Saint-Seurin-sur-l'Isle

commune française du département de la Gironde

Saint-Seurin-sur-l'Isle est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Gironde (région Nouvelle-Aquitaine).

Saint-Seurin-sur-l'Isle
Saint-Seurin-sur-l'Isle
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Gironde
Arrondissement Libourne
Intercommunalité CA du Libournais
Maire
Mandat
Éveline Lavaure-Cardona
2020-2026
Code postal 33660
Code commune 33478
Démographie
Gentilé Saint-Seurinois
Population
municipale
3 151 hab. (2021 en évolution de −0,38 % par rapport à 2015)
Densité 357 hab./km2
Population
agglomération
6 159 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 45° 00′ 54″ nord, 0° 00′ 02″ ouest
Altitude Min. 12 m
Max. 75 m
Superficie 8,83 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine Saint-Seurin-sur-l'Isle
(ville-centre)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Nord-Libournais
Législatives Onzième circonscription
Localisation
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Saint-Seurin-sur-l'Isle
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Saint-Seurin-sur-l'Isle
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Saint-Seurin-sur-l'Isle
Liens
Site web stseurinsurlisle.com

Géographie

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Localisation

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La commune est sur la rive gauche (sud) de l'Isle

La commune est traversée par le méridien de Greenwich (longitude 0°), qui passe 100 m à l'est de la mairie, ainsi que par le 45e parallèle nord (latitude 45°N), à égale distance du pôle Nord et de l'équateur. Le point d'intersection de ces deux lignes remarquables est dans la commune voisine de Puynormand[1].

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Camps-sur-l'Isle, Gours, Porchères, Puynormand, Saint-Antoine-sur-l'Isle et Saint-Sauveur-de-Puynormand.

Hydrographie

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Le territoire communal est limité au nord par le lit de l'Isle, un des affluents du fleuve la Dordogne.

Des moulins y étaient exploités au début du XXe siècle.

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 824 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,3 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Émilion à 18 km à vol d'oiseau[5], est de 13,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 798,1 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Saint-Seurin-sur-l'Isle est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Seurin-sur-l'Isle[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est ville-centre[Note 2],[10],[I 1]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols

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Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).
 
Carte topographique de la commune en 2021.

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (66,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (37,3 %), zones urbanisées (27,8 %), forêts (13,1 %), prairies (12,1 %), cultures permanentes (5,8 %), eaux continentales[Note 3] (3,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement

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En 2020, le nombre total de logements dans la commune était de 1 763, alors qu'il était de 1 697 en 2014 et de 1 542 en 2009[I 2].

Parmi ces logements, 86,4 % étaient des résidences principales, 1,5 % des résidences secondaires et 12,1 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 79,8 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 16,7 % des appartements[I 3].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Saint-Seurin-sur-l'Isle en 2020 en comparaison avec celle de la Gironde et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (1,5 %) inférieure à celle du département (8,9 %) et à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 52,2 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (48,8 % en 2015), contre 54,7 % pour la Gironde et 57,5 pour la France entière[I 4].

Le logement à Saint-Seurin-sur-l'Isle en 2020.
Typologie Saint-Seurin-sur-l'Isle[I 2] Gironde[I 5] France entière[I 6]
Résidences principales (en %) 86,4 84,8 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 1,5 8,9 9,7
Logements vacants (en %) 12,1 6,3 8,2

Voies de communication et transports

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La gare de Saint-Seurin-sur-l'Isle en 2015.

La commune est desservie :

L'autoroute A89, qui traverse le sud du territoire communal, est accessible depuis la sortie 11 Coutras.

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Saint-Seurin-sur-l'Isle est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible)[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment l'Isle. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1999, 2009 et 2021[16],[14].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[17].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Seurin-sur-l'Isle.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 382 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 1 382 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 84 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[18],[Carte 2].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 2002, 2003, 2005, 2011 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[14].

Toponymie

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Saint-Seurin vient de Saint-Séverin et de Saint-Sévérinus, nom porté par plusieurs saints aux Ve et VIe siècles[réf. nécessaire].

Histoire

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Préhistoire

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On retrouve déjà des traces humaines à la préhistoire sur la commune de Saint-Seurin-sur-l'Isle avec la découverte de matériel lithique.

Moyen Âge

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On retrouve ensuite les traces de Normands à Saint-Seurin-sur-l'Isle dès le IXe siècle, ceux-ci s'étant installés au point culminant de la région, à Puynormand.

De 1152 à 1453, Saint-Seurin-sur-l'Isle se développa fortement sous la domination des Anglais.

Au XIIe siècle, l'église Saint-Seurin est construite sur les ruines d'une ancienne construction romaine. L'église était fortifiée et défendait l'Isle puis abritait les pèlerins se dirigeant à Saint-Jacques-de-Compostelle.

Temps modernes

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Pendant les Guerres de Religion, l'église est enuite ruinée par les Huguenots au XVIIe siècle. Ne reste aujourd'hui de romain plus que l'abside et le mur nord de l'église.

Révolution française et Empire

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La commune de Saint-Seurin-sur-l'Isle est instituée, comme alors de nombreuses autres communes, par le décret du à partir de l'ancienne paroisse de Saint-Seurin-sur-l'Isle, dépendante de l'église paroissiale Saint-Seurin.

Époque contemporaine

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La ville est très active au XIXe siècle, comme nous le montre la présence de trois moulins, dont un à Porchères. La ville a même une influence sur les villages voisins, du fait de son nombre d'habitants et d'emplois. De plus, il y a la construction de route Libourne-Montpon.

Dans la seconde moitié du XIXe siècle, l'ingénieur anglais William Jackson découvre le procédé Bessemer, qui permet de fabriquer du métal de bonne qualité et à bas prix. En 1892 apparaît une usine de capsulerie et en 1907 apparaît une manufacture de carton ondulé.

Politique et administration

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Rattachements administratifs et électoraux

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Rattachements administratifs

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La commune se trouve dans l'arrondissement de Libourne du département de la Gironde.

Elle faisait partie du canton de Coutras[19]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux

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Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton du Nord-Libournais

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la onzième circonscription de la Gironde.

Intercommunalité

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Saint-Seurin-sur-l'Isle était membre depuis 2013 de la communauté d'agglomération du Libournais initiale, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 2012 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec sa voisine pour former, le , l'actuelle communauté d'agglomération du Libournais, dont est désormais membre la commune.

Tendances politiques et résultats

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Lors des élections municipales de 2014 en Gironde, la liste DVG menée par le maire sortant Marcel Berthomé est la seule candidate et est donc élue en totalité par la totalité des 1 117 suffrages exprimés. Deux de ses membres siègent également au conseil communautaire.
Lors de ce scrutin, 37,70 % des électeurs se sont abstenus et 18,94 % des votants ont choisi un bulletin blanc ou nul[20].

Lors du second tour des élections municipales de 2020 en Gironde[21], la liste menée par Éveline Lavaure-Cardona[22] obtient la majorité des suffrages exprimés, avec 466 voix (17 conseillers municipaux élus dont 2 communautaires), devançant de 33 voix celle du maire sortant Marcel Berthomé[23] (536 voix, 44,11 %, 5 conseillers municipaux élus).
La troisième liste menée par Jean-Marc Sallaberry a recueilli 110 voix (9,05 %, 1 conseiller municipal élu) lors d'un scrutin marqué par la pandémie de Covid-19 en France où 47,83 % des électeurs se sont abstenus[24],[25].

Liste des maires

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
  mars 1971 Raymond Bonnot[Note 4]    
mars 1971 juillet 2020 Marcel Berthomé[26] DVG Ancien commandant dans l'armée de l'air
Maire français le plus âgé de 2014 à 2020[27],[28]
juillet 2020[29] En cours
(au 13 septembre 2023)
Éveline Lavaure-Cardona SE-DVG Ancienne employée de mairie, retraitée du Trésor Public

Équipements et services publics

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La médiathèque

La médiathèque Jean-Cocteau est située entre la mairie et l'église.

Un marché important a lieu dans les rues de la ville chaque dimanche matin.

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].

En 2021, la commune comptait 3 151 habitants[Note 5], en évolution de −0,38 % par rapport à 2015 (Gironde : +6,88 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
468379476507524518584591616
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
8801 0471 317721759726753711767
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
8438778898759421 0241 1261 2151 414
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 5591 7382 0462 4242 4912 3762 4722 5173 053
2015 2020 2021 - - - - - -
3 1633 1343 151------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[19] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports et loisirs

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Le club de football de la ville, l'AS Saint-Seurin connut durant trois saisons la division 2 de 1989 à 1992 puis disparut en s'associant à l'AS Libourne pour former le Football Club Libourne-Saint-Seurin de 1998 à 2009. Ce club connut lui aussi deux saisons de Ligue 2 de 2006 à 2008.

En 2007, un nouveau club est créé sur la commune : le Saint-Seurin Junior Club (SSJC).

Économie

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Saint-Seurin-sur-l'Isle, en tant que ville-centre d'une unité urbaine, possède une économie fluorescente. La commune possède plusieurs petits commerces, une zone d'activité : la zone d'activité du Barry, et les entreprises Amcor Flexible Capsules France et Smurfit Kappa Sud-Ouest[réf. nécessaire].

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Pour approfondir

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite ville-centre lorsque sa population représente plus de 50 % de la population de l’agglomération ou de la population de la commune la plus peuplée. Dans le cas de l'unité urbaine de Saint-Seurin-sur-l'Isle, il y a une ville-centre et deux communes de banlieue.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Une salle communale porte le nom de ce maire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sources

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  1. a et b Carte IGN sous Géoportail.
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Seurin-sur-l'Isle et Saint-Émilion », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Saint-Émilion » (commune de Saint-Émilion) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de Saint-Seurin-sur-l'Isle », sur insee.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Seurin-sur-l'Isle », sur Géorisques (consulté le ).
  15. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  16. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  17. « Dossier départemental des risques majeurs de la Gironde », sur gironde.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  18. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  19. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  20. Résultats officiels pour la commune Saint-Seurin-sur-l'Isle.
  21. « Élections municipales en Gironde : A 97 ans, le plus vieux maire de France poussé à une triangulaire : Marcel Berthomé vise un dixième mandat à Saint-Seurin-sur-Isle », 20 minutes,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  22. Anne Cazaubon, « Saint-Seurin-sur-l'Isle. Saint-Seurin-Sur-L'Isle : Evelyne Lavaure Cardona dévoile la liste « Unis pour agir  », Le Résistant,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. « St-Seurin-sur-l’Isle : Marcel Berthomé, 97 ans, candidat pour un 10e mandat », Le Résistant,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 - Résultats par commune - Gironde (33) - Saint-Seurin-sur-l'Isle », sur interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  25. Dylan Jaffrelot, « Municipales en Gironde : "Cette victoire va dynamiser St-Seurin-sur-l'Isle," selon Evelyne Lavaure-Cardona : Le plus vieux maire de France n'a pas été réélu ce dimanche à St-Seurin-sur-l'Isle. Marcel Berthomé, 98 ans, dirigeait la commune depuis 1971. Sa principale opposante, Evelyne Lavaure-Cardona l'emporte avec 33 voix d'avance. Et promet un énorme changement. Entretien », France Bleu Gironde,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  26. E.P., « Gironde : Le plus vieux maire de France est décédé à 101 ans : Marcel Berthomé a dirigé Saint-Seurin-sur-l’isle, une commune girondine d’environ 3.000 habitants, pendant quarante-huit ans », [[20 Minutes (France)|]],‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Municipales : à 92 ans, Marcel Berthomé est le doyen des maires de France », sur sudouest.fr, (consulté le ).
  28. « Municipales 2020 : "La réunionite, c'est le mal français", à 97 ans, le doyen des maires juge les évolutions de la fonction », 20 minutes.fr, 25 avril 2019.
  29. Eva Fonteneau,, « Eveline Lavaure-Cardona : « J’ai détrôné le plus vieux maire de France, c’est un peu ma fierté » : Le 28 juin, Eveline Lavaure-Cardona, sans étiquette, a remporté les municipales de Saint-Seurin-sur-l’Isle, en Gironde. A 71 ans, elle a détrôné de 33 voix seulement le plus vieux maire de France, Marcel Berthomé, 98 ans », Libération,‎ (lire en ligne, consulté le ) « A 71 ans, elle a détrôné de 33 voix seulement le plus vieux maire de France, Marcel Berthomé, 98 ans ».
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.