Rouzède

commune française du département de la Charente

Rouzède (Rauseda en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Rouzède
Rouzède
L'église Notre-Dame de Rouzède.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes La Rochefoucauld - Porte du Périgord
Maire
Mandat
Anne Bernard
2020-2026
Code postal 16220
Code commune 16290
Démographie
Gentilé Rouzédois
Population
municipale
235 hab. (2021 en évolution de +0,86 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 42′ 33″ nord, 0° 33′ 18″ est
Altitude Min. 146 m
Max. 351 m
Superficie 14,33 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Val de Tardoire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Rouzède
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Rouzède
Géolocalisation sur la carte : Charente
Voir sur la carte topographique de la Charente
Rouzède
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Rouzède
Liens
Site web www.rouzede.com

Ses habitants sont les Rouzédois et les Rouzédoises[1].

Géographie

modifier

Localisation et accès

modifier

Rouzède est une commune de la Charente limousine, proche du Périgord vert, située à 6 km au nord-est de Montbron et 32 km à l'est d'Angoulême. Elle fait partie du canton de Montbron.

Elle est aussi à 7 km au nord-ouest de Bussière-Badil et 8 km au sud de Montembœuf[2].

La commune est bordée à l'ouest par la D 16, route de Montmoreau à Confolens par Montbron et Montembœuf. Des routes départementales de moindre importance traversent la commune et desservent le bourg : la D 112 qui va d'Écuras au sud au Lindois au nord, la D 416 qui va de Montbron à la Prèze vers Roussines, et la D 397 au nord de la commune qui va à l'Arbre[3].

Hameaux et lieux-dits

modifier

La commune comporte de nombreux hameaux. L'Épardeau à l'extrémité sud, l'Age, Planchas et la Prèze à l'est, la Grelière et l'Arbre au nord, l'Arbre étant en limite avec Mazerolles, et des fermes comme la Séguinie, le Four, Champneuf, la Sébarie, la Péladie, le Baillat, la Ménardie, le Bourny, etc.[3].

Communes limitrophes

modifier
Communes limitrophes de Rouzède
Mazerolles Le Lindois
  Roussines
Montbron Écuras

Géologie et relief

modifier

Comme toute la partie nord-est du département de la Charente qu'on appelle la Charente limousine, la commune appartient géologiquement à la partie occidentale du Massif central, composée de roches cristallines et métamorphiques, relique de la chaîne hercynienne. Elle est toutefois en bordure du Bassin aquitain au sud.

Le nord de la commune est occupé par le micaschiste, se transformant en leucogranite dans la partie orientale. Le sud et les sommets sont occupés par des altérites, et argiles à silex et galets, recouvrant un substrat calcaire du Jurassique inférieur[4],[5],[6],[7].

La commune est sur le flanc sud du massif de l'Arbre, premier mont du Massif central en venant de l'océan.

Le point culminant de la commune, 351 m, est situé en limite de commune de Mazerolles à l'Arbre, qui a longtemps été considéré comme le point culminant de la Charente.

Le bourg est situé à 235 m d'altitude. Le point le plus bas de la commune est au sud de l'Epardeau, là où le ruisseau de la Renaudie quitte la commune (146 m). Dans ce ravin de la Renaudie montait aussi autrefois depuis Montbron venant d'Angoulême la voie ferrée métrique des Chemins de fer économiques des Charentes qui allait vers Montembœuf et Roumazières.

Comprenant de nombreux prés où paissent les vaches limousines, le nord-est de la commune est cependant assez boisé (châtaigniers, chênes, épicéa).

Hydrographie

modifier

Réseau hydrographique

modifier
 
Réseaux hydrographique et routier de Rouzède.

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par le ruisseau de Montizon, la Renaudie, le ruisseau de Brisebois et par deux petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 14 km de longueur totale[9],[Carte 1].

La commune comprend de nombreux ruisseaux qui descendent du massif de l'Arbre.

La commune est traversée par ces ruisseaux pentus qui naissent sur la commune, coulent vers le sud-ouest et forment la Renaudie, ruisseau qui se jette dans la Tardoire, bassin de la Charente, à Montbron. On peut citer le ruisseau de Brisebois à l'est, et à l'ouest, les ruisseaux des Bonnettes et du Moulin de Baraca. De petites retenues d'eau jalonnent ces ruisseaux, favorisées par le sol imperméable.

La commune est limitée au nord-est par le ruisseau de la Séguinie qui coule vers le sud-ouest vers Roussines et se jette dans l'étang de la Groie, à la limite des deux communes. Ce ruisseau devient ensuite ruisseau de Montizon et se jette aussi dans la Tardoire au sud.

Gestion des eaux

modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[10]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [11].

Le climat est océanique dégradé. C'est celui de la Charente limousine, plus humide et plus frais que celui du reste du département, avec toutefois une nuance plus méridionale que dans le Confolentais.

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Rouzède est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13] et hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (65,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (33,7 %), zones agricoles hétérogènes (31,4 %), forêts (31,2 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

modifier

Le territoire de la commune de Rouzède est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels

modifier
 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Rouzède.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 49 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 214 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 81 sont en aléa moyen ou fort, soit 38 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[19],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2005 et 2011 et par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risque particulier

modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Rouzède est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[21].

Toponymie

modifier

Une forme ancienne est Rozeda au XIIIe siècle[22].

Le nom de Rouzède proviendrait indirectement du nom commun d'origine germanique raus qui signifie « roseau » auquel est apposé le suffixe collectif -eta, ce qui correspondrait à rauseta, lieu où poussent les roseaux[23], et plus directement de l'occitan roseda, roseraie, ou lieu planté de roseaux[24].

Dialecte

modifier

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[25]. Elle se nomme Rauseda en occitan[26].

Histoire

modifier

Le Chemin des Anglais, ancienne voie d'Angoulême à Limoges, borde la commune au nord. Des vestiges maçonnés ont été trouvés près de l'Arbre en bordure de cette voie[27].

Les registres de l'état civil remontent à 1659[28].

Sous l'Ancien Régime, Rouzède faisait partie avec les paroisses de Mazerolles, Cherves, Châtelars et Suaux de la baronnie de Manteresse, qui a appartenu à Étienne Chérade, comte de Montbron et de Marthon[29].

Pendant la première moitié du XXe siècle, la commune était desservie par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant d'Angoulême à Roumazières par Montbron appelée le Petit Mairat[28].

Administration

modifier
 
Mairie de Rouzède.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
depuis 2009 En cours Anne Bernard SE DE

Démographie

modifier

Évolution démographique

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[31].

En 2021, la commune comptait 235 habitants[Note 1], en évolution de +0,86 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
660746711837725789772789775
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
763778763755742750726703682
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
654650549518505467459387386
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
353302249234267261232238235
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[32] puis Insee à partir de 2006[33].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

modifier

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 18,3 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 46,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 126 hommes pour 116 femmes, soit un taux de 52,07 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,0 
90 ou +
0,9 
18,4 
75-89 ans
17,4 
24,9 
60-74 ans
31,4 
25,8 
45-59 ans
20,2 
11,4 
30-44 ans
13,2 
11,4 
15-29 ans
7,0 
8,2 
0-14 ans
9,8 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[35]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Économie

modifier

Terre traditionnelle d'élevage de vaches limousines, Rouzède semble se tourner résolument vers le tourisme vert, avec des gîtes ruraux, chambres d'hôtes, mais aussi résidences neuves, avec le village hollandais de la Prèze, près de Planchas, situé à côté du village de vacances hollandais du Chat, construit dans les années 1970 dans la commune voisine d'Écuras.

En 2019, Rouzède est également connue localement pour certaines de ses entreprises ; Arbre Construction, entreprise spécialisée dans la construction de bâtiments en bois, et La Ferme de l'Arbre, une entreprise agricole spécialisée dans l'élevage de volailles et de canard plusieurs fois médaillée au Salon de l'agriculture ou au Concours des Saveurs régionales[réf. souhaitée].

Équipements, services et vie locale

modifier

Enseignement

modifier

L'école est un RPI entre Écuras et Rouzède, qui possèdent chacune une école élémentaire. L'école de Rouzède, située au bourg, a une classe unique. Le secteur du collège est Montbron[36].

Lieux et monuments

modifier
  • L'église paroissiale, dédiée à Notre-Dame, est un édifice roman massif à double nef, comme d'autres églises de la région comme Combiers, Édon, ou Grassac. Elle est en partie du XIIe siècle.
 
Le village hollandais de la Prèze.
  • Le village de la Prèze est un village tout neuf, construit par des entreprises hollandaises pour les estivants, en liaison avec le golf de la Prèze.

Personnalités liées à la commune

modifier
  • Jacques Guerry-Champneuf (1788-1852), directeur des Affaires criminelles et des Grâces au ministère de la Justice de 1824 à 1830, premier auteur des Comptes annuels de la justice criminelle en France, est né au lieu-dit la Rousserie[37].

Notes et références

modifier

Notes et cartes

modifier
  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Rouzède » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a et b Carte IGN sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. Carte du BRGM sous Géoportail
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montbron », sur Infoterre, (consulté le ).
  8. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  9. « Fiche communale de Rouzède », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  10. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  11. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  13. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Rouzède », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  20. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Rouzède », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  22. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 185
  23. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 575.
  24. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  25. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  26. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  27. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 151
  28. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 306
  29. Bulletin de la Société archéologique et historique de la Charente, « Une seigneurie à la belle étoile, la baronnie de Manteresse », (consulté le ).
  30. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  31. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  32. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  33. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Rouzède (16290) », (consulté le ).
  35. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  36. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  37. Charles-Auguste Auber, M. Guerry-Champneuf, avocat du barreau de Poitiers, Impr. de H. Oudin, 1852, 43 p. (Voir sur Google Livres)

Voir aussi

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier
  • Site officiel de la mairie de Rouzède
  • Catillus Carol, « Rouzède », (consulté le )