Meuse (département)
La Meuse ([møz][2] Écouter) est un département français. Il fait partie de la région historique et culturelle de Lorraine et fait aujourd'hui partie de la région administrative Grand Est. Le département doit son nom au fleuve qui le traverse du sud au nord, la Meuse. L'Insee et La Poste lui attribuent le code 55.
Meuse | |
Administration | |
---|---|
Pays | France |
Région | Grand Est |
Création du département | |
Chef-lieu (Préfecture) |
Bar-le-Duc |
Sous-préfectures | Commercy Verdun |
Président du conseil départemental |
Jérôme Dumont (DVD) |
Préfet | Xavier Delarue[1] |
Code Insee | 55 |
Code ISO 3166-2 | FR-55 |
Code Eurostat NUTS-3 | FR412 |
Démographie | |
Gentilé | Meusiens |
Population | 181 919 hab. (2021) |
Densité | 29 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 00′ nord, 5° 20′ est |
Superficie | 6 211 km2 |
Subdivisions | |
Arrondissements | 3 |
Circonscriptions législatives | 2 |
Cantons | 17 |
Intercommunalités | 15 |
Communes | 499 |
Liens | |
Site web | meuse.fr |
modifier |
La préfecture du département est Bar-le-Duc. Ses deux sous-préfectures sont Commercy au sud et Verdun au centre. Verdun est la ville la plus peuplée du département.
Géographie
modifierLa Meuse fait partie de la région Grand Est. Elle est limitrophe des départements des Ardennes, de la Marne, de la Haute-Marne, des Vosges et de Meurthe-et-Moselle, ainsi que de la Belgique.
Les villes principales sont : Verdun, Bar-le-Duc, Commercy, Saint-Mihiel, Ligny-en-Barrois, Étain, Montmédy, Stenay, Revigny-sur-Ornain et Vaucouleurs.
Les cours d'eau sont : la Meuse, l'Aire, la Chiers, l'Ornain, la Saulx, l'Orge, l'Oignon, la Vaise, l'Orne et l'Aisne dont la source est dans le département.
Les « côtes de Meuse », cuestas en bordure Est du Bassin parisien, sont la forme de relief la plus caractéristique du département. Les fronts, bien drainés, sont favorables à la culture des arbres fruitiers, particulièrement des mirabelles, et de la vigne. Le revers, plateau calcaire aux vallées bien marquées, est aujourd'hui entièrement occupé par des cultures céréalières.
Ces côtes dominent la plaine de la Woëvre, région au sol argileux et marécageux.
La Meuse possède deux cols de montagne[3] :
-
La vallée Bartiere à Foucaucourt-sur-Thabas, à l'est.
-
Vue sur le paysage d'Argonne depuis Beaulieu-en-Argonne, à l'est.
-
Vue de la vallée de l'Ornain depuis le belvédère de la Vierge Noire à Nançois-sur-Ornain, au sud.
-
Les Côtes de Meuse vue depuis la côte Saint-Germain (butte-témoin), au nord.
Climat
modifierLe département est soumis à un climat à la fois océanique et continental qui se traduit par des saisons prononcées entrecoupées par des périodes intermédiaires au cours desquelles les températures et les précipitations restent moyennes.
Le volume des précipitations oscille autour de 900 millimètres avec toutefois des nuances très fortes entre la région de la Woëvre (à l'est) qui reçoit moins d'eau (moins de 850 mm) que la région du Barrois (au centre) avec plus de 1 000 millimètres de précipitations[4].
Toponymie
modifierPar une loi du , cette entité administrative est primitivement appelée département du Barrois par l'Assemblée nationale ; le suivant, cette même assemblée change sa dénomination pour département de la Meuse, en référence à l'une des principales rivières qui le traverse[5].
Histoire
modifierLa Meuse est l'un des 83 départements créés à la Révolution française, à partir de la partie la plus occidentale de la province de Lorraine. Contrairement au département voisin de la Moselle, la Meuse n'a presque pas varié dans ses limites depuis sa création. On peut cependant citer le cas de la petite commune de Han-devant-Pierrepont, qui en a été détachée en 1997 pour être rattachée au département de Meurthe-et-Moselle.
Durant la guerre de 1870, l'ouest du département fut le théâtre des opérations qui aboutirent à la défaite de Sedan[6].
Ce département fut l'un des principaux théâtres de combat de la Première Guerre mondiale, particulièrement à Verdun en 1916. Après l'armistice, les dégâts étaient tels que 20 000 ha de terres furent considérés Zone rouge (séquelles de guerre) dans ce seul département lors des premières évaluations. La loi du définit finalement 15 000 ha de surfaces qui furent l'objet d'expropriation et classement en forêt de guerre, où les séquelles des combats (cratères) sont encore très visibles de nos jours.
À la fin du XXe siècle, le laboratoire de Bure est construit dans ce département, pour la recherche sur le stockage des déchets radioactifs en couche géologique profonde.
Héraldique
modifierBlasonnement :
D'azur semé de croisettes d'or et aux deux bars d'or.
Commentaires : Armoiries du Barrois proposées par Robert Louis comme armoiries du département. Le blason est un exemple caractéristique d'armes parlantesBlason utilisé par le département de la Meuse depuis le début du XXe siècle.
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Personnalités liées au département
modifier- Frédéric de Lorraine, né vers 1020 à Dun sur Meuse, frère de Godefroy II de Basse-Lotharingie, devient pape sous le nom d'Étienne IX (1057).
- Jehan Leclerc de Pulligney défend les intérêts des habitans de Dompremey et de son seigneur lors d'un procès en 1428. Il remplace comme procureur Jacques d'Arc. Vaucoulour et Robert seigneur de Baudrecourt et de Bloise, capitaine de Vaucoulour, Greux et Apremont sont souvent cités dans un acte le concernant.
- Ligier Richier, né vers 1500 à Saint-Mihiel, mort à Genève en 1567, sculpteur.
- Nicolas Psaume, né le à Chaumont-sur-Aire, mort le à Verdun, comte-évêque de Verdun, prince du Saint-Empire romain germanique.
- Dom Calmet, né le à Ménil-la-Horgne près de Commercy, mort le , exégète et érudit du XVIIIe siècle.
- Joseph Cugnot, né à Void le , mort le , concepteur du premier véhicule automobile.
- François Henri d'Elbée de La Sablonnière, général de la Révolution française, participe en 1745, à 15 ans, à la bataille de Fontenoy où il est blessé. Il meurt à Stenay en 1813.
- Florentin Ficatier, né le à Bar-le-Duc, mort le , général français de la Révolution et de l'Empire.
- Nicolas-Charles Oudinot, né le à Bar-le-Duc, mort le , duc de Reggio et maréchal d'Empire.
- Pierre Michaux, né le à Bar-le-Duc, mort en 1883 à Bicêtre (Paris), inventeur du vélocipède (les michaudines).
- Joseph Gueusquin, né à Forges-sur-Meuse en 1819. La commune du Plessis-Robinson, où il meurt en 1889, lui doit son nom.
- Joseph Émile Colson, né le à Saint-Aubin-sur-Aire, mort le , général français.
- Nanine Marie Ficatier, née le , morte le , personnalité française ayant vécu à Bar-le-Duc de 1850 à 1879.
- Nicolas Lebel, né le à Saint-Mihiel, mort le , a contribué à la création du fusil Lebel modèle 1886.
- Jules Bastien-Lepage, né le à Damvillers, mort le à Paris, peintre naturaliste.
- Raymond Poincaré, né le à Bar-le-Duc, mort le , 10e président de la République française. Il a passé une partie de sa vie dans son château à Sampigny.
- Charles Humbert, né le à Loison, mort le à Paris, homme politique français auteur d’ouvrages traitant de thèmes militaires dénonçant le manque de moyens.
- André Maginot (1877-1932), ministre.
- Louis Jacquinot (1897-1993), ministre.
- Fernand Braudel, né le 24 août 1902 à Luméville-en-Ornois, mort le 27 novembre 1985, historien, un des chefs de file de « l'École des Annales ».
- Jean-Robert Ipoustéguy, né le à Dun-sur-Meuse, mort le , sculpteur et peintre français.
- Danielle Mitterrand, née le 29 octobre 1924 à Verdun et morte le 22 novembre 2011, épouse de François Mitterrand, président de la République française de 1981 à 1995.
- Isabelle Nanty, née le à Verdun, actrice, réalisatrice et metteur en scène française.
- Sophie Thalmann, née le à Bar-le-Duc, Miss France 1998, animatrice de télévision.
- « Justes parmi les Nations » : 17 personnes du département[7] ont reçu le titre de Juste parmi les nations pour avoir aidé des Juifs à échapper à la Shoah pendant la Seconde Guerre mondiale.
Démographie
modifierLa Meuse est un département agricole peu peuplé. La tendance démographique est à la baisse depuis les années 1970. La densité de population est très faible (seulement 29,3 hab./km2 en 2021, contre une moyenne nationale de 106,5 hab./km2).
La commune la plus peuplée est Verdun, avec 16 689 habitants en 2021 et la moins peuplée (si l'on exclut les six communes « Mortes pour la France » inhabitées) est Ornes, avec seulement 7 habitants en 2021.
Communes les plus peuplées
modifierNom | Code Insee |
Intercommunalité | Superficie (km2) |
Population (dernière pop. légale) |
Densité (hab./km2) |
Modifier |
---|---|---|---|---|---|---|
Verdun | 55545 | CA du Grand Verdun | 31,03 | 16 689 (2021) | 538 | |
Bar-le-Duc | 55029 | CA Bar-le-Duc Sud Meuse | 23,62 | 14 668 (2021) | 621 | |
Commercy | 55122 | CC de Commercy - Void - Vaucouleurs | 35,37 | 5 319 (2021) | 150 | |
Saint-Mihiel | 55463 | CC du Sammiellois | 33,00 | 3 924 (2021) | 119 | |
Ligny-en-Barrois | 55291 | CA Bar-le-Duc Sud Meuse | 32,26 | 3 803 (2021) | 118 | |
Étain | 55181 | CC du Pays d'Étain | 19,64 | 3 473 (2021) | 177 | |
Thierville-sur-Meuse | 55505 | CA du Grand Verdun | 12,09 | 3 179 (2021) | 263 | |
Belleville-sur-Meuse | 55043 | CA du Grand Verdun | 10,16 | 3 021 (2021) | 297 | |
Revigny-sur-Ornain | 55427 | CC du Pays de Revigny-sur-Ornain | 19,32 | 2 702 (2021) | 140 | |
Ancerville | 55010 | CC des Portes de Meuse | 21,58 | 2 599 (2021) | 120 | |
Stenay | 55502 | CC du Pays de Stenay et du Val Dunois | 27,16 | 2 471 (2021) | 91 | |
Bouligny | 55063 | CC Cœur du Pays-Haut | 10,99 | 2 435 (2021) | 222 | |
Fains-Véel | 55186 | CA Bar-le-Duc Sud Meuse | 18,30 | 2 090 (2021) | 114 | |
Montmédy | 55351 | CC du Pays de Montmédy | 23,49 | 2 031 (2021) | 86 | |
Vaucouleurs | 55533 | CC de Commercy - Void - Vaucouleurs | 39,35 | 1 923 (2021) | 49 |
La plus grande aire urbaine est celle de Verdun avec 40 543 habitants en 2015.
Culture
modifier- Le Vent des forêts
- Le Musée de la Bière de Stenay
- Liste des monuments historiques de la Meuse
- Le Centre de Création OUvert aux Arts en Campagne développé par la cie Azimuts à Ecurey (Montiers-sur-Saulx)
Langue
modifierVers 1893, la langue française était à cette époque parlée et comprise par la grande majorité des habitants. Cependant, le patois lorrain était encore conservé dans beaucoup d'endroits[11].
Folklore
modifier- Le Warabouc est une créature légendaire ayant le corps d'un homme et la tête d'un bouc. Il serait, d'après la légende, l'incarnation du Diable. Il vivait dans les forêts du Nord de la Meuse et fut brûlé à Avioth[12].
- À Saint-Mihiel, avant sa destruction lors de la Première Guerre mondiale, existait un rocher appelé la Table du Diable. D'après la légende, Satan y rassemblait des sorcières[13].
Gastronomie
modifier- Verdun est la capitale de la dragée.
- Bar-le-Duc est spécialisée dans les confitures, notamment la confiture de groseilles épépinées à la plume d'oie.
- Stenay possède un important musée de la bière.
- Commercy est connue pour ses madeleines.
- À Saint-Mihiel, on trouve les rochers et les croquets.
- Les côtes de Meuse, où sont cultivées les mirabelles de Lorraine, produisent de l'eau de vie de mirabelle et le vin des Côtes-de-Meuse.
Transports
modifierTourisme
modifierLe tourisme de la région s'appuie sur deux éléments ; le tourisme vert d'une part (forêts d’Argonne, étangs de la Woëvre et bien d’autres sites ayant valu à la Meuse le surnom d’Emeraude de l’Est), et le patrimoine historique de la Première Guerre mondiale d'autre part (Verdun, Douaumont). Les sites de la grande guerre en Meuse 1914-1918 : 350 000 visiteurs visitent chaque année les sites de la Grande Guerre meusiens. La Meuse et plus particulièrement Verdun sont des symboles de la Première Guerre mondiale. De 1914 à 1918, du Saillant de Saint-Mihiel à l'Argonne, des Eparges à Vauquois, toute la Meuse est en première ligne de la Grande Guerre. Au centre de ces champs de bataille, le Champ de Bataille de Verdun qui est le plus mondialement connu. La bataille de Verdun est la bataille la plus meurtrière de l'histoire entre la France et l'Allemagne.
D'autres éléments touristiques sont à signaler :
- Le site Ecurey pôles d'avenir à Montiers-sur-Saulx, ancienne abbaye cistercienne et ancienne fonderie d'art et d'ornement, aujourd'hui réhabilités en musée, gite, bar, salles de réception et accueillant diverses activités culturelles, agricoles et de formation.
- à Vaucouleurs reste un vibrant souvenir du passage de Jeanne d'Arc, avec la Porte de France et la chapelle castrale. Un musée lui est dédiée ;
- le temple de la culture brassicole française avec le Musée de la Bière à Stenay, dans le nord du Département ;
- la basilique d'Avioth ;
- le château de Commercy, demeure édifiée par Germain Boffrand pour Charles Henri de Lorraine-Vaudémont à l'architecture du XVIIIe siècle ;
- le quartier Renaissance de la ville-haute de Bar-le-Duc ;
- le lac de Madine pour les loisirs nautiques ;
- la citadelle de Montmédy ;
- des églises fortifiées comme celle de Sepvigny ;
- la cité de Marville avec un aspect de la Renaissance espagnole ;
- l'usine Petitcollin d'Étain dernière et plus ancienne fabrique de baigneurs et de poupées encore en activité créée en 1860 ;
- la cathédrale Notre-Dame de Verdun qui est une cathédrale catholique romaine.
Les résidences secondaires
modifierSelon le recensement général de la population du , 5,2 % des logements disponibles dans le département étaient des résidences secondaires.
Ce tableau indique les principales communes de la Meuse dont les résidences secondaires et occasionnelles dépassent 10 % des logements totaux en 2008 :
Commune | Population SDC | Nombre de logements | Rés. secondaires | % Rés. secondaires |
---|---|---|---|---|
Dun-sur-Meuse | 752 | 409 | 72 | 17,66 % |
Vigneulles-lès-Hattonchâtel | 1 534 | 781 | 86 | 11,00 % |
Sources :
- Source INSEE, chiffres au 01/01/2008.
Politique
modifier- Liste des députés de la Meuse
- Liste des sénateurs de la Meuse
- Liste des conseillers généraux de la Meuse
- Liste des communes de la Meuse
- Liste des anciennes communes de la Meuse
Énergie nouvelle
modifierDans son schéma de développement, le département de la Meuse a intégré une approche globale concernant les énergies nouvelles et la maîtrise des énergies[14].
Le projet Meuse Énergies Nouvelles s'articule autour trois axes :
- la production d’énergies nouvelles :
- l'énergie éolienne - 144 permis de construire ont été accordés pour des éoliennes en Meuse. La Meuse est l’un des départements français qui compte le plus grand nombre d’éoliennes, plus de 200[15]. En 2008, 12 parcs et 116 éoliennes construits pour une puissance totale de 234,7 MW;
- le biocarburant - L'entreprise commune (ou coentreprise) Valtris Champlor, le groupe coopératif agricole SICLAÉ et le groupe C. Thywissen, et EMC2 mènent un projet de plus de 100 millions d'euros d’investissement pour développer sur le site de Verdun - Baleycourt une unité de production de biogazole qui sera alimentée par le colza lorrain[16]. Cette production générera à terme plus de 6 % du marché français et suscitera la création de plus de 80 emplois directs et 250 indirects[17]. Progilor Bouvart, filiale du Groupe Caillaud, mène également un projet pour la production de biogazole à partir de graisse animale. L'unité de production implantée à Charny représente un investissement de 23 millions d'euros et permettrait la création de 25 emplois ;
- le bois énergie - La filière bois est une des toutes premières de l'activité agricole[18].
- la maîtrise de la demande énergétique en lien avec EDF (« Ensemble économisons l'énergie ») ;
- l'enseignement, la formation professionnelle, le transfert des technologies (projet de création d'un Pôle d’excellence Rurale dans le domaine de la maîtrise d’énergie et des énergies renouvelables, projet d’un Centre de Promotion, de ressources et de formation dans le domaine des énergies renouvelables et de la maîtrise des économies d'énergie).
Santé
modifierLa Meuse dispose de plusieurs centres hospitaliers tels que[19] :
À Bar-le-Duc et ses alentours :
- Centre hospitalier Spécialisé (CHS) à Fains-Véel
- Centre hospitalier de Bar-le-Duc
À Verdun et ses alentours :
À Commercy :
- Hôpital Sainte Anne
- Centre hospitalier Saint Charles
Administration
modifierNotes et références
modifier- gouv.fr, « Le préfet de la Meuse », sur meuse.gouv.fr (consulté le ).
- Prononciation en français standard retranscrite phonémiquement selon la norme API.
- « Carte des cols de la Meuse », sur carte-cols-france.com (consulté le ).
- Préfecture de la Meuse.
- Félix Liénard 1872, Introduction.
- Sur les mouvements de troupes ayant précédé la bataille de Sedan et, plus généralement sur la guerre de 1870 en Argonne meusienne et l'occupation allemande qui a suivi, voir : Daniel HOCHEDEZ, La guerre franco-allemande et l'occupation en Argonne (1870-1873), Revue Horizons d’Argonne, publication du Centre d’études argonnais, no 87, juin 2010, [lire en ligne].
- René Bernard, Fernande Bernard, Louise Bernard (Longeville-en-Barrois) ; Jeanne Bieber, Louis Bieber (Revigny-sur-Ornain) ; Lucie Pinck, Henriette Dodo, Alfred Pinck (Vaucouleurs) ; Simone Domice, Achille Domice (Longeville-en-Barrois) ; Charles Gombert (Nançois-sur-Ornain) ; Marcel Médard, Mariette Médard (Bar-le-Duc) ; Gabriel Philbert, Simone Philbert (Nançois-sur-Ornain) ; Anne Schoellen, Ernest Schoellen (Longeville-en-Barrois).
- Site sur la Population et les Limites Administratives de la France - Fiche historique du département
- Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2013 - Recensements harmonisés - Séries départementales et communales
- Fiches Insee - Populations légales du département pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021
- Contant-Laguerre, Agriculture du département de la Meuse, 1893.
- « Entre légende et réalité », sur legende-et-realite.blogspot.com (consulté le ).
- « Dames de Meuse / Les Roches », sur coeurdelorraine-tourisme.fr (consulté le ).
- « Conseil départemental du 17 novembre 2016 », sur meuse.fr.
- « Tourne l’hélice », Quotidien, le 19/03/2011 à 05:00 (lire en ligne, consulté le ).
- « Meuse : Novaol s'implante chez ICI - Investissements industriels », L'Usine nouvelle, (lire en ligne, consulté le ).
- (en) « 404 Page not found », sur ineos.com (consulté le ).
- « La filière du bois en Lorraine », sur lorpm.eu.
- « Consulter la liste Hôpitaux / Cliniques - Meuse (55) », sur Annuaire Sanitaire et Social (consulté le ).
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- Côtes de Meuse
- Séquelle de guerre
- Première Guerre mondiale
- Forêt de guerre
- Devoir de mémoire
- Liste de films tournés dans la Meuse
- Volontaires nationaux de la Meuse pendant la Révolution
- Liste des églises de la Meuse
- Liste des cavités naturelles les plus longues de la Meuse
- Liste des cavités naturelles les plus profondes de la Meuse
Bibliographie
modifier- E. Henriquet, H. Renaudin, Géographie historique, statistique et administrative du département de la Meuse, 1838 (BNF 31196770)
- Félix Liénard, Dictionnaire topographique du département de la Meuse, Paris, (BNF 30818141)
- Michel Hérold et Françoise Gatouillat, Les vitraux de Lorraine et d'Alsace, Paris, CNRS Editions, , 329 p. (ISBN 2-271-05154-1)Corpus vitrearum, Inventaire général des monuments et richesses artistiques de la France, Recensement des vitraux anciens de la France, Volume V, pp. 79 à 89 Les vitraux de la Meuse
- Henri-Adolphe Labourasse, « Anciens us, coutumes, légendes superstitions, préjugés, etc. du département de la Meuse », dans Mémoires de la Société des lettres, sciences et arts de Bar-le-Duc, IVe série, tome 1, 1902, p. 3-225 (lire en ligne)
Linguistique
modifier- Henri Adolphe Labourasse, Glossaire abrégé du patois de la Meuse, notamment de celui des Vouthons, Arcis-sur-Aube, 1887 (BNF 30705076) (voir en ligne)
- Charles Jules Varlet (abbé), Dictionnaire du patois meusien, Verdun, 1896 ; réédition Lacour-Ollé, 2015 (ISBN 978-2-7504-3695-7 et 2750436958)
Liens externes
modifier- Ressource relative à la géographie :
- Ressource relative à la musique :
- Notices dans des dictionnaires ou encyclopédies généralistes :
- Préfecture du département de la Meuse
- Conseil départemental de la Meuse