Durban (Gers)

commune française du département du Gers

Durban (Durban en gascon) est une commune française située dans le sud du département du Gers, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays d'Astarac, un territoire du sud gersois très vallonné, au sol argileux, qui longe le plateau de Lannemezan.

Durban
Durban (Gers)
Vue générale de Durban en 2021.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Gers
Arrondissement Mirande
Intercommunalité Communauté de communes Val de Gers
Maire
Mandat
Philippe Lalanne
2020-2026
Code postal 32260
Code commune 32118
Démographie
Population
municipale
137 hab. (2021 en évolution de −13,84 % par rapport à 2015)
Densité 7,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 32′ 23″ nord, 0° 34′ 44″ est
Altitude Min. 155 m
Max. 270 m
Superficie 17,4 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Auch
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton d'Auch-3
Législatives Première circonscription
Localisation
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Durban
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Durban
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Durban
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Durban

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Sousson, le Cédon et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Durban est une commune rurale qui compte 137 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 531 habitants en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Auch. Ses habitants sont appelés les Durbannais ou Durbannaises.

Géographie

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Localisation

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Le château d'eau de Cabarrieu.

La commune de Durban se situe dans le canton d'Auch-Sud-Ouest et dans l'Arrondissement de Mirande, dans l'aire d'attraction d'Auch, dans la vallée du Cédon. Elle se trouve à 15 km au sud d'Auch. Historiquement, Durban fait partie de l'Astarac[1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Lasseube-Propre, Labéjan, Orbessan, Ornézan, Saint-Jean-le-Comtal, Sansan et Seissan.

Géologie et relief

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L'altitude de la commune varie entre 155 et 270 mètres[3].

Durban se situe en zone de sismicité 2 (sismicité faible)[4].

Hydrographie

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Réseaux hydrographique et routier de Durban.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[5]. Elle est drainée par le Sousson, le Cédon, le ruisseau de Broqua, le ruisseau de Hourigot, le ruisseau de Larroque, le ruisseau du Bois du Turc et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 18 km de longueur totale[6],[Carte 1].

Le Sousson, d'une longueur totale de 33,8 km, prend sa source dans la commune d'Aujan-Mournède et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Gers à Auch, après avoir traversé 15 communes[7].

Le Cédon, d'une longueur totale de 18,6 km, prend sa source dans la commune de Lourties-Monbrun et s'écoule vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le Gers à Pavie, après avoir traversé 8 communes[8].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 793 mm, avec 9,6 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Auch à 12 km à vol d'oiseau[11], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,8 mm[12],[13]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[14].

Milieux naturels et biodiversité

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L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 1] sont recensées sur la commune[15] : les « coteaux du Cédon » (272 ha), couvrant 3 communes du département[16], et les « coteaux du Sousson » (772 ha), couvrant 6 communes du département[17] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[15] : les « coteaux du Sousson de Samaran à Pavie » (2 695 ha), couvrant 14 communes du département[18].

Urbanisme

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Point de vue depuis le village. La commune s'inscrit dans un cadre rural.

Typologie

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Au , Durban est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Auch, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[I 2]. Cette aire, qui regroupe 112 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 3],[I 4].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (78,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,9 %), zones agricoles hétérogènes (16,5 %), prairies (15,3 %), forêts (11,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,1 %)[19]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports

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Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Durban est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible)[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Durban.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (94,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 76 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 76 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 93 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1995, 1999, 2003 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2002 et 2016 et par des mouvements de terrain en 1991 et 1999[20].

Toponymie

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Histoire

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Monument aux morts.

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires

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La mairie (à gauche) et la salle des fêtes (à droite).
Liste des maires successifs[24]
Période Identité Étiquette Qualité
1812 1815 Jean-Baptiste Liares    
1815 1820 Bazille Brouste    
1820 1832 Henri Druillet    
1832 1834 Jean Broute    
1834 1864 Guillaume Hebrais    
1864 1871 Jean-Baptiste Peres    
1871 1889 Auguste Laborie    
1889 1904 Jacques Lescure    
1904 1908 Bertrand Mediamole    
1908 1935 Batiste Samaran    
1935 1945 Urbain Mediamole    
1945 1959 Jean Laforet    
1959 1971 Jean-Louis Dupuy    
1971 1983 Louis Lescure    
1983 2020 Alain Ribolléda[25] DVG Professeur
2020 En cours Philippe Lalanne    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[27]. En 2021, la commune comptait 137 habitants[Note 4], en évolution de −13,84 % par rapport à 2015 (Gers : +0,79 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
122287439403531493476428420
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
373398380376416355344329300
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
282268210225240224219209187
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
174156167173162172175148157
2019 2021 - - - - - - -
138137-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[3] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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Il n'y a pas d'école à Durban. L'enseignement élémentaire est regroupé avec les communes d'Ornézan, Sansan, Traversères, Boucagnères et Orbessan[29]. L'école maternelle est située à Orbessan tandis que l'école primaire se situe à Ornézan. Le centre de loisirs le plus proche est celui de Seissan[30].

Manifestations culturelles et festivités

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Fête patronale : 1er dimanche de juin[31].

Économie

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Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 5] 4,1 % 5,2 % 6,3 %
Département[I 6] 6,1 % 7,5 % 8,2 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 84 personnes, parmi lesquelles on compte 84,8 % d'actifs (78,5 % ayant un emploi et 6,3 % de chômeurs) et 15,2 % d'inactifs[Note 5],[I 5]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Auch, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 8]. Elle compte 31 emplois en 2018, contre 43 en 2013 et 33 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 69, soit un indicateur de concentration d'emploi de 44,4 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 59,8 %[I 9].

Sur ces 69 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 22 travaillent dans la commune, soit 32 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 80 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,1 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 16,9 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

Activités hors agriculture

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10 établissements[Note 6] sont implantés à Durban au [I 12]. Le secteur de la construction est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 30 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 10 entreprises implantées à Durban), contre 14,6 % au niveau départemental[I 13].

Agriculture

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La commune est dans le « Haut-Armagnac », une petite région agricole occupant le centre du département du Gers[32]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 7] sur la commune est la combinaisons de granivores (porcins, volailles)[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 33 23 21 19
SAU[Note 8] (ha) 1 300 1 401 1 115 1 502

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 33 lors du recensement agricole de 1988[Note 9] à 23 en 2000 puis à 21 en 2010[34] et enfin à 19 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 42 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[35],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 1 300 ha en 1988 à 1 502 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 39 à 79 ha[34].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Motte castrale et ruines du château des comtes d'Astarac[36]. Une salle de 14 m de long, dans laquelle s’ouvrent quatre arches, dont deux en bon état, est située derrière une courtine de 2 m d'épaisseur. La courtine ouest, très courte, était dominée par un donjon dont il ne reste que la base. Pièce maîtresse des possessions comtales d’Astarac, la forteresse est citée en 1244, avec Castelnau-Barbarens, Lasseube-Propre, Moncassin et Simorre, dans l’hommage rendu par le comte Centulle II et sa mère Segnis de Lomagne au comte de Toulouse pour l’ensemble du comté[37].
  • Château de Marteret. La gentilhommière visible sur la carte de Cassini n’est plus aujourd’hui qu’un bâtiment quadrangulaire en partie ruiné à l'ouest. Propriété privée, ne se visite pas.
  • Château de Montagnan. L’habitat principal et les annexes agricoles s’organisent autour d’une cour centrale quadrangulaire. L’ensemble, qui prend plus l’aspect d’une exploitation agricole qu’une véritable demeure seigneuriale, est en place au milieu du XVIIIe siècle car le sieur de Luppé, marquis de Garrané, « tient la maison de Montaignan, basse-cour, granges, pigeonnier, jardin, écuries »[38] en 1767[39]. Propriété privée, ne se visite pas.
  • Moulin à vent à l’entrée est du village. Visible sur la carte d'état-major, il était associé à un logement destiné au meunier. Il a été reconstruit sur son emplacement d'origine de 2017 à 2018. Un fournil a également été édifié.
  • Plusieurs croix disséminées sur la commune.
  • Fontaine Sainte-Gemme de Lagane : fontaine intarissable, objet d'un ancien pèlerinage[31].
  • Moulin à vent de Durban[40], reconstruit en 2018 sur les ruines du moulin du XVIIIe siècle.

Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  2. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  6. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  7. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  8. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  9. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[33].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Durban » sur Géoportail (consulté le 11 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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  1. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  2. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Durban ».
  3. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Auch », sur insee.fr (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  5. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Durban » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Gers » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Durban » (consulté le ).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Durban » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Gers » (consulté le ).

Autres sources

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  1. Georges Courtès (dir.), Communes du département du Gers, vol. I : Arrondissement d'Auch, Auch, Société archéologique et historique du Gers, , 460 p. (ISBN 2-9505900-7-1, BNF 39151085).
  2. Carte IGN sous Géoportail
  3. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  4. Plan séisme
  5. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Fiche communale de Durban », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  7. Sandre, « le Sousson »
  8. Sandre, « le Cédon »
  9. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
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  12. « Station Météo-France « Auch » (commune d'Auch) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Auch » (commune d'Auch) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
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  18. « ZNIEFF les « coteaux du Sousson de Samaran à Pavie » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  24. « Les maires de Durban », sur Site francegenweb, (consulté le ).
  25. Site de la préfecture - Fiche de Durban
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  27. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. La Dépêche, Ornézan. Les enfants du RPI fêtent Noël, 25 décembre 2013
  30. Ornezan/Orbessan. Ce qui change pour le RPI, La Dépêche du Midi, 31 aout 2013
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