Salomé (Nord)
Salomé est une commune française située dans le département du Nord, en région Hauts-de-France. Elle fait partie de la Métropole européenne de Lille.
Salomé | |||||
Une entrée de la commune. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Hauts-de-France | ||||
Département | Nord | ||||
Circonscription départementale | Cinquième circonscription du Nord | ||||
Arrondissement | Lille | ||||
Intercommunalité | Métropole européenne de Lille | ||||
Maire Mandat |
Pierre Canesse 2020-2026 |
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Code postal | 59496 | ||||
Code commune | 59550 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saloméens | ||||
Population municipale |
3 051 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 581 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 50° 32′ 08″ nord, 2° 50′ 24″ est | ||||
Altitude | Min. 20 m Max. 31 m |
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Superficie | 5,25 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Béthune (banlieue) |
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Aire d'attraction | Lille (partie française) (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Annœullin | ||||
Législatives | Cinquième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Métropole européenne de Lille
Géolocalisation sur la carte : Nord
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Liens | |||||
Site web | www.mairie-salome.fr | ||||
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Géographie
modifierSituation
modifierAu carrefour d'un réseau fluvial et routier, à la limite de l'ex-bassin houiller du Pas-de-Calais, et desservie par le canal d'Aire-à-La Bassée qui la relie au canal à grand gabarit Valenciennes-Dunkerque, le village possède les atouts d'une économie dynamique et accueille de nombreuses entreprises.
Communes limitrophes
modifierHydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin Artois-Picardie. Elle est drainée par le canal d'Aire à la Bassée, le Courant Saint-Martin, l'Ancien canal d'Aire à la Bassée[2], le Grand Moisnil[3], le Hantay[4] et un autre petit cours d'eau[5],[Carte 1].
Le canal d'Aire à la Bassée, d'une longueur de 39 km, prend sa source dans la commune de Bauvin et se jette dans la Lys à Aire-sur-la-Lys, après avoir traversé 20 communes[6].
Gestion et qualité des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Marque Deûle ». Ce document de planification concerne un territoire de 1 120 km2 de superficie, délimité par les bassins versants de la Marque et de la Deûle, formant une vaste cuvette sédimentaire de 40 km de long et de 25 km de large, où la pente est très faible. Le périmètre a été arrêté le et le SAGE proprement dit a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la Métropole européenne de Lille[7].
La qualité des cours d'eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[8]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l'année et un hiver froid (3 °C)[9].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 700 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 8,8 jours en juillet[8]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Lesquin à 20 km à vol d'oiseau[10], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,0 mm[11],[12]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[13].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Salomé est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle appartient à l'unité urbaine de Béthune[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant 94 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[15],[16]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Lille (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[16]. Cette aire, qui regroupe 201 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[17],[18].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (78,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (73,7 %), zones urbanisées (17,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (8,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,2 %)[19]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].
Voies de communication et transports
modifierLa gare de Salomé est desservie par des trains TER Hauts-de-France circulant entre les gares de Lille-Flandres et de Béthune, ou de Saint-Pol-sur-Ternoise.
La commune est desservie, en 2023, par les lignes 61, 928, 930 et par les lignes de transport à la demande 22R et 61R du réseau Ilévia[20].
Toponymie
modifierLa commune tire son nom d'un personnage dont il est fait mention au Xe siècle : Salomones Mansun[21].
Histoire
modifierAvant la Révolution française
modifierDes fouilles effectuées au XVIIIe siècle révèlent des vestiges romains et plusieurs médailles. Le village apparait avec certitude avant 984 car il se retrouve dans la donation faite à l'abbaye Saint-Pierre de Gand. Mansus ou Meix y indiquent un petit domaine rural[21].
Robert, évêque d'Arras, donna, en 1182, l'autel de ce village à l'abbaye de Saint-Bertin.
La proximité d'une ancienne place forte portant ce nom et à laquelle elle fut reliée par un canal au XIIIe siècle, valut à cette commune, citée dès 984, son nom actuel. La rue du Millénaire fut donc inaugurée en 1984.
Maintes fois envahi du fait de sa proximité avec la ville fortifiée de La Bassée, le village était, avant la Révolution française, dissocié en fiefs et seigneuries dont certains ont conservé le nom. Plusieurs fiefs pouvaient porter le nom du village.
Les comtes d'Hespel (Famille D'Hespel) sont une grande famille issue de Wallerand Hespel, Ier, depuis 1495. Ils possèdent des terres dans les quartiers des Weppes, Carembaut, Ferrain, Pévèle, Mélantois, en Artois et dans la Chatellenie de Courtrai. Ces domaines s'étendent au fil du temps plus particulièrement à Fournes et à Salomé[22]. Un descendant de la famille, Clément-Séraphin-Marie Hespel, seigneur d'Hocron (sur Sainghin-en-Weppes), décédé en 1784 est encore inhumé à Salomé[23].
Jean-Baptiste de Lannoy (1616-1674), fils de Jean de Lannoy, seigneur des Plantis (à Cysoing), de la Deusle, Rabodenghes, de la Vigne, bourgeois de Lille, anobli en 1641, et de Marie Desbarbieux, nait à Lille en août 1616 (baptisé le ). Il est écuyer, seigneur des Prés (fief sur Flers?), de la Deusle, Salomé, Rabodenghes. Bourgeois de Lille le , il est créé chevalier par lettres données à Madrid le . Mayeur de Lille en 1669 et 1670, il meurt à Lille le . Il épouse à Lille le Marie-Catherine de Logenhagan, baptisée à Lille le , fille d'Antoine, écuyer, seigneur d'Inglant, et de Catherine de Hangouart[24].
Jean-Baptiste-François-Olivier de Lannoy (1650- avant 1700), fils de Jean-Baptiste de Lannoy, est chevalier, seigneur des Prés, de Salomé, de la Deusle. Il nait à Lille en janvier 1650 (baptisé le ), devient bourgeois de Lille le , est nommé grand bailli de Furnes par lettres données à Saint-Germain-en-Laye le . Il meurt avant 1700. Il épouse le Françoise-Henriette de Tramecourt, fille de Georges, écuyer et de Françoise-Henriette de Haynin. Elle nait à Aire-sur-la-Lys en juin 1659 (baptisée le ) et meurt à Lille le [24]. Ils ont eu huit enfants, dont :
- Marie Thérèse Françoise de Lannoy (1682-1764) épouse en 1698 à Lille Balthazar de Sainte-Aldegonde, fils du seigneur de Genech.
- Marie Thérèse de Lannoy(1687-1756), dame d'Emmerin[25].
- Albert François de Lannoy (1691-1719), seigneur de Roncq par son mariage[26].
Est également retrouvé en tant que seigneur de Salomé vers 1626, Toussaint Ier des Barbieux, échevin de Lille, natif de Lille, bourgeois de Lille par relief du , tondeur de draps, seigneur de Salomé près de La Bassée, la Vigne, Breucq et les Pretz sur Flers-lez-Lille. Il a acheté ces fiefs en décembre 1609[27]. Il est déclaré écuyer dans les registres de la loi de Lille à partir de 1632[28]. Il descend des Barbieux dont plusieurs étaient chevaliers dès l'an 1300. Il prend pour femme Marie L'hermite, morte le [27], issue de la maison à laquelle appartenait Pierre l'Ermite, chef de la croisade en 1096. Toussaint meurt le [27].
Toussaint II des Barbieux, écuyer, fils de Toussaint Ier, baptisé à Lille le , réside à Lille, et meurt célibataire avant son père. Il obtient sentence de noblesse de la gouvernance de Lille le . Il bénéficie de lettres données à Madrid par le roi d'Espagne Philippe IV le le faisant chevalier. L'acte le dit seigneur des Prez et de Salomé. Il lègue sa riche bibliothèque aux Jésuites de Lille[29].
À côté de la seigneurie de Salomé, des fiefs situés sur la paroisse donnaient également à leur possesseur le titre de seigneur, ainsi celui de Coisnes.
Au XVIe siècle, François de Preudhomme de Hailly, chevalier, est seigneur de Coisnes. Son fils Pierre, seigneur de la Riandrie, marié à Anne Hangouart, fille de Bartholomé Hangouart, seigneur de Le Court (sur Aubers), est fait chevalier en 1640[30].
Clément-Séraphin-Marie Hespel (1716-1784) (Famille d'Hespel), écuyer, est seigneur d'Hocron (sur Sainghin-en-Weppes) et de Coisnes sur Salomé. Fils de Pierre-François-Séraphin,seigneur d'Hocron, de Frémicourt, bourgeois de Lille, administrateur de la Noble famille[31] (institution recueillant les jeunes filles nobles démunies), député aux États de Lille et de Isbergue-Albertine Rouvroy., il est baptisé à Lille le , accède à la bourgeoisie de Lille le , devient député aux États de Lille en 1763. Il meurt à Lille le , est inhumé à Salomé. Il épouse à Lille le Henriette-Françoise de Wazières (1723-1781). Elle est la fille de François-Eugène Dominique, écuyer, seigneur de Roncq, bourgeois de Lille et de Madeleine Françoise Cuvillon. Elle est baptisée à Lille le et meurt le [32].
Clément-Henri-François Hespel (1748-1815), fils de Clément-Séraphin-Marie, écuyer, est seigneur de Coisnes, Hocron, Frémicourt, Hollebecque. Baptisé à Lille le , bourgeois de Lille le , officier au régiment de Royal étranger cavalerie, il meurt à Lille le , à l'âge de 66 ans. Il épouse à Étricourt-Manancourt le Marie-Joseph-Jeanne-Gabrielle de Folleville, fille de Charles-François, marquis de Folleville, et de Marie-Jeanne-Marguerite Le Gras de Maurepaire. Née le , elle meurt à Lille le [33].
Clément-Marie-Gabriel Hespel (1777-1853), fils de Clément-Henri-François, écuyer, est seigneur de Coisnes et de Hocron. Il nait à Coisnes le , devient capitaine de la garde nationale mobile, est fait prisonnier à Gorcum en 1814 (Siège de Gorinchem (1813-1814). Il meurt à Saint-Nicolas (Flandre-Orientale), au pays de Waes le , à 75 ans. Il épouse à Saint-Nicholas en 1811 Marie-Emmanuelle Reynaerts, fille de Ferdinand-Philippe-Antoine-Jacques et de Marie-Catherine Van der Boonten, veuve de Frédéric-Augustin Scheeders. Née en 1765, elle meurt à Saint-Nicolas le , à 73 ans[33].
Depuis 1789
modifierÀ la suite de la Première Guerre mondiale, en 1918, la localité sortit ruinée des combats de la plaine de la Lys.
Politique et administration
modifierListe des maires
modifierMaire de 1802 à 1807 : Ferdinand Barbry[34],[35].
Maire en 1863 : Louis Paul Danel, fabricant de sucre[36].
Maire en 1881 : Dubrulle[37].
Instances judiciaires et administratives
modifierLa commune relève du tribunal d'instance de Lille, du tribunal de grande instance de Lille, de la cour d'appel de Douai, du tribunal pour enfants de Lille, du tribunal de commerce de Tourcoing, du tribunal administratif de Lille et de la cour administrative d'appel de Douai.
Population et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[40].
En 2021, la commune comptait 3 051 habitants[Note 5], en évolution de +2,73 % par rapport à 2015 (Nord : +0,23 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 37,0 %, soit en dessous de la moyenne départementale (39,5 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,3 % la même année, alors qu'il est de 22,5 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 1 444 hommes pour 1 512 femmes, soit un taux de 51,15 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,77 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierLe cimetière est situé sur la route d'Hantay, petite commune jouxtant le village. Il comporte un cimetière militaire allemand de la Première Guerre mondiale ainsi que deux tombes du Commonwealth de la Seconde Guerre mondiale.
L'église Saint-Vaast, construite par le chevalier Albéric d'Hespel d'Hocron au XIXe siècle[45], quasiment détruite pendant la Première Guerre mondiale, est reconstruite dans les années 1920. De nouveau endommagée au début de la Seconde Guerre mondiale, elle est restaurée après guerre.
Deux édifices méritent une attention particulière : il s'agit du presbytère (que la municipalité n'a pas souhaité conserver et qui a été détruit en 2010) ainsi qu'une ancienne chapelle des comtes d'Hespel d'Hocron appartenant à la famille d'Hespel.
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L'église
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La gare
Personnalités liées à la commune
modifier- Edmond Lestarquit (1858-1906), maire au début du XXe siècle, racheta l'entreprise de production de chicorée de La Bassée à laquelle il donna son nom.
- Émile Dubois : maire, conseiller général, député du Nord, sénateur
- Louis Danel, né le à Salomé, décédé le , maître imprimeur et ingénieur diplômé de l'École centrale de Lille (promotion IDN 1880), dirige à partir de 1884 l'imprimerie L. Danel à Lille qui devient l'une des principales imprimeries du Nord de la France à la fin du XIXe siècle ; « Maître imprimeur. - Ingénieur. - A été président du Tribunal de commerce de Lille. - Vice-président du Cercle de la librairie »[46]
Héraldique
modifierLes armes de Salomé se blasonnent ainsi : D'azur à l'écu d'argent en abîme, accompagné en chef de trois merlettes d'or rangées en fasce. |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifierNotes et références
modifierNotes
modifier- Les ruisseaux intermittents sont représentés en traits pointillés.
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l'agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Béthune comprend deux villes-centres (Béthune et Bruay-la-Buissière) et 92 communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- « Réseau hydrographique de Salomé » sur Géoportail (consulté le 21 septembre 2024).
- « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le )
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Salomé sur Géoportail, consulté le 12 juin 2016.
- Sandre, « l'Ancien canal d'Aire à la Bassée »
- Sandre, « le Grand Moisnil »
- Sandre, « le Hantay »
- « Fiche communale de Salomé », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Nord-Pas-de-Calais (consulté le )
- Sandre, « le canal d'Aire à la Bassée »
- « SAGE Marque Deûle », sur https://www.gesteau.fr/ (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- « Orthodromie entre Salomé et Lesquin », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Lille-Lesquin » (commune de Lesquin) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Béthune », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Salomé ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Lille (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Plan du réseau Ilévia 2022-2023 » [PDF], sur ilevia.fr, (consulté le ).
- Le patrimoine des communes du Nord, Flohic, (ISBN 978-2-84234-119-0, lire en ligne), p. 208-209
- Les comtes d'Hespel.- Site de la mairie de Fournes-en-Weppes '19 décembre 2020)
- Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12, 1906-1909, p.292 (lire en ligne).
- Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12, 1906-1909, p.104 (lire en ligne).
- Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12, 1906-1909, p.105 (lire en ligne).
- Paul Denis du Péage, « Recueil de généalogies lilloises - tome I », Recueil de la société d'études de la province de Cambrai, vol. 12, 1906-1909, p.289 (lire en ligne).
- Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 703-704, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 235-236, lire en ligne.
- Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 706-707, lire en ligne.
- Amédée le Boucq de Ternas, Recueil de la noblesse des Pays-Bas, de Flandre et d'Artois, Douai, 1884, p. 250, lire en ligne.
- Association du Musée Hospitalier Régional de Lille, « Lille - Maison de Sainte-Anne, dite de la Noble Famille », sur patrimoinehospitalierdunord.fr (consulté le ).
- Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 723-724, lire en ligne.
- Paul-Denis du Péage, Recueil de généalogies lilloises, tome II, Lille, 1907, p. 724-725, lire en ligne.
- Annuaire statistique du département du Nord pour l'an XI de la République 1802-1803, p. 274, lire en ligne.
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- https://reader.cafeyn.co/fr/1926580/21599491
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Salomé (59550) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département du Nord (59) », (consulté le ).
- « Salomé - Le comte d'Hespel fit batir le château de Coisne, de style Louis XIII, au milieu du XVIIIe siècle.E Le Chevalier Albéric d'Hespel d'Hocron fit bâtir l'ancienne église et la chapelle... - Carte postale ancienne et vue d'Hier et Aujourd'hui », sur Geneanet (consulté le )
- Louis Danel (BNF 10584165).