Pont-l'Évêque (Calvados)
Pont-l'Évêque est une commune française du département du Calvados et de la région Normandie.
Pont-l'Évêque | |
De haut en bas et de gauche à droite : l'Hôtel-de-Ville, l'église Saint-Michel ; le lac ; la Touques ; le monument aux morts ; maison à pan de bois ; siège de la Vicomté d'Auge ; l'office du tourisme ; ancien couvent des Dominicains. |
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Blason |
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Administration | |
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Pays | France |
Région | Normandie |
Département | Calvados |
Arrondissement | Lisieux |
Intercommunalité | Communauté de communes Terre d'Auge (siège) |
Maire Mandat |
Yves Deshayes 2020-2026 |
Code postal | 14130 |
Code commune | 14514 |
Démographie | |
Gentilé | Pontépiscopiens |
Population municipale |
4 953 hab. (2021 ) |
Densité | 382 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 49° 17′ 08″ nord, 0° 11′ 02″ est |
Altitude | Min. 7 m Max. 118 m |
Superficie | 12,98 km2 |
Type | Bourg rural |
Unité urbaine | Pont-l'Évêque (ville-centre) |
Aire d'attraction | Trouville-sur-Mer (commune de la couronne) |
Élections | |
Départementales | Canton de Pont-l'Évêque (bureau centralisateur) |
Législatives | Quatrième circonscription |
Localisation | |
Liens | |
Site web | www.pontleveque.fr |
modifier |
Le , elle fusionne avec Coudray-Rabut en conservant son nom, et a désormais le statut de commune nouvelle.
Géographie
modifierLocalisation
modifierÀ dix minutes de la Côte Fleurie, la ville de Pont-l'Évêque, nichée dans la vallée de la Touques, condense tous les attraits de la Normandie augeronne : édifices à pans de bois de couleur sang de bœuf, bleu ou vert, nombreux cours d’eau, campagne vallonnée et verdoyante, gastronomie locale (le fameux pont-l’évêque, le cidre de Normandie).
La commune se trouve dans l'aire d'attraction de Trouville-sur-Mer, dans la zone d'emploi de Lisieux et est la ville-centre de son unité urbaine et de son bassin de vie[1]
Communes limitrophes
modifierHydrographie
modifierTrois cours d'eau aux multiples méandres où l'on pêche la truite de mer l'arrosent : l'Yvie, la Touques et la Calonne[2].
Un peu hors de la ville, on trouve un plan d'eau de 190 hectares, formé par la carrière creusée par l'extraction des remblais de l'autoroute A13 et transformé en centre de loisirs estival.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Pays d’Auge, Lieuvin et Roumois, moins directement soumis aux flux océaniques et connaissant toutefois des précipitations assez marquées en raison des reliefs collinaires qui favorisent leur formation[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 795 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Gatien-des-Bois à 7 km à vol d'oiseau[6], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 920,4 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Pont-l'Évêque est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[10].
Elle appartient à l'unité urbaine de Pont-l'Évêque, une agglomération intra-départementale dont elle est ville-centre[11],[1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Trouville-sur-Mer, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[1]. Cette aire, qui regroupe 35 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
modifierMorphologie urbaine
modifierLa ville s'étend principalement le long de l'ancienne RN 175 (actuelle RD 675) à mi-chemin entre Deauville et Lisieux, au milieu d'herbages d'embouche d'où les deux bœufs du blason de la ville.
Habitat
modifierL'évolution récente du nombre de logements de la commune nouvelle est la suivante :
Logements[14] | Nombre en 2010 | % en 2010 | nombre en 2015 | % en 2015 | nombre en 2021 | % en 2021 |
---|---|---|---|---|---|---|
Total | 2 360 | 100 % | 2 707 | 100 % | 2 706 | 100 % |
Résidences principales | 2 022 | 85,7 % | 2 217 | 81,9 % | 2 365 | 87,4 % |
→ Dont HLM | 576 | 28,5 % | 587 | 26,5 % | 584 | 24,7 % |
Résidences secondaires et logements occasionnels |
179 | 7,6 % | 147 | 5,4 % | 111 | 4,1 % |
Logements vacants[Note 2] | 159 | 6,7 % | 343 | 12,7 % | 230 | 8,5 % |
Dont : | ||||||
→ maisons | 1 336 | 56,6 % | 1 614 | 59,6 % | 1 532 | 56,6 % |
→ appartements | 901 | 38,2 % | 1 053 | 38,9 % | 1 157 | 42,8 % |
Voies de communication et transports
modifierAu nord-est de la commune se situe l'échangeur entre l'autoroute A13, l'A132 (vers Deauville) et la RD 579 permettant son accès.
La gare de Pont-l'Évêque, située sur la ligne de Lisieux à Trouville - Deauville, est desservie par des trains Intercités, qui effectuent des missions entre Paris-Saint-Lazare et Trouville - Deauville, et par des trains TER Normandie, qui circulent entre les gares de Trouville - Deauville et de Lisieux.
La commune est desservie par les lignes 36, 50, et plusieurs lignes scolaires des bus verts du Calvados.
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Pons Episcopi au XIIe siècle[15],[16]; Pont le Vesque en 1297[17].
Établie à la confluence de trois rivières (la Touques, la Calonne et l’Yvie), elle tient son nom d’un pont que l’un des premiers évêques de Lisieux avait fait bâtir[18] et dont il percevait les revenus.
Au cours de la période révolutionnaire de la Convention nationale (1792-1795), la commune a porté successivement les noms de Pont-Châlier, de Pont-Chartier et de Pont-Libre.
Histoire
modifierCarrefour obligé vers la côte ou vers Paris, Pont-l'Évêque a toujours été un important lieu de passage et de commerce.
Moyen Âge
modifierAu Moyen Âge, la ville devient un important siège administratif de la vicomté d’Auge. Occupée par les Anglais pendant le XVe siècle
Temps modernes
modifierPont-l'Évêque, touchée par les guerres de Religion, connaît ensuite une ère de calme et de prospérité.
Révolution française et Empire
modifierLa commune a été chef-lieu de district de 1790 à 1800 puis sous-préfecture jusqu'en 1926.
Époque contemporaine
modifierLa ville est desservie de 1904 à 1933 par une ligne de chemin de fer secondaire à voie métrique provenant de Cormeilles, exploitée pour le compte du Département par la Compagnie du chemin de fer d'intérêt local de Cormeilles à Glos Montfort et ext.[19].
Durant la Seconde Guerre mondiale, le docteur Étienne Grandrie a été parmi les premiers résistants affiliés au réseau Hector avec Georges Castelain[20]. En 1943, Fernand Coudrey et son frère André puis Siméon Tihy sont recrutés dans le réseau Jean-Marie Buckmaster[21]. À l'issue de la Seconde Guerre mondiale, le , après trois jours de combat, la ville détruite à 65 % est libérée par les Alliés.
Le , la commune absorbe Coudray-Rabut à la suite d'un arrêté préfectoral du [22].
Politique et administration
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierRattachements administratifs
modifierLa commune était de 1801 à 1926 le chef-lieu de l'arrondissement de Pont-l'Évêque. Celui-ci est supprimé dans le cadre d'un programme d'économies par le décret-loi du et la ville se trouve depuis lors dans l'arrondissement de Lisieux du département de du Calvados[1].
Elle était depuis 1793 le chef-lieu du canton de Pont-l'Évêque. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.
Rattachements électoraux
modifierPour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 d'un nouveau canton de Pont-l'Évêque[1] porté de 20 à 48 communes.
Pour l'élection des députés, elle fait partie de la quatrième circonscription du Calvados.
Intercommunalité
modifierPont-l'Évêque est le siège de la communauté de communes Terre d'Auge[1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2002 sous le nom de communauté de communes Blangy Pont-l'Évêque Intercom et auquel la commune a transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.
Cette intercommunalité a intégré depuis sa création d'autres communes.
Tendances politiques et résultats
modifierAu second tour des élections municipales de 2014 dans le Calvados, la liste DVD menée par le maire sortant Yves Deshayes obtient la majorité absolue des suffrages exprimés, avec 1 076 voix (56,01 %, 21 conseillers municipaux élus dont 13 communautaires), devançant largement celle, également DVD, menée par Éric Huet, qui a recueilli 845 voix (43,98 %, 6 conseillers élus dont 3 communautaires).
Lors de ce scrutin, 38,81 % des électeurs se sont abstenus[23].
Au premier tour des élections municipales de 2020 dans le Calvados, les électeurs de la commune nouvelle (intégrant donc le territoire de l'ancienne commune de Coudray-Rabut) ont donné la majorité absolue des suffrages exprimés à la liste DVC menée par le maire sortant Yves Deshayes, qui a recueilli 1 057 voix (69,26 %, 25 conseillers municipaux élus dont 11 communautaires), devançant ainis très largement celle DIV menée par Éric Legoux, qui a obtenu 469 voix (30,73 %, 4 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires).
Lors de ce scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France, 55,89 % des électeurs se sont abstenus[24].
Liste des maires
modifierJumelages
modifier- Ottery St Mary (Angleterre) depuis 1977
- Veitshöchheim (Allemagne) depuis 1994
Équipements et services publics
modifierPopulation et société
modifierLe nom des habitants est Pontépiscopien.
Démographie
modifierLa population des anciennes communes puis de la commune nouvelle est connue par les recensements menés régulièrement par l'Insee. Ces chiffres concernent le territoire de l'actuelle commune nouvelle, y compris donc Coudray-Rabut
En 2021, la commune nouvelle comptait 4 953 habitants[Note 3].
Manifestations culturelles et festivités
modifierTout au long de l'année, de nombreuses animations rythment la vie des Pontépiscopiens et des visiteurs : marchés traditionnels, fête du Fromage, foire aux arbres, etc.
Le lac de Pont-l’Évêque permet des activités durant la période estivale : baignade, jet-ski, nuit à bord de chalet sur l'eau, pédalo, tyrolienne géante, parcours accro-branche pour les petits, quads pour les petits et restaurant.
Économie
modifierBénéficiant d'une situation géographique favorable et d’un réseau de transport étendu (autoroute A13, gare SNCF sur la ligne Paris - Deauville, aéroport de Saint-Gatien), la ville de Pont-l'Évêque accueille, pour les week-ends ou les vacances, de nombreux visiteurs appréciant le calme de la campagne, la convivialité de la ville et les multiples activités proposées dans un cadre accueillant : le lac de Pont-l'Évêque et le parc de loisirs (labellisé Pavillon bleu), l'espace culturel Les Dominicaines, les visites thématiques de la ville (le Quartier Ancien, la « Joyeuse Prison », ses édifices du XVIIIe siècle, etc.).
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierPont-l'Évêque présente aujourd'hui un patrimoine varié qui témoigne d'une histoire riche.
- Église Saint-Michel (XVe/XVIe)[36], située place de l'Église.
- Église Saint-Melaine[37], située rue Saint-Melaine.
- Le couvent des Dominicaines de l'Isle, XVIIe[38], devenu aujourd'hui l'« Espace culturel les Dominicaines », situé place du Palais-de-Justice.
- L'Hôtel de ville, ancien Hôtel de Brilly[39], au 58 de la rue Saint-Michel. Il abrite le médaillon de Robert de Flers, offert en 1963 à la ville par son fils François.
- L'Hôtel Montpensier, devenu aujourd'hui la bibliothèque[40], situé au 38 rue Saint-Michel.
- Les maisons en pans de bois du quartier de Vaucelles.
- La « Joyeuse Prison »[41], située rue Eugène-Pian.
- Le tribunal d'instance, devenu aujourd'hui l'école de musique, situé place du Tribunal.
- La Fontaine de Brossard, située place du Tribunal. Elle est offerte à la ville par la comtesse Léonce de Brossard. Elle est en fonte et granit. Elle est inaugurée en 1855.
- Les Archives de la Vicomté, situées place du Palais-de-Justice. Le bâtiment est en briques, silex et moellons à deux étages. Les archives de la vicomté d'Auge y étaient conservées.
- Le quai des Gabarres.
- La rue Vieille : rue pavée, bordée de maisons en pans de bois.
- L'auberge de l'Aigle d’Or, maison à pans de bois, située rue de Vaucelles. Construite en 1520.
- L'Hôtel le lion d’or, situé place Saint-Melaine.
- Le musée du calvados et des métiers anciens.
- L'ancienne distillerie, située place Vauquelin. Le bâtiment en briques, silex, calcaire et pierre de taille date du XIXe. Les bâtiments portent les initiales du propriétaire Georges Bottentuit qui les a fait construire.
-
Maisons à colombages.
-
La Joyeuse Prison.
-
La place du Palais-de-Justice.
-
Maison à colombages dans le quartier de Vaucelles.
-
Le monument aux morts.
Patrimoine disparu
modifier- Statue en bronze de Robert de Flers, située place Robert de Flers, réalisée par Philippe Besnard et inaugurée le . En 1941, elle est déboulonnée et fondue pendant l'occupation, dans le cadre de la mobilisation des métaux non ferreux. Le piédestal est resté vide. Le piédestal a été déplacé par la suite dans le jardin Jean Bureau, situé derrière la mairie.
Personnalités liées à la commune
modifierNées à Pont-l'Évêque
modifier- Roger de Pont L'Évêque dit Robert of Bishop's Bridge (vers 1115-1171), archevêque d'York.
- Dière de Dièreville (né peut-être à Pont-l'Évêque - mort en 1711)[42], chirurgien de l'hospice de Pont-l'Évêque, auteur d'un récit de voyage en Acadie et Nouvelle-France paru en 1708 à Rouen. Il en rapporta des spécimens de plantes d'Acadie en un herbier conservé au Muséum d'histoire naturelle de Paris.
- Jacques-Guillaume Thouret (1746-1794), avocat et homme politique, président de l'Assemblée constituante, auteur de la division de la France en départements et de l'institution d'un jury aux assises ce qui ne l'empêcha pas d'être guillotiné.
- Jean-Baptiste Desmarres (1760-1794), officier français de la Révolution qui fit connaître Joseph Bara, avant d'être guillotiné.
- Michel-Augustin Thouret, parfois nommé Auguste Thouret, (1748-1810), médecin, frère du précédent.
- Louis Marc Antoine Robillard d'Argentelle (1777-1828), militaire et céroplaticien français.
- Ferdinand Hamelin (1796-1864), amiral, ministre de la Marine sous le Second Empire.
- Robert de Flers, (Robert Pellevé de La Motte-Ango, marquis de Flers, 1872 à Pont-l'Évêque - 1927), auteur dramatique, directeur littéraire du Figaro, conseiller général de la Lozère.
- Maurice Bucaille (1920-1998), médecin et scientifique.
- Frédéric Yonnet (1973-), harmoniciste virtuose.
Mortes à Pont-l'Évêque
modifier- Jeanne Marie Le Calvé, dite la mère Denis (1893 - 1989 à Pont-l'Évêque), lavandière et vedette de publicité.
- Albert Daugan (1866-1952), général de la Grande guerre, grand-croix de la Légion d'honneur.
Autres
modifier- Nicolas Batum (1988, Lisieux), joueur de basket-ball jouant en NBA depuis 2008, formé à l'US Pont-l'Évêque Basket de 1993 à 2001.
- Marine Johannès (1995, Lisieux), joueuse de basket-ball jouant en WNBA depuis 2019, formé à l'US Pont-l'Évêque Basket de 2003 à 2007.
Pont-L'Évêque dans les arts et la culture
modifier- Gustave Flaubert (1821-1880) situe un de ses Trois Contes, Un cœur simple, à la ferme de Geffosse, propriété de ses parents.
Héraldique
modifierBlason | ||
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Noël Le Coutour, La Libération de Pont-l'Évêque : 22, 23, 24 août 1944, Condé-sur-Noireau, Charles Corlet, , 143 p. (ISBN 2-85480-721-9, OCLC 468207970)
- Gaëtane Barbenchon, Pont-l'Évêque, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, coll. « Mémoire en images », , 128 p. (ISBN 978-2-8138-0250-7)
- Jacques Marcel Renard, Pont-l'Évêque et ses campagnes aux XVIIIe et XIXe siècles, Paris, SPM, coll. « Chronos », , 286 p. (ISBN 978-2-296-54139-9)
- André Desperrois (dir.), Gérard Carval, Françoise Dutour et Maud Guichard, Pont-l'Évêque de 1900 à 2000, Ville de Pont-l'Évêque, (ISBN 978-2-7466-5876-9, présentation en ligne).
- Marie-Jo Bonnet, Pont-L'Évêque sous l'occupation, Ed. Orep, , 212 p. (ISBN 978-2-8151-0687-0).
Articles connexes
modifier- La liste des communes du Calvados ;
- la liste des communes nouvelles créées en 2019 ;
- la liste des monuments historiques de la commune ;
- le Pont-l'Évêque, fromage.
Liens externes
modifier- Site de la mairie
- Monographie communale sur le site des Archives départementales du Calvados
- « Dossier complet : Commune de Pont-l'Évêque (14514) », Recensement général de la population de 2021, INSEE, (consulté le ).
- Résumé statistique de Pont-l'Évêque sur le site de l'Insee
- « Pont-l'Évêque » sur Géoportail.
Notes et références
modifierNotes
modifier- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les logements vacants comprennent notamment les logements neufs qui ne sont pas encore habités, ceux que leurs propriétaires laissent libres ou dans lesquels ils font réaliser des travaux, ou ceux qui sont libres entre deux ventes ou deux locations
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifierRéférences
modifier- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- Sandre, « Fiche cours d'eau - La Calonne (I03-0400) ».
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
- « Orthodromie entre Pont-l'Évêque et Saint-Gatien-des-Bois », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Gatien des B » (commune de Saint-Gatien-des-Bois) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Saint-Gatien des B » (commune de Saint-Gatien-des-Bois) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Pont-l'Évêque », sur insee.fr (consulté le ).
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Trouville-sur-Mer », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- Tableaux LOG T2 et LOG T7, Recensement général de la population 2021, document mentionné en liens externes.
- Orderic Vital, t. II, l. v, p. 309.
- Johann Hübner (Fils.) - 1746 - La géographie universelle - Volume 1 - Page 159.
- Célestin Hippeau, Dictionnaire topographique du département du Calvados, Paris, 1883, p. 227 [1].
- René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Presses Universitaires de Caen, 1996 (ISBN 2-905461-80-2), p. 200-201
- FACS, « Les Chemins de Fer Secondaires de France : Département du Calvados », sur facs-patrimoine-ferroviaire.fr, (consulté le ).
- Marie-Jo Bonnet, Pont-L'Evêque sous l'Occupation, Ed. Orep, 2024
- Marie-Jo Bonnet, Un réseau normand ecrifié, Manipulations anglaises sur un groupe de résistants infiltré par les Allemands, Ed. Ouest-France, 2016. (ISBN 978-2-7373-7006-9)
- Arrêté portant création de la commune nouvelle de Pont-l'Evêque, recueil des actes administratifs du Calvados du 19 décembre 2018 (pages 80 à 83).
- Résultats officiels pour la commune Pont-l'Evêque
- « Résultats du 1er tour pour Pont-l'Évêque », sur le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
- Source : Geneawiki
- « Julien, Auguste Louis », base Léonore, ministère français de la Culture.
- Journal officiel de la République française. Lois et décrets, parution 4 juin 1943, (en ligne).
- Laurent Telo, « Benjamin et David de Rothschild, cousins ennemis », Le Monde, 16/4/2015 mis à jour le 20/4/2015 (lire en ligne, consulté le ).
- « André Desperrois estime avoir accompli son devoir », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ) « À bientôt 49 ans de mandat, André Desperrois quittera la mairie en 2014. [...] En 1995, quand « M. de Rotschild » décide de laisser son fauteuil de maire, il désigne son premier adjoint comme le candidat naturel ».
- « L'honorariat d'André Desperrois sous le signe de l'émotion », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ).
- Camille Ruffray, « La success story de l’entreprise familiale Desperrois à Pont-l'Evêque : 60 ans de chantiers uniques », Le Pays d'Auge, (lire en ligne, consulté le ).
- « Yves Deshayes a été installé officiellement à la mairie », Ouest-France, (lire en ligne, consulté le ) « Yves Deshayes, seul candidat à ce poste, a été proclamé maire, avec 24 voix et trois bulletins blancs ».
- Emeline Bertel, « Pont-L'Évêque : Yves Deshayes élu maire de la commune-nouvelle », Le Pays d'Auge, (lire en ligne, consulté le ) « Suite à la fusion avec la ville historique de Coudray-Rabut, une élection lors du conseil municipal du jeudi 3 janvier 2019 a eu lieu et Yves Deshayes a été réélu maire [...] Yves Deshayes, seul candidat au poste de maire de la commune-nouvelle, a été élu avec 33 voix sur 35 votes exprimés, deux bulletins ayant été considérés comme blancs ».
- « Pont-l'Evêque. Yves Deshayes élu maire pour un second mandat », Le Pays d'Auge, (lire en ligne, consulté le ).
- INSEE, Recensement général de la population 2021, Document mentionné en liens externes.
- Notice no PA00111605, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00111604, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Notice no PA00111603, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00111606, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA00111607, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- Notice no PA14000006, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Dictionnaire biographique du Canada en ligne - Diéreville » (consulté le ).
- « GASO, la banque du blason - Pont-l'Évêque Calvados »(Archive.org • Wikiwix • Archive.is • Google • Que faire ?), sur labanquedublason2.com (consulté le ).