La Citroën Fukang, Élysée puis C-Elysée est une berline 4 ou 5 portes dérivée de la Citroën ZX du constructeur automobile français Citroën, assemblée en Chine de 1992 à 2012 par Dongfeng Peugeot Citroën Automobiles.

La deuxième génération de Citroën C-Elysée est une berline 4 portes fabriquée en Chine et en Espagne depuis 2012.

Première génération

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Citroën Fukang
 
Citroën Élysée

Appelé aussi Citroën Elysée
Citroën C-Elysée
Dongfeng N15 (van)
Dongfeng EQ1010F (van)
Marque   Citroën
Années de production Fukang 1992 - 2003
Élysée : 2002 - 2008

C-Élysée
phase 1: 2008 - 2012
phase 2 : 2012 - 2014
Classe Berline bicorps à 5 portes
Berline tricorps à 4 portes
Utilitaire
Usine(s) d’assemblage   Wuhan
  Xiangyang
Moteur et transmission
Énergie Essence
Moteur(s) Essence :
4-cyl. 1.6i 16v
Cylindrée 1 598 cm3
Transmission Traction
Boîte de vitesses Manuelle à 5 rapports
Automatique à 4 rapports
Masse et performances
Masse à vide 1 125 kg
Châssis - Carrosserie
Carrosserie(s) 4-portes
Châssis Citroën ZX
Peugeot 306
Citroën Berlingo
Peugeot Partner
Citroën Xsara
Dongfeng Fengshen S30
Dongfeng Fengshen H30
Aeolus S30
Dimensions
Longueur 4 305 à 4 505 mm
Largeur 1 707 mm
Hauteur 1 413 mm
Empattement 2 540 à 2 700 mm
Chronologie des modèles

Citroën Fukang (1992-2003)

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ZX Fukang assemblées en CKD en vente à Chengdu en 1994

Désireux de se lancer à la conquête du marché automobile chinois, Citroën crée en 1992 une coentreprise avec le chinois Second Automobile Works (l'ancien nom de Dongfeng) afin d'y assembler des ZX. Les véhicules sont d'abord assemblés en kits CKD à Xiangyang[1],[2]. La ZX est renommée Fukang, ce qui signifie « Prospérité » en chinois[3].

17 000 kits CKD sont importés de 1992 à 1996. Dès août 1996, le véhicule n'est plus importé en kit, mais véritablement industrialisé sur place dans l'usine de Wuhan[1],[2].

Dans un premier temps uniquement disponible en carrosserie bicorps 5-portes, peu appréciée de la clientèle locale, la ZX se décline en version 4-portes tricorps en septembre 1998[4],[2].

A noter, au début des années 2000, le constructeur chinois de deux-roues JM Star a commercialisé une copie de la Fukang, appelé JM Star Meilu. Comme la Fukang, la JM Star Meilu était proposée en 4 ou 5 portes.

En 2003, le constructeur Geely a racheté JM Star. Cette deuxième marque a alors changé de nom pour devenir Shanghai Maple[5]. Pendant quelque temps, la copie de la Fukang était commercialisée avec à la fois les désignations JM Star et Shanghai Maple, toujours sous le nom de Meilu.

Rapidement, la désignation JM Star a disparu pour laisser sa place à Shanghai Maple. Aussi, le modèle a changé de nom pour devenir Shanghai Maple Hisoon[6], Haixun (versions 5 portes), Haixun, Haiyu, Hysoul, Haishang, Marindo, Haifeng (versions 4 portes). Ces véhicules ont été fabriqués jusqu'au début des années 2010.

En 2005, Dongfeng-Citroën avait attaqué en justice Shanghai Maple devant les tribunaux chinois mais n'a pas obtenu gain de cause[7].

Élysée

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Citroën Elysée

En juin 2002[2], la version 4 portes a subi un restylage et a été rebaptisée Citroën Élysée. Toujours basée sur la ZX - qui a disparu en France en 1998 - l'Élysee se distingue de la Fukang qu'elle remplace par une ligne modernisée.

La 5 portes est plus modestement restylée et reste nommée ZX Fukang.

La face avant reçoit de nouvelles optiques rappelant celles de la Xantia ainsi qu'une nouvelle calandre et un nouveau bouclier tandis qu'à l'arrière, seuls les feux sont retouchés, la partie supérieure étant désormais couleur cristal.

À l'intérieur, le changement est plus évident. La planche de bord est désormais intégralement reprise de la Xsara, ce qui améliore considérablement la finition générale de l'auto.

Citroën lance rapidement une version à empattement allongé de 15 cm de son Elysée, appelée Citroën Elysée VIP. On la reconnait à son montant B et à son badge VIP.

À noter qu'une version sportive VTS de l'Elysée est lancée en 2005.

C-Élysée I

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En 2008, alors que le modèle se vend toujours convenablement, l'Élysee bénéficie de nouvelles modifications et devient au passage C-Élysée, afin de respecter la nouvelle nomenclature des modèles de la marque[8]. Elle est présentée par Citroën le à Pékin (Beijing) et inaugure une face avant entièrement inédite désormais inspirée de la récente Citroën C5 II.

Par rapport à l’Élysée, la C-Élysée a subi 300 modifications destinées à améliorer la voiture dans tous les domaines (freinage à système antiblocage de dernière génération, suspension modifiée afin de réduire le niveau sonore, nouveaux équipements, etc).

Extérieurement, l'auto se distingue immédiatement de l'Élysée qu'elle remplace par une face avant beaucoup plus moderne. Les optiques avant sont redessinés, tout comme le bouclier tandis que les chevrons sont agrandis et reçoivent les traditionnelles barrettes chromées. À l'arrière, le bouclier est lui aussi remodelé tandis que les feux issus de la ZX sont abandonnés.

Dans un premier temps uniquement disponible en carrosserie 4 portes, le modèle est disponible en trois niveaux de finition et cinq versions. Il ne dispose que d'une seule motorisation, un quatre cylindres essence 1.6i disponible en boîte manuelle 5 rapports ou automatique 4 rapports[9].

Un an après, en 2009, la version bicorps 5-portes revient au catalogue.

 
Citroën C-Élysée 1 4p phase 2.

En 2012, en prévision du lancement imminent de la deuxième génération, la C-Élysée reçoit de nouveaux feux avant, désormais sur fond noir. Ce sera la dernière modification de la voiture, dont la fabrication a pris fin en décembre 2014, 17 ans après la Citroën ZX servant de base.

Deuxième génération

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C-Élysée II

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Citroën C-Élysée
 
Citroën C-Elysée II phase 1

Appelé aussi Peugeot 301
Dongfeng Junfeng EV30
Dongfeng Fukang e-Elysée
Marque   Citroën
Années de production 2012 -
Phase 1 : 2012 - 2017
Phase 2 : 2017 -
Production Phase 1: 400 000 exemplaire(s)
Classe Compacte
Usine(s) d’assemblage   Wuhan
  Vigo
Moteur et transmission
Moteur(s) Essence
1.2 VTi 72/82 ch
1.6 VTi 115 ch
Diesel
1.5 BlueHDi 100
1.6 e-HDi 92
1.6 BlueHDi 100
Transmission Traction
Châssis - Carrosserie
Carrosserie(s) Berline
Châssis PF1
Peugeot 207/208/301
Peugeot 1007/2008
Citroën C2/C3/II/III/C-XR
Citroën C3 Picasso
Citroën C3 Aircross
Citroën C-Elysée II
Citroën C4 Cactus
DS 3
Opel Crossland X
Suspensions Avant
Train avant de type "pseudo McPherson", ressorts hélicoïdaux et amortisseurs hydrauliques intégrés
Arrière
Train arrière avec traverse déformable, ressorts hélicoïdaux et amortisseurs hydrauliques
Dimensions
Longueur 4 440 mm
Empattement 2 650 mm
Chronologie des modèles

Dévoilée par Citroën le , la deuxième génération de C-Élysée se présente comme une berline tricorps qui, comme la Peugeot 301, partage la base technique éprouvée de la Citroën C3 et la Peugeot 208. Reposant sur un empattement allongé de 2,65 m pour une longueur totale de 4,44 m, cette deuxième génération cesse d'être uniquement destinée au marché automobile chinois.

Elle est ainsi assemblée en Chine (usine DPCA de Wuhan) pour le marché domestique mais aussi en Espagne (usine de Vigo). Destinée en priorité aux marchés émergents, elle est exportée d'Espagne vers de nombreuses régions telles que le Maghreb, l'Amérique latine, le Moyen et le Proche-Orient ou encore l'Afrique subsaharienne. Elle est également commercialisée dans les départements français d'outre-mer ainsi que dans certains pays d'Europe adeptes de ce type de carrosserie (notamment au Sud et à l'Est du continent).

La C-Elysée s'ouvre progressivement à de nouveaux marchés d'export, tels que l'Argentine, l'Italie ou encore la France à partir de mars 2016[10],[11],[12],[13],[14],[15]. La décision d'importer le C-Elysée en France a été prise après que la marque ai constaté que les mandataires indépendants diffusaient déjà largement ce modèle dans le pays depuis plusieurs années[16], comme ils l'avaient fait pour la Citroën C4 I Sedan. Citroën n'a pas souhaité communiquer sur son entrée dans la gamme en France, aucune campagne publicitaire de lancement n'a donc été menée[17].

En , Citroën présente au salon de Pékin une version électrique nommée Citroën E-Elysée[18],[19].

Le , elle est présentée dans sa version restylée. La calandre s'élargit et entoure les projecteurs qui sont redessinés en chrome, les feux arrière sont à effet 3D et un nouveau système multimédia apparaît à l'intérieur[20].

En Chine, la C-Elysée est remplacée en 2020 par la C3-L, un dérive tricorps du C3-XR, qui est lui-même un SUV dérivé de la C-Elysée. La C-Elysée y reste toutefois fabriquée sous d'autres formes : Dongfeng en lance une version électrique, principalement destinée à servir d'auto-école. Ce modèle est produit sous deux marques :

  • Dongfeng Junfeng EV30[21],[22]. Ce véhicule est lancé en 2018.
  • Dongfeng Fukang e-Elysée[23], dans le cadre de la co-entreprise Dongfeng Peugeot Citroën Automobiles. La marque Fukang est un hommage aux ZX chinoises qui portaient originellement ce nom. Le modèle est lancé en 2021.

En 2019, la C-Elysée est prématurément retirée du marché français[24]. Elle est même retirée de la vente dans son pays de fabrication, le marché espagnol, courant 2021[25],[26]. Cela n'empêche pas de voir sa fabrication à Vigo aux côtés de la Peugeot 301 se poursuivre afin d'alimenter la demande dans d'autres pays comme le Chili, la Colombie, la Turquie ou le Maroc[27],[28],[29],[30],[31].

Motorisation

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Les motorisations essence proposées sont les nouvelles générations des moteurs EB2M (sans déphaseur d'arbres à cames) 1,2 l VTi 72 ch et EC5 1,6 l VTi 115 ch. L'unique moteur diesel présent au catalogue est représenté par le 1,6 l HDi 92 ch (avec ou sans filtre à particule suivant le pays de commercialisation). Ces derniers sont tous conformes à la norme de dépollution Euro5 (avec FAP pour le HDI). Pour la norme Euro 6, la C-Élysée reçoit le moteur 1.2EB2F (82 ch) et le 1.6 BlueHDI 100 (DV6F), moteurs identiques à ceux du reste de la gamme Citroën.

1.5 BlueHDi 100 1.6 HDi 92 1.6 BlueHDi 100 1.2 VTi 72 1.2 VTi 82 1.6 VTi 115
Moteur 4-cylindres (type DV/DLD) 3-cylindres (type EB) 4-cylindres (type EC)
Cylindrée
(en cm3)
1499 1560 1199 1597
Puissance maximale 99 ch à 3 500 tr/min 92 ch à 4 000 tr/min 99 ch à 3 750 tr/min 72 ch à 5 500 tr/min 82 ch à 5 750 tr/min 115 ch à 6 050 tr/min
Couple maximal 250 N m à 1 750 tr/min 230 N m à 1 750 tr/min 254 N m à 1 750 tr/min 110 N m à 3 000 tr/min 118 N m à 2 750 tr/min 150 N m à 4 000 tr/min
Boîte de vitesses BVM6 BVM5 BMP5 BVM5 ETG5 BVM5 BVA4 BVA6
Vitesse maximale
(en km/h)
190 180 183 160 169 188
0-100 km/h
(en s)
10,1 11,2 10,8 14,2 16,3 12,9 17 11,8 à 9,4 10,8 à 10,3 11,1
Consommation
(en L/100 km)
3,9 4,1 3,9 5,3 5,1 4,3 4,4 6,5 à 6,4 7,3 à 7,1 6,6 à 6,8
Émissions de CO2
(en g/km)
103 108 98 124 116 99 103 151 à 148 168 à 164 151 à 167

Citroën C-Elysée WTCC
 
Citroën C-Elysée WTCC

Marque   Citroën
Classe Sportive
Moteur et transmission
Énergie Essence
Moteur(s) THP
Cylindrée 1 598 cm3
Puissance maximale à 6 000 tr/min : 380 ch
Couple maximal à 4 500 tr/min : 400 N m
Transmission Avant
Boîte de vitesses Séquentielle à 6 rapports Sadev
Commande mécanique
Masse et performances
Masse à vide Minimum avec pilote: 1 100 kg
Châssis - Carrosserie
Plate-forme PF1
Suspensions Type McPherson Av et Ar
Amortisseurs Réglables
Direction Type Assistée hydraulique
Freins Avant Disques ventilés
380 mm, étriers 4 pistons
Arrière Disques ventilés
300 mm, étriers 2 pistons
Répartition Réglable de l’habitacle
Dimensions
Longueur 4 577 mm
Largeur 1 950 mm
Empattement 2 700 mm
Voies AV/AR 1 750 mm  / 1 750 mm
Volume du coffre Réservoir : 50 dm3

Une Citroën C-Elysée, spécialement préparée, dévoilée le , est engagée au Championnat du monde des voitures de tourisme (WTCC), pour la saison 2014. Elle est équipée du même moteur 1.6 que la DS3 WRC, mais porté ici à 380 chevaux.

En 2014, Citroën/Total WTCC connait un vif succès. Les pilotes José María López, Sébastien Loeb, Yvan Muller remportent respectivement les trois premières places de la première manche au volant des trois exemplaires engagés de la Citroën C-Elysée WTCC. Citroën/Total WTCC domine la suite de la saison, remportant quatorze victoires au cours des quinze premières courses de la saison WTCC 2014, malgré le handicap d'un lest de 60 kg imposé aux Citroën C-Elysée WTCC, du fait de leurs nombreuses victoires.

L'équipe Citroën/Total WTCC remporte le titre de Champion du Monde des Constructeurs WTCC en 2014, 2015 et 2016. Les trois premières places du Championnat du monde des pilotes WTCC sont aussi occupées par les pilotes Citroën/Total WTCC.

Citroën se retire officiellement du WTCC et ne participera pas à l’édition 2017 afin de se concentrer sur le rallye avec la Citroën C3 WRC.

Notes et références

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  1. a et b « Automobile : La panne de citroen en Chine », L'Usine Nouvelle,‎ (lire en ligne, consulté le )
  2. a b c et d (en) China Division - PSA Peugeot Citroën in China - News kit, (lire en ligne)
  3. « Sortie en grande pompe de la millième Citroën ZX Fukang en Chine », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  4. (en-US) Leo Breevoort, « The Big Read – Dongfeng (2/6) – 80's trucks, 90's Citroens and 21st century Fengshens and Voyahs », sur CarNewsChina.com, (consulté le )
  5. (en-US) Author Chairman MacPherson, « A Rare And Red Shanghai Maple JM Star Meilu SXE7130 In China », sur CoolCarsInChina.com, (consulté le )
  6. (en-US) Author Chairman MacPherson, « Shanghai Maple Hisoon Sports Is An Odd Sporty Hatchback In China », sur CoolCarsInChina.com, (consulté le )
  7. « Dongfeng Peugeot-Citroën Automobile Co. Ltd. versus Shanghai-Maple Auto Co. Ltd. | chinesecars », sur www.chinesecars.net (consulté le )
  8. « Citroën C-Élysée - Modèle inédit… », Auto-Journal, 9 avril 2008
  9. « Les tribulations de la Citroën ZX en Chine. », septembre 2013
  10. (es) « Lanzamiento: Citroën C-Elysée », sur ARGENTINA AUTOBLOG, (consulté le )
  11. (it) « La Citroën C-Elysée arriva in Italia », sur www.alvolante.it (consulté le )
  12. C-Elysée : la Citroën low-cost arrive en France
  13. « La Citroën C-Elysée débarque en catimini », sur Automobile Magazine,
  14. « Citroën C-Elysée, la Logan de Citroën, en France à partir de 13 450 € », sur L'argus,
  15. « La C-Elysée rentre à la maison », sur Le Monde,
  16. « La C-Elysée rentre à la maison », Le Monde.fr,‎ (lire en ligne, consulté le )
  17. Yohann Leblanc, « La Citroën C-Elysée débarque en catimini », sur L'Automobile Magazine, (consulté le )
  18. « Citroën E-Elysée : la berline électrique fait ses débuts à Pékin », sur Automobile Propre,
  19. « Citroën E-Elysée : l’électrique s’invite à Pékin », sur Auto Journal,
  20. Un lifting pour la Citroën C-Elysée, sur Le Moniteur Automobile, 16 novembre 2016 (consulté le 19 novembre 2016)
  21. (en-US) « More New EV Brands From China – 6th Gear Automotive Solutions » (consulté le )
  22. « Dongfeng Junfeng electric vehicle », sur www.jfqcgs.com (consulté le )
  23. (en) « Dongfeng Fukang launches e Elysee, a pure electric car that is close to the people, with a comprehensive range of up to 300 kilometers », sur lujuba.cc, (consulté le )
  24. Yohann Leblanc, « Les Citroën e-Mehari et C-Elysée font leurs adieux », sur L'Automobile Magazine, (consulté le )
  25. « Turismos Citroën: descubre nuestros coches nuevos - Citroën España », sur web.archive.org, (consulté le )
  26. « Citroën, coches nuevos para particulares y profesionales | Citroën España - Citroën España », sur web.archive.org, (consulté le )
  27. (es) José Ignacio Gutiérrez, « ¡Inagotable! Citroën dota al C-Elysée del motor BlueHDi 1.5 litros », sur Rutamotor, (consulté le )
  28. (es) Gerardo García, « El Peugeot 301 2022 ahora es más seguro: la versión base recibe ESC y más airbags en México », sur Motorpasión México, (consulté le )
  29. (tr) « arac turleri », sur Citroën Türkiye, (consulté le )
  30. (es) Óscar Julián Restrepo Mantilla, « Citroën C-Elysee Taxi añade control de estabilidad y otras mejoras en su modelo 2022 », sur El Carro Colombiano, (consulté le )
  31. (en-US) Matt Gasnier, « Morocco August 2023: Renault Express upsets Dacia Sandero and Logan », sur Best Selling Cars Blog, (consulté le )