Championnat de France de football de deuxième division
Le Championnat de France de football de Ligue 2 (ou « Ligue 2 BKT » pour des raisons de sponsoring depuis 2020), est la deuxième division du championnat de football professionnel en France.
Sport | Football |
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Création | 1933 |
Autre(s) nom(s) |
Division Interrégionale (1933-1970) National (1970-1972) Division 2 (1972-2002) |
Organisateur(s) | LFP |
Éditions | 86 (2024-2025) |
Périodicité | Annuelle |
Lieu(x) | France |
Participants | 18 clubs |
Statut des participants | Professionnel |
Site web officiel | Ligue2.fr |
Hiérarchie | 2e niveau |
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Niveau supérieur | Ligue 1 |
Niveau inférieur | National |
Tenant du titre | AJ Auxerre |
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Plus titré(s) | Le Havre AC (6) |
Ligue 2 2024-2025
Cette compétition constitue depuis sa création en 1933 l'antichambre de la première division, lancée un an plus tôt. Baptisée initialement « Division interrégionale », puis brièvement « National » après la grande réforme de 1970, elle est officiellement appelée « Division 2 » (D2) à partir de 1972. En 2002, elle est renommée « Ligue 2 » (L2), en même temps que l'élite est renommée « Ligue 1 ». Les deux championnats sont organisés par la Ligue de football professionnel (LFP).
Le Havre AC est le club le plus couronné de la compétition avec six titres, devant l'AS Nancy-Lorraine. L'AJ Auxerre est le tenant du titre depuis son sacre lors de l'édition 2023-2024 du championnat.
Histoire
modifierLes débuts (1933-1939)
modifierLa deuxième division du championnat de France est lancée en 1933, un an après la première division. Elle est alors baptisée « Division interrégionale » tandis que la première division est la « Division nationale ». Vingt-trois clubs répartis en deux groupes (14 au Nord et 9 au Sud) prennent part à la première édition en 1933-1934. Parmi eux, six viennent d'être relégués de la Division nationale, qui passe de 20 à 14 clubs, tandis que les autres sont des « néoprofessionnels ».
La saison est un relatif succès, marqué notamment par un record d'affluence en championnat de France, D1 et D2 confondues, établi le lors d'une rencontre entre les rivaux du FC Rouen et du Havre AC (16 040 spectateurs payants), puis un record de recettes lors du match décisif de fin de saison entre le Red Star et le FC Rouen le [1]. De nombreux joueurs internationaux français participent à cette saison inaugurale, comme Alexis Thépot et Alfred Aston du Red Star, et Roger Rio et Jean Nicolas de Rouen, le meilleur buteur de chacune des trois premières éditions. Le , le Red Star est le premier club à inscrire son nom au palmarès de la compétition en battant Alès en finale (3-2)[2].
Ces premières éditions restent cependant compliquées à tenir financièrement pour les clubs, qui sont dépendants des affluences à domicile et de la générosité de leur propriétaires. Nombre de clubs mettent fin, temporairement ou définitivement, à leur aventure professionnelle : le FAC Nice et l'US suisse au cours de cette première saison, Hyères FC, l'AS Monaco et le SO Béziers l'été suivant, le Club français et l'US servannaise et malouine au cours du deuxième exercice... D'autres, comme à Bordeaux le Deportivo et le Sporting Club de la Bastidienne, sont invités à fusionner pour poursuivre leur activité. De ce fait, le nombre de participants et les règles changent pratiquement tous les ans. En 1936, les instances lancent une troisième division, centrée principalement sur la Picardie, mais le format ne fonctionne pas. En 1937, les 25 clubs participants sont répartis en quatre poules géographiques : les quatre premiers de chaque poule sont reversés dans un groupe de « promotion », tandis que les neuf autres sont reversés dans une poule sans enjeu. L'année suivante voit le retour d'une poule unique de 23 clubs, dont deux déclarent forfait.
La Seconde Guerre mondiale met un terme à la compétition entre 1939 et 1945.
Le championnat fermé (1945-1970)
modifierEntre la création du professionnalisme en France jusqu'en 1970, les clubs professionnels et amateurs de France évoluent dans deux mondes séparés, de sorte que les clubs classés derniers en deuxième division ne sont pas automatiquement relégués à l'échelon inférieur.
Les clubs en difficulté peuvent par contre abandonner leur statut professionnel et repartir en championnat amateur. Pour compenser les abandons qui se multiplient dans les années 1960, la Ligue autorise par vote l'adoption du statut professionnel pour les clubs issus du monde amateur qui le souhaitent. Ainsi, le Limoges FC et l'US Forbach intègrent la deuxième division en 1957, l'AS Cherbourg en 1960, et le Gazélec d'Ajaccio, quatre fois champion de France amateur entre 1963 et 1968, se voit autoriser en deuxième division en 1968-1969.
Bien que compétitifs, certains clubs se refusent toutefois de franchir ce cap, comme l'Union sportive Quevilly, autre quadruple champion de France amateur entre 1954 et 1967.
En termes d'organisation, le format du championnat se stabilisé sur cette période avec une poule unique, dont le nombre de participants est compris entre 16 et 22 en fonction des saisons et des circonstances, et dont les premiers sont promus en première division. Parfois un tournoi de barrage est organisé.
Le championnat « ouvert » (1970-1993)
modifierLa séparation entre amateurs et professionnels disparait en 1970 à la suite de la réforme des compétitions opérée par la FFF et la Ligue. La deuxième division devient une compétition « ouverte », c'est-à-dire accessible aux clubs professionnels, semi-professionnels ou amateurs. Elle prend alors le nom de « National », afin d'éviter l'utilisation de nom étrangers, « Open » étant d'abord envisagé[3]. Les trois premiers de chaque groupe de CFA sont ainsi promus en D2 à l'issue de la saison 1969-1970, ainsi que 19 autres clubs sélectionnés sur dossier par la FFF et la Ligue.
D'une poule unique d'une vingtaine de clubs, le championnat passe à trois groupes régionaux de seize clubs à partir de la saison 1970-1971, dont chaque vainqueur est promu en première division. Le format est réduit à deux groupes de 18 participants dès la saison 1972-1973, un format qui est maintenu jusqu'en 1993. Les deux vainqueurs de groupe sont promus et s'affrontent alors lors d'une finale décidant du champion de la saison, tandis que les deux seconds s'affrontent lors d'un barrage de montée en vue d'une éventuelle promotion.
Statut professionnel obligatoire (1993-2010)
modifierUne nouvelle réforme des compétitions modifie la donne en D2 à partir de 1993. Le groupe unique et le statut professionnel sont rétablis avec 22 clubs puis 20 dès la saison 1998-99. Toutefois, les derniers à l'issue de chaque saison furent relégués à l'étage inférieur tandis que les promus issus du National furent dotés automatiquement, après passage devant la DNCG, du statut professionnel.
Un championnat de plus en plus médiatisé (depuis 2011)
modifierLors de la saison 2016-2017, le 3e n'est plus promu directement mais doit passer par un match de barrage face au 18e de Ligue 1. Le 18e de Ligue 2 n'est également plus relégué directement doit affronter le 3e de National en match de barrage. Depuis la saison 2017-2018, deux nouveaux matchs de barrage (dit de Playoffs) ont lieu auparavant : le premier oppose les équipes placées à la 4e et 5e place de la Ligue 2 en match simple, l'équipe classée 3e affronte ensuite le vainqueur, en match simple également. Le vainqueur de ce match dispute alors le barrage aller-retour contre l'équipe de l'élite.
Lors de la saison 2019-2020, le championnat est arrêté après 28 journées et les barrages sont supprimés en raison de la crise du COVID-19.
Depuis 2019, de plus en plus de clubs de Ligue 2 sont rachetés par des investisseurs étrangers, car le championnat français est très prisé pour son côté central en Europe, et réputé pour sa formation[4].
Lors de la saison 2022-2023, les matchs de Playoffs ainsi de barrage sont supprimés en raison du passage de la Ligue 1 à 18 clubs. Pendant les saisons 2022-2023 et 2023-2024, 4 clubs sont relégués en National, étant donné que la Ligue 2 passe également à 18 clubs[5] à l'intersaison 2024.
Palmarès
modifierLe Havre AC est le club le plus titré avec six victoires, suivi de l’AS Nancy-Lorraine avec cinq victoires puis du Lille OSC, de l'OGC Nice, du RC Lens et du FC Metz avec quatre victoires.
Par saison
modifier- Légende
- Club en gras : club désigné champion, éventuellement vainqueur du match entre premiers des deux groupes.
- (entre parenthèses) : nombre de titres à cette date.
- * : Titre partagé entre plusieurs clubs.
Par club
modifierOrganisation
modifierFormat de la compétition
modifierL'organisation et la gestion du Championnat de France de Ligue 2 sont confiées à la Ligue de football professionnel (LFP), qui décerne le titre de champion de France de Ligue 2 au club qui termine en tête du classement à l'issue de la dernière journée du championnat.
Actuellement, il existe des barrages d'accession en L1, disputés par les 3e à 5e :
- Le match 1 oppose le 4e au 5e (chez le 4e) ;
- Le match 2 oppose le 3e au gagnant du match 1 (chez le 3e).
Ces matchs se déroulent en aller simple. Le gagnant du match 2 affronte le 16e de Ligue 1 en match aller-retour. C'est la commission d’organisation des compétitions (également organisatrice des matchs de Ligue 1) qui assure l’organisation ainsi que l'homologation des matchs.
Barrages de Ligue 2 - Match 1 | Barrages de Ligue 2 - Match 2 | Barrages Ligue 1 | ||||||||||||||
Vainqueur du Match 2 | ||||||||||||||||
16e de Ligue 1 | ||||||||||||||||
3e de Ligue 2 | ||||||||||||||||
Vainqueur du Match 1 | ||||||||||||||||
4e de Ligue 2 | ||||||||||||||||
5e de Ligue 2 | ||||||||||||||||
En 2020, les barrages ne sont pas organisés à la suite de l'arrêt du championnat en raison de la pandémie de Covid-19 : seuls deux montées et deux relégations sont actés.
En raison du passage des deux premières divisions à 18 clubs, le format des barrages est révisé durant les saisons 2022-2023 et 2023-2024 :
- Il n'y a ni play-offs ni barrage d'accession à la fin de la saison 22-23 (2 clubs promus en L1 pour 4 clubs relégués en L2);
- Le barrage L2/National est mis en pause pour les deux saisons (les 4 derniers clubs de L2 sont relégués et les 2 premiers clubs de N1 sont promus)[6].
À partir de la saison 2024-2025, la Ligue 2 retrouve ses habitudes à l'issue de la saison, à savoir les deux promotions et deux relégations ainsi que les barrages L1/L2 et L2/N1.
Identité visuelle
modifier-
Logo de 1998 à 2002.
-
Logo de 2002 à 2008.
-
Logo de 2008 à 2016.
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Logo de 2020 à 2024, avec le naming de BKT.
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Logo à partir de la saison 2024-2025
La Ligue 2 porte les noms successifs de Domino's Pizza (2016-2020) et BKT (2020-2028) dans le cadre de contrats de naming.
Diffusion du championnat à la télévision
modifierAprès quelques retransmissions isolées sur Canal + dès le milieu des années 1980, la chaine TV Sport commence à diffuser les premiers matchs de D2 de façon régulière à partir de 1991. Eurosport prend le relais en mars 1993. Canal+ diffuse une rencontre par journée via le paiement à la séance de 1996 à 2000, Eurosport conservant la diffusion de deux matchs par journée.[réf. nécessaire]
Lors des saisons 2008-2009 et 2009-2010, le championnat est diffusé sur Ma Chaîne Sport, Ligue 2 Multicanaux et Eurosport[7]. En 2010-2011, la Ligue 2 est diffusée uniquement par Eurosport avec le match du lundi. Lors de la saison 2011-2012, CFoot diffuse neuf des dix rencontres et Eurosport garde son match du lundi soir[réf. souhaitée].
En 2012, BeIN Sports s'investit dans le football hexagonal en achetant des droits de la Ligue 2 pour quatre saisons. La chaine diffuse un match le vendredi à 18h45 (les autres rencontres étant couvertes en multiplex) et un match le samedi à 14h. Eurosport conserve son match pour le lundi soir. Après une réunion entre les présidents des clubs de Ligue 2, la LFP et BeIN Sports, les rencontres du vendredi soir ont été remises à 20 heures après que le Collectif SOS Ligue 2 a manifesté son mécontentement des horaires du vendredi à 18h45 pendant toute la première partie de saison[8].
De 2016 à 2020, BeIN Sports garde l'intégralité de la Ligue 2 avec un match le samedi après-midi à 15 h et son traditionnel multiplex du vendredi soir (20 h) avec un match directeur. Le match du lundi a été cette fois racheté par Canal+, raflant la mise à Eurosport. La LFP récupère ainsi 22 millions d'euros pour cet appel d'offres.[réf. nécessaire]
En 2020, Mediapro obtient les droits de diffusion des matchs du samedi 19h en multiplex et en intégralité. BeIN Sports rafle ceux des 2 meilleures rencontres du samedi 15h et du lundi 20h45 (auparavant diffusée sur Eurosport puis Canal+Sport). Mais à la suite de l'affaire Mediapro, les droits sont rendus en décembre[9]. Ils seront récupérés par Canal+, qui les sous-licence à BeIN Sports en février.
À l'été 2021, Amazon Prime Video récupère les lots de la Ligue 1 et Ligue 2 rendus par Mediapro et passe un accord avec la chaîne L'Équipe pour diffuser pendant la saison 2021-2022 le multiplex du samedi 19h en clair[10]. Cet accord concerne également les rencontres du multiplex, proposées en intégralité et gratuitement sur la plateforme OTT L'Équipe live jusqu'à la 10ème journée, où elles seront diffusées ensuite sur Prime Video.
Lors de la saison 2022-2023, la chaîne L'Équipe diffuse la meilleure affiche du samedi 19h[11]. Le multiplex ainsi que l'intégralité de ses matchs, sauf celui de L'Équipe, sont diffusés sur Prime Video. La véritable valeur des droits TV est débattue durant la fin de saison. Surtout depuis le changement progressif de format, de 20 à 18 équipes pour le niveau professionnel, et la relégation récente de Bordeaux et Saint-Étienne en Ligue 2. Les clubs possédant les plus grandes ressources financières, sont les moins concernés par la situation[12].
Le , la LFP annonce que BeIn Sports sera le diffuseur officiel de la Ligue 2 jusqu'à la saison 2028-2029[13],[14]. Le montant est estimé à 40 millions euros annuels[15].
Stades
modifierLa Commission des stades de la Ligue de football professionnel demande que chaque club évoluant en Ligue 2 dispose d’enceintes confortables, accueillantes et sûres. Afin de répondre à ces exigences, un certain nombre de règles a été établi[16].
-
Stade François-Coty
Ajaccio -
Stade de la Licorne
Amiens -
Parc des Sports d'Annecy
Annecy -
Stade Armand-Cesari
Bastia -
Stade Gabriel-Montpied
Clermont-Ferrand -
Stade Marcel-Tribut
Dunkerque -
Stade des Alpes
Grenoble -
Stade de Roudourou
Guingamp -
Stade du Moustoir
Lorient -
Stade Francis-Turcan
Martigues -
Stade Charléty
Paris -
Nouste Camp
Pau -
Stade Paul-Lignon
Rodez -
Stade de l'Aube
Troyes -
Stade Bauer
Saint-Ouen-sur-Seine
Statistiques
modifierNombre de saisons
modifierPosition | Clubs | Saisons |
---|---|---|
1 | Le Havre AC | 46 |
2 | Grenoble Foot | 44 |
3 | Amiens SC | 43 |
4 | Racing Besançon | 42 |
5 | AS Cannes | 41 |
. | La Berrichonne de Châteauroux | 41 |
. | Valenciennes FC | 41 |
Meilleurs buteurs
modifierLes équipes qui ont compté le plus grand nombre de meilleur buteur du championnat sont le FC Rouen et Le Havre AC à huit reprises.
Note : En 1970-1971 et 1971-1972, il y eut trois groupes et de 1972-1973 à 1992-1993, il y eut deux groupes.
Records généraux
modifier- 33 414 : record du nombre de minutes disputés par un joueur dans cette division (Eugène Ekobo)[19]
- Buteurs les plus rapides du championnat :
- Rémi Maréval : 8 secondes : but le plus rapide de l'histoire de la Ligue 2 a été marqué le par le Nantais Rémi Maréval face au Nîmes Olympique. Après 8 secondes de jeu, le ballon a franchi la ligne de but de Nicolas Puydebois[20],[21].
- Anthony Deroin , avec le Stade Malherbe Caen, en marquant un but au bout de 12 secondes, contre Libourne-Saint-Seurin lors de la dernière journée de la saison 2006-2007[22].
Record du nombre de montées chez les entraîneurs
modifierVoici la liste des entraîneurs ayant cumulé le plus de montées en première division depuis l'instauration de la poule unique en 1993-1994[23] :
Rang | Entraîneur | Montées | Clubs |
---|---|---|---|
1 | Jean-Marc Furlan | 5 | ESTAC Troyes (2005,2012,2015), Stade brestois 29 (2019), AJ Auxerre (2022) |
2 | Christian Gourcuff | 3 | FC Lorient (1998,2001,2006) |
- | Laszlo Bölöni | 3 | AS Nancy Lorraine (1996,1998), FC Metz (2023) |
- | Christophe Pélissier | 3 | Amiens SC (2017), FC Lorient (2020), AJ Auxerre (2024) |
5 | 14 entraîneurs | 2 |
Notes et références
modifierNotes
modifier- Militant pour une promotion directe du second, les dirigeants du FC Rouen refusent de participer aux barrages de montée organisés par la fédération, auxquels Nicolas et Rio, retenus pour la Coupe du monde 1934, ne peuvent participer.
- En 1955, le Red Star Olympique n'est pas admis en première division pour cause de tricherie (tentative de corruption sur l'entraîneur montpelliérain Tomazover).
- En 1970, l’Olympique avignonnais n’est pas promu car il n'offre pas les garanties financières nécessaires à son accession au niveau supérieur.
- Le FC Gueugnon refuse en 1979 le passage au statut professionnel et donc l'accession en Division 1.
- La DNCG refuse la montée à l'Olympique de Marseille en 1995 pour raisons financières.
- Après les deux matchs de barrage contre Lorient (2-1 puis 0-0).
- AC Ajaccio a été battu par le Toulouse FC lors du barrage pour la promotion-relégation entre Ligue 1 et Ligue 2 dans la saison 2017-18.
- L'ES Troyes AC a été éliminé lors de la phase de barrages par le RC Lens, lui-même éliminé par le Dijon FCO, 18e de Ligue 1.
- Avec la pandémie de Covid-19 en France la LFP a décidé de ne faire monter que les deux premiers de Ligue 2, aucun barrage ne pouvant être disputé.
- Toulouse FC a été battu par le FC Nantes lors du barrage pour la promotion-relégation entre Ligue 1 et Ligue 2 dans la saison 2020-21.
- Après sa victoire en match play-off contre le FC Sochaux-Montbéliard (vainqueur du Paris FC au tour précédent) 5 tirs au but à 4 sur le score de 0-0, puis les deux matchs de barrage contre l'AS Saint-Étienne le 26 mai à Auxerre (1-1) et le 29 au stade Geoffroy-Guichard (1-1 après prolongations et 5 tirs au but à 4).
- En raison de la réduction du nombre d'équipes en L1, il n'y a que deux clubs promus.
- Après sa victoire en match play-off contre le Rodez AF (vainqueur du Paris FC au tour précédent), 2-0, puis les deux matchs de barrage contre le FC Metz, le 30 mai à domicile au stade Geoffroy-Guichard (2-0) et le 2 juin à l'extérieur au stade Saint-Symphorien (2-2 après prolongations).
Références
modifier- Almanach 1934-1935 du magazine Football, p. 9.
- Almanach 1934-1935 du magazine Football, p. 76.
- Tony Arbona, « National - Nouveau-né plein de qualités », Football Magazine, no 132, , p. 43-44.
- Kévin Veyssière, « Pourquoi la Ligue 2 intéresse t-elle tans les investisseurs étrangers ? », sur footballclubgeopolitics.fr, (consulté le ).
- « La LFP adopte le passage à 18 clubs en Ligue 2 à partir de la saison 2024/2025 », sur L'Équipe (consulté le ).
- « Statuts et Règlements », sur LFP (consulté le ).
- « L’historique des diffuseurs télé du championnat de France de Ligue 2 », sur maligue2.fr, (consulté le ).
- Communiqué Ligue 2 : Modification des horaires.
- « Diffusion des matchs de Ligue 1 et Ligue 2 : le tribunal de Nanterre valide le retrait de Mediapro », sur lemonde.fr, (consulté le ).
- « Retrouvez le multiplex de la Ligue 2 sur la chaîne L'Équipe », sur lequipe.fr, (consulté le ).
- « La chaine L'Équipe diffusera un match en intégralité de L2 par journée la saison prochaine », sur lequipe.fr, (consulté le ).
- « Les droits TV du football français : facteur de croissance ou boulet au pied? », sur jurisportiva.fr, (consulté le ).
- « BeIN Sports acquiert l'intégralité des droits de la Ligue 2 BKT jusqu'en 2028/2029 », sur Ligue de Football Professionnel, (consulté le )
- Maxime Barbaud, « BeIN Sports rafle les droits TV de la Ligue 2 jusqu’en 2029 », sur Foot Mercato, (consulté le )
- « BeIN Sports s'offre les droits TV de la Ligue 2 pour 40 millions d'euros par an », sur L'Équipe, (consulté le )
- Recommandations de la Commission des stades, sur lfp.fr.
- « Statistiques Ligue 2 », sur statfootballclubfrance.fr.
- Eric Lemaire, Le guide français et international du football, Paris, Éditions de Vecchi, , 639 p. (ISBN 2-7328-6810-8), p. 246-247
- « Actus », sur Clermont Foot (consulté le ).
- « Nantes : le but le plus rapide de l'histoire de L2. », sur ouest.france3.fr.
- « FC Nantes : Huit secondes pour l'éternité », sur presseocean.fr.
- « Caen jubile, Créteil pleure - Ligue 2 - Football », sur Sport24, 2007-08-31cest22:53:44+0200 (consulté le ).
- Dorian Waymel, « Jean-Marc Furlan recordman des montées Ligue 2 - Ligue 1 », sur maligue2.fr, (consulté le ).
Annexes
modifierBibliographie
modifierLiens externes
modifier