Banassac-Canilhac

commune de la Lozère, France

Banassac-Canilhac est une commune française, située dans le département de la Lozère en région Occitanie.

Banassac-Canilhac
Banassac-Canilhac
Le centre de Banassac.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lozère
Arrondissement Mende
Intercommunalité Communauté de communes Aubrac Lot Causses Tarn
Maire
Mandat
David Rodrigues
2020-2026
Code postal 48500
Code commune 48017
Démographie
Gentilé Banassacois, Banassacoises

et Canilhacois, Canilhacoises

Population
municipale
1 072 hab. (2021)
Densité 43 hab./km2
Population
agglomération
3 171 hab. (2021)
Géographie
Coordonnées 44° 26′ 13″ nord, 3° 12′ 03″ est
Altitude Min. 499 m
Max. 940 m
Superficie 24,68 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine La Canourgue
(banlieue)
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de La Canourgue
Législatives Circonscription de la Lozère
Localisation
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Banassac-Canilhac
Liens
Site web banassac-canilhac.fr/

De statut administratif commune nouvelle, elle est issue de la fusion simple le des deux communes de Banassac et Canilhac.

Géographie

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Localisation

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La commune est limitrophe du département de l'Aveyron.

Communes limitrophes

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Les communes limitrophes sont Saint-Pierre-de-Nogaret, Saint-Saturnin, La Tieule, La Canourgue, Saint-Germain-du-Teil, Saint-Laurent-d'Olt et Campagnac.

Hydrographie

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La commune est traversée par le Lot, qui est rejoint à hauteur de Banassac par l'Urugne.

Voies de communication et transports

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La commune est desservie par l'autoroute A75 ainsi que par la gare de Banassac - La Canourgue sur la ligne des Causses.

Par ailleurs, la commune se situe à la fois sur le parcours du sentier de grande randonnée 6 (GR6) et du GR 60 relevant à la fois du chemin de Saint-Guilhem et du sentier de grande randonnée de pays (GRP) « Tour du Causse de Sauveterre ».

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 984 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 5,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Montrodat à 16 km à vol d'oiseau[4], est de 10,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 818,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Banassac-Canilhac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Canourgue[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant deux communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[9],[I 1]. La commune est en outre hors attraction des villes[10],[11].

Risques majeurs

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Le territoire de la commune de Banassac-Canilhac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].

Risques naturels

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La commune fait partie du territoire à risques importants d'inondation (TRI) de Mende-Marvejols, regroupant 17 communes concernées par un risque de débordement du Lot et de la Colagne ainsi que de certains de leurs affluents, un des 18 TRI qui ont été arrêtés fin 2012 sur le bassin Adour-Garonne[14]. Les événements antérieurs à 2014 les plus significatifs sont les crues du , une crue cévenole de référence (3,95 m mesurés à Mende), et des 4 et , une crue méditerranéenne (3,80 m mesurés à Mende). Des cartes des surfaces inondables ont été établies pour trois scénarios : fréquent (crue de temps de retour de 10 ans à 30 ans), moyen (temps de retour de 100 ans à 300 ans) et extrême (temps de retour de l'ordre de 1 000 ans, qui met en défaut tout système de protection)[15]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1994, 2003 et 2020[16],[12].

Banassac-Canilhac est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en décembre 2014 pour la période 2014-2023[17]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du , complété par un arrêté de 2020, réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du , abrogeant un arrêté de 2002, rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 3],[17],[18].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Banassac-Canilhac.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs, des glissements de terrain et des tassements différentiels[19]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 34,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (15,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 594 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 44 sont en aléa moyen ou fort, soit 7 %, à comparer aux 14 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 1].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Risques technologiques

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Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].

La commune est en outre située en aval du barrage du Charpal, un ouvrage de classe B[Note 4]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[24].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Banassac-Canilhac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[25].

Toponymie

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Le nom de la commune est composé par la juxtaposition des noms des deux communes fondatrices.

Histoire

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La nouvelle commune est effective depuis le 1er janvier 2016 ; il s'agit d'une fusion simple, sans création de communes déléguées[26].

Politique et administration

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Découpage territorial

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La commune de Banassac-Canilhac est membre de la communauté de communes Aubrac Lot Causses Tarn[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à La Canourgue. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[27].

Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Mende, à la circonscription administrative de l'État de la Lozère et à la région Occitanie[I 1].

Sur le plan électoral, elle dépend du canton de la Canourgue pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la circonscription de la Lozère pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[28].

Tendances politiques et résultats

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Liste des maires

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Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
2016 En cours
(au 7 juin 2020)
David Rodrigues[29] SE  

Communes fondatrices

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Liste des communes fondatrices
Nom Code
Insee
Intercommunalité Superficie
(km2)
Population
(dernière pop. légale)
Densité
(hab./km2)
Banassac
(siège)
48017 CC Aubrac-Lot-Causse 17,41
Canilhac 48033 CC Aubrac-Lot-Causse 7,27

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis sa création.

En 2021, la commune comptait 1 072 habitants[Note 5], en évolution de +2,68 % par rapport à 2015 (Lozère : +0,28 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
2014 2015 2020 2021
1 0441 0441 0781 072
(Sources : Insee à partir de 2014[30].)

Pyramide des âges

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La population de la commune est un peu plus jeune que celle du département. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 29,6 %, soit un taux comparable à la moyenne départementale (29,7 %). Le taux de personnes d'un âge supérieur à 60 ans (29,2 %) est inférieur au taux départemental (32,5 %).

En 2018, la commune comptait 532 hommes pour 524 femmes, soit un taux de 50,38 % d'hommes, supérieur au taux départemental (49,96 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit :

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[I 2]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
0,6 
7,4 
75-89 ans
9,2 
20,8 
60-74 ans
20,0 
24,5 
45-59 ans
21,7 
16,0 
30-44 ans
20,2 
14,0 
15-29 ans
12,1 
16,8 
0-14 ans
16,3 
Pyramide des âges du département de la Lozère en 2021 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,8 
9,1 
75-89 ans
11,8 
21,6 
60-74 ans
21,1 
21,5 
45-59 ans
20,2 
16,3 
30-44 ans
15,9 
15,5 
15-29 ans
13,6 
15 
0-14 ans
14,6 

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Personnalités liées à la commune

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Voir aussi

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Bibliographie

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Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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Notes et cartes

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de La Canourgue comprend une ville-centre et une commune de banlieue.
  3. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[23].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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Site de l'Insee

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Autres sites

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  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Banassac-Canilhac et Montrodat », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Montrodat » (commune de Montrodat) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Montrodat » (commune de Montrodat) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  9. « Unité urbaine 2020 de La Canourgue », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Banassac-Canilhac », sur Géorisques (consulté le ).
  13. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  14. « Liste des territoires à risque important d'inondation (TRI) de 2012 sur le bassin Adour-Garonne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  15. « cartographie des risques d'inondations du TRI de Mende-Marvejols », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  17. a et b « Défense des forêts contre l'incendie (DFCI) », sur lozere.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  19. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Banassac-Canilhac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  23. Article R214-112 du code de l’environnement
  24. « Les risques majeurs dans la Lozère », sur lozere.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  25. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  26. « Arrêté n° 2015-272-0003 du 29 septembre 2015 portant création de la commune nouvelle de Banassac-Canilhac », sur Préfecture de la Lozère, (consulté le ), p. 212-214.
  27. « communauté de communes Aubrac Lot Causses Tarn - fiche descriptive au  », sur la Base nationale sur l'intercommunalité (consulté le ).
  28. « Découpage électoral de la Lozère (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  29. « Le maire David Rodrigues officiellement réélu », sur Midi Libre, (consulté le ).
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Lozère (48) », (consulté le ).
  32. a et b « Église paroissiale Saint-Antoine », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  33. a et b « Église paroissiale Saint-Médard », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  34. « Église Saint-Vincent de Canilhac », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).