Supernature (chanson)

chanson de Marc Cerrone

Supernature est une chanson écrite par le musicien français Marc Cerrone et adaptée en anglais par la chanteuse américaine Lene Lovich, parue en sous le label Malligator, puis aux États-Unis en décembre de la même année sous le label Atlantic Records. Il s'agit du premier single extrait de l'album du même nom, le troisième réalisé par Cerrone. La musique est composée par Alain Wisniak et Cerrone en .

Supernature

Single de Cerrone
extrait de l'album Supernature (Cerrone III)
Face B In the Smoke
Give Me Love
Sweet Drums
Sortie

Enregistré
Studios Trident (Londres)
Durée 10:20 (Original)
3:50 (45 tours)
Genre Disco
Format Vinyle
Auteur Cerrone, Lene Lovich
Compositeur Cerrone, Alain Wisniak
Producteur Cerrone
Label Malligator (Universal), Atlantic Records

Singles de Cerrone

Clip vidéo

(en) [vidéo] « Cerrone - Supernature (Official Music Video) - HD (Restored & Remasterised) », sur YouTube

Pistes de Supernature (Cerrone III)

La chanson, aux tonalités disco, est enregistrée aux studios Trident à Londres en . Cerrone puise son inspiration musicale dans les œuvres du groupe allemand Kraftwerk et de Giorgio Moroder, précurseurs dans l'électronique, pour produire une mélodie en boucle avec un synthétiseur ARP Odyssey, agrémentée d'un jeu de batterie et de grosse caisse. Les paroles de la chanson, inspirées de L'Île du docteur Moreau, un roman de science-fiction écrit par le britannique H. G. Wells en , évoquent des monstres créés par l'utilisation de produits chimiques dans l'agriculture qui cherchent à venger la nature de l'humanité.

Supernature, par sa mélodie simpliste et le chant androgyne de Kay Garner, est teintée d'une ambiance sombre et effrayante qui dénote des compositions légères présentes dans les précédents albums de Cerrone. La chanson connaît un véritable succès aussi bien en Europe, notamment au Royaume-Uni où elle se classe au huitième rang des charts après une forte utilisation dans l'émission The Kenny Everett Video Show, qu'aux États-Unis, où elle occupe la première place du Hot Dance Club Songs. Le single s'écoule à 150 000 exemplaires en France et est certifié disque d'argent au Royaume-Uni.

Le titre de Cerrone devient un classique de son répertoire et du disco en général. Il est repris à de nombreuses reprises, notamment par Bob Sinclar en et par Duran Duran en . Le , la chanson est utilisée dans une version symphonique arrangée par Victor Le Masne lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris, au cours d'un spectacle lumineux à la tour Eiffel.

Genèse

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Marc Cerrone en 2009.

Contexte

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En , un magasinier parisien installé aux Champs-Élysées envoie par erreur à New York des dizaines d'exemplaires de l'album Love In C Minor de Marc Cerrone, croyant renvoyer un carton d'invendus de Barry White. Le titre du batteur français devient un succès outre-atlantique et le label Atlantic Records signe un contrat de distribution. Son deuxième album, Cerrone's Paradise, lui permet de devenir une référence de l'euro disco orchestral[1].

Néanmoins, Cerrone voit que l'industrie du disco se réapproprie les codes de sa musique : un son destiné aux discothèques et très sexualisé, avec des voix féminines. Alors que la disco devient la nouvelle pop musique commerciale des années 1970, Cerrone ressent le besoin de réagir et retourne aux studios Trident à Londres en , trois mois après l'enregistrement de Cerrone's Paradise, pour composer un nouvel album[2]. Supernature est donc une réaction directe au succès croissant de Cerrone et à la commercialisation du disco : « Quand j'avais vingt ans, j'étais plus provocateur. Mes deux premiers albums avaient beaucoup d'orchestration et beaucoup de cuivres, et bien sûr, je ne fais pas les arrangements. J'ai des gens pour le faire. Je me disais que certains morceaux ne m'appartenaient pas et que si les critiques pensaient tant que quelqu'un d'autre les avaient faits, alors peut-être que je devrais faire tout le morceau moi-même »[3].

Écriture et composition

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Supernature est composée en une après-midi, en juin , dans les studios Trident, à Londres[4],[2]. Pour ce nouveau titre, Cerrone souhaite s'emparer du thème des progrès scientifiques et technologiques dans ce qu'ils ont de fascinant et d'effrayant : selon lui, la nouvelle réalité permise par le progrès, qui fait reculer la limite du possible, se rapproche de la science-fiction et atténue les limites entre le bien et le mal. Cerrone estime que l'être humain doit sa survie à sa capacité à s'adapter aux changements qui lui sont imposés, et ceux-ci s'accumulent à une vitesse effrénée dans les années 1970, à tel point que l'artiste considère que l'être humain doit devenir une « supernature » pour s'y adapter[5].

En effet, Cerrone souhaite exprimer ses craintes en tant que citoyen sur l'évolution de son époque et sent que « le temps de l'allégresse est maintenant terminé », notamment avec l'annonce du premier bébé éprouvette par un laboratoire britannique, la révélation des effets néfastes de l'échappement de substances toxiques à la suite de la catastrophe de Seveso et l'apparition des organismes génétiquement modifiés[6].

Caractéristiques musicales

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L'écrivain britannique H.G. Wells, ici dans les années 1890, auteur de L'Île du docteur Moreau.

Musique

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Marc Cerrone est lassé des cordes et des cuivres présents dans l'essentiel des morceaux des années 1970. Il se dit inspiré par la musique du groupe allemand Kraftwerk et par Giorgio Moroder, précurseurs dans l'électronique. Cerrone produit ainsi une musique centrée autour d'un groove basse-batterie en boucle sur lequel s'ajoutent des arpèges et des nappes de synthétiseur, accentués par l'emploi de la grosse caisse. La mélodie du refrain, simpliste, crée une ambiance sombre et effrayante qui tranche avec les compositions précédentes du musicien français[1],[7].

Les fabricants de synthétiseurs, qui expérimentent à cette époque un matériel nouveau, envoient leurs instruments aux musiciens ayant un potentiel commercial. Ainsi, Cerrone reçoit un synthétiseur ARP Odyssey, en échange de la mention du nom de cet appareil sur la pochette de son prochain album. Le matériel étant nouveau, Cerrone et Alain Wisniak balbutient dans sa mise en marche et son utilisation avant de parvenir à composer de la musique. Le musicien trouve ensuite une séquence qui lui convient : « la première chose que j'ai faite quand je l'ai allumé était de-de-de-de-de. Et j'ai composé un morceau comme ça que j’ai appelé Supernature »[7],[8],[9]. Dans un entretien pour France Culture en , il se rappelle : « Je ne savais pas régler autrement le séquenceur qui était bloqué. Donc je change de note parce que ça devenait un peu lourd, et puis je me suis un peu hypnotisé tout seul. Donc j'ai rajouté une basse, en tapant comme ça sur le micro avec le bout du doigt, et en chantant la mélodie. Et puis j'ai fait écouter ça à mes équipes, dont un collaborateur, Alain Wisniak, qui est un bidouilleur de sons et un mec assez pointu. On est passé en studio et on a enregistré en demi-vitesse »[10].

Paroles

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La chanteuse américaine Lene Lovich (ici en 1979), qui compose les paroles de Supernature.

La chanson est composée par Alain Wisniak et Cerrone. Ce dernier, influencé par l'arrivée de la musique punk, de Pink Floyd et Tangerine Dream, souhaite évoquer ses préoccupations sur les progrès techno-scientifiques et ses dérives en puisant son inspiration dans L'Île du docteur Moreau, un roman de science-fiction écrit par le britannique H. G. Wells en et adapté au cinéma par Don Taylor en [4]. Dans un entretien en pour France Culture, Cerrone évoque cette inspiration : « [Ce film] interrogeait notre rapport au monde. Qu'est-ce qu'on est en train de faire de notre planète ? C'est notre chez nous, on y vit, on est en train de devenir fous, on ne respecte rien. Alors on est parti dans ce texte superbe qui a très bien réussi et est davantage à la mode aujourd'hui. C'est fou »[10].

Les paroles originales françaises ont été écrites par Cerrone et adaptées en anglais par la chanteuse américaine Lene Lovich. La chanson est d'abord intitulée Malligator, en référence au label fondé par Cerrone, mais sur les conseils de Lovich, elle est finalement intitulée Supernature[11]. Pourtant non créditée, l'interprétation est assurée par la chanteuse Kay Garner, choisie par Cerrone pour sa voix androgyne, afin d'« accentuer l'étrangeté du morceau ». L'histoire raconte un futur où l'utilisation de produits chimiques fertilisants dans l'agriculture a créé des monstres qui cherchent alors à se venger de l'humanité. Bien que considéré comme visionnaire, le texte de cette chanson ne cherche pas à dénoncer une dérive écologique, ni ne porte de message particulier, d'après Cerrone[1],[9].

Parution

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Cerrone fait écouter Supernature à Ahmet Ertegün et Jerry Greenberg, respectivement fondateur et président du label Atlantic Records, qui apprécient la chanson, mais estiment qu'elle n'est pas commerciale et que sa publication pourrait saborder le travail accompli avec les précédents albums de Cerrone. Celui-ci insiste pour que Supernature paraisse en face A d'un single, ce qu'Atlantic accepte à condition qu'il s'agisse d'une adaptation courte destinée à une diffusion en radio[9].

Supernature sort en single sous le format 45 tours en France en sous le label Malligator et est extrait de l'album homonyme. Le titre, d'une durée de min 50 s, est accompagné de la chanson In the Smoke. Aux États-Unis, il paraît en sous le label Cotillon et est accompagné de Sweet Drums sur sa face B[12]. Le single sort également au Royaume-Uni le sous le label Atlantic, avec le titre Give me Love sur sa face B[13].

Pochette

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Image externe
  Pochette du single Supernature.

La photo de couverture du single, reprise de celle de l'album éponyme, est réalisée par le photographe Patrick Perroquin avec qui Cerrone a déjà collaboré pour la pochette de Paradise, son second album. Perroquin est choisi car il comprend bien l'univers artistique du musicien français. Cerrone, inspiré par les photos des albums des Pink Floyd qui selon lui sont le point de départ d'une histoire, souhaite créer le même genre d'atmosphère avec la pochette de Supernature[14].

La photo prend pour cadre un bloc opératoire de la clinique de Choisy-le-Roi et arbore un visuel froid et apocalyptique, à rebours des précédentes pochettes qui étaient bien plus légères. Elle montre Cerrone portant une chemise noire ouverte sur sa chaîne en or et un pantalon à pattes d'éléphant ; son regard est grave, presque fou. En arrière-plan se trouvent trois créatures mi-hommes mi-bêtes, couchées à ses pieds. Cerrone se tient assis sur une table d'opération — celle où est né Jérémy, son fils aîné — où gît un cadavre écorché[15].

Clip musical

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Vidéo externe
  Vidéoclip de Supernature.

Le clip est tourné durant l'hiver 1977-1978, juste après la sortie du single. Cerrone souhaite mettre en mouvement la photo de la pochette et la photo intérieure qui montre l'artiste, entouré des mêmes créatures, posant au milieu d'un jardin rappelant l'Éden, cherchant à renouer avec les débuts de l'humanité[16]. Cerrone fait appel à Rémy Grumbach, rencontré lors d'une émission de Michel Drucker, pour le co-réaliser. Grumbach propose à Cerrone de tourner dans l'ancienne carrière de craies de Mantes-la-Jolie : ce dernier, en voyant ce décor lunaire qui lui fait penser à un « lendemain d'apocalypse nucléaire », en a le « souffle coupé » et considère que l'atmosphère qui y règne correspond à celui de Supernature[17].

La vidéo est tournée par −10 degrés Celsius : elle met en scène des femmes déguisées en infirmières et des hommes à moitié nus, rescapés de l'apocalypse, portant des masques d'un animal ressemblant à un cochon ou un loup, errant dans un paysage désertique et escaladant des falaises à mains nues. Cerrone arrive en Rolls-Royce et s'installe au milieu de la carrière de craie pour jouer sur sa batterie Ludwig en plastique transparent, entouré de grands murs de pierre[18],[1].

Réception

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Réception critique

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En , le site spécialisé anglophone Pitchfork classe Supernature au 187e rang des 200 meilleures chansons des années 1970, affirmant que le titre de Cerrone « a introduit une souche sans précédent de disco d'effroi dystopique. Ni Kraftwerk ni le Bowie de l'ère berlinoise n'ont eu un impact immédiat sur les pistes de danse du monde entier aussi profond que Supernature ». Pitchfork estime que ce morceau de « science-fiction si profond a ouvert la voie au space disco, à la techno, à l'acid house et à d'autres sons de dancefloor sombres »[19].

Réception commerciale

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Supernature s'est écoulé à plus de 150 000 exemplaires en France[20]. En , le single est certifié disque d'argent au Royaume-Uni par la British Phonographic Industry pour avoir atteint les 250 000 copies vendues[21].

Dans les charts, Supernature atteint la 1re place du classement RPM dance au Canada et la conserve pendant cinq semaines, entre février et mars 1978[22],[23]. Aux États-Unis, le titre atteint la 70e place du Billboard Hot 100 et la 1re place du Hot Dance Club Songs[24].

En Europe, le single de Cerrone atteint la huitième place du UK Singles Chart et la conserve pendant trois semaines, à partir du , après avoir été diffusé à de nombreuses reprises dans l'émission The Kenny Everett Video Show[25],[26]. Le titre figure au 11e rang en Irlande, à la 13e place en France et au 27e rang en Italie[27],[28],[29].

Postérité

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Reprises

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Supernature fait l'objet de nombreuses reprises : en , Lene Lovich reprend ce tube dans une compilation intitulée Animal Liberation, réunissant plusieurs artistes au profit de PETA[30]. En 1989, le duo britannique Erasure intègre la chanson en face B du single You Surround Me, extrait de son quatrième album studio, intitulé Wild![31]. En 1994, le groupe écossais de musique électronique The Time Frequency reprend Supernature sur son premier album, Dominator[32]. En , le disc jockey français Bob Sinclar propose une version remixée de Supernature dans un album de reprises de morceaux de Cerrone, intitulée Cerrone by Bob Sinclar[33]. La chanson est également reprise dans le jeu vidéo Grand Theft Auto IV en [34]. En , le titre de Cerrone est repris par le groupe britannique Duran Duran sur son seizième album Danse Macabre[35]. Pour son spot publicitaire télévisé de fin d'année 2024, l'entreprise de vente en ligne de chaussures et de vêtements Zalando choisit Supernature comme fond sonore[36].

Jeux olympiques de Paris 2024

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Le , la chanson est utilisée lors de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris, au cours d'un spectacle lumineux à la tour Eiffel, juste avant l'embrasement de la vasque olympique[37]. Le tube est interprété en chansigne par le danseur américain Shaheem Sanchez[38]. Six mois auparavant, Victor Le Masne, le directeur artistique de la cérémonie, contacte Cerrone car il souhaite utiliser la chanson Give me Love dans l'un de ses tableaux. Celui-ci évoque avec lui son projet de concerts en version symphonique. Quelque temps plus tard, Victor Le Masne lui annonce vouloir réaliser une version électro symphonique de Supernature, en conservant la voix originale de Kay Gardner, avec la validation du metteur en scène Thomas Jolly et du président de la République Emmanuel Macron[39],[40]. Cette exposition à l'échelle internationale déclenche un regain d'intérêt pour le titre avec plus de 1,5 million de recherches sur Shazam (à la deuxième place des recherches au niveau mondial), dont plus de 320 000 pour le week-end suivant la cérémonie, ainsi qu'une augmentation de plus de 120 000 % d'écoutes en 48 h en France[41],[42].

Liste des pistes

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Toutes les chansons sont écrites et composées par Marc Cerrone et Alain Wisniak.
Format vinyle 18' 45 tours, 1977 (France)[43].
NoTitreDurée
1.Supernature3:50
2.In the Smoke3:20
7:10
Format vinyle 7' 45 tours, 1977 (États-Unis)[44].
NoTitreDurée
A.Supernature3:45
B.Sweet Drums2:43
6:28
Format CD, 1996 (États-Unis)[45].
NoTitreDurée
1.Supernature (Single Edit)3:48
2.Supernature (D.T.'s Legendary Club Mix)10:54
3.Supernature (D.T.'s Twilo Club Mix)10:49
4.Supernature (Kevin Saunderson Remix)5:17
5.Supernature (Original)10:20
40:28
Format CD, 1996 (Royaume-Uni)[46].
NoTitreDurée
1.Supernature (Candy Girls 7" Mix)3:48
2.Supernature (Jon Pleased Wimmin 12" Mix)7:39
3.Supernature (Kevin Saunderson 12")5:16
4.Supernature (Candy Girls 12" Mix)7:29
5.Supernature ((Original Cerrone 12" Version)10:08
34:20
Format CD, 2001 (France)[47].
NoTitreDurée
1.Supernature (Nu-Soul-Edit)3:58
2.Supernature (Matt Remix)4:15
3.Supernature (Superlicious Club Mix (Ugo & Sanz))7:30
4.Supernature (Edit From Original Version)5:56
21:39

Classements hebdomadaires

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Version originale

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Classement (1978) Meilleure
place
  Canada (Dance/Urban)[48] 1
  États-Unis (Hot 100)[24] 70
  États-Unis (Hot Dance Club Play)[24] 1
  États-Unis (Hot Soul Singles)[24] 72
  France (IFOP)[28] 13
  Irlande (IRMA)[27] 11
  Italie (Musica e Dischi)[29] 27
  Royaume-Uni (UK Singles Chart)[49] 8

Version remixée

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Chart (1996) (Remix) Peak
position
  Royaume-Uni (UK Singles Chart)[50] 66
  États-Unis (Hot Dance Club Play)[24] 12
  États-Unis (Hot Dance Music/Maxi-Singles Sales)[24] 26
Classement (2001) Meilleure
position
  France (SNEP)[51] 69

Ventes et certification

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Région Certification Ventes/Streams
  Royaume-Uni (BPI)[21]   Argent 250 000^

*Ventes selon la certification
^Mise en rayon selon la certification
xNon précisé par la certification

Notes et références

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  1. a b c et d Meziane 2020.
  2. a et b (en) « Cerrone - Cerrone 3 Supernature », sur Discogs (consulté le ).
  3. James 2022, p. 38-39.
  4. a et b Cerrone 2018, p. 82.
  5. Cerrone 2018, p. 82-83.
  6. Cerrone 2018, p. 80-81.
  7. a et b James 2022, p. 39.
  8. Cerrone 2018, p. 83.
  9. a b et c Jérôme Provençal, « Le mirifique Supernature de Cerrone resurgit plus stupéfiant que jamais », Les Inrocks, (consulté le ).
  10. a et b « Cerrone : "Quand un concert se termine, ils ont toujours la banane », sur Radio France, (consulté le ).
  11. 180 Fact, « Cerrone on how disco classic ‘Supernature’ was made », sur youtube.com (consulté le ).
  12. (en) « Supernature : Record details », sur 45cat.com (consulté le ).
  13. (en) « Supernature : Record details », sur 45cat.com (consulté le ).
  14. Cerrone 2018, p. 85-86.
  15. Cerrone 2018, p. 84-85.
  16. Cerrone 2018, p. 85.
  17. Cerrone 2018, p. 86-87.
  18. Cerrone 2018, p. 87.
  19. (en) « The 200 Best Songs of the 1970s », sur Pitchfork, (consulté le ).
  20. (en) « TOP 45 Tours - 1978 », sur top-france.fr (consulté le ).
  21. a et b (en) « Supernature (single) - Cerrone », sur BPI (consulté le ).
  22. (en) « TOP 30 playlist RPM Dance, Volume 28, No. 21, Feb 18, 1978 », sur bac-lac.gc.ca (consulté le ).
  23. (en) « TOP 30 playlist RPM Dance, Volume 28, No. 25, Mar 18, 1978 », sur bac-lac.gc.ca (consulté le ).
  24. a b c d e et f (en) « Cerrone – Awards », AllMusic. All Media Network (consulté le )
  25. (en) « Chart history of SUPERNATURE », sur officialcharts.com (consulté le ).
  26. (en) Neil Mason, « Marc Cerrone ‘Supernature’ », sur electronicsound.co.uk, (consulté le ).
  27. a et b (en) « Supernature dans les charts irlandais », sur irishcharts.ie (consulté le )
  28. a et b « 1970-1989 de A à C », sur Charts singles Top 50 en France (consulté le ).
  29. a et b (it) « Indice per Interprete: C », sur hitparadeitalie.it (consulté le ).
  30. (en) « Various – Animal Liberation », sur Discogs (consulté le ).
  31. (en) « Erasure – You Surround Me », sur Discogs (consulté le ).
  32. (en) « The Time Frequency – Dominator », sur Discogs (consulté le ).
  33. « Cerrone By Bob Sinclar », sur Discogs (consulté le ).
  34. Maxime Chao, « Toute la musique de GTA IV », sur JeuxActu, (consulté le ).
  35. « Duran Duran : un deuxième single révélé avant la sortie de l'album », sur Nostalgie (consulté le ).
  36. « Pub Zalando Noël 2024 », sur lareclame.fr (consulté le )
  37. « Edith Piaf, Cerrone, Gojira : sur les plateformes d'écoute en ligne, la playlist des JO cartonne », sur Radio France (consulté le )
  38. Alexandre Aflalo, « Cérémonie d’ouverture des JO 2024 : c’est quoi le chansigne, mis à l’honneur lors du show ? », sur Le Parisien, (consulté le ).
  39. Emmanuel Marolle, « « Je ne pouvais pas rêver mieux » : après la cérémonie d’ouverture, « Supernature » de Cerrone affole Shazam », sur Le Parisien, (consulté le ).
  40. « "J'ai fait danser la Tour Eiffel aux JO de Paris 2024" : Cerrone nous raconte cette formidable soirée ! », sur Nostalgie, (consulté le ).
  41. Joséphine Pelois, « JO 2024 : Aya Nakamura, Gojira… ces artistes qui cartonnent sur les plateformes (et au-delà) », sur Capital.fr, (consulté le )
  42. Carla Valade, « Comment la cérémonie d'ouverture des JO a boosté les écoutes de "Supernature" ou "L'Hymne à l'amour" », sur LaProvence.com, (consulté le ).
  43. « Supernature », sur MusicBrainz (consulté le ).
  44. « Supernature », sur Discogs (consulté le ).
  45. « Supernature (The Danny Tenaglia Remixes) », sur Discogs (consulté le ).
  46. « Supernature », sur Discogs (consulté le ).
  47. « Supernature », sur Discogs (consulté le ).
  48. (en) RPM Dance/Urban. RPM. Bibliothèque et Archives Canada. Consulté le 12 mai 2015.
  49. (en) Archive Chart. UK Singles Chart. The Official Charts Company. Consulté le 14 juillet 2022.
  50. (en) Archive Chart. UK Singles Chart. The Official Charts Company. Consulté le 6 juillet 2013.
  51. Lescharts.com – Cerrone – Supernature. SNEP. Hung Medien. Consulté le 14 juillet 2022.

Voir aussi

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Bibliographie

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  : document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.

  • Marc Cerrone, Paradis : Autobiographie, Paris, EPA, , 256 p. (ISBN 978-2851209825).  
  • Belkacem Meziane, Night Fever : 100 hits qui ont fait le disco, Paris, Le mot et le reste, , 242 p. (ISBN 978-2361392215).  
  • (en) Martin James, French Connections : From Discotheque to Daft Punk - the Birth of French Touch, Chislehurst, Velocity Press, , 320 p. (ISBN 9781913231309).  

Liens externes

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