, toujours Menthon. »
- Méhérenc de Saint Pierre (de) : « Noli arma feodari vel non loqui » (Fait honneur à tes armes ou n’en parle pas).
- Mercy (de) : « Tout droict. »
- Miorcec de Kerdanet : « Tout pour la charité » ou « Qui s'y frotte s'y pique. »
- Michel d'Annoville : « Quis ut Deus » (Qui est comme Dieu ?)
- Milleville (de) : « Sicut quercus incorruptibile » (Incorruptible comme le chêne).
- Monchy (de) : « Virtus in Armis » (La puissance par les armes).
- Monier La Sizeranne : « Ferme en l’adversité. »
- Montalembert (de) : « Ferrum fero, ferro ferror » (Je porte le fer et le fer me porte) ou « Ni espoir, ni peur. »
- Monteynard (de) : « Pro Deo fide Et Rege » (Pour Dieu fidèle au roi)[24].
- Montesquiou-Fézensac (de) : « Hinc labor, hinc merces » (Du travail vient la récompense).
- Montgolfier (de) : « Sic itur ad astra » (Nous irons ainsi jusqu'aux astres).
- Monti de Rézé (de) : « Inébranlable. »
- Montmorency (de) : « Aplanos » (Sans errer) ou « Dieu ayde au premier baron chrétien. »
- Monts de Savasse (de) : « Omnia cum tempore » (Toute chose en son temps).
- Morant du Mesnil-Garnier (de)[25] : « A candore decus » (la blancheur fait son panache = l'honneur dans la vérité).
- Motier de La Fayette : « Cur Non » (Pourquoi pas ?).
- Mouillebert (de) : « Armis protegam » (Je te protégerai avec des armes).
- Moustier (de) : « Moustier sera malgré le sarrasin. »
N
modifier- Narbonne-Lara (de) : « No descendemos de los reyes, sino los reyes de nos »[26] (Nous ne descendons pas des rois, mais les rois descendent de nous).
- Navailles-Labatut (de) : « A un tada no es habeado. »
- Nays (de) : « Toblan et deffendame. »
- Nedonchel (de) : « Antiquitas et nobilitas » (Antiquité et noblesse).
- Nettancourt (de) : « Virtute duce » (Diriger en vertu).
- Nicolaÿ (de) : « Bien faire et laisser dire. »
- Niort (de) : « Fidélité » ou « Ni or, ni argent, mais de cuivre. »
- Noailles (de) : « Loedimur haud auro lethale » (Nos blessures ne viennent pas de l’or meurtrier) ou « Le souffle de la mort ne nous atteint pas. »
- Noblet (de) : « Nobilitat bellica vertus » (Ennoblit les vertus de la guerre).
- Nogaret (de) : « Malo rumpi quam flecti » (Mieux vaut rompre que fléchir).
- Noguès (de) : « Liliorum amore viget » (Il s'épanouit avec l'amour des lys).
- Nompère (de) : « Non impar virtuti fides » (La foi n'est pas une étrange vertu).
- Nos (des) : « Marche droit. »
- Nouël (de) : « Tout bien ou rien. »
- Nouhes (des) : « Armis protegam » (Je te protégerai avec des armes).
- Nouvion (de) : « Nous vions et ne dévions pas. »
O
modifier- Oilliamson (d') : « Venture and Win » (Venir et gagner).
- Oms (d') : « Dei dono sum quod sum » (Je suis ce que je suis par le don de Dieu) ou « Noblesse sert comme sert vieux lignage. »
- Orchamps (d’): voir Chifflet
- Orglandes (d') : « Candore et ardore » (Candeur et ardeur).
- Ornano (d') : « Deo favente comes corsicae » (Par la faveur de Dieu, les comtes de Corse).
- Osmond (d') : « Nihil obstat » (Rien en s'oppose).
P
modifier- Palluat de Besset : « Animus et prudentia » (Esprit et prudence).
- Pantin de Landemont : « Crux dux certa salutis » (La croix est le guide certain du salut).
- Parc (du) : « Vaincre ou mourir » ou « Tout est beau. »
- Parcevaux (de) : « S’il plaist à Dieu. »
- Parnaud des Roches-Noires : « Nam in honorem hominum » (Pour l'honneur des hommes).
- Payen de La Garanderie : « In arduis fortior » (Dans l'adversité, plus fort).
- Péan de Ponfilly : « Vincit mores » (Le comportement gagne).
- Pechpeyrou Comminges de Guitaut (de) : « Ut fata trahunt » (Ils vont vers leur destin)
- Penancouët de Kéroualle (de) : « A rep pen, lealdet » (A rep il taille, fidèle).
- Penfentenyo (de) : « Plura quam exopto » (Plus que je ne souhaite).
- Penguern (de) : « Doue da genta » (Dieu d'abord) ou « Mon âme à Dieu, mon bras au Roy. »
- Pépin : « Fidelis dum vivam » (Fidèle tant que je vivrai).
- Peretti (de) : « Honor et virtute » (Honneur et vertu).
- Perier (de) : « Dextera Domini fecit virtutem » (La droite du Seigneur l'a rendu puissant).
- Pérusse des Cars : « Fais ce que dois, advienne que pourra. »
- Peytes de Montcabrier (de) : « Pro fide pugnavi et vici » (Je me suis battu pour la foi et j'ai gagné).
- Phélypeaux : « Ne obliviscaris nos venit » (N'oublie pas que nous arrivons).
- Pierre de Bernis (de) : « Armé pour le Roi. »
- Pin (du) : « Fidem peregrinans testor » (Un témoin itinérant de la foi).
- Pinczon du Sel : « Vite et ferme. »
- Plantadis (du) : « Fructum dabit in tempore suo » (Il portera ses fruits en sa saison).
- Plessis (du) : « Ab obice major » (D'une plus grande barrière).
- Plessis d’Argentré (du) : « Porta coeli crux » (La croix est la porte du ciel) ou « Qui désire n’a repos. »
- Plessis de Grenédan (du) : « Plesseis Mauron. »
- Plessis de Richelieu (du) : « Nec momentum sine linea » (pas d'élan sans ligne).
- Plœuc (de) : « L'âme et l'honneur. »
- Polier (de) : « Et Phoebi et martis. »
- Polignac (de) : « Sacer custos pacis » (Sacer custos pacis).
- Ponteves (de) : « Separata ligat » (Liens séparés) ou «Separata jungit » (Il relie ce qui est séparé), ou « Fluctuantibus obstat » (Il ferme la barrière contre les flots agités) ou « Pontevès vaut bien Sabran ! »
- Portes (de) : « Per pla aire » (À travers la plaine).
- Pouget de Nadaillac (du) : « Virtus in hæredes » (Pouvoir dans les héritiers).
- Poulpiquet (de) : « De peu, assez. »
- Pozzo di Borgo : « Virtute et consilio » (Vertu et conseil).
- Prat de Lamartine (de) : « À la garde de Dieu. »
- Prieur de Grandville : « Fac quod debes in domino » (Faites ce que vous devez pour le Seigneur).
- Provençal de Fonchâteau (de) : « Spoliatis arma supersunt » (À qui est dépouillé, reste les armes) ou « Dieu ayde au second chrestien provençal ! » ou « Provençal jamais ne ploye !»
- Prudhomme de La Boussinière : « In Deo spes mea » (Mon espoir est en Dieu).
Q
modifier- Quatrebarbes (de) : « In altis non deficio » (En haut ne défaille).
- Quélen (de) : « E peb amser Quelen ! » (En tout temps, Quélen !) ou : « En tout temps il y a du houx. »
R
modifier- Raincourt (de) « Continence de Raincourt. »
- Raison du Cleuziou : « Toujours raison. »
- Rapeaud : « Après dieu, gouverne ta vie ! »
- Rarécourt de La Vallée de Pimodan (de) : « Mori potius quam foedari » (Plutôt la mort que la souillure).
- Reboul de Pont Saint Esprit (de) : « In domo virtus » (Le courage est dans la maison).
- Refuge (de ou du) : « À tous Refuge. »
- Ribier (de) : « Semper Fidelis » (Toujours fidèle).
- Ricard de Genouillac : « J'aime fort une. »
- Riché : « Durum patientia frango » (Je vaincs l'adversité par la patience).
- Rivière : « Liliis fidelis » (Fidèle aux lys) ou « Optima ratio. regni » (Le meilleur argument du trône). Respectivement : de la lignée et du chef de famille.
- Robert de Lignerac : « Dum spiro spero » (J'espère pendant que je respire).
- Robien (de) : « Sans vanité ni faiblesse. »
- Rochechouart (de) : « L'Esprit surpasse la matière » ou « Ante mare undae » (Avant que la mer fût au monde, Rochechouart portait les ondes).
- Rohan (de) : « Roi ne puis, duc ne daigne, Rohan suis. »
- Rohan-Chabot (de) : « Potius mori quam foedari » (Plutôt la mort que la souillure).
- Roland de Sercey : « Absit gloriari nisi in cruce domini » : (Il est loin de se glorifier sauf dans la croix du Seigneur).
- Roquemaurel (de) : « Malo mori quam foedari » (Plutôt la mort que le déshonneur).
- Rothschild (de) : « Concordia integritas industria » (Union intégrité et industrie).
- Roucy (de) : « Vera nobilitas virtute virescit » (C'est à la vertu que l'on reconnaît la vraie noblesse).
- Rougé (de) : « Deo meisque » (Pour Dieu et les miens) ou « Rugit mais ne rougit » ou « Sans plus.»
- Rouillé : » Moderatur et urget » (Modéré et urgent).
- Rouvroy de Saint Simon (de) : « Virtus et umbra » (Courage et humilité).
- Roux (de) : « Virtus servire erit honor vivere » (Le courage de servir sera l'honneur de vivre).
S
modifier- Sablon du Corail : « Spes et Virtus » (Espoir et Vertu)
- Sabran (de) : « Noli irritare leonem » (Gardez-vous d’irriter le lion) ou « En avant Sabran ! »
- Saguez de Breuvery : « Il est ange à Jésus qui a Jésus pour ange » ou « Il est sage en avis et doibt à Dieu louange » ou « Clémence et vaillance. »
- Saint-Pern (de) : « Fortis et paternus » (Fort et paternel).
- Saint-Phalle (de) : « Cruce Deo gladio Regi jungor » (Ma croix m’unit à Dieu et mon épée au Roy).
- Sainte Marie d'Agneaux (de) : « Fidelis, fortis que simul » (Aussi fidèle que courageux).
- Saisy de Kerampuil (de) : « Qui est Saisy est fort » ou « Mitis ut columba » (Doux comme la Colombe).
- Sales (de) : « Nec plus, nec minus » (Ni plus ni moins).
- Sallé de Chou : « Bien faire, et laisser dire. »
- Salviac de Vielcastel (de) : « Quam vêtus est castrum cujus nescitur origo ! » (Qu'il est usé ce château dont l'origine est inconnue !)
- Sancerre (de) : « Passe avant le meilleur. »
- Sauvan d’Aramon (de) : « Salvum Deus faciet » (Que Dieu nous sauve).
- Schiano-Lomoriello : « Altum radices non tam gelantur » (Les racines profondes ne gèlent pas).
- Scorbiac (de) : « Ad decus » (À l'honneur).
- Secondat de Montesquieu : « Virtutem fortuna secundat » (La fortune seconde le courage).
- Sède (de) : « Sède suis, onc ne cède. »
- Selve (de) : « Spes antiqua domus » (L'espoir est dans l'ancienne maison).
- Séré (de) : « Vincit veritas » (La vertu et l’honneur).
- Sesmaisons (de) : « Re carta dorus pureat » (Que le papier purifie).
- Sévigné (de) : « Le frois me chasse. »
- Seyssel (de) : « Franc et Léal. »
- Sèze (de) : « 26 décembre 1792. »
- Solages (de) : « Sol Agens » (Soleil agissant).
- Spens d'Estignols (de) : « Si Deus quis contra? » (Si Dieu est pour nous qui est contre nous?).
- Suremain (de) : « Certa manus certa fides » (Main sûre, foi sûre).
T
modifier- Tabouret de Crespy (de) : « Soli deo scabellum haud aliis. » (Dieu seul mérite un tabouret plus que personne).
- Taillart (de) : « Antes quebrar que doblar » (Plutôt rompre que plier).
- Taillepied de Bondy : « Aspera non terrent » (N'ayez pas peur du rugueux).
- Talhouët (de) : « Nil altius » (Rien de plus profond).
- Talleyrand-Périgord (de) : « Re que Diou » (Rien que Dieu).
- Tascher de La Pagerie : « Honori fidelis » (Fidèle à l’honneur).
- Terris (de) : « Labor in terris. »
- Testot-Ferry : « In honore et virtute ferri » (Frapper dans l'honneur et la vertu).
- Thillaye du Boullay : « Labor improbus omnia vincit » (Le travail constant vient à bout de tout).
- Thou (de) : « Ut prosint aliis » (Qu'ils puissent profiter aux autres).
- Thy de Milly (de) : « Fideles sed infelix » (Fidèle mais malheureux).
- Tournemire (de) : « D'autre n'aura » ou « Tu n'auras pas d'autres dieux que Moi. »
- Touronce (de) : « A bien viendra par la grâce de Dieu » Même devise que Coetmanach.
- Toytot (de) : « Foy et honneur en croissant. »[27]
- Trogoff (de) : « Tout du tout. »
- Truchis (de) : « Virtute et viribus » (Par le courage et les forces).
U
modifier- Urre (d') : « En tout lieu, à toute heure. »
- Ursel (d') : « Espère, persévère » ou « Pro obiit patria » (Il est mort pour son pays).
- Ussel (d') : « Huis scel mon droit. »
V
modifier- Vallenet : « Floreo cum tempore » (Je fleuris avec le temps).
- Valon (de) : « May d'honnour que d'honnours » (L'honneur plutôt que les honneurs).
- Varenne (de) : « Non proelio honoribus » (Ne combat pas sans honneurs).
- Vaucelles (de) : « Semper Deo fidelis, honori Regi et virtute valens » (toujours fidèle à Dieu, à l'honneur et au Roi, valeureux par son courage). Devise conférée par François Ier au chevalier de Vaucelles au soir de la bataille de Marignan.
- Vergier de La Rochejaquelein (du) : « Si j'avance, suivez-moi ! Si je recule, tuez-moi ! Si je meurs, vengez-moi ! »
- Viart (de) : « VIvit et ARdeT » (Il vit et se consume).
- Vichy (de) : « Tantum valent, quantum sonant » (Ils sont aussi bons qu'ils sonnent).
- Viénot de Vaublanc : « Dieu aidant. »
- Vienne (de) : « A bien Vienne » ou « A bien Vienne tout. »
- Vimeur de Rochambeau (de) « Vivre en preux, y mourir. »[28]
- Virieu (de) : « Virescit vulnere virtus » (Le courage reprend des forces par les blessures).
- Viry (de) : « A virtute viri » (Le courage fait les hommes).
- Vismes (de) : « J'aspire » (anciennement j'ay espoir)[29].
- Vissec (de) : « Sisto non sistor » (Vainqueur jamais vaincu).
- Vogüé (de) : « Sola vel voce leones terreo » (Par ma voix seule je terrifie les lions). Allusion au coq qui figure dans ses armes et dont le chant, selon la légende, terrifie le lion.
- Voyer de Paulmy d'Argenson (de) : « Vis et prudentia vincunt » (La force et la prudence l'emportent).
- Vuillefroy de Silly (de) : « Semper fidelis » (Toujours fidèle).
W
modifier- Wolbock (de) : « Potius mori quam mutare » (Plutôt mourir que changer).
Y
modifier- Yzarn (d') : « Sperare contra spem » (Espérer contre toute espérance).
Notes et références
modifier- Cet article est partiellement ou en totalité issu de l'article intitulé « Liste des devises (héraldique) » (voir la liste des auteurs).
- La plupart de ces devises proviennent des Devises héraldiques de Louis de La Roque. Paris 1890, ou des Filiations bretonnes du vicomte Henri de La Messelière. 1912.
- Se reporter à : « Cheyron du Pavillon (du) » (puis « Cheyron de Beaumont (du) », sur la Liste des familles subsistantes de la noblesse française (A à K) et à La Douze, à la dernière mention du § « Liste des seigneurs, puis barons et marquis de La Douze depuis 1372 ».
- vers d'Ovide, Fastes, Livre I, rappelant l'exil de Michele di Colaccio di Cucco dei Baglioni di Perugia, écuyer de Louis II duc d'Anjou, installé en France en 1385, souche des Baglion de la Dufferie.
- (la) Jean Baptiste Pierre Jullien de Courcelles, Histoire généalogique et héraldique des pairs de France : des grands dignitaires de la couronne, des principales familles nobles du royaume et des maisons princières de l'Europe, précédée de la généalogie de la maison de France, vol. 6, (lire en ligne)
- E. de Boceret, Devisaire de Bretagne, , p. 68
- H. Tausin, Dictionnaire des devises historiques et héraldiques, 2 volumes. 1878, p. 238
- Henri Jougla de Morenas, Grand Armorial de France, t. II, , p.353.
- Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, t. 1 et 2, Gouda, G.B. van Goor zonen, 1884-1887 et « ses Compléments », sur www.euraldic.com (consulté le )
- H. Tausin, Dictionnaire des devises historiques et héraldiques, 2 volumes. 1878, p. 469
- H. Tausin, Dictionnaire des devises historiques et héraldiques, 2 volumes. 1878, p. 641
- Louis-Pierre d'Hozier « Armorial général de la France », Firmin-Didot 1738, volume 1, pp. 186-188 lire en ligne [1] et volume 7, pp. 601-604 lire en ligne [2].
- Louis-Pierre d'Hozier « Armorial général de la France », Firmin-Didot 1738, volume 7, pp. 601 lire en ligne [3]
- . Ou : Je suis plus fort que la force selon H. Tausin, Dictionnaire des devises historiques et héraldiques. Supplément, 2 volumes. 1895, p. 265
- H. Tausin, Dictionnaire des devises historiques et héraldiques, 2 volumes. 1878, p. 73
- H. Tausin, Dictionnaire des devises historiques et héraldiques, 2 volumes. 1878, p. 65
- HERALOGIC : bases et logiciels héraldiques
- H. Tausin, Dictionnaire des devises historiques et héraldiques, 2 volumes. 1878, p. 57
- H. Tausin, Dictionnaire des devises historiques et héraldiques, 2 volumes. 1878, p. 415
- H. Tausin, Dictionnaire des devises historiques et héraldiques, 2 volumes. 1878, p. 428
- H. Tausin, Dictionnaire des devises historiques et héraldiques, 2 volumes. 1878, p. 561
- H. Tausin, Dictionnaire des devises historiques et héraldiques, 2 volumes. 1878, p. 516
- Henri Guignard de Saint-Priest, comte de Saint-Priest (1860-1930), étant le dernier représentant en nom et en titre de la Maison de Saint-Priest et n'ayant pas d'enfant, il adopta en 1930, par jugement du tribunal de la Rochelle, son petit-cousin par alliance, Henri Le Marchand (époux de Solange Collinet de La Salle, petite-fille du comte Edmond Collinet de la Salle et de Marie Amanda Guignard de Saint-Priest).
- Père Alexis Caquet 1766, p. [3] (lire en ligne).
- Gustave de Rivoire de La Bâtie, Armorial de Dauphiné contenant les armoiries figurées de toutes les familles nobles et notables de cette province, accompagnées de notices généalogiques complétant les nobiliaires de Chorier et de Guy Allard, Lyon, Imprimerie Louis Perrin (réimpr. 1969 (Allier - Grenoble)) (1re éd. 1867), 821 p. (lire en ligne), p. 433.
- Les de Morant, barons et marquis du Mesnil-Garnier, recherches historiques et généalogiques sur une famille normande aux XVIIe et XVIIIe siècles, par Albert Bruas
- J.-B. Rietstap, Armorial général, t. II, p. 296
- Index des noms de famille dans les ouvrages de Jean-Marie Thiebaud
- J.-B. Rietstap, Armorial général, t. II, p. 1008
- sceau de Raoul Baron de Vismes, chevalier archives nationales
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- A. Chassant et H. Tausin, Dictionnaire des devises historiques et héraldiques, Paris, Dumoulin Libraire, 1878, 1895, t. I, t. II, t. III (table alphabétique), t. IV (supplément).
- O. de Bessas de La Mégie, Légendaire de la noblesse de France, Paris, Librairie centrale, (lire en ligne).
- E. de Boceret, Devisaire de Bretagne, Vannes, Impr. Lafolye, (lire en ligne).
- Henri Jougla de Morenas et Raoul de Warren, Grand armorial de France, t. 1-7, Paris, 1934-1952.
- Jean-Baptiste Rietstap, Armorial général, t. 1-2, Gouda, G.B. van Goor zonen, 1884-1887.
- A. de Rochas d'Aiglun, Cris de guerre, devises, chants nationaux, chants du soldat et musiques militaires, Paris, E. Dubois, (lire en ligne).
Articles connexes
modifier- Liste des devises
- Liste des familles subsistantes de la noblesse française (A à K)
- Liste des familles subsistantes de la noblesse française (L à Z)
- Liste de familles éteintes de la noblesse française depuis 1900
- Liste de familles éteintes notoires de la noblesse française
- Armorial des familles de France