Cormontreuil

commune française du département de la Marne

Cormontreuil est une commune française, située dans le département de la Marne en région Grand Est. Elle fait partie de la communauté d'agglomération Reims Métropole.

Cormontreuil
Cormontreuil
La maison commune.
Blason de Cormontreuil
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Marne
Arrondissement Reims
Intercommunalité CU du Grand Reims
Maire
Mandat
Jean Marx
2020-2026
Code postal 51350
Code commune 51172
Démographie
Gentilé Cormontreuillois
Population
municipale
6 456 hab. (2021 en évolution de +1,37 % par rapport à 2015)
Densité 1 397 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 13′ 23″ nord, 4° 03′ 10″ est
Altitude Min. 78 m
Max. 146 m
Superficie 4,62 km2
Type Grand centre urbain
Unité urbaine Reims
(banlieue)
Aire d'attraction Reims
(commune du pôle principal)
Élections
Départementales Canton de Reims-8
Législatives 4e circonscription de la Marne
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Cormontreuil
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Cormontreuil
Géolocalisation sur la carte : Marne
Voir sur la carte topographique de la Marne
Cormontreuil
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Cormontreuil
Liens
Site web https://www.cormontreuil.fr/

Ses habitants sont appelés les Cormontreuillois (un Cormontreuillois, une Cormontreuilloise).

Géographie

modifier

Situation

modifier

La commune (médiathèque, église) reste assez agréable et permet un bon compromis entre campagne et urbanisme, facile d'accès depuis le centre-ville de Reims par l'autoroute à l'échangeur Cormontreuil-Charleville, ou bien par l'avenue de Champagne appelé également « voie du Rouillat ».

Communes limitrophes

modifier
Communes limitrophes de Cormontreuil
Reims
Reims   Taissy
Trois-Puits

Hydrographie

modifier

Réseau hydrographique

modifier

La commune est dans la région hydrographique « la Seine du confluent de l'Oise (inclus) à l'embouchure » au sein du bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par la Vesle[1],[Carte 1].

(texte à fusionner)
Le territoire communal est limité au nord par l'un des bras de la Vesle, un sous-affluent de la Seine par l'Aisne puis par l'Oise.

La Vesle, d'une longueur de 139 km, prend sa source dans la commune de Somme-Vesle et se jette dans l'Aisne à Ciry-Salsogne, après avoir traversé 52 communes[2].

 
Réseau hydrographique de Cormontreuil[Note 1].

Gestion et qualité des eaux

modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Aisne Vesle Suippe ». Ce document de planification, dont le territoire s’étend sur 3 096 km2 répartis sur trois départements (Aisne, Marne et Ardennes) et deux régions (Champagne-Ardenne et Picardie), a été approuvé le 16 décembre 2013. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Syndicat d’aménagement des bassins Aisne Vesle Suippe (SIABAVES)[3].

La qualité des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 703 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Mailly-civc », sur la commune de Mailly-Champagne à 9 km à vol d'oiseau[6], est de 11,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 755,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,8 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −20 °C, atteinte le [Note 2],[7],[8].

Statistiques 1991-2020 et records MAILLY-CIVC (51) - alt : 182m, lat : 49°09'19"N, lon : 4°06'58"E
Records établis sur la période du 01-01-1976 au 23-05-2022
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,2 1,2 3,6 6,1 9,7 12,5 14,4 14,1 11,1 8,4 4,5 2 7,4
Température moyenne (°C) 3,5 4 7,4 10,6 14,3 17,4 19,6 19,3 15,6 11,8 7 4,2 11,2
Température maximale moyenne (°C) 5,8 6,9 11,2 15,2 19 22,3 24,8 24,5 20,2 15,2 9,5 6,4 15,1
Record de froid (°C)
date du record
−20
16.01.1985
−15
07.02.1991
−10,4
01.03.05
−5
12.04.1986
0
01.05.1989
2,7
13.06.1978
5,5
01.07.1984
3,4
28.08.1978
1,3
19.09.1977
−5,1
24.10.03
−10,2
23.11.1998
−12,5
29.12.1996
−20
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
15
09.01.1991
19,5
26.02.19
24,3
31.03.21
27,7
20.04.18
33,6
08.05.1976
36,6
30.06.1976
39,8
25.07.19
38,8
12.08.03
32,9
15.09.20
27
03.10.1985
20
07.11.15
15,6
17.12.15
39,8
2019
Précipitations (mm) 68,5 55,9 52,2 45,8 60,8 65,1 64,1 62,7 55,5 68,7 69,8 86,4 755,5
Source : « Fiche 51338001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
5,8
1,2
68,5
 
 
 
6,9
1,2
55,9
 
 
 
11,2
3,6
52,2
 
 
 
15,2
6,1
45,8
 
 
 
19
9,7
60,8
 
 
 
22,3
12,5
65,1
 
 
 
24,8
14,4
64,1
 
 
 
24,5
14,1
62,7
 
 
 
20,2
11,1
55,5
 
 
 
15,2
8,4
68,7
 
 
 
9,5
4,5
69,8
 
 
 
6,4
2
86,4
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

modifier

Les zones d'habitations de type pavillonnaire ou résidentielles sont très recherchées, par leur rapport qualité-prix et un confort de vie agréable (calme, verdure, sport, propreté, et proximité avec la cité des sacres).

Typologie

modifier

Au , Cormontreuil est catégorisée grand centre urbain, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Reims[Note 3], une agglomération intra-départementale regroupant neuf communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 4],[12],[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Reims, dont elle est une commune du pôle principal[Note 5],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 294 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (72,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (51,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones urbanisées (48,6 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (24,2 %), terres arables (16 %), forêts (10 %), cultures permanentes (1,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement

modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 221, alors qu'il était de 198 en 2013 et de 181 en 2008[I 2].

Parmi ces logements, 84,3 % étaient des résidences principales, 3,7 % des résidences secondaires et 12 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,3 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,7 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Cormontreuil en 2018 en comparaison avec celle de la Marne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (3,7 %) supérieure à celle du département (2,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 82,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (80,5 % en 2013), contre 51,7 % pour la Marne et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Cormontreuil en 2018.
Typologie Cormontreuil[I 2] Marne[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 84,3 88,1 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 3,7 2,9 9,7
Logements vacants (en %) 12 9 8,2

Voies de communication et transports

modifier

Voies de communication

modifier

Transports en commun

modifier

La commune est desservie par le réseau de transports en commun de l'agglomération CITURA via les lignes :

  • bus   2  (Gare Centre ↔ Ccial de Cormontreuil)
  • bus   9  (Saint-Brice Courcelles - Victoire ↔ Cormontreuil - Blancs Monts)
  • bus 12  (Gare Champagne TGV ↔ Ccial de Cormontreuil)
  • bus 15  (Méliès ↔ Cormontreuil - Coubertin) (Ligne scolaire ne circulant qu'à certaines heures)
  • bus 16  (Opéra ↔ Prunay - Mairie)

La commune est également desservie par les lignes de transport à la demande   TAD Sud-Ouest  pour la commune de Trois-Puits et   TAD Sud-Est  pour les communes de Saint-Léonard et Puisieulx.

Toponymie

modifier

La plus ancienne trace écrite faisant référence à l'existence de la localité se trouve dans le Polyptyque de Saint-Remi datant de 850. Cormontreuil y est mentionnée sous le nom de Curtis Monasteriolis, signifiant la cour, le domaine ou la ferme du monastère. En 1169, il est appelé Curtis Monasterii[16]

Histoire

modifier

Des fouilles effectuées en 2001 au lieu-dit les Blancs Monts ont permis de découvrir une occupation du site datant de la période protohistorique.

Depuis la fin du XIXe siècle, la commune était un lieu de villégiature des habitants de Reims, desservie par le Chemins de fer de la Banlieue de Reims (|C.B.R.) et accueillait des bals populaires, une baignade dans la Vesle et de grandes demeures bourgeoises : château de la Morinerie ancien château Duchâtel de Montflambert puis Pinon ; le château Dauphinot construit en 1875 ; la maison Cocquebert de Montfort puis Givelet.

En 1892, un lavoir est construit sur la Vesle juste à côté du moulin Monlauren.

D'immenses dégâts furent infligés à la ville durant la Première Guerre mondiale qui virent la disparition de la maison Pinon, du moulin, du musée Kellerman qui se trouvait en face de la mairie qui fut reconstruite en 1924. La commune est décorée de la Croix de guerre 1914-1918 le .

Politique et administration

modifier

Tendances politiques et résultats

modifier

Lors du premier tour des élections municipales de 2014 dans la Marne, la liste DVG menée par le maire sortant obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 2 458 voix (78,55 %, 26 conseillers municipaux élus dont 6 communautaires), devançant très largement celle UMP-UDI menée par Cédric Thiry, qui a recueilli 671 voix (21,44 %, 3 conseillers municipaux élus.
Lors de ce scrutin, 37,61 % des électeurs se sont abstenus[17].

Lors des élections municipales de 2020 dans la Marne, Jean Marx est candidat à un troisième mandat[18]. S'il est élu conseiller départemental depuis 2015 sous les couleurs du Parti socialiste[19], la liste qu'il mène est cependant classée « divers » par la préfecture[20]. Jean Marx affronte son deuxième adjoint chargé de l'urbanisme et du développement économique, André Van Compernolle, qui prend la tête d'une liste d'opposition[18] de tendance divers gauche[20]
Lors du premier tour, la liste menée par le maire sortant Jean Marx obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 412 voix, devançant très largement la liste DVG menée par André Van Compernolle, qui a recueilli 765 voix (35,14 %, 2 conseillers municipaux élus.
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 27,07 % des électeurs se sont abstenus[20].

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
ca. 1805   Philippe Lemoine    
1874 1879 M. Monlaurent[21]    
Les données manquantes sont à compléter.
ca. 1907   Émile Lecompère    
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1959 février 1960
(démission)
Pierre Paul    
février 1960 juin 1979
(démission)
Marcel Boucher[22]   Préparateur en pharmacie puis adjoint de direction
juin 1979 mars 2008 Michel Voisin PS[23] Maître de conférences
Conseiller général de Reims-7 (1980 → 2008)
mars 2008[24] En cours
(au 25 novembre 2020)
Jean Marx PS puis DVG Chercheur retraité
Conseiller général de Reims-7 (2008 → 2015)
Conseiller départemental de Reims-8 (2015 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[25],[26],[27]

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[29].

En 2021, la commune comptait 6 456 habitants[Note 6], en évolution de +1,37 % par rapport à 2015 (Marne : −1,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
430486499525566591629625618
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
600581600583607637664702704
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
7247027887369731 2201 0851 2421 467
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 3431 6023 6016 0805 7456 3906 2385 9996 528
2021 - - - - - - - -
6 456--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[30] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

modifier

Cormontreuil est une ville mitoyenne à la ville de Reims. De très nombreux magasins se trouvent en zone d'activité économique (ZAC de Cormontreuil) dont un grand centre commercial.

Culture et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier
  • L'église Saint-André est fondée en 1159 par l'abbesse de Saint-Pierre-les-Dames. La nef n'avait alors que quatre travées et un porche triple et était de style roman. Il ne reste plus que l'abside de cette époque.
    Après avoir une dépendance de Saint-Jean de Reims l'édifice est érigé en église paroissiale en 1686.
    Les vitraux des bas-côtés sont de Roger Tourte Jacques Grüber. Représentant les béatitudes, ils sont installés en 1933 en souvenir des morts de la Première Guerre mondiale. L'église contient aussi des stèles aux morts des deux Guerres mondiales.
  • Monastère Sainte-Claire.
  • La Maison aux Champs.
  • Le monument aux morts d'AFN, est dans la zone commerciale de la commune.
  • Le monument à François Augé, ouvrier teinturier fusillé le 7 septembre 1870 par les Allemands.
  • La Médiathèque a été construite récemment près de la M.J.E.P.

Personnalités liées à la commune

modifier

Héraldique

modifier
  Blason
D'azur au sautoir d'argent chargé d'un compas ouvert de sable, cantonné, à dextre, d'une fleur de lys cousue de sinople et, en pointe, d'une jumelle ondée aussi d'argent et d'un clou aussi de sinople brochant sur la jumelle, aux douze étoiles d'or ordonnées en orle brochant à senestre sur le sautoir et le compas, au chef aussi d'azur brochant sur le sautoir, chargé d'une fasce d'argent côtoyée de deux doubles burèles potencées et contre-potencées d'or.
Détails
La fleur de lys évoque l'abbaye Saint-Pierre-les-Dames, dont les abbesses furent seigneurs de Cormontreuil jusqu'à la Révolution de 1789. La croix de Saint André évoque le patron de la paroisse, saint André, apôtre qui fut crucifié sur une croix en forme de X. Le compas fait référence à Gérard Chardonnet, connu sous le nom d'arpenteur de Cormontreuil. Il symbolise également l'ouverture de la commune sur le monde technologique et le progrès. Le clou rappelle les moulins qui étaient situés le long de la Vesle, évoquée ici par les courbes situées au bas du blason. Les étoiles enfin sont là pour mentionner son appartenance à l'Europe.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.
Alias
 
Alias du blason de Cormontreuil
D'azur au comble d'argent d'argent chargé de l'inscription « CORMONTREUIL » en lettres capitales du champ, surmontée et soutenue de deux filets en fasce potencés et contre-potencés de sable; au compas à balustre d'argent, mouvant du chef et posé en sautoir, adextré d'une fleur de lis cousue de sinople, soutenu d'une rivière du champ ondée de sable, mouvant de la pointe et d'un clou de sinople brochant sur la rivière, à douze étoiles d'or, ordonnées en anneau et brochant sur le compas à senestre[33].

Voir aussi

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier
  1. Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
  2. Les records sont établis sur la période du au .
  3. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  4. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Reims comprend une ville-centre et huit communes de banlieue.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Réseau hydrographique de Cormontreuil » sur Géoportail (consulté le 27 mai 2024).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ).
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier

Site de l'Insee

modifier

Autres sources

modifier
  1. « Fiche communale de Cormontreuil », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le ).
  2. Sandre, « la Vesle »
  3. « SAGE Aisne Vesle Suippe », sur gesteau.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Cormontreuil et Mailly-Champagne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Mailly-civc », sur la commune de Mailly-Champagne - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Mailly-civc », sur la commune de Mailly-Champagne - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Reims », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Reims », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Toponymie générale de la France Par Ernest Nègre
  17. Résultats officiels pour la commune Cormontreuil
  18. a et b « Cormontreuil : le maire se représente, un adjoint fait une liste d’opposition », sur lunion.fr, L'Union, (consulté le ).
  19. « Départementales 2015 – 2nd tour : Les résultats à Reims », sur lhebdoduvendredi.com, L'Hebdo du vendredi, (consulté le ).
  20. a b et c Ministère de l'Intérieur, « Élections municipales et communautaires 2020 : Résultats reçus 1er tour Marne (51) - Cormontreuil », sur elections.interieur.gouv.fr, (consulté le ).
  21. Almanach Matot-Braine de 1879, p222.
  22. Les rues de Cormontreuil
  23. Annuaire des mairies de la Marne, EIP/ Les Editions Céline, coll. « Annuaire des mairies de France », 2006-2007 (ISBN 978-2-35258-151-2, lire en ligne), p. 64.
  24. Liste des maires de la Marne au 1er août 2008, site de la préfecture de la Marne, consulté le 22 décembre 2008
  25. Réélu en 2014 avec 78,56%, L'Union du 24 mars 2014.
  26. Françoise Lapeyre, « Jean Marx, candidat à un 3e mandat à Cormontreuil : Le maire de Cormontreuil dresse un bilan et évoque quelques-uns des projets », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Elu depuis 1989, premier adjoint ensuite, puis depuis 2008 maire et conseiller général, Jean Marx est à la tête d'une liste citoyenne pour un 3e mandat de 6 ans ».
  27. « Conseil municipal du 23 mai 2020 » [PDF], séances du conseil municipal, sur cormontreuil.fr (consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  31. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  32. « Journées du Patrimoine - Exposition "Clémence de Pibrac" », sur Mairie de Cormontreuil (consulté le ).
  33. https://armorialdefrance.fr/page_blason.php?ville=8449