Bommiers

commune française du département de l'Indre

Bommiers est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Bommiers
Bommiers
Vue générale de la commune en 2013.
Blason de Bommiers
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Issoudun
Intercommunalité Communauté de communes Champagne Boischauts
Maire
Mandat
Bernard Allouis
2020-2026
Code postal 36120
Code commune 36019
Démographie
Gentilé Bometzois
Population
municipale
312 hab. (2021 en évolution de +2,97 % par rapport à 2015)
Densité 11 hab./km2
Population
agglomération
85 674 hab. (2010)
Géographie
Coordonnées 46° 47′ 44″ nord, 1° 59′ 10″ est
Altitude Min. 143 m
Max. 204 m
Superficie 28,38 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Châteauroux
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de La Châtre
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Bommiers
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Bommiers
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Bommiers
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Bommiers

Géographie

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Localisation

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Bommiers est située dans l'est[1] du département, dans la région naturelle du Boischaut Sud.

Les communes limitrophes[1] sont : Ambrault (2 km), Meunet-Planches (5 km), Pruniers (5 km), Saint-Aubin (7 km), Saint-Août (7 km) et La Berthenoux (16 km).

Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Issoudun (17 km), Châteauroux (22 km), La Châtre (24 km) et Le Blanc (72 km).

 
Localisation de la commune de Bommiers

Hameaux et lieux-dits

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Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : les Jarrys, les Pournins et les Saunerons[2].

Géologie et hydrographie

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La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].

Le territoire communal possède les sources de la rivière Théols[2] et est arrosé par la Petite Thonaise et la Grande Thonaise.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 759 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Lignières à 15 km à vol d'oiseau[6], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 774,6 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports

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Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 38D, 67 et 925[10].

La gare ferroviaire la plus proche est la gare d'Issoudun[10], à 19 km.

Bommiers est desservie par la ligne D du Réseau de mobilité interurbaine[11].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[10], à 25 km.

Urbanisme

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Typologie

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Au , Bommiers est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12].

Elle est située hors unité urbaine[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteauroux, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[13]. Cette aire, qui regroupe 71 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74,2 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (74,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (59,7 %), forêts (24,9 %), zones agricoles hétérogènes (7,4 %), prairies (7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,9 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement

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Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[17] de la commune :

Date du relevé 2013 2015
Nombre total de logements 163 166
Résidences principales 79,2 % 79,4 %
Résidences secondaires 11,6 % 11,5 %
Logements vacants 9,2 % 9,1 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 86,3 % 86,2 %

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Bommiers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Petite Thonaise, la Grande Thonaise, l'Étang Civrenne et la Théols. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1997, 1999 et 2016[20],[18].

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Chœurs-Thoux-Fleuret, est classée au niveau de risque 4, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[21].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Bommiers.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 91,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 166 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 152 sont en aléa moyen ou fort, soit 92 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1991, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1983 et 1999[18].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].

Toponymie

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Ses habitants sont appelés les Bometzois[25].

Histoire

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En 1317, affaire des poisons de Bommiers[26] : Marguerite, dame de Bommiers, étant tombée malade, alla consulter les médecins de l'université de Montpellier qui s'aperçurent qu'elle avait été empoisonnée.

Sous l'Ancien Régime, une communauté de Minimes était installée à Bommiers.

Le 21 juillet 1946, une famille paysanne est froidement assassinée dans sa ferme. La justice ne parviendra pas à percer le mystère lié à l'affaire Carteron[27].

La commune est rattachée de 1973 à 2015 au canton d'Issoudun-Sud.

Politique et administration

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La commune dépend de l'arrondissement d'Issoudun, du canton de La Châtre, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Champagne Boischauts[13].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1995[28],[29],[30] En cours Bernard Allouis DVD[31] Responsable commercial export retraité

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[33].

En 2021, la commune comptait 312 habitants[Note 2], en évolution de +2,97 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
565772667678676718670654700
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
697689691674673670667674649
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
643665622542539504490467470
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
411363350283229260272278292
2014 2019 2021 - - - - - -
302312312------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement

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La commune ne possède pas de lieu d'enseignement.

Manifestations culturelles et festivités

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Équipement culturel

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Médias

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La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

Économie

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La commune se situe dans l’aire urbaine de Châteauroux, dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie d'Issoudun[13].

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage du fromage Valençay[36].

Culture locale et patrimoine

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  • Église Saint-Pierre.
  • Monument aux morts.
  • Vestiges du château de Bommiers[37],[38] : il est cité pour la première fois das une bulle du pape Calixte II en 1123, puis en 1163 dans une bulle du pape Alexandre III. Rien de ce qui subsiste ne semble antérieur au XIIIe siècle. Il dut subir un siège pendant la Fronde en 1630. Sa ruine ne commença qu'après le rachat du duché de Châteauroux par Louis XV.
Le château est composé de trois parties séparées par des fossés. Côté nord, un donjon du XIIe siècle sur motte protégé par une chemise polygonale flanquée de deux tours de plan circulaires (XIIIe siècle). Au sud, une vaste enceinte, précédée côté ouest d'une basse-cour (début XIIIe siècle)[39].
  • Couvent des Minimes[40] : il fut fondé en 1511 par Jacques de La Trémoille. Il n'en subsiste plus rien.

Personnalités liées à la commune

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Héraldique

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  Blason
D'argent à la croix d'azur chargée de cinq gerbes de blé d'or[41].
Détails
Armes de la famille de Bommiers (olim Beaumetz).
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi

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Articles connexes

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Lien externe

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Notes et références

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  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. a b et c « Indre »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
  2. a et b « Bommiers » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Bommiers et Lignières », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Lignières », sur la commune de Lignières - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Lignières », sur la commune de Lignières - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. a b et c « Bommiers »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  11. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
  12. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  13. a b c et d Insee, « Métadonnées de la commune de Bommiers »..
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Châteauroux », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Comparateur de territoire : Commune de Bommiers (36019) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
  18. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Bommiers », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur /www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  21. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur /www.indre.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  25. « Nom des habitants des communes françaises, Bommiers », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  26. Site de Berry Médiéval : L'affaire des poisons de Bommiers (36) - XIVe siècle, consulté le 28 novembre 2009.
  27. Jean-François Donny, L'exécution, .
  28. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  29. « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  30. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  31. Site du Monde.fr : Bommiers, consulté le 21 septembre 2016.
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
  37. « Vestiges du château de Bourg-le-Château », notice no PA00097282, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. François Deshoulières, Bommiers, dans Congrès archéologique de France. 94e session. Bourges. 1931, p. 520-521, Société française d'archéologie, Paris, 1932.
  39. Nicolas Mengus, Châteaux forts au Moyen Âge, Rennes, Éditions Ouest-France, , 283 p. (ISBN 978-2-7373-8461-5), p. 58.
  40. François Deshoulières, Bommiers, dans Congrès archéologique de France. 94e session. Bourges. 1931, pp. 522, Société française d'archéologie, Paris, 1932.
  41. « 36019 Bommiers (Indre) », sur armorialdefrance.fr (consulté le ).