Discussion:Empathie

Dernier commentaire : il y a 4 ans par Vega dans le sujet Proposition d'anecdote pour la page d'accueil
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(la notion d'empathie n'impliquant pas en elle-même l'idée du partage des mêmes sentiments et émotions, ni d'une position particulière vis-à-vis de ces derniers) Je déplace cette phrase dans la discussion étant donné qu'elle est purement et simplement en contradiction direct avec les résultats scientifique étayé dans la section Neurosciences « On fait subir à la première une légère douleur, et l'on voit une région précise de son cerveau « s'illuminer » lorsqu'elle la ressent. La personne voisine, qui observe la scène sans être manipulée et donc sans rien sentir sur le plan physique, présente une image IRM comparable au même moment, tout simplement par empathie. On arrive donc à mettre en évidence un sentiment »11 Crazyßlade

[Xa] une contradiction me saute aux yeux:

1)La perception empathique est liée à la fonction amygdalienne. 2)L'empathie implique un processus de recul intellectuel qui vise la compréhension des états émotionnels des autres, tandis que la sympathie est un comportement réflexe, de type réactif.

le débat sur cet article est-il plutot d'ordre idéologique ?


Le point de vu neurologique est intéressant, mais ne doit surtout pas devenir majoritaire (voir hégémonique) sur cette page.
Même l'état réflexe est hypothétique, et très loin de pouvoir être déduit de l'état actuel des neuroscience.
Il faut se méfier des nombreux raccourcis qu'on pris les neurosciences cette dernière décennies (et encore… ça fait moins de 10 ans…) tirant des conclusions sur des résultats supposant exactes des études non-encore confirmée (voir non encore menées), elles mêmes basée sur d'autres études non encore confirmée…
ça reste la norme en neuroscience ces derniers temps.
Tout comme il faut différentier la perception par nos sens de la sensation interprétée par notre cerveau, et altérée par notre vécus, notre histoire, notre culture…
Il est très important de différentier la captation d'une activité localisée dans le cerveau (donc la localisation d'un "traitement" d'information) et l'idée que c'est ce traitement qui génèrerai l'émotion ou même le "sentiment"…
Elle pourrait tout aussi bien être une conséquence (ou une conséquences d'autres traitements non analysé) et non une cause. Les neuroscience sont à ce jour très loin d'être capable de répondre à la question du mécanismes neurales générant la pensée ou les émotions, ou même seulement la mémoire. Ils arrivent seulement à déterminer des "zones d'activités". et tissent des "corrélations", en restant incapable de déduire des causalités réelles.
L'immense partie des "conclusions" publiés dans les journaux de vulgarisation, concernant leur capacité à "localiser" les sentiments, ou décrivant les "mécanismes" en jeux sont d'énormes raccourcis, voir de pure croyances (espoir ?), qui n'ont aucune base scientifique réelle. Ils visent surtout à émouvoir et émerveiller la population pour "défendre" son beefsteak subventionnel auprès des pouvoirs publics.
En toute rigueur, les neuro-science sont encore très loin d'être capable de comprendre comment nos pensées se forment, comment notre mémoire, nos autres perceptions présente, notre histoire ou même notre nature (génétique…) influe sur cette pensée, son déroulement, sa construction.
Non, nous ne percevons que des "zone d'activité", et ça s'arrête là. La science se doit de rester humble, et les neuro-science encore plus.
28 décembre 2015 à 01:54 (CET)Titsta (discuter)


Discussion sur l'empathie

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Suis-je empathique??

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Le fait que j'arrive a ressentir les émotions des gens a t-elle point que quand j'arrive au prés d'une personne pleine de détresse, joie... ceci peux littéralement changé mon état d'esprit (exemple: je vais voir une personne je suis de bonne humeur elle ne l'est pas et sans le vouloir je me retrouve dans son état d'esprit parfois sans même quel mes fait part de ces sentiments) Ceci fait-il de moi une personne empathique???

non puisque tu es sensible. L'empathique saurait rester neutre.
si l'empathie serait resté neutre un empathique ne serait alors pas une personne qui ressent les émotions des autres comme si c'était les siennes. resté neutre a une émotion de quelqu'un d'autre va a l'encontre même du fait d'être empatique


L'empathie c'est aussi s'identifier à quelqu'un, certes avec discernement, mais en tout cas avec un transfert et d'importantes projections des autres sur soi. C'est ce qui fait d'un groupe un seul homme. Qu'une foule est prête à lyncher un innocent. Rien de neutre, d'intelligent et de raisonnné dans le comportement empathique (idem dans l'euphorie sympathique - des définitions de wikipedia -). L'empathique est loin d'être neutre dans son processus d'identification comme voudrait le faire croire celui qui chapeaute cette page archi nulle.

resté neutre a quel quonque émotions sa me semble étre plutot de la sociopathie
C'est plutôt arriver à se détacher affectivement des émotions des autres.
ça n'est effectivement pas "rester neutre", mais c'est ne pas mélanger nos émotions et celle des autres. Sinon, il s'agit de sympathie, et non pas d'empathie.
donc le fais que si quelqu'un souffre mentalement en me racontant c'est probléme me fasse souffrir toute autent que lui c'est de la sympathie???
En fait, si tu souffre parcequ'il souffre, c'est de la sympathie une sorte de "copier coller" des sensations des autres sur les tiennes, ça n'est pas de l'empathie.
Après, si c'est sa situation qui te fais souffrir, parce qu'elle est mauvaise en sois, indépendament de ce qu'il ressent lui, c'est plutôt de la sensibilité. (par exemple, on peut souffrir de la pauvreté de quelqu'un parce qu'il est pauvre, qu'il en souffre ou non) Ont peut rester sensible même en utilisant convenablement l'empathie.
L'empathie, c'est arriver à percevoir les émotions de l'autre (sa souffrance, sa joie etc...) mais sans que ces émotions nous influencent. Donc on peut avoir les mêmes, mais ça n'est pas parce que l'autre les éprouves qu'on les éprouves
C'est ça être indépendant, ça n'est pas nécessairement ne rien éprouver. Titsta

définition ésotérique

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Tout cela n'a que peu d'importance. Peut-être ne connaissait-il pas la catégorie:ésotérisme de l'encyclopédie ? Par contre, j'ai hâte de lire ton article bien distinct de celui-ci (curiosité, qu'est ce que l'ésotérisme apporte de plus, si ce n'est son label ?). J'espère donc trouver le lien rouge que je t'ai proposé bientôt bleuit ! Frédéric Priest-monk 2 mars 2007 à 20:44 (CET)Répondre
C'est surtout l'approche qui est différente. Les sciences humaines utilisent une approche rationelle et objective, basée sur l'observations de faits concrèts annalysable et quantifiables, dans le but d'expliquer le fonctionnement de l'empathie.
La magie fait une approche sensible des choses (et de l'empathie en particulier) basée sur l'instinct et la symbolique, dans le but d'utiliser l'empathie.
Comme toujours en magie, on cherche à utiliser des choses qu'on ne comprend pas. C'est en ça principalement qu'elle diffère de la science, qui elle cherche à expliquer les choses qu'elle ne comprend pas. Il y a une différence de nature fondamentale, il ne s'agit pas de "connaissances/superstitions" qui s'opposent, comme le pensent la plupart des scientifiques (les religieux brulait les sorcières pour les mêmes raisons autrefois, sur le domaine de la croyance. Il est assez malheureux d'observer que les (mauvais) scientifiques ont repris le flambeaux, si j'ose dire, des anciens fanatiques)
Bref, les sciences humaines ont donc dévellopée particulièrement leur analyse de l'empathie sur les choses quantifiables et observables (molècules, féromones, hormones, neuro-transmèteurs, fonctionnement physico/chimique du cerveau...)
Les approches magiques ont portée leur attention sur les sensations et leurs représentation mentale symbolique (j'appelle ça le fonctionnement "mental" du cerveau), pour mieux la gérer et donc améliorer sa pratique. (Quoiqu'il me semble y avoir plus de techniques pour iniber sa pratique il faut dire... enfin à ma connaissance)
Personnellement, je pense que si la science fonctionne particulièrement bien dans les domaines physique, en ce qui concerne les domaines psycologique la magie à encore pas mal d'avance, et il y aurai beaucoup à tirer d'une annalyse scientifique des techniques magique en la matière. D'où mes recherches scientifiques personnelles sur l'empathie. (Merci de cette discussion, j'ai un peu l'impression de pas avoir perdu ma journée ici, comme ça) Titsta 5 mars 2007 à 05:45 (CET)Répondre

PS : Au fait, je reposte ton commentaire et une partie de ma réponse (un peu remanié pour avoir un ton moin 'dispute'), que j'avais effacé un peu vite pour raccourcir la partie 'dispute' de la discussion.


Pour te répondre, puisque tu en parles, il ne s'agit pas d'un sens. C'est une compréhension et une interprétation liée à l'apprentissage de conventions. Pour ce qui est de la reconnaissance des émotions, elle s'effectue par l'intermédiaire d'une glande du cerveau nommée l'amygdale en raison de sa forme, qui grossit avec la maturité, si tu veux comme dans une seconde puberté. Cette glande vise, comme le dit l'article à anticiper des réactions à des comportements, accélérer une réaction de peur par exemple, à un danger pour mieux se protéger. Cette impression d'intuition doit tenir au fait que la réaction après et avant traitement par l'amygdale peut s'effectuer par un circuit encore plus court qui ne passe pas par les régions conscientes, afin d'accélérer encore plus la réponse. Avec ceci, il te reste tout google pour voir les expériences des neurologues à ce sujet. Le ton péremptoire de ton discours n'est pas nécessaire et n'a pas lieu d'être. Bonne recherche ! Frédéric Priest-monk 21 février 2007 à 13:34 (CET)

Puisque tu aime la science : Les recherches scientifiques que j'ai menées auprès de ces croyants en l'empathie magique m'ont ammenées à la correller à une communication féromonale. Mais là, il s'agit de mes recherches, et donc sans sources forcément, puisque basées sur l'expérimentation. (il n'y a malheureusement pas de recherche scientifique sérieuse sur le sujet...). L'hypothèse d'un autre sens, vecteur des informations sur l'état affectif de notre entourage tiens donc parfaitement la route, et ce scientifiquement cette fois ci. ;)
Je recherche à présent les différentes techniques magiques utilisées pour gérer l'empathie, afin de pouvoir tester plus tard leurs effets sur notre perception féromonale. Heureusement que certains scientifiques accordent un peu de crédit aux illuminés, il s'avère que parfois ils ont des raisons, même si elles sont mal exprimées et relativement floue.
En quoi ont consisté exactement tes recherches ? Il me semblait que chez l'homme les féromones ont acquis une importance de plus en plus minime jusqu'à aujourd'hui. (autrement, on ne fabriquerait pas de l'audiovisuel pour nos mondes virtuels). Et pourquoi persistes tu à parler d'un sens et d'études personnelles qui conclut à la communication par féromones ? que fais -tu de l'amygdale ? Frédéric Priest-monk 5 mars 2007 à 07:58 (CET)Répondre


empathie en pratique médicale

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il est admis qu'un médecin doit avoir une certaine empathie vis à vis du patient, et qu'en son absence il n'est pas possible de traiter la soufrance psychologique, car le patient ne parlera pas. Il y a des techniques d'écoute, et tout cela n'a rien d'ésotérique, cela s'apprend en cours de psycho et surtout, ensuite cela se dévelope ( il faut aussi apprendre à bloquer pour ne pas être débordé) Donc, pas ésotérique, pratique courante du bon praticien --Rosier 21 février 2007 à 16:50 (CET)Répondre

Il peut exister une pratique logique et rationnelle (donc scientifique) de l'empathie et une pratique plus ésotérique. L'un n'empèche pas l'autre. Même si l'empathie utilisé par les médecins n'a rien d'ésotérique (quoi que... si ça fait référence à l'intuition, c'est pas sûr), ça ne veux pas dire que toutes les techniques empathiques ne sont pas ésotériques. (D'ailleurs il existe pas mal de pratiques ésotériques de l'empathie qui permettent de dévelloper cette intuition, ou de ne pas sombrer dans la sympathie, et je les rapporterai sur Wikipedia quand j'aurai le temps) Titsta 2 mars 2007 à 20:23 (CET)Répondre


Suis-je empathique, autre question...

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Bonjour, j'aimerai bien comprendre et pratiquer l'empathie : Est-ce qu'être empathique signifie que je reformule en sentiment ce que me dit mon interlocuteur? Si c'est le cas, est-ce qu'en faisant cela, je formule des sentiments qui ME semblent être ceux qu'il a?? (C'est clair la question?) Merci

C'est reformuler en sentiment tout ce que tu peux percevoir de ton interlocuteur, ça ne passe pas nécessairement par la parole. ça peut être des gestes, des attitudes, ou d'autres analyses plus ou moins consciente de l'ensemble des informations que te communique ton "interlocuteur".
De toute manière, il existe une sorte d'incommunicabilité des sentiments. On ne pourra jamais être sûr que les sentiments qu'on calque sur quelqu'un sont réellement ceux qu'il éprouve. même s'il nous dit expressément les ressentir, il peut tout simplement mentir (ou se mentir) Donc dans un certain sens, l'empathie formule nécessairement ce qui semble être les sentiments de l'autre. (rien n'est certain dans ce monde ^^ )
Le doute sur la véracité de notre description est un élément essentiel. Que ce soit pour l'empathie ou dans n'importe quel autre domaine. Personne n'est parfait, et tout le monde peut se tromper (même les scientifiques les plus renommées dont on utilise les théories, dans le cas de l'empathie scientifique) Titsta 26 septembre 2007 à 12:12 (CEST)Répondre

Tautologie ?

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Bonsoir Kndiaye, vous parler de tautologie lorsque j'indique que l'empathie est un mécanisme relationnel et vous revertez en préférant pour la culture générale qu'il s'agit d'un "mécanisme psychologique". Etonnement. Ne s'agit-il pas d'un non sens ? Depuis quand la psychologie se fonde-t-elle sur quelque chose de concret ? Les relations humaines s'observent. La psychologie est une vaste interprétation. Si lorsqu'on parle d'empathie on parle de psychologie, c'est par facilité de langage, pas par explication véritable du phénomène. Est-ce possible de rester dans l'observable ? L'empathie est dans la relation que l'on a avec quelqu'un.... On peut avoir une observation très concrète d'une relation empathique comme on peut avoir une observation très concrète d'une relation sympathique. Le mécanisme est relationnel, pas psychologique. Jean-Louis Lascoux (d) 8 octobre 2008 à 20:58 (CEST)Répondre

Bonjour. Ne prenez pas mal le mot (tautologie) que j'ai utilisé. Ce que je voulais dire c'est qu'il est important d'expliciter dès le résumé introductif de quel domaine relève l'objet de l'article (cf. WP:INTRO). Néanmoins, je conteste totalement votre vision de la psychologie. Il me semble qu'il n'y a aucun non-sens dans l'expression "mécanisme psychologique" (on parle aussi de façon quasi synoyme de "processus psychologique"). En effet, la psychologie se fonde sur l'observation du comportement humain (notamment des relations humaines). Mais elle manipule des concepts (forcément théoriques comme tous les concepts, qu'il s'agisse de processus mentaux en psychologie ou d'énergies en physique) et donc comme toute science, la science psychologique est une interprétation rationnelle, matérialiste et naturaliste de phénomènes objectifs, « obervables » comme vous dites à raison. Or si la définition de cet article précise que l'empathie consiste à « comprendre les sentiments et les émotions d'une autre personne » elle donc implique nécessairement qu'elle est relationnelle, c'est cela qui me semblait tautologique. J'ai développé l'introduction en incluant le terme dans un second paragraphe. Cela vous semble-t-il plus clair à présent ? knd (d) 9 octobre 2008 à 03:00 (CEST)Répondre

La leçon d'empathie donnée par les chimpanzés

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Frans de Waal on Political Apes, Science Communication, and Building a Cooperative Society

par Eric Michael Johnson 11 juillet 2011. Scientific American.

--Pierre-Alain Gouanvic Ubuntu! 15 juillet 2011 à 20:51 (CEST)Répondre

La survie du plus apte à être gentil

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Social scientists build case for 'survival of the kindest' Université Berkeley : They call it "survival of the kindest."

"Because of our very vulnerable offspring, the fundamental task for human survival and gene replication is to take care of others," said Keltner, co-director of UC Berkeley's Greater Good Science Center. "Human beings have survived as a species because we have evolved the capacities to care for those in need and to cooperate. As Darwin long ago surmised, sympathy is our strongest instinct.

--Pierre-Alain Gouanvic Ubuntu! 14 août 2011 à 23:24 (CEST)Répondre

Est ce que la raison permettrait a l'individu de contrôler son empathie a la différence des émotions ?

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Si on s'est pas comment fonctionne la sensibilité d'un individu notamment en s'érigeant comme le dictateur des idées permettant d'ouvrir un débat. Il faudrait déjà connaître ce qu'est l'empathie, ou il se situe et surtout comment fonctionne le cerveau d'un enfant en bas age. En remerciant le censeur de supprimer les idées sans référence qui montre une total indifférence contre de nouvelle idées non dénué peut être d'expérience ! Mais, il est vrai les livres ou references servent autant aux dictateur qu'au fondateur .... Est ce que l'onglet Discussion n'est pas de trop ! -- non signé : commentaire de 82.240.0.135

Bonjour 82.240.0.135,
Vos interventions n'étaient pas encyclopédiques mais auraient pu contribuer à l'amélioration de Wikipédia si, justement, vous aviez lancé ces idées aux autres wikipédien.ne.s en page de discussion pour évaluation et sourçage. L'onglet Discussion n'est pas de trop, rassurez-vous! --Pierre-Alain Gouanvic Discuter, tchatter etc. 30 janvier 2013 à 22:45 (CET)Répondre

Bonjour M. Gouanvic Il est ou l'onglet "évaluation et sourcage" N'est on pas sur l'onglet discussion en ce moment ? ---sans ref et pour tous --

Du bla bla bla pour deux sujets du sens empathique très différents et pas mélangeables

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Je tiens bien à intervenir comme un vrai et rationnel "empathe":

Un terme si récent pour un fait réel et naturel, vieux comme le monde, venu avec nous les humains depuis la source de la vie... ..être empathe ne s'invente pas ni s'apprend, soit par des méthodes dites "magiques" dans le domaine de "l'isoterisme"ou par pure objectif et profit scientifique d'analyse psychologique. Nous le sommes ou nous ne le sommes pas, ça fait partie d'une qualité inné de certains qui sera développée toute au long de leur vie biologique. La confusion surgi lorsque cette qualité humaine, qui pourra être vécu comme un don ou au contraire comme quelque chose appartenant à un caractère nuisible aux autres ou a nous mêmes, viens mélanger l'incompréhensible et l'inexplicable avec la nécessité constante et scientifique de toute expliquer pour la préservation d'une bonne éthique et maîtrise mentale.

Il faudra donc bien séparer le sens de la terminologie "d'empathie" au sens clinique et littéraire du sens naturel d'avoir un "Don d'empathie".

Un bon empathe doit donc, oui, apprendre au long d'un chemin d'une vie à maîtriser ce "don" en bloquant en lui les informations extérieurs et toute énergie qu'il puisse absorber et exclure ces actes dites "sympathiques", mais une personne empathique ne sera jamais quelqu'un de neutre et elle passera bien au delà le stade de "sensibilité" puisqu'elle sais que ce qui concerne l'autre lui concerne aussi, puisque ça concerne tout le concept d'humanité et sociabilité et ses problèmes en manque d'une résolution cohérente et équilibriste. Elle connaîtra alors l'autre et ses faits par simple ressenti (mentale ou physique) et non par une induction d'imitation ou d'analyse cognitive.. Cette personne vivra toujours à la recherche de réponses, confrontée avec des phénomènes qui sortent du "normale" et entrent dans le domaine controversé de la "science métaphysique" dans leur ressenti inexplicable et invisible envers l'autre, mais s'avéré juste, elle sera toujours à l'écoute et cherchera qu'une chose entre toute échange: La pacification.

Voilà le concept d'empathie aux yeux et valeurs d'une personne née "empathe", empathique comme vous la voulais designer.... J’espère avoir éclairci quelques esprits enquête d'études et de leurs créer la controverse dans leurs pédagogie (qui est d’ailleurs en constante changement et actualisation) ;)

Cordialement

Mlle Martins le 06/09/2014

Empathie dévoyée...

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L'empathie «prévient», et la compassion «guérit». Par contexte, on peut user d'empathie afin d'éviter à avoir plus tard de la compassion envers le même sujet...

Il est écrit en premier paragraphe : « (...) dans un sens plus général, de ses états non-émotionnels, comme ses croyances »... D'où ça sort ce truc ? Faire d'un cas très particulier le corps d'une définition générale... On peut y voir un article tendancieux à sauce politique. Désolé, mais comme la majorité des gens normaux, je n'éprouve aucune empathie envers, par exemple, une religion qui elle-même annihile l'empathie (sauf envers les membres de son propre «club», et encore ce n'est pas toujours le cas, par exemple en un certain Islam - je ne parle pas des musulmans en général), voire pire en promouvant le mal ou le mépris envers les «non-membres» (telle une adhésion par chantage sinon que par violence et menace psychologique).

Oui, on peut avoir de l'empathie envers un immigrant, sachant que ce dernier aura à déployer des efforts afin de s'intégrer/s'assimiler, c'est naturel et notre faculté de compassion fait qu'on va l'aider en ce sens (là où empathie et compassion sont complémentaires). Tout comme avoir de l'empathie avers des femmes obligées de se voiler le visage, devrait éveiller notre compassion en les aidant à sortir de leur environnement déviant, de leur statut d'objet (à défaut de contrer cet environnement). Cependant, l'empathie se voit tuée dans l’œuf, le contrat moral que cela implique est brisé à partir du moment où l'on est dans une société triturée en enclos ethniques/religieux/communautés d'intérêts affairistes, par communautarisme politique et clientéliste interposé (diviser afin de régner sur eux, or pour cela il faut éliminer les notions d'empathie et de solidarité sociale devant dès lors laisser place au clanisme... Sinon que se laisser corrompre en exigeant l'empathie des uns envers d'autres qui n'y sont pas obligés (de manière unidirectionnelle/unilatérale), et qu'au contraire l'on encourage à en exacerber les plus basses différences, alors qu'on nous demande d'accepter voire embrasser ces dernières, ce qui n'a plus rien à voir avec de l'empathie, mais plutôt avec la soumission de vaincu - difficile à accepter... C'est comme un monde à l'envers, où ce sont nos sociétés d'accueil accueillantes qui doivent s'assimiler ou s'intégrer aux immigrants, et ça n'a pas de sens sauf si on vise à disparaître (surtout considérant l'immigration MASSIVE) ! En ce contexte, et on ne peut que le constater de la part d'un grand nombre augmentant constamment, au Diable l'empathie (réaction logique imbue par le clanisme)...

D'un autre côté, trop de religions se voulant «structurantes» (Églises de pouvoir plus que de spiritualité), annihilent justement la faculté d'empathie, ainsi donc et similairement la faculté de réflexion rationnelle, en faisant de nous des entités croyantes plus que pensantes (des singes usant de mimétisme plus que des humains). Car sinon, il n'y aurait jamais eu de guerres de religion, de Djihad ou d'inquisition... Et ceci tout comme «Dieu dollars» et ses pseudo «lois de l'argent» puissent le faire (constatez que l'on parle de «lois» plutôt que de «mécanismes» de l'argent, telle une perception que l'on voudrait religieuse envers des mécanismes pourtant pensés et formulés par des individus - l'économie n'étant pas une science -, et envers lesquelles on demande une adhésion aveugle voire déviante - le même risque qu'une religion d'église de pouvoir). Oui on peut comprendre les mécanismes pouvant mener à un tel état de chose, mais ce serait plutôt d'un intérêt médico-psychiatrique, dénotant une déviance ou une tare mentale, et permettant d'affiner les moyens d'intervention.

En ce sens, il n'est pas question d'empathie : la COMPASSION n'exigerait pas de nous changer nous-mêmes afin d'accommoder l'empathie (afin d'accommoder des mentalités radicalement opposées à nos valeurs sociétales et évolutives, exigeant qu'ainsi l'on s'élimine nous-mêmes à défaut de se niveler vers le bas - ou vers autre chose nous déviant de notre civilisation et aspirations). C'est en ce type de contexte qu'empathie et compassion sont complémentaires : Le fait de comprendre par exemple combien des femmes puissent se retrouver en un état d'objet, soumises ou obligées à des choses que nos valeurs et évolutions sociétales ne permettraient pas, cela demande de l'empathie. Par contre, ça doit s'arrêter là à défaut de devenir de l'empathie destructrice ! On n'a pas à entretenir ce qui éveille l'empathie (quand le mal est fait ou se constate, l'empathie ne sert plus à rien sinon qu'à se détruire sois-même), mais plutôt à user de compassion afin de les aider à s'intégrer/s'assimiler, quitte à les envoyer en psychanalyse pour les plus «fervents» (radicaux) d'entre eux. --HawkFest (discuter) 24 mai 2017 à 20:35 (CEST)Répondre

Dans le chapitre empathie émotionnelle, empathie cognitive

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Bonjour,
dans le chapitre empathie émotionnelle et empathie cognitive, je pense qu'une amélioration est possible. Dans le passage"en toute rigueur, l'empathie émotionnelle peut ne pas être du tout dirigée vers le bien-être d'autrui à l'inverse de la sympathie. Ainsi faire acte de cruauté requiert une capacité empathique pour connaître le ressenti, en l'occurrence la souffrance, d'autrui afin d'en tirer un plaisir.", Je pense qu'au lieu d'empathie émotionnelle, on pourrait mettre empathie cognitive. L'empathie est due à la culture de chacune, donc peut-être différente. Mais la méchanceté est souvent l'œuvre du malin, donc plutôt de la cognition.--PRALAYA (discuter) 10 février 2018 à 14:40 (CET)Répondre

Proposition d'anecdote pour la page d'accueil

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Une anecdote basée sur cet article a été proposée ici (une fois acceptée ou refusée elle est archivée là). N'hésitez pas à apporter votre avis sur sa pertinence, sa formulation ou l'ajout de sources dans l'article.
Les anecdotes sont destinées à la section « Le Saviez-vous ? » de la page d'accueil de Wikipédia. Elles doivent d'abord être proposées sur la page dédiée.
(ceci est un message automatique du bot GhosterBot le 30 octobre 2020 à 22:17, sans bot flag)

L'anecdote est validée : Wikipédia:Le saviez-vous ?/Anecdotes à publier#Propositions non illustréesVega (discuter) 7 novembre 2020 à 19:08 (CET)Répondre
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