Saint-Germain-du-Teil
Saint-Germain-du-Teil est une commune française, située dans l'ouest du département de la Lozère en région Occitanie.
Saint-Germain-du-Teil | |||||
L'église Saint-Germain. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Occitanie | ||||
Département | Lozère | ||||
Arrondissement | Mende | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Aubrac Lot Causses Tarn | ||||
Maire Mandat |
Didier Jurquet 2020-2026 |
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Code postal | 48340 | ||||
Code commune | 48156 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Saint-Germanais | ||||
Population municipale |
858 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 38 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 28′ 45″ nord, 3° 10′ 23″ est | ||||
Altitude | Min. 520 m Max. 1 122 m |
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Superficie | 22,58 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Bourgs sur Colagne | ||||
Législatives | Circonscription de la Lozère | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lozère
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
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Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par le Lot, le Doulou, le Doulounet, le ruisseau de la Felgeyre, le ruisseau du Taillat et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le parc naturel régional de l'Aubrac, la commune possède un patrimoine naturel remarquable composé de trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.
Saint-Germain-du-Teil est une commune rurale qui compte 858 habitants en 2021. Ses habitants sont appelés les Saint-Germanais et Saint-Germanaises.
Géographie
modifierLocalisation
modifierCommunes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Les Salces, La Canourgue, Saint-Pierre-de-Nogaret, Les Hermaux, Banassac-Canilhac et Bourgs sur Colagne.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 034 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 5,8 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Montrodat à 15 km à vol d'oiseau[4], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 818,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Milieux naturels et biodiversité
modifierEspaces protégés
modifierLa protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9]. La commune fait partie du parc naturel régional de l'Aubrac, créé par décret le [10] et occupant une superficie de 220 284 ha. Région rurale de moyenne montagne, l’Aubrac possède un patrimoine encore bien préservé. Son économie rurale, ses paysages, ses savoir-faire, son environnement et son patrimoine culturel reconnus n'en demeurent pas moins vulnérables et menacés et c'est à ce titre que cette zone a été protégée[11],[12].
Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique
modifierL’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 1] sont recensées sur la commune[13] : le « ruisseau de Dioulou, du Pont des Moulins à sa confluence avec le Lot » (22 ha), couvrant 3 communes du département[14], et le « ruisseau de la Felgeyre » (24 ha), couvrant 2 communes du département[15] et une ZNIEFF de type 2[Note 2],[13] : le « contrefort sud de l'Aubrac » (14 299 ha), couvrant 10 communes du département[16].
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Carte des ZNIEFF de type 1 sur la commune.
-
Carte de la ZNIEFF de type 2 sur la commune.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Saint-Germain-du-Teil est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[I 1]. Elle est située hors unité urbaine[I 2] et hors attraction des villes[I 3],[I 4].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (52 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (51,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (52 %), prairies (31 %), zones agricoles hétérogènes (14,4 %), zones urbanisées (2,6 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Voies de communication et transports
modifierLa commune est accessible par la route départementale 52 dite "Route des lacs". Par ailleurs, elle est traversée par le Sentier de grande randonnée GR 60 également dénommé chemin de Saint-Guilhem-le-Désert sur ce tronçon.
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Saint-Germain-du-Teil est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].
Risques naturels
modifierCertaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lot, le Doulou et le Doulounet. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994 et 2003[20],[18].
Saint-Germain-du-Teil est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[21]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du , complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du , abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 3],[21],[22].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des glissements de terrain[23]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 1,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (15,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 460 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, aucun n'est en aléa moyen ou fort, à comparer aux 14 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[24].
Risques technologiques
modifierLe risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[26].
La commune est en outre située en aval du barrage du Charpal, un ouvrage de classe B[Note 4]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[28].
Risque particulier
modifierDans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Germain-du-Teil est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[29].
Toponymie
modifierHistoire
modifierLa commune de Saint-Germain du Teil présente des traces de l'occupation romaine, ainsi que des tombes mérovingienne, appelé de façon erronés "tombes juives".
Le vendredi , un avion militaire algérien s'écrase sur le territoire de la commune[30].
Politique et administration
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[32].
En 2021, la commune comptait 858 habitants[Note 6], en évolution de −0,58 % par rapport à 2015 (Lozère : +0,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,8 %, soit un taux inférieur à la moyenne départementale (29,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (36,3 %) est supérieur au taux départemental (32,5 %).
En 2018, la commune comptait 482 hommes pour 397 femmes, soit un taux de 54,84 % d'hommes, supérieur au taux départemental (49,96 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :
Enseignement
modifierIl existe deux établissements scolaires à Saint-Germain-du-Teil :
- l'école primaire publique du Teil ;
- l'école primaire privée Sainte-Marie.
Économie
modifierRevenus
modifierEn 2018, la commune compte 324 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 714 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 18 860 €[I 6] (20 420 € dans le département[I 7]).
Emploi
modifier2008 | 2013 | 2018 | |
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Commune[I 8] | 3,6 % | 6,3 % | 6,9 % |
Département[I 9] | 5 % | 6,4 % | 7,1 % |
France entière[I 10] | 8,3 % | 10 % | 10 % |
En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 506 personnes, parmi lesquelles on compte 61,5 % d'actifs (54,6 % ayant un emploi et 6,9 % de chômeurs) et 38,5 % d'inactifs[Note 8],[I 8]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.
La commune est hors attraction des villes[Carte 3],[I 11]. Elle compte 297 emplois en 2018, contre 309 en 2013 et 315 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 283, soit un indicateur de concentration d'emploi de 104,9 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 42 %[I 12].
Sur ces 283 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 88 travaillent dans la commune, soit 31 % des habitants[I 13]. Pour se rendre au travail, 79,4 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 2,2 % les transports en commun, 10,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 14].
Culture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Église paroissiale Saint-Germain de Saint-Germain-du-Teil, reconstruite au XIXe siècle, de style néo-gothique avec un clocher-mur à 4 baies abritant 4 cloches.
- Église Saint-Privat de Combret.
- Le Puech Debon, duquel on peut voir un vaste panorama des contreforts de l'Aubrac.
- Une nouvelle salle des services, construite sur la commune, a été inaugurée le .
- Le monument aux morts dont le socle comporte la mention fort peu laïque « Pour Dieu [et] la Patrie » avec les dates non moins surprenantes « 1914-1919 ».
Personnalités liées à la commune
modifierHéraldique
modifierBlason | De gueules au heaume d'or taré de trois-quarts accompagné de trois étoiles d'argent. |
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Détails | Il s'agit des armes d'une branche de la famille du Pont de Ligonnès, illustrée par l'évêque Charles de Ligonnès, qui avait commandé les mobiles de Lozère pendant la guerre franco-allemande de 1870[36]. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
- Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
- Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[27].
- Par intérim, en tant que première adjointe, à la suite de la mort de Georges Tauzies.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d'habitation.
- Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
Références
modifierSite de l'Insee
modifier- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Saint-Germain-du-Teil ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Saint-Germain-du-Teil (48156) », (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Germain-du-Teil » (consulté le ).
- « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Germain-du-Teil » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Lozère » (consulté le ).
- « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
- « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Germain-du-Teil » (consulté le ).
- « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
- « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
Autres sources
modifier- Carte IGN sous Géoportail.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Saint-Germain-du-Teil et Montrodat », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Montrodat » (commune de Montrodat) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Montrodat » (commune de Montrodat) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le ).
- « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- Décret du 23 mai 2018 portant classement du parc naturel régional de l'Aubrac (région Occitanie).
- « Pourquoi un PNR sur l'Aubrac ? », sur parc-naturel-aubrac.fr (consulté le ).
- « PNR de l'Aubrac - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Germain-du-Teil », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « ruisseau de Dioulou, du Pont des Moulins à sa confluence avec le Lot » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « ruisseau de la Felgeyre » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « ZNIEFF le « contrefort sud de l'Aubrac » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Saint-Germain-du-Teil », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Défense des forêts contre l'incendie (DFCI) », sur lozere.gouv.fr (consulté le ).
- « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Saint-Germain-du-Teil », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
- « Un avion de fret militaire algérien s'écrase en Lozère », sur Franceinfo: (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Lozère (48) », (consulté le ).
- Nos évêques. Photographies et biographies, Lille, Imprimerie de la Croix du Nord, 1907.