Saint-Paul-lès-Romans
Saint-Paul-lès-Romans [sɛ̃ pɔl lɛ ʁɔmɑ̃] est une commune française située dans le département de la Drôme en région Auvergne-Rhône-Alpes.
Saint-Paul-lès-Romans | |||||
La mairie. | |||||
Héraldique |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Drôme | ||||
Arrondissement | Valence | ||||
Intercommunalité | Valence Romans Agglo | ||||
Maire Mandat |
Gérard Lunel 2020-2026 |
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Code postal | 26750 | ||||
Code commune | 26323 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 893 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 120 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 04′ 06″ nord, 5° 08′ 01″ est | ||||
Altitude | Min. 140 m Max. 200 m |
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Superficie | 15,77 km2 | ||||
Type | Bourg rural | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Romans-sur-Isère (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Romans-sur-Isère | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Drôme
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | https://www.saint-paul-les-romans.fr/ | ||||
modifier |
Ses habitants sont dénommés les Saint-Paulois et Saint-Pauloises.
Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune de Saint-Paul-lès-Romans est limitrophe de la ville de Romans-sur-Isère. Elle se trouve à environ 26 kilomètres au nord-est de Valence.
Communes limitrophes
modifierGénissieux | Châtillon-Saint-Jean | Saint-Lattier | ||
Romans-sur-Isère | N | Eymeux | ||
O Saint-Paul-lès-Romans E | ||||
S | ||||
Chatuzange-le-Goubet | Chatuzange-le-Goubet Beauregard-Baret |
Beauregard-Baret |
Relief et géologie
modifierHydrographie
modifierLa commune est arrosée par les cours d'eau suivants[1] :
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans une zone de transition entre les régions climatiques « Moyenne vallée du Rhône » et « Alpes du nord »[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 913 mm, avec 8,3 jours de précipitations en janvier et 5,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Romans_sapc », sur la commune de Romans-sur-Isère à 7 km à vol d'oiseau[4], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 876,7 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Saint-Paul-lès-Romans est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 30 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[10],[11].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (83,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (86,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (69 %), zones agricoles hétérogènes (14,2 %), zones urbanisées (5,3 %), forêts (4,4 %), eaux continentales[Note 2] (4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (3,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Morphologie urbaine
modifierQuartiers, hameaux et lieux-dits
modifierSite Géoportail (carte IGN)[1] :
- Aérodrome de Saint-Paul-lès-Romans
- Bellevue
- Bonnardel
- Buissières
- Champ Long
- Chapolay
- Coteau
- Génériats
- Grange Neuve
- la Commanderie
- la Gébelinière
- la Mure
- la Verdière
- le Bois
- le Château
- le Cognet
- le Four à Chaux
- le Port d'Ouvey
- les Aumônes
- les Balmas
- les Blaches
- les Chaussas
- les Chirouses
- les Donnets
- le Sée
- les Essarts
- les Gonthiers
- les Gourrey
- les Grands Bois
- les Grands Mas
- les Linguènes
- les Marrots
- les Mingauds
- les Petits Mas
- les Ores
- les Routes
- les Taillis
- les Veugnards
- Maniscey
- Patas
- Pétrole
- Sablon
- Saint-Véran
- Serviat
- Villedegavay
Logement
modifierProjets d'aménagement
modifierVoies de communication et transports
modifierLa commune est desservie par le réseau de bus Citéa.
Le petit aérodrome de Saint-Paul-lès-Romans est situé au nord-ouest de la commune[1].
Risques naturels et technologiques
modifierRisques sismiques
modifierAutres risques
modifierToponymie
modifierAttestations
modifier- 1023 : San Pol el mandament de Sancto Pol deis Iseran (Lacroix, L'arrondissement de Montélimar, II, 311)[13].
- 1038 : mention de la paroisse : parrochia Sancti Pauli des uper Malevos (cartulaire de Romans, 224)[13].
- 1080 : villa Sancti Pauli in mandamento Castellionis (Lacroix, L'arrondissement de Montélimar, II, 176)[13].
- 1108 : mention de l'église Saint-Paul : ecclesia Sancti Pauli qui distata Romanis duobus millibus (cartulaire de Romans, 225)[13].
- 1150 : mention de la commanderie : domus Hospitalis Sancti Pauli (cartulaire des Hospitaliers, 4)[13] (Cette information semble fausse : cf. la version suivante).
- Autre version : 1160 : la charte 95 du cartulaire des Hospitaliers de Saint-Paul[14],[15] est la première mention connu de la commanderie des chevaliers de Saint-Jean de Jérusalem[16],[17].
- 1202 : mention de la commanderie : l'Uspïtau de Sain Poul (cartulaire des Hospitaliers, 29)[13].
- 1252 : mention du mandement (s'étendant sur les deux rives) : el mandement de Sancto Pol deis Iseran en cei (cartulaire des Hospitaliers, 58)[13].
- 1315 : Sanctus Paulus prope Romanensem (archives des Bouches-du-Rhône, mss. de Chantelou)[13].
- 1328 : mention de la commanderie : preceptoria Sancti Pauli in Viennesio (terrier du Laris)[13].
- XIVe siècle : mention de la commanderie : preceptoria Sancti Pauli prope Romanis (pouillé de Vienne)[13].
- 1435 : mention du mandement : mandamentum Sancti Pauli de Romanis (terrier de la commanderie)[13].
- XVe siècle : mention de l'église Saint-Paul : ecclesia Sancti Pauli (archives de la Drôme, fonds de Saint-Paul-lès-Romans)[13].
- 1549 : Saint Pol près Romans (rôle de tailles)[13].
- 1891 : Saint-Paul-lès-Romans, commune du canton de Romans[13].
Étymologie
modifierHistoire
modifierProtohistoire
modifierLe territoire de la commune fait partie de la tribu gauloise des Allobroges.
Antiquité : les Gallo-romains
modifierLe territoire de la commune fait partie de la cité de Vienne[18],[19].
Une voie romaine (nommée Meyanne au Moyen Âge) reliait Vienne à l'Italie en passant par Grenoble[20].
On traversait alors l'Isère par le pont romain « de la déesse », à Châteauneuf.
C'est le long de cette voie que s'installent les Romains (sites actuels de Saint-Paul-lès-Romans et Génissieux)[21].
Une villa gallo-romaine a révélé de belles mosaïques (conservées au musée de Valence)[22]. Cette villa, dite Villa des Mingauds, est située à la jonction des communes de Génissieux, Triors et Châtillon-Saint-Jean.
Les mosaïques, datées des années 170-180, sont composées de marbre, de terre cuite et de pâte de verre. Elles représentent les travaux d'Hercule et Orphée[23],[24].
Cette luxueuse villa a été occupée du Ier au IVe siècle[18],[19]. Les principales fouilles ont été effectuées entre 1964 et 1969[réf. nécessaire].
Du Moyen Âge à la Révolution
modifierLa seigneurie[13] :
- Au point de vue féodal, la terre (ou seigneurie) de Saint-Paul-lès-Romans était partagée entre le commandeur du lieu et les dauphins.
- Les commandeurs conserveront leur part jusqu'à la Révolution.
- 1638 : la part des dauphins est aliénée aux Guigou de Chappolay.
- 1658 : elle passe aux Lionne.
- 1709 : passe aux Chabo de la Serre
- 1757 : vendue aux Bally de Bourchenu, derniers seigneurs.
Avant 1790, Saint-Paul-lès-Romans était une communauté de l'élection et subdélégation de Romans et du bailliage de Saint-Marcellin.
Elle formait une paroisse du diocèse de Vienne dont l'église, dédiée à saint Paul, était celle d'une commanderie patrimoniale de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, à laquelle furent unies, en 1326, celles de Saint-Sauveur et des Loives (Isère), puis plus tard celles de Crispalot et du Laris (Drôme) et de Montfalcon (Isère), et dont le commandeur était collateur et décimateur dans cette paroisse[13].
Le mandement de Saint-Paul-lès-Romans comprenait, avec la commune de ce nom, une partie de celle de Romans. Il semble même qu'au XIIIe siècle, ce mandement s'étendait sur les deux rives de l'Isère. De ce fait, la commanderie de Crispalot (quartier de ce nom, commune de Beauregard) dépendit toujours de celle de Saint-Paul-lès-Romans, bien que les pays situés sur la rive droite de l'Isère fussent de la langue d'Auvergne, tandis que ceux de la rive gauche étaient de la langue de Provence[13].
De la Révolution à nos jours
modifierEn 1790, Saint-Paul-lès-Romans devient le chef-lieu d'un canton du district de Romans, comprenant les municipalités de Châtillon-Saint-Jean, Saint-Paul-lès-Romans et Triors. La réorganisation de l'an VIII (1799-1800) en fait une simple commune du canton de Romans[13].
XIXe siècle : le canal du Bia est construit en pierre de tuf. Il est alimenté par l'eau de la Joyeuse à partir du seuil du Bia[réf. nécessaire].
Politique et administration
modifierTendance politique et résultats
modifierAdministration municipale
modifierListe des maires
modifierRattachements administratifs et électoraux
modifierPolitique environnementale
modifierFinances locales
modifierJumelages
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[27].
En 2021, la commune comptait 1 893 habitants[Note 3], en évolution de +4,36 % par rapport à 2015 (Drôme : +2,94 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Services et équipements
modifierEnseignement
modifierLa commune est rattachée à l'académie de Grenoble.
Santé
modifierManifestations culturelles et festivités
modifier- Fête patronale : le [22].
- Corso fleuri, le deuxième dimanche après Pâques[22] : Fête des bouviers et des laboureurs de la Drôme. Ce corso a été initié en 1951 afin d'accélérer le remboursement de l'emprunt contracté par la commune lors de la construction de la salle des fêtes. Plus de vingt chars circulent dans le village. La 68e édition a eu lieu en 2018[réf. nécessaire].
- Fête communale : le troisième dimanche de septembre[22].
Loisirs
modifierSports
modifier- Rugby à XV : Joyeuse Sportive à XV de Saint-Paul-les-Romans : Champion de France de 4e série 2017
Médias
modifierCultes
modifierUne communauté Emmaüs s'est installée dans les années 1990[30].
Économie
modifierAgriculture
modifierEn 1992 : céréales, vignes, vergers, ovins, chevaux[22].
- Coopérative (vins, eaux-de-vie, céréales)[22].
Industrie et artisanat
modifierUne ancienne carrière est située sur la commune (quartier les Blaches)[1]. Le parc Saint-Paul est le principal centre commercial de la commune et attiré plus de 2.5 millions de visiteurs en 2022[31].
Tourisme
modifier- Camping[22].
Revenus de la population et fiscalité
modifierEmploi
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Le petit pont qui enjambe la Joyeuse serait d'époque romaine[réf. nécessaire].
- Église Saint-Paul de Saint-Paul-lès-Romans, de style roman : clocher carré[22]. À gauche de l'entrée, se trouve une très ancienne pierre tombale[21].
- Ancienne commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem.
- Chapelle rurale[22].
- Vieilles maisons en appareil de galets[22].
Patrimoine culturel
modifierPatrimoine naturel
modifierPersonnalités liées à la commune
modifier- Jean Raymond Fayolle (1746-1822), magistrat et député, né à Saint-Paul-lès-Romans.
Héraldique, logotype et devise
modifierSaint-Paul-lès-Romans possède des armoiries dont l'origine et le blasonnement exact ne sont pas disponibles. |
Annexes
modifierBibliographie
modifier- 1875 : Ulysse Chevalier, Cartulaire des Hospitaliers et des Templiers en Dauphiné, Vienne, E.-J. Savignè (imprimeur), (lire en ligne). Voir Cartulaire de la maison de l'Hôpital de Saint-Paul-lès-Romans, p. 2-58.
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Saint-Paul-lès-Romans sur le site de l'Institut géographique national / page archivée depuis 2011.
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- https://www.geoportail.gouv.fr/
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Paul-lès-Romans et Romans-sur-Isère », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Romans_sapc », sur la commune de Romans-sur-Isère - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Romans_sapc », sur la commune de Romans-sur-Isère - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Romans-sur-Isère », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- J. Brun-Durand, Dictionnaire topographique du département de la Drôme, Paris, Imprimerie nationale, (lire en ligne), page 354 (Saint-Paul-lès-Romans).
- Ulysse chevalier, « Cartulaire des templiers et hospitaliers en Dauphiné », sur gallica.bnf.fr, (consulté le ).
- Ulysse Chevalier, « Regeste Dauphinois page 686 n°4090 » , sur gallica, .
- « Recherche sur le passé de Saint-Paul-lès-Romans » [PDF], sur Recherche sur le passé de Saint-Paul-lès-Romans.
- Archives de la Drôme, « Une pogne traverse les siècles » , sur Archives de la Drôme, .
- [PDF] Marie-Noëlle Roy, La Pierre et l'Écrit, no 20, Didactibook, p. 7.
- [PDF] Gérard Rochas, « Épigraphie et Histoire : la vallée de l'Isère à l'époque romaine », 1998, p. 250.
- « L'Isère », Carte archéologique de la Gaule, p. 38.
- Origines historiques sur le site de la commune de Saint-Paul-lès-Romans.
- Michel de la Torre, Drôme, le guide complet de ses 371 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, (ISBN 2-7399-5026-8), Saint-Paul-lès-Romans.
- Hercule (Les cavales de Diomède), Hercule (L'Hydre de Lerne), Hercule (La biche de Cérynie), Hercule (Le sanglier de l'Erymanthe), Orphée charmant les animaux (détail 1), Orphée charmant les animaux (détail 2), Orphée charmant les animaux (détail 3).
- Marcel Leglay, Fouilles et monuments archéologiques dans la circonscription de Rhône-Alpes, Gallia, 1971, vol. 29, no 2, p. 435.
- Association des maires de la Drôme, « Renouvellement électoral », sur mairesdeladrome.fr (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- L'Histoire de la Communauté, Emmaüs Saint-Paul-lès-Romans
- Site limpartial.fr, article "Saint-Paul-lès-Romans – Le Parc Saint-Paul : un lieu unique qui a le vent en poupe !".