123e division d'infanterie (France)

La 123e division d'infanterie est une division d'infanterie de l'armée de terre française qui a participé à la Première Guerre mondiale.

123e division d'infanterie
Création 15 juin 1915
Pays Drapeau de la France France
Branche Armée de Terre
Type Division d'infanterie
Rôle Infanterie
Guerres Première Guerre mondiale
Batailles 1916 - Bataille de Verdun
1917 - Bataille de Verdun
1918 - Bataille du Matz
1918 - Offensive des Cent-Jours
(Bataille de Picardie)
(Poussée vers la ligne Hindenburg)
(Bataille de Saint-Quentin)
(Bataille de Mont d'Origny)

Les chefs de la 123e DI

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Première Guerre mondiale

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Composition

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  • Infanterie
6e régiment d'infanterie de à
12e régiment d'infanterie de à
411e régiment d'infanterie de à
412e régiment d'infanterie de à
  • Cavalerie
1 escadron du 7e régiment de dragons de à
2 escadrons du 6e régiment de hussards de à
  • Artillerie
2 groupes (puis 3 groupes à partir de ) de 75 du 58e régiment d'artillerie de campagne de à
1 groupe de 75 du 24e régiment d'artillerie de campagne de janvier à

Historique

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  • -  : constitution et occupation d'un secteur vers la ferme des Marquises et le nord-est de Saint-Léonard.
  • 23 -  : retrait du front, puis mouvement vers la région de Fismes ; repos.
  • -  : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers la Miette et la Ville-au-Bois, étendu à gauche le jusque vers le moulin Pontoy et réduit à gauche le jusqu'à la ferme du Temple.
  • -  : retrait du front et repos vers Mareuil-le-Port ; instruction.
  • -  : transport par V.F. dans la région de Francheville. À partir du , mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers Maisons de Champagne et la cote 196.
 : attaque allemande.
 : contre-attaque française.
22 et  : violentes attaques allemandes.
  • 1er -  : retrait du front ; repos dans la région de Fleury-sur-Aire, puis au sud-ouest de Bar-le-Duc.
  • -  : mouvement vers le front. Engagée à nouveau dans la bataille de Verdun vers la cote 304 et la lisière du bois d'Avocourt.
26, 29, et 1er juillet : attaques allemandes.
  • - 1er août : retrait du front, repos dans la région de Fleury-sur-Aire.
  • 1er -  : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers la cote 304 et la lisière est du bois d'Avocourt.
  • - 1er septembre : retrait du front, repos dans la région de Fleury-sur-Aire.
  • 1er septembre -  : mouvement vers le front et occupation d'un secteur vers la cote 304 et le bois Camard.
  • -  : retrait du front, repos vers Vaubecourt.
  • -  : transport par camions dans la région de Verdun, à partir du , occupation d'un secteur entre la Meuse et le bois d'Haudromont (exclus) ; travaux offensifs.
  • 14 -  : retrait du front, stationnement au sud de Verdun.
  • -  : transport par camions dans la région de Verdun et occupation d'un secteur entre la Meuse et Louvemont (exclus).
  • -  : retrait du front, transport par camions dans la région de Combles et Revigny ; repos et instruction.
  • - 1er juillet : transport par camions vers le front ; à partir du occupation d’un secteur entre Vaux-devant-Damloup et la ferme des Chambrettes étendu à gauche jusqu'à Louvemont et à droite, le jusqu'à Damloup.
  • 1er juillet -  : retrait du front ; repos dans la région de Ligny-en-Barrois.
  • 7 -  : transport par camions vers le front ; occupation d'un secteur vers Louvemont et la partie est de la côte du Poivre. À partir du , engagée dans la deuxième bataille offensive de Verdun, attaques des cotes 326 et 344.
 : contre-attaques allemandes repoussées. Puis organisation des positions conquises vers la cote 344 et la ferme Mormont.
  • -  : retrait du front, transport par camions vers Ramerupt ; repos et instruction. À partir du , transport dans la région de Rosières-aux-Salines ; repos et instruction.
  • -  : transport par camions vers le front en Lorraine et occupation d'un secteur vers Bezange-la-Grande et Moncel.
 : action locale sur les positions allemandes[1].
 : attaque allemande.
 : progression jusqu'à la Divette.
 : prise d'Essigny-le-Petit.
 : prise de Fonsomme.
 : prise de Boukincamp. Combats de la ferme Forté et de Bernoville. Puis organisation des positions conquises. À partir du , engagée dans la bataille de Mont d'Origny.
 : combats de Grugies, en liaison avec l'armée britannique.
 : franchissement du canal de la Sambre à l'Oise, entre Tupigny et Hannapes.
  • 19 -  : retrait du front, repos au nord de Saint-Quentin.
  • -  : occupation d'un secteur de combat entre Étreux et Tupigny.
 : franchissement de la Sambre. Engagée dans la poussée vers la Meuse, prise d'Esquéhéries, du Nouvion de Trélon et de Glageon, puis progression jusque vers Robechies.

Rattachement

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  • Affectation organique
38e C.A de juin à
15e C.A. d' à
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L'Entre-deux-guerres

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Seconde Guerre mondiale

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L'après Seconde Guerre mondiale

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Notes et références

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  1. Michel Goya, « 20 février 1918, une opération "commando" française géante en Lorraine », sur lavoiedelepee.blogspot.com, .

Voir aussi

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Bibliographie

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  • AFGG, vol. 2, t. 10 : Ordres de bataille des grandes unités : divisions d'infanterie, divisions de cavalerie, , 1092 p. (lire en ligne).

Articles connexes

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Liens externes

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