Écuras

commune française du département de la Charente

Écuras (Escuras[1] en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Écuras
Écuras
Mairie d'Écuras.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Angoulême
Intercommunalité Communauté de communes La Rochefoucauld - Porte du Périgord
Maire
Mandat
Denis Donnary
2020-2026
Code postal 16220
Code commune 16124
Démographie
Gentilé Écurassiens
Population
municipale
550 hab. (2021 en évolution de −6,62 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 41′ 04″ nord, 0° 34′ 05″ est
Altitude Min. 111 m
Max. 280 m
Superficie 24,22 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Val de Tardoire
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Écuras
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Écuras
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Écuras
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Écuras

Ses habitants sont les Écurassiens et les Écurassiennes[2].

Géographie

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Localisation et accès

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Écuras est une commune de la Charente limousine située à 6 km à l'est de Montbron sur la route de Saint-Mathieu (D 699). Elle est limitrophe du département de la Dordogne et est située aussi non loin de celui de la Haute-Vienne.

Le bourg est aussi à 10 km de Montembœuf, 15 km de La Rochefoucauld et de Saint-Mathieu, 19 km de Nontron, 32 km d'Angoulême, la préfecture, 38 km de Confolens, 56 km de Limoges[3].

En plus de la D 699, la commune est sillonnée par les routes départementales D 112, D 163 et D 416. À l'est, la D 699 franchit la Tardoire par une série de lacets et entre en Dordogne (commune de Busserolles), pour entrer dans la Haute-Viennekm plus loin (commune de Maisonnais)[4].

La commune est aussi traversée par le GR 4, sentier qui relie Royan à Cannes, et qui passe dans la vallée de la Tardoire.

Hameaux et lieux-dits

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La commune compte de nombreux hameaux assez importants comme :

  • les Defaix
  • le Maine Pachou
  • Châtain-Besson (où est située la salle des fêtes)
  • les Limousines
  • le Chat (village de vacances hollandais)
  • la Borderie
  • Perry

et d'autres moins importants : Chez Bonnet, Germanas, etc.

Communes limitrophes

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Géologie et relief

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La Charente limousine à Ecuras

Écuras est situé sur les premières hauteurs du Massif central en arrivant de l'ouest et forme avec Eymouthiers l'extrémité sud de la Charente limousine.

Le sol est principalement composé de granit, avec une zone de gneiss à l'est. Les plateaux sont occupés de matériaux d'origine détritique de l'époque éocène à pliocène : galets, sables, argiles[5],[6],[7].

Le dénivelé est important entre le bas de la commune situé au bord de la Tardoire en bas de Perry (111 m) et le sommet situé à la Prèze (280 m). Châtain-Besson est à 234 m d'altitude et le bourg à 222 m.

Hydrographie

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Réseau hydrographique

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La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[8]. Elle est drainée par la Tardoire et la Renaudie et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 18 km de longueur totale[9],[Carte 1].

La Tardoire, d'une longueur totale de 114,1 km, prend sa source en Haute-Vienne, dans la commune de Pageas, et se jette dans la Bonnieure à Saint-Ciers-sur-Bonnieure, après avoir traversé 28 communes[10]. Elle sert de limite naturelle à la commune au sud et à l'est, la séparant de celle d'Eymouthiers, mais aussi du département de la Dordogne (Périgord vert).

La commune est aussi bordée à l'ouest par la vallée de la Renaudie, profond vallon, zone protégée avec circuits de découverte, que parcourait autrefois l'ancienne voie ferrée métrique d'Angoulême à Roumazières passant par Montbron, le petit Mairat, qui entamait là la longue montée vers l'Arbre, 353 m d'altitude, et Montembœuf[11].

Gestion des eaux

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Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[12]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [13].

Le climat est océanique dégradé. C'est celui de la Charente limousine, plus humide et plus frais que celui du reste du département dû au relief, avec cependant des nuances méridionales du Périgord tout proche.

Urbanisme

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Typologie

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Au , Écuras est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[14]. Elle est située hors unité urbaine[15] et hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,6 %), zones agricoles hétérogènes (31,9 %), prairies (24,5 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (2,4 %), terres arables (2 %), zones urbanisées (1,6 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

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Le territoire de la commune d'Écuras est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[19]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[20].

Risques naturels

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Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Tardoire. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999[21],[19].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Écuras.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 45,8 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 668 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 237 sont en aléa moyen ou fort, soit 35 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[23].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[19].

Risque particulier

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Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Écuras est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[24].

Toponymie

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Les formes anciennes sont Escuras, Escuriis en 1281[25], Escurato au XIIIe siècle[26].

Selon certains auteurs, l'origine du nom d'Écuras remonterait à un personnage gallo-romain Scurrius auquel a été apposé le suffixe -acum, ce qui correspondrait à Scurriacum, « domaine de Scurrius ». D'autres auteurs le font dériver du mot germanique skur signifiant grange, d'où l'occitan escura (écurie) est tiré. Il y a aussi las Escuras en Dordogne; on compte cinq les Écures en Charente, sans parler des Hautes Écures et du Moulin des Écures[27],[28].

Le hameau de Châtain-Besson tire son nom de deux châtaigniers jumeaux (bessons signifiant jumeaux en occitan)[29].

Langues

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La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[30]. Elle se nomme Escuras en occitan[31].

Histoire

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À la Borderie et au lieu-dit Conan, des tegulae ont été retrouvées, et pourraient indiquer les sites de villas gallo-romaines[32].

Entre Chassagne et Perry (orthographié Peyris au début du XXe siècle), la combe boisée abritait une petite mine de plomb argentifère exploitée pendant peu de temps avant le XIXe siècle. La commune abritait aussi quelques moulins et tuileries[33],[4],[29].

Administration

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Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1995 mars 2014 Claude Fils SE Enseignant retraité
mars 2014 En cours Denis Donnary   Artisan dans le bâtiment
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie

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Évolution démographique

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[34]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[35].

En 2021, la commune comptait 550 habitants[Note 1], en évolution de −6,62 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
1 4001 4991 5471 6131 6501 6771 7881 7721 741
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 6851 7301 6371 6171 6951 6411 5811 5431 520
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 4631 4001 2441 2301 1481 1321 004894838
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
776686634628557626650632589
2019 2021 - - - - - - -
569550-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[36] puis Insee à partir de 2006[37].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 18,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 47,4 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 306 hommes pour 270 femmes, soit un taux de 53,13 % d'hommes, largement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[38]
HommesClasse d’âgeFemmes
1,0 
90 ou +
1,1 
13,9 
75-89 ans
13,9 
31,8 
60-74 ans
33,3 
20,9 
45-59 ans
23,2 
11,9 
30-44 ans
13,1 
7,6 
15-29 ans
6,0 
12,9 
0-14 ans
9,4 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2021 en pourcentage[39]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,7 
9,2 
75-89 ans
12 
20,6 
60-74 ans
21,3 
20,7 
45-59 ans
20,3 
16,8 
30-44 ans
16 
15,6 
15-29 ans
13,4 
16,1 
0-14 ans
14,3 

Économie

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Tourisme

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  • Village hollandais du Chat
  • Golf et resort de la Prèze (en limite avec Rouzède)

Équipements, services et vie locale

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Enseignement

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L'école est un RPI entre Écuras et Rouzède, qui possèdent chacune une école élémentaire. Le secteur du collège est Montbron[40].

Lieux et monuments

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  • le bourg et Châtain-Besson
  • la tuilerie Gaillard située à Rairie près de Châtain-Besson est une tuilerie du début du XXe siècle qui a cessé ses activités vers 1975[41].

Patrimoine environnemental

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La réserve naturelle régionale de la Vallée de la Renaudie se trouve en partie sur le territoire de la commune ainsi que le site Natura 2000 « val de Tardoire » qui englobe la vallée de la Renaudie.

Le GR 4 qui va de Royan à Grasse traverse la commune.

Notes et références

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Notes et cartes

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  • Notes
  1. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique d'Écuras » sur Géoportail (consulté le 21 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références

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  1. (oc) IEO - Geoccitània, « Mapa occitana ».
  2. Site habitants.fr, « Les gentilés de Charente », (consulté le ).
  3. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  4. a et b Carte IGN sous Géoportail
  5. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  6. Carte du BRGM sous Géoportail
  7. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montbron », sur Infoterre, (consulté le ).
  8. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  9. « Fiche communale d'Écuras », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  10. Sandre, « la Tardoire »
  11. Claude Fils, « Le Petit Mairat », La Motte, (consulté le ).
  12. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  13. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  14. « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
  15. Insee, « Métadonnées de la commune ».
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  19. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Écuras », sur Géorisques (consulté le ).
  20. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Écuras », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  24. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  25. Jean Nanglard, Pouillé historique du diocèse d'Angoulême, t. II, Angoulême, imprimerie Roux et Despujols, , 588 p., p. 312
  26. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 185,186,284
  27. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 260.
  28. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  29. a et b Alcide Gauguié, La Charente communale illustrée, t. I (arrondissement d'Angoulême), Bruno Sépulchre (Paris, 1982), , 411 p., p. 334
  30. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  31. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  32. Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 150
  33. Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 154
  34. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  35. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  36. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  37. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  38. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Écuras (16124) », (consulté le ).
  39. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  40. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  41. « Tuilerie Gaillard », notice no IA00066267, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Voir aussi

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Articles connexes

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Liens externes

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