Hautes-Duyes
Hautes-Duyes est une commune française, située dans le département des Alpes-de-Haute-Provence en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
Hautes-Duyes | |||||
Les rochers de Guéruen. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Alpes-de-Haute-Provence | ||||
Arrondissement | Digne-les-Bains | ||||
Intercommunalité | Provence-Alpes Agglomération | ||||
Maire Mandat |
Italo Zanartu-Hayer 2020-2026 |
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Code postal | 04380 | ||||
Code commune | 04177 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Duyen | ||||
Population municipale |
48 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 2,1 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 10′ 52″ nord, 6° 09′ 30″ est | ||||
Altitude | Min. 776 m Max. 1 872 m |
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Superficie | 22,84 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Digne-les-Bains-1 | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Alpes-de-Haute-Provence
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
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Le nom de ses habitants est Duyens[1].
Géographie
modifierLes communes limitrophes sont Authon, La Robine-sur-Galabre, Thoard et Le Castellard-Mélan. Le village est situé à 800 m d’altitude[2]. La commune tire son nom de la Duyes qui la traverse.
Les routes d’accès sont acrobatiques.
Relief
modifierSommets :
- montagne de Géruen ;
- crête de la Fubie
Environnement
modifierLa commune compte 750 ha de bois et forêts[1].
Risques majeurs
modifierAucune des 200 communes du département n'est en zone de risque sismique nul. Le canton de Digne-les-Bains-Ouest auquel appartient Hautes-Duyes est en zone 1b (sismicité faible) selon la classification déterministe de 1991, basée sur les séismes historiques[3], et en zone 4 (risque moyen) selon la classification probabiliste EC8 de 2011[4]. La commune d’Hautes-Duyes est également exposée à trois autres risques naturels[4] :
- feu de forêt ;
- inondation (dans la vallée des Duyes) ;
- mouvement de terrain : plusieurs versants de la commune sont concernés par un aléa moyen à fort[5].
La commune d’Hautes-Duyes n’est exposée à aucun des risques d’origine technologique recensés par la préfecture[6] ; aucun plan de prévention des risques naturels prévisibles (PPR) n’existe pour la commune[6] et le Dicrim existe depuis 2011[7].
La commune a été l’objet d’un seul arrêté de catastrophe naturelle, en 1994 pour des inondations et des coulées de boue[4]. Malgré la classification de la commune pour le risque sismique, il n’existe aucune archive conservant la mémoire des tremblements de terre ressentis dans la commune[8].
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Alpes du sud, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 850 à 1 000 mm, minimale en été[10].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 888 mm, avec 6,9 jours de précipitations en janvier et 4,7 jours en juillet[9]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Digne les Bains », sur la commune de Digne-les-Bains à 12 km à vol d'oiseau[11], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 681,2 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 42,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17,8 °C, atteinte le [Note 1],[12],[13].
Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[14]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Hautes-Duyes est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[16]. Elle est située hors unité urbaine[17] et hors attraction des villes[18],[19].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (90,4 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (95,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (48,3 %), forêts (38,5 %), prairies (5 %), zones agricoles hétérogènes (4,6 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,6 %)[20].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Histoire
modifierDans l’Antiquité, les Bodiontiques (Bodiontici) peuplaient la vallée de la Bléone et celles de ses affluents, et étaient donc le peuple gaulois qui vivait dans l’actuelle commune de Hautes-Duyes. Les Bodiontiques, qui sont vaincus par Auguste en même temps que les autres peuples présents sur le Trophée des Alpes (avant 14 av. J.-C.), sont rattachés à la province des Alpes-Maritimes lors de sa création[21].
La commune est formée de la fusion de celles d’Auribeau et de Saint-Estève en 1973[22]. Auribeau apparaît vers 1200 dans les chartes (Auribellum), compte 26 feux en 1315 et 3 en 1471[23]. Saint-Estève est cité pour la première fois au XIIIe siècle (Sanctus Stephanus), et compte 26 feux en 1315, et 139 habitants en 1765[24]. Les deux communautés relevaient de la baillie de Digne[25].
Saint-Estève appartient aux comtes de Baschi du XVe au XVIIIe siècle[26], et le fief de Bachy-Saint-Estève est érigé en comté en 1715[27],[28]. Un noyau de protestants se maintient à Saint-Estève jusqu’à la fin du XVIIe siècle et utilise la chapelle et le cimetière Notre-Dame[25].
Durant la Révolution, Auribeau compte une société patriotique, créée après la fin de 1792, ainsi que Saint-Estève[29]. Pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, cette seconde commune change de nom pour L’Arc-des-Duyes[30] (parfois orthographié Larg-des-Duyes[31]).
Le coup d'État du 2 décembre 1851 commis par Louis-Napoléon Bonaparte contre la Deuxième République provoque un soulèvement armé dans les Basses-Alpes, en défense de la Constitution. Après l’échec de l’insurrection, une sévère répression poursuit ceux qui se sont levés pour défendre la République : Auribeau, avec deux habitants traduits devant la commission mixte, est relativement peu touchée. Aucun habitant de Saint-Estève n’a été jugé[32].
Comme de nombreuses communes du département, les communes d’Auribeau et de Saint-Estève se dotent d’une école bien avant les lois Jules Ferry : en 1863, une école dispensant une instruction primaire aux garçons fonctionne dans chacun des deux villages[33]. Aucune instruction n’est donnée aux filles : ni la loi Falloux (1851), qui impose l’ouverture d’une école de filles aux communes de plus de 800 habitants, ni la première loi Duruy (1867), qui abaisse ce seuil à 500 habitants, ne concernent pas Saint-Estève et Auribeau[34],[35]. Les subventions accordées par la deuxième loi Duruy (1877) permettent à Saint-Estève de construire une école neuve[36], mais ce n’est qu’avec les lois Ferry que les filles de des deux communes sont scolarisées.
L’ancienne école de Saint-Estève est reconvertie en logements sociaux[37].
Héraldique
modifierBlason | D'azur à un chevron d'or accompagné de trois cailloux du même[38]. |
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Détails | Commune formée de la fusion de celles d’Auribeau et de Saint-Estève en 1973. Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Économie
modifierAperçu général
modifierEn 2009, la population active s’élevait à 15 personnes, dont 2 chômeurs[39]. Ces travailleurs sont majoritairement indépendants (sept contre six salariés)[40] et travaillent majoritairement à Hautes-Duyes (huit actifs sur treize)[40]. La majorité des emplois de la commune relèvent du secteur primaire. Il n'y a aucun établissement du secteur secondaire dans la commune, et aucun emploi salarié.
Agriculture
modifierFin 2010, le secteur primaire (agriculture, sylviculture, pêche) comptait sept établissements actifs au sens de l’Insee (exploitants non-professionnels inclus)[41].
Le nombre d’exploitations professionnelles en 2010 était inconnu de l’enquête Agreste du ministère de l’Agriculture. Il était de quatre en 2000[42], de 10 en 1988[43]. Actuellement, ces exploitants sont essentiellement tournés vers l’élevage ovin[42]. De 1988 à 2000, la surface agricole utile (SAU) a augmenté, de 389 ha à 506 ha[43].
Activités de service
modifierFin 2010, le secteur tertiaire ne comptait qu’un seul et unique établissement du secteur administratif[41].
D'après l’Observatoire départemental du tourisme, la fonction touristique est secondaire pour la commune, avec entre un et cinq touristes accueillis par habitant[44]. Les capacités d’hébergement consistent, aux Hautes-Duyes, en des meublés labellisés[45]. Il y a en outre une dizaine de résidences secondaires susceptibles d'apporter un complément à la capacité d’accueil[46],[47],[48].
Politique et administration
modifierListe des maires
modifierIntercommunalité
modifierHautes-Duyes a fait partie, de 1992 à 2016, de la communauté de communes des Duyes et Bléone. Depuis le , elle fait partie de la communauté d'agglomération Provence-Alpes Agglomération.
Démographie
modifierAuribeau
modifierL’histoire démographique d'Auribeau est marquée par la crise des XIVe et XVe siècles, suivi d'un long mouvement de croissance jusqu’au milieu du XIXe siècle. Lui succède ensuite une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé. Cette période d'apogée démographique dure de 1806 à 1866. L’exode rural provoque ensuite un mouvement de recul de longue durée, et assez rapide. Dès 1906, la commune enregistre une perte supérieure à la moitié de ses effectifs du maximum historique de 1806[54]. Le mouvement de recul continue jusqu'aux années 1960, ce qui conduit à la fusion d'Auribeau avec sa voisine Saint-Estève.
Saint-Estève
modifierL’histoire démographique ancienne de Saint-Estève est mal connue. Elle connait elle aussi une période d’« étale » où la population reste relativement stable à un niveau élevé, mais plus courte que celle d'Auribeau : de 1806 à 1851. L’exode rural est moins rapide à Saint-Estève qu'à Auribeau : la perte de la moitié de ses effectifs du maximum historique de 1846 n'est enregistrée qu'en 1921[55]. Le mouvement de recul continue jusqu'aux années 1960, ce qui conduit à la fusion avec sa voisine Auribeau.
Hautes-Duyes
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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[56]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[57].
En 2021, la commune comptait 48 habitants[Note 2], en évolution de +14,29 % par rapport à 2015 (Alpes-de-Haute-Provence : +2,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Lieux et monuments
modifierL’église paroissiale d’Auribeau se trouve à l’écart du hameau[25],[59]. Placée sous le vocable de Saint-Pierre, c’est un ancien prieuré[25]. Au-dessus d’Auribeau, subsiste la base d’une tour, au lieu-dit Castellar de Saint-Pierre[59]. L’une des tours d’angle du château d’Auribeau est en fait un pigeonnier[60], le reste du bâtiment, datant du XVIIe siècle tombe en ruines, y compris la chapelle Saint-Sébastien du château[25].
L’ancienne église de Saint-Estève s’appelle Notre-Dame-des-Touisses[26],[25].
La chapelle Saint-Pierre au col Saint-Pierre, ancienne église castrale, est en ruines[25].
La chapelle Notre-Dame, fondée en 1555, vient d’être restaurée[25].
Personnalités liées à la commune
modifier- Louis Hippolyte Peyron (1756-1814), général des armées de la République y est né.
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Raymond Collier, La Haute-Provence monumentale et artistique, Digne, Imprimerie Louis Jean, , 559 p.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017)
Articles connexes
modifier- Liste des anciennes communes des Alpes-de-Haute-Provence
- Liste des communes des Alpes-de-Haute-Provence
Liens externes
modifier- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Hautes-Duyes sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les records sont établis sur la période du au .
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- Roger Brunet, « Canton de Digne-les-Bains », sur Le Trésor des régions (consulté le ).
- Michel de La Torre, Alpes-de-Haute-Provence : le guide complet des 200 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », 1989, Relié, 72 p. (non-paginé) (ISBN 2-7399-5004-7)
- Dossier départemental sur les risques majeurs dans les Alpes-de-Haute-Provence, Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, (lire en ligne), p.39.
- Ministère de l’Écologie, du développement durable, des transports et du logement, Notice communale sur la base de données Gaspar, mise à jour le 27 mai 2011, consultée le 26 juillet 2012
- Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 37.
- Dossier départemental sur les risques majeurs 2008, p. 96.
- Formulaire de recherche, base Dicrim, consultée le 26 juillet 2011
- BRGM, « Épicentres de séismes lointains (supérieurs à 40 km) ressentis à Haute-Duyes », Sisfrance, mis à jour le 1er janvier 2010, consulté le 26 juillet 2012
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Hautes-Duyes et Digne-les-Bains », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Digne les Bains », sur la commune de Digne-les-Bains - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Digne les Bains », sur la commune de Digne-les-Bains - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
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- Brigitte Beaujard, « Les cités de la Gaule méridionale du IIIe au VIIe s. », Gallia, 63, 2006, CNRS éditions, p. 22
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Sous la direction d'Édouard Baratier, Georges Duby et Ernest Hildesheimer, Atlas historique. Provence, Comtat Venaissin, principauté d’Orange, comté de Nice, principauté de Monaco, Paris, Librairie Armand Colin, (BNF 35450017), p. 161
- Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, p. 195.
- Daniel Thiery, « Hautes-Duyes - Aux origines des églises et chapelles rurales des Alpes-de-Haute-Provence », sur archeoprovence, (consulté le ).
- Baratier, Duby et Hildesheimer 1969, p. 161.
- Édouard Baratier et Ernest Hildesheimer, « Les fiefs provençaux au XVIIIe siècle », carte 111 et commentaire in Baratier, Duby et Hildesheimer 1969}
- Par LP de novembre 1715 : AD13, B3395, f°40
- Patrice Alphand, « Les Sociétés populaires, La Révolution dans les Basses-Alpes », Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, vol. 108, no 307, 1er trimestre 1989, p.296-298.
- Jean-Bernard Lacroix, « Naissance du département », in La Révolution dans les Basses-Alpes, Annales de Haute-Provence, bulletin de la société scientifique et littéraire des Alpes-de-Haute-Provence, no 307, 1er trimestre 1989, 108e année, p 113
- Charles Bouyssi, Communes et paroisses d’Auvergne, mis en ligne en 2002 [1], consulté le 18 novembre 2008
- Henri Joannet, Jean-Pierre Pinatel, « Arrestations-condamnations », 1851-Pour mémoire, Les Mées : Les Amis des Mées, 2001, p. 72.
- Jean-Christophe Labadie (dir.), Les Maisons d’école, Digne-les-Bains, Archives départementales des Alpes-de-Haute-Provence, (ISBN 978-2-86-004-015-0), p.9.
- Labadie 2013, p. 16.
- Labadie 2013, p. 18.
- Labadie 2013, p. 11.
- Labadie 2013, p. 58.
- Louis de Bresc, Armorial des communes de Provence, Raphèle-lès-Arles, Marcel Petit CPM, (1re éd. 1866).
- Dossier local - Commune : Hautes-Duyes, Insee (lire en ligne), p.5.
- Dossier local, p. 7.
- Dossier local, p. 15.
- Ministère de l'Agriculture, « Orientation technico-économique de l’exploitation », Recensements agricoles 2010 et 2000. (lien : attention, le fichier fait 4,4 Mio)
- Insee, « Exploitations agricoles en 1988 et 2000 », Insee, 2012 (fichier de 24,6 Mio)
- Observatoire départemental du tourisme, Atlas de l'hébergement touristique, (lire en ligne), p.6.
- Atlas de l'hébergement touristique 2008, p. 32.
- Atlas de l'hébergement touristique 2008, p. 44.
- Dossier local, p. 16.
- Insee, « Hébergements touristiques des communes, 2008, 2009 et 2012 », Insee, 2012 (fichier de 20,8 Mio)
- Jean-Louis Richard est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature de François Mitterrand (PS) à l’élection présidentielle de 1981, cf Conseil constitutionnel, liste des élus ayant présenté les candidats à l’élection du Président de la République, Journal officiel de la République française du 15 avril 1981, page 1059, disponible en ligne, consulté le 29 juillet 2010
- Jean-Louis Richard est l’un des 500 élus qui ont parrainé la candidature d’Olivier Besancenot à l’élection présidentielle de 2002, cf Parrainages élection présidentielle 2002, consulté le 28 juillet 2010 et Liste des citoyens ayant présenté les candidats à l'élection du Président de la République de 2002
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, De Puimoisson à Saint-Julien-du Verdon (liste 6), consulté le 6 mars 2013
- Préfecture des Alpes-de-Haute-Provence, « Liste des maires », 2014, consultée le 20 octobre 2014.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, « Notice communale : Auribeau », sur ehess.fr, École des hautes études en sciences sociales (consulté le ).
- Christiane Vidal, « Chronologie et rythmes du dépeuplement dans le département des Alpes-de-Haute-Provence depuis le début du XIXe siècle », Provence historique, t. 21, no 85, , p.287 (lire en ligne).
- Vidal 1971, p. 288.
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Collier 1986, p. 311.
- Collier 1986, p. 445.