Soupir (Aisne)
Soupir est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France. Soupir a été totalement détruite lors des batailles sur le Chemin des Dames lors de la Première Guerre mondiale.
Soupir | |||||
La mairie de Soupir. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Aisne | ||||
Arrondissement | Soissons | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Val de l'Aisne | ||||
Maire Mandat |
Évelyne Libregs 2020-2026 |
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Code postal | 02160 | ||||
Code commune | 02730 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
268 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 26 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 49° 24′ 25″ nord, 3° 35′ 50″ est | ||||
Altitude | 65 m Min. 42 m Max. 190 m |
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Superficie | 10,2 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Fère-en-Tardenois | ||||
Législatives | 5e circonscription de l'Aisne | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Aisne
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
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Géographie
modifierDescription
modifierSoupir est située sur la rive droite de l'Aisne, entre Bourg-et-Comin (en amont et à l'est) et Vailly-sur-Aisne (en aval et à l'ouest).
Il est accessible par la RD 925.
Localisation
modifierOstel | Braye-en-Laonnois | |||
Chavonne | N | Moussy-Verneuil | ||
O Soupir E | ||||
S | ||||
Cys-la-Commune | Saint-Mard | Pont-Arcy |
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin Seine-Normandie. Elle est drainée par l'Aisne, le canal de l'Oise à l'Aisne, le canal latéral à l'Aisne, le cours d'eau 01 de la Grosse Haie[1], le cours d'eau 01 des Sablons[2], le cours d'eau 03 de la Prée[3] et le ru de Vendresse Beaulne[4],[5],[Carte 1].
L'Aisne est un cours d'eau naturel navigable de 256 km de longueur, traversant les cinq départements Meuse, Marne, Ardennes, Aisne, Oise. Elle est un affluent de rive gauche de l'Oise, ce qui fait d'elle un sous-affluent de la Seine[6].
Le canal de l'Oise à l'Aisne est un canal à bief de partage au gabarit Freycinet reliant les vallées de l'Oise et de l'Aisne. Il relie les communes d'Abbécourt et de Bourg-et-Comin en passant sous le tristement célèbre « Chemin des Dames »[7].
Le canal latéral à l'Aisne relie Vieux-lès-Asfeld (Ardennes) à Celles-sur-Aisne (Aisne), en passant par Berry-au-Bac[8].
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Panorama sur l'Aisne
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L'écluse no 12 de Moussy-Soupir sur le canal de l'Oise à l'Aisne.
Sept plans d'eau complètent le réseau hydrographique : la ballastière des Sablons (0,5 ha), la ballastière du Parc (12,8 ha), la gravière 1 de la Petite Forêt (0,9 ha), la gravière 2 de la Petite Forêt (1,7 ha), la gravière 3 de la Petite Forêt, d'une superficie totale de 0,8 ha (0,8 ha sur la commune), la gravière 4 de la Petite Forêt, d'une superficie totale de 1,2 ha (0,3 ha sur la commune) et la gravière de Ribaudon (0,9 ha)[Carte 1],[9].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Aisne Vesle Suippe ». Ce document de planification, dont le territoire s'étend sur 3 096 km2 répartis sur trois départements (Aisne, Marne et Ardennes) et deux régions (Champagne-Ardenne et Picardie), a été approuvé le 16 décembre 2013. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le Syndicat d'aménagement des bassins Aisne Vesle Suippe (SIABAVES)[10].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site spécial géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[11]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[12].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 726 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Braine à 9 km à vol d'oiseau[13], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 662,7 mm[14],[15]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site spécial publié par Météo-France en novembre 2022[16].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Soupir est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[17]. Elle est située hors unité urbaine[I 1] et hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (54,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (69,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,2 %), forêts (30,6 %), eaux continentales[Note 2] (6,7 %), mines, décharges et chantiers (5,7 %), zones urbanisées (2,8 %), zones agricoles hétérogènes (1,3 %), prairies (0,7 %)[20].
L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Habitat et logement
modifierEn 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 135, alors qu'il était de 135 en 2014 et de 133 en 2009[I 2].
Parmi ces logements, 88,9 % étaient des résidences principales, 4,4 % des résidences secondaires et 6,7 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 93,2 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 6 % des appartements[I 3].
Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Soupir en 2019 en comparaison avec celle de l'Aisne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (4,4 %) supérieure à celle du département (3,5 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 62,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (67,2 % en 2014), contre 61,6 % pour l'Aisne et 57,5 pour la France entière[I 4].
Typologie | Soupir[I 2] | Aisne[I 5] | France entière[I 6] |
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Résidences principales (en %) | 88,9 | 86,5 | 82,1 |
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) | 4,4 | 3,5 | 9,7 |
Logements vacants (en %) | 6,7 | 9,9 | 8,2 |
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Parochia Soupeiacensis (1124) ; Sulpi (1132) ; Supeium (1134) ; Soupeium (1134) ; Ecclesia de Sopi (1144) ; Suppeium (1163) ; Soppi (1217) ; Soupi (1221) ; Soppiacum (1222) ; Sopiacum (1225) ; Souppi, Souppiacum (1230) ; Soupiacum (1243) ; Soupi-la-Vile (1278) ; Souppyacum (1287) ; Souppy (1303) ; Soupy (1319) ; Supi (1482) ; Souppy-en-Lannoys (1487) ; Souppy-en-Lannois (1487) ; Souppir (1554) ; Soupire (1671)[21].
Histoire
modifierÉpoque contemporaine
modifierAu bord de l'Aisne et au sud du Chemin des Dames, le village est anéanti lors de la Première Guerre mondiale[22], puis reconstruit entièrement.
Cette guerre a laissé à Soupir de grands cimetières militaires.
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Le village ravagé en .
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Sur le front Français. Mitrailleuse allemande prise à Soupir.
-
Ruines de l'église, au sortir de la Guerre.
Le village est considéré comme détruit à la fin de la guerre[23] et a été décoré de la Croix de guerre 1914-1918, le [24].
Lors du début de la Seconde Guerre mondiale, en 1940, la commune est à nouveau un haut lieu de la bataille de l'Ailette.
Politique et administration
modifierDécoupage territorial
modifierLa commune de Soupir est membre de la communauté de communes du Val de l'Aisne, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Presles-et-Boves. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[25].
Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Soissons, au département de l'Aisne et à la région Hauts-de-France[I 1]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Fère-en-Tardenois pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la cinquième circonscription de l'Aisne pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[26].
Administration municipale
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[32].
En 2021, la commune comptait 268 habitants[Note 3], en évolution de −3,6 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Lieux et monuments
modifierCimetières militaires de la Première Guerre mondiale
modifier- Nécropoles nationales de Soupir, qui comprend deux sections majeures françaises :
- Nécropole nationale n° 1 : créée en 1920, rassemble 7 808 corps dont 3 080 en trois ossuaires et 266 corps provenant d'autres cimetières dans quatre fosses communes, une tombe belge et une russe ;
- Nécropole nationale n° 2 : créée en 1934, rassemble 2 829 corps dont 250 en un ossuaire, 27 tombes russes, 5 belges et 2 britanniques. En 1954, ont été inhumés dans cette nécropole 545 corps de soldats français tués pendant la campagne de France de 1940 ainsi que 33 civils belges en 1988.
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Nécropole nationale de Soupir, panneau.
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Nécropole nationale de Soupir, au fond l'église de Soupir.
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Nécropole nationale de Soupir, section française.
- Cimetière militaire allemand de Soupir, qui rassemble 11 089 corps dont 5 134 dans des tombes individuelles dont 19 non identifiés, 5 955 dans un ossuaire (dont seulement 794 sont identifiés).
- Cimetière militaire italien de Soupir, qui regroupe 592 tombes et un monument commémoratif de Fernand Cian, réalisé en 1921, à la mémoire des soldats italiens tombés sur le sol de France.
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Nécropole nationale de Soupir : section allemande et une des deux sections françaises.
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Cimetière militaire italien de Soupir.
Autres monuments
modifier- Église Notre-Dame de Soupir, classée Monument Historique en 1920.
- La porte monumentale, construite en 1908 et vestige du château de Soupir reconstruit de 1873 à 1876 en style néogothique et détruit en 1914[35],[36],[37],Anonyme, « L'Eglise et le château de Soupir »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Album de photographies : Georges Salles pendant la Première Guerre mondiale, Musée d'Orsay, (consulté le ).
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Église Notre-Dame.
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Porche du château détruit.
Personnalités liées à la commune
modifier- Alfred Chauchard, propriétaire qui reconstruit le château de Soupir de 1873 à 1876.
- Gaston Calmette, directeur du Figaro et propriétaire du château de Soupir.
Héraldique
modifierBlason | Tiercé en pairle renversé: au 1) de gueules à trois croix latines d'argent, au 2) d'azur au lion d'or, armé et lampassé de gueules, au 3) de sinople à la fasce ondée d'argent, accompagnée en chef d'un porche de château détruit (du lieu) d'or, et en pointe de deux épis de blé du même, posés en chevron versé[38] |
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Détails | Création JF Binon (2016). Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierLiens externes
modifier- Soupir sur le site de l'Insee
- « Dossier complet : Commune de Soupir (02730) », Recensement général de la population de 2019, INSEE, (consulté le ).
- « Soupir »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), Ministère de la cohésion des territoires et des relations avec les collectivités territoriales, .
- « Soupir » sur Géoportail.
- Carte spéciale des régions dévastées : 33 NE, Soissons [Nord-Est], Service géographique de l'armée, (lire en ligne), lire en ligne sur Gallica.
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Soupir » sur Géoportail (consulté le 17 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Notes de type "Carte"
modifier
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Chiffres clés - Logement en 2019 à Soupir » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Soupir - Section LOG T2 » (consulté le ).
- « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Soupir - Section LOG T7 » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans l'Aisne » (consulté le ).
- « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Sandre, « le cours d'eau 01 de la Grosse Haie »
- Sandre, « le cours d'eau 01 des Sablons »
- Sandre, « le cours d'eau 03 de la Prée »
- Sandre, « le ru de Vendresse Beaulne »
- « Fiche communale de Soupir », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines dans le bassin Seine-Normandie (consulté le )
- Sandre, « l'Aisne »
- Sandre, « le canal de l'Oise à l'Aisne »
- Sandre, « le canal latéral à l'Aisne »
- « Le millésime 2022 de la BD TOPAGE® métropole est disponible », sur eaufrance.fr (consulté le ).
- « SAGE Aisne Vesle Suippe », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Soupir et Braine », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Braine » (commune de Braine) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Braine » (commune de Braine) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l'Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 1265.
- Chanoine Lebergue, « Les batailles de Soupir (1914-1918) », Mon village, Monographie de la commune de Soupir (Aisne), (consulté le ).
- Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
- Journal officiel du 28 octobre 1920, p. 16685
- « communauté de communes du Val de l'Aisne - fiche descriptive au 1er avril 2020 », sur banatic.interieur.gouv.fr (consulté le ).
- « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
- « SOUPIR Le maire Jean-Jacques Libregs est décédé », L'Union, (lire en ligne)
- Noël Jacmin, « M. Leroy est élu maire », L'Union, (lire en ligne)
- Préfecture de l'Aisne consulté le 7 juillet 2008
- « Liste des maires de l'Aisne » [xls], Préfecture de l'Aisne, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Le Château de Soupir », notice no PA02000072, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Maurice Alexis Louis Boulay (photographe), « Soupir, château Chauchard, l'entrée. [légende d'origine] », sur imagesdefense.gouv.fr (consulté le ).
- « Soupir : victime de la proximité du chemin des Dames, le château de Soupir n'a pas survécu. », Le Patrimoine disparu du Nord de la France (consulté le ).
- https://armorialdefrance.fr/documents/SI/SOUPIR-02-01.JPG Blasonnement selon image